Skip to main content
Ingenium Logo

You are leaving IngeniumCanada.org

✖


This link leads to an external website that Ingenium does not control. Please read the third-party’s privacy policies before entering personal information or conducting a transaction on their site.

Have questions? Review our Privacy Statement

Vous quittez IngeniumCanada.org

✖


Ce lien mène à un site Web externe qu'Ingenium ne contrôle pas. Veuillez lire les politiques de confidentialité des tiers avant de partager des renseignements personnels ou d'effectuer une transaction sur leur site.

Questions? Consultez notre Énoncé de confidentialité

Ingenium Le réseau

Langue

  • English
Search Toggle

Menu des liens rapides

  • Sites Ingenium
  • Magasiner
  • Donner
  • S'abonner
Menu

Main Navigation

  • Explorer
    • Catégories
    • Types de médias
    • Tableaux
    • Articles vedettes
  • À propos
    • À propos du Réseau
    • Nos partenaires

Jules Gabriel Verne n’aurait pas été amusé : De la Terre à la Lune

Share
27 nov. 2018
Catégories
Photographie et film
Catégories
Espace
Médias
Article
Profile picture for user rfortier
Par : Rénald Fortier
Ingenium - Musées des sciences et de l’innovation du Canada
Une affiche du film From the Earth to the Moon, la version originale anglaise de De la Terre à la Lune
Une affiche du film From the Earth to the Moon, la version originale anglaise de De la Terre à la Lune

Ami(e) lectrice ou lecteur, puis-je commencer cet article en vous offrant mes salutations les plus sincères? Je suis très heureux d’être à nouveau avec vous. Si votre humble serviteur peut paraphraser le titre d’une chanson plutôt populaire de 1991 du trio hip-hop américain Salt-n-Pepa, parlons d’espace. Plus précisément, parlons d’un film spatial oublié dont la première a lieu il y a 60 ans, c’est-à-dire en novembre 1958.

De la Terre à la Lune est une adaptation d’un roman bien connu, De la Terre à la Lune, trajet direct en 97 heures 20 minutes, publié en 1865. En fait, il s’agit d’un des 9 films inspirés de romans écrits par un des pères fondateurs de la science-fiction, le Français Jules Gabriel Verne, qui sortent en salles entre 1954 et 1962. Les autres sont 20,000 lieues sous la mer / Vingt milles lieues sous les mers, en 1954, Le tour du monde en 80 jours, en 1956, Voyage au centre de la terre, en 1959, Le maître du monde, L’île mystérieuse et Sur la comète, en 1961, et Cinq semaines en ballon et Les enfants du capitaine Grant, en 1962.

Votre humble serviteur n’aime pas beaucoup certains de ces films. Ils sont trop farfelus. Quelques-uns sont vraiment bons, cependant, mais je m’éloigne du sujet, un de mes nombreux défauts. Et oui, c’est là une très brève citation d’un superbe film de 2010, Le discours d’un roi / Le discours du roi. Et oui encore, ami(e) lectrice ou lecteur attentive / attentif, 20,000 lieues sous les mers, le roman, pas le film, est mentionné dans des numéros de juillet et septembre 2018 de notre blogue / bulletin / machin.

Pourquoi des films verniens, vous demandez-vous? Et bien, pourquoi pas? D’une part, les films basés sur les romans de Verne peuvent attirer les fans de science-fiction et / ou d’aventure. Par ailleurs, l’aura qui entoure le nom de Verne peut conférer aux films inspirés de ces mêmes romans une certaine patine de dignité et de distinction. Ces mêmes facteurs expliquent pourquoi des studios de cinéma adaptent également 3 romans de Herbert George Wells dans les années 1950 et 1960. Les films qui en résultent sont La guerre des mondes, en 1953, La machine à explorer le temps, en 1960, et Les premiers hommes dans la Lune, en 1964. Maintenant que j’y pense, je me demande si les livres de Verne ne sont pas dans le domaine public, ce qui aurait éliminé la nécessité de verser des paiements à sa succession.

Chose intéressante, un scénariste, réalisateur, producteur et acteur américain annonce en 1948 qu’il envisage la possibilité de transformer De la Terre vers la Lune en un film intitulé provisoirement Trip to the Moon. William Castle, né Wilhelm Schloss, junior, semble avoir changé le titre en Destination Moon. Un producteur et réalisateur hungaro américain du nom de George Pal, né Marczincsak György Pál, reprend le projet en main et le reste, comme on dit, appartient à l’histoire. Qui sont- ces « on, » je n’en ai aucune idée, mais je m’éloigne du sujet. Et oui, ami(e) lectrice ou lecteur, Pal produit un des susmentionnés films wellsiens, à savoir La guerre des mondes. Incidemment, votre humble serviteur envisage la possibilité de pontifier sur Destination Lune, un film de science-fiction classique mentionné dans un numéro de septembre 2018 de notre blogue / bulletin / machin, à un moment donné dans le futur, mais revenons à notre histoire.

L’intrigue du film De la Terre à la Lune est familière aux millions de personnes qui lisent le roman de Verne au cours des 150 dernières années. Le générique d’ouverture, imprimé en lettres gothiques sur les pages d’un grand livre qui tournent lentement, est certes un peu démodé. On peut se demander s’il atténue l’impact du contexte historique de l’histoire, qui commence peu après la fin d’un des conflits les plus terribles du 19ème siècle, la guerre de Sécession (1861-1865).

Quoi qu’il en soit, le film démarre vraiment avec l’annonce faite par un Américain, Victor Barbicane, qu’il vient d’inventer un explosif d’une puissance sans pareille and sans précédent. Un métallurgiste américain qui méprise ce fabricant de munitions ridiculise cette affirmation. Stuyvesant Nicholl ne peut apparemment pas accepter que Barbicane n’a rien fait pour aider les États confédérés d’Amérique à remporter la guerre de Sécession. Au risque de susciter une controverse, puis-je me permettre de demander si les états esclavagistes du Sud méritent de gagner? Et pourtant, il y a des groupes puissants au Royaume-Uni et au Canada, celui d’avant 1867 bien sûr, qui favorisent les États confédérés. Le fait que quelqu’un ait voulu travailler avec ce pays dépasse l’entendement. Ce doit être une question d’argent.

Quoiqu’il en soit, Nicholl parie 100 000 $, une somme titanesque à l’époque, qu’un métal d’une résistance sans pareille et sans précédent qu’il vient de perfectionner ne serait pas détruit par le Power X de Barbicane, comme on appelle le nouveau super explosif. Ce dernier accepte le défi. À l’aide d’un canon peu impressionnant, il pulvérise une plaque épaisse faite du super métal de Nicholl. La démonstration démolit également une petite montagne derrière le site d’essais. Si je peux dérober une phrase d’un monarque britannique, Nicholl n’est pas amusé.

Et non, il n’est pas du tout certain que la reine Victoria, née Alexandrina Victoria Hanover, a prononcé ces paroles. Selon certain(e)s, le monarque en question est Elizabeth I, née Elizabeth Tudor. Selon toute vraisemblance, nous ne pourrons jamais le savoir avec certitude. En effet, il se peut que ni l’une ni l’autre de ces reines n’a prononcé ces mots, mais revenons à notre histoire.

Avant d’y arriver, je tiens à souligner que le Power X est un liquide dont l’apparence est semblable à celle du soda au gingembre. Vous vous pourriez être heureuse / heureux d’entendre (lire?), ou pas, que John James McLaughlin, fondateur du géant canadien des boissons gazeuses Canada Dry Ginger Ale Incorporated, est le frère de Robert Samuel « Sam » McLaughlin, fondateur de McLaughlin Motor Car Company Limited, un ancêtre de General Motors of Canada Limited (GMC), une filiale d’un géant américain de l’automobile, General Motors Corporation.

Croiriez-vous que GMC fabrique 2 voitures très spéciales pour la tournée royale faite au Canada de 1927 par le prince de Galles, alors héritier du trône britannique, et son frère, le duc de York? Et oui, ami(e) lectrice ou lecteur royaliste, le duc de York, alors roi George VI, né Albert Frederick Arthur George « Bertie » Saxe-Coburg et Gotha, est le personnage principal du susmentionné film Le discours d’un roi. Mieux encore, en 1939, GMC complète 2 autres voitures très spéciales pour une autre visite royale, la première effectuée au Canada par un monarque régnant, vous l’aurez deviné, le susmentionné roi George VI. Deux de ces 4 voitures, une pour chaque visite, sont conservées au Musée des sciences et de la technologie du Canada, à Ottawa, Ontario, mais revenons à notre histoire. Encore une fois. Je m’excuse.

Il se trouve que Barbicane a l’idée de frapper la Lune avec un obus rempli de Power X afin de déclencher une explosion visible de la Terre. Le président Ulysses Simpson Grant lui envoie une lettre lui demandant de mettre de côté ce projet et son invention. Les gouvernements de plusieurs pays, semble-t-il, craignent la puissance du nouveau super-explosif américain. Pis encore, l’obus de Barbicane pourrait manquer la Lune et s’écraser sur Terre, faisant de nombreuses victimes. Un tel désastre pourrait être interprété comme un acte de guerre. Barbicane respecte les souhaits du président et est rapidement vilipendé par ses partisans et par le grand public.

Barbicane découvre à un moment donné que des morceaux du super métal de Nicholl brisé par son Power X ont été transformés en une céramique extrêmement légère et résistante. L’idée lui vient que ce matériau peut être utilisé pour construire un obus / vaisseau spatial dans lequel des gens pourraient se rendre sur la Lune, y alunir et vraisemblablement en revenir. Très conscient du fait qu’il a besoin de l’aide de son rival pour réaliser ses objectifs, Barbicane contacte Nicholl, qui accepte de l’aider. Au fur et à mesure que s’effectue la construction du vaisseau spatial et du canon géant nécessaire à sa mise à feu, le jeune assistant de Nicholl, Ben Sharpe, et la charmante fille de Barbicane, Virginia, tombent peu à peu amoureux.

Le jour du lancement, Barbicane, Nicholl et Sharpe se scellent à l’intérieur du vaisseau spatial. Chaque homme pénètre dans une chambre cylindrique qui se remplit rapidement d’un gaz spécial qui réduit leur rythme cardiaque à 5 battements par minute. Les hommes agissent ainsi pour se protéger de la force extrême, ou force G, créée lors du lancement de leur vaisseau spatial. Les chambres interconnectées commencent à tourner comme des tubes à essai dans une centrifugeuse alors que celui-ci sort du canon. À l’insu de Sharpe, Nicholl et Barbicane, la fille de ce dernier s’est faufilée à bord et s’est dissimulée en revêtant une des combinaisons spatiales que les hommes porteraient sur la Lune.

Je ne sais pas ce que vous en pensez, ami(e) lectrice ou lecteur, mais je pense qu’une digression serait une bonne idée en cet instant. Lors de manœuvres violentes, un pilote de chasse ou de voltige était / est / sera soumis à la susmentionnée force G, ce qui peut entraîner une perte temporaire de la vue, voire de la conscience. Des cas documentés remontent à la Première Guerre mondiale, mais l’introduction de nouveaux avions de chasse à hautes performances pendant les années 1930 exacerbe les risques pour les pilotes. On peut trouver de tels aéronefs dans l’incroyable collection du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, à Ottawa. Il suffit de mentionner le Hawker Hurricane, le Messerschmitt Bf / Me 109 et le Supermarine Spitfire, mais revenons à notre digression.

Au Canada, avant le début de la Seconde Guerre mondiale, le Dr Wilbur Rounding Franks, un chercheur en cancer au Banting Institute de la University of Toronto à Toronto, Ontario, commence à travailler sur une combinaison remplie d’eau conçue pour aider les pilotes à rester pleinement conscient dans des conditions de combat difficiles. Croiriez-vous qu’il teste son concept de base avec une centrifugeuse de laboratoire en utilisant des souris immergées dans de l’eau jusqu’au cou dans des préservatifs? Les souris survivent.

Franks effectue des essais en vol de sa combinaison anti-G en janvier 1940 dans un avion de l’Aviation royale du Canada (ARC) – un geste vraiment courageux et peut-être même son premier vol dans un avion. Il est à noter que l’expression Aviation royale du Canada n’est utilisée officiellement qu’à partir de la fin des années 1950. Avant cette date, l’expression Royal Canadian Air Force se traduit par Corps d’aviation royal canadien (CARC). Un modèle de série de la combinaison Franks est utilisé au combat en Afrique du Nord en novembre 1942 par des escadrons de chasse de la Fleet Air Arm de la Royal Navy – une première mondiale pour ce type de technologie. Certaines questions, parmi lesquelles des problèmes de sécurité et le manque de confort lors de longues missions, empêchent l’utilisation ultérieure de la combinaison anti-G Franks. Aucun escadron de l’ARC n’a jamais utilisé ce dispositif en action. De fait, il s’avère être une impasse technologique, vu que des combinaisons anti-G remplies à l’air font leur apparition. Et non, ami(e) lectrice ou lecteur patriote, le costume de Franks n’est pas la première combinaison anti-G au monde. À vrai dire, des chercheurs allemands commencent à s’intéresser au développement de tels dispositifs au plus tard en 1935. Leurs expériences indiquent qu’une combinaison remplie d’eau n’est pas la bonne solution bien avant que Franks ait terminé son prototype.

Par ailleurs, un professeur d’université et physiologiste, Frank Stanley Cotton, met au point une combinaison anti-G gonflée d’air en Australie pendant la Seconde Guerre mondiale. Mis à l’essai en novembre 1941, ce dispositif entre en service au sein d’un escadron de chasse de la Royal Australian Air Force en juillet 1943. La combinaison anti-G Cotton n’est pas produite en grande quantité. En Europe, à partir du milieu de 1944, de nombreux pilotes de chasse des United States Army Air Forces portent au combat des combinaisons anti-G G-2 remplies d’air. Au fur et à mesure que les avions à réaction viennent remplacer les bombardiers et les avions de chasse munis de moteurs à pistons après la fin de la guerre, les combinaisons anti-G deviennent indispensables, mais revenons à notre histoire. Et oui, ami(e) lectrice ou lecteur patriote grincheux, l’histoire de la combinaison anti-G est un exemple du nationalisme qui imprégnait / imprègne l’histoire de l’aviation. Mais revenons à notre récit.

Alors que leur vaisseau spatial navigue dans l’espace, Barbicane, Nicholl et Sharpe doivent faire face à une série de problèmes mécaniques. Et oui, ami(e) lectrice ou lecteur avec une bonne mémoire, nos amis astronautes victoriens sont confrontés à une pluie de météores – un élément commun dans les films spatiaux des années 1950 et 1960, et un qui est mentionné dans un numéro de juillet 2018 de notre blogue / bulletin / machin, mais revenons au sujet qui nous préoccupe.

Nicholl admet / révèle finalement qu’il a délibérément endommagé le vaisseau spatial avant le décollage. Il craint qu’un voyage réussi sur la Lune ne conduise à l’adoption du Power X par de nombreux pays du monde. La méchanceté innée de l’humanité mènerait à une guerre mondiale qui pourrait mettre fin à toute vie (humaine?) sur Terre. Cet homme fortement religieux prétend même avoir agi avec un soutien divin. En organisant un voyage sur la Lune, déclare Nicholl, Barbicane bafoue les commandements de Dieu. Barbicane rejette cette accusation. En mettant le Power X à la disposition de nombreux gouvernements, il garantirait la paix dans le monde.

Au milieu du chaos, Sharpe, Nicholl et Barbicane réalisent que la fille de ce dernier est à bord. Ils sont profondément choqués. Les travaux de réparation du vaisseau spatial se poursuivent néanmoins au fur et à mesure de sa progression dans l’espace. Non impliquée dans ces réparations, Virginia Barbicane assume un rôle domestique. Elle cuisine tous les repas, par exemple.

Alors que les hommes commencent à envisager la probabilité qu’ils ne survivront pas au voyage, la jeune femme leur rappelle que les humains sont mortels. De fait, ajoute-t-elle, ce serait un privilège merveilleux de mourir dans une explosion impressionnante dans l’espace. Abasourdi par le calme de sa fille, Barbicane déclare que s’il a la chance de mener d’autres voyages dans l’espace, il insistera pour qu’une femme soit présente dans tous les cas – pour son courage.

Travaillant côte à côte avec Barbicane, Nicholl finit par respecter son rival / ennemi, sans pour autant abandonner son opinion sur le Power X. Mieux encore, il le sauve d’une électrocution et mort possible.

Incapable d’accepter la probabilité que sa fille bien-aimée périsse dans l’espace, Barbicane propose une solution désespérée. Il démembrerait le vaisseau spatial. Sharpe et sa fille resteraient dans le compartiment principal plus confortable, qui est le plus susceptible de revenir sur Terre. Nicholl et Barbicane, en revanche, achèveraient le voyage vers la Lune dans d’autres compartiments. Les protestations de Sharpe et de la fille de Barbicane sont ignorées. Après avoir placé Virginia et un Sharpe inconscient dans leur compartiment, Barbicane démembre le vaisseau spatial.

Alors que Sharpe et la fille de Barbicane s’approchent de la Terre, ils voient des lumières sur la Lune. Nicholl et Barbicane, semble-t-il, ont aluni avec succès. Cette réalisation est teintée de chagrin car l’un et l’autre savent que les 2 hommes ne disposent que de provisions limitées.

La scène suivante du film, la dernière en fait, montre un homme sur Terre. Cet individu qui observe tout ce qui se passe depuis le début prend ses bagages et rentre chez lui afin d’écrire un grand roman sur un voyage vers la Lune. Vous avez deviné que ce gentilhomme est nul autre que Verne. Fin.

Et maintenant, pour quelques mots, un très grand nombre de mots de votre pontificateur local. Bien que filmé en Technicolor, De la Terre à la Lune n’est en fait pas une production majeure. Et non, ami(e) lectrice ou lecteur inquiète / inquiet, ce film n’est pas la raison principale pour laquelle RKO Pictures Incorporated, une filiale de General Tire and Rubber Company, cesse de produire des films en 1957 à cause de problèmes financiers. Malgré cela, ce studio de cinéma est contraint de signer un contrat de distribution américain pour De la Terre à la Lune avec un de ses rivaux, Warner Brothers Pictures Incorporated. Ni l’un ni l’autre de ces studios ne dépense beaucoup en argent pour faire connaître le film lors de sa sortie. RKO Pictures n’est peut-être pas trop fier du produit final et Warner Brothers Pictures ne s’en soucie peut-être pas beaucoup.

En passant, saviez-vous que les célèbres frères Warner, peut-être nés Wonsal ou Wonskolaser, vivent au Canada pendant une brève période, entre 1890 et 1892, et que l’un d’entre eux naît à London, Ontario? Et oui, ami(e) lectrice ou lecteur spirituel(le), c’est là un exemple du nationalisme qui imprégnait / imprègne certaines des œuvres en histoire du cinéma écrites et diffusées dans le monde entier. Malheureusement, Jack Warner, peut-être né Jacob Wonsal / Wonskolaser, peut très bien avoir été un prédateur sexuel.

Si votre humble serviteur peut se permettre de digresser pendant un moment, je voudrais signaler une inexactitude potentielle sur la page Wikipedia de langue anglaise de De la Terre à la Lune. On pourrait soutenir que cette production n’est pas la seule adaptation cinématographique du roman de Verne portant ce même nom. Voyage dans la Lune sort en 1902. Réalisé par un des grands pionniers du cinéma, le Français Marie Georges Jean Méliès, ce film vaut vraiment le détour. De fait, on peut en voir certaines parties au Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, sur un écran assez petit toutefois, dans sa section sur les débuts de l’aviation.

Incidemment, Méliès réalise également au moins 2 films humoristiques traitant d’aviation, à savoir Le dirigeable fantastique / Le cauchemar d’un inventeur et À la conquête du pôle, arrivés en salle en 1906 et 1912. Selon toute vraisemblance, ces 2 films peuvent encore être regardés en 2018.

Revenons maintenant à De la Terre à la Lune pour une pontification brassée maison. Le réalisateur du film, bien que méconnu aujourd’hui, peut produire des films bien faits. Il suffit de penser à la susmentionnée La guerre des mondes, ainsi qu’à L’île au trésor, Quand la Marabunta gronde et La conquête de l’espace, arrivés en salle en 1950, 1954 et 1955. Ce gentilhomme dirige toutefois aussi Robinson Crusoé sur Mars, arrivé en salle en 1964. Incidemment, le tout aussi susmentionné Pal produit La guerre des mondes, Quand la Marabunta gronde et La conquête de l’espace. À son tour, le producteur indépendant de De la Terre à la Lune est plutôt oublié de nos jours. Un journaliste américain avec un vilain sens de l’humour utilise son nom, Benedict Bogeaus, pour rédiger une description quelque peu tranchante de De la Terre à la Lune. Le film, dit-il, est du pseudo Verne. En anglais, pseudo se dit bogus.

Et la triste vérité est que le film ne fonctionne pas très bien. Les critiques de l’époque l’attaquent, tout comme ceux des années suivantes. Ils affirment que De la Terre à la Lune est terne, sérieux, poussif, pompeux, pesant, maussade, lourd, guindé et bavard. Le film n’attire pas beaucoup de spectatrices et spectateurs et est rapidement relégué, oserons-nous le dire, la honte étant si grande, à la télévision.

Les acteurs qui interprètent les personnages principaux de De la Terre à la Lune connaissent certes leur métier, mais seul celui qui représente Barbicane semble crédible. D’accord, d’accord. L’acteur qui joue Nicholl n’est pas trop mal non plus. De nombreux spectatrices et spectateurs de la fin des années 1950 pensent que Barbicane, un homme fort, intelligent et puissant, est le héros de l’histoire. Pour eux, Nicholl est un fou méchant. En tant qu’individu du 21ème siècle, votre humble serviteur ne peut pas vraiment accepter cette interprétation. Bien que les 2 hommes soient certainement des extrémistes, sinon des cinglés, l’opinion de Barbicane selon laquelle les grandes puissances du monde s’abstiendront de faire la guerre si elles ont accès au Power X ne semble pas très convaincante ou rassurante. Si je peux me permettre, une destruction mutuelle assurée peut ne pas être le meilleur moyen de garantir la survie de la vie sur Terre. Compte tenu de cela, oserons-nous dire que Nicholl est un héros ambigu qui peut être plus sain d’esprit que Barbicane? De fait, il est possible que le réalisateur et les scénaristes du film ressentent la même chose, mais sans réussir à le faire comprendre.

La version Barbicane des années 1860 de la balance des forces est un anachronisme, un des nombreux qui affecte De la Terre à la Lune. La plupart des gens qui le voient à la fin des années 1950 reconnaissent le Power X pour ce qu’il est, une sorte d’arme (thermo)nucléaire. On doit se demander pourquoi le réalisateur, le producteur et / ou les scénaristes introduisent une technologie du 20ème siècle dans une histoire du 19éme siècle qui n’inclut rien de la sorte. Ils n’ont apparemment pas l’impression que ce siècle est suffisamment cool. Oserons-nous dire que cette décision illustre bien la nature égocentrique / absorbée des États-Unis dans les années 1950? De nombreux réalisateurs, producteurs et / ou scénaristes de l’époque ayant travaillé sur des projets de science-fiction tombent dans ce piège et ne parviennent pas à faire le saut dans l’imagination qui leur aurait permis de laisser derrière eux les peurs de la Guerre froide et de vraiment conquérir l’univers, et… Vous ne me croyez pas, n’est-ce pas? L’Américain(e) moyen(ne) n’est pas égocentrique dans les années 1950, vous dites?

Pour rendre De la terre à la lune plus pertinent pour un public américain de 1958, le réalisateur, producteur et / ou scénariste du film ajoutent un personnage féminin à la distribution entièrement masculine de Verne, la ravissante et très courageuse fille sans défense de Nicholl, Virginia. Qu’y a-t-il, ami(e) lectrice ou lecteur? Vous trouvez cet ajout amusant, mais pensez que Verne n’aurait peut-être pas été amusé par le dit ajout? Vous pouvez fort bien avoir raison mais, comme nous le savons tous les 2, l’équipe derrière le susmentionné Voyage au centre de la Terre fait exactement la même chose. La dame qu’elle ajoute à la distribution est aussi brave que ce peut – et fort jolie.

Quelques décennies plus tard, sir Peter Robert Jackson et son équipe choisissent également d’ajouter un personnage féminin lorsqu’ils adaptent pour le grand écran le classique roman de 1937 de John Ronald Reuel Tolkien, Bilbo le Hobbit. Aussi charmante qu’elle soit, Tauriel n’est pas du tout sans défense – une décision prise pour la rendre plus pertinente pour le public du 21ème siècle. Elle participe à de nombreuses scènes de combat parmi les plus intenses des deuxième et troisième films de la trilogie de Jackson, à savoir Le Hobbit: La désolation de Smaug et Le Hobbit: La bataille des cinq armées, qui arrivent en salles en 2013 et 2014. Cela étant dit (tapé?), impliquer cette dame elfe dans un triangle amoureux me chiffonne un peu, mais dans les faits, que sais-je des elfes et des nains?

À propos, saviez-vous que Jackson et un ami, lui aussi réalisateur et producteur, Costa Botes, complètent un documentaire en 1995? Forgotten Silver raconte l’histoire d’un génie oublié du cinéma originaire de Nouvelle-Zélande. Pour dire vrai, Colin McKenzie est le plus grand innovateur de l’histoire du cinéma. Ce cinéaste invente non seulement le travelling et le plan rapproché, par accident toutefois, mais il produit aussi des films sonores et en couleur de nombreuses années avant tout le monde. La / le passionné(e) d’aviation en vous, si, si, vous, ami(e) lectrice ou lecteur, serez emmené(e) au septième ciel, avant d’en revenir, par une scène d’un des films de McKenzie. En utilisant un ordinateur pour améliorer des images de plus de 90 ans, Jackson et Botes peuvent voir une date dans un journal. Cette date prouve qu’un pionnier néo-zélandais oublié de l’aviation, Richard William Pearse, effectue le premier vol contrôlé et soutenu dans un avion à moteur en mars 1903, 9 mois avant Orville et Wilbur Wright.

Votre humble serviteur aurait-t-il oublié de mentionner que Forgotten Silver est un faux documentaire? Je suis vraiment désolé. Ou pas. La triste vérité est que McKenzie est un personnage fictif inventé par Jackson et Botes. Les 2 hommes permettent apparemment à un journaliste de publier un article suggérant que McKenzie est une personne réelle avant que Forgotten Silver ne soit diffusé pour la première fois à la télévision, en octobre 1995. Beaucoup de gens sont dupés, ce qui amène Jackson et Botes à souligner que leur film est une blague. Beaucoup de gens sont amusés par cette révélation, mais d’autres non. À dire vrai, Forgotten Silver est une brillante parodie d’une biographie typique de cinéaste. Il se moque également du susmentionné nationalisme qui imprégnait / imprègne certaines des œuvres en histoire du cinéma écrites et diffusées dans le monde entier. De fait, on pourrait affirmer que le nationalisme a imprégné et continue à imprégner bon nombre d’ouvrages d’histoire écrits et diffusés dans le monde entier, sur des sujets aussi divers que le hockey et l’énergie nucléaire.

Une clarification si je peux me le permettre. Pearse n’est pas un personnage fictif. C’est un agriculteur et inventeur avec des capacités mécaniques certaines. Pearse peut avoir terminé un avion à moteur dès 1901-02. Il réalise peut-être plusieurs sauts de puce, mais s’avère incapable de mener à bien un seul vol contrôlé et soutenu. Cela étant dit (tapé?), alors que vous lisez ces lignes, il y a des gens, principalement en Nouvelle-Zélande, qui demeurent convaincus que Pearse effectue au moins un vol contrôlé et soutenu avant les frères Wright. D’autres, principalement aux États-Unis et / ou en Allemagne semble-t-il, croient qu’un Américain d’origine allemande, Gustav Albin Whitehead, né Gustav Weißkopf, fait la même chose aux États-Unis en 1901 et / ou 1902.

Au Canada, quelques personnes présentent une revendication similaire au nom de Louis « Lou » Gagnon, une personne mentionnée dans un numéro d’octobre 2018 de notre blogue / bulletin / machin. Votre humble serviteur oserait-il suggérer que le susmentionné nationalisme lié à l’histoire du cinéma imprégnait / imprègne également l’histoire de l’aviation? Vous vous souviendrez, ami(e) lectrice ou lecteur, que le tous aussi susmentionné numéro d’octobre 2018 de notre blogue / bulletin / machin se moque gentiment, je l’espère, du nationalisme canadien entourant le premier vol contrôlé et soutenu d’un avion à moteur dans ce qui est alors l’Empire britannique.

Incidemment, Pearse ne doit pas être confondu avec Percy Winslow Pierce, un des premiers membres du Junior Aero Club of America. Cet adolescent américain conçoit le Percy Pierce Flyer vers 1909. Les adolescent(e)s et adultes souhaitant piloter ce modèle réduit d’avion très performant peuvent acquérir un kit ou une liasse de plans. Le kit demeure en production pendant de nombreuses années. Vous serez peut-être heureuse / heureux d’entendre (lire?) que le susmentionné aéroclub est cofondé par Emma Lillian Todd, une des premières femmes à avoir conçu un avion. Elle partagé cette distinction avec, non, pas avec la Canadienne Elizabeth Muriel Gregory « Elsie » MacGill. La jeune femme dont nous parlons est britannique. Cela étant dit (tapé?), Lilian Emily Bland épouse un cousin éloigné qui vit au Canada, plus précisément en Colombie-Britannique, en 1911. Elle passe près d’un quart de siècle ici, ou est-ce là-bas, avant de retourner au Royaume-Uni en 1935. Et oui, l’histoire de MacGill est un autre exemple du nationalisme qui imprégnait / imprègne l’histoire de l’aviation.

MacGill, qui est d’ailleurs native de la Colombie-Britannique soit dit en passant, conçoit un avion environ 25 ans après Todd et Bland. Elle est la première femme en Amérique du Nord, sinon dans le monde, à obtenir une maîtrise en génie aéronautique, en 1929, aux États-Unis. Conçu pour répondre aux besoins de l’armée de l’air mexicaine, ou Fuerza Aérea Mexicana, l’avion d’entraînement élémentaire Canadian Car and Foundry Maple Leaf II de MacGill vole pour la première fois en octobre 1939, tout juste après le début de la Seconde Guerre mondiale.

À l’époque, l’employeur de MacGill, un important fabricant de matériel roulant ferroviaire du nom de Canadian Car and Foundry Company Limited (CCF), a pratiquement abandonné l’idée de créer une usine au Mexique. Cela étant dit (tapé?), CCF réfléchit de nouveau à l’idée en 1940 avant de la laisser tomber définitivement. Au plus tard vers ce moment, l’ARC indique qu’elle ne voit aucune raison de commander le Maple Leaf II. En octobre 1940, un petit avionneur américain acquiert les droits de production de l’aéronef, ainsi que le prototype et 2 aéronefs incomplets. N’ayant pas réussi à obtenir un contrat militaire, Columbia Aircraft Corporation vend tout ce qu’elle a acheté au gouvernement mexicain. La Fuerza Aérea Mexicana construit entre 1940-1941 et 1944 environ une douzaine de Barreda Ares, un dérivé du biplan de MacGill. Le Maple Leaf II devient ainsi le tout premier aéronef de conception canadienne à être produit par une organisation étrangère. Et voilà que je recommence à digresser comme si demain n’allait jamais arriver. Désolé.

En passant, saviez-vous que l’acronyme CCF signifie également Coopérative Commonwealth Federation, le nom d’un parti socialiste / social-démocrate canadien qui donne naissance au fort peu nouveau Nouveau parti démocratique? Les noms des partis politiques peuvent être amusants de cette façon. Quelques / plusieurs partis libéraux, démocrates ou conservateurs peuvent être tout sauf libéraux, démocratiques ou conservateurs, par exemple, mais je m’éloigne du sujet. Je vois aussi le visage de « Big Brother » se tourner dans ma direction.

Continuant sur notre lancée, à un pas rapide, pour éviter les caméras de surveillance, croiriez-vous que Jackson est un(e) passionné(e) d’aviation tout comme vous? Oui, il l’est, et oui, vous l’êtes. Pourquoi, sinon, seriez-vous toujours ici, en train de lire toute cette… chose? La société de production cinématographique de Jackson s’appelle WingNut Films Limited. Mieux encore, Jackson fonde une compagnie de restauration et de fabrication d’aéronefs, une des plus connues et respectées au monde, The Vintage Aviator Limited (TVAL). À dire vrai, TVAL expédie 2 avions de chasse monoplaces de l’ère de la Première Guerre mondiale, un britannique et un allemand, au Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, vers la fin de 2018. L’un d’eux est un Royal Aircraft Factory S.E.5a, fabriqué en partie à partir de composants d’origine. L’autre est le Fokker D.VII du musée, assemblé en Nouvelle-Zélande à partir d’un mélange de composants originaux et modernes. La conservatrice adjointe, aviation et espace, a supervisé ce dossier de manière magistrale. Bravo, EG!

Vous pourriez être heureuse / heureux d’entendre (lire?) que le D. VII du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada est le seul avion de ce type encore en existence fabriqué par Junkers-Fokker Aktiengesellschaft, une entreprise née du mariage forcé en 1917 de la division aéronautique de Junkers und Company et de Fokker Flugzeugwerke Gesellschaft mit beschränkter Haftung.

Croiriez-vous que le D.VII du musée est l’un des aéronefs acquis par un riche producteur, pilote et homme d’affaires, Howard Robard Hughes, Junior, oui, ce Howard Hughes, pour le tournage de Les Anges de l’enfer? Arrivé en salles en 1930 en tant que film parlant, cette production compte parmi les grands films d’aviation du 20ème siècle. Votre humble serviteur aurait été plutôt content si le D.VII du musée avait retrouvé les couleurs et marques qu’il portait au moment du tournage – une pensée hérétique, je le sais, mais ça aurait été tellement cool.

Par ailleurs, Hughes achète également l’avion de chasse monoplace Sopwith 7F.1 Snipe qui appartient présentement au Musée de l’aviation et de l’espace du Canada pour le tournage de Les Anges de l’enfer, mais revenons à notre histoire. Et oui, votre humble serviteur s’abstiendra de pontifier sur le S.E.5a, le D.VII ou le Snipe. Nous sommes les Borg, désolé, je suis le conservateur. Toute insistance serait futile.

Où en étions-nous? Oh oui. Les anachronismes. Les fragiles combinaisons spatiales de De la Terre à la Lune ne ressemblent pas aux scaphandres modifiés qu’un ingénieur du 19ème siècle aurait développés. Elles ressemblent au genre de chose qu’une équipe de tournage des années 1950 avec un budget limité aurait proposé. Les initiales élégantes sur chaque combinaison spatiale sont toutefois une bonne idée.

De même, l’intérieur du vaisseau spatial dans lequel prennent place les personnages principaux de notre film ne ressemble pas à quelque chose de conçu dans les années 1860. À vrai dire, il ressemble beaucoup plus aux vaisseaux spatiaux que l’on retrouve dans les « pulps » des années 1930. Qu’y a-t-il, ami(e) lectrice ou lecteur? Vous ne savez pas ce qu’est / était un « pulp ? » Pôvre, pôvre petit(e) vous. Désolé.

Les « pulps » sont des publications mensuelles, principalement américaines, imprimées sur du papier de mauvaise qualité. Ils commencent leur montée vers la gloire dans les années 1890 et demeurent populaires jusqu’aux années 1950. L’étendue des sujets traités dans ces publications incroyablement nombreuses est à couper le souffle, des plus pures et romantiques aux plus violentes et tordues. Et oui, il y a pas mal de « pulps » aéronautiques, et… Nous nous éloignons de notre sujet, n’est-ce pas?

Les anachronismes, oui. Oui. Avec ses spirales rayonnantes, sa sphère éclairée et ses chambres cylindriques en rotation, l’intérieur du vaisseau spatial dans lequel prennent place les personnages principaux de notre film ressemble à celui d’un billard électrique / flippeur. Les grandes pièces et les escabeaux sont également peu réalistes. De plus, il est inconcevable sur la Terre verte du monstre spaghetti volant qu’un gyroscope, et même un gros, puisse neutraliser la microgravité de l’espace.

Qu’est-ce que c’est, ami(e) lectrice ou lecteur? Trop de négativité, dites-vous? Négatif, me? Et bien peut-être. Sur une note positive, on pourrait dire que l’intérieur cossu du vaisseau spatial est assez j beau et ressemble à d’autres intérieurs vus dans d’autres films verniens de la fin des années 1950 et du début des années 1960. On pourrait même soutenir que les dispositifs mécaniques qu’il contient ont un certain aspect steampunk. Et oui, le terme steampunk est mentionné dans un numéro de février 2018 de notre blogue / bulletin / machin. Et non, votre humble serviteur ne vous fournira pas une définition douloureusement détaillée de ce mot fascinant.

Votre humble serviteur aimerait également signaler que De la Terre à la Lune n’est peut-être pas le film que le réalisateur, le producteur et / ou les scénaristes ont en tête lors du lancement du projet. Le budget prévu peut, je répète peut, avoir été supérieur, par exemple. Le script original peut également inclure davantage d’action. Le script final est peut-être devenu plus bavard lorsque l’argent requis n’est pas arrivé, la situation financière de RKO Pictures s’étant détériorées. De plus, les scénaristes peuvent avoir tenté, sans grand succès, de faire parler leurs personnages comme des gens du 19ème siècle. Ils ne parviennent pas à saisir le sens de l’émerveillement de cet âge. Pour être juste, le script tient assez bien le coup jusqu’au lancement du vaisseau spatial. À partir de ce moment, ce qui promet d’être la partie la plus cool du film ne va nulle part. Sans jeu de mots.

D’aucuns suggèrent que les acteurs qui jouent Barbicane et Nicholl sont impliqués dans le peaufinage du script. Si les 2 hommes l’améliorent peut-être, ils l’ont peut-être fait aux dépens des jeunes acteurs qui interprètent Ben Sharpe et Virginia Barbicane.

Compte tenu du manque d’argent, toutes les tentatives faites par l’équipe de tournage pour transformer De la Terre vers la Lune en épopée de l’espace tombent à plat. Compte tenu de l’apparence anachronique et criarde de son vaisseau spatial, vous pourriez être déçu(e), ou pas, d’entendre (lire?) que la conception des décors terrestre est plutôt banale. Le film a plutôt l’air d’un western, et d’un western peu coûteux en fait. L’apparence des scènes terrestres du film tient peut-être au fait qu’il est tourné au Mexique, près de Ciudad de México – une autre mesure d’économie imposée à l’équipe. À son tour, la qualité relativement médiocre de la photographie de De la Terre à la Lune tient peut être au fait que l’équipe de tournage mexicaine ne comprend pas toujours parfaitement ce que le réalisateur américain veut réaliser. Curieusement, l’environnement rude du Mexique n’est mis à contribution pour créer une scène montrant Barbicane et Nicholl sur la Lune – une omission impardonnable si je peux me permettre ce commentaire.

Le manque d’argent affecte également la qualité des effets spéciaux de De la Terre à la Lune, qui peuvent être qualifiés d’inefficaces ou de lamentables. La tige qui supporte le modèle du vaisseau spatial lorsqu’il sort du canon, par exemple, est facilement visible à travers la fumée et les flammes. Voir la traînée de fumée laissée par ce véhicule rapide monter lentement à l’écran est également très mauvais. Et ne parlons pas du fond bleu profond observé à au moins une reprise alors que le vaisseau spatial est sensé être dans l’espace. La Lune, quand elle est apparaît, est une peinture de mauvaise qualité.

De fait, le principe même du film est ridicule. Il est inconcevable sur la Terre verte du monstre spaghetti volant que des personnes tirées à partir d’un gigantesque canon puissent survivre à l’accélération titanesque du lancement. Les chambres cylindriques inter reliées en rotation dans lesquelles Barbicane, Nicholl et Sharpe prennent place ne les auraient pas sauvées. De toute façon, Victoria Barbicane survit au lancement sans le bénéfice de cet appareillage à l’apparence cool – une incohérence grave dans l’intrigue s’il en est une.

La partition musicale de De la Terre à la Lune pourrait être décrite comme étant peu imaginative, sinon banale. Il convient de noter que certains effets sonores électroniques, entendus lors du vol spatial, sont extraits de la bande originale de Planète interdite, un des plus grands films de science-fiction du 20ème siècle. Soit dit en passant, le capitaine un peu fade du vaisseau spatial de ce film de 1956 est un certain Leslie William Nielsen. Comme nous le savons tous les deux, cet acteur canadien joue un personnage secondaire dans Y-a-t-il un pilote dans l’avion?, une des grandes comédies aéronautiques de tous les temps. La performance de Nielsen dans ce film de 1980 ne passe pas inaperçue. Sa carrière filmique prend l’air peu après. Sans jeu de mots.

Où en étions-nous? Oh oui. Pour une raison ou une autre, le réalisateur, le producteur et / ou les scénaristes de De la terre à la lune choisissent d’éliminer un des personnages les plus intéressants du roman de Verne. Michel Ardan est un aventurier français dont le nom de famille est une anagramme basée sur le surnom d’un bon ami de l’auteur, Nadar, né Félix Tournachon. Croiriez-vous que ce photographe, dessinateur et artiste parisien très connu prend la toute première photographie aérienne, saisie depuis un ballon captif flottant au-dessus d’un village situé près de Paris, en 1858? Vive la France – et les pommes de terre frites!

Mieux encore, en 1863, Nadar et 2 personnes d’horizons très différents forment la Société d’encouragement pour la locomotion aérienne au moyen d’appareils plus lourds que l’air – la première organisation au monde dédiée à la promotion de la locomotion aérienne à l’aide de machines volantes plus lourdes que l’air. Ces hommes sont Guillaume Joseph Gabriel de La Landelle, un journaliste, écrivain et officier de la marine française, la Marine impériale, un service connu aujourd’hui sous le nom de Marine nationale, et le vicomte Gustave Ponton d’Amécourt, un numismate et archéologue amateur. Croiriez-vous que Verne et un auteur français plus célèbre encore, Victor Marie Hugo, sont membres de la Société d’encouragement pour la locomotion aérienne au moyen d’appareils plus lourds que l’air? Alors, vive la France – et les pommes… Désolé.

En 1862-63, de La Landelle et Ponton d’Amécourt supervisent la fabrication d’un hélicoptère à vapeur miniature qui s’avère incapable de décoller. L’horloger doué qui construit ce bijou ne se rend pas compte qu’il est probablement la première personne à utiliser un métal très rare et coûteux, l’aluminium, pour fabriquer une machine volante plus lourde que l’air. Incidemment, il semble que l’hélicoptère de de La Landelle et Ponton d’Amécourt est préservé par le Musée de l’Air et de l’Espace de Paris, un des plus grands musées aérospatiaux sur cette Terre. Donc, encore une fois, vive la France – et… Désolé.

Il est intéressant de noter qu’un dessin de 1863 d’un navire volant piloté hypothétique par de La Landelle inspire au moins en partie la conception de l’Albatros, un navire volant à propulsion électrique trouvé dans Robur le conquérant. Croiriez-vous que l’intrigue de ce roman de science-fiction publié par Verne en 1886 inclut un vol entre Québec, Québec et Ottawa, via Montréal, Québec, qui dure 3 heures et demie? Sa vitesse moyenne d’environ 115 kilomètres / heure (70 milles / heure) est à peine plus élevée que celle des voitures, motos, camions et autocars circulant sur la route en 2018 – lorsqu’il n’y a pas de travaux de construction, et ceci n’est certes pas une blague, comme nous le savons tous les deux.

Vous serez peut-être heureuse / heureux d’entendre (lire?), ou pas, votre choix, que Ponton d’Amécourt invente le mot hélicoptère en 1861-62. De La Landelle, quant à lui, invente le mot aviation en 1863. Or donc, encore une fois, vive… Désolé. Désolé.

C’est tout. Pour le moment.

Mots-clés
Jules Verne Terre Lune film movie Earth Moon
Auteur(s)
Profile picture for user rfortier
Rénald Fortier

D’autres histoires par

Profile picture for user rfortier
Rénald Fortier
Ingenium - Musées des…
Thomas Kerrison Bellis, en d’autres termes le Roi de la tortue. Anon., « Good Stories for All – Turtle King of England is a Powerful Ruler. » The Boston Daily Globe, 17 mars 1898. 8.

Saccager la nature et se constituer une fortune en satisfaisant les envies d’une élite égoïste; Ou, Comment une industrie dominée par T.K. Bellis Turtle Company Limited de Londres, Angleterre, a presque anéanti une véritable merveille de la mer, partie 1

Le Mikoyan-Gourevitch MiG-15 de la Wojska Lotnicze piloté par le second lieutenant Franciszek Jarecki, aérodrome de Rønne, Rønne, Danemark. Jarecki est le gentilhomme marqué par une flèche. Anon., « Undamaged Red Jet in NATO Hands. » The Gazette, 7 mars 1953, 2.

Un vol pour la liberté qui a percé le rideau de fer; ou, Le jour où le second lieutenant Franciszek Jarecki s’est échappé de Pologne à bord d’un chasseur à réaction Mikoyan-Gourevitch MiG-15

Quatre des personnages principaux de ce qui peut bien être la première série télévisée de SF au Canada, Space Command de Canadian Broadcasting Corporation. Anon., « Space Command Is Not Run-Of-Mill ‘Opera.’ » The Ottawa Citizen, 26 décembre 1953, 14.

« Défiant les étoiles elles-mêmes » : Un regard infinitésimal sur ce qui pourrait bien être la première série télévisée de science-fiction au Canada, Space Command de Canadian Broadcasting Corporation

Le prototype du Astro Kinetics Lift de Astro Kinetics Corporation, Houston, Texas. Anon., « Aircraft and Powerplants – Crane version of ‘flying saucer’ projected in U.S.A. » The Aeroplane and Commercial Aviation News, 7 mars 1963, 24.

« Regardez! Là-haut dans le ciel! C’est un oiseau! C’est un avion! C’est une soucoupe volante texane! » Astro Kinetics Corporation de Houston, Texas, et ses aéronefs à décollage et atterrissage verticaux à l’allure unique

 James Bertram Blackmon (à droite, bien sûr) parlant de sa fusée avec l’animateur de la très populaire émission quotidienne d’actualités et débats télévisés américaine Today, David Cunningham Garroway, New York, New York. Anon., « Jimmy on TV Show. » The Charlotte Observer, 1er décembre 1956, 2.

Un jeune prodige américain de l’aube de l’ère spatiale devenu professeur au Propulsion Research Center de la University of Alabama in Huntsville : James Bertram Blackmon, voici votre vie, partie 2

James Bertram « Jim / Jimmy » Blackmon et sa fusée faite-maison, Charlotte, Caroline du Nord, juillet 1956. Irwin Hersey, « Aid for basement rocketeers. » Astronautics, février 1958, 25.

Un jeune prodige américain de l’aube de l’ère spatiale devenu professeur au Propulsion Research Center de la University of Alabama in Huntsville : James Bertram Blackmon, voici votre vie, partie 1

Le Canadair Silver Star du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, Ottawa, Ontario, juin 2005. Cet aéronef est piloté par le Red Knight, ou chevalier rouge, le pilote de voltige solo de l’Aviation royale du Canada, en 1961-64. Alain Rioux, via Wikimedia.

Il a vraiment continué longtemps, longtemps, longtemps : Un bref aperçu de la carrière canadienne de l’avion d’entraînement à réaction Lockheed / Canadair Silver Star, partie 2

Le ministre de la Défense nationale du Canada, Brooke Claxton, à gauche, avec le premier avion d’entraînement à réaction Lockheed T-33 Silver Star fabriqué au Canada, Cartierville, Québec. Anon., « M. Claxton reçoit le premier réacté T-33 fabriqué ici. » La Patrie, 13 février 1953, 1.

Il a vraiment continué longtemps, longtemps, longtemps : Un bref aperçu de la carrière canadienne de l’avion d’entraînement à réaction Lockheed / Canadair Silver Star, partie 1

La trentaine de paysans mexicains qui participent au déblaiement de la météorite de Bacubirito, non loin de Bacubirito, Mexique, 1902. N. Rosst, « La grande météorite de ‘Bacubirito’ (Mexique). » La Nature, 14 février 1903, 173.

Une flamme dans le ciel du nord et une cendre de feu sidéral : La météorite de Bacubirito

Un dispositif de dégivrage de piste de Woolery Machine Company en action à l’aéroport de Cologne-Wahn, Cologne, Allemagne de l’Ouest. Anon., « Ancillary Review – Flame-throwing – On Ice. » The Aeroplane and Commercial Aviation News, 28 février 1963, 29.

Allez, PB, allume mon feu. Essaie de mett’ la glace en feu : Un coup d’œil sur la firme américaine Woolery Machine Company et sur certaines de ses idées et produits

Un promoteur de la Sure Food, le chimiste alimentaire James Pearson (à droite), dans les installations de Wentworth Canning Company Limited de Hamilton, Ontario. Anon., « La viande, synthétique, produit canadien, pourrait sauver de la famine les peuples affamés d’Europe. » Photo-Journal, 5 février 1948, 3.

« Cela sent la viande. Cela ressemble même à de la viande. » L’histoire oubliée depuis longtemps d’une viande synthétique / viande d’imitation / viande artificielle / succédané de viande / substitut de viande / simili-viande parfois appelée Sure Food

L’avion de brousse Junkers Ju 52 immatriculé CF-ARM de Canadian Airways Limited de Montréal, Québec, lac Manouane, Québec, août ou septembre 1940. MAEC, 13469.

Les vieux avions de brousse ne meurent jamais, ils ne font que s’effacer doucement : Quelques lignes, d’accord, plusieurs lignes sur la remarquable carrière d’un « cargo volant / wagon volant » Junkers Ju 52 nommé CF-ARM, partie 3

L’avion de brousse Junkers Ju 52 immatriculé CF-ARM de Canadian Airways Limited de Montréal, Québec, en réparation, Arviat, Nunavut (Eskimo Point, Territoires du Nord-Ouest), septembre 1932. MAEC, 1208.

Les vieux avions de brousse ne meurent jamais, ils ne font que s’effacer doucement : Quelques lignes, d’accord, plusieurs lignes sur la remarquable carrière d’un « cargo volant / wagon volant » Junkers Ju 52 nommé CF-ARM, partie 2

L’avion de brousse Junkers Ju 52 immatriculé CF-ARM de Canadian Airways Limited de Montréal, Québec. Anon., « Pionnier des transports lourds dans le nord du Canada, le ‘Cargo volant’ a fini sa carrière. » Photo-Journal, 29 janvier 1948, 2.

Les vieux avions de brousse ne meurent jamais, ils ne font que s’effacer doucement : Quelques lignes, d’accord, plusieurs lignes sur la remarquable carrière d’un « cargo volant / wagon volant » Junkers Ju 52 nommé CF-ARM, partie 1

Le sergent Bob Electro de l’Aviation royale du Canada (ARC) pris en flagrant délit de salut au commandant de la Base de l’ARC de Clinton, le colonel d’aviation John Gordon Mathieson, Clinton, Ontario. Anon., « Six-Year-Old Sergeant. » The North Bay Nugget, 7 janvier 1963, 15.

Dōmo arigatō, gunsō Electro, mata au hi made : Les aventures électroniques du sergent Bob Electro de l’Aviation royale du Canada et des Forces armées canadiennes

Une pièce d’équipement fort appropriée vue la saison, enfin, la saison qui affecte la partie nord de l’hémisphère nord de la planète Terre, la souffleuse à neige domestique de Autocanner Enregistré de Montréal, Québec. Anon., « –. » Montréal-Matin, 9 janvier 1948, 6.

« Qu’il neige! Qu’il neige! Qu’il neige! » La souffleuse à neige domestique Blo-All de Autocanner Enregistré de Montréal, Québec

Le simulateur d’impact en vol de 10 pouces du Conseil national de recherches du Canada à un moment donné de sa longue carrière, Uplands / Ottawa, Ontario. CNRC.

Une grande réussite canadienne que vous devriez connaître : Un bref coup d’œil sur les simulateurs d’impact en vol du Conseil national de recherches du Canada remis au Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, partie 3

Le simulateur d’impact en vol de 3.75 / 3.5 pouces du Conseil national de recherches du Canada à un moment donné de sa longue carrière, Uplands / Ottawa, Ontario. CNRC.

Une grande réussite canadienne que vous devriez connaître : Un bref coup d’œil sur les simulateurs d’impact en vol du Conseil national de recherches du Canada remis au Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, partie 2

Le simulateur d’impact en vol de 10 pouces du Conseil national de recherches du Canada à un moment donné de sa longue carrière, Uplands / Ottawa, Ontario. CNRC.

Une grande réussite canadienne que vous devriez connaître : Un bref coup d’œil sur les simulateurs d’impact en vol du Conseil national de recherches du Canada remis au Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, partie 1

Une grenouille-taureau typique sauvage et libre. John J. Brice, éditeur, A Manual of Fish-Culture: Based on the Methods of the United States Commission of Fish and Fisheries, with Chapters on the Cultivation of Oysters and Frogs (Washington : Government Printing Office, 1897), 258.

« La grenouille est-elle gibier ou poisson? Là est le chiendent. » Un bref coup d’œil sur l’histoire de la raniculture au Canada et au Québec, partie 4

Une publicité typique de Giant Frog & Sea Food Limited de Montréal, Québec. Anon., « Giant Frog & Sea Food Limited. » La Patrie, 18 octobre 1952, 53.

« La grenouille est-elle gibier ou poisson? Là est le chiendent. » Un bref coup d’œil sur l’histoire de la raniculture au Canada et au Québec, partie 3

Trois des innombrables grenouilles-taureaux trouvées dans la grenouillère de Harold Lee, Casitas Springs, Californie. Anon., « Nature – Frog Farm.” » Pix, 6 janvier 1951, 30.

“La grenouille est-elle gibier ou poisson? Là est le chiendent. » Un bref coup d’œil sur l’histoire de la raniculture au Canada et au Québec, partie 2

Une publicité typique de Canadian Frog’s Industries Company de Montréal, Québec. Anon., « Canadian Frog’s Industries Company. » La Patrie, 16 novembre 1952, 86.

« La grenouille est-elle gibier ou poisson? Là est le chiendent. » Un bref coup d’œil sur l’histoire de la raniculture au Canada et au Québec, partie 1

Un dessin éditorial qui reflète la réaction de nombreux Américains suite au lancement de Spoutnik 2. Une traduction du titre du dessin pourrait être Notre propre disgrâce non-volante. John Milt Morris, « Our own non-fly doghouse. » The Nome Nugget, 8 novembre 1957, 2.

Les trois jours du Spoutnik; ou, « Radio-Moscou admet que le chien tournant autour de la terre dans le satellite ne reviendra jamais » : Laïka, Spoutnik 2 et la presse quotidienne du Québec, partie 3

Une réplique de Spoutnik 2, Tsentral’nyy Dom Aviatsii i Kosmonavtiki DOSAAF Rossíi, Moscou, avril 2021. Krasnyy via Wikipédia.

Les trois jours du Spoutnik; ou, « Radio-Moscou admet que le chien tournant autour de la terre dans le satellite ne reviendra jamais » : Laïka, Spoutnik 2 et la presse quotidienne du Québec, partie 2

Le premier portrait official de Laïka à être diffusé par les autorités soviétiques. Cette photographie est initialement publiée dans le quotidien moscovite Pravda. Anon., « More Sputnik Dogs Due Before Humans Go Up. » The Evening Star, 13 novembre 1957, 6.

Les trois jours du Spoutnik; ou, « Radio-Moscou admet que le chien tournant autour de la terre dans le satellite ne reviendra jamais » : Laïka, Spoutnik 2 et la presse quotidienne du Québec, partie 1

Le biplan (monoplace?) conçu par Canadian Aircraft Works (Incorporated? Limited? Registered?) de Montréal / Coteau Rouge, Québec, janvier 1915. Gustave Pollien peut se trouver aux commandes. MAEC, 1134.

Un terrifique trio actif aux débuts de l’aviation au Québec : Ernest Anctil, Gustave Pollien et Percival Hall Reid, partie 3

Le biplan fabriqué par Gustave Pollien (à gauche) et Ernest Anctil, Cartierville, Québec. Anon., « L’aviation chez nous – Un jeune aviateur canadien-français, Ernest Anctil, vole avec succès sur un biplan construit au pays. » La Presse, 27 septembre 1912, 1.

Un terrifique trio actif aux débuts de l’aviation au Québec : Ernest Anctil, Gustave Pollien et Percival Hall Reid, partie 2

Le biplan fabriqué par Ernest Anctil (à gauche dans la photographie du bas) et Gustave Pollien, Cartierville, Québec. Anon., « The first Montreal-made biplane. » The Standard, 5 octobre 1912, 4.

Un terrifique trio actif aux débuts de l’aviation au Québec : Ernest Anctil, Gustave Pollien et Percival Hall Reid, partie 1

Louis Victor Jules Vierne (3ème à partir de la gauche), compositeur et organiste de la cathédrale Notre-Dame de Paris au clavier de l’orgue électronique Coupleux Givelet, station de radio Poste Parisien, Paris, France. Anon., « L’orgue des ondes du ‘Poste parisien’ est inauguré. » Le Petit Parisien, 27 octobre 1932, 1.

La mélodieuse épopée de deux pionniers français de la musique électronique qui méritent d’être mieux connus : Joseph Armand Marie Givelet et Édouard Éloy Coupleux

 Vue d’artiste du satellite canadien Alouette en orbite au-dessus du Canada. Office national du film, Photo-reportage 288 – Le Canada, nouveau visiteur de l’espace, NFB62-5961.

Alouette, gentille alouette, Alouette, je te lancerai; Ou, Comment la Guerre froide propulse le Canada dans l’espace par le biais du satellite Alouette, partie 3

La fusée Thor-Agena qui place le satellite canadien Alouette en orbite, Vandenberg Air Force Base, Californie. Anon., « Alouette’ Working Perfectly – First Canadian Satellite in Orbit. » The Montreal Star, 29 septembre 1962, 1.

Alouette, gentille alouette, Alouette, je te lancerai; Ou, Comment la Guerre froide propulse le Canada dans l’espace par le biais du satellite Alouette, partie 2

Deux des ingénieurs qui font du satellite Alouette un succès : Colin A. Franklin (à gauche) et John N. Barry, Ottawa, Ontario. Anon., « Many ‘Firsts’ for Canadian Satellite – Alouette Sports New Space Advances. » The Montreal Star, 22 septembre 1962, 43.

Alouette, gentille alouette, Alouette, je te lancerai; Ou, Comment la Guerre froide propulse le Canada dans l’espace par le biais du satellite Alouette, partie 1

Vue approximative de la zone dans laquelle l’éclipse solaire du 31 août 1932 peut être observée dans sa totalité (image principale), ou pas (colonne de droite). Anon. « Mighty Workings of Tomorrow’s Eclipse. » Sherbrooke Daily Record, 30 août 1932, 1.

« Nous prions tous pour une journée sans nuages : » L’éclipse solaire du 31 août 1932 au Québec, partie 3

Certains des chercheurs britanniques éminents en route vers le Canada dans le but d’observer l’éclipse solaire totale du 31 août 1932. Anon., « Le ciel québécois et les astronomes. » La Presse, 29 juillet 1932, 9.

« Nous prions tous pour une journée sans nuages : » L’éclipse solaire du 31 août 1932 au Québec, partie 2

L’éclipse solaire du 31 août 1932 telle qu’on peut l’observer dans sa totalité, à partir d’une route de campagne du Maine. Anon., « Souvenir d’éclipse. » La Presse – Magazine illustré, 24 septembre 1932, 9.

« Nous prions tous pour une journée sans nuages : » L’éclipse solaire du 31 août 1932 au Québec, partie 1

Le réservoir Manicouagan, également connu sous le nom d’œil du Québec, photographié depuis l’espace par le satellite Sentinel 2-A du programme Copernicus de l’Agence spatiale européenne, janvier 2017. https://scihub.copernicus.eu/ via Wikimedia.

Sic itur ad astra : Quelques observations sur la stellaire carrière de l’astronome canadien Carlyle Smith Beals, partie 2

Carlyle Smith Beals, astronome fédéral. Raymond Taillefer, « Tant qu’il y aura des étoiles - L’observatoire fédéral assure au Canada un brillant rôle scientifique. » Le Droit, 2 août 1947, 1.A.

Sic itur ad astra : Quelques observations sur la stellaire carrière de l’astronome canadien Carlyle Smith Beals, partie 1

Le prototype de l’avion de brousse canadien de Havilland Canada DHC-2 Beaver en montre au Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, Ottawa, Ontario. MAEC, deHavilland DHC-2 Beaver-005

Bonne fête Beaver, bonne fête Beaver, bonne fête, bonne fête, bonne fête Beaver : Un trop bref coup d’œil sur une icône canadienne, l’avion de brousse de Havilland Canada DHC-2 Beaver, partie 2

Le prototype de l’avion de brousse canadien de Havilland Canada DHC-2 Beaver le jour de son premier vol, Downsview, Ontario, août 1947. MAEC, KM-08317

Bonne fête Beaver, bonne fête Beaver, bonne fête, bonne fête, bonne fête Beaver : Un trop bref coup d’œil sur une icône canadienne, l’avion de brousse de Havilland Canada DHC-2 Beaver, partie 1

Le Shell By-Plane X 100 Astroterramare du professeur Septimus Urge (extrême droite), Pleasure Gardens du Festival of Britain, Battersea Park, Londres, Angleterre. Anon., « New British Jet Unique, but Not Matchless. » Aviation Week, 18 août 1952, 44.

Des machines de Heath Robinson / Rube Goldberg que Heath Robinson et « Rube » Goldberg eux-mêmes auraient approuvées; Ou, Le monde merveilleux de Frederick Rowland Emett et ses choses

Rachel Marie-Louise Clément, née Guillot, en train se saler des fromages camembert Madame Clément produits par Laiterie R.A. Clément (Enregistrée? Incorporée? Limitée?), McMasterville ou Beloeil, Québec. Anon., « Fromages du Québec. » Photo-Journal, 28 août 1952, 33.

« Si j’avais cent vies, je recommencerais l’aventure du camembert : » Le délicieuse saga québécoise de la famille Clément et de ses fromages

Vue d’artiste du dirigeable conçu par le modeleur, ouvrier, sculpteur ou tailleur de pierre québécois Louis N. Filion. Anon., « Le secret de la direction des ballons est-il réellement détenu par un Canadien-français? » La Patrie, 26 juillet 1902, 19.

En 1902, le secret de la direction des ballons dirigeables est-il détenu par le Québécois Louis N. Filion? C’est à moi de le savoir et à vous de le découvrir

Une publicité typique de Bamboo Cycle Company Limited de Londres, Angleterre. Anon., « Bamboo Cycle Company Limited. » The Graphic, 31 juillet 1897, 179.

« En cas de doute mon conseil est Acheter une Bamboo : » Quelques pages sur Bamboo Cycle Company Limited de Londres, Angleterre

Un tir d’essai américain d’une fusée à courte portée sol-sol non guidée Douglas M31 Honest John. Anon., « Engins et missiles ». Aviation Magazine, 1 juin 1959, 155.

Elle n’a peut-être pas changé l’histoire mais aurait certainement changé la géographie : Un bref mais effrayant coup d’œil sur les fusées à courte portée sol-sol non guidées Douglas M31 et M50 / MGR-1 Honest John, partie 2

Une équipe de l’Artillerie royale canadienne de l’Armée canadienne s’entraînant sur une fusée à courte portée sol-sol non guidée Douglas M31 Honest John de la United States Army, Fort Sill, Oklahoma. Anon., « Rocket Training. » Sherbrooke Daily Record, 13 juillet 1957, 1.

Elle n’a peut-être pas changé l’histoire mais aurait certainement changé la géographie : Un bref mais effrayant coup d’œil sur les fusées à courte portée sol-sol non guidées Douglas M31 et M50 / MGR-1 Honest John, partie 1

Une publicité de Frisco Soda Water Company de Montréal, Québec, pour la bière Salvador brassée par Reinhardt ‘Salvador’ Brewery Limited de Toronto, Ontario. Anon., « Frisco Soda Water Company. » The Montreal Daily Star, 5 juillet 1912, 5.

Un conte de deux Reinhardt; ou, Un bref aperçu de deux brasseries canadiennes disparues et oubliées depuis longtemps

Kenneth Albert Arnold, au centre, avec deux autres pilotes qui affirment avoir vu des objets volants non identifiés, soit Emil J. Smith, à gauche, et Ralph Stevens. Anon., « Pilotes qui virent des soucoupes volantes. » Le Soleil, 8 juillet 1947, 1.

« Tout le monde a vu les soucoupes volantes, les journalistes exceptés : » Les premières observations d’objets volants non identifiés / phénomènes aériens non identifiés dans la province de Québec, 24 juin au 19 juillet 1947, partie 2

Kenneth Albert Arnold. Anon., « Boise Airman Positive He Didn’t See Ordinary Craft Reflections. » The Idaho Daily Statesman, 28 juin 1947, 9.

« Tout le monde a vu les soucoupes volantes, les journalistes exceptés : » Les premières observations d’objets volants non identifiés / phénomènes aériens non identifiés dans la province de Québec, 24 juin au 19 juillet 1947, partie 1

Une publicité typique de O-Pee-Chee Gum Company de London, Ontario. Anon., « O-Pee-Chee Gum Company. » The Aylmer Express, 6 juin 1912, 5.

« Mâche Mâche Mâche Mâche ta gomme à bulles: » Les sucrés de bons vieux temps de O-Pee-Chee Gum Company Limited de London, Ontario

Publicité concernant la Isetta fabriquée par Isetta of Great Britain Limited. Une fois traduit, le texte se lit : « Hé! ne touche pas à cette pièce de 10 cents! Je vais juste prouver que cette Isetta peut se garer dessus! » Anon., « City Motors Limited. » The Gazette, 21 novembre 1957, 2.

Un coup d’œil sous le capot d’un des symboles du miracle économique ouest-allemand des années 1950 ; ou, L’histoire multiforme et multinationale de la microvoiture Isetta, partie 2

Une BMW 250 ou 300 typique. Devon Francis, « What you get in the foreign economy cars. » Popular Science, juin 1957, 62.

Un coup d’œil sous le capot d’un des symboles du miracle économique ouest-allemand des années 1950 ; ou, L’histoire multiforme et multinationale de la microvoiture Isetta, partie 1

Un projecteur de planétarium Spitz au Planetario Municipal Agrimensor Germán Barbato, le premier planétarium d’Amérique du Sud, inauguré en 1955, Montevideo, Uruguay, février 2015. Fedaro via Wikimedia.

Béni soit celui qui apporte les merveilles du cosmos à la multitude : Armand Neustadter Spitz et ses projecteurs de planétarium, partie 2

Armand Neustadter Spitz. Hilaire Cuny, « Sciences et techniques – La plus gigantesque tentative de notre temps : La conquête de l’espace cosmique. » Combat, 15 mai 1957, 6.

Béni soit celui qui apporte les merveilles du cosmos à la multitude : Armand Neustadter Spitz et ses projecteurs de planétarium, partie 1

Une publicité typique de la firme William Hood & Company de Toronto, Ontario. Anon., « William Hood & Company. » The Canadian Grocer & General Storekeeper, 27 mai 1892, 9.

« Un nouveau gagnant commercial pour les épiciers et marchands généraux; » ou, Comment William Hood & Company de Toronto, Ontario, devient un prétexte pour s’attarder sur les mystères de… l’huile de ricin

Une publicité typique de Tillson Company Limited. Anon. « Tillson Company Limited. » The Canadian Grocer & General Storekeeper, 13 mai 1892, 19.

« Un aliment, pas une mode: » La vie et l’époque de Edwin Delevan Tillson de Tillsonburg, Ontario

Gertrude Dugal, la première Québécoise francophone ayant obtenu une licence de pilote – ou pas, Aéroport de Cartierville, Cartierville, Québec. Anon., « La seule diplômée. » La Patrie, Journal du dimanche, 18 mai 1947, 1.

« À travers les nuages, je vois voler mon ombre: » Quelques mots sur Gertrude Dugal, la première Québécoise francophone ayant obtenu une licence de pilote – à moins que ce ne soit quelqu’un d’autre

Une motomarine Vincent Amanda dans son élément, Ruislip, Angleterre, avril 1957. Anon., “Triss i bâtar.” Teknikens Värld med Flyg, 2 au 16 mai 1957, 8.

Bournemouth, Scarborough, ooh je veux vous emmener. Great Yarmouth, Lyme Regis, ami(e) lectrice, lecteur : La Vincent Amanda, l’ancêtre presque oubliée des motomarines d’aujourd’hui

Une vue en gros plan d’une pilule radio quelques instants avant que le premier patient volontaire ne l’avale. Anon., « Science – Radio Made to Swallow. » Life, 29 avril 1957, 74.

Prenez une de ces pilules et vos entrailles m’appelleront en matinée : La saga digestive de… la pilule radio

Dan Cooper, tel que dessiné par l’auteur de bande dessinée belge Albert Weinberg lors de sa visite à North Bay, Ontario, en mai-juin 1966. Anon., « Originator of RCAF cartoon hero visits defence bases at North Bay. » The North Bay Nugget, 3 juin 1966, 1.

Un prolifique auteur de bande dessinée belge qui mérite d’être mieux connu : Le père de Dan Cooper, héros canadien, Albert Weinberg (1922-2011), partie 2

Albert Weinberg au cours d’une de ses nombreuses visites en sol canadien. Anon., « Dan Cooper c’est Buzz Beurling. » La Presse, 31 mars 1975, A3.

Un prolifique auteur de bande dessinée belge qui mérite d’être mieux connu : Le père de Dan Cooper, héros canadien, Albert Weinberg (1922-2011), partie 1

Un avion de chasse FFVS J 22 typique de l’armée de l’air suédoise, ou Flygvapnet, Bunge, Suède, vers 1948-49. Flygvapenmuseum, FVMF.002142.

On m’a demandé quelques fois quel était mon avion préféré. Eh bien, voici l’un de mes favoris de tous les temps : l’avion de chasse suédois FFVS J 22, partie 2

Un avion de chasse FFVS J 22 typique de l’armée de l’air suédoise, ou Flygvapnet. Harald Jacobson, « Ett flygplan – en flygepok. » Looping, avril 1952, 12.

On m’a demandé quelques fois quel était mon avion préféré. Eh bien, voici l’un de mes favoris de tous les temps : l’avion de chasse suédois FFVS J 22, partie 1

 Une publicité pour des produits, en l’occurrence du hareng et de la sardine, mis en conserve par Connors Brothers Limited de Black’s Harbour, Nouveau-Brunswick. Anon., « Connors Brothers Limited ». Le Prix courant, 29 mars 1912, 20.

D’un appât à homard et engrais pour pommes de terre à de l’argent d’eau salée : L’humble sardine et Connors Brothers Limited de Black’s Harbour, Nouveau-Brunswick

Une Volvo P1800 comparable à celle que conduit Simon Templar, dit le Saint, un personnage joué à la télévision par Roger George Moore, Volvo Museum, Göteborg, Suède, 2008. Jarle Vines via Wikimedia.

Une sainte automobile du pays de « Fifi » Brindacier et Lisbeth Salander : La grande routière / voiture sport suédoise Volvo P1800, partie 2

Une grande routière / voiture de sport Volvo P1800 typique Anon., « La plus belle auto. » La Patrie du Dimanche, 25 mars 1962, 11.

Une sainte automobile du pays de « Fifi » Brindacier et Lisbeth Salander : La grande routière / voiture sport suédoise Volvo P1800, partie 1

Le député sortant de la circonscription électorale de Limoux, France, le sénateur Henri Charles Étienne Dujardin-Beaumetz. Joseph Uzanne. Figures contemporaines. (10ème édition) (Paris: Librairie Henri Floury, 1906), non paginé.

« Mon cher Védrines, c’est une panne de scrutin : » Charles Toussaint « Jules » Védrines et l’élection législative partielle de Limoux, France, de mars 1912, Partie 2

Caricature du sénateur Henri Charles Étienne Dujardin-Beaumetz se payant la tête de « Jules » Védrines, le candidat défait lors de l’élection législative partielle de Limoux, France, de mars 1912. Anon., « La course Limoux-Palais-Bourbon. » Le Rire, 30 mars 1912, non paginé.

« Mon cher Védrines, c’est une panne de scrutin : » Charles Toussaint « Jules » Védrines et l’élection législative partielle de Limoux, France, de mars 1912, Partie 1

Le laboratoire sur roues Lincoln Continental 1950X / Ford X-100. Anon., « La Ford de l’avenir. » Photo-Journal, 28 février 1952, 8.

La voiture de demain telle qu’on l’imaginait il y a 70 ans : Le laboratoire sur roues Lincoln Continental 1950X / Ford X-100

Edward T. Faulkner et son Curtiss JN-4 Canuck, Honeoye Falls, New York, 1962. Musée de l’aviation et de l’espace du Canada 2985.

Il décolle à 100 kilomètres/heure, vole à 100 kilomètres/heure et atterrit à 100 kilomètres/heure, plus ou moins : La saga du Curtiss JN-4 Canuck

Une publicité de David Brown (Canada) Limited de Toronto, Ontario, montrant des tracteurs offerts par une firme sœur / frère britannique, David Brown Tractors Limited. Anon., « David Brown (Canada) Limited ». Le Bulletin des agriculteurs, février 1962, 75.

« Voulez-vous conduire mon tracteur? Allons donc charger du foin. » Un très bref aperçu de l’histoire de la firme britannique David Brown Tractors Limited

Tomanowos, mieux connue sous le nom de météorite Willamette, American Museum of Natural History, New York, New York. Anon., « Ça et là, par l’image. » Le Samedi, 22 février 1947, 8.

Tomanowos, une visiteuse du ciel ou de la Lune : Un coup d’œil sur de la plus grosse météorite nord-américaine connue aujourd’hui

Vera Elsie Strodl portant le blouson de vol en cuir qu’elle porte pendant la Seconde Guerre mondiale. Glennis Zilm, « Only Canadian honored – Long love of flying brings award to aviatrix. » The Gazette, 1er février 1972, 8.

Dieu aurait pu être son copilote, Ou, La carrière remarquable d’une pilote remarquable, Vera Elsie Strodl

John D’Alton Woodlock avec un de ses fils, Peter Woodlock, devant le téléviseur familial, Iberville, Québec, été 1949. Arthur Prévost, « Dix ans avant CBFT – À Iberville, on a la TV depuis 14 ans!... » Le Petit Journal, 14 janvier 1962, A-49.

Mais malheureusement, comme tant de grands esprits, le pionnier québécois de la télévision John D’Alton Woodlock est parti trop tôt – et vite oublié

Une publicité de la Société auxiliaire agricole de Paris, France, montrant un tracteur agricole Pavesi P4 ou Agrophile-Pavesi en action. Anon., « Société auxiliaire agricole, » L’Agriculture nouvelle, 14 janvier 1922, 4.

Il était une fois un tracteur acrobate : La belle bien que partiellement militaire histoire du tracteur agricole Pavesi P4 et la carrière de Ugo Pavesi

Deux des grands avions de chasse de la Première Guerre mondiale : un SPAD S.VII du Royal Flying Corps ou de l’Aéronautique militaire et un Albatros D.III du Luftstreitkräfte. Anon., « A Dog Fight. » Canadian Aviation, janvier 1932, 12.

L’histoire des photographies les plus extraordinaires jamais prises de combats aériens pendant la Première guerre mondiale, Ou, Le long et le court de la collection Cockburn-Lange

Une vue d’ensemble d’un des premiers réseaux téléphoniques au Canada, Montréal, Québec, 1878. Anon., « Le premier téléphone qui ait jamais été installé à Montréal. » La Presse, 27 janvier 1912, 5.

Ils sont parmi les premiers à tendre la main et toucher quelqu’un : Un regard sur un des premiers réseaux téléphoniques au Canada

Le Canadair CL-44 loué par British Overseas Airways Corporation (BOAC), septembre 1963. Cet aéronef de Seaboard World Airlines Incorporated transporte 19 voitures de course du Royaume-Uni aux États-Unis lors de ce vol, son premier aux couleurs de BOAC. MAEC.

Un bon élan en mérite un autre : La saga de l’avion-cargo canadien Canadair CL-44, Partie 2

Une publicité de l’avionneur Canadair Limited de Cartierville, Québec, vantant les mérites de son hénaurme avion-cargo, le Canadair CL-44. Anon., « Canadair Limited. » La Presse, 23 janvier 1962, 29.

Un bon élan en mérite un autre : La saga de l’avion-cargo canadien Canadair CL-44, Partie 1

Publicité publiée par les magasins Zeller’s Limited de Calgary, Alberta, qui met en valeur le tracteur Reely Ride-’em produit par Reliable Toy Company Limited de Toronto, Ontario. Anon. « Zeller’s Limited. » The Calgary Herald, 11 décembre 1961, 32.

Jouets, glorieux jouets, on voudrait bien jouer : Quelques pages sur Reliable Toy Company Limited de Toronto, Ontario

Un hydravion à flotteurs utilitaire de Havilland Canada DHC-3 Otter exploité par Northway Aviation Limited de St. Andrews, Manitoba, lac Fishing, Manitoba, septembre 2005. Mark Swaffer via Wikimédia.

Le camion volant d’une tonne du Canada : le de Havilland Canada DHC-3 Otter

Une publicité de Moline Plow Company montrant un Moline Universal Tractor en action. Anon. « Moline Plow Company. » L’Agriculture nouvelle, 10 décembre 1921, 707.

Un véhicule très réussi et, oserais-je le taper, un gougeur de pente de l’industrie des tracteurs agricoles : le Moline Universal Tractor

L’avion de ligne à réaction Douglas DC-8 de Canadian Pacific Airlines Limited de Vancouver, Colombie-Britannique, connu sous le nom de Empress of Montreal. Anon., « Empress of Montreal DC-8 First CPA Jet Visitor. » The Gazette, 6 décembre 1961, 17.

Un article dont je suis réticent à divulguer la phrase-choc si tôt dans le jeu : Ou, Un DC racé utilisé par CP

L’avion-cargo Fairchild C-119 Flying Boxcar de la United States Air Force emprunté par Iron Ore Company of Canada Incorporated en 1951. Anon., « Fret aérien – L’opération Ungava – Le fret aérien accélère l’application d’un projet. » Interavia, décembre 1951, 672.

« Dans l’intérêt de la sécurité nationale » : Le rôle joué par un avion-cargo Fairchild C-119 Flying Boxcar de la United States Air Force dans le développement des gisements de minerai de fer de la région du lac Knob

Le Vertol Modèle 42 de Skyrotors Limited de Arnprior, Ontario, nolisé par Spartan Air Services Limited de Ottawa, Ontario, dans le cadre de l’Opération High Tower. Anon., « Operation High Tower. » The Ottawa Citizen, 8 novembre 1961, 3.

Votre mission, si toutefois vous l’acceptez, est de déplacer des trucs : Spartan Air Services Limited de Ottawa, Ontario, la station radiophonique CFRA de Ottawa et l’Opération High Tower

Une des deux sculptures grandeur nature en alliage d’aluminium de grues blanches créées par Wolfram F. Niessen pour le Regina Municipal Airport, Regina, Saskatchewan. Anon., « Regina Honors the Whooping Crane. » The Ottawa Citizen, Weekend Magazine, 18 novembre 1961, 38.

Parlons d’art, humaines et humains. Tous les humains. Plus fort maintenant. Aidez-moi. – Wolfram F. Niessen, John Cullen Nugent et les sculptures grandeur nature en alliage d’aluminium de grues blanches créées pour le Regina Municipal Airport

Joseph Alphonse Ouimet. Anon., « Le pionnier de la télévision préférait la radio à une bicyclette neuve. » La Patrie, 5 novembre 1961, 26.

« Le pionnier de la télévision préférait la radio à une bicyclette neuve : » Un survol de la carrière de Joseph Alphonse Ouimet, un père fondateur de la télévision canadienne

Une publicité publiée par La traction et le matériel agraires Société anonyme pour le tracteur de jardin américain Beeman Junior. Anon., « La traction et le matériel agraires Société anonyme. » L’Agriculture nouvelle, 12 novembre 1921, 664.

« Les arpents verts, les champs, les bois, les chemins creux, c’est fait pour moi : » La firme américaine Beeman Garden Tractor Company et le tracteur de jardin / motoculteur Beeman Junior ou Modèle G

Une ascension de l’aéronaute et parachutiste foraine Florida Lanthier. Maurice Desjardins, « Dans une modeste maison de Montréal-Nord – Florida Lanthier, reine des parachutistes, vit de couture... et de souvenirs. » Photo-Journal, 8 novembre 1951, 3.

Ombres et lumière dans le ciel du Québec : Un premier regard sur la vie et l’époque de l’aéronaute et parachutiste foraine féminine québécoise Florida Lanthier

L’irradiateur mobile de démonstration monté par Énergie atomique du Canada Limitée. Anon., « Boon to Canadian potato industry. » Saskatoon Star-Phoenix, 21 octobre 1961, 6.

Une patate chaude, deux patates chaudes, trois patates chaudes, quatre : Énergie atomique du Canada Limitée de Chalk River, Ontario, et les premiers jours de l’irradiation des aliments au Canada

Une automobile légère et économique Mathis VL333. Fernand de Laborderie, « Le 33e Salon de l’automobile. » La Nature, 15 octobre 1946, 331.

Une vision d’avenir pour une firme à bout de souffle : L’automobile légère et économique française Mathis VL333

Un Bristol Bolingbroke de reconnaissance côtière destiné à l’Aviation royale du Canada en cours de montage dans l’usine de Fairchild Aircraft Limited, Longueuil, Québec, 1941. Anon., « Les C.F. et la R.C.A.F. » Le Samedi, 18 octobre 1941, (c).

« Nous devons obtenir du matériel aérien et veiller sur nos côtes » – L’Aviation royale du Canada et l’avion de reconnaissance côtière Bristol Bolingbroke

 Le prototype du de Havilland Canada DHC-6 Twin Otter en montre au Musée de l’aviation du Canada, Ottawa, vers 2001. MAEC.

De pôle en pôle et d’horizon en horizon, le Twin Otter était, est et sera là : Une bien brève pontification sur un des meilleurs aéronefs canadiens jamais conçus

Le Royal Aircraft Factory B.E.2 en montre au Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, Ottawa, Ontario, février 2009. Wikipédia.

Le cas étrange et déconcertant des aéroplanes substitués; ou, Même en utilisant les Mathématiques modernes, 4112 n’égale jamais 5878 : La haute histoire du Royal Aircraft Factory B.E.2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, partie 2

Le Royal Aircraft Factory B.E.2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada alors qu’il appartient au Musée canadien de la guerre, Ottawa, Ontario. H.J. (« Titch ») Jenkins, « Correspondence – Ottawa’s – and Sowrey’s – B.E.2c. » Flight, 12 octobre 1961, 600.

Le cas étrange et déconcertant des aéroplanes substitués; ou, Même en utilisant les Mathématiques modernes, 4112 n’égale jamais 5878 : La haute histoire du Royal Aircraft Factory B.E.2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, partie 1

Isidore Joseph Amédée Marsan. Anon., « Isidore Joseph Amédée Marsan. » Le Bulletin des agriculteurs, 17 septembre 1921, couverture.

Un des pionniers de la science agricole au Québec et au Canada: Isidore Joseph Amédée Marsan

Une annonce publicitaire de St. Lawrence Starch Company Limited, Port Credit, Ontario. Anon., « Publicité – St. Lawrence Starch Company Limited. » Le Bulletin des agriculteurs, septembre 1941, 61.

Gratis, magnifiques cartes portant des dessins ou photographies d’aéronefs alliés! Collectionnez-les toutes!

Une automobile Aluminium français-Grégoire, Cité de l’automobile – Musée national – Collection Schlumpf, Mulhouse, France, mai 2010, Wikimédia.

Ent’ deux joints, il a ben fait quequ’chose : Jean Albert Grégoire et ses magnifiques automobiles, Partie 2

 Un exemplaire de l’automobile électrique française CGE-Tudor. C. Faroux, « Un progrès considérable de la voitures électrique. » La Vie automobile, 25 septembre 1941, 284.

Ent’ deux joints, il a ben fait quequ’chose : Jean Albert Grégoire et ses magnifiques automobiles, Partie 1

Le seul et unique exemplaire de l’avion de ligne à long rayon d’action italien Breda Zappata BZ 308. Jacques Gambu. « Breda Zappata BZ 308. » Aviation Magazine, 1er septembre 1951, 21.

Il Constellation italiano, une étoile méconnue du firmament aéronautique de l’Italie : L’avion de ligne à long rayon d’action Breda Zappata BZ 308

Paul Fjeld dans la demeure familiale, Rosemère, Québec. Claude-Lyse Gagnon, « Parti avec $200 en poche – Un jeune Québécois a pu voir décoller Apollo 15. » La Patrie, 15 août 1971, 12.

Espace, frontière de l’infini vers laquelle voyage notre planète, la Terre; voici l’histoire de vie de Paul Fjeld, passionné d’espace et artiste depuis plus d’un demi-siècle

Publicité pour la lager Frontenac Blue Label de National Breweries Limited de Montréal, Québec. Anon., « Publicité – National Breweries Limited. » Le Samedi, 23 août 1941, 12.

La grande victime de la guerre de la bière de Montréal de 1925 : Frontenac Breweries Limited de Montréal, Québec

Un véhicule tout-terrain Karou Karou. Anon., « Opération Camping à Saint-Hilaire. » Photo-Journal, 26 juillet au 1er août 1971, 47.

Tout-terrain, tout-temps, tout-plaisir : Karou Incorporée de Drummondville, Québec, et le véhicule tout-terrain Karou

Le premier exemplaire de production de l’avion d’entraînement avancé Avro Anson de fabrication canadienne équipé d’un fuselage en contreplaqué moulé, lieu inconnu, 1943. MAEC, 23290.

Tout le monde ne sait pas que la fabrication d’aéronefs peut être un sport de contact : Clarence Decatur Howe, Harvey Reginald MacMillan et la production d’avions d’entraînement avancé Avro Anson au Canada, Partie 2

Une paire d’avions d’entraînement avancé Avro Anson de fabrication canadienne utilisée par l’École de pilotage militaire no 10, Base de l’Aviation royale du Canada de Dauphin, près de Dauphin, Manitoba, 1943-44. MAEC, 27297.

Tout le monde ne sait pas que la fabrication d’aéronefs peut être un sport de contact : Clarence Decatur Howe, Harvey Reginald MacMillan et la production d’avions d’entraînement avancé Avro Anson au Canada, Partie 1

Le tout premier tramway électrique exploité par Telegraphen-Bau-Anstalt von Siemens & Halske, Berlin, Empire allemand. Anon., « The first electric railway in Berlin. » Canadian Illustrated News, 9 juillet 1881, 21.

Un tramway nommé Straßenbahn Groß-Lichterfelde, ou, Comment Telegraphen-Bau-Anstalt von Siemens & Halske met en service le premier tramway électrique au monde

L’auteur et pionnier canadien de l’aviation Frank Henry Ellis (au centre) avec les pionniers américains de l’aviation Frank Purdy Lahm (à gauche) et Will D. « Billy » Parker, président de Early Birds of Aviation Incorporated, Los Angeles, Californie. Robert Francis, « Early Birds ». Sunday Sun Magazine, 28 juillet 1951, 5.

Si nous avons vu plus loin, c’est en montant sur les épaules d’un géant : Frank Henry Ellis et Canada’s Flying Heritage

Publicité montrant un tracteur italien SAME Buffalo. Anon., « Publicité – Les Entreprises Biasotto & Hardy (Canada) Incorporée. » Le Bulletin des agriculteurs, juillet 1981, 26.

Ils étaient tous pareils, frères l’un de l’autre : Francesco Cassani, Eugenio Gabriele Cassani et la Società Accomandita Motori Endotermici (SAME)

Un Canadair North Star de British Overseas Airways Corporation, London Airport, Heathrow, Angleterre, septembre 1954. Wikimédia.

Le tour du monde en 80 heures : Quelques pages sur le Canadair North Star, partie 2

Le prototype du Canada North Star, 1946. Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, KM-08329

Le tour du monde en 80 heures : Quelques pages sur le Canadair North Star, partie 1

Une annonce publicitaire pour une faucheuse fabriquée par La Machine Agricole Nationale Limitée de Montmagny, Québec. Anon., « Publicité – La Machine Agricole Nationale Limitée. » Le Bulletin des agriculteurs, 11 juin 1921, 556.

Faites que personne n’oublie que, pendant un moment bref et éclatant, il y a eu La Machine Agricole Nationale Limitée de Montmagny, Québec

La civière Folland / Hawker Siddeley Hoverstretcher en action. Anon., « Airborne comfort. » The Calgary Herald, 9 juin 1961, 19.

Développer le germe d’une idée: Maurice Joseph Brennan et ses aéroglisseurs

Des mères et enfants prêtes à monter à bord d’un des avions de ligne Douglas DC-3 convertis en Nurseryliner par United Air Lines Incorporated, San Francisco, Californie, avril ou mai 1946. Anon., « Service aérien pour bébés. » Photo-Journal, 20 juin 1946, 12.

Asseyez-vous, détendez-vous et profitez du voyage – Des bébés dans l’avion : United Air Lines Incorporated et son service Nurseryliner

L’ingénieur et astronome amateur canadien James Hargreaves avec un instrument qu’il a fabriqué lui-même. Jean Taillefer, « Un voyage de 180 jours au Soudan, en Afrique; une expérience astronomique de 180 secondes. » Le Droit, 16 juin 1951, 13.

« Un savant d’Ottawa fait un sacrifice pour la science: » L’ingénieur et astronome amateur canadien James Hargreaves et ses voyages autour du globe

Le prototype de l’avion de brousse Fairchild F-11 Husky peu avant son premier vol, juin 1946, Musée de l’aviation et de l’espace du Canada KM-05311.

Chien-chien, tu es doué, très doué, mais tant que le rongeur sera dans le métier, tu ne seras jamais que le second : La brève mais longue histoire de l’avion de brousse Fairchild F-11 Husky

Un dessin écorché de l’avion de brousse canadien Fleet Modèle 50 Freighter. Anon., « Fleet’s Trainer and Transport. » Aviation, mai 1941, 61.

Il aurait pu (et dû?) être un des grands : L’avion de brousse canadien Fleet Modèle 50 Freighter

Wilfrid-Henri Perron. Claude Asselin, « Une encyclopédie québécoise pour les horticulteurs. » Photo-Journal, 3 au 9 mai 1971, 12.

Chez Perron, tout est bon : Un géant de l’horticulture québécoise et canadienne, Wilfrid-Henri Perron (1897-1977)

Le cyclecar / vélomobile / vélocar / automouche à pédales et / ou moteur auxiliaire Le Dauphin. Edmond Massip, « Un cyclecar à pédales et moteur auxiliaire. » La Vie automobile, 25 mai 1941, 153.

Le cyclecar / vélomobile / vélocar / automouche à pédales et / ou moteur auxiliaire Le Dauphin : Une solution (extrême?) à la pénurie de carburant à Paris au cours de l’occupation allemande pendant la Seconde Guerre mondiale

L’autogire Pitcairn PCA-2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada lors de sa grande tournée aux États-Unis, alors qu’il appartient à Sealed Power Corporation. Anon. « Pohled na Ciervovu autogiro za letu. » Letectvi, novembre 1932, 310.

« ’Moulin à vent volant’ ici mercredi » : Le grand périple de Donald Walker et du Pitcairn PCA-2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, partie 2

L’autogire Pitcairn PCA-2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada au moment où il appartenait à Standard Oil Company of New York. Anon., « Publicité – Standard Oil Company of New York. » Aviation, mai 1931, 22.

« ‘Moulin à vent volant’ ici mercredi » : Le grand périple de Donald Walker et du Pitcairn PCA-2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, partie 1

Une annonce publicitaire sobre et sans fioriture d’Elzéar Fortier Limitée de Québec, Québec. Anon., « Publicité – Elzéar Fortier Limitée. » L’Action catholique, 8 avril 1946, 9.

C’était un malin: Elzéar Fortier et la production de boissons gazeuses à Québec, Québec

Youri Alekseïevitch Gagarine et Charles Augustus Lindbergh. La légende de ces photographies mentionne la ressemblance frappante entre ces personnes importantes du monde de l’astronautique et de l’aéronautique. Anon., « Lancement du premier homme dans l’espace – Comment se sont déroulés les événements en Union soviétique. » La Tribune, 13 avril 1961, 24.

C’était aussi un petit pas pour un homme, un pas de géant pour l’humanité : Le vol dans l’espace de Youri Alekseïevitch Gagarine dans la presse francophone québécoise, 12-15 avril 1961, partie 2

Le major Youri Alekseïevitch Gagarine au cours de sa visite à Helsinki, Finlande, juillet 1961. Wikimédia.

C’était aussi un petit pas pour un homme, un pas de géant pour l’humanité : Le vol dans l’espace de Youri Alekseïevitch Gagarine dans la presse francophone québécoise, 12-15 avril 1961, partie 1

Claire Wallace, animatrice de radio de Canadian Broadcasting Corporation interviewant Diana Jocelyn Dudley, ingénieure en aménagement intérieur de Trans-Canada Air Lines, janvier 1946. Anon. « Air Transportation – Radio Broadcast over Niagara. » Canadian Transportation, avril 1946, 200.

Pas un endroit pour une dame?! Baliverne! : Diana Jocelyn Dudley et Janet Elizabeth Lowe, les premiers ingénieurs en aménagement intérieur des Lignes aériennes Trans-Canada

Peter Müller aux commandes [sic] du Pedroplan, Berlin, Allemagne, mars 1931. Anon., « Cologne contre Marseille – Le mystère du ‘Pédroplan.’ [sic] » Les Ailes, 2 avril 1931, 14.

Je veux faire voler ma bicyclette, je veux faire voler mon cerf-volant : Peter Müller et le Pedroplan

L’aéroglisseur Phillips Saucercraft, Mount Hope, Ontario. Anon., « Flying saucer crack-up. » The Calgary Herald, 2 mars 1961, 1.

Un ONVI (Objet non volant identifié) des plus intrigants : L’aéroglisseur Phillips Saucercraft

La Dre Ann Elizabeth Noelle Grace s’occupant d’un de ses patients, Montreal General Hospital, Montréal, Québec. Claude Adams, « An eye-opener for our reporter – Team of women doctors shatters Ben Casey myth. » The Gazette, 3 mars 1971, 31.

Briser le mythe de Ben Casey et James Kildare : La première femme chirurgien pédiatrique du Canada, la Dre Ann Elizabeth Noelle Grace

Une publicité de Langlais & Frère Incorporée de Québec, Québec, vantant les mérites du tracteur Zetor 25. Anon. « Publicité – Langlais & Frère Incorporée. » L’Action catholique, 3 mars 1951, 14.

De leurs épées, ils forgeront des socs de charrue; ou, Un bref regard sur la société d’état tchèque Zbrojovka Brno Národní Podnik

 Quelques personnalités présentes lors l’inauguration de l’École d’avionnerie de Cartierville, Cartierville, Québec, 3 mars 1941. Anon., « À l’inauguration de l’École d’avionnerie de Cartierville. » La Presse, 4 mars 1941, 19.

Une réalisation magnifique, pleine de promesses d’avenir, balayée par l’esprit étroit de Maurice Le Noblet Duplessis : L’École d’avionnerie de Cartierville

La présentation du premier Boeing Modèle 747 d’Air Canada à l’Aéroport international de Montréal-Dorval, Dorval, Québec. Anon., « Des milliers de personnes ont vu le géant des airs. » La Presse, 22 mars 1971, A 1.

66 327 personnes ne peuvent pas avoir tort, mais elles peuvent avoir froid : La présentation du premier Boeing Modèle 747 d’Air Canada à l’Aéroport international de Montréal-Dorval

 Le Fokker D.VII du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, mars 2019. MAEC.

Un des grands aéronefs de combat du 20ème siècle et un des nombreux joyaux d’un des plus remarquables musées de l’aviation et de l’espace de la planète Terre : Le Fokker D.VII et l’avion du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada

Une publicité de Équipements Ascot Incorporée de Saint-Élie-d’Orford, Québec, vantant les mérites du tracteur UTB U530. Anon. « Publicité – Équipements Ascot Incorporée. » Le Bulletin des agriculteurs, février 1981, 28.

De leurs ailes, ils forgeront des socs de charrue; ou, Un bref regard sur la société d’état roumaine Uzina Tractorul Braşov

Un dessin éditorial mettant en lumière le lancement de la sonde planétaire soviétique Venera 1 en février 1961. Edmund Alexander Sebestyen, « To Venus With Love. » Saskatoon Star-Phoenix, 14 février 1961, 4.

Essayer de lever les voiles sous lesquels Vénus se cachait de notre regard : La saga de la sonde planétaire soviétique Venera 1

Un Jacobs Jaycopter au repos, Edmonton, Alberta. Lyn Harrington, « Cutting helicopter training cost. » Canadian Aviation, février 1961, 20.

Un simulateur d’hélicoptère avec une différence : il vole – Le Jacobs Jaycopter canadien

Dessin éditorial montrant le roi Neptune offrant sa couronne à l’équipage du English Electric Canberra qui traverse l’Océan Atlantique en février 1951. Charles R. Knight, « Ready to Abdicate. » The Windsor Daily Star, 22 février 1951, 4.

Quelques milliers de mots sur le English Electric Canberra / Martin B-57 Canberra et le petit rôle joué par Canadair Limited dans son histoire

Le premier exemplaire de série de l’hélicoptère Piasecki HUP Retriever. Anon., « News Picture Highlights. » Aviation Week, 15 janvier 1951, 9.

« Shoe, » Retriever, « Hupmobile » ou Army Mule – un HUP sous tout autre nom est encore un HUP : Les hélicoptères Piasecki HUP Retriever et H-25 Army Mule, et le HUP du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada

Une vue du barrage de Warsak, nord du Pakistan occidental. Anon., « Inauguration du barrage de Warsak. » Le Droit, 27 janvier 1961, 12.

Franchement, ma chère / mon cher, nous avons donné un barrage : Le Canada et le barrage de Warsak au Pakistan

Un des premiers de Havilland Canada Chipmunk importés au Royaume-Uni. Anon., « De Havilland [Canada] DHC-1 ‘Chipmunk.’ » Aviation Magazine, 1er janvier 1951, couverture.

Un Tamias striatus gambadant dans les nuages : Le de Havilland Canada Chipmunk

Le 5ème de Havilland Canada AC-1 Caribou de présérie. Larry Booda, “Aeronautical Engineering – Aviation Week Pilot Report – STOL Caribou Calls for Special Handling.” Aviation Week and Space Technology, 23 janvier 1961, 56.

Un camion volant qui a donné de la mobilité aux soldats de l’ère atomique : Le de Havilland Canada Caribou

La voiture lunaire Oberth telle qu’imaginée en 1960. I.M. Levitt, « Le problème du transport sur la Lune. » L’Action catholique, 10 juillet 1960, 5.

Je ne suis tout simplement pas sûr que ce véhicule a été bien pensé : La voiture lunaire du pionnier de l’astronautique Hermann Julius Oberth

La Ferrari 512 Pininfarina Modulo, en montre lors de l’édition 1971 du Salon international de l’Auto de Montréal, Montréal, Québec. Jean D. Legault, « Une première mondiale et 12 continentales. » La Patrie, 17 janvier 1971, 31.

Une des automobiles de rêve les plus célèbres de tous les temps : La Ferrari 512 Pininfarina Modulo

Publicité pour le moins sobre pour la bière d’épinette La Canadienne de F.A. Fluet Enregistré. Anon., « Publicité – F.A. Fluet Enregistré. » L’Action catholique, 4 janvier 1951, 5.

Une petite bière qui n’était pas de la petite bière : F.A. Fluet Enregistré de Québec, Québec, et la bière d’épinette La Canadienne

Une scène croquée lors du lancement du Jeu de l’électricité par Éditions Héritage Incorporée, Montréal, Québec, 6 novembre 1968. Anon., « –. » Le Devoir, 6 novembre 1968, 11.

A B C Abécédaire. Viens avec nous autour de la Terre : L’émission de télévision éducative pour enfants Tour de Terre de la Société Radio-Canada

Une publicité vantant les mérites du Vin St.Georges. Anon. « Publicité – T.G. Bright & Company Limited. » Le Bulletin des agriculteurs, décembre 1940, 2.

Pour régaler la famille pendant les Fêtes, n’oubliez pas le Vin St.Georges : Un bref regard sur un pionnier de l’industrie vinicole canadienne, T.G. Bright & Company Limited

Le Bell Modèle 47 utilisé par Airspray Limited, Ontario. Anon., “Helicopter – Down on the Farm.” Canadian Aviation, septembre 1947, 25.

Dans la ferme de Mathurin, hiya hiya ho. Il y a des centaines de Bell, hiya hiya ho : Quelques mots de plus sur les premiers jours de l’aviation agricole au Canada

Une publicité annonçant la mise en service de l’avion de ligne court et moyen-courriers Vickers Vanguard des Lignes aériennes Trans-Canada. Anon., « Publicité – Trans-Canada Air Lines. » Maclean’s, 3 décembre 1960, 8-9.

Du « gros Viscount » au Merchantman : Le voyage abrégé du Vickers Vanguard

Le Convair 580 utilisé par le Centre canadien de télédétection de Ressources naturelles Canada, Aéroport international MacDonald-Cartier d’Ottawa, Ottawa, Ontario, septembre 2001. Wikipédia.

C’était un des grands : L’aéronef de télédétection Convair 580 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada

Un aéronef agricole Air Tractor AT-502 utilisé par Southeastern Aerial Crop Service Incorporated, Belle Glade State Municipal Airport, Floride, juin 2013. Wikipédia.

Des ailes au-dessus du monde : Le turbopropulseur et turbomoteur PT6, Partie 2

Le premier turbopropulseur conçu au Canada, le PT6 de Canadian Pratt & Whitney Aircraft Company Limited. Anon., « Publicité – Canadian Pratt & Whitney Aircraft Company Limited. » The Gazette, 14 novembre 1960, 24.

Des ailes au-dessus du monde : Le turbopropulseur et turbomoteur PT6, Partie 1

Les 14 volumes de l’édition 1960 de L’Encyclopédie de la jeunesse de Grolier Limitée. Anon., « Publicité - Grolier Limitée. » La Tribune - Perspectives, 12 novembre 1960, 31.

Un livre de connaissance : L’Encyclopédie de la Jeunesse

Roxana Hartley et M. Jolie / lord Robert Brummel, les principaux protagonistes de la pièce américaine de 1930 Dancing Partner, Belasco Theatre, New York, New York. Anon., « The Stage Goes ‘Air-minded’. » Scientific American, novembre 1930, 355.

Une pièce dans un avion, et un avion dans une pièce : Dancing Partner, 1930

Le Supermarine Spitfire exposé pour le 20ème anniversaire de la bataille d’Angleterre, Colline du Parlement, Ottawa, Ontario, 18 septembre 1940. Anon., « News roundup – Battle of Britain Ceremonies. » Aircraft, novembre 1960, 58.

Un cadeau pour le ciel : Le Supermarine Spitfire Mk IIb du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada

Certains des montages du Musée national de l’air, Aéroport de Uplands, Ottawa, Ontario, début des années 1960. MAEC, numéro de négatif 4446.

Bonne fête à nous. Bonne fête à nous. Bonne fête cher MAEC. Bonne fête à nous : Quelques mots sur les premiers jours, semaines, mois et années du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada

Une reproduction (grandeur nature?) un tant soit peu inexacte de Spoutnik I en montre à Prague, Tchécoslovaquie, dans le cadre d’une exposition commémorant le 40ème anniversaire de la Grande révolution socialiste d’octobre. Anon., « Modèle du satellite russe. » Le Nouvelliste, 10 octobre 1957, 1.

Le Québec / Canada et le satellite le plus simple, le vaisseau spatial PS-1, autrement dit Spoutnik I : Un survol de ce qui se publie dans la presse québécoise francophone entre les 5 et 12 octobre 1957, Partie 4

Pierre Dorion, « L’ère des émotions. » La Presse, 9 octobre 1957, 4.

Le Québec / Canada et le satellite le plus simple, le vaisseau spatial PS-1, autrement dit Spoutnik I : Un survol de ce qui se publie dans la presse québécoise francophone entre les 5 et 12 octobre 1957, Partie 3

Le satellite le plus simple ou vaisseau spatial PS-1, autrement dit Spoutnik I, un peu avant son lancement, septembre 1957. NASA.

Le Québec / Canada et le satellite le plus simple, le vaisseau spatial PS-1, autrement dit Spoutnik I : Un survol de ce qui se publie dans la presse québécoise francophone entre les 5 et 12 octobre 1957, partie 2

Un dessin un tant soit peu inexact du vaisseau spatial PS-1, autrement dit Spoutnik I, en orbite autour de la Terre. Anon., « Fusées et satellites seraient invincibles. » Le Soleil, 8 octobre 1957, 1.

Le Québec / Canada et le satellite le plus simple, le vaisseau spatial PS-1, autrement dit Spoutnik I : Un survol de ce qui se publie dans la presse québécoise francophone entre les 5 et 12 octobre 1957, Partie 1

Eldon Douglas McEarchern travaillant sur son Piper PA-18 Super Cub agricole sous le regard d’un de ses fils, Carman, Manitoba. Anon., « Les fermiers volants de l’ouest canadien ». Le Samedi, 22 octobre 1960, 25.

Oh, quel matin magnifique! Oh, quelle journée magnifique! : Un aperçu de la première décennie du mouvement des fermiers volants au Canada

 Une des batteuses remorquées conçues et fabriquées par Dion & Frère Incorporée de Sainte-Thérèse-de-Blainville, Québec. Anon., « Publicité – Dion & Frère Incorporée. » Le Bulletin des agriculteurs, septembre 1940, 47.

Un siècle de technologie et d’innovation agricoles dans la région québécoise des Laurentides : De Dion & Frère à Dion-AG

Jani Moreau, agente de bord, telle qu’imaginée par l’artiste Nicole Lapointe. Anon., « Un nouvel illustré : Jani hôtesse de l’air. » Claire, 15 septembre 1960, couverture.

Elle n’est pas une serveuse dans le ciel : Jani hôtesse de l’air et quelques mots sur la présence des agentes de bord dans la culture populaire

Une furieuse Clara déchiquetant le biplan Curtiss piloté par George F. Russell, Dongan Hills, New York, 10 septembre 1910. Anon., "La vache et l’aéroplane". Le Petit Journal - Supplément illustrée, 25 septembre 1910, 312.

Une rencontre rapprochée de type étrange et inhabituel, ou, Comment Clara la vache a rencontré un biplan Curtiss à Staten Island, New York, New York

Le premier avion de ligne Douglas DC-3 livré aux Lignes aériennes Trans-Canada, Aéroport de Montréal (Dorval), Dorval, Québec, vers 1945-48. MAEC, numéro de négatif 25515

Un rutilant exemplaire d’un des aéronefs les plus célèbres et importants du 20ème siècle : Le Douglas DC-3 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada

Le premier avion léger /privé Fleet Modèle 80 Canuck, Fort Erie, Ontario, mars 1946. Cet aéronef appartient à Sturgeon Air Services Limited de Fredericton, Nouveau-Brunswick. MAEC, négatif numéro KM-07962

Enseigner à voler car il a des ailes : L’avion léger / privé canadien Fleet Modèle 80 Canuck

Un Zenair CH-701 fabriqué sous licence par Czech Aircraft Works Společnost s ručenim omezeným, Oshkosh, Wisconsin, juillet 2011. Wikimédia.

Née dans un garage, mais maintenant le monde entier est un marché pour Zenair Limited : Un coup d’œil sur les concepts de l’ère de la Guerre froide de Christophe Jean Heintz, partie 2

Christophe Jean Heintz aux commandes du Heintz Zenith. Anon., « –. » Aviation magazine international, 15 au 31 août 1970, couverture.

Née dans un garage, mais maintenant le monde entier est un marché pour Zenair Limited : Un coup d’œil sur les concepts de l’ère de la Guerre froide de Christophe Jean Heintz, partie 1

Le satellite-ballon Echo 1A au cours d’un essai de gonflement, 1960. National Aeronautics and Space Administration.

Les merveilleux ballons en plomb de Claude Williams Coffee, Junior, Walter Edward Bressette et William J. O’Sullivan : Les satellites-ballons Echo au Québec et ailleurs, Partie 2

Le satellite-ballon Echo 1A filant dans le ciel, au-dessus de l’École normale de Chicoutimi, Chicoutimi, Québec. Dominique Lapointe, « Une visite qui nous est devenue familière – L’Écho 1 continue à se promener tous les soirs sur notre région. » Le Progrès du Saguenay, 27 août 1960, 7.

Les merveilleux ballons en plomb de Claude Williams Coffee, Junior, Walter Edward Bressette et William J. O’Sullivan : Les satellites-ballons Echo au Québec et ailleurs, Partie 1

Un des Found FBA-2 de Georgian Bay Airways Limited. H.L. « Des US et du Canada 2 formules d’avions légers – 1 Le Found ‘Flying Truck.’ » Aviation magazine international, 1er juillet 1964, 39.

Un petit camion volant ontarien déménagé au pays des kiwis : L’avion de brousse Found FBA-2

Le seul et unique Cushioncraft CC1, initialement connu sous le nom de Britten-Norman BN-1 Cushioncraft / CC1 Cushioncraft. Anon., "News Digest - New Cushion-rider." Aviation canadienne, août 1960, 46.

À l’époque, ça semblait être une bonne idée : Les bananes du Cameroun britannique et l’aéroglisseur Cushioncraft CC1

Le seul et unique Canadian Car & Foundry CBY-3 Loadmaster. MAEC, numéro de négatif 17826.

Les huit vies d’un wagon de marchandises volant unique, le Canadian Car & Foundry CBY-3 Loadmaster

La fusée atomique / nucléaire pulsée imaginée par l’illustrateur américain bien connu Francis Xavier Theban Tinsley. Anon., « Publicité – American Bosch Arma Corporation. » Aviation Week, 4 juillet 1960, 13.

Un méchant souffle du passé : Francis Xavier Theban Tinsley et la fusée atomique / nucléaire pulsée

Walter Thomas Leavens examinant les coupes qui entraînent l’agitateur monté à l’intérieur de la trémie de l’avion léger / privé Piper J-5 Cub Cruiser utilisé par Leavens Brothers Air Services Limited. Anon., « Crop Dusting with a Cub. » Canadian Aviation, juillet 1945, 50.

Désherbez-les et récoltez : Leavens Brothers Air Services Limited et les premiers jours de l’aviation agricole en Ontario / au Canada après la Seconde Guerre mondiale

L’Aviateur du Pacifique.

Un roman d’anticipation et de guerre de la Belle Époque : L’Aviateur du Pacifique du capitaine Danrit (Émile Driant)

Le planeur à réaction Fouga CM.8 Cyclone / Sylphe. Anon., “–.” Aviation Magazine, 1er juin 1950, couverture.

J’aime les nuages… les nuages qui passent… là-bas… là-bas… les merveilleux nuages! Les Établissements Fouga et Compagnie et ses planeurs à réaction

La voiturette Sharp / Bond Minicar Mk A présentée à la population de Montréal, Québec, par le concessionnaire Budd & Dyer Limited. Anon., « Jusqu’à 110 milles au gallon. » La Presse, 10 juin 1950, 26.

Une voiturette conçue à une époque d’austérité : La Bond Minicar

Un hydroplaneur Koser / Koser-Hrovat KB-3 Jadran, mer Adriatique, été 1949. En arrière-plan, le navire à passagères et passagers côtier Dalmacija de la firme maritime d’état Jadranska Linijska Providba. Anon., « Gliding and sailplanes in Yugoslavia. » Sailplane and Glider, juin 1950, 125.

Au-dessus des étangs, au-dessus des vallées : L’hydroplaneur Koser / Koser-Hrovat KB-3 Jadran

Le tsar Nikolaï II, à gauche, les mains derrière le dos, regardant les aéroplanes qui ont participé à la Sankt-Peterburgskaya aviatsionnaya nedelya, Saint-Pétersbourg, Empire russe. Anon., « Nouvelles sportives – Le tsar chez les aviateurs. » La Revue aérienne, 10 juin 1910, 349.

Miracle des miracles, regardez ce que l’avion a ramené : La Sankt-Peterburgskaya aviatsionnaya nedelya

Le Danois Jan Bo Kristensen effectuant un atterrissage de précision avec un parachute-voile lors d’une compétition nationale organisée par la Dansk Faldskærms Union, Randers, Danemark, août 2005. Wikipédia.

L’imagination est le plus haut cerf-volant que l’on puisse faire voler : La vie et l’époque d’un maître du vent, Domina Cléophas Jalbert, Partie 2

Domina Cléophas Jalbert, à gauche, et Hamnett Pitzer Munger avec un des ballons cerfs-volants fabriqués par Jalbert Aerological Laboratory Incorporated pour étudier la pollution atmosphérique. Anon., « Ce que devient un jouet d’enfant. » La Presse, 23 mai 1950, 3.

L’imagination est le plus haut cerf-volant que l’on puisse faire voler : La vie et l’époque d’un maître du vent, Domina Cléophas Jalbert, Partie 1

Deux des jeunes employés de Ontario Model Aircraft Company au travail, Toronto, Ontario. Arthur Lowe, « Kindergarten of the Air. » Maclean’s, 1er mai 1940, 24.

Une maternelle pour l’ère de l’aviation : Ontario Model Aircraft Company / Model Craft Hobbies Limited et quelques autres mots sur l’aéromodélisme au Canada avant et pendant la Seconde Guerre mondiale

Le seul et unique Monte-Copter Modèle 15 Triphibian, Seattle, Washington. Anon., « World Air News. » Air Pictorial, mai 1960, 167.

Le jour des triphibes : Monte-Copter Incorporated et l’hélicoptère Modèle 15 Triphibian

Le petit chéri de Vladislav Verner, le Verner W-01 Brouček. Anon., « Private Flying. » Flight International, 14 mai 1970, 806.

Malé letadlo a skvěly příběh / Un petit avion et une grande histoire : L’avion de construction amateur Verner W-01 Brouček

La caisse contenant le Blériot Type XI de Jean Versailles sur le camion hippomobile spécialement équipé de Shedden Forwarding Company Limited, Montréal, Québec. Anon., « Le premier aéroplane à Montréal. » La Presse, 28 mai 1910, 12.

Montréal a son premier aéroplane : Le Blériot Type XI de Jean Versailles et William Carruthers

Personnel au sol chargeant des approvisionnements dans la soute à bombes d'un Avro Lancaster du 514e escadron de la Royal Air Force au cours de l'opération Manna, le largage de nourriture à la population néerlandaise affamée.

Il leur donna le pain du ciel à manger : Quelques mots sur l'opération Manna et l'opération Chowdown, avril-mai 1945

Un garçon et des éléments d’un jouet exposé à l’édition de 1950 de la foire des jouets de New York, New York : Stefan Olsen et la chambre à nuages du Gilbert Atomic Energy Lab. Anon., “Initiation atomique.” Photo-Journal, 13 avril 1950, 20.

Un des jouets les plus dangereux de tous les temps : Le Gilbert Atomic Energy Lab

Un des Aeronautica Macchi AL-60 utilisés au Canada par Northwest Industries Limited pour intéresser des clients potentiels, Edmonton, Alberta. Anon., « Aeronews. » Air Progress, juillet 1969, 15.

Un L-402 sous tout autre nom est encore un L-402 – ou un AL-60 ou un Conestoga ou un Ranger ou un Santa Maria ou un Trojan, à moins qu’il ne soit un Kudu, Partie 2

Le premier prototype du Lockheed L-402. Anon., « Le Lockheed-Azcarate C.L.-402. » Les Ailes, 16 avril 1960, 1.

Un L-402 sous tout autre nom est encore un L-402 – ou un AL-60 ou un Conestoga ou un Ranger ou un Santa Maria ou un Trojan, à moins qu’il ne soit un Kudu, Partie 1

Une des publicités publiées dans des quotidiens québécois pour promouvoir la nouvelle automobile Glas Goggomobil T700. Anon., « Publicité - Eugène Roy Limitée. » La Presse, 1er avril 1960, 39.

À la recherche de… la Glas Isar / Isard T700, une automobile précédemment connue sous le nom de Goggomobil T700

Le traîneau aérien conçu et fabriqué par Kenneth J. Richards. Anon., « Traîneau moderne. » L’Auto, 9 février 1940, 1.

La semaine mystérieuse magique attend pour vous emporter, ou, Est-ce que quelqu’un dans la blogosphère sait quoi que ce soit sur le traîneau aérien Richards ou le traîneau aérien Lawrence?

De gauche à droite, Boum-Boum, Ba-Ba et Bi-Bi, en d’autres mots les Lunours. Anon., “Toute la vérité sur la soucoupe de St-Bruno –Un coup monté de $100,000.” Photo-Journal, 23 février au 1er mars 1970, 1.

Nous sommes Bi-Bi Ba-Ba Boum-Boum: La saga des Lunours

Un exemplaire du turboréacteur suédois STAL Skuten en montre, sous bonne garde, à Stockholm, Suède. Anon., « Production – First Swedish Turbojet Revealed. » Aviation Week, 27 mars 1950, 36.

Un conte de deux moteurs, ou quatre, ou même six : Les STAL Skuten, Dovern et Glan

Frances Marian « Poppy » Northcutt dans une des expositions sur l’espace du Palais de la Découverte, un centre des sciences à Paris, France, pas au Texas. Anon., « Astronautique – ‘Poppy’ à Paris. » Aviation Magazine International, 15 au 31 mars 1970, 42.

Ses parents trouvent qu’elle fait un métier passionnant, mais ils aimeraient qu’elle se marie : Frances Marian « Poppy » Northcutt à la NASA et au-delà

Turi Widerøe parlant avec une agente de bord dans un avion de ligne à réaction Sud Aviation SE 210 Caravelle de Scandinavian Airlines System Denmark-Norway-Sweden. J.-C Fortin. « SAS ne compte qu’une seule femme pilote de ligne : Turi Wideroe. » Le Petit Journal, 1er mars 1970, 28.

Turi Widerøe est passée en coup de vent à Montréal l’autre jour

Quelques aspects de la quatrième exposition d’automobiles et de bateaux de Montréal. Anon., « Ouverture de l’exposition d’automobiles et de yachts. » La Presse, 28 mars 1910, 1.

Une semaine au Coliseum : L’exposition d’automobiles et de bateaux de Montréal de 1910 et les premiers aéroplanes en exposition au Québec / Canada

La docteure Margaret Beznak avec un de ses sujets de recherche. Elizabeth Motherwell, « Elle succède à son mari à la tête de la faculté de physiologie de l’U. d’Ottawa. » La Tribune, 3 février 1960, 17.

Un exemple stellaire de la contribution faite par les gens qui choisissent le Canada : Quelques mots sur la vie et l’époque de la docteure Margaret Beznak

Les sœurs Maria Cleofas et Maria Innocenza des Sœurs franciscaines de Saint-Louis de Gonzague à bord d’un avion léger / privé AVIA / Lombardi FL.3 au cours de leur formation de pilote, Turin, Italie. Anon., « Le ciel leur appartient. » Le Soleil / Perspectives, 20 février 1960, 12.

Sœur Bertrille n’est pas la première sœur volante, ou, Parlons des sœurs Maria Cleofas et Maria Innocenza – et de sœur Mary Aquinas aussi

Le Bellanca CH-300 Pacemaker du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada à Ottawa, Ontario, vers 2007. Wikipédia.

Si loin de chez lui : Le Bellanca CH-300 Pacemaker du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, Partie 2

Un Bellanca CH-300 Pacemaker utilisé par Alaska Coastal Airlines, Incorporated, Juneau, Alaska. Cet hydravion à flotteurs est maintenant exposé au Musée de l’aviation et de l’espace du Canada à Ottawa, Ontario. Keith Petrich, “Bush Flying Is Dead.” Air Trails Pictorial, février 1945, 26.

Si loin de chez lui : Le Bellanca CH-300 Pacemaker du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, Partie 1

Une voiturette New-Map / Rolux Baby typique. Anon., « La voiturette ‘Baby VB-60’ à Québec au milieu de février. » L’Action catholique, 14 janvier 1950, 12.

La voiture qui est plus économique que le tramway : La voiturette New-Map / Rolux Baby

Charles Aznavour avec le véhicule tout-terrain Beehoo / Magna Amphicat qu’il examine, Montréal, Québec. Sa fille Seda est près de lui. Suzanne Piuze, « Aznavour m’a dit… » La Patrie, 25 janvier 1970, 20.

J’aimerais en posséder une; son mon bateau, ce serait épatant : Le voyage hors route du Beehoo / Magna Amphicat

L’habitat lunaire imaginé par Rocco G. « Roy » Scarfo. Anon., « C’est écrit dans le ciel. » La Patrie du dimanche, 24 janvier 1960, 6.

Il était un des grands : Rocco G. « Roy » Scarfo, peintre de l’espace, et le monde au-delà de demain

Démonstration de la légèreté du turboréacteur Williams Jet No.1. Anon., « 23-lb Turbojet Develops 70 lb. Of Thrust. » Aviation Week and Space Technology, 18 janvier 1960, 126.

Ce moteur est peut-être un peu lourd mais son sourire demeure toujours : Le Williams Jet No. 1 et ses successeurs

L’avion de ligne General Development / Christmas, près de New York, New York. Anon., “Potężny łoskot silników powietrznych gigantów powitał rok nowy.” Lot Polski, janvier 1930, 1.

Le puissant rugissement des moteurs des géants des airs saluent la nouvelle année : La troublante saga de William Wallace Whitney Christmas

Quelques actrices et acteurs ayant contribué au succès de la série télévisée de science-fiction québécoise Opération-Mystère, 1958. De gauche à droite, Luce Guilbeault, Marcel Cabay, Georges Groulx, Louise Marleau et Hervé Brousseau. Société Radio-Canada.

Opération-Mystère, une série télévisée qui répond aux goûts de la génération des spoutniks et des soucoupes volantes

Le pont en aluminium d’Arvida, Arvida / Saguenay, Québec. Anon., « Premier pont tout en aluminium. » Le Petit Journal, 4 décembre 1949, 51.

Sur le pont d’Arvida, un site historique national de génie civil, on y danse, on y danse

Le Piaggio P-7 au repos dans son élément. Joaquin de la Llave y Sierra, « Antes y después de la Copa Schneider. » Aérea, décembre 1929, 8.

Si vous ne réussissez pas du premier coup, essayez, essayez, essayez, essayez, essayez encore : L’étrange histoire du Piaggio P-7

Une affiche du film de science-fiction japonais Uchû Daisensô

Uchû Daisensô, ou, Une bataille dans l’espace extra-atmosphérique en provenance du pays du Soleil levant

La toute première automobile / voiturette Zar Zar-Car, Windsor, Ontario. Arthur Prévost, « La première auto entièrement canadienne bientôt en vente! » Le Petit Journal, 25 octobre 1959, 67.

À la recherche d’une voiture canadienne : La Zar de toutes les Windsor

L’astrophysicienne soviétique Alla Genrikhovna Masevitch et sa fille, Natasha Josifovna Friedlander. Sam Schecter, “Deux Canadiens en Russie – Rencontres avec l’élite russe.” Le Soleil / Perspectives, 26 septembre 1959, 11.

Son nom est Masevitch, Alla Genrikhovna Masevitch

L’ornithoptère University of Toronto Institute for Aerospace Studies Great Flapper au cours d’essais, Malton, Ontario, 2005. http://www/ornithopter.net

Voler, comme dans un rêve : La saga du Great Flapper

Beth Ross posant pour un photographe alors qu’elle nettoie le fragment principal de la chondrite de Dresden devant le bureau de The Dresden News. Anon., “Adding lustre to meteor that startled a province.” Toronto Daily Star, 13 juillet 1939, 1.

L’art de la négociation en Ontario rural; ou, La triste histoire de la chondrite de Dresden

L’ingénieur canadien Owen Eugene Maynard avec une maquette du véhicule lanceur Convair Atlas surmonté d’une capsule spatiale McDonnell Mercury, 1962. Roger Nadeau, « Une foule de techniciens canadiens ont pris part au vol d’Apollo 11. » Le Petit Journal, 20 juillet 1969, 4.

Le petit gars de Sarnia qui a mis le premier humain sur la Lune

Le premier Taylor J.T.1 Monoplane, White Waltham, Angleterre. Anon., « Sport and Business. » Flight, 19 juin 1959, 839.

Tinker, Taylor, monoplan

Trois des interprètes du téléroman Amour, délices et cie, avec son concepteur, Joseph Louis Réal Giguère, Montréal, Québec. François Piazza, « Sur les ailes de Télé-Métropole – Amour, délices et cie s’envole. » Photo-journal, du 18 au 25 juin 1969, 44.

Amour, délices et cie

Un prototype du traîneau aérien Kamov Sever-2 dans son élément. Anon., « ’Mail Train’ to North. » The Gazette, 26 mars 1959, 2.

Oh quel plaisir de faire une promenade dans un Kamov Sever-2

La voiture concept SIMCA Fulgur. Aux commandes se trouve la parachutiste et mannequin française Colette Duval. Anon., « Actualités. » La Patrie du dimanche, 1er mars 1959, 2.

Elle est fulgur, fulgur, fulgur, fulgurable

La montgolfière Spirit of Canada. Peter Calamai, “Lots of hot air and a high old time.” Canadian, 26 août 1967, 14.

Ce merveilleux fou volant et sa drôle de machine

La section de route surveillée par le radar de vitesse de la Connecticut State Police, près de Glastonbury, Connecticut. Anon., “L’actualité en images – Pièges à comboys.” La Patrie, 16 février 1949, 14.

Les pièges à cowboys ne datent pas d’hier

Cecil George Armitage aux commandes d’un Aérodoo, rivière Richelieu, Québec, novembre 1968. Anon., « Et maintenant… l’Aérodoo. » Vallée de la Petite Nation, 30 janvier 1969, 15.

Le candidat mancunien; ou, comment flotter près du sol avec la plus grande facilité

Quelques membres de la Ligue des avions miniatures de Montréal en train d’examiner le modèle réduit radiocommandé alors en construction. Christian Verdon, « Avion-miniature contrôlé par la radio. » La Patrie, 7 janvier 1939, 44.

Une ligue à eux: L’histoire longtemps oubliée de la Ligue des avions miniatures de Montréal

Une image du générique de CF-RCK.

Une série télévisée captivante : CF-RCK, Partie 2

Les principaux comédiens de la série télévisée CF-RCK de la Société Radio-Canada, Yves Létourneau (à droite) et René Caron. Anon., « Une scène de CF-RCK avec René Caron et Yves Létourneau. » La semaine à Radio-Canada, du 2 au 8 janvier 1960, couverture.

Une série télévisée captivante : CF-RCK, Partie 1

Le chargement de Voo-Doo, le Waco Hadrian utilisé lors du premier vol transatlantique par un planeur de transport, Aéroport de Montréal (Dorval), Dorval, Québec, juin 1943. Anon., “Flying into focus”. Flying Aces, octobre 1943, 7.

C’est magnifique. C’est splendide. C’est inutile.

L’animateur de l’émission de télévision hebdomadaire Plein Ciel à droite, et son conseiller technique, le capitaine Marcel Everard. Anon., “Introduction à l’aviation.” La semaine à Radio-Canada, 29 novembre au 5 décembre 1958, 12.

Une émission de télévision que j’aurais aimé voir dans ma jeunesse

Envol du ballon à hydrogène qui emporte vers le ciel l’antenne de l’émetteur radio d’urgence américain BC-778, mieux connu sous le nom de « Gibson Girl. » Anon., « Gibson Girl to the rescue. » Flying Aces, septembre 1943, 30.

L’imitation est la plus belle forme de flatterie

The very first Pentecost Hoppi-Copter. Anon., “Have you seen?” Flying, September 1945, 67.

Une idée venue d’une époque où le ciel est la limite, Partie 2

A l’arrière, le Rohrbach Ro VIII Roland d’Iberia, Compañía Aérea de Transportes Sociedad anónima utilisé pour le vol Madrid-Barcelone du 14 décembre 1927. Anon., “Inauguración del nuevo servicio aéreo Madrid-Barcelona.” Aérea, octobre-décembre 1927, 33.

Jamais le dimanche : La grande histoire d’un Roland ibérien, Partie 1

Articles connexes

Un dispositif de dégivrage de piste de Woolery Machine Company en action à l’aéroport de Cologne-Wahn, Cologne, Allemagne de l’Ouest. Anon., « Ancillary Review – Flame-throwing – On Ice. » The Aeroplane and Commercial Aviation News, 28 février 1963, 29.

Allez, PB, allume mon feu. Essaie de mett’ la glace en feu : Un coup d’œil sur la firme américaine Woolery Machine Company et sur certaines de ses idées et produits

Trois images côte à côte : des concombres emballés dans du plastique, une femme avec une épaule enflammée et le télescope spatial James Webb.

3 choses à savoir sur les concombres emballés dans du plastique, le télescope James Webb et les inflammations

Photo en noir et blanc d’une dizaine d’avions en construction, dans une grande usine. Deux ouvriers sont visibles en avant-plan.

Le Lancaster d’Avro : au-delà de la Seconde Guerre mondiale

Trois images, côte-à-côte, de gauche à droite: des oeufs dans une tablette d'épicerie, des rédifs de corrail depuis l'espace,  une carte du Canada divisé en section de différentes couleurs

Trois choses que vous devriez savoir sur la réfrigération des oeufs, les récifs de corail vus de l'espace, et les bassins hydrographiques

Une image épissée en trois parties présentant un gadget en plastique vert et rouge attaché à la queue d’une vache, une image composite montrant des centaines de météores et un gros plan d’une paire de lunettes reposant sur le dessus d’un livre ouvert.

Trois choses que vous devriez savoir sur les vaches « technologiques », les météores et la presbytie.

Divers formats audiovisuels, dont des films, des cassettes audio et différents types de cassettes vidéo, provenant du Fonds Les Harris, sont étalés sur une table.

Vue d'en haut : Immortaliser l’expérience du vol sur pellicule

Biplan de taille moyenne avec des ailes jaunes distinctives, photographié dehors depuis l’angle arrière droit.

Des toiles d’araignée à la toile Internet : découverte de photos d’époque des avions du Musée

Un petit prisme en métal et en verre repose à côté de sa vieille boîte de rangement brune sur un fond blanc. Une charte de couleur Kodak se trouve devant les artefacts.

Les fondements scientifiques de la conservation des artefacts : un prisme et sa boîte en cuir

Des personnes assises dans une pièce regardent des photos diffusées sur un grand écran.

Dans les coulisses : la gestion des contenus numériques à Ingenium

Une navette spatiale blanche et bleue quitte l'atmosphère terrestre et pointe vers le haut les mots "The IMAX experience"  [L'expérience IMAX]. Le fond de l'image est noir, le texte est blanc, et nous pouvons voir un océan bleu avec quelques nuages ​​blancs dans la Terre au bas de l'image.

L’impact d’une influenceuse d’IMAX sur le grand écran

Footer Ingenium

À propos Le réseau

Le réseau

Contactez-nous

Ingenium
C.P. 9724, succursale T
Ottawa (Ontario) K1G 5A3
Canada

613-991-3044
1-866-442-4416
contact@IngeniumCanada.org
  • Facebook
  • Instagram
  • Twitter
  • Le Réseau

    • Accueil du Réseau
    • À propos du Réseau
    • Nos partenaires
  • Visitez

    • Ressources en ligne pour la science chez soi
    • Musée de l'agriculture et de l'alimentation du Canada
    • Musée de l'aviation et de l'espace du Canada
    • Musée des sciences et de la technologie du Canada
    • Centre Ingenium
  • Ingenium

    • Accueil Ingenium
    • À propos d'Ingenium
    • La Fondation
  • Pour les médias

    • Salle des nouvelles
    • Prix

Connect with us

Abonnez-vous à notre bulletin de nouvelles afin de recevoir les dernières nouvelles d'Ingenium directement dans votre boîte de réception!

S'inscrire

Legal Bits

Ingenium Énoncé de confidentialité

© 2023 Ingenium

Symbole du Gouvernement du Canada
  • Explorer
    • Catégories
    • Types de médias
    • Tableaux
    • Articles vedettes
  • À propos
    • À propos du Réseau
    • Nos partenaires