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Le puissant rugissement des moteurs des géants des airs saluent la nouvelle année : La troublante saga de William Wallace Whitney Christmas

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2 janv. 2020
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Aviation
Médias
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Par : Rénald Fortier
Ingenium - Musées des sciences et de l’innovation du Canada
L’avion de ligne General Development / Christmas, près de New York, New York. Anon., “Potężny łoskot silników powietrznych gigantów powitał rok nowy.” Lot Polski, janvier 1930, 1.
L’avion de ligne General Development / Christmas, près de New York, New York. Anon., “Potężny łoskot silników powietrznych gigantów powitał rok nowy.” Lot Polski, janvier 1930, 1.

J’aimerais commencer ce numéro de notre blogue / bulletin / machin, le premier de l’année 2020, l’année finale de la décennie 2010, avec des vœux sincères de bonnes santé et fortune. Nous avons tous besoin des deux et, dans la plupart des cas, nous les méritons. Cependant, il y a des gens à propos desquels il faut se demander si de telles bonnes santé et fortune peuvent être accordées un tantinet sans mérite. William Wallace Whitney Christmas fait partie de ces personnes. Votre humble serviteur s’efforcera de démêler l’écheveau de confusion qui entoure une vie dans laquelle faits et fiction se mêlent intimement.

Christmas naît en Caroline du Nord en septembre 1865. Il attrape peut-être le virus du vol au début des années 1880 en fabriquant et testant des cerfs-volants. Le plus grand d’entre eux peut avoir 3.3 mètres (11 pieds) de haut et nécessiter 3 hommes pour le contrôle par vent fort. Christmas affirme avoir commencé à envisager la possibilité de concevoir un aéroplane motorisé vers 1890. Conscient que de telles études ne mettraient pas un toit au-dessus de sa tête, cet homme intelligent obtient une maîtrise et un diplôme de médecine, ce dernier obtenu en 1905. Christmas pratique comme médecin et / ou chirurgien.

Christmas teste un aéroplane de sa propre conception en mars 1908, sinon dès septembre 1907, devenant ainsi le premier Américain à atteindre le ciel après les frères Wright, une paire de pionniers de l’aviation de renommée mondiale mentionnée plus d’une fois dans notre blogue / bulletin / machin depuis janvier 2018. L’aéroplane vole par la suite quelques fois. Christmas prétend qu’il détruit sa création après l’avoir endommagée lors d’une collision avec un arbre, ainsi que toute preuve de son existence, afin de protéger ses idées de la prédation. Le problème avec cette histoire est qu’il n’ya aucune preuve qu’un vol a réellement lieu, ou que l’aéroplane de Christmas a même existé.

Christmas ou un pilote embauché aurait testé un autre aéroplane, apparemment connu sous le nom de Red Bird, en novembre 1909 à Washington, District de Columbia. Quelques personnes seulement sont présentes lors des quelques vols, dont un d’une durée de 3 heures environ – un exploit qui surpasse tout autre vol d’endurance tenté par les frères Wright. Encore une fois, le problème avec cette déclaration est qu’il n’y a aucune preuve que le vol de 3 heures a réellement lieu. Malgré tout, la publicité entourant les activités de Christmas explique probablement la création de Christmas Airplane Company Incorporated, en octobre 1909.

Désireux d’obtenir plus d’argent pour développer ses idées, Christmas teste une autre machine, le Red Bird II, en juin 1910, mais seuls quelques amis le voient briser les emprises de la Terre. Cela étant dit (tapé?), une photographie de cet aéroplane, au sol, paraît dans un petit nombre de journaux.

Vous pourriez être surpris(e), ou pas, d’entendre (lire?) que le biplan de Christmas a plus qu’une petite ressemblance avec 3 aéroplanes conçus et construits en 1908 par la Aerial Experiment Association (AEA), le Red Wing, le White Wing et le June Bug. Et oui, la AEA, une organisation américaine et canadienne, est mentionnée dans quelques numéros de notre blogue / bulletin / machin depuis octobre 2018, mais je digresse.

De plus en plus irrité par le fait criant que, malgré des injections successives de foin / pognon, la fonctionnalité de l’aéroplane de Christmas n’est pas démontrée, quelques / plusieurs investisseurs intentent une poursuite civile contre lui en décembre 1910, ironiquement, le lendemain de, vous l’aurez deviné, Noël. Comme on peut s’y attendre, Christmas refuse de renoncer à sa participation majoritaire dans la firme qui porte son nom. La poursuite est radiée du rôle en octobre 1912 lorsque le tribunal conclut qu’il n’y a rien d’autre qu’il puisse faire. Les investisseurs mécontents ne récupèrent jamais leur argent. Il est suggéré que Christmas leur soutire jusqu’à 100 000 $, une somme hénaurme pour l’époque et une indication claire de la fascination / cupidité que l’aviation inspire avant la Première Guerre mondiale. Personnellement, je doute que la somme dilapidée dans cette entreprise soit aussi élevée, mais qu’est-ce que j’en sais?

Alors que ce ballet judiciaire a lieu, Christmas continue à travailler / comploter. Il travaille sur un nouvel aéroplane en août 1911. Un jeune mécanicien de chantier naval du nom de John Fisher décolle accidentellement alors qu’il fait rouler au sol un aéroplane Christmas, le susmentionné Red Bird II peut-être, ou le nouvel aéroplane, qui sait, en octobre 1911. Et oui, bien que totalement dépourvu d’expérience de vol, il parvient à atterrir. Une aile de l’aéroplane est endommagée mais Fisher n’est pas blessé.

Quelques hommes d’affaires / politiciens du Mississippi, de la Caroline du Sud et de la Caroline du Nord sont tellement impressionnés par Christmas et ses projets qu’ils essayent de lui faire construire une usine dans leur état. Ces projets ne vont nulle part. Néanmoins, au plus tard en avril 1912, Christmas évoque la possibilité de construire une usine dans la région de Washington. Un tel bâtiment n’est jamais construit. Pendant tout ce temps, Christmas assiste à un certain nombre d’événements et de spectacles aériens pour se promouvoir et promouvoir ses idées, ainsi que pour trouver des investisseurs disposés à lui faire confiance. Un nouvel aéroplane est peut-être en construction au printemps 1912.

Au cours de ce printemps 1912, Christmas est impliqué dans un projet de vol de livraison de courrier. Paul Peck, un jeune pilote parfois / étrangement connu sous le nom de cupidon volant (Flying Cupid), a apparemment l’idée de transporter une quantité appréciable de courrier entre New York, New York, et Washington. Christmas accepte de fournir un aéroplane. Le vol sans escale, prévu pour la seconde quinzaine de mai, est retardé lorsque Christmas conclut que l’aéroplane a besoin de plus de puissance pour accomplir sa tâche. Pour une raison ou une autre, Peck décide de ne pas tenter le vol avant l’automne. En vérité, il quitte bientôt le projet. Malheureusement, Peck meurt dans un écrasement en septembre 1912. Il n’a que 23 ans. Peck compte parmi les 400+ êtres humains décédés dans des accidents liés à l’aviation avant le début de la Première Guerre mondiale, en 1914.

Au début de juin 1912, le jour même où il doit effectuer le vol postal, Clinton Overman Hadley, un nouveau pilote engagé par Christmas à la fin mai, prend l’air à bord d’un biplan Christmas dans l’espoir d’établir un record d’endurance. Après tout, il aurait beaucoup de temps pour transporter le courrier. Les minutes passent tandis que Hadley tourne encore et encore et encore autour de son terrain d’aviation. S’il avait volé en ligne droite, Hadley aurait parcouru une distance de près de 220 kilomètres (135 milles). C’est du moins ce que Christmas affirme. Soudain, Hadley entend un bruit. Le moteur s’arrête. Hadley plane vers le sol et atterrit. Il a de la chance de s’en tirer indemne. Hadley découvre bientôt que son hélice est cassée. En regardant le moteur, il voit un petit trou dans un cylindre. Hadley trouve une balle aplatie à l’intérieur. Il est stupéfait. Christmas est furieux. Il offre une récompense de 1 000 $ pour des informations permettant d’arrêter la ou les personnes qui ont tiré sur son aéroplane. Le vol postal entre New York et Washington est retardé une fois de plus. D’après les apparences, le dit vol n’a jamais lieu.

Cela vous choquerait-il, ami(e) lectrice ou lecteur, si votre humble serviteur mettait en avant l’idée que cet incident par balle est une fabrication / canular? Je sais, c’est une pensée terrible. Pour citer Lou Costello, né Louis Francis Cristillo, le célèbre partenaire humoristique du tout aussi célèbre faire-valoir William Alexander « Bud » Abbott entre 1936 et 1957, je suis un mauvaais garçon.

Et oui, ami(e) lectrice ou lecteur à la mémoire éléphantesque, votre humble serviteur utilise la célèbre routine Who’s on first de Abbott et Costello comme point de départ pour le titre d’un numéro d’octobre 2018 de notre blogue / bulletin / machin. Joli travail. Prenez-vous une étoile d’or, et… Une étoile, pas plus.

Si l’on en croit Christmas, l’incident par balle n’est pas le seul cas de violon, désolé, violence dont il est victime. Ce pionnier de l’aéronautique est espionné, poignardé et ciblé par un tireur – pas le même jour bien sûr. Un rival inconnu scie même en deux un panneau d’aile d’un aéroplane Christmas, un acte diabolique mis au jour au dernier moment, juste avant un vol. Est-ce qu’une partie de ceci est le moindrement vrai, demandez-vous? Je ne sais pas. D’une certaine manière, j’en doute.

En 1913, Christmas cofonde Durham Christmas Aeroplane Sales & Exhibition Corporation, une firme dont le président est un autrement inconnu C.A. Durham. Christmas peut occuper ou non une place importante dans cette firme. Et non, votre humble serviteur ne sait pas ce que cette firme fait réellement. J’ajoute son nom à cet article dans un souci de complétude – et de pédantisme.

Le début de la Première Guerre mondiale, en 1914, offre à Christmas de nouvelles possibilités de faire émerger de nouvelles idées. En décembre 1915, il publie un article dans The New York Times, ce qui n’est pas facile, qui contient des informations sur un croiseur de bataille volant – le plus grand avion du monde, proclame Christmas. Propulsé par un seul moteur, de loin le plus puissant des moteurs d’avion au monde, ce Christmas géant peut transporter un lourd chargement de bombes et un équipage de 6 personnes. Les gouvernements français et / ou britannique ont commandé 11 de ces avions révolutionnaires. Le problème avec l’article est que la machine volante de Christmas, ou son moteur, n’existent pas et qu’aucune commande n’a été signée. Toute cette histoire est un canular.

Le prochain projet de Christmas a également eu lieu pendant la Première Guerre mondiale. S’il vous plaît soyez prévenu(e), ami(e) lectrice ou lecteur, que l’histoire du Christmas Scout / Bullet est tragique.

Pour une raison ou une autre, Christmas en vient à croire que les ailes des avions doivent être modelées sur celles des oiseaux. En d’autres termes, elles doivent être flexibles, dans une certaine mesure, afin de maximiser la portance et de minimiser la résistance de l’air / traînée. Les dites ailes doivent également être autoportantes / en porte-à-faux, autrement dit dépourvues de haubans / entretoises. C’est ainsi que naît un des pires avions jamais construits.

Au début de 1918, Christmas contacte 2 frères propriétaires d’une société de courtage, Harry A. et Alfred E.F. McCorry semble-t-il, pour voir s’ils financeraient sa dernière idée. À leur tour, les 3 d’entre eux contactent un avionneur américain pour voir s’il pourrait construire un prototype d’un avion de chasse biplan monoplace conçu par Christmas, le Scout. Jusque-là, Continental Aircraft Company a apparemment conçu un grand total de 2 avions. Le premier d’entre eux, un biplan d’observation terminé en 1916, bien que bien construit, s’avère à ce point obsolète / inutile que le United States Army Signal Corps, le service responsable des activités aériennes de la United States Army, le rejette du revers de la main. Une seconde machine, un biplan d’entraînement, peut, je répète peut, être produite en très petit nombre vers 1917-18.

Compte tenu de son manque de succès jusqu’alors, la firme accepte de construire le Christmas Scout. Remarquez, Christmas demande peut-être également à Continental Aircraft de construire un prototype d’un biplan triplace (de bombardement? de reconnaissance?) à haute vitesse qu’il a également conçu.

Une brève digression si je peux me le permettre. Croiriez-vous que, en juillet 1918, un des créanciers de Continental Aircraft est tellement contrarié par l’incapacité / refus de la firme de le payer qu’il fait enchaîner à un arbre, par un shérif adjoint, un avion appartenant à la dite firme? Quelques autres créanciers poursuivent Continental Aircraft à l’automne de 1918 et en 1919 pour obtenir ce qui leur est dû, mais revenons à notre histoire.

La construction du prototype du Scout se déroule dans une atmosphère proche du surréel / de la farce. Croiriez-vous, ami(e) lectrice ou lecteur, qu’il n’existe aucune série de plans pour cet avion? Pis encore, Christmas conjure chaque nouvel élément au jour le jour, en insistant pour que des types de bois et acier inappropriés soient utilisés. Le peu nombreux personnel de Continental Aircraft, dirigé par un jeune ingénieur, Vincent Justus Burnelli, dédaigne profondément le Scout, ce rêve ridicule d’un concepteur incompétent.

En mai 1918, un associé de Christmas contacte un membre du United States Senate. Sa lettre mentionne les réalisations aéronautiques de notre « héros » et demande si le sénateur peut aider Continental Aircraft à obtenir un moteur pour le Scout, ainsi qu’un autre pour son grand frère, en construction à l’époque, ce qui n’est pas vrai dans le cas du biplan triplace. Le sénateur envoie immédiatement la lettre à un officier du United States Army Air Service (USAAS), comme est appelé le service aérien de la United States Army à partir de mai 1918.

Christmas laisse peut-être entendre, et c’est toute une histoire, même selon les normes christmassiennes, que les capacités étonnantes du Scout permettraient à un certain nombre d’entre eux de se rendre jusqu’à Berlin, où leurs pilotes kidnapperaient d’une manière ou d’une autre le chef de l’empire allemand, le kaiser Wilhelm II, né Friedrich Wilhelm Viktor Albert « Willy » Hohenzollern, forçant ainsi la reddition du dit empire et mettant fin à la Première Guerre mondiale. C’est là toute une application de la puissance aérienne, ami(e) lectrice ou lecteur! (Bonjour, EP!)

Familier des activités précédentes de Continental Aircraft et harcelé par de nombreux concepteurs d’avions inconnus, convaincus que leur machine volante est ce qu’il y a de mieux depuis l’invention du pain tranché, le dit officier, l’ingénieur en chef / chef de la section de génie aéronautique du USAAS, refuse poliment de fournir les moteurs demandés. Le lieutenant-colonel Jesse G. Vincent demande plutôt à l’associé de Christmas d’envoyer les spécifications des 2 avions Christmas au USAAS.

Réalisant que ses liens avec Continental Aircraft peuvent devenir un handicap, Christmas fonde Cantilever Aero Company, une coquille plus ou moins vide, sans usine, et conduit toutes ses futures transactions avec le USAAS sous cette dénomination. On peut se demander si ce tour de passe-passe dupe les bonnes gens du USAAS ne serait-ce que pour une nanoseconde.

Pour une raison ou une autre (intervention du sénateur, spécifications satisfaisantes ou toute autre chose), le USAAS livre un moteur pour le biplan triplace en juin. Au début de juillet, Christmas écrit à Vincent à 2 reprises pour signaler que, même si le manque de moteur retarde les travaux sur le Scout, les travaux sur le biplan triplace et un tout nouveau monoplan triplace se déroulent rapidement. Dans une lettre datée de la mi-juillet, en revanche, il se plaint que l’absence de commande de matériaux par le USAAS empêcherait la construction de l’un ou l’autre avion, et demande qui peut être contacté pour obtenir de l’aide. Ne souhaitant pas acquérir le moindre avion proposé par Christmas, le USAAS ignore la lettre ou refuse poliment de l’aider. Ainsi se termine la saga des avions de combat triplaces Christmas. À première vue, ces merveilleuses machines n’existent que dans son esprit.

En juillet 1918, toujours pour une raison ou une autre (intervention du sénateur, spécifications satisfaisantes ou toute autre chose), le USAAS fournit un moteur pour le Scout. Pour obtenir ce prêt, je répète prêt, Christmas doit accepter d’envoyer son prototype à la section de génie aéronautique du USAAS, où il serait piloté pour la première fois, s’il est en état de navigabilité, ainsi qu’une cellule sans moteur que les militaires utiliseraient pour vérifier la résistance du concept.

L’arrivée du moteur à l’usine de Continental Aircraft est un choc pour Burnelli et son personnel. Le Scout n’est pas une blague; Christmas a vraiment pour but de compléter ce truc et de le faire voler.

Burnelli est tellement préoccupé par la grossièreté et le poids des ailes flexibles réalisées selon les vœux fous de Christmas qu’il en conçoit secrètement de nouvelles et demande à son personnel de les construire, également en secret. Il prévoit installer subrepticement ses ailes sur le Scout avant tout vol d’essai. Remarquez, Burnelli est vraisemblablement tout aussi préoccupé par la conception incompréhensible du gouvernail de profondeur de l’avion. Au lieu d’utiliser une surface de contrôle mobile conventionnelle fixée au stabilisateur horizontal, Christmas choisit d’utiliser des fils d’acier pour recourber vers le haut ou le bas la partie arrière du dit stabilisateur. Je ne plaisante pas.

Le Scout est achevé à la fin de 1918.

À la mi-octobre, Christmas contacte la section de génie aéronautique du USAAS pour l’informer de son intention de superviser les essais de 3 Scout sur un terrain d’aviation du USAAS, afin de démontrer leur supériorité par rapport à tous les autres avions de chasse existants. Il pense peut-être bien que sa seule chance d’obtenir une commande du USAAS est de s’immiscer dans une base militaire pour faire la démonstration de son avion.

C’est apparemment à la suite de la lettre de Christmas que le USAAS se rend compte qu’il n’a aucune intention de respecter l’accord qu’il a accepté en juillet. L’officier en charge de la Division of Military Aeronautics de la United States Army, en d’autres termes le commandant du USAAS, n’est toutefois informé de ce fait qu’en novembre, le lendemain de la signature de l’Armistice. Aussi inutile qu’il ait pu être avant l’Armistice, le Scout est désormais absolument et complètement inutile. Quelques jours plus tard, le major-général William Lacy Kenly se rend au terrain d’aviation militaire où Christmas semble vouloir superviser les essais du Scout. Il ordonne qu’aucun pilote du USAAS ne pilote cet avion jusqu’à ce qu’une cellule ne soit testée au sol pour en vérifier la résistance.

Ignorant peut-être ce qui l’attend, Christmas ordonne que le Scout soit transporté au terrain d’aviation militaire au début de décembre. Il écrit également à Kenly pour l’informer que le Scout a pris l’air, au début de décembre, et demander la permission de faire voler l’avion sur le dit terrain d’aviation militaire. L’officier en charge du terrain d’aviation lui ayant ordonné de retirer le Scout des lieux avant de pouvoir le tester, Christmas ordonne qu’il soit transporté dans un autre lieu.

Affirmant que Kenly lui a donné l’autorisation d’opérer à partir de l’aéroport militaire, ce qui est faux, Christmas ordonne à son pilote de piloter le Scout vers le dit terrain d’aviation où il est photographié au sol et en vol par des photographes du USAAS, ou du moins c’est ce qu’il affirme.

Comme vous l’avez probablement deviné, il est plus que probable que le Scout demeure fermement au sol en décembre 1918, quel que soit l’endroit où il se trouve. Et non, les négatifs des photographies prises par les photographes du USAAS ne sont pas cachés ou détruits dans le cadre d’une conspiration du gouvernement contre Christmas. C’est une fausse nouvelle.

À cet égard, une personne malfaisante, à savoir moi, peut être tentée de signaler que, lorsqu’on lui demande, en 1919-20, la longueur du vol entre l’usine de Continental Aircraft et le terrain d’aviation militaire qui n’a jamais lieu, Christmas déclare, et je cite, en traduction : « Environ [960 kilomètres] 600 milles, je penserais. » La distance entre ces endroits est en fait à peine plus de 15 kilomètres (10 milles).

Apparemment convaincu pour une raison ou une autre que le Scout est un avion de chasse de classe mondiale, Christmas ordonne au pilote de Continental Aircraft de le piloter – vraisemblablement pour la première fois. Ce dernier refuse et est aussitôt renvoyé. D’autres pilotes, vraisemblablement avertis par des amis ou collègues, refusent également de piloter le Scout. Il convient de noter que le susmentionné Burnelli s’oppose fermement à l’idée de faire voler le Scout. Incapable de convaincre Christmas, ce qui est prévisible, mais aussi la direction de Continental Aircraft, ce qui est un tantinet troublant, le jeune ingénieur démissionne en signe de protestation.

À partir des années 1920, Burnelli conçoit une série d’avions de transport au look inhabituel dotés d’un fuselage très épais en forme de profil d’aile. Seules quelques-unes de ces machines très originales sont construites, dont 1 au Canada. Et oui, j’envisage sérieusement la possibilité d’écrire un article sur cet avion canadien de type Burnelli, mais revenons à notre histoire.

Un aviateur qui vient de rentrer d’Europe pour devenir un pilote de poste aérienne aux États-Unis écarte gentiment les avertissements d’au moins une personne et accepte de tester le Scout. Cuthbert Mills décolle par une journée froide, en décembre 1918 ou en janvier 1919. Quelques instants plus tard, le Scout perd ses ailes et s’écrase. Mills meurt sur le coup. À la tragédie s’ajoute le fait que le jeune pilote avait invité sa mère au terrain d’aviation civil où l’écrasement se produit. Même si Christmas tente de dissimuler l’écrasement, les officiers de la section de génie aéronautique du USAAS sont à la fois attristés et fâchés par la nouvelle, lorsqu’elle les atteint. Malgré tout, Christmas n’est apparemment pas du tout inquiété par les autorités pour son rôle dans la mort de Mills.

Pis encore, il y a des gens prêts à le défendre. Le journaliste aéronautique John Dumans Van Vliet, qui le fait jusqu’au milieu des années 1930, fait partie du lot. Il loue les caractéristiques de vol du Scout, par exemple, et affirme qu’il a volé 5 fois. Il est vrai que Van Vliet admet finalement en 1934 que le Scout s’est écrasé, tuant Mills, mais seul le pilote est à l’origine de cet accident, mais revenons à notre récit de malheur.

Christmas ordonne que le second prototype du Scout, en construction à l’usine de Continental Aircraft, soit achevé dans les plus brefs délais. Croiriez-vous qu’il a le culot / effronterie de demander au USAAS, en mars 1919, si celui-ci peut lui fournir une hélice que son personnel pourrait monter sur le moteur qu’il a pu acquérir?

Une fois terminée, le second Scout légèrement modifié est exposé début mars à la Aeronautical Exposition tenue à New York, sous le nom de Christmas Bullet. Le petit panneau devant l’avion le décrit, en traduction, comme « l’avion le plus sûr et le plus facile à contrôler du monde. » Un officier indigné de la section de génie aéronautique du USAAS contacte son supérieur qui prépare une protestation que Christmas ignore.

Un petit oiseau me raconte qu’une entreprise autrement inconnue, Perr Steamship Company, achète le Bullet pour livrer des papiers de navire et du courrier à des navires qui se trouvent encore à un jour de la côte des États-Unis. J’ai le sentiment que cet oiseau essaye de me tromper.

Dans un article assez détaillé publié en février 1919, le célèbre hebdomadaire britannique Flight déclare que les gouvernements britannique et français manifestent un vif intérêt pour le Scout / Bullet – une déclaration plutôt extraordinaire basée sans doute sur la parole de Christmas. L’homme sait certainement comment se faire des amis et influencer les autres, si je peux citer le titre de la version française du célèbre livre publié en anglais en 1936 par Dale Breckenridge Carnegie, né Carnegy, ça c’est certain.

Croiriez-vous que Christmas a le culot / effronterie de demander au USAAS, en mars 1919, s’il peut lui fournir un moteur?

Quoi qu’il en soit, l’arrivée d’un nouvel officier à la tête du USAAS ouvre une voie à Christmas. Affirmant / croyant que cet officier a exprimé un intérêt pour le Bullet, il lui écrit une lettre à la fin de mars. L’avion volerait d’un terrain d’aviation du USAAS près de New York jusqu’à Washington, écrit Christmas, où il resterait pour que des officiers du USAAS puissent l’examiner à loisir. La lettre qu’il reçoit peu de temps après indique clairement que le terrain d’aviation en question est en cours de fermeture et que le Bullet ne serait piloté par aucun pilote du USAAS depuis un terrain d’aviation du USAAS jusqu’à ce qu’une cellule soit testée au sol pour en vérifier la résistance.

Apparemment peu préoccupé par l’écrasement fatal du premier Scout, et apparemment peu disposé à se soumettre à des tests, Christmas embauche un (ancien?) pilote de la Royal Air Force qui se trouve aux États-Unis à l’époque. En avril 1919, Allington Joyce Jolly prend l’air à bord du second Bullet. Quelques minutes plus tard, l’avion vole tout droit dans une grange, tuant son pilote britannique. Et non, Christmas n’est apparemment pas du tout inquiété par les autorités pour son rôle dans la mort de Jolly. De fait, il est apparemment capable de dissimuler cette tragédie. Pis encore, Christmas et ses bailleurs de fonds, les susmentionnés frères McCorry, ont le culot sans faille de chanter les louanges du Bullet dans le numéro de mai 1919 du magazine mensuel de la haute société américaine Vanity Fair.

Témoignant à Washington, en août 1919, devant le Select Committee on Expenditures in the War Department de la United States House of Representatives, Christmas affiche son assurance habituelle. Le Bullet est le meilleur avion de chasse au monde, déclare-t-il. Les accidents mortels ne sont évidemment pas mentionnés. Selon Christmas, sa réputation est telle que, avant l’entrée des États-Unis dans la Première Guerre mondiale, en avril 1917, le gouvernement allemand lui a offert plus d’un million de dollars en or, à l’avance, pour prendre en charge le développement du service aérien de son armée, le Luftstreitkräfte. Mieux encore, peut-être, Cantilever Aero est tellement submergée par des commandes signées par des acheteurs américains et européens (britanniques? français? italiens?) que toute commande signée par le gouvernement américain ne pourrait être exécutée avant août 1920.

Inconcevable, ne diriez (taperiez?) vous pas, pour citer un des mots favoris d’un personnage diabolique de La Princesse Bouton d’Or, une comédie romantique et film culte de 1987 mentionnée dans un numéro de février 2018 de notre blogue / bulletin / machin?

Incidemment, Continental Aircraft sombre au cours de l’été 1920.

Interrogé par des journalistes en janvier 1919, Christmas affirme qu’il supervise la construction d’un grand avion de ligne capable de traverser l’Atlantique. Il parle également d’une machine beaucoup plus grosse, un hénaurme avion de ligne transatlantique avec une envergure d’environ 305 mètres (1 000 pieds). Ce monstre de 1 450 tonnes métriques (1 600 tonnes américaines / 1 430 tonnes impériales) serait propulsé par 24 moteurs entraînant 12 hélices d’un diamètre d’environ 15 mètres (50 pieds). Les articles que votre humble serviteur rencontre ne précisent pas clairement si Christmas prévoit réellement construire cette machine. Et non, Christmas ne complète pas le moindre avion de ligne vers 1919-20.

Croiriez-vous que, en décembre 1923, le gouvernement américain donne 100 000 $ à Christmas pour un brevet d’aileron délivré en mai 1914, et ce malgré le fait qu’aucun litige n’est engagé pour déterminer la validité du dit brevet? Remarquez, Christmas affirme également que le dit gouvernement lui donne cet argent pour éviter une action en violation de droit d’auteur qu’il est sur le point de lancer.

Le projet d’avion au cœur de l’article qui nous concerne aujourd’hui voit le jour à une date indéterminée à la fin des années 1920. Vous voyez, Christmas se (re)découvre une passion pour le transport aérien. Une nouvelle firme, General Development Company, est apparemment créée vers 1929. Christmas en est le vice-président et consultant en chef, ou directeur général. Une firme bancaire et de courtage du nom de Reid, King & Company Incorporated soutient financièrement le projet.

L’ingénieur en chef de l’aéronautique de la firme a peut-être de l’expérience, à condition bien sûr que Edward Eliot Green soit en fait le Edward E. « Ed » Green, qui a travaillé pour le United States Department of Commerce et un avionneur bien connu et respecté, Advance Aircraft Company, connu plus tard sous le nom de Waco Aircraft Company. And yes, oui, yes, l’incroyable collection du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, à Ottawa, Ontario, comprend un biplan triplace Waco 10.

Une brève digression si je peux me le permettre. General Development ne doit pas être confondue avec General Development Corporation. Dans les années 1960, cette entreprise d’aménagement du territoire établie en Floride reconnue coupable de fraude en mars 1990 est peut-être le plus important propriétaire foncier de cette région des États-Unis.

Remarquez, General Development ne doit pas non plus être confondue avec General Development Company. Ce constructeur automobile américain lancé une voiturette à 3 roues, la Comet, en 1946. Elle cesse peut-être ses activités vers 1948. Si vous n’y voyez pas d’objection, votre humble serviteur s’efforcera de localiser une photographie de ce véhicule afin d’écrire un article à son sujet en 2021, mais revenons à notre histoire. Encore.

Le concept proposé par General Development consiste en un hénaurme monoplan à fuselages jumelés, parfois appelé Aerial Express ou, plus souvent peut-être, monoplan Christmas. Notre blogue / bulletin / machin étant de nature non technique, votre humble serviteur ne vous ennuiera pas avec des statistiques. Cela étant dit (tapé ?), je voudrais souligner que cette machine a une configuration légèrement similaire à celle des susmentionnés avions de transport avec un fuselage très épais en forme de profil d’aile développés par le tout aussi susmentionné Burnelli.

Votre humble serviteur tient également à souligner que le monoplan Christmas est muni de 8 moteurs qui entraînent 2 hélices hénaurmes (environ 10.6 mètres (34 pieds) de diamètre) grâce à un système complexe de transmission et d’embrayage. Des mécaniciens pourraient travailler sur les dits moteurs en plein vol sans aucune difficulté.

Croyez-vous qu’une configuration similaire, à savoir 4 moteurs entraînant 1 hélice, est testée en Allemagne en janvier 1919 par Linke-Hofmann-Werke Aktiengesellschaft? L’Allemagne ayant récemment signé l’Armistice, un seul de ces remarquables avions est achevé. Avec une envergure de plus de 42 mètres (138 pieds), le Linke-Hofmann R.II est le plus grand avion à hélice unique jamais piloté.

Incidemment, Linke-Hoffman est toujours avec nous, sous le nom de Alstom Transport Deutschland Gesellschaft mit beschränkter Haftung. Et oui, c’est une filiale de Alstom Société anonyme, la multinationale française de transport ferroviaire derrière le véhicule léger sur rail / de métro léger Citadis Spirit développé pour la Ottawa-Carleton Transportation Commission, la société de transport en commun de la capitale du Canada. Et oui encore, celui qui ne fonctionnait pas toujours. Oh, joie.

Qu’y a-t-il, ami(e) lectrice ou lecteur? Vous souhaitez avoir de l’information sur l’hébergement des passagères et passagers du monoplan Christmas? Vos désirs sont des ordres. Permettez-moi tout d’abord de dire (taper ?) qu’il pourrait transporter 160 passagères et passagers dans des espaces situés dans les fuselages jumelés à 2 niveaux (2 salons sur les ponts inférieurs avec 84 places au total) et dans la partie avant de l’aile, entre les dits fuselages de même qu’à leurs gauche et droite (14 compartiments avec 76 places au total). Il semble que chaque siège puisse être transformé en couchette lorsque le moment est venu de se souhaiter bonne nuit. Une salle à manger située entre les fuselages jumelés, dans l’aile, derrière les compartiments des passagères et passagers, peut accueillir 42 convives à 10 tables (4 avec 6 personnes et 6 avec 3). Un commissaire et 8 cuisiniers, stewards et serveurs veilleraient à satisfaire tous les besoins et caprices des passagères et passagers.

Avez-vous une question, ami(e) lectrice ou lecteur? Qu’est-ce que les passagères et passagers qui ne sont pas dans la salle à manger feraient pendant que leurs 42 compagnes et compagnons s’empiffreraient, dites-vous? Une bonne question. Je ne peux qu’espérer qu’elles et ils n’attendraient pas leur tour. Le dernier groupe aurait attendu un bon bout de temps.

Et oui, l’avant même de l’aile dans la zone occupée par les compartiments des passagères et passagers est recouvert de panneaux transparents, de même que, semble-t-il, les côtés des salons des passagères et passagers. Et oui encore, il y a un fumoir à l’arrière de chacun des dits salon.

La confiance de General Development dans son concept est telle qu’elle a apparemment l’intention de sauter l’étape du prototype et de compléter non pas 1, mais 4 avions, peut-être avant la fin de 1930. Deux de ces géants seraient utilisés pour transporter des passagères et passagers, tandis que l’autre paire transporterait du fret. Le premier avion doit voler à l’automne de 1930.

Le gigantesque avion de ligne de General Development fait sensation dans la presse aéronautique. L’hebdomadaire français Les Ailes, par exemple, se demande dans un numéro de décembre 1929 si cet avion était une audace ou un bluff. Il se demande également si la conception du géant américain est réalisable / pratique.

Si le susmentionné Flight se demande dans un article publié en décembre 1929 s’il est prudent de construire 4 avions simultanément au lieu de tester minutieusement un prototype, il traite principalement de l’aspect technique du monoplan Christmas sans remettre en question le caractère pratique / réalisable du projet.

Un autre périodique aéronautique britannique, malheureusement non identifié pour le moment, publie un article sur le superavion de General Development au début de 1930. Se basant sur des informations publiées par The New York Times, quelque chose que cette publication digne de confiance, si, si, digne de confiance, en 1930 comme en 2020, nie fortement, le dit article est jugé à la fois faux et calomnieux par l’agent de brevets / avocat de propriété industrielle bien connu de Christmas. Edward Edmund Clement le dit (tape?) dans une lettre publiée dans un numéro de mars 1930 de Flight. Remarquez, agissant vraisemblablement à partir d’informations fournies par Christmas, le dit agent / avocat déclare également que le susmentionné Mills meurt après avoir effectué plus de 7 vols aux commandes du Bullet, lorsqu’il heurte un arbre.

Une firme, Airamerican Supertransport Company, est créée au printemps 1930 pour exploiter une liaison aérienne pour passagères / passagers, courrier et fret entre New York et Chicago, Illinois, qui utiliserait l’avion de ligne de General Development. Elle peut avoir disparu relativement vite. Et non, aucun exemplaire du monoplan Christmas n’est jamais construit. Le susmentionné Green quitte General Development en juin 1930, avec un collègue, pour former un bureau de génie et de services généraux en aéronautique.

Alors que le monoplan Christmas occupe l’esprit de nombreux passionné(e)s de l’aviation, Christmas lui-même tente de faire breveter une sorte de matière plastique à base de caséine. Votre humble serviteur n’a trouvé que très peu d’information sur cet orage cervical en particulier.

En 1935, Christmas met de l’avant l’idée d’un aérodrome / aéroport circulaire dont les hangars sont souterrains. Une route et une voie ferrée situées sous les hangars relient cet aéroport aux villes les plus proches. Cette idée ne dépasse pas le stade de la planche à dessin ou du modèle réduit.

Aussi incroyable que cela puisse paraître, un Christmas âgé de 76 ans parvient à faire une présentation devant un Senate Military Affairs Subcommittee, à Washington, en juillet 1942. Et non, ce n’est pas le moment de se moquer des sénateurs américains. Christmas, dis-je, participe à des discussions très sérieuses sur la possibilité de construire une flotte d’avions de transport géants capables de transporter des approvisionnements et des troupes outremer, hors de portée des sous-marins allemands dont les attaques entraînent la mort d’innombrables marins de la marine marchande, et la destruction d’innombrables cargos. L’aéronef en bois de 512 tonnes métriques (564 tonnes américaines / 504 tonnes impériales) proposé par Christmas aurait transporté 3 000 soldats.

J’entends (lis?) qu’un sénateur demande au National Advisory Committee for Aeronautics, le prédécesseur / ancêtre de la National Aeronautics and Space Administration, une organisation de renommée mondiale mentionnée dans plusieurs numéros de notre blogue / bulletin / machin depuis mars 2018, de mener des essais en soufflerie de l’aéronef de transport Christmas. On lui dit rapidement que des centaines de personnes devraient travailler environ 18 mois pour mener à bien cette tâche. En pleine guerre. Le sénateur comprend l’allusion et se retire. Christmas ne la comprend pas, et ne se retire apparemment pas. Il est ignoré. Son hénaurme aéronef de transport n’est jamais testé, ni construit.

Ceci étant dit (tapé?), Howard Robard Hughes, Junior, un individu mentionné dans quelques numéros de notre blogue / bulletin / machin depuis octobre 2017, pilote, une fois, en novembre 1947, un énorme, mais pas hénaurme, hydravion à coque en bois conçu pour répondre au besoin exprimé en 1942, le Hughes H-4 Hercules, également connu sous le nom de Spruce Goose (oie en épinette), ou Flying Lumberyard (parc à bois volant).

Croiriez-vous que Christmas écrit une lettre au chef d’état-major de la United States Air Force en septembre 1947, lui demandant de le nommer officier, à l’âge de 81 ou 82 ans, afin qu’il puisse concevoir l’aéronef le plus rapide du monde? Après tout, dit-il, ses découvertes et ses inventions constituent la base de l’industrie aéronautique telle qu’elle existe à l’époque. Je ne plaisante pas.

Christmas est mort (riche?) en avril 1960, à l’âge de 94 ans.

Alors, ami(e) lectrice ou lecteur, avez-vous formé une opinion à propos de Christmas, l’homme et non pas la célébration religieuse ternie par un commercialisme flagrant bien sûr? Est-ce un narcissiste délirant, un charlatan / escroc / fraudeur / poseur futé, un fou excentrique, ou un psychopathe charmant – ou une combinaison de tout cela?

L’auteur de ces lignes souhaite remercier toutes les personnes qui ont fourni des informations, ou une traduction. Toute erreur contenue dans cet article est de ma faute, pas de la leur.

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Rénald Fortier
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Wilfrid Thomas Reid. Anon., « Specification and description of the Reid Rambler. » Canadian Air Review, novembre 1928, 30.

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Le SAGEM CU-161 Sperwer du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada après un de ses atterrissages sans incident en Afghanistan. David Pugliese, « Faulty drones risk lives: troops. » Ottawa Citizen, 29 août 2007, 10.

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Le premier aéronef sans pilote tactique SAGEM CU-161 Sperwer exploité par les Forces canadiennes, près de Kaboul, Afghanistan, novembre 2003. Anon., « Drones canadiens utilisés en Afghanistan ». La Presse, 19 mars 2006, A 5.

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Une vue d’un aéronef sans pilote tactique SAGEM Sperwer générique / typique. Chris Wattie, « Army buys spy drones for Afghan mission. » National Post, 8 août 2003, 4.

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La première Cadillac miniature alors qu’elle est conduite à Londres, Angleterre, par un garçon de bureau non identifié travaillant chez F.S. Bennett Limited. British & Colonial Kinematograph Company Limited, The Smallest Car in the Largest City in the World, 1913.

Un prince et sa Cadillac; ou, Comment le prince Olav de la maison Schleswig-Holstein-Sonderburg-Glücksburg, héritier du trône de Norvège, a obtenu sa première bagnole – avec des informations sur d’autres Cadillac miniatures, partie 2

Une Cadillac lilliputienne qui pourrait être celle mentionnée dans le titre de cet article, 1912-13. Anon., « La plus petite voiturette automobile au monde. » La Science et la Vie, août 1913, 275.

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L’arrivée d’André-Georges Lafitte à Dijon, France, juin 1990. A.-G. Lafitte, « Un membre de l’I.F.N. traverser l’Atlantique Nord en U.L.M. » Navigation, octobre 1991, 559.

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Un avion ultraléger Ultravia Pélican typique sur flotteurs. L’absence d’immatriculation est à noter. Anon., « Amateurs – ULM ou avions? » Aviation magazine international, 1er août 1983, 37.

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Une carte de l’atocatière de Les Producteurs de Québec Limitée de Lemieux, Québec. Luc Bureau, « Un exemple d’adaptation de l’agriculture à des conditions écologiques en apparence hostiles : L’Atocatière de Lemieux », Cahiers de géographie du Québec, décembre 1970, 389.

« Un serpent de mer sans affidavit, c’est comme une dinde rôtie sans sauce aux canneberges; » Ou, Comment la famille Larocque a créé la première atocatière du Québec, partie 3

Certains des bâtiments de l’atocatière exploitée par Les Producteurs de Québec Limitée de Lemieux, Québec. Pierre Arthur Dorion. « La plus importante plantation d’atocas au pays. » Le Bulletin des agriculteurs, juillet 1955, 11.

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Charles Larocque, gérant de Les Produits de Québec Limitée de Lemieux, Québec, montrant comment ramasser des canneberges, à gauche, ainsi que des fruits tombés flottant sur l’eau. Arthur Prévost, « À Lemieux, au Québec, a prospéré la culture des ‘juteux atacas.’ » Photo-Journal, 23 juillet 1953, 33.

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Un Lawrence Niles Swank à l’air sérieux indiquant le point d’impact initial de la météorite qui a frappé son automobile près de Crawfordsville, Indiana, octobre 1930. Anon., « Projectile céleste ». Le Petit Journal, 2 juillet 1933, 22.

« Une cible difficile pour un tireur d’élite météorique de l’espace interplanétaire » – L’incroyable histoire d’un adolescent de l’Indiana, Lawrence Niles Swank, dont l’automobile a été sonnée par une météorite

Le chemin de fer aérostatique / chemin de fer au ballon proposé par Friedrich Volderauer. Salvatore Pannizzi, « Mountain Railways. » The Wide World Magazine, juillet 1898, 304.

Les voyages ferroviaires les plus scéniques du monde, animée par vous savez qui – Saison 7, Épisode 7 – Le Aerostatischen Bahn / Luftballon-Eisenbahn de Friedrich Volderauer

Une publicité typique de la Lion Brewery de Berlin, Ontario. Anon., « Lion Brewery. » The Canadian Courier, 6 juin 1908, 17.

D’une Lion Brewery à Waterloo à une Ranger Brewing à Kitchener, et plus encore : Un bref aperçu de l’histoire d’une brasserie ontarienne quelque peu oubliée

La sous-lieutenante Valentina Vladimirovna Terechkova, au centre de la photographie, au Cinquième congrès mondial des femmes, Moscou, Union des républiques socialistes soviétiques, juin 1963. RIA « Novosti, » 612179.

« La Russie lance une… ‘cosmonette’ » Un autre bref regard sur la façon dont la presse francophone du Québec couvre un aspect du programme spatial soviétique, en l’occurrence le voyage dans l’espace de Valentina Vladimirovna Terechkova, partie 2

La sous-lieutenante Valentina Vladimirovna Terechkova en tenue de ville et en tenue spatiale. Anon., « Un 3e Russe dans l’espace? Il irait rejoindre le couple qui s’y trouve. » La Presse, 17 juin 1963, 1.

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L’avion de ligne à réaction Tupolev Tu-104 exploité par Aeroflot qui participe au spectacle aérien du Centenaire de la Colombie-Britannique, Aéroport d’Uplands, Ottawa, Ontario. Don Brown, « Aerial Display Ready. » The Ottawa Citizen, 13 juin 1958, 39.

« Il roule au sol avec toute l’aisance d’une cigogne arthritique, » Ou, Un bref regard sur la brève présence au spectacle aérien du Centenaire de la Colombie-Britannique d’un avion de ligne à réaction Tupolev Tu-104 d’Aeroflot, partie 2

L’avion de ligne à réaction Tupolev Tu-104 exploité par Aeroflot qui participe au spectacle aérien du Centenaire de la Colombie-Britannique, tenu à l’Aéroport international de Vancouver, Richmond, Colombie-Britannique. Anon., « –. » The Sunday Sun, 14 juin 1958, 25.

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Le bateau fluvial à roue arrière SS Klondike à un stade précoce de son voyage vers Whiskey Flats South, Whitehorse, Territoire du Yukon. Anon., « Sidewalk Supers Size Up Sternwheeler. » Whitehorse Star, 23 juin 1966, 1.

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Une bête de somme abandonnée et échouée face à un avenir incertain, le bateau fluvial à roue arrière canadien SS Klondike, Whitehorse, Territoire du Yukon. Anon., « Yukon River Boats. » The Calgary Herald, 5 mai 1958, 1.

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Le seul et unique Rohr M.O.1 Midnight Oiler avant l’installation de son nez définitif et de son stabilisateur horizontal avant, Chula Vista, Californie. Anon., « Private Flying – ‘Midnight Oiler’ Radical Design Lightplane is Built by Rohr. » Aviation News, 1 juillet 1946, 15.

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James Bertram « Jim / Jimmy » Blackmon et sa fusée faite-maison, Charlotte, Caroline du Nord, juillet 1956. Irwin Hersey, « Aid for basement rocketeers. » Astronautics, février 1958, 25.

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Une flamme dans le ciel du nord et une cendre de feu sidéral : La météorite de Bacubirito

Un dispositif de dégivrage de piste de Woolery Machine Company en action à l’aéroport de Cologne-Wahn, Cologne, Allemagne de l’Ouest. Anon., « Ancillary Review – Flame-throwing – On Ice. » The Aeroplane and Commercial Aviation News, 28 février 1963, 29.

Allez, PB, allume mon feu. Essaie de mett’ la glace en feu : Un coup d’œil sur la firme américaine Woolery Machine Company et sur certaines de ses idées et produits

Un promoteur de la Sure Food, le chimiste alimentaire James Pearson (à droite), dans les installations de Wentworth Canning Company Limited de Hamilton, Ontario. Anon., « La viande, synthétique, produit canadien, pourrait sauver de la famine les peuples affamés d’Europe. » Photo-Journal, 5 février 1948, 3.

« Cela sent la viande. Cela ressemble même à de la viande. » L’histoire oubliée depuis longtemps d’une viande synthétique / viande d’imitation / viande artificielle / succédané de viande / substitut de viande / simili-viande parfois appelée Sure Food

L’avion de brousse Junkers Ju 52 immatriculé CF-ARM de Canadian Airways Limited de Montréal, Québec, lac Manouane, Québec, août ou septembre 1940. MAEC, 13469.

Les vieux avions de brousse ne meurent jamais, ils ne font que s’effacer doucement : Quelques lignes, d’accord, plusieurs lignes sur la remarquable carrière d’un « cargo volant / wagon volant » Junkers Ju 52 nommé CF-ARM, partie 3

L’avion de brousse Junkers Ju 52 immatriculé CF-ARM de Canadian Airways Limited de Montréal, Québec, en réparation, Arviat, Nunavut (Eskimo Point, Territoires du Nord-Ouest), septembre 1932. MAEC, 1208.

Les vieux avions de brousse ne meurent jamais, ils ne font que s’effacer doucement : Quelques lignes, d’accord, plusieurs lignes sur la remarquable carrière d’un « cargo volant / wagon volant » Junkers Ju 52 nommé CF-ARM, partie 2

L’avion de brousse Junkers Ju 52 immatriculé CF-ARM de Canadian Airways Limited de Montréal, Québec. Anon., « Pionnier des transports lourds dans le nord du Canada, le ‘Cargo volant’ a fini sa carrière. » Photo-Journal, 29 janvier 1948, 2.

Les vieux avions de brousse ne meurent jamais, ils ne font que s’effacer doucement : Quelques lignes, d’accord, plusieurs lignes sur la remarquable carrière d’un « cargo volant / wagon volant » Junkers Ju 52 nommé CF-ARM, partie 1

Le sergent Bob Electro de l’Aviation royale du Canada (ARC) pris en flagrant délit de salut au commandant de la Base de l’ARC de Clinton, le colonel d’aviation John Gordon Mathieson, Clinton, Ontario. Anon., « Six-Year-Old Sergeant. » The North Bay Nugget, 7 janvier 1963, 15.

Dōmo arigatō, gunsō Electro, mata au hi made : Les aventures électroniques du sergent Bob Electro de l’Aviation royale du Canada et des Forces armées canadiennes

Une pièce d’équipement fort appropriée vue la saison, enfin, la saison qui affecte la partie nord de l’hémisphère nord de la planète Terre, la souffleuse à neige domestique de Autocanner Enregistré de Montréal, Québec. Anon., « –. » Montréal-Matin, 9 janvier 1948, 6.

« Qu’il neige! Qu’il neige! Qu’il neige! » La souffleuse à neige domestique Blo-All de Autocanner Enregistré de Montréal, Québec

Le simulateur d’impact en vol de 10 pouces du Conseil national de recherches du Canada à un moment donné de sa longue carrière, Uplands / Ottawa, Ontario. CNRC.

Une grande réussite canadienne que vous devriez connaître : Un bref coup d’œil sur les simulateurs d’impact en vol du Conseil national de recherches du Canada remis au Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, partie 3

Le simulateur d’impact en vol de 3.75 / 3.5 pouces du Conseil national de recherches du Canada à un moment donné de sa longue carrière, Uplands / Ottawa, Ontario. CNRC.

Une grande réussite canadienne que vous devriez connaître : Un bref coup d’œil sur les simulateurs d’impact en vol du Conseil national de recherches du Canada remis au Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, partie 2

Le simulateur d’impact en vol de 10 pouces du Conseil national de recherches du Canada à un moment donné de sa longue carrière, Uplands / Ottawa, Ontario. CNRC.

Une grande réussite canadienne que vous devriez connaître : Un bref coup d’œil sur les simulateurs d’impact en vol du Conseil national de recherches du Canada remis au Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, partie 1

Une grenouille-taureau typique sauvage et libre. John J. Brice, éditeur, A Manual of Fish-Culture: Based on the Methods of the United States Commission of Fish and Fisheries, with Chapters on the Cultivation of Oysters and Frogs (Washington : Government Printing Office, 1897), 258.

« La grenouille est-elle gibier ou poisson? Là est le chiendent. » Un bref coup d’œil sur l’histoire de la raniculture au Canada et au Québec, partie 4

Une publicité typique de Giant Frog & Sea Food Limited de Montréal, Québec. Anon., « Giant Frog & Sea Food Limited. » La Patrie, 18 octobre 1952, 53.

« La grenouille est-elle gibier ou poisson? Là est le chiendent. » Un bref coup d’œil sur l’histoire de la raniculture au Canada et au Québec, partie 3

Trois des innombrables grenouilles-taureaux trouvées dans la grenouillère de Harold Lee, Casitas Springs, Californie. Anon., « Nature – Frog Farm.” » Pix, 6 janvier 1951, 30.

“La grenouille est-elle gibier ou poisson? Là est le chiendent. » Un bref coup d’œil sur l’histoire de la raniculture au Canada et au Québec, partie 2

Une publicité typique de Canadian Frog’s Industries Company de Montréal, Québec. Anon., « Canadian Frog’s Industries Company. » La Patrie, 16 novembre 1952, 86.

« La grenouille est-elle gibier ou poisson? Là est le chiendent. » Un bref coup d’œil sur l’histoire de la raniculture au Canada et au Québec, partie 1

Un dessin éditorial qui reflète la réaction de nombreux Américains suite au lancement de Spoutnik 2. Une traduction du titre du dessin pourrait être Notre propre disgrâce non-volante. John Milt Morris, « Our own non-fly doghouse. » The Nome Nugget, 8 novembre 1957, 2.

Les trois jours du Spoutnik; ou, « Radio-Moscou admet que le chien tournant autour de la terre dans le satellite ne reviendra jamais » : Laïka, Spoutnik 2 et la presse quotidienne du Québec, partie 3

Une réplique de Spoutnik 2, Tsentral’nyy Dom Aviatsii i Kosmonavtiki DOSAAF Rossíi, Moscou, avril 2021. Krasnyy via Wikipédia.

Les trois jours du Spoutnik; ou, « Radio-Moscou admet que le chien tournant autour de la terre dans le satellite ne reviendra jamais » : Laïka, Spoutnik 2 et la presse quotidienne du Québec, partie 2

Le premier portrait official de Laïka à être diffusé par les autorités soviétiques. Cette photographie est initialement publiée dans le quotidien moscovite Pravda. Anon., « More Sputnik Dogs Due Before Humans Go Up. » The Evening Star, 13 novembre 1957, 6.

Les trois jours du Spoutnik; ou, « Radio-Moscou admet que le chien tournant autour de la terre dans le satellite ne reviendra jamais » : Laïka, Spoutnik 2 et la presse quotidienne du Québec, partie 1

Le biplan (monoplace?) conçu par Canadian Aircraft Works (Incorporated? Limited? Registered?) de Montréal / Coteau Rouge, Québec, janvier 1915. Gustave Pollien peut se trouver aux commandes. MAEC, 1134.

Un terrifique trio actif aux débuts de l’aviation au Québec : Ernest Anctil, Gustave Pollien et Percival Hall Reid, partie 3

Le biplan fabriqué par Gustave Pollien (à gauche) et Ernest Anctil, Cartierville, Québec. Anon., « L’aviation chez nous – Un jeune aviateur canadien-français, Ernest Anctil, vole avec succès sur un biplan construit au pays. » La Presse, 27 septembre 1912, 1.

Un terrifique trio actif aux débuts de l’aviation au Québec : Ernest Anctil, Gustave Pollien et Percival Hall Reid, partie 2

Le biplan fabriqué par Ernest Anctil (à gauche dans la photographie du bas) et Gustave Pollien, Cartierville, Québec. Anon., « The first Montreal-made biplane. » The Standard, 5 octobre 1912, 4.

Un terrifique trio actif aux débuts de l’aviation au Québec : Ernest Anctil, Gustave Pollien et Percival Hall Reid, partie 1

Louis Victor Jules Vierne (3ème à partir de la gauche), compositeur et organiste de la cathédrale Notre-Dame de Paris au clavier de l’orgue électronique Coupleux Givelet, station de radio Poste Parisien, Paris, France. Anon., « L’orgue des ondes du ‘Poste parisien’ est inauguré. » Le Petit Parisien, 27 octobre 1932, 1.

La mélodieuse épopée de deux pionniers français de la musique électronique qui méritent d’être mieux connus : Joseph Armand Marie Givelet et Édouard Éloy Coupleux

 Vue d’artiste du satellite canadien Alouette en orbite au-dessus du Canada. Office national du film, Photo-reportage 288 – Le Canada, nouveau visiteur de l’espace, NFB62-5961.

Alouette, gentille alouette, Alouette, je te lancerai; Ou, Comment la Guerre froide propulse le Canada dans l’espace par le biais du satellite Alouette, partie 3

La fusée Thor-Agena qui place le satellite canadien Alouette en orbite, Vandenberg Air Force Base, Californie. Anon., « Alouette’ Working Perfectly – First Canadian Satellite in Orbit. » The Montreal Star, 29 septembre 1962, 1.

Alouette, gentille alouette, Alouette, je te lancerai; Ou, Comment la Guerre froide propulse le Canada dans l’espace par le biais du satellite Alouette, partie 2

Deux des ingénieurs qui font du satellite Alouette un succès : Colin A. Franklin (à gauche) et John N. Barry, Ottawa, Ontario. Anon., « Many ‘Firsts’ for Canadian Satellite – Alouette Sports New Space Advances. » The Montreal Star, 22 septembre 1962, 43.

Alouette, gentille alouette, Alouette, je te lancerai; Ou, Comment la Guerre froide propulse le Canada dans l’espace par le biais du satellite Alouette, partie 1

Vue approximative de la zone dans laquelle l’éclipse solaire du 31 août 1932 peut être observée dans sa totalité (image principale), ou pas (colonne de droite). Anon. « Mighty Workings of Tomorrow’s Eclipse. » Sherbrooke Daily Record, 30 août 1932, 1.

« Nous prions tous pour une journée sans nuages : » L’éclipse solaire du 31 août 1932 au Québec, partie 3

Certains des chercheurs britanniques éminents en route vers le Canada dans le but d’observer l’éclipse solaire totale du 31 août 1932. Anon., « Le ciel québécois et les astronomes. » La Presse, 29 juillet 1932, 9.

« Nous prions tous pour une journée sans nuages : » L’éclipse solaire du 31 août 1932 au Québec, partie 2

L’éclipse solaire du 31 août 1932 telle qu’on peut l’observer dans sa totalité, à partir d’une route de campagne du Maine. Anon., « Souvenir d’éclipse. » La Presse – Magazine illustré, 24 septembre 1932, 9.

« Nous prions tous pour une journée sans nuages : » L’éclipse solaire du 31 août 1932 au Québec, partie 1

Le réservoir Manicouagan, également connu sous le nom d’œil du Québec, photographié depuis l’espace par le satellite Sentinel 2-A du programme Copernicus de l’Agence spatiale européenne, janvier 2017. https://scihub.copernicus.eu/ via Wikimedia.

Sic itur ad astra : Quelques observations sur la stellaire carrière de l’astronome canadien Carlyle Smith Beals, partie 2

Carlyle Smith Beals, astronome fédéral. Raymond Taillefer, « Tant qu’il y aura des étoiles - L’observatoire fédéral assure au Canada un brillant rôle scientifique. » Le Droit, 2 août 1947, 1.A.

Sic itur ad astra : Quelques observations sur la stellaire carrière de l’astronome canadien Carlyle Smith Beals, partie 1

Le prototype de l’avion de brousse canadien de Havilland Canada DHC-2 Beaver en montre au Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, Ottawa, Ontario. MAEC, deHavilland DHC-2 Beaver-005

Bonne fête Beaver, bonne fête Beaver, bonne fête, bonne fête, bonne fête Beaver : Un trop bref coup d’œil sur une icône canadienne, l’avion de brousse de Havilland Canada DHC-2 Beaver, partie 2

Le prototype de l’avion de brousse canadien de Havilland Canada DHC-2 Beaver le jour de son premier vol, Downsview, Ontario, août 1947. MAEC, KM-08317

Bonne fête Beaver, bonne fête Beaver, bonne fête, bonne fête, bonne fête Beaver : Un trop bref coup d’œil sur une icône canadienne, l’avion de brousse de Havilland Canada DHC-2 Beaver, partie 1

Le Shell By-Plane X 100 Astroterramare du professeur Septimus Urge (extrême droite), Pleasure Gardens du Festival of Britain, Battersea Park, Londres, Angleterre. Anon., « New British Jet Unique, but Not Matchless. » Aviation Week, 18 août 1952, 44.

Des machines de Heath Robinson / Rube Goldberg que Heath Robinson et « Rube » Goldberg eux-mêmes auraient approuvées; Ou, Le monde merveilleux de Frederick Rowland Emett et ses choses

Rachel Marie-Louise Clément, née Guillot, en train se saler des fromages camembert Madame Clément produits par Laiterie R.A. Clément (Enregistrée? Incorporée? Limitée?), McMasterville ou Beloeil, Québec. Anon., « Fromages du Québec. » Photo-Journal, 28 août 1952, 33.

« Si j’avais cent vies, je recommencerais l’aventure du camembert : » Le délicieuse saga québécoise de la famille Clément et de ses fromages

Vue d’artiste du dirigeable conçu par le modeleur, ouvrier, sculpteur ou tailleur de pierre québécois Louis N. Filion. Anon., « Le secret de la direction des ballons est-il réellement détenu par un Canadien-français? » La Patrie, 26 juillet 1902, 19.

En 1902, le secret de la direction des ballons dirigeables est-il détenu par le Québécois Louis N. Filion? C’est à moi de le savoir et à vous de le découvrir

Une publicité typique de Bamboo Cycle Company Limited de Londres, Angleterre. Anon., « Bamboo Cycle Company Limited. » The Graphic, 31 juillet 1897, 179.

« En cas de doute mon conseil est Acheter une Bamboo : » Quelques pages sur Bamboo Cycle Company Limited de Londres, Angleterre

Un tir d’essai américain d’une fusée à courte portée sol-sol non guidée Douglas M31 Honest John. Anon., « Engins et missiles ». Aviation Magazine, 1 juin 1959, 155.

Elle n’a peut-être pas changé l’histoire mais aurait certainement changé la géographie : Un bref mais effrayant coup d’œil sur les fusées à courte portée sol-sol non guidées Douglas M31 et M50 / MGR-1 Honest John, partie 2

Une équipe de l’Artillerie royale canadienne de l’Armée canadienne s’entraînant sur une fusée à courte portée sol-sol non guidée Douglas M31 Honest John de la United States Army, Fort Sill, Oklahoma. Anon., « Rocket Training. » Sherbrooke Daily Record, 13 juillet 1957, 1.

Elle n’a peut-être pas changé l’histoire mais aurait certainement changé la géographie : Un bref mais effrayant coup d’œil sur les fusées à courte portée sol-sol non guidées Douglas M31 et M50 / MGR-1 Honest John, partie 1

Une publicité de Frisco Soda Water Company de Montréal, Québec, pour la bière Salvador brassée par Reinhardt ‘Salvador’ Brewery Limited de Toronto, Ontario. Anon., « Frisco Soda Water Company. » The Montreal Daily Star, 5 juillet 1912, 5.

Un conte de deux Reinhardt; ou, Un bref aperçu de deux brasseries canadiennes disparues et oubliées depuis longtemps

Kenneth Albert Arnold, au centre, avec deux autres pilotes qui affirment avoir vu des objets volants non identifiés, soit Emil J. Smith, à gauche, et Ralph Stevens. Anon., « Pilotes qui virent des soucoupes volantes. » Le Soleil, 8 juillet 1947, 1.

« Tout le monde a vu les soucoupes volantes, les journalistes exceptés : » Les premières observations d’objets volants non identifiés / phénomènes aériens non identifiés dans la province de Québec, 24 juin au 19 juillet 1947, partie 2

Kenneth Albert Arnold. Anon., « Boise Airman Positive He Didn’t See Ordinary Craft Reflections. » The Idaho Daily Statesman, 28 juin 1947, 9.

« Tout le monde a vu les soucoupes volantes, les journalistes exceptés : » Les premières observations d’objets volants non identifiés / phénomènes aériens non identifiés dans la province de Québec, 24 juin au 19 juillet 1947, partie 1

Une publicité typique de O-Pee-Chee Gum Company de London, Ontario. Anon., « O-Pee-Chee Gum Company. » The Aylmer Express, 6 juin 1912, 5.

« Mâche Mâche Mâche Mâche ta gomme à bulles: » Les sucrés de bons vieux temps de O-Pee-Chee Gum Company Limited de London, Ontario

Publicité concernant la Isetta fabriquée par Isetta of Great Britain Limited. Une fois traduit, le texte se lit : « Hé! ne touche pas à cette pièce de 10 cents! Je vais juste prouver que cette Isetta peut se garer dessus! » Anon., « City Motors Limited. » The Gazette, 21 novembre 1957, 2.

Un coup d’œil sous le capot d’un des symboles du miracle économique ouest-allemand des années 1950 ; ou, L’histoire multiforme et multinationale de la microvoiture Isetta, partie 2

Une BMW 250 ou 300 typique. Devon Francis, « What you get in the foreign economy cars. » Popular Science, juin 1957, 62.

Un coup d’œil sous le capot d’un des symboles du miracle économique ouest-allemand des années 1950 ; ou, L’histoire multiforme et multinationale de la microvoiture Isetta, partie 1

Un projecteur de planétarium Spitz au Planetario Municipal Agrimensor Germán Barbato, le premier planétarium d’Amérique du Sud, inauguré en 1955, Montevideo, Uruguay, février 2015. Fedaro via Wikimedia.

Béni soit celui qui apporte les merveilles du cosmos à la multitude : Armand Neustadter Spitz et ses projecteurs de planétarium, partie 2

Armand Neustadter Spitz. Hilaire Cuny, « Sciences et techniques – La plus gigantesque tentative de notre temps : La conquête de l’espace cosmique. » Combat, 15 mai 1957, 6.

Béni soit celui qui apporte les merveilles du cosmos à la multitude : Armand Neustadter Spitz et ses projecteurs de planétarium, partie 1

Une publicité typique de la firme William Hood & Company de Toronto, Ontario. Anon., « William Hood & Company. » The Canadian Grocer & General Storekeeper, 27 mai 1892, 9.

« Un nouveau gagnant commercial pour les épiciers et marchands généraux; » ou, Comment William Hood & Company de Toronto, Ontario, devient un prétexte pour s’attarder sur les mystères de… l’huile de ricin

Une publicité typique de Tillson Company Limited. Anon. « Tillson Company Limited. » The Canadian Grocer & General Storekeeper, 13 mai 1892, 19.

« Un aliment, pas une mode: » La vie et l’époque de Edwin Delevan Tillson de Tillsonburg, Ontario

Gertrude Dugal, la première Québécoise francophone ayant obtenu une licence de pilote – ou pas, Aéroport de Cartierville, Cartierville, Québec. Anon., « La seule diplômée. » La Patrie, Journal du dimanche, 18 mai 1947, 1.

« À travers les nuages, je vois voler mon ombre: » Quelques mots sur Gertrude Dugal, la première Québécoise francophone ayant obtenu une licence de pilote – à moins que ce ne soit quelqu’un d’autre

Une motomarine Vincent Amanda dans son élément, Ruislip, Angleterre, avril 1957. Anon., “Triss i bâtar.” Teknikens Värld med Flyg, 2 au 16 mai 1957, 8.

Bournemouth, Scarborough, ooh je veux vous emmener. Great Yarmouth, Lyme Regis, ami(e) lectrice, lecteur : La Vincent Amanda, l’ancêtre presque oubliée des motomarines d’aujourd’hui

Une vue en gros plan d’une pilule radio quelques instants avant que le premier patient volontaire ne l’avale. Anon., « Science – Radio Made to Swallow. » Life, 29 avril 1957, 74.

Prenez une de ces pilules et vos entrailles m’appelleront en matinée : La saga digestive de… la pilule radio

Dan Cooper, tel que dessiné par l’auteur de bande dessinée belge Albert Weinberg lors de sa visite à North Bay, Ontario, en mai-juin 1966. Anon., « Originator of RCAF cartoon hero visits defence bases at North Bay. » The North Bay Nugget, 3 juin 1966, 1.

Un prolifique auteur de bande dessinée belge qui mérite d’être mieux connu : Le père de Dan Cooper, héros canadien, Albert Weinberg (1922-2011), partie 2

Albert Weinberg au cours d’une de ses nombreuses visites en sol canadien. Anon., « Dan Cooper c’est Buzz Beurling. » La Presse, 31 mars 1975, A3.

Un prolifique auteur de bande dessinée belge qui mérite d’être mieux connu : Le père de Dan Cooper, héros canadien, Albert Weinberg (1922-2011), partie 1

Un avion de chasse FFVS J 22 typique de l’armée de l’air suédoise, ou Flygvapnet, Bunge, Suède, vers 1948-49. Flygvapenmuseum, FVMF.002142.

On m’a demandé quelques fois quel était mon avion préféré. Eh bien, voici l’un de mes favoris de tous les temps : l’avion de chasse suédois FFVS J 22, partie 2

Un avion de chasse FFVS J 22 typique de l’armée de l’air suédoise, ou Flygvapnet. Harald Jacobson, « Ett flygplan – en flygepok. » Looping, avril 1952, 12.

On m’a demandé quelques fois quel était mon avion préféré. Eh bien, voici l’un de mes favoris de tous les temps : l’avion de chasse suédois FFVS J 22, partie 1

 Une publicité pour des produits, en l’occurrence du hareng et de la sardine, mis en conserve par Connors Brothers Limited de Black’s Harbour, Nouveau-Brunswick. Anon., « Connors Brothers Limited ». Le Prix courant, 29 mars 1912, 20.

D’un appât à homard et engrais pour pommes de terre à de l’argent d’eau salée : L’humble sardine et Connors Brothers Limited de Black’s Harbour, Nouveau-Brunswick

Une Volvo P1800 comparable à celle que conduit Simon Templar, dit le Saint, un personnage joué à la télévision par Roger George Moore, Volvo Museum, Göteborg, Suède, 2008. Jarle Vines via Wikimedia.

Une sainte automobile du pays de « Fifi » Brindacier et Lisbeth Salander : La grande routière / voiture sport suédoise Volvo P1800, partie 2

Une grande routière / voiture de sport Volvo P1800 typique Anon., « La plus belle auto. » La Patrie du Dimanche, 25 mars 1962, 11.

Une sainte automobile du pays de « Fifi » Brindacier et Lisbeth Salander : La grande routière / voiture sport suédoise Volvo P1800, partie 1

Le député sortant de la circonscription électorale de Limoux, France, le sénateur Henri Charles Étienne Dujardin-Beaumetz. Joseph Uzanne. Figures contemporaines. (10ème édition) (Paris: Librairie Henri Floury, 1906), non paginé.

« Mon cher Védrines, c’est une panne de scrutin : » Charles Toussaint « Jules » Védrines et l’élection législative partielle de Limoux, France, de mars 1912, Partie 2

Caricature du sénateur Henri Charles Étienne Dujardin-Beaumetz se payant la tête de « Jules » Védrines, le candidat défait lors de l’élection législative partielle de Limoux, France, de mars 1912. Anon., « La course Limoux-Palais-Bourbon. » Le Rire, 30 mars 1912, non paginé.

« Mon cher Védrines, c’est une panne de scrutin : » Charles Toussaint « Jules » Védrines et l’élection législative partielle de Limoux, France, de mars 1912, Partie 1

Le laboratoire sur roues Lincoln Continental 1950X / Ford X-100. Anon., « La Ford de l’avenir. » Photo-Journal, 28 février 1952, 8.

La voiture de demain telle qu’on l’imaginait il y a 70 ans : Le laboratoire sur roues Lincoln Continental 1950X / Ford X-100

Edward T. Faulkner et son Curtiss JN-4 Canuck, Honeoye Falls, New York, 1962. Musée de l’aviation et de l’espace du Canada 2985.

Il décolle à 100 kilomètres/heure, vole à 100 kilomètres/heure et atterrit à 100 kilomètres/heure, plus ou moins : La saga du Curtiss JN-4 Canuck

Une publicité de David Brown (Canada) Limited de Toronto, Ontario, montrant des tracteurs offerts par une firme sœur / frère britannique, David Brown Tractors Limited. Anon., « David Brown (Canada) Limited ». Le Bulletin des agriculteurs, février 1962, 75.

« Voulez-vous conduire mon tracteur? Allons donc charger du foin. » Un très bref aperçu de l’histoire de la firme britannique David Brown Tractors Limited

Tomanowos, mieux connue sous le nom de météorite Willamette, American Museum of Natural History, New York, New York. Anon., « Ça et là, par l’image. » Le Samedi, 22 février 1947, 8.

Tomanowos, une visiteuse du ciel ou de la Lune : Un coup d’œil sur de la plus grosse météorite nord-américaine connue aujourd’hui

Vera Elsie Strodl portant le blouson de vol en cuir qu’elle porte pendant la Seconde Guerre mondiale. Glennis Zilm, « Only Canadian honored – Long love of flying brings award to aviatrix. » The Gazette, 1er février 1972, 8.

Dieu aurait pu être son copilote, Ou, La carrière remarquable d’une pilote remarquable, Vera Elsie Strodl

John D’Alton Woodlock avec un de ses fils, Peter Woodlock, devant le téléviseur familial, Iberville, Québec, été 1949. Arthur Prévost, « Dix ans avant CBFT – À Iberville, on a la TV depuis 14 ans!... » Le Petit Journal, 14 janvier 1962, A-49.

Mais malheureusement, comme tant de grands esprits, le pionnier québécois de la télévision John D’Alton Woodlock est parti trop tôt – et vite oublié

Une publicité de la Société auxiliaire agricole de Paris, France, montrant un tracteur agricole Pavesi P4 ou Agrophile-Pavesi en action. Anon., « Société auxiliaire agricole, » L’Agriculture nouvelle, 14 janvier 1922, 4.

Il était une fois un tracteur acrobate : La belle bien que partiellement militaire histoire du tracteur agricole Pavesi P4 et la carrière de Ugo Pavesi

Deux des grands avions de chasse de la Première Guerre mondiale : un SPAD S.VII du Royal Flying Corps ou de l’Aéronautique militaire et un Albatros D.III du Luftstreitkräfte. Anon., « A Dog Fight. » Canadian Aviation, janvier 1932, 12.

L’histoire des photographies les plus extraordinaires jamais prises de combats aériens pendant la Première guerre mondiale, Ou, Le long et le court de la collection Cockburn-Lange

Une vue d’ensemble d’un des premiers réseaux téléphoniques au Canada, Montréal, Québec, 1878. Anon., « Le premier téléphone qui ait jamais été installé à Montréal. » La Presse, 27 janvier 1912, 5.

Ils sont parmi les premiers à tendre la main et toucher quelqu’un : Un regard sur un des premiers réseaux téléphoniques au Canada

Le Canadair CL-44 loué par British Overseas Airways Corporation (BOAC), septembre 1963. Cet aéronef de Seaboard World Airlines Incorporated transporte 19 voitures de course du Royaume-Uni aux États-Unis lors de ce vol, son premier aux couleurs de BOAC. MAEC.

Un bon élan en mérite un autre : La saga de l’avion-cargo canadien Canadair CL-44, Partie 2

Une publicité de l’avionneur Canadair Limited de Cartierville, Québec, vantant les mérites de son hénaurme avion-cargo, le Canadair CL-44. Anon., « Canadair Limited. » La Presse, 23 janvier 1962, 29.

Un bon élan en mérite un autre : La saga de l’avion-cargo canadien Canadair CL-44, Partie 1

Publicité publiée par les magasins Zeller’s Limited de Calgary, Alberta, qui met en valeur le tracteur Reely Ride-’em produit par Reliable Toy Company Limited de Toronto, Ontario. Anon. « Zeller’s Limited. » The Calgary Herald, 11 décembre 1961, 32.

Jouets, glorieux jouets, on voudrait bien jouer : Quelques pages sur Reliable Toy Company Limited de Toronto, Ontario

Un hydravion à flotteurs utilitaire de Havilland Canada DHC-3 Otter exploité par Northway Aviation Limited de St. Andrews, Manitoba, lac Fishing, Manitoba, septembre 2005. Mark Swaffer via Wikimédia.

Le camion volant d’une tonne du Canada : le de Havilland Canada DHC-3 Otter

Une publicité de Moline Plow Company montrant un Moline Universal Tractor en action. Anon. « Moline Plow Company. » L’Agriculture nouvelle, 10 décembre 1921, 707.

Un véhicule très réussi et, oserais-je le taper, un gougeur de pente de l’industrie des tracteurs agricoles : le Moline Universal Tractor

L’avion de ligne à réaction Douglas DC-8 de Canadian Pacific Airlines Limited de Vancouver, Colombie-Britannique, connu sous le nom de Empress of Montreal. Anon., « Empress of Montreal DC-8 First CPA Jet Visitor. » The Gazette, 6 décembre 1961, 17.

Un article dont je suis réticent à divulguer la phrase-choc si tôt dans le jeu : Ou, Un DC racé utilisé par CP

L’avion-cargo Fairchild C-119 Flying Boxcar de la United States Air Force emprunté par Iron Ore Company of Canada Incorporated en 1951. Anon., « Fret aérien – L’opération Ungava – Le fret aérien accélère l’application d’un projet. » Interavia, décembre 1951, 672.

« Dans l’intérêt de la sécurité nationale » : Le rôle joué par un avion-cargo Fairchild C-119 Flying Boxcar de la United States Air Force dans le développement des gisements de minerai de fer de la région du lac Knob

Le Vertol Modèle 42 de Skyrotors Limited de Arnprior, Ontario, nolisé par Spartan Air Services Limited de Ottawa, Ontario, dans le cadre de l’Opération High Tower. Anon., « Operation High Tower. » The Ottawa Citizen, 8 novembre 1961, 3.

Votre mission, si toutefois vous l’acceptez, est de déplacer des trucs : Spartan Air Services Limited de Ottawa, Ontario, la station radiophonique CFRA de Ottawa et l’Opération High Tower

Une des deux sculptures grandeur nature en alliage d’aluminium de grues blanches créées par Wolfram F. Niessen pour le Regina Municipal Airport, Regina, Saskatchewan. Anon., « Regina Honors the Whooping Crane. » The Ottawa Citizen, Weekend Magazine, 18 novembre 1961, 38.

Parlons d’art, humaines et humains. Tous les humains. Plus fort maintenant. Aidez-moi. – Wolfram F. Niessen, John Cullen Nugent et les sculptures grandeur nature en alliage d’aluminium de grues blanches créées pour le Regina Municipal Airport

Joseph Alphonse Ouimet. Anon., « Le pionnier de la télévision préférait la radio à une bicyclette neuve. » La Patrie, 5 novembre 1961, 26.

« Le pionnier de la télévision préférait la radio à une bicyclette neuve : » Un survol de la carrière de Joseph Alphonse Ouimet, un père fondateur de la télévision canadienne

Une publicité publiée par La traction et le matériel agraires Société anonyme pour le tracteur de jardin américain Beeman Junior. Anon., « La traction et le matériel agraires Société anonyme. » L’Agriculture nouvelle, 12 novembre 1921, 664.

« Les arpents verts, les champs, les bois, les chemins creux, c’est fait pour moi : » La firme américaine Beeman Garden Tractor Company et le tracteur de jardin / motoculteur Beeman Junior ou Modèle G

Une ascension de l’aéronaute et parachutiste foraine Florida Lanthier. Maurice Desjardins, « Dans une modeste maison de Montréal-Nord – Florida Lanthier, reine des parachutistes, vit de couture... et de souvenirs. » Photo-Journal, 8 novembre 1951, 3.

Ombres et lumière dans le ciel du Québec : Un premier regard sur la vie et l’époque de l’aéronaute et parachutiste foraine féminine québécoise Florida Lanthier

L’irradiateur mobile de démonstration monté par Énergie atomique du Canada Limitée. Anon., « Boon to Canadian potato industry. » Saskatoon Star-Phoenix, 21 octobre 1961, 6.

Une patate chaude, deux patates chaudes, trois patates chaudes, quatre : Énergie atomique du Canada Limitée de Chalk River, Ontario, et les premiers jours de l’irradiation des aliments au Canada

Une automobile légère et économique Mathis VL333. Fernand de Laborderie, « Le 33e Salon de l’automobile. » La Nature, 15 octobre 1946, 331.

Une vision d’avenir pour une firme à bout de souffle : L’automobile légère et économique française Mathis VL333

Un Bristol Bolingbroke de reconnaissance côtière destiné à l’Aviation royale du Canada en cours de montage dans l’usine de Fairchild Aircraft Limited, Longueuil, Québec, 1941. Anon., « Les C.F. et la R.C.A.F. » Le Samedi, 18 octobre 1941, (c).

« Nous devons obtenir du matériel aérien et veiller sur nos côtes » – L’Aviation royale du Canada et l’avion de reconnaissance côtière Bristol Bolingbroke

 Le prototype du de Havilland Canada DHC-6 Twin Otter en montre au Musée de l’aviation du Canada, Ottawa, vers 2001. MAEC.

De pôle en pôle et d’horizon en horizon, le Twin Otter était, est et sera là : Une bien brève pontification sur un des meilleurs aéronefs canadiens jamais conçus

Le Royal Aircraft Factory B.E.2 en montre au Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, Ottawa, Ontario, février 2009. Wikipédia.

Le cas étrange et déconcertant des aéroplanes substitués; ou, Même en utilisant les Mathématiques modernes, 4112 n’égale jamais 5878 : La haute histoire du Royal Aircraft Factory B.E.2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, partie 2

Le Royal Aircraft Factory B.E.2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada alors qu’il appartient au Musée canadien de la guerre, Ottawa, Ontario. H.J. (« Titch ») Jenkins, « Correspondence – Ottawa’s – and Sowrey’s – B.E.2c. » Flight, 12 octobre 1961, 600.

Le cas étrange et déconcertant des aéroplanes substitués; ou, Même en utilisant les Mathématiques modernes, 4112 n’égale jamais 5878 : La haute histoire du Royal Aircraft Factory B.E.2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, partie 1

Isidore Joseph Amédée Marsan. Anon., « Isidore Joseph Amédée Marsan. » Le Bulletin des agriculteurs, 17 septembre 1921, couverture.

Un des pionniers de la science agricole au Québec et au Canada: Isidore Joseph Amédée Marsan

Une annonce publicitaire de St. Lawrence Starch Company Limited, Port Credit, Ontario. Anon., « Publicité – St. Lawrence Starch Company Limited. » Le Bulletin des agriculteurs, septembre 1941, 61.

Gratis, magnifiques cartes portant des dessins ou photographies d’aéronefs alliés! Collectionnez-les toutes!

Une automobile Aluminium français-Grégoire, Cité de l’automobile – Musée national – Collection Schlumpf, Mulhouse, France, mai 2010, Wikimédia.

Ent’ deux joints, il a ben fait quequ’chose : Jean Albert Grégoire et ses magnifiques automobiles, Partie 2

 Un exemplaire de l’automobile électrique française CGE-Tudor. C. Faroux, « Un progrès considérable de la voitures électrique. » La Vie automobile, 25 septembre 1941, 284.

Ent’ deux joints, il a ben fait quequ’chose : Jean Albert Grégoire et ses magnifiques automobiles, Partie 1

Le seul et unique exemplaire de l’avion de ligne à long rayon d’action italien Breda Zappata BZ 308. Jacques Gambu. « Breda Zappata BZ 308. » Aviation Magazine, 1er septembre 1951, 21.

Il Constellation italiano, une étoile méconnue du firmament aéronautique de l’Italie : L’avion de ligne à long rayon d’action Breda Zappata BZ 308

Paul Fjeld dans la demeure familiale, Rosemère, Québec. Claude-Lyse Gagnon, « Parti avec $200 en poche – Un jeune Québécois a pu voir décoller Apollo 15. » La Patrie, 15 août 1971, 12.

Espace, frontière de l’infini vers laquelle voyage notre planète, la Terre; voici l’histoire de vie de Paul Fjeld, passionné d’espace et artiste depuis plus d’un demi-siècle

Publicité pour la lager Frontenac Blue Label de National Breweries Limited de Montréal, Québec. Anon., « Publicité – National Breweries Limited. » Le Samedi, 23 août 1941, 12.

La grande victime de la guerre de la bière de Montréal de 1925 : Frontenac Breweries Limited de Montréal, Québec

Un véhicule tout-terrain Karou Karou. Anon., « Opération Camping à Saint-Hilaire. » Photo-Journal, 26 juillet au 1er août 1971, 47.

Tout-terrain, tout-temps, tout-plaisir : Karou Incorporée de Drummondville, Québec, et le véhicule tout-terrain Karou

Le premier exemplaire de production de l’avion d’entraînement avancé Avro Anson de fabrication canadienne équipé d’un fuselage en contreplaqué moulé, lieu inconnu, 1943. MAEC, 23290.

Tout le monde ne sait pas que la fabrication d’aéronefs peut être un sport de contact : Clarence Decatur Howe, Harvey Reginald MacMillan et la production d’avions d’entraînement avancé Avro Anson au Canada, Partie 2

Une paire d’avions d’entraînement avancé Avro Anson de fabrication canadienne utilisée par l’École de pilotage militaire no 10, Base de l’Aviation royale du Canada de Dauphin, près de Dauphin, Manitoba, 1943-44. MAEC, 27297.

Tout le monde ne sait pas que la fabrication d’aéronefs peut être un sport de contact : Clarence Decatur Howe, Harvey Reginald MacMillan et la production d’avions d’entraînement avancé Avro Anson au Canada, Partie 1

Le tout premier tramway électrique exploité par Telegraphen-Bau-Anstalt von Siemens & Halske, Berlin, Empire allemand. Anon., « The first electric railway in Berlin. » Canadian Illustrated News, 9 juillet 1881, 21.

Un tramway nommé Straßenbahn Groß-Lichterfelde, ou, Comment Telegraphen-Bau-Anstalt von Siemens & Halske met en service le premier tramway électrique au monde

L’auteur et pionnier canadien de l’aviation Frank Henry Ellis (au centre) avec les pionniers américains de l’aviation Frank Purdy Lahm (à gauche) et Will D. « Billy » Parker, président de Early Birds of Aviation Incorporated, Los Angeles, Californie. Robert Francis, « Early Birds ». Sunday Sun Magazine, 28 juillet 1951, 5.

Si nous avons vu plus loin, c’est en montant sur les épaules d’un géant : Frank Henry Ellis et Canada’s Flying Heritage

Publicité montrant un tracteur italien SAME Buffalo. Anon., « Publicité – Les Entreprises Biasotto & Hardy (Canada) Incorporée. » Le Bulletin des agriculteurs, juillet 1981, 26.

Ils étaient tous pareils, frères l’un de l’autre : Francesco Cassani, Eugenio Gabriele Cassani et la Società Accomandita Motori Endotermici (SAME)

Un Canadair North Star de British Overseas Airways Corporation, London Airport, Heathrow, Angleterre, septembre 1954. Wikimédia.

Le tour du monde en 80 heures : Quelques pages sur le Canadair North Star, partie 2

Le prototype du Canada North Star, 1946. Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, KM-08329

Le tour du monde en 80 heures : Quelques pages sur le Canadair North Star, partie 1

Une annonce publicitaire pour une faucheuse fabriquée par La Machine Agricole Nationale Limitée de Montmagny, Québec. Anon., « Publicité – La Machine Agricole Nationale Limitée. » Le Bulletin des agriculteurs, 11 juin 1921, 556.

Faites que personne n’oublie que, pendant un moment bref et éclatant, il y a eu La Machine Agricole Nationale Limitée de Montmagny, Québec

La civière Folland / Hawker Siddeley Hoverstretcher en action. Anon., « Airborne comfort. » The Calgary Herald, 9 juin 1961, 19.

Développer le germe d’une idée: Maurice Joseph Brennan et ses aéroglisseurs

Des mères et enfants prêtes à monter à bord d’un des avions de ligne Douglas DC-3 convertis en Nurseryliner par United Air Lines Incorporated, San Francisco, Californie, avril ou mai 1946. Anon., « Service aérien pour bébés. » Photo-Journal, 20 juin 1946, 12.

Asseyez-vous, détendez-vous et profitez du voyage – Des bébés dans l’avion : United Air Lines Incorporated et son service Nurseryliner

L’ingénieur et astronome amateur canadien James Hargreaves avec un instrument qu’il a fabriqué lui-même. Jean Taillefer, « Un voyage de 180 jours au Soudan, en Afrique; une expérience astronomique de 180 secondes. » Le Droit, 16 juin 1951, 13.

« Un savant d’Ottawa fait un sacrifice pour la science: » L’ingénieur et astronome amateur canadien James Hargreaves et ses voyages autour du globe

Le prototype de l’avion de brousse Fairchild F-11 Husky peu avant son premier vol, juin 1946, Musée de l’aviation et de l’espace du Canada KM-05311.

Chien-chien, tu es doué, très doué, mais tant que le rongeur sera dans le métier, tu ne seras jamais que le second : La brève mais longue histoire de l’avion de brousse Fairchild F-11 Husky

Un dessin écorché de l’avion de brousse canadien Fleet Modèle 50 Freighter. Anon., « Fleet’s Trainer and Transport. » Aviation, mai 1941, 61.

Il aurait pu (et dû?) être un des grands : L’avion de brousse canadien Fleet Modèle 50 Freighter

Wilfrid-Henri Perron. Claude Asselin, « Une encyclopédie québécoise pour les horticulteurs. » Photo-Journal, 3 au 9 mai 1971, 12.

Chez Perron, tout est bon : Un géant de l’horticulture québécoise et canadienne, Wilfrid-Henri Perron (1897-1977)

Le cyclecar / vélomobile / vélocar / automouche à pédales et / ou moteur auxiliaire Le Dauphin. Edmond Massip, « Un cyclecar à pédales et moteur auxiliaire. » La Vie automobile, 25 mai 1941, 153.

Le cyclecar / vélomobile / vélocar / automouche à pédales et / ou moteur auxiliaire Le Dauphin : Une solution (extrême?) à la pénurie de carburant à Paris au cours de l’occupation allemande pendant la Seconde Guerre mondiale

L’autogire Pitcairn PCA-2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada lors de sa grande tournée aux États-Unis, alors qu’il appartient à Sealed Power Corporation. Anon. « Pohled na Ciervovu autogiro za letu. » Letectvi, novembre 1932, 310.

« ’Moulin à vent volant’ ici mercredi » : Le grand périple de Donald Walker et du Pitcairn PCA-2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, partie 2

L’autogire Pitcairn PCA-2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada au moment où il appartenait à Standard Oil Company of New York. Anon., « Publicité – Standard Oil Company of New York. » Aviation, mai 1931, 22.

« ‘Moulin à vent volant’ ici mercredi » : Le grand périple de Donald Walker et du Pitcairn PCA-2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, partie 1

Une annonce publicitaire sobre et sans fioriture d’Elzéar Fortier Limitée de Québec, Québec. Anon., « Publicité – Elzéar Fortier Limitée. » L’Action catholique, 8 avril 1946, 9.

C’était un malin: Elzéar Fortier et la production de boissons gazeuses à Québec, Québec

Youri Alekseïevitch Gagarine et Charles Augustus Lindbergh. La légende de ces photographies mentionne la ressemblance frappante entre ces personnes importantes du monde de l’astronautique et de l’aéronautique. Anon., « Lancement du premier homme dans l’espace – Comment se sont déroulés les événements en Union soviétique. » La Tribune, 13 avril 1961, 24.

C’était aussi un petit pas pour un homme, un pas de géant pour l’humanité : Le vol dans l’espace de Youri Alekseïevitch Gagarine dans la presse francophone québécoise, 12-15 avril 1961, partie 2

Le major Youri Alekseïevitch Gagarine au cours de sa visite à Helsinki, Finlande, juillet 1961. Wikimédia.

C’était aussi un petit pas pour un homme, un pas de géant pour l’humanité : Le vol dans l’espace de Youri Alekseïevitch Gagarine dans la presse francophone québécoise, 12-15 avril 1961, partie 1

Claire Wallace, animatrice de radio de Canadian Broadcasting Corporation interviewant Diana Jocelyn Dudley, ingénieure en aménagement intérieur de Trans-Canada Air Lines, janvier 1946. Anon. « Air Transportation – Radio Broadcast over Niagara. » Canadian Transportation, avril 1946, 200.

Pas un endroit pour une dame?! Baliverne! : Diana Jocelyn Dudley et Janet Elizabeth Lowe, les premiers ingénieurs en aménagement intérieur des Lignes aériennes Trans-Canada

Peter Müller aux commandes [sic] du Pedroplan, Berlin, Allemagne, mars 1931. Anon., « Cologne contre Marseille – Le mystère du ‘Pédroplan.’ [sic] » Les Ailes, 2 avril 1931, 14.

Je veux faire voler ma bicyclette, je veux faire voler mon cerf-volant : Peter Müller et le Pedroplan

L’aéroglisseur Phillips Saucercraft, Mount Hope, Ontario. Anon., « Flying saucer crack-up. » The Calgary Herald, 2 mars 1961, 1.

Un ONVI (Objet non volant identifié) des plus intrigants : L’aéroglisseur Phillips Saucercraft

La Dre Ann Elizabeth Noelle Grace s’occupant d’un de ses patients, Montreal General Hospital, Montréal, Québec. Claude Adams, « An eye-opener for our reporter – Team of women doctors shatters Ben Casey myth. » The Gazette, 3 mars 1971, 31.

Briser le mythe de Ben Casey et James Kildare : La première femme chirurgien pédiatrique du Canada, la Dre Ann Elizabeth Noelle Grace

Une publicité de Langlais & Frère Incorporée de Québec, Québec, vantant les mérites du tracteur Zetor 25. Anon. « Publicité – Langlais & Frère Incorporée. » L’Action catholique, 3 mars 1951, 14.

De leurs épées, ils forgeront des socs de charrue; ou, Un bref regard sur la société d’état tchèque Zbrojovka Brno Národní Podnik

 Quelques personnalités présentes lors l’inauguration de l’École d’avionnerie de Cartierville, Cartierville, Québec, 3 mars 1941. Anon., « À l’inauguration de l’École d’avionnerie de Cartierville. » La Presse, 4 mars 1941, 19.

Une réalisation magnifique, pleine de promesses d’avenir, balayée par l’esprit étroit de Maurice Le Noblet Duplessis : L’École d’avionnerie de Cartierville

La présentation du premier Boeing Modèle 747 d’Air Canada à l’Aéroport international de Montréal-Dorval, Dorval, Québec. Anon., « Des milliers de personnes ont vu le géant des airs. » La Presse, 22 mars 1971, A 1.

66 327 personnes ne peuvent pas avoir tort, mais elles peuvent avoir froid : La présentation du premier Boeing Modèle 747 d’Air Canada à l’Aéroport international de Montréal-Dorval

 Le Fokker D.VII du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, mars 2019. MAEC.

Un des grands aéronefs de combat du 20ème siècle et un des nombreux joyaux d’un des plus remarquables musées de l’aviation et de l’espace de la planète Terre : Le Fokker D.VII et l’avion du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada

Une publicité de Équipements Ascot Incorporée de Saint-Élie-d’Orford, Québec, vantant les mérites du tracteur UTB U530. Anon. « Publicité – Équipements Ascot Incorporée. » Le Bulletin des agriculteurs, février 1981, 28.

De leurs ailes, ils forgeront des socs de charrue; ou, Un bref regard sur la société d’état roumaine Uzina Tractorul Braşov

Un dessin éditorial mettant en lumière le lancement de la sonde planétaire soviétique Venera 1 en février 1961. Edmund Alexander Sebestyen, « To Venus With Love. » Saskatoon Star-Phoenix, 14 février 1961, 4.

Essayer de lever les voiles sous lesquels Vénus se cachait de notre regard : La saga de la sonde planétaire soviétique Venera 1

Un Jacobs Jaycopter au repos, Edmonton, Alberta. Lyn Harrington, « Cutting helicopter training cost. » Canadian Aviation, février 1961, 20.

Un simulateur d’hélicoptère avec une différence : il vole – Le Jacobs Jaycopter canadien

Dessin éditorial montrant le roi Neptune offrant sa couronne à l’équipage du English Electric Canberra qui traverse l’Océan Atlantique en février 1951. Charles R. Knight, « Ready to Abdicate. » The Windsor Daily Star, 22 février 1951, 4.

Quelques milliers de mots sur le English Electric Canberra / Martin B-57 Canberra et le petit rôle joué par Canadair Limited dans son histoire

Le premier exemplaire de série de l’hélicoptère Piasecki HUP Retriever. Anon., « News Picture Highlights. » Aviation Week, 15 janvier 1951, 9.

« Shoe, » Retriever, « Hupmobile » ou Army Mule – un HUP sous tout autre nom est encore un HUP : Les hélicoptères Piasecki HUP Retriever et H-25 Army Mule, et le HUP du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada

Une vue du barrage de Warsak, nord du Pakistan occidental. Anon., « Inauguration du barrage de Warsak. » Le Droit, 27 janvier 1961, 12.

Franchement, ma chère / mon cher, nous avons donné un barrage : Le Canada et le barrage de Warsak au Pakistan

Un des premiers de Havilland Canada Chipmunk importés au Royaume-Uni. Anon., « De Havilland [Canada] DHC-1 ‘Chipmunk.’ » Aviation Magazine, 1er janvier 1951, couverture.

Un Tamias striatus gambadant dans les nuages : Le de Havilland Canada Chipmunk

Le 5ème de Havilland Canada AC-1 Caribou de présérie. Larry Booda, “Aeronautical Engineering – Aviation Week Pilot Report – STOL Caribou Calls for Special Handling.” Aviation Week and Space Technology, 23 janvier 1961, 56.

Un camion volant qui a donné de la mobilité aux soldats de l’ère atomique : Le de Havilland Canada Caribou

La voiture lunaire Oberth telle qu’imaginée en 1960. I.M. Levitt, « Le problème du transport sur la Lune. » L’Action catholique, 10 juillet 1960, 5.

Je ne suis tout simplement pas sûr que ce véhicule a été bien pensé : La voiture lunaire du pionnier de l’astronautique Hermann Julius Oberth

La Ferrari 512 Pininfarina Modulo, en montre lors de l’édition 1971 du Salon international de l’Auto de Montréal, Montréal, Québec. Jean D. Legault, « Une première mondiale et 12 continentales. » La Patrie, 17 janvier 1971, 31.

Une des automobiles de rêve les plus célèbres de tous les temps : La Ferrari 512 Pininfarina Modulo

Publicité pour le moins sobre pour la bière d’épinette La Canadienne de F.A. Fluet Enregistré. Anon., « Publicité – F.A. Fluet Enregistré. » L’Action catholique, 4 janvier 1951, 5.

Une petite bière qui n’était pas de la petite bière : F.A. Fluet Enregistré de Québec, Québec, et la bière d’épinette La Canadienne

Une scène croquée lors du lancement du Jeu de l’électricité par Éditions Héritage Incorporée, Montréal, Québec, 6 novembre 1968. Anon., « –. » Le Devoir, 6 novembre 1968, 11.

A B C Abécédaire. Viens avec nous autour de la Terre : L’émission de télévision éducative pour enfants Tour de Terre de la Société Radio-Canada

Une publicité vantant les mérites du Vin St.Georges. Anon. « Publicité – T.G. Bright & Company Limited. » Le Bulletin des agriculteurs, décembre 1940, 2.

Pour régaler la famille pendant les Fêtes, n’oubliez pas le Vin St.Georges : Un bref regard sur un pionnier de l’industrie vinicole canadienne, T.G. Bright & Company Limited

Le Bell Modèle 47 utilisé par Airspray Limited, Ontario. Anon., “Helicopter – Down on the Farm.” Canadian Aviation, septembre 1947, 25.

Dans la ferme de Mathurin, hiya hiya ho. Il y a des centaines de Bell, hiya hiya ho : Quelques mots de plus sur les premiers jours de l’aviation agricole au Canada

Une publicité annonçant la mise en service de l’avion de ligne court et moyen-courriers Vickers Vanguard des Lignes aériennes Trans-Canada. Anon., « Publicité – Trans-Canada Air Lines. » Maclean’s, 3 décembre 1960, 8-9.

Du « gros Viscount » au Merchantman : Le voyage abrégé du Vickers Vanguard

Le Convair 580 utilisé par le Centre canadien de télédétection de Ressources naturelles Canada, Aéroport international MacDonald-Cartier d’Ottawa, Ottawa, Ontario, septembre 2001. Wikipédia.

C’était un des grands : L’aéronef de télédétection Convair 580 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada

Un aéronef agricole Air Tractor AT-502 utilisé par Southeastern Aerial Crop Service Incorporated, Belle Glade State Municipal Airport, Floride, juin 2013. Wikipédia.

Des ailes au-dessus du monde : Le turbopropulseur et turbomoteur PT6, Partie 2

Le premier turbopropulseur conçu au Canada, le PT6 de Canadian Pratt & Whitney Aircraft Company Limited. Anon., « Publicité – Canadian Pratt & Whitney Aircraft Company Limited. » The Gazette, 14 novembre 1960, 24.

Des ailes au-dessus du monde : Le turbopropulseur et turbomoteur PT6, Partie 1

Les 14 volumes de l’édition 1960 de L’Encyclopédie de la jeunesse de Grolier Limitée. Anon., « Publicité - Grolier Limitée. » La Tribune - Perspectives, 12 novembre 1960, 31.

Un livre de connaissance : L’Encyclopédie de la Jeunesse

Roxana Hartley et M. Jolie / lord Robert Brummel, les principaux protagonistes de la pièce américaine de 1930 Dancing Partner, Belasco Theatre, New York, New York. Anon., « The Stage Goes ‘Air-minded’. » Scientific American, novembre 1930, 355.

Une pièce dans un avion, et un avion dans une pièce : Dancing Partner, 1930

Le Supermarine Spitfire exposé pour le 20ème anniversaire de la bataille d’Angleterre, Colline du Parlement, Ottawa, Ontario, 18 septembre 1940. Anon., « News roundup – Battle of Britain Ceremonies. » Aircraft, novembre 1960, 58.

Un cadeau pour le ciel : Le Supermarine Spitfire Mk IIb du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada

Certains des montages du Musée national de l’air, Aéroport de Uplands, Ottawa, Ontario, début des années 1960. MAEC, numéro de négatif 4446.

Bonne fête à nous. Bonne fête à nous. Bonne fête cher MAEC. Bonne fête à nous : Quelques mots sur les premiers jours, semaines, mois et années du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada

Une reproduction (grandeur nature?) un tant soit peu inexacte de Spoutnik I en montre à Prague, Tchécoslovaquie, dans le cadre d’une exposition commémorant le 40ème anniversaire de la Grande révolution socialiste d’octobre. Anon., « Modèle du satellite russe. » Le Nouvelliste, 10 octobre 1957, 1.

Le Québec / Canada et le satellite le plus simple, le vaisseau spatial PS-1, autrement dit Spoutnik I : Un survol de ce qui se publie dans la presse québécoise francophone entre les 5 et 12 octobre 1957, Partie 4

Pierre Dorion, « L’ère des émotions. » La Presse, 9 octobre 1957, 4.

Le Québec / Canada et le satellite le plus simple, le vaisseau spatial PS-1, autrement dit Spoutnik I : Un survol de ce qui se publie dans la presse québécoise francophone entre les 5 et 12 octobre 1957, Partie 3

Le satellite le plus simple ou vaisseau spatial PS-1, autrement dit Spoutnik I, un peu avant son lancement, septembre 1957. NASA.

Le Québec / Canada et le satellite le plus simple, le vaisseau spatial PS-1, autrement dit Spoutnik I : Un survol de ce qui se publie dans la presse québécoise francophone entre les 5 et 12 octobre 1957, partie 2

Un dessin un tant soit peu inexact du vaisseau spatial PS-1, autrement dit Spoutnik I, en orbite autour de la Terre. Anon., « Fusées et satellites seraient invincibles. » Le Soleil, 8 octobre 1957, 1.

Le Québec / Canada et le satellite le plus simple, le vaisseau spatial PS-1, autrement dit Spoutnik I : Un survol de ce qui se publie dans la presse québécoise francophone entre les 5 et 12 octobre 1957, Partie 1

Eldon Douglas McEarchern travaillant sur son Piper PA-18 Super Cub agricole sous le regard d’un de ses fils, Carman, Manitoba. Anon., « Les fermiers volants de l’ouest canadien ». Le Samedi, 22 octobre 1960, 25.

Oh, quel matin magnifique! Oh, quelle journée magnifique! : Un aperçu de la première décennie du mouvement des fermiers volants au Canada

 Une des batteuses remorquées conçues et fabriquées par Dion & Frère Incorporée de Sainte-Thérèse-de-Blainville, Québec. Anon., « Publicité – Dion & Frère Incorporée. » Le Bulletin des agriculteurs, septembre 1940, 47.

Un siècle de technologie et d’innovation agricoles dans la région québécoise des Laurentides : De Dion & Frère à Dion-AG

Jani Moreau, agente de bord, telle qu’imaginée par l’artiste Nicole Lapointe. Anon., « Un nouvel illustré : Jani hôtesse de l’air. » Claire, 15 septembre 1960, couverture.

Elle n’est pas une serveuse dans le ciel : Jani hôtesse de l’air et quelques mots sur la présence des agentes de bord dans la culture populaire

Une furieuse Clara déchiquetant le biplan Curtiss piloté par George F. Russell, Dongan Hills, New York, 10 septembre 1910. Anon., "La vache et l’aéroplane". Le Petit Journal - Supplément illustrée, 25 septembre 1910, 312.

Une rencontre rapprochée de type étrange et inhabituel, ou, Comment Clara la vache a rencontré un biplan Curtiss à Staten Island, New York, New York

Le premier avion de ligne Douglas DC-3 livré aux Lignes aériennes Trans-Canada, Aéroport de Montréal (Dorval), Dorval, Québec, vers 1945-48. MAEC, numéro de négatif 25515

Un rutilant exemplaire d’un des aéronefs les plus célèbres et importants du 20ème siècle : Le Douglas DC-3 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada

Le premier avion léger /privé Fleet Modèle 80 Canuck, Fort Erie, Ontario, mars 1946. Cet aéronef appartient à Sturgeon Air Services Limited de Fredericton, Nouveau-Brunswick. MAEC, négatif numéro KM-07962

Enseigner à voler car il a des ailes : L’avion léger / privé canadien Fleet Modèle 80 Canuck

Un Zenair CH-701 fabriqué sous licence par Czech Aircraft Works Společnost s ručenim omezeným, Oshkosh, Wisconsin, juillet 2011. Wikimédia.

Née dans un garage, mais maintenant le monde entier est un marché pour Zenair Limited : Un coup d’œil sur les concepts de l’ère de la Guerre froide de Christophe Jean Heintz, partie 2

Christophe Jean Heintz aux commandes du Heintz Zenith. Anon., « –. » Aviation magazine international, 15 au 31 août 1970, couverture.

Née dans un garage, mais maintenant le monde entier est un marché pour Zenair Limited : Un coup d’œil sur les concepts de l’ère de la Guerre froide de Christophe Jean Heintz, partie 1

Le satellite-ballon Echo 1A au cours d’un essai de gonflement, 1960. National Aeronautics and Space Administration.

Les merveilleux ballons en plomb de Claude Williams Coffee, Junior, Walter Edward Bressette et William J. O’Sullivan : Les satellites-ballons Echo au Québec et ailleurs, Partie 2

Le satellite-ballon Echo 1A filant dans le ciel, au-dessus de l’École normale de Chicoutimi, Chicoutimi, Québec. Dominique Lapointe, « Une visite qui nous est devenue familière – L’Écho 1 continue à se promener tous les soirs sur notre région. » Le Progrès du Saguenay, 27 août 1960, 7.

Les merveilleux ballons en plomb de Claude Williams Coffee, Junior, Walter Edward Bressette et William J. O’Sullivan : Les satellites-ballons Echo au Québec et ailleurs, Partie 1

Un des Found FBA-2 de Georgian Bay Airways Limited. H.L. « Des US et du Canada 2 formules d’avions légers – 1 Le Found ‘Flying Truck.’ » Aviation magazine international, 1er juillet 1964, 39.

Un petit camion volant ontarien déménagé au pays des kiwis : L’avion de brousse Found FBA-2

Le seul et unique Cushioncraft CC1, initialement connu sous le nom de Britten-Norman BN-1 Cushioncraft / CC1 Cushioncraft. Anon., "News Digest - New Cushion-rider." Aviation canadienne, août 1960, 46.

À l’époque, ça semblait être une bonne idée : Les bananes du Cameroun britannique et l’aéroglisseur Cushioncraft CC1

Le seul et unique Canadian Car & Foundry CBY-3 Loadmaster. MAEC, numéro de négatif 17826.

Les huit vies d’un wagon de marchandises volant unique, le Canadian Car & Foundry CBY-3 Loadmaster

La fusée atomique / nucléaire pulsée imaginée par l’illustrateur américain bien connu Francis Xavier Theban Tinsley. Anon., « Publicité – American Bosch Arma Corporation. » Aviation Week, 4 juillet 1960, 13.

Un méchant souffle du passé : Francis Xavier Theban Tinsley et la fusée atomique / nucléaire pulsée

Walter Thomas Leavens examinant les coupes qui entraînent l’agitateur monté à l’intérieur de la trémie de l’avion léger / privé Piper J-5 Cub Cruiser utilisé par Leavens Brothers Air Services Limited. Anon., « Crop Dusting with a Cub. » Canadian Aviation, juillet 1945, 50.

Désherbez-les et récoltez : Leavens Brothers Air Services Limited et les premiers jours de l’aviation agricole en Ontario / au Canada après la Seconde Guerre mondiale

L’Aviateur du Pacifique.

Un roman d’anticipation et de guerre de la Belle Époque : L’Aviateur du Pacifique du capitaine Danrit (Émile Driant)

Le planeur à réaction Fouga CM.8 Cyclone / Sylphe. Anon., “–.” Aviation Magazine, 1er juin 1950, couverture.

J’aime les nuages… les nuages qui passent… là-bas… là-bas… les merveilleux nuages! Les Établissements Fouga et Compagnie et ses planeurs à réaction

La voiturette Sharp / Bond Minicar Mk A présentée à la population de Montréal, Québec, par le concessionnaire Budd & Dyer Limited. Anon., « Jusqu’à 110 milles au gallon. » La Presse, 10 juin 1950, 26.

Une voiturette conçue à une époque d’austérité : La Bond Minicar

Un hydroplaneur Koser / Koser-Hrovat KB-3 Jadran, mer Adriatique, été 1949. En arrière-plan, le navire à passagères et passagers côtier Dalmacija de la firme maritime d’état Jadranska Linijska Providba. Anon., « Gliding and sailplanes in Yugoslavia. » Sailplane and Glider, juin 1950, 125.

Au-dessus des étangs, au-dessus des vallées : L’hydroplaneur Koser / Koser-Hrovat KB-3 Jadran

Le tsar Nikolaï II, à gauche, les mains derrière le dos, regardant les aéroplanes qui ont participé à la Sankt-Peterburgskaya aviatsionnaya nedelya, Saint-Pétersbourg, Empire russe. Anon., « Nouvelles sportives – Le tsar chez les aviateurs. » La Revue aérienne, 10 juin 1910, 349.

Miracle des miracles, regardez ce que l’avion a ramené : La Sankt-Peterburgskaya aviatsionnaya nedelya

Le Danois Jan Bo Kristensen effectuant un atterrissage de précision avec un parachute-voile lors d’une compétition nationale organisée par la Dansk Faldskærms Union, Randers, Danemark, août 2005. Wikipédia.

L’imagination est le plus haut cerf-volant que l’on puisse faire voler : La vie et l’époque d’un maître du vent, Domina Cléophas Jalbert, Partie 2

Domina Cléophas Jalbert, à gauche, et Hamnett Pitzer Munger avec un des ballons cerfs-volants fabriqués par Jalbert Aerological Laboratory Incorporated pour étudier la pollution atmosphérique. Anon., « Ce que devient un jouet d’enfant. » La Presse, 23 mai 1950, 3.

L’imagination est le plus haut cerf-volant que l’on puisse faire voler : La vie et l’époque d’un maître du vent, Domina Cléophas Jalbert, Partie 1

Deux des jeunes employés de Ontario Model Aircraft Company au travail, Toronto, Ontario. Arthur Lowe, « Kindergarten of the Air. » Maclean’s, 1er mai 1940, 24.

Une maternelle pour l’ère de l’aviation : Ontario Model Aircraft Company / Model Craft Hobbies Limited et quelques autres mots sur l’aéromodélisme au Canada avant et pendant la Seconde Guerre mondiale

Le seul et unique Monte-Copter Modèle 15 Triphibian, Seattle, Washington. Anon., « World Air News. » Air Pictorial, mai 1960, 167.

Le jour des triphibes : Monte-Copter Incorporated et l’hélicoptère Modèle 15 Triphibian

Le petit chéri de Vladislav Verner, le Verner W-01 Brouček. Anon., « Private Flying. » Flight International, 14 mai 1970, 806.

Malé letadlo a skvěly příběh / Un petit avion et une grande histoire : L’avion de construction amateur Verner W-01 Brouček

La caisse contenant le Blériot Type XI de Jean Versailles sur le camion hippomobile spécialement équipé de Shedden Forwarding Company Limited, Montréal, Québec. Anon., « Le premier aéroplane à Montréal. » La Presse, 28 mai 1910, 12.

Montréal a son premier aéroplane : Le Blériot Type XI de Jean Versailles et William Carruthers

Personnel au sol chargeant des approvisionnements dans la soute à bombes d'un Avro Lancaster du 514e escadron de la Royal Air Force au cours de l'opération Manna, le largage de nourriture à la population néerlandaise affamée.

Il leur donna le pain du ciel à manger : Quelques mots sur l'opération Manna et l'opération Chowdown, avril-mai 1945

Un garçon et des éléments d’un jouet exposé à l’édition de 1950 de la foire des jouets de New York, New York : Stefan Olsen et la chambre à nuages du Gilbert Atomic Energy Lab. Anon., “Initiation atomique.” Photo-Journal, 13 avril 1950, 20.

Un des jouets les plus dangereux de tous les temps : Le Gilbert Atomic Energy Lab

Un des Aeronautica Macchi AL-60 utilisés au Canada par Northwest Industries Limited pour intéresser des clients potentiels, Edmonton, Alberta. Anon., « Aeronews. » Air Progress, juillet 1969, 15.

Un L-402 sous tout autre nom est encore un L-402 – ou un AL-60 ou un Conestoga ou un Ranger ou un Santa Maria ou un Trojan, à moins qu’il ne soit un Kudu, Partie 2

Le premier prototype du Lockheed L-402. Anon., « Le Lockheed-Azcarate C.L.-402. » Les Ailes, 16 avril 1960, 1.

Un L-402 sous tout autre nom est encore un L-402 – ou un AL-60 ou un Conestoga ou un Ranger ou un Santa Maria ou un Trojan, à moins qu’il ne soit un Kudu, Partie 1

Une des publicités publiées dans des quotidiens québécois pour promouvoir la nouvelle automobile Glas Goggomobil T700. Anon., « Publicité - Eugène Roy Limitée. » La Presse, 1er avril 1960, 39.

À la recherche de… la Glas Isar / Isard T700, une automobile précédemment connue sous le nom de Goggomobil T700

Le traîneau aérien conçu et fabriqué par Kenneth J. Richards. Anon., « Traîneau moderne. » L’Auto, 9 février 1940, 1.

La semaine mystérieuse magique attend pour vous emporter, ou, Est-ce que quelqu’un dans la blogosphère sait quoi que ce soit sur le traîneau aérien Richards ou le traîneau aérien Lawrence?

De gauche à droite, Boum-Boum, Ba-Ba et Bi-Bi, en d’autres mots les Lunours. Anon., “Toute la vérité sur la soucoupe de St-Bruno –Un coup monté de $100,000.” Photo-Journal, 23 février au 1er mars 1970, 1.

Nous sommes Bi-Bi Ba-Ba Boum-Boum: La saga des Lunours

Un exemplaire du turboréacteur suédois STAL Skuten en montre, sous bonne garde, à Stockholm, Suède. Anon., « Production – First Swedish Turbojet Revealed. » Aviation Week, 27 mars 1950, 36.

Un conte de deux moteurs, ou quatre, ou même six : Les STAL Skuten, Dovern et Glan

Frances Marian « Poppy » Northcutt dans une des expositions sur l’espace du Palais de la Découverte, un centre des sciences à Paris, France, pas au Texas. Anon., « Astronautique – ‘Poppy’ à Paris. » Aviation Magazine International, 15 au 31 mars 1970, 42.

Ses parents trouvent qu’elle fait un métier passionnant, mais ils aimeraient qu’elle se marie : Frances Marian « Poppy » Northcutt à la NASA et au-delà

Turi Widerøe parlant avec une agente de bord dans un avion de ligne à réaction Sud Aviation SE 210 Caravelle de Scandinavian Airlines System Denmark-Norway-Sweden. J.-C Fortin. « SAS ne compte qu’une seule femme pilote de ligne : Turi Wideroe. » Le Petit Journal, 1er mars 1970, 28.

Turi Widerøe est passée en coup de vent à Montréal l’autre jour

Quelques aspects de la quatrième exposition d’automobiles et de bateaux de Montréal. Anon., « Ouverture de l’exposition d’automobiles et de yachts. » La Presse, 28 mars 1910, 1.

Une semaine au Coliseum : L’exposition d’automobiles et de bateaux de Montréal de 1910 et les premiers aéroplanes en exposition au Québec / Canada

La docteure Margaret Beznak avec un de ses sujets de recherche. Elizabeth Motherwell, « Elle succède à son mari à la tête de la faculté de physiologie de l’U. d’Ottawa. » La Tribune, 3 février 1960, 17.

Un exemple stellaire de la contribution faite par les gens qui choisissent le Canada : Quelques mots sur la vie et l’époque de la docteure Margaret Beznak

Les sœurs Maria Cleofas et Maria Innocenza des Sœurs franciscaines de Saint-Louis de Gonzague à bord d’un avion léger / privé AVIA / Lombardi FL.3 au cours de leur formation de pilote, Turin, Italie. Anon., « Le ciel leur appartient. » Le Soleil / Perspectives, 20 février 1960, 12.

Sœur Bertrille n’est pas la première sœur volante, ou, Parlons des sœurs Maria Cleofas et Maria Innocenza – et de sœur Mary Aquinas aussi

Le Bellanca CH-300 Pacemaker du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada à Ottawa, Ontario, vers 2007. Wikipédia.

Si loin de chez lui : Le Bellanca CH-300 Pacemaker du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, Partie 2

Un Bellanca CH-300 Pacemaker utilisé par Alaska Coastal Airlines, Incorporated, Juneau, Alaska. Cet hydravion à flotteurs est maintenant exposé au Musée de l’aviation et de l’espace du Canada à Ottawa, Ontario. Keith Petrich, “Bush Flying Is Dead.” Air Trails Pictorial, février 1945, 26.

Si loin de chez lui : Le Bellanca CH-300 Pacemaker du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, Partie 1

Une voiturette New-Map / Rolux Baby typique. Anon., « La voiturette ‘Baby VB-60’ à Québec au milieu de février. » L’Action catholique, 14 janvier 1950, 12.

La voiture qui est plus économique que le tramway : La voiturette New-Map / Rolux Baby

Charles Aznavour avec le véhicule tout-terrain Beehoo / Magna Amphicat qu’il examine, Montréal, Québec. Sa fille Seda est près de lui. Suzanne Piuze, « Aznavour m’a dit… » La Patrie, 25 janvier 1970, 20.

J’aimerais en posséder une; son mon bateau, ce serait épatant : Le voyage hors route du Beehoo / Magna Amphicat

L’habitat lunaire imaginé par Rocco G. « Roy » Scarfo. Anon., « C’est écrit dans le ciel. » La Patrie du dimanche, 24 janvier 1960, 6.

Il était un des grands : Rocco G. « Roy » Scarfo, peintre de l’espace, et le monde au-delà de demain

Démonstration de la légèreté du turboréacteur Williams Jet No.1. Anon., « 23-lb Turbojet Develops 70 lb. Of Thrust. » Aviation Week and Space Technology, 18 janvier 1960, 126.

Ce moteur est peut-être un peu lourd mais son sourire demeure toujours : Le Williams Jet No. 1 et ses successeurs

Quelques actrices et acteurs ayant contribué au succès de la série télévisée de science-fiction québécoise Opération-Mystère, 1958. De gauche à droite, Luce Guilbeault, Marcel Cabay, Georges Groulx, Louise Marleau et Hervé Brousseau. Société Radio-Canada.

Opération-Mystère, une série télévisée qui répond aux goûts de la génération des spoutniks et des soucoupes volantes

Le pont en aluminium d’Arvida, Arvida / Saguenay, Québec. Anon., « Premier pont tout en aluminium. » Le Petit Journal, 4 décembre 1949, 51.

Sur le pont d’Arvida, un site historique national de génie civil, on y danse, on y danse

Le Piaggio P-7 au repos dans son élément. Joaquin de la Llave y Sierra, « Antes y después de la Copa Schneider. » Aérea, décembre 1929, 8.

Si vous ne réussissez pas du premier coup, essayez, essayez, essayez, essayez, essayez encore : L’étrange histoire du Piaggio P-7

Une affiche du film de science-fiction japonais Uchû Daisensô

Uchû Daisensô, ou, Une bataille dans l’espace extra-atmosphérique en provenance du pays du Soleil levant

La toute première automobile / voiturette Zar Zar-Car, Windsor, Ontario. Arthur Prévost, « La première auto entièrement canadienne bientôt en vente! » Le Petit Journal, 25 octobre 1959, 67.

À la recherche d’une voiture canadienne : La Zar de toutes les Windsor

L’astrophysicienne soviétique Alla Genrikhovna Masevitch et sa fille, Natasha Josifovna Friedlander. Sam Schecter, “Deux Canadiens en Russie – Rencontres avec l’élite russe.” Le Soleil / Perspectives, 26 septembre 1959, 11.

Son nom est Masevitch, Alla Genrikhovna Masevitch

L’ornithoptère University of Toronto Institute for Aerospace Studies Great Flapper au cours d’essais, Malton, Ontario, 2005. http://www/ornithopter.net

Voler, comme dans un rêve : La saga du Great Flapper

Beth Ross posant pour un photographe alors qu’elle nettoie le fragment principal de la chondrite de Dresden devant le bureau de The Dresden News. Anon., “Adding lustre to meteor that startled a province.” Toronto Daily Star, 13 juillet 1939, 1.

L’art de la négociation en Ontario rural; ou, La triste histoire de la chondrite de Dresden

L’ingénieur canadien Owen Eugene Maynard avec une maquette du véhicule lanceur Convair Atlas surmonté d’une capsule spatiale McDonnell Mercury, 1962. Roger Nadeau, « Une foule de techniciens canadiens ont pris part au vol d’Apollo 11. » Le Petit Journal, 20 juillet 1969, 4.

Le petit gars de Sarnia qui a mis le premier humain sur la Lune

Le premier Taylor J.T.1 Monoplane, White Waltham, Angleterre. Anon., « Sport and Business. » Flight, 19 juin 1959, 839.

Tinker, Taylor, monoplan

Trois des interprètes du téléroman Amour, délices et cie, avec son concepteur, Joseph Louis Réal Giguère, Montréal, Québec. François Piazza, « Sur les ailes de Télé-Métropole – Amour, délices et cie s’envole. » Photo-journal, du 18 au 25 juin 1969, 44.

Amour, délices et cie

Un prototype du traîneau aérien Kamov Sever-2 dans son élément. Anon., « ’Mail Train’ to North. » The Gazette, 26 mars 1959, 2.

Oh quel plaisir de faire une promenade dans un Kamov Sever-2

La voiture concept SIMCA Fulgur. Aux commandes se trouve la parachutiste et mannequin française Colette Duval. Anon., « Actualités. » La Patrie du dimanche, 1er mars 1959, 2.

Elle est fulgur, fulgur, fulgur, fulgurable

La montgolfière Spirit of Canada. Peter Calamai, “Lots of hot air and a high old time.” Canadian, 26 août 1967, 14.

Ce merveilleux fou volant et sa drôle de machine

La section de route surveillée par le radar de vitesse de la Connecticut State Police, près de Glastonbury, Connecticut. Anon., “L’actualité en images – Pièges à comboys.” La Patrie, 16 février 1949, 14.

Les pièges à cowboys ne datent pas d’hier

Cecil George Armitage aux commandes d’un Aérodoo, rivière Richelieu, Québec, novembre 1968. Anon., « Et maintenant… l’Aérodoo. » Vallée de la Petite Nation, 30 janvier 1969, 15.

Le candidat mancunien; ou, comment flotter près du sol avec la plus grande facilité

Quelques membres de la Ligue des avions miniatures de Montréal en train d’examiner le modèle réduit radiocommandé alors en construction. Christian Verdon, « Avion-miniature contrôlé par la radio. » La Patrie, 7 janvier 1939, 44.

Une ligue à eux: L’histoire longtemps oubliée de la Ligue des avions miniatures de Montréal

Une affiche du film From the Earth to the Moon, la version originale anglaise de De la Terre à la Lune

Jules Gabriel Verne n’aurait pas été amusé : De la Terre à la Lune

Une image du générique de CF-RCK.

Une série télévisée captivante : CF-RCK, Partie 2

Les principaux comédiens de la série télévisée CF-RCK de la Société Radio-Canada, Yves Létourneau (à droite) et René Caron. Anon., « Une scène de CF-RCK avec René Caron et Yves Létourneau. » La semaine à Radio-Canada, du 2 au 8 janvier 1960, couverture.

Une série télévisée captivante : CF-RCK, Partie 1

Le chargement de Voo-Doo, le Waco Hadrian utilisé lors du premier vol transatlantique par un planeur de transport, Aéroport de Montréal (Dorval), Dorval, Québec, juin 1943. Anon., “Flying into focus”. Flying Aces, octobre 1943, 7.

C’est magnifique. C’est splendide. C’est inutile.

L’animateur de l’émission de télévision hebdomadaire Plein Ciel à droite, et son conseiller technique, le capitaine Marcel Everard. Anon., “Introduction à l’aviation.” La semaine à Radio-Canada, 29 novembre au 5 décembre 1958, 12.

Une émission de télévision que j’aurais aimé voir dans ma jeunesse

Envol du ballon à hydrogène qui emporte vers le ciel l’antenne de l’émetteur radio d’urgence américain BC-778, mieux connu sous le nom de « Gibson Girl. » Anon., « Gibson Girl to the rescue. » Flying Aces, septembre 1943, 30.

L’imitation est la plus belle forme de flatterie

The very first Pentecost Hoppi-Copter. Anon., “Have you seen?” Flying, September 1945, 67.

Une idée venue d’une époque où le ciel est la limite, Partie 2

A l’arrière, le Rohrbach Ro VIII Roland d’Iberia, Compañía Aérea de Transportes Sociedad anónima utilisé pour le vol Madrid-Barcelone du 14 décembre 1927. Anon., “Inauguración del nuevo servicio aéreo Madrid-Barcelona.” Aérea, octobre-décembre 1927, 33.

Jamais le dimanche : La grande histoire d’un Roland ibérien, Partie 1

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Trois enfants souriants se tiennent sur une pelouse. À l’extrême gauche, une jeune fille aux cheveux bruns courts porte une robe rose pâle. Au milieu, un garçon plus grand porte un uniforme de scout. À droite, un jeune enfant porte un manteau bleu habillé ainsi qu’un chapeau, des gants et un sac à main blancs.

Le scoutisme et le guidisme dans les bases outre-mer de l’ARC pendant la Guerre froide

Le prototype de turbine éolienne de Louis Constantin, dans le sud de la France, vers 1928. Jean Labadié, « L’œuvre originale d’un aérodynamicien français – Girouettes stabilisatrices et turbines éoliennes. » Science et Monde, 5 octobre 1933, 639.

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