Skip to main content
Ingenium Logo

You are leaving IngeniumCanada.org

✖


This link leads to an external website that Ingenium does not control. Please read the third-party’s privacy policies before entering personal information or conducting a transaction on their site.

Have questions? Review our Privacy Statement

Vous quittez IngeniumCanada.org

✖


Ce lien mène à un site Web externe qu'Ingenium ne contrôle pas. Veuillez lire les politiques de confidentialité des tiers avant de partager des renseignements personnels ou d'effectuer une transaction sur leur site.

Questions? Consultez notre Énoncé de confidentialité

Ingenium Le réseau

Langue

  • English
Search Toggle

Menu des liens rapides

  • Sites Ingenium
  • Magasiner
  • Donner
  • S'abonner
Menu

Main Navigation

  • Explorer
    • Catégories
    • Types de médias
    • Tableaux
    • Articles vedettes
  • À propos
    • À propos du Réseau
    • Nos partenaires

Montréal a son premier aéroplane : Le Blériot Type XI de Jean Versailles et William Carruthers

Share
1 mai 2020
Catégories
Aviation
Médias
Article
Profile picture for user rfortier
Par : Rénald Fortier
Ingenium - Musées des sciences et de l’innovation du Canada
La caisse contenant le Blériot Type XI de Jean Versailles sur le camion hippomobile spécialement équipé de Shedden Forwarding Company Limited, Montréal, Québec. Anon., « Le premier aéroplane à Montréal. » La Presse, 28 mai 1910, 12.
La caisse contenant le Blériot Type XI de Jean Versailles sur le camion hippomobile spécialement équipé de Shedden Forwarding Company Limited, Montréal, Québec. Anon., « Le premier aéroplane à Montréal. » La Presse, 28 mai 1910, 12.

Bienvenue, ami(e) lectrice ou lecteur, bienvenue.

Votre humble serviteur peut-il proposer que nous écoutions notre passion pour les choses de l’air en ce jour de mai? Nous l’avons, après tout, ignoré pendant quelques semaines. Des objections?

Objection rejetée.

L’année que j’entends porter à votre attention étant 1910, mettez vos lunettes de voyageuses et voyageurs dans le temps et prenez une grande respiration.

À la mi-mai de cette année, un Blériot Type XI tout neuf, un type d’aéroplane français rendu fameux par la traversée de la Manche de Louis Charles Joseph Blériot en juillet 1909, une première mondiale, arrive à Montréal, Québec, la métropole du Canada.

Et oui, Blériot est mentionné quelques fois dans notre blogue / bulletin / machin depuis octobre 2018.

Un Blériot Type XI typique piloté par l’aviateur suisse Attilio Maffei pour promouvoir la collecte nationale pour l’aviation militaire de la Suisse. Anon., “Maffei vole pour l’aviation militaire à Soleure et à Sion.” La Suisse Sportive, 17 mai 1913, 3 067.

Un Blériot Type XI typique piloté par l’aviateur suisse Attilio Maffei pour promouvoir la collecte nationale pour l’aviation militaire de la Suisse. Anon., “Maffei vole pour l’aviation militaire à Soleure et à Sion.” La Suisse Sportive, 17 mai 1913, 3 067.

Le fier propriétaire du Type XI qui vient d’arriver à Montréal, Jean Versailles, un agent d’immeubles, mécène des sports et sportif enthousiaste (courses de yacht, de motocyclette et d’automobile par exemple) bien connu et riche, est apparemment le premier individu privé au Québec / Canada à posséder un aéroplane. Sa passion pour les choses de l’air remonte apparemment à 1909.

Le Type XI en question traverse l’Atlantique, non, pas en vol, mais entreposé en toute sécurité dans la soute du SS Sardinian, un cargo mixte appartenant à Allan Line Steamship Company Limited de Montréal. Un reportage déclare que cette machine volante était destinée à Blériot lui-même, avant que la commande de Versailles n’arrive bien sûr.

Ouais, bien sûr.

Désolé.

Saviez-vous que le Sardinian est le navire à bord duquel Guglielmo Giovanni Maria Marconi, un jeune Italien brillant, beau et ambitieux mentionné dans des numéros de décembre 2018 et avril 2019 de notre blogue / bulletin / machin, traverse l’océan Atlantique, en novembre / décembre 1901, avec son matériel de télégraphie sans fil / radio, pour mettre en place une station à St Johns, Terre-Neuve – un Dominion indépendant et souverain à cette époque. Le monde est petit, n’est-ce pas?

En décembre, Marconi et son assistant entendent le premier signal radio jamais envoyé au-dessus de l’Atlantique – ou c’est ce qu’ils prétendent. Vous voyez, ami(e) lectrice ou lecteur, cette expérience connue mondialement, ce tournant dans l’histoire de l’humanité n’est peut-être qu’un vieux mythe usé. Les conditions atmosphériques sont telles et le matériel utilisé si primitif que de nombreux spécialistes de la propagation des ondes radio pensent que Marconi et son assistant souhaitaient, ont besoin oserons nous-dire, d’entendre quelque chose à un tel point qu’ils confondent des bruits atmosphériques avec le signal qu’ils attendaient.

Croiriez-vous que la collection du Musée des sciences et de la technologie du Canada, à Ottawa, Ontario, comprend 4 cerfs-volants qui peuvent, je répète peuvent, avoir été utilisés au cours de cette expérience? Mais revenons à notre histoire.

Versailles est vraiment très heureux de son acquisition. Vous voyez, il doit sauter à travers pas mal de cerceaux avant de mettre la main sur un aéroplane. Versailles avait commandé un petit nombre de machines de 2 firmes françaises de fabrications d’aéroplanes. Celles-ci ne peuvent toutefois honorer leur part des contrats. En d’autres mots, aucune de ces firmes ne peut livrer un aéroplane à Versailles.

Profondément agacé, Versailles obtient ce qu’il désire par l’entremise de G. Husson, le directeur de Franco-American Automobile Company de Montréal, une firme mentionnée dans un numéro de mars 2020 de notre blogue / bulletin / machin qui se trouve à être le représentant canadien des Établissements Blériot Aéronautique, une compagnie sœur / frère de la Société anonyme des Établissements L. Blériot, un manufacturier français bien connu de phares pour voitures à chevaux et voitures sans chevaux / automobiles.

À ce stade, votre humble serviteur aimerait s’excuser de ne pas avoir souligné que Franco-American Automobile ne doit pas être confondue avec 2 éphémères firmes américaines, Franco-American Automobile Company et Franco-American Car Company, fondées au cours des premières années du 20ème siècle.

L’arrivée du Type XI fait sensation à Montréal. Elle fait la première page de La Presse, un des plus importants journaux quotidiens de langue française au Québec / Canada. La présence de cet aéroplane met également en appétit quelques individus qui demandent à Versailles s’il est disposé à vendre le Type XI.

En l’espace de quelques jours, l’intérêt de Versailles pour l’aviation entraîne sa nomination en tant que directeur d’un comité créée par le Automobile and Aero Club of Canada Incorporated, une riche organisation, pour organiser des événements aéronautiques à Montréal.

Détail intéressant, un article de bonne taille publié vers cette époque dans La Presse déclare que les premiers vols d’une machine volante plus lourde que l’air, en d’autres mots un aéroplane, ont eu lieu… 3 ans et demi plus tôt, en octobre et novembre 1960, désolé, 1906, près de Paris, France. Le premier d’entre eux n’est guère plus qu’un saut de puce mais le second couvre une étonnante distance de 220 mètres (720 pieds).

Vous vous souviendrez que le pilote du dit aéroplane, un Brésilien riche et sans peur mentionné quelques fois dans notre blogue / bulletin / machin depuis novembre 2018, Alberto Santos Dumont, établit en novembre 1906 les 3 premiers records mondiaux (distance, altitude et durée de vol) réalisés à bord d’un aéroplane à être homologués par la Fédération aéronautique internationale, l’organisation mondiale basée à Paris responsable de l’enregistrement de tous les types de records liés à l’aviation mentionnée quelques / plusieurs fois dans cette même publication exceptionnellement intéressante depuis janvier 2018.

Vous et moi savons toutes / tous deux que Santos Dumont n’est pas le premier être humain à faire un vol contrôlé et soutenu dans un aéroplane motorisé. Cet honneur appartient à Orville and Wilbur Wright, 2 pionniers de l’aviation connus mondialement mentionnés quelques fois dans notre vous savez quoi depuis août 2018.

À dire vrai, la machine d’allure étrange pilotée par Santos Dumont n’est, disons, pas vraiment contrôlable, mais revenons à notre histoire.

Le Type XI doit voler, quelque part au nord-est de Montréal, à un hippodrome peut-être, à la fin du printemps ou début de l’été 1910, au plus tard. Versailles ne sait pas s’il va piloter l’aéroplane lui-même ou engager quelqu’un pour prendre sa place. Si cette dernière option semble préférable compte tenu du fait que Versailles n’a strictement aucune expérience du pilotage d’aucun type de machine volante, la vérité est que personne à Montréal n’a la moindre expérience du pilotage d’un plus lourd que l’air. Un journaliste travaillant pour La Presse se demande si Versailles pourrait vouloir choisir un individu, d’accord, d’accord, un homme qui sait comment piloter un ballon.

Curieusement, et je dois volontiers admettre que mon absence en foi en l’humanité est peut-être par trop visible, il se trouve que La Presse compte peut-être parmi son personnel une personne qui sait comment piloter un ballon. Ce rara avis rare est Émile Auguste Albert Barlatier, le rédacteur des sports mécaniques d’origine française du quotidien montréalais à partir de la fin de 1910 ou du début de 1911, et un employé du journal pour un certain temps avant cette date semble-t-il.

Croiriez-vous que Barlatier peut, je répète peut, être un employé de La Presse depuis 1905? Ceci expliquerait le fait qu’il semble effectuer un vol en ballon près de Montréal en novembre de cette même année avec un autre employé du quotidien, Lorenzo Prince.

Le problème avec cette information est que je ne peux pas trouver la moindre chose sur ce vol dans La Presse, ce qui est bien suspect. De fait, je pense sérieusement que ce vol peut ne pas avoir eu lieu, et que Barlatier vient au Canada bien plus tard.

Quoiqu’il en soit, en 1905, Prince, est un nom très connu dans la métropole du Canada. Vous voyez, en mai, juin et juillet 1901, lui et le chef des nouvelles locales de La Presse, Augustin Marion, prennent part à une course autour du monde lancée par le fameux journal quotidien parisien Le Matin.

Le dit journal, mentionné dans un numéro d’avril 2019 de notre vous savez quoi, veut voir s’il est possible, en 1901, de battre le temps dont le héros fictif Phileas Fogg a besoin pour faire le tour de notre circulaire, si, si circulaire, et non pas plate, planète.

L’auteur de Le tour du monde en 80 jours, un roman publié en 1872, Jules Gabriel Verne, un gentilhomme mentionné dans plusieurs numéros de notre blogue / bulletin / machin depuis juin 2018, indique qu’il est convaincu que le temps de Fogg peut être battu. Il souhaite la meilleure des chances à l’écrivain et journaliste de Le Matin, Gaston Stiegler, qui doit tenter l’aventure.

Vous vous souviendrez que le long métrage Le tour du monde en 80 jours est mentionné dans un numéro de mai 2019 de notre vous savez toujours quoi.

En fin de compte, Stiegler bat le temps de Fogg. De fait, il complète le trajet Paris-Paris en moins de 64 jours.

En autant que votre humble serviteur le sache, Prince complète son voyage autour du monde Montréal-Montréal en 63 jours. En d’autres mots, il le fait plus vite que Stiegler. Ceci étant dit (tapé?), Le Matin et le reste de la France / du monde (?) s’en moquent éperdument.

Qu’en est-il de Marion, vous demandez-vous, ami(e) lectrice ou lecteur inquiète / inquiet ? Ne craignez point. Il complète également son voyage autour du monde. Marion arrive à Montréal environ un mois après Prince, toutefois, et il n’est pas d’humeur à rire. Vous voyez, il est arrêté et détenu par les autorités russes alors que le dynamique duo du Québec voyage à bord du Kitaysko-Vostochnaya Zheleznaya Doroga, en d’autres mots le chemin de fer construit et contrôlé par l’Empire russe qui traverse la Mandchourie, une vaste région de l’Asie du nord-est aux limites mal définies. Prince parvient d’une manière ou d’une autre à convaincre les dites autorités qu’il est blanc comme neige. Je ne peux que présumer que son compagnon et patron est d’accord.

Oserais-je interrompre cette péroration inutile pour déclarer que Barlatier est mentionné dans des numéros de mars et mai 2019 de… Je ne devrais pas, vous dites? Fort bien. Passons.

Mais pas maintenant.

En 1903, à Marseille, France, Barlatier, un journaliste à cette époque à première vue, et un avocat du nom de Henri Blanc commencent à envisager la possibilité de fabriquer un aéroplane. En 1905, ils font voler des cerfs-volants. L’année suivante, Barlatier et Blanc testent un modèle réduit motorisé de leur aéroplane, dont les ailes sont inspirées par celles de la pie. En 1906, forts de l’aide financière d’un homme d’affaires et sportif enthousiaste de l’endroit, Morpugo Lavalli, ils complètent un monoplan inspiré par ce modèle. Il s’avère incapable de voler. Barlatier et Blanc peuvent avoir testé un autre modèle réduit motorisé en 1907. Ils testent un second monoplan en mars 1908. Il s’avère lui aussi incapable de voler. Barlatier, président du Automobile Club de Marseille à cette époque, décide apparemment de jeter l’éponge peu de temps après.

Blanc, quant à lui, conçoit un nouvel aéroplane à bord duquel il parvient à décoller, brièvement, en août 1909. Cette machine effectue par la suite quelques brefs vols. Elle n’est pas très bonne, une caractéristique qu’elle partage avec la grande majorité des aéroplanes conçus à cette époque.

Avez-vous le temps pour une brève digression, ami(e) lectrice ou lecteur? Je ne veux pas m’imposer.

Vous souvenez-vous d’une brève péroration sur le mot tourte dans un numéro d’avril 2020 de notre vous savez quoi? Non? Soupir. Ça ne fait rien. Croiriez-vous que le père de Barlatier, l’industrialiste et compositeur Albert Auguste Marie Barlatier, travaille à quelques reprises avec un parolier / dramaturge / compositeur bien connu nommé Francis… Tourte, né Louis François Tourte? Le monde est effectivement vraiment petit, n’est-ce pas?

De fait, vous vous demandez sans doute si, comme la fameux capitaine Jack Sparrow, un gentilhomme (?) mentionné dans des numéros de septembre 2018 et octobre 2019 de notre blogue / bulletin / machin, votre humble serviteur écrit un plan à l’avance, ou improvise au fur et à mesure. À vous de décider.

Revenons maintenant à notre histoire. Versailles indique que le Type XI serait bientôt transporté à Pointe-aux-Trembles, près de Montréal, où il possède d’immenses étendues de terrain, après avoir payé tous les frais de douanes bien sûr. Le premier vol de cet aéroplane serait un événement auquel il inviterait toutes les Montréalaises et Montréalais. Il y en a certains / plusieurs qui pensent / espèrent que le dit vol aurait lieu avant la fin mai.

Croiriez-vous que des rumeurs circulent à l’effet qu’une grande organisation montréalaise, soit publique soit privée, offrirait un magnifique prix à l’individu qui réaliserait le premier vol contrôlé et soutenu d’un aéroplane motorisé à Montréal?

« C’est une ère de progrès qui commence, déclare un journaliste non nommé de Le Devoir, un nouveau journal quotidien montréalais qui existe encore en 2020. Avant peu on pourra villégiaturer par voie aérienne. Qui sait si la livraison des malles ne pourra pas se faire prochainement par ce moyen rapide et direct. »

Ce même journaliste non nommé mentionne que le susmentionné Blériot ne visiterait pas la métropole du Canada en 1910. Des négociations à cet effet ont récemment échoué. Un de ses ingénieurs, le frère de Marie Joseph Adrien Leblond de Brumath, le principal de l’Académie commerciale catholique of Montréal, une école commerciale je crois, ne viendrait pas non plus. Et oui, des négociations à cet effet ont aussi récemment échoué.

Une digression totale si je peux me le permettre et je m’en excuse mais comme le dit si bien le sympathique mais quelque peu dérangé Sparrow, votre humble serviteur n’a pas pu résister.

Et voici la digression. Pendant un certain temps (des semaines? des mois?) au cours de 1910, La Presse offre des prix aux enfants qui reconnaissent leur photographie dans une colonne spéciale du journal et se rendent à ses bureaux. Les dits prix sont une somme de 1 $, une assez bonne somme pour 1910, et un aéroplane Chantecler, un jouet inventé par le Montréalais J. Renaud-Egret.

Il est possible que le nom de ce jouet s’inspire du titre d’une pièce française bien connue mais pas très populaire de 1909 intitulée, euh, Chantecler, de Edmond Eugène Alexis Rostand. Ce poète et dramaturge renommé a écrit la très populaire pièce de 1897 Cyrano de Bergerac, soit dit en passant, et oui Virginie, il y a eu un Cyrano, mentionné dans un numéro de février 2018 de notre vous savez quoi.

Au 17ème siècle, l’auteur / satiriste / soldat français Hector (?) Savinien de Cyrano de Bergerac imagine des voyages vers d’autres mondes. Dans L’Autre Monde, ou, Les états et empires de la Lune et du Soleil, publié posthumément en 1657, par exemple, le héros de l’histoire est soulevé de la terre de France par la rosée contenue dans des bouteilles attachées autour de sa taille. S’il est vrai que ce voyage interplanétaire s’avère infructueux, un atterrissage réussi est effectué en Nouvelle-France.

Notre héros construit ensuite un ornithoptère, en d’autres mots une machine volante à ailes battantes, à Québec, la capitale de la Nouvelle-France. Le premier vol d’essai se terminé par un écrasement douloureux. De retour dans sa chambre, notre héros met de la moelle de bœuf sur une grande partie de son corps meurtri. Pendant ce temps, des soldats qui ont trouvé l’ornithoptère dans les bois l’amènent sur la place de la ville où ils y attachent des fusées de feu d’artifice, pour célébrer l’anniversaire de Saint-Jean le Baptiste, le 24 juin.

Réalisant ce qui va se passer, notre héros furieux se précipite vers sa machine mais ne peut enlever les fusées avant que les premières ne se déclenchent. L’ornithoptère décolle et commence à grimper, à grimper et à grimper. Il retombe finalement sur Terre, mais notre héros est si proche de la Lune à ce moment-là que l’attraction entre notre voisin et la moelle, un fait scientifiquement prouvé et si vous croyez à ça j’ai un pont que je voudrais vendre, est si grande qu’il se retrouve là-bas, faisant un alunissage sûr bien sûr, pour continuer ses aventures, mais revenons à notre vous savez quoi – l’histoire bien sûr.

Vous pourriez être attristé(e), ou pas, d’entendre (lire?) que Versailles ne prend possession de son Type XI qu’à la fin mai, presque 2 semaines après l’arrivée à Montréal du navire qui l’a transporté. Pourquoi ce retard, vous demandez-vous? Pour citer Hellboy, le héros grincheux qui aime les nachos et les chats du très populaire film éponyme de 2004, laissez-moi aller voir.

[Musique du jeu-questionnaire télévisé américain Jeopardy jouant dans votre caboche.]

Salutations, ami(e) lectrice ou lecteur. Les raisons pour lesquelles les efforts de Versailles pour prendre possession de son Type XI s’avèrent si chronophages sont un tantinet complexes. S’il est vrai que la bureaucratie était / est (sera?) la bureaucratie, il semble que certains individus non nommés ne s’avèrent pas très coopératifs, pour des raisons inconnues. Un représentant de La Presse peut avoir tiré certaines ficelles pour aider les choses.

Quoiqu’il en soit, l’énorme caisse contenant l’aéroplane partiellement désassemblé quitte un hangar dans le port de Montréal et est hissé à bord d’un camion hippomobile spécialement équipé qui appartient à Shedden Forwarding Company Limited de Montréal.

La caisse se rend lentement à Pointe-aux-Trembles, avec une automobile conduite par des représentants de La Presse pour lui tenir compagnie. Il pleut à boire debout, ce qui n’est pas nécessairement une bonne nouvelle pour le contenu de la caisse.

À la fin, la caisse et son contenu arrivent à Pointe-aux-Trembles. La caisse est amenée au sol et ouverte, à côté du hangar qui a été construit pour abriter le Type XI. L’aéroplane est alors soigneusement extrait de la caisse. Il serait prêt à voler 1 ou 2 jours plus tard, ou du moins c’est ce que prétend La Presse.

Le journal note avec une certaine tristesse que, si l’aviation française peut compter sur quelques riches mécènes prêts à offrir d’importants prix aux pilotes, personne à Montréal n’s offert ne serait-ce qu’une médaille pour récompenser l’individu encore inconnu qui effectuerait le premier vol d’un aéroplane motorisé au Québec.

Vue cette situation, La Presse annonce au tout, tout début juin qu’elle donnerait une magnifique coupe en argent à l’individu qui effectuerait le premier vol de 1 mille (1.6 kilomètre) en ligne droite, sans aucun arrêt intermédiaire, au Québec.

Un coup de théâtre vient toutefois changer la donne avant même la fin mai. Versailles accepte de vendre son Type XI, sous certaines conditions, à un Montréalais du nom de William Carruthers. Cet exploitant céréalier, enthousiaste de course de chevaux et mécène de l’automobile bien connu mentionné dans un numéro de mars 2020 de notre blogue / bulletin / machine ne veut pas dire combien de pognon / fric a été dépensé pour acquérir le dit aéroplane. Carruthers indique toutefois que le Type XI volerait à Pointe-aux-Trembles peu après son retour d’un voyage aux États-Unis.

Ce qui est curieux au sujet d’un article publié dans La Presse à la fin mai est le fait qu’il semble dire que le Type XI n’est pas encore à Pointe-aux-Trembles et que le hangar sur le site est encore incomplet. Votre humble serviteur doit admettre que je suis plutôt perplexe. Prenons un risque, intrépide ami(e) lectrice ou lecteur, et choisissons comme hypothèse de travail la possibilité que le dit article soit inexact.

Quoiqu’il en soit, le Type XI de Carruthers n’a pas encore pris l’air lorsqu’il est placé en exposition pour une brève période de temps, en juin, au parc Dominion, un des plus grands parcs d’amusement au Canada, situé à une certaine distance du centre-ville de Montréal. J. Sullivan, un électricien travaillant au dit parc qui est profondément intéressé par l’aviation, est présent chaque fois qu’il le peut (Bonjour, bénévoles de musée du monde entier, et merci!) pour répondre aux questions du public.

Qu’en est-il de Versailles? Abandonne-t-il l’aviation, vous demandez-vous, ami(e) lectrice ou lecteur? Nenni, dis-je. De fait, Versailles commande un plus grand aéroplane, un biplan cette fois, de la première avionnerie en Europe, et la seconde au monde, après celle des susmentionnés frères Wright, Appareils d’aviation Les frères Voisin. Il peut, je répète peut, l’avoir fait via le représentant canadien de cette firme française, la tout aussi susmentionnée Franco-American Automobile.

Lorsque le Type XI est finalement assemblé, à la toute, toute fin de mai, Le Presse décrit ce fait comme étant les débuts de l’aviation au Canada. Vous et moi savons toutes / tous les 2 que ceci n’est pas vrai. On peut dire que l’aviation au Canada débute en février 1909 avec le vol contrôlé et soutenu du Aerodrome No. 4 Silver Dart.

Ce vol est réalisé par un jeune ingénieur canadien, John Alexander Douglas McCurdy, le concepteur du Silver Dart. Cet aéroplane fabriqué aux États-Unis est la machine la plus réussi développée par, vous l’aurez deviné, la Aerial Experiment Association (AEA), un groupe fondé en 1907 par l’inventeur américain, si, si, américain, d’origine écossaise Alexander Graham Bell. Et oui, ami(e) lectrice ou lecteur, vous avez bien raison de penser que Bell, McCurdy et la AEA nous sont connu(e)s. Elle et ils sont mentionné(e)s dans plusieurs numéros précédents de notre blogue / bulletin / machin :

- McCurdy, depuis septembre 2017,

- Bell, depuis octobre 2018, et

- la AEA, également depuis octobre 2018.

Mais revenons à notre Type XI.

Son moteurs tourne pour la première fois en Amérique du Nord à la toute, toute fin de mai, le jour où l’aéroplane est finalement complété en fait.

Versailles monte à bord du Type XI et est photographié par une des personnes envoyées par La Presse pour immortaliser cette occasion propice. Le nouveau propriétaire de l’aéroplane, le susmentionné Carruthers, est également là, tout comme le tout aussi susmentionné Husson et quelques / plusieurs autres personnes.

Un journaliste non nommé de La Presse déclare qu’il est sûr que des aéroplanes seraient bientôt utilisés en grand nombre. Ils sont après tout fort supérieurs aux dirigeables et moins agaçants que les automobiles, qui effraient / blessent / tuent tant les piétons que les animaux et ont besoin de routes de bonne qualité.

Comme c’est le cas dans toutes les grandes villes du monde occidental, l’aviation, en 1910, attire beaucoup d’attention à Montréal.

Ce qui peut bien être la première avionnerie de la ville, la Compagnie de moteurs et d’aéroplanes Valois, voit le jour, sur papier seulement semble-t-il, en mai 1910. Ses promoteurs sont des Montréalais bien connus. Ils comprennent le gérant de la ville et 3 avocats. L’un d’entre eux est nul autre que Robert Taschereau, un proche parent de Louis-Alexandre Taschereau, ministre des Travaux publics dans le gouvernement dirigé par Lomer Gouin. Assez âgé en 1910, Achille Valois ne semble compléter qu’un modèle réduit de son aéroplane à ailes multiples à décollage et atterrissage verticaux.

L’individu qui donne son nom à la Compagnie de moteurs et d’aéroplanes Valois arrive au Québec vers 1884. Chef monteur chez Marinoni Société anonyme, une firme française et un pionnier de la fabrication de presses rotatives pour les journaux, Valois installe un de ces (très?) gros équipements dans les ateliers du quotidien La Presse. Le monde est petit, ne pensez-vous pas, ami(e) lectrice ou lecteur? Il semble par la suite demeurer dans la métropole du Canada, où il supervise l’entretien de la dite presse rotative pendant un nombre d’années inconnu.

Ce qui peut bien être la seconde avionnerie de Montréal, International Aviation Association Limited, voit le jour, de nouveau sur papier seulement semble-t-il, en juin 1910. Son mandat comprend la production de divers types de machines volantes (ballons, aéroplanes, etc.), l’organisation de meetings aériens, etc., etc., etc. Les promoteurs de la firme ne sont peut-être pas aussi bien connus que ceux de la Compagnie de moteurs et d’aéroplanes Valois. International Aviation Association n’a peut-être même pas produit un modèle réduit des machines volantes qu’elle prévoyait produire, mais revenons au Type XI. Encore.

Votre humble serviteur s’en voudrait si je ne mentionnais pas que le Type XI de Carruthers est impliqué dans un des événements aéronautiques les plus significatifs tenus au Canada avant la Première Guerre mondiale, et le tout premier spectacle / meeting aérien tenu au Canada. Le dit événement est la Grande semaine d’aviation de Montréal, tenue entre le 25 juin et le 5 juillet 1910. Et oui, ami(e) lectrice ou lecteur, ça fait beaucoup de tenus.

Jusqu’à un certain point, la Grande semaine d’aviation de Montréal doit son existence à un autre événement, un événement annuel, l’exposition d’automobiles et de bateaux tenue à Montréal en mars – un événement mentionné dans un numéro de mars 2020 de notre vous savez quoi.

La présence de 2 aéroplanes à cet événement fait sensation et ses organisateurs concluent qu’il est grand temps que la métropole du Canada offre à ses citoyennes et citoyens la chance de voir des pilotes et aéroplanes en action. D’autres dirigeants communautaires sont d’accord. Le susmentionné Automobile and Aero Club of Canada se met au travail. Incidemment, le site choisi est à Pointe-Claire / Lakeside, à environ 25 kilomètres (15 milles) du centre-ville de Montreal, près des rives du lac Saint-Louis.

Vous pourriez être ravi(e) d’entendre (lire?) que le Type XI de Carruthers n’est pas le seul aéroplane de son type présent à la Grande semaine d’aviation de Montréal. Ce second Type XI appartient également à un homme d’affaires et automobiliste montréalais bien connu, R. Baker Timberlake, qui veut peut-être apprendre tout seul comment piloter au cours du meeting aérien.

L’aéroplane de Carruthers, quant à lui, doit être piloté par un aviateur et mécanicien français peu connu nommé Paul Miltgen, également épelé Miltzen, Miltjen, Miltjean et Mietgen, et parfois appelé Gustave Milgen, qui est engagé expressément pour ce travail.

Miltgen amorce son implication dans l’aviation en 1909. En octobre de cette année, cet aviateur encore novice arrive aux États-Unis avec un Type XI, fort possiblement le tout premier aéroplane étranger amené dans ce pays. Des journaux américains rapportent que cet aéroplane appartient à Ralph Saulnier, le frère d’un fameux pionnier français de l’aviation du nom de Raymond Victor Gabriel Jules Saulnier, alors chef mécanicien aux Établissements Blériot Aéronautique.

Le problème avec cette information est que Ralph n’est pas un nom très français. De fait, il semble que ce gentilhomme n’a aucun lien de parenté avec Saulnier. Votre humble serviteur se demande si Saulnier, l’Américain, n’est pas, en fait, un résident / citoyen américain qui espère faire la démonstration du Type XI afin de vendre quelques exemplaires de ce type d’aéroplanes à de riches Américains.

De fait, sa secrétaire franco-américaine, Marie Sperber, tient vraiment à faire un bref vol à bord du Type XI. Cette jeune femme qui a beaucoup de cran a prouvé être capable de désassembler et réassembler le moteur de cet aéroplane. Elle ne semble pas avoir réalisé son souhait, ce qui est bien dommage.

Miltgen peut, je répète peut, avoir réalisé quelques (2?) courts vols au New Jersey au cours de l’automne 1909. À la mi-octobre, avant ou après ces prétendus vols, un des chahuteurs qui le traite de bluffeur et imposteur aurait lancé une brique sur le Type XI alors que le pilote français se prépare à décoller. Cette brique est lancée avec une force telle qu’elle brise l’hélice et endommage le moteur.

Vers cette époque, un peu avant ou après, un magasin à rayons bien connu de Washington, District de Columbia, S. Kann, Sons & Company, indique qu’il veut placer le Type XI en exposition, un projet sous la supervision du président de French-American Toy and Novelty Manufacturing Company. Intéressé par l’aviation depuis 1903, Ladis Lewkowski y supervise la production, entre autres choses, de modèles réduits d’aéroplanes capables de voler. Votre humble serviteur ne peut pas dire si ce projet est mené à bon port. Sans trop savoir pourquoi, j’en doute et voici pourquoi.

Saulnier, l’Américain, est poursuivi en justice en octobre 1909 par les susmentionnés frères Wright, pour violation de brevet. Ils ont, après tout, inventé un système de contrôle qui rend le vol contrôlé possible. Les Wright veulent des paiements de dommage et le pouvoir de détruire le Type XI. Saulnier est un des nombreux individus poursuivis par les Wright – un épisode malheureux connu sous le nom de guerre des brevets qui freine le développement de l’aviation aux États-Unis avant la Première Guerre mondiale.

 

Si votre humble serviteur peut se permettre quelques mots, cette bataille n’est pas la plus belle heure des Wright.

Saulnier, le Français, cofonde plus tard la Société anonyme des aéroplanes Morane-Borel-Saulnier et la Société anonyme des aéroplanes Morane-Saulnier, une des plus importantes avionneries françaises de la période avant la Seconde Guerre mondiale, et…

Qu’y a-t-il, ami(e) lectrice ou lecteur? Vous ne voyez pas pourquoi votre humble serviteur vous casse les pieds avec ces billevesées? Et bien, saviez-vous que le monoplan Borel Morane en montre au magnifiquement stupéfiant Musée de l’aviation et de l’espace, à Ottawa, un musée sœur / frère du susmentionné Musée des sciences et de la technologie du Canada, est apparemment fabriqué par la Société anonyme des aéroplanes Morane-Borel-Saulnier? Ce monoplan Borel Morane est le plus ancien aéronef survivant ayant volé au Canada, comme nous le savons toutes / tous les deux.

Des aéroplanes pour ainsi dire identiques produits entre 1910 et 1912 par cette compagnie et par sa prédécesseure, la Société anonyme des aéroplanes Morane-Borel, sont confusément connus sous le nom de Morane, Morane Borel and Borel Morane. Quelques personnes pleines d’esprit les appellent même Morel Borane. Des machines similaires sont également fabriquées en 1912 et plus tard par la Société anonyme des aéroplanes Morane-Saulnier et la Société anonyme des aéroplanes Borel, mais ce n’est pas tout. Croiriez-vous qu’une Société des aéroplanes Raymond Saulnier existe en 1909-10?

Ainsi donc, ais-je réussi à vous embrouiller complètement, ami(e) lectrice ou lecteur? Oui? C’est bon à entendre (lire?), car l’histoire de l’aviation avant le début de la Première Guerre mondiale, en 1914, peut être vraiment très déroutante.

Toutes ces avionneries françaises sont évidemment mentionnées dans un numéro d’octobre 2018 de notre blogue / bulletin / machin. Évidemment.

Walter Richard Brookins, 1 des 4 pilotes de l’équipe de démonstration récemment créée des susmentionnés frères Wright présente à la Grande semaine d’aviation de Montréal, est le premier aviateur à prendre l’air, le 25 juin, le premier jour du meeting aérien. Miltgen est une des personnes qui aide à préparer son biplan au décollage.

Prévu pour décoller quelques minutes après Brookins, le pilote français n’y parvient pas lors de son premier essai. Une des roues du Type XI s’enfonce dans un profond sillon. Le second essai de Miltgen se déroule comme sur des roulettes et la foule l’acclame. Il s’agit apparemment du premier vol de l’aéroplane depuis son arrivée au Québec.

Deux versions plutôt différentes de ce qui se passe par la suite sont publiées dans La Presse et un autre journal quotidien montréalais, Le Canada.

Aux dires du premier, Miltgen réalise que le gouvernail de direction ne fonctionne pas pour ainsi dire immédiatement après le décollage, alors que le Type XI vole encore plutôt bas. Peu disposé à s’écraser sur la toute proche catapulte utilisée pour lancer les biplans Wright, il coupe le moteur. Une combinaison de l’inclinaison du nez causée par la tentative de virage de Miltgen et du poids de l’aéroplane accroît son angle de descente.

Aux dires du second, le moteur du Type XI s’arrête très peu de temps après le décollage, alors que l’aéroplane vole encore plutôt bas. Réalisant que toute tentative de planer vers le sol pourrait résulter en une collision avec la dite catapulte, Miltgen accroît son angle de descente.

Quoiqu’il en soit, le Type XI s’écrase. La foule retient son souffle, craignant le pire.

Presque miraculeusement, Miltgen se tire pour ainsi dire sans blessure de cet accident assez spectaculaire. Le Type XI est toutefois assez sérieusement endommagé (hélice fracassée, fuselage cassé en 2 et séparé des ailes, etc.).

Carruthers déclare aux journalistes qu’il était beaucoup plus préoccupé par l’état de Miltgen que par celui de son aeroplane. S’il est réparable, le Type XI serait réparé. S’il est irréparable, il serait mis de côté et remplacé. En fin de compte, l’aéroplane est réparable. Des travaux commencent le jour même de l’accident.

Il convient de noter que, avant son vol, Miltgen indique à au moins un journaliste que le Type XI est en assez mauvais état lorsqu’il le prend au parc Dominion. L’aéroplane a été déplacé avec laisser-aller depuis son arrivée au Québec et il n’a pas été bien protégé des éléments. Il y a même quelques pièces manquantes. Miltgen fait toutefois tout ce qu’il peut pour rendre le Type XI entièrement apte au vol. Néanmoins, le gouvernail de direction ne semble pas fonctionner trop bien et les ailes ne semblent pas parfaitement symétriques. Somme toute, Miltgen n’est pas un joyeux campeur lorsqu’il monte à bord du Type XI le 25 juin.

Quoiqu’il en soit, le Type XI de Carruthers est déclaré apte au vol au début de juillet.

Un pilote de dirigeable adolescent américain qui a perdu sa monture le 27 juin, Cromwell Dixon, frôle la catastrophe le 4 juillet, jour de la fête nationale américaine, lorsqu’il prend l’air à bord de cette machine – son premier vol en aéroplane. Impressionné par le courage qu’il a montré quelques jours plus tôt, la vedette de la Grande semaine d’aviation de Montréal, un Français, le comte Jacques Benjamin Marie de Lesseps, prend Dixon sous son aile et lui donne peut-être des indications sur la façon de piloter un aéroplane. Après quelques tentatives de décollage, l’aviateur en herbe réussit à prendre l’air, manquant à peine la tribune et provoquant une grande frayeur. Dixon termine ce vol bref et plutôt tumultueux avec un atterrissage maladroit dans le champ d’un fermier. Sa mère, qui, comme à l’accoutumée, est avec lui, mais au sol, est tout simplement hors d’elle.

Soit dit en passant, le Type XI de Carruthers participe également au meeting aérien de Toronto qui se tient du 8 au 16 juillet, près de Weston, à environ 16 kilomètres (10 milles) du centre-ville de Toronto, Ontario, sur une ferme modèle appartenant à un magnat minier, William G. Trethewey. Il a alors pour pilote un Américain nommé John Gale Stratton. Ce gentilhomme ne peut toutefois pas voler au cours des premiers jours du meeting aérien car il doit réparer les dommages subis par le Type XI au cours de son périple (en train?) entre Montréal et Toronto.

Stratton éprouve vite des difficultés à contrôler l’aéroplane lors de sa première tentative de voler, le 12 juillet, avant le début des activités de la journée. Il s’écrase parmi quelques arbres, ou entre 2 d’entre eux. Si Stratton se tire de cet accident avec une blessure à un bras, l’aéroplane est presque détruit. Quelqu’un suggère (sérieusement?) qu’il devrait être expédié en France pour une reconstruction. On peut se demander si le Type XI vole par la suite.

Et ainsi, encore un fois, les Hommes en noir sauvent les gens de la Terre… Désolé, mauvaise fin.

Bonne semaine.

Et juste une dernière chose, si je peux me permettre de citer le lieutenant de police Columbo, interprété à la télévision par l’irremplaçable Peter Michael Falk. Le biplan Voisin mentionné plus haut, vous savez, celui commandé par Versailles, oui, celui-là, et bien il ne se rend jamais à Montréal.

Mots-clés
Jean Versailles William Carruthers Blériot Type XI Montréal
Auteur(s)
Profile picture for user rfortier
Rénald Fortier

D’autres histoires par

Profile picture for user rfortier
Rénald Fortier
Ingenium - Musées des…
L’avion de ligne à réaction Tupolev Tu-104 exploité par Aeroflot qui participe au spectacle aérien du Centenaire de la Colombie-Britannique, Aéroport d’Uplands, Ottawa, Ontario. Don Brown, « Aerial Display Ready. » The Ottawa Citizen, 13 juin 1958, 39.

« Il roule au sol avec toute l’aisance d’une cigogne arthritique, » Ou, Un bref regard sur la brève présence au spectacle aérien du Centenaire de la Colombie-Britannique d’un avion de ligne à réaction Tupolev Tu-104 d’Aeroflot, partie 2

L’avion de ligne à réaction Tupolev Tu-104 exploité par Aeroflot qui participe au spectacle aérien du Centenaire de la Colombie-Britannique, tenu à l’Aéroport international de Vancouver, Richmond, Colombie-Britannique. Anon., « –. » The Sunday Sun, 14 juin 1958, 25.

« Il roule au sol avec toute l’aisance d’une cigogne arthritique, » Ou, Un bref regard sur la brève présence au spectacle aérien du Centenaire de la Colombie-Britannique d’un avion de ligne à réaction Tupolev Tu-104 d’Aeroflot, partie 1

Le bateau fluvial à roue arrière SS Klondike à un stade précoce de son voyage vers Whiskey Flats South, Whitehorse, Territoire du Yukon. Anon., « Sidewalk Supers Size Up Sternwheeler. » Whitehorse Star, 23 juin 1966, 1.

Alors que le monde, euh, alors que la roue tourne; Ou, Comment / pourquoi le SS Klondike, un cargo fluvial à roue arrière brièvement utilisé pour des croisières fluviales, est devenu un des 1 004 lieux historiques nationaux de Parcs Canada, partie 3

Des passagères et passagers du bateau fluvial à roue arrière canadien SS Klondike regardent leur navire s’apprêter à traverser un passage étroit du fleuve Yukon, aux rapides Five Finger, Territoire du Yukon. David Willock, « There’s Tourist Gold in the Yukon. » The Ottawa Citizen – Weekend Magazine, 25 juin 1955, 18.

Alors que le monde, euh, alors que la roue tourne; Ou, Comment / pourquoi le SS Klondike, un cargo fluvial à roue arrière brièvement utilisé pour des croisières fluviales, est devenu un des 1 004 lieux historiques nationaux de Parcs Canada, partie 2

Une bête de somme abandonnée et échouée face à un avenir incertain, le bateau fluvial à roue arrière canadien SS Klondike, Whitehorse, Territoire du Yukon. Anon., « Yukon River Boats. » The Calgary Herald, 5 mai 1958, 1.

Alors que le monde, euh, alors que la roue tourne; Ou, Comment / pourquoi le SS Klondike, un cargo fluvial à roue arrière brièvement utilisé pour des croisières fluviales, est devenu un des 1 004 lieux historiques nationaux de Parcs Canada, partie 1

Une souriante Mme Élie Fortin de Montmagny, Québec, acceptant la bicyclette gagnée par sa fille, Michèle Fortin, dans le cadre d’un concours organisé par Dulac Potato Chips Incorporated de Sainte-Marie, Québec. Anon., « –. » Le Peuple, 10 mai 1963, 10.

Une grande dame qui n’a jamais lâché la patate : Anne Marie Harmonia Hallé et la saga des croustilles Dulac

La première planche de la bande dessinée Julien Gagnon. Rémy, « Julien Gagnon » Le Petit Journal, section magazine, 16 mai 1948, 18.

La grande aventure d’un pilote et chasseur d’espions amateur québécois fictif qui affronte un bad hombre communiste tout aussi fictif à l’aube d’une Guerre froide bien réelle : La bande dessinée Julien Gagnon de Rémy / Normand Hudon

Le véhicule tout-terrains Loman 225 en montre au Salon camping, chasse et pêche 73, Montréal, Québec. Anon., « Pédalo ‘Fun Cycle’ – Une réponse à un rêve… » La Patrie, 1er avril 1973, 23.

Quatre roues pour toutes les saisons : Les véhicule tout-terrains de Loman Incorporée de Richelieu, Québec

Le seul et unique Rohr M.O.1 Midnight Oiler avant l’installation de son nez définitif et de son stabilisateur horizontal avant, Chula Vista, Californie. Anon., « Private Flying – ‘Midnight Oiler’ Radical Design Lightplane is Built by Rohr. » Aviation News, 1 juillet 1946, 15.

Brûler l’huile de minuit pour atteindre le ciel et rugir : La trop brève saga de l’avion léger / privé Rohr M.O.1 Midnight Oiler

Divers aspects des activités entourant le lancement du chemin de fer sur la glace entre Longueuil, Québec, et Hochelaga / Montréal, Québec. Anon., « Montreal – Incidents at the opening of the ice railway bridge. » Canadian Illustrated News, 14 février 1880, 104.

Tirer des marchandises sur une glace mince : Le chemin de fer du pont de glace entre Longueuil, Québec, et Hochelaga / Montréal, Québec, partie 2

La locomotive gaiement décorée W.H. Pangman et les wagons plats qu’elle remorque lors de la première traversée du fleuve Saint-Laurent entre Hochelaga / Montréal, Québec, et Longueuil, Québec, janvier 1880. R. Richou, « Un chemin de fer sur la glace. » La Nature, 28 avril 1883, 349.

Tirer des marchandises sur une glace mince : Le chemin de fer du pont de glace entre Longueuil, Québec, et Hochelaga / Montréal, Québec, partie 1

Ahh, la crème glacée, les cause et solution de tous les problèmes de la vie. Je me demande si ce jeune garçon sait qu’il mange en fait de la mellorine. Anon., « De la crème glacée synthétique. » Photo-Journal, 16 avril 1953, 3.

En achètent-ils ou non? Seul leur épicier le sait avec certitude : Un bref coup d’œil sur une imitation de crème glacée à moindre coût parfois connue sous le nom de mellorine

Une publicité typique de T.K. Bellis Turtle Company Limited. Anon., “T.K. Bellis Turtle Company Limited.” The Graphic, 8 janvier 1898, 64.

Saccager la nature et se constituer une fortune en satisfaisant les envies d’une élite égoïste; Ou, Comment une industrie dominée par T.K. Bellis Turtle Company Limited de Londres, Angleterre, a presque anéanti une véritable merveille de la mer, partie 2

Thomas Kerrison Bellis, en d’autres termes le Roi de la tortue. Anon., « Good Stories for All – Turtle King of England is a Powerful Ruler. » The Boston Daily Globe, 17 mars 1898. 8.

Saccager la nature et se constituer une fortune en satisfaisant les envies d’une élite égoïste; Ou, Comment une industrie dominée par T.K. Bellis Turtle Company Limited de Londres, Angleterre, a presque anéanti une véritable merveille de la mer, partie 1

Le Mikoyan-Gourevitch MiG-15 de la Wojska Lotnicze piloté par le second lieutenant Franciszek Jarecki, aérodrome de Rønne, Rønne, Danemark. Jarecki est le gentilhomme marqué par une flèche. Anon., « Undamaged Red Jet in NATO Hands. » The Gazette, 7 mars 1953, 2.

Un vol pour la liberté qui a percé le rideau de fer; ou, Le jour où le second lieutenant Franciszek Jarecki s’est échappé de Pologne à bord d’un chasseur à réaction Mikoyan-Gourevitch MiG-15

Quatre des personnages principaux de ce qui peut bien être la première série télévisée de SF au Canada, Space Command de Canadian Broadcasting Corporation. Anon., « Space Command Is Not Run-Of-Mill ‘Opera.’ » The Ottawa Citizen, 26 décembre 1953, 14.

« Défiant les étoiles elles-mêmes » : Un regard infinitésimal sur ce qui pourrait bien être la première série télévisée de science-fiction au Canada, Space Command de Canadian Broadcasting Corporation

Le prototype du Astro Kinetics Lift de Astro Kinetics Corporation, Houston, Texas. Anon., « Aircraft and Powerplants – Crane version of ‘flying saucer’ projected in U.S.A. » The Aeroplane and Commercial Aviation News, 7 mars 1963, 24.

« Regardez! Là-haut dans le ciel! C’est un oiseau! C’est un avion! C’est une soucoupe volante texane! » Astro Kinetics Corporation de Houston, Texas, et ses aéronefs à décollage et atterrissage verticaux à l’allure unique

 James Bertram Blackmon (à droite, bien sûr) parlant de sa fusée avec l’animateur de la très populaire émission quotidienne d’actualités et débats télévisés américaine Today, David Cunningham Garroway, New York, New York. Anon., « Jimmy on TV Show. » The Charlotte Observer, 1er décembre 1956, 2.

Un jeune prodige américain de l’aube de l’ère spatiale devenu professeur au Propulsion Research Center de la University of Alabama in Huntsville : James Bertram Blackmon, voici votre vie, partie 2

James Bertram « Jim / Jimmy » Blackmon et sa fusée faite-maison, Charlotte, Caroline du Nord, juillet 1956. Irwin Hersey, « Aid for basement rocketeers. » Astronautics, février 1958, 25.

Un jeune prodige américain de l’aube de l’ère spatiale devenu professeur au Propulsion Research Center de la University of Alabama in Huntsville : James Bertram Blackmon, voici votre vie, partie 1

Le Canadair Silver Star du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, Ottawa, Ontario, juin 2005. Cet aéronef est piloté par le Red Knight, ou chevalier rouge, le pilote de voltige solo de l’Aviation royale du Canada, en 1961-64. Alain Rioux, via Wikimedia.

Il a vraiment continué longtemps, longtemps, longtemps : Un bref aperçu de la carrière canadienne de l’avion d’entraînement à réaction Lockheed / Canadair Silver Star, partie 2

Le ministre de la Défense nationale du Canada, Brooke Claxton, à gauche, avec le premier avion d’entraînement à réaction Lockheed T-33 Silver Star fabriqué au Canada, Cartierville, Québec. Anon., « M. Claxton reçoit le premier réacté T-33 fabriqué ici. » La Patrie, 13 février 1953, 1.

Il a vraiment continué longtemps, longtemps, longtemps : Un bref aperçu de la carrière canadienne de l’avion d’entraînement à réaction Lockheed / Canadair Silver Star, partie 1

La trentaine de paysans mexicains qui participent au déblaiement de la météorite de Bacubirito, non loin de Bacubirito, Mexique, 1902. N. Rosst, « La grande météorite de ‘Bacubirito’ (Mexique). » La Nature, 14 février 1903, 173.

Une flamme dans le ciel du nord et une cendre de feu sidéral : La météorite de Bacubirito

Un dispositif de dégivrage de piste de Woolery Machine Company en action à l’aéroport de Cologne-Wahn, Cologne, Allemagne de l’Ouest. Anon., « Ancillary Review – Flame-throwing – On Ice. » The Aeroplane and Commercial Aviation News, 28 février 1963, 29.

Allez, PB, allume mon feu. Essaie de mett’ la glace en feu : Un coup d’œil sur la firme américaine Woolery Machine Company et sur certaines de ses idées et produits

Un promoteur de la Sure Food, le chimiste alimentaire James Pearson (à droite), dans les installations de Wentworth Canning Company Limited de Hamilton, Ontario. Anon., « La viande, synthétique, produit canadien, pourrait sauver de la famine les peuples affamés d’Europe. » Photo-Journal, 5 février 1948, 3.

« Cela sent la viande. Cela ressemble même à de la viande. » L’histoire oubliée depuis longtemps d’une viande synthétique / viande d’imitation / viande artificielle / succédané de viande / substitut de viande / simili-viande parfois appelée Sure Food

L’avion de brousse Junkers Ju 52 immatriculé CF-ARM de Canadian Airways Limited de Montréal, Québec, lac Manouane, Québec, août ou septembre 1940. MAEC, 13469.

Les vieux avions de brousse ne meurent jamais, ils ne font que s’effacer doucement : Quelques lignes, d’accord, plusieurs lignes sur la remarquable carrière d’un « cargo volant / wagon volant » Junkers Ju 52 nommé CF-ARM, partie 3

L’avion de brousse Junkers Ju 52 immatriculé CF-ARM de Canadian Airways Limited de Montréal, Québec, en réparation, Arviat, Nunavut (Eskimo Point, Territoires du Nord-Ouest), septembre 1932. MAEC, 1208.

Les vieux avions de brousse ne meurent jamais, ils ne font que s’effacer doucement : Quelques lignes, d’accord, plusieurs lignes sur la remarquable carrière d’un « cargo volant / wagon volant » Junkers Ju 52 nommé CF-ARM, partie 2

L’avion de brousse Junkers Ju 52 immatriculé CF-ARM de Canadian Airways Limited de Montréal, Québec. Anon., « Pionnier des transports lourds dans le nord du Canada, le ‘Cargo volant’ a fini sa carrière. » Photo-Journal, 29 janvier 1948, 2.

Les vieux avions de brousse ne meurent jamais, ils ne font que s’effacer doucement : Quelques lignes, d’accord, plusieurs lignes sur la remarquable carrière d’un « cargo volant / wagon volant » Junkers Ju 52 nommé CF-ARM, partie 1

Le sergent Bob Electro de l’Aviation royale du Canada (ARC) pris en flagrant délit de salut au commandant de la Base de l’ARC de Clinton, le colonel d’aviation John Gordon Mathieson, Clinton, Ontario. Anon., « Six-Year-Old Sergeant. » The North Bay Nugget, 7 janvier 1963, 15.

Dōmo arigatō, gunsō Electro, mata au hi made : Les aventures électroniques du sergent Bob Electro de l’Aviation royale du Canada et des Forces armées canadiennes

Une pièce d’équipement fort appropriée vue la saison, enfin, la saison qui affecte la partie nord de l’hémisphère nord de la planète Terre, la souffleuse à neige domestique de Autocanner Enregistré de Montréal, Québec. Anon., « –. » Montréal-Matin, 9 janvier 1948, 6.

« Qu’il neige! Qu’il neige! Qu’il neige! » La souffleuse à neige domestique Blo-All de Autocanner Enregistré de Montréal, Québec

Le simulateur d’impact en vol de 10 pouces du Conseil national de recherches du Canada à un moment donné de sa longue carrière, Uplands / Ottawa, Ontario. CNRC.

Une grande réussite canadienne que vous devriez connaître : Un bref coup d’œil sur les simulateurs d’impact en vol du Conseil national de recherches du Canada remis au Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, partie 3

Le simulateur d’impact en vol de 3.75 / 3.5 pouces du Conseil national de recherches du Canada à un moment donné de sa longue carrière, Uplands / Ottawa, Ontario. CNRC.

Une grande réussite canadienne que vous devriez connaître : Un bref coup d’œil sur les simulateurs d’impact en vol du Conseil national de recherches du Canada remis au Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, partie 2

Le simulateur d’impact en vol de 10 pouces du Conseil national de recherches du Canada à un moment donné de sa longue carrière, Uplands / Ottawa, Ontario. CNRC.

Une grande réussite canadienne que vous devriez connaître : Un bref coup d’œil sur les simulateurs d’impact en vol du Conseil national de recherches du Canada remis au Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, partie 1

Une grenouille-taureau typique sauvage et libre. John J. Brice, éditeur, A Manual of Fish-Culture: Based on the Methods of the United States Commission of Fish and Fisheries, with Chapters on the Cultivation of Oysters and Frogs (Washington : Government Printing Office, 1897), 258.

« La grenouille est-elle gibier ou poisson? Là est le chiendent. » Un bref coup d’œil sur l’histoire de la raniculture au Canada et au Québec, partie 4

Une publicité typique de Giant Frog & Sea Food Limited de Montréal, Québec. Anon., « Giant Frog & Sea Food Limited. » La Patrie, 18 octobre 1952, 53.

« La grenouille est-elle gibier ou poisson? Là est le chiendent. » Un bref coup d’œil sur l’histoire de la raniculture au Canada et au Québec, partie 3

Trois des innombrables grenouilles-taureaux trouvées dans la grenouillère de Harold Lee, Casitas Springs, Californie. Anon., « Nature – Frog Farm.” » Pix, 6 janvier 1951, 30.

“La grenouille est-elle gibier ou poisson? Là est le chiendent. » Un bref coup d’œil sur l’histoire de la raniculture au Canada et au Québec, partie 2

Une publicité typique de Canadian Frog’s Industries Company de Montréal, Québec. Anon., « Canadian Frog’s Industries Company. » La Patrie, 16 novembre 1952, 86.

« La grenouille est-elle gibier ou poisson? Là est le chiendent. » Un bref coup d’œil sur l’histoire de la raniculture au Canada et au Québec, partie 1

Un dessin éditorial qui reflète la réaction de nombreux Américains suite au lancement de Spoutnik 2. Une traduction du titre du dessin pourrait être Notre propre disgrâce non-volante. John Milt Morris, « Our own non-fly doghouse. » The Nome Nugget, 8 novembre 1957, 2.

Les trois jours du Spoutnik; ou, « Radio-Moscou admet que le chien tournant autour de la terre dans le satellite ne reviendra jamais » : Laïka, Spoutnik 2 et la presse quotidienne du Québec, partie 3

Une réplique de Spoutnik 2, Tsentral’nyy Dom Aviatsii i Kosmonavtiki DOSAAF Rossíi, Moscou, avril 2021. Krasnyy via Wikipédia.

Les trois jours du Spoutnik; ou, « Radio-Moscou admet que le chien tournant autour de la terre dans le satellite ne reviendra jamais » : Laïka, Spoutnik 2 et la presse quotidienne du Québec, partie 2

Le premier portrait official de Laïka à être diffusé par les autorités soviétiques. Cette photographie est initialement publiée dans le quotidien moscovite Pravda. Anon., « More Sputnik Dogs Due Before Humans Go Up. » The Evening Star, 13 novembre 1957, 6.

Les trois jours du Spoutnik; ou, « Radio-Moscou admet que le chien tournant autour de la terre dans le satellite ne reviendra jamais » : Laïka, Spoutnik 2 et la presse quotidienne du Québec, partie 1

Le biplan (monoplace?) conçu par Canadian Aircraft Works (Incorporated? Limited? Registered?) de Montréal / Coteau Rouge, Québec, janvier 1915. Gustave Pollien peut se trouver aux commandes. MAEC, 1134.

Un terrifique trio actif aux débuts de l’aviation au Québec : Ernest Anctil, Gustave Pollien et Percival Hall Reid, partie 3

Le biplan fabriqué par Gustave Pollien (à gauche) et Ernest Anctil, Cartierville, Québec. Anon., « L’aviation chez nous – Un jeune aviateur canadien-français, Ernest Anctil, vole avec succès sur un biplan construit au pays. » La Presse, 27 septembre 1912, 1.

Un terrifique trio actif aux débuts de l’aviation au Québec : Ernest Anctil, Gustave Pollien et Percival Hall Reid, partie 2

Le biplan fabriqué par Ernest Anctil (à gauche dans la photographie du bas) et Gustave Pollien, Cartierville, Québec. Anon., « The first Montreal-made biplane. » The Standard, 5 octobre 1912, 4.

Un terrifique trio actif aux débuts de l’aviation au Québec : Ernest Anctil, Gustave Pollien et Percival Hall Reid, partie 1

Louis Victor Jules Vierne (3ème à partir de la gauche), compositeur et organiste de la cathédrale Notre-Dame de Paris au clavier de l’orgue électronique Coupleux Givelet, station de radio Poste Parisien, Paris, France. Anon., « L’orgue des ondes du ‘Poste parisien’ est inauguré. » Le Petit Parisien, 27 octobre 1932, 1.

La mélodieuse épopée de deux pionniers français de la musique électronique qui méritent d’être mieux connus : Joseph Armand Marie Givelet et Édouard Éloy Coupleux

 Vue d’artiste du satellite canadien Alouette en orbite au-dessus du Canada. Office national du film, Photo-reportage 288 – Le Canada, nouveau visiteur de l’espace, NFB62-5961.

Alouette, gentille alouette, Alouette, je te lancerai; Ou, Comment la Guerre froide propulse le Canada dans l’espace par le biais du satellite Alouette, partie 3

La fusée Thor-Agena qui place le satellite canadien Alouette en orbite, Vandenberg Air Force Base, Californie. Anon., « Alouette’ Working Perfectly – First Canadian Satellite in Orbit. » The Montreal Star, 29 septembre 1962, 1.

Alouette, gentille alouette, Alouette, je te lancerai; Ou, Comment la Guerre froide propulse le Canada dans l’espace par le biais du satellite Alouette, partie 2

Deux des ingénieurs qui font du satellite Alouette un succès : Colin A. Franklin (à gauche) et John N. Barry, Ottawa, Ontario. Anon., « Many ‘Firsts’ for Canadian Satellite – Alouette Sports New Space Advances. » The Montreal Star, 22 septembre 1962, 43.

Alouette, gentille alouette, Alouette, je te lancerai; Ou, Comment la Guerre froide propulse le Canada dans l’espace par le biais du satellite Alouette, partie 1

Vue approximative de la zone dans laquelle l’éclipse solaire du 31 août 1932 peut être observée dans sa totalité (image principale), ou pas (colonne de droite). Anon. « Mighty Workings of Tomorrow’s Eclipse. » Sherbrooke Daily Record, 30 août 1932, 1.

« Nous prions tous pour une journée sans nuages : » L’éclipse solaire du 31 août 1932 au Québec, partie 3

Certains des chercheurs britanniques éminents en route vers le Canada dans le but d’observer l’éclipse solaire totale du 31 août 1932. Anon., « Le ciel québécois et les astronomes. » La Presse, 29 juillet 1932, 9.

« Nous prions tous pour une journée sans nuages : » L’éclipse solaire du 31 août 1932 au Québec, partie 2

L’éclipse solaire du 31 août 1932 telle qu’on peut l’observer dans sa totalité, à partir d’une route de campagne du Maine. Anon., « Souvenir d’éclipse. » La Presse – Magazine illustré, 24 septembre 1932, 9.

« Nous prions tous pour une journée sans nuages : » L’éclipse solaire du 31 août 1932 au Québec, partie 1

Le réservoir Manicouagan, également connu sous le nom d’œil du Québec, photographié depuis l’espace par le satellite Sentinel 2-A du programme Copernicus de l’Agence spatiale européenne, janvier 2017. https://scihub.copernicus.eu/ via Wikimedia.

Sic itur ad astra : Quelques observations sur la stellaire carrière de l’astronome canadien Carlyle Smith Beals, partie 2

Carlyle Smith Beals, astronome fédéral. Raymond Taillefer, « Tant qu’il y aura des étoiles - L’observatoire fédéral assure au Canada un brillant rôle scientifique. » Le Droit, 2 août 1947, 1.A.

Sic itur ad astra : Quelques observations sur la stellaire carrière de l’astronome canadien Carlyle Smith Beals, partie 1

Le prototype de l’avion de brousse canadien de Havilland Canada DHC-2 Beaver en montre au Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, Ottawa, Ontario. MAEC, deHavilland DHC-2 Beaver-005

Bonne fête Beaver, bonne fête Beaver, bonne fête, bonne fête, bonne fête Beaver : Un trop bref coup d’œil sur une icône canadienne, l’avion de brousse de Havilland Canada DHC-2 Beaver, partie 2

Le prototype de l’avion de brousse canadien de Havilland Canada DHC-2 Beaver le jour de son premier vol, Downsview, Ontario, août 1947. MAEC, KM-08317

Bonne fête Beaver, bonne fête Beaver, bonne fête, bonne fête, bonne fête Beaver : Un trop bref coup d’œil sur une icône canadienne, l’avion de brousse de Havilland Canada DHC-2 Beaver, partie 1

Le Shell By-Plane X 100 Astroterramare du professeur Septimus Urge (extrême droite), Pleasure Gardens du Festival of Britain, Battersea Park, Londres, Angleterre. Anon., « New British Jet Unique, but Not Matchless. » Aviation Week, 18 août 1952, 44.

Des machines de Heath Robinson / Rube Goldberg que Heath Robinson et « Rube » Goldberg eux-mêmes auraient approuvées; Ou, Le monde merveilleux de Frederick Rowland Emett et ses choses

Rachel Marie-Louise Clément, née Guillot, en train se saler des fromages camembert Madame Clément produits par Laiterie R.A. Clément (Enregistrée? Incorporée? Limitée?), McMasterville ou Beloeil, Québec. Anon., « Fromages du Québec. » Photo-Journal, 28 août 1952, 33.

« Si j’avais cent vies, je recommencerais l’aventure du camembert : » Le délicieuse saga québécoise de la famille Clément et de ses fromages

Vue d’artiste du dirigeable conçu par le modeleur, ouvrier, sculpteur ou tailleur de pierre québécois Louis N. Filion. Anon., « Le secret de la direction des ballons est-il réellement détenu par un Canadien-français? » La Patrie, 26 juillet 1902, 19.

En 1902, le secret de la direction des ballons dirigeables est-il détenu par le Québécois Louis N. Filion? C’est à moi de le savoir et à vous de le découvrir

Une publicité typique de Bamboo Cycle Company Limited de Londres, Angleterre. Anon., « Bamboo Cycle Company Limited. » The Graphic, 31 juillet 1897, 179.

« En cas de doute mon conseil est Acheter une Bamboo : » Quelques pages sur Bamboo Cycle Company Limited de Londres, Angleterre

Un tir d’essai américain d’une fusée à courte portée sol-sol non guidée Douglas M31 Honest John. Anon., « Engins et missiles ». Aviation Magazine, 1 juin 1959, 155.

Elle n’a peut-être pas changé l’histoire mais aurait certainement changé la géographie : Un bref mais effrayant coup d’œil sur les fusées à courte portée sol-sol non guidées Douglas M31 et M50 / MGR-1 Honest John, partie 2

Une équipe de l’Artillerie royale canadienne de l’Armée canadienne s’entraînant sur une fusée à courte portée sol-sol non guidée Douglas M31 Honest John de la United States Army, Fort Sill, Oklahoma. Anon., « Rocket Training. » Sherbrooke Daily Record, 13 juillet 1957, 1.

Elle n’a peut-être pas changé l’histoire mais aurait certainement changé la géographie : Un bref mais effrayant coup d’œil sur les fusées à courte portée sol-sol non guidées Douglas M31 et M50 / MGR-1 Honest John, partie 1

Une publicité de Frisco Soda Water Company de Montréal, Québec, pour la bière Salvador brassée par Reinhardt ‘Salvador’ Brewery Limited de Toronto, Ontario. Anon., « Frisco Soda Water Company. » The Montreal Daily Star, 5 juillet 1912, 5.

Un conte de deux Reinhardt; ou, Un bref aperçu de deux brasseries canadiennes disparues et oubliées depuis longtemps

Kenneth Albert Arnold, au centre, avec deux autres pilotes qui affirment avoir vu des objets volants non identifiés, soit Emil J. Smith, à gauche, et Ralph Stevens. Anon., « Pilotes qui virent des soucoupes volantes. » Le Soleil, 8 juillet 1947, 1.

« Tout le monde a vu les soucoupes volantes, les journalistes exceptés : » Les premières observations d’objets volants non identifiés / phénomènes aériens non identifiés dans la province de Québec, 24 juin au 19 juillet 1947, partie 2

Kenneth Albert Arnold. Anon., « Boise Airman Positive He Didn’t See Ordinary Craft Reflections. » The Idaho Daily Statesman, 28 juin 1947, 9.

« Tout le monde a vu les soucoupes volantes, les journalistes exceptés : » Les premières observations d’objets volants non identifiés / phénomènes aériens non identifiés dans la province de Québec, 24 juin au 19 juillet 1947, partie 1

Une publicité typique de O-Pee-Chee Gum Company de London, Ontario. Anon., « O-Pee-Chee Gum Company. » The Aylmer Express, 6 juin 1912, 5.

« Mâche Mâche Mâche Mâche ta gomme à bulles: » Les sucrés de bons vieux temps de O-Pee-Chee Gum Company Limited de London, Ontario

Publicité concernant la Isetta fabriquée par Isetta of Great Britain Limited. Une fois traduit, le texte se lit : « Hé! ne touche pas à cette pièce de 10 cents! Je vais juste prouver que cette Isetta peut se garer dessus! » Anon., « City Motors Limited. » The Gazette, 21 novembre 1957, 2.

Un coup d’œil sous le capot d’un des symboles du miracle économique ouest-allemand des années 1950 ; ou, L’histoire multiforme et multinationale de la microvoiture Isetta, partie 2

Une BMW 250 ou 300 typique. Devon Francis, « What you get in the foreign economy cars. » Popular Science, juin 1957, 62.

Un coup d’œil sous le capot d’un des symboles du miracle économique ouest-allemand des années 1950 ; ou, L’histoire multiforme et multinationale de la microvoiture Isetta, partie 1

Un projecteur de planétarium Spitz au Planetario Municipal Agrimensor Germán Barbato, le premier planétarium d’Amérique du Sud, inauguré en 1955, Montevideo, Uruguay, février 2015. Fedaro via Wikimedia.

Béni soit celui qui apporte les merveilles du cosmos à la multitude : Armand Neustadter Spitz et ses projecteurs de planétarium, partie 2

Armand Neustadter Spitz. Hilaire Cuny, « Sciences et techniques – La plus gigantesque tentative de notre temps : La conquête de l’espace cosmique. » Combat, 15 mai 1957, 6.

Béni soit celui qui apporte les merveilles du cosmos à la multitude : Armand Neustadter Spitz et ses projecteurs de planétarium, partie 1

Une publicité typique de la firme William Hood & Company de Toronto, Ontario. Anon., « William Hood & Company. » The Canadian Grocer & General Storekeeper, 27 mai 1892, 9.

« Un nouveau gagnant commercial pour les épiciers et marchands généraux; » ou, Comment William Hood & Company de Toronto, Ontario, devient un prétexte pour s’attarder sur les mystères de… l’huile de ricin

Une publicité typique de Tillson Company Limited. Anon. « Tillson Company Limited. » The Canadian Grocer & General Storekeeper, 13 mai 1892, 19.

« Un aliment, pas une mode: » La vie et l’époque de Edwin Delevan Tillson de Tillsonburg, Ontario

Gertrude Dugal, la première Québécoise francophone ayant obtenu une licence de pilote – ou pas, Aéroport de Cartierville, Cartierville, Québec. Anon., « La seule diplômée. » La Patrie, Journal du dimanche, 18 mai 1947, 1.

« À travers les nuages, je vois voler mon ombre: » Quelques mots sur Gertrude Dugal, la première Québécoise francophone ayant obtenu une licence de pilote – à moins que ce ne soit quelqu’un d’autre

Une motomarine Vincent Amanda dans son élément, Ruislip, Angleterre, avril 1957. Anon., “Triss i bâtar.” Teknikens Värld med Flyg, 2 au 16 mai 1957, 8.

Bournemouth, Scarborough, ooh je veux vous emmener. Great Yarmouth, Lyme Regis, ami(e) lectrice, lecteur : La Vincent Amanda, l’ancêtre presque oubliée des motomarines d’aujourd’hui

Une vue en gros plan d’une pilule radio quelques instants avant que le premier patient volontaire ne l’avale. Anon., « Science – Radio Made to Swallow. » Life, 29 avril 1957, 74.

Prenez une de ces pilules et vos entrailles m’appelleront en matinée : La saga digestive de… la pilule radio

Dan Cooper, tel que dessiné par l’auteur de bande dessinée belge Albert Weinberg lors de sa visite à North Bay, Ontario, en mai-juin 1966. Anon., « Originator of RCAF cartoon hero visits defence bases at North Bay. » The North Bay Nugget, 3 juin 1966, 1.

Un prolifique auteur de bande dessinée belge qui mérite d’être mieux connu : Le père de Dan Cooper, héros canadien, Albert Weinberg (1922-2011), partie 2

Albert Weinberg au cours d’une de ses nombreuses visites en sol canadien. Anon., « Dan Cooper c’est Buzz Beurling. » La Presse, 31 mars 1975, A3.

Un prolifique auteur de bande dessinée belge qui mérite d’être mieux connu : Le père de Dan Cooper, héros canadien, Albert Weinberg (1922-2011), partie 1

Un avion de chasse FFVS J 22 typique de l’armée de l’air suédoise, ou Flygvapnet, Bunge, Suède, vers 1948-49. Flygvapenmuseum, FVMF.002142.

On m’a demandé quelques fois quel était mon avion préféré. Eh bien, voici l’un de mes favoris de tous les temps : l’avion de chasse suédois FFVS J 22, partie 2

Un avion de chasse FFVS J 22 typique de l’armée de l’air suédoise, ou Flygvapnet. Harald Jacobson, « Ett flygplan – en flygepok. » Looping, avril 1952, 12.

On m’a demandé quelques fois quel était mon avion préféré. Eh bien, voici l’un de mes favoris de tous les temps : l’avion de chasse suédois FFVS J 22, partie 1

 Une publicité pour des produits, en l’occurrence du hareng et de la sardine, mis en conserve par Connors Brothers Limited de Black’s Harbour, Nouveau-Brunswick. Anon., « Connors Brothers Limited ». Le Prix courant, 29 mars 1912, 20.

D’un appât à homard et engrais pour pommes de terre à de l’argent d’eau salée : L’humble sardine et Connors Brothers Limited de Black’s Harbour, Nouveau-Brunswick

Une Volvo P1800 comparable à celle que conduit Simon Templar, dit le Saint, un personnage joué à la télévision par Roger George Moore, Volvo Museum, Göteborg, Suède, 2008. Jarle Vines via Wikimedia.

Une sainte automobile du pays de « Fifi » Brindacier et Lisbeth Salander : La grande routière / voiture sport suédoise Volvo P1800, partie 2

Une grande routière / voiture de sport Volvo P1800 typique Anon., « La plus belle auto. » La Patrie du Dimanche, 25 mars 1962, 11.

Une sainte automobile du pays de « Fifi » Brindacier et Lisbeth Salander : La grande routière / voiture sport suédoise Volvo P1800, partie 1

Le député sortant de la circonscription électorale de Limoux, France, le sénateur Henri Charles Étienne Dujardin-Beaumetz. Joseph Uzanne. Figures contemporaines. (10ème édition) (Paris: Librairie Henri Floury, 1906), non paginé.

« Mon cher Védrines, c’est une panne de scrutin : » Charles Toussaint « Jules » Védrines et l’élection législative partielle de Limoux, France, de mars 1912, Partie 2

Caricature du sénateur Henri Charles Étienne Dujardin-Beaumetz se payant la tête de « Jules » Védrines, le candidat défait lors de l’élection législative partielle de Limoux, France, de mars 1912. Anon., « La course Limoux-Palais-Bourbon. » Le Rire, 30 mars 1912, non paginé.

« Mon cher Védrines, c’est une panne de scrutin : » Charles Toussaint « Jules » Védrines et l’élection législative partielle de Limoux, France, de mars 1912, Partie 1

Le laboratoire sur roues Lincoln Continental 1950X / Ford X-100. Anon., « La Ford de l’avenir. » Photo-Journal, 28 février 1952, 8.

La voiture de demain telle qu’on l’imaginait il y a 70 ans : Le laboratoire sur roues Lincoln Continental 1950X / Ford X-100

Edward T. Faulkner et son Curtiss JN-4 Canuck, Honeoye Falls, New York, 1962. Musée de l’aviation et de l’espace du Canada 2985.

Il décolle à 100 kilomètres/heure, vole à 100 kilomètres/heure et atterrit à 100 kilomètres/heure, plus ou moins : La saga du Curtiss JN-4 Canuck

Une publicité de David Brown (Canada) Limited de Toronto, Ontario, montrant des tracteurs offerts par une firme sœur / frère britannique, David Brown Tractors Limited. Anon., « David Brown (Canada) Limited ». Le Bulletin des agriculteurs, février 1962, 75.

« Voulez-vous conduire mon tracteur? Allons donc charger du foin. » Un très bref aperçu de l’histoire de la firme britannique David Brown Tractors Limited

Tomanowos, mieux connue sous le nom de météorite Willamette, American Museum of Natural History, New York, New York. Anon., « Ça et là, par l’image. » Le Samedi, 22 février 1947, 8.

Tomanowos, une visiteuse du ciel ou de la Lune : Un coup d’œil sur de la plus grosse météorite nord-américaine connue aujourd’hui

Vera Elsie Strodl portant le blouson de vol en cuir qu’elle porte pendant la Seconde Guerre mondiale. Glennis Zilm, « Only Canadian honored – Long love of flying brings award to aviatrix. » The Gazette, 1er février 1972, 8.

Dieu aurait pu être son copilote, Ou, La carrière remarquable d’une pilote remarquable, Vera Elsie Strodl

John D’Alton Woodlock avec un de ses fils, Peter Woodlock, devant le téléviseur familial, Iberville, Québec, été 1949. Arthur Prévost, « Dix ans avant CBFT – À Iberville, on a la TV depuis 14 ans!... » Le Petit Journal, 14 janvier 1962, A-49.

Mais malheureusement, comme tant de grands esprits, le pionnier québécois de la télévision John D’Alton Woodlock est parti trop tôt – et vite oublié

Une publicité de la Société auxiliaire agricole de Paris, France, montrant un tracteur agricole Pavesi P4 ou Agrophile-Pavesi en action. Anon., « Société auxiliaire agricole, » L’Agriculture nouvelle, 14 janvier 1922, 4.

Il était une fois un tracteur acrobate : La belle bien que partiellement militaire histoire du tracteur agricole Pavesi P4 et la carrière de Ugo Pavesi

Deux des grands avions de chasse de la Première Guerre mondiale : un SPAD S.VII du Royal Flying Corps ou de l’Aéronautique militaire et un Albatros D.III du Luftstreitkräfte. Anon., « A Dog Fight. » Canadian Aviation, janvier 1932, 12.

L’histoire des photographies les plus extraordinaires jamais prises de combats aériens pendant la Première guerre mondiale, Ou, Le long et le court de la collection Cockburn-Lange

Une vue d’ensemble d’un des premiers réseaux téléphoniques au Canada, Montréal, Québec, 1878. Anon., « Le premier téléphone qui ait jamais été installé à Montréal. » La Presse, 27 janvier 1912, 5.

Ils sont parmi les premiers à tendre la main et toucher quelqu’un : Un regard sur un des premiers réseaux téléphoniques au Canada

Le Canadair CL-44 loué par British Overseas Airways Corporation (BOAC), septembre 1963. Cet aéronef de Seaboard World Airlines Incorporated transporte 19 voitures de course du Royaume-Uni aux États-Unis lors de ce vol, son premier aux couleurs de BOAC. MAEC.

Un bon élan en mérite un autre : La saga de l’avion-cargo canadien Canadair CL-44, Partie 2

Une publicité de l’avionneur Canadair Limited de Cartierville, Québec, vantant les mérites de son hénaurme avion-cargo, le Canadair CL-44. Anon., « Canadair Limited. » La Presse, 23 janvier 1962, 29.

Un bon élan en mérite un autre : La saga de l’avion-cargo canadien Canadair CL-44, Partie 1

Publicité publiée par les magasins Zeller’s Limited de Calgary, Alberta, qui met en valeur le tracteur Reely Ride-’em produit par Reliable Toy Company Limited de Toronto, Ontario. Anon. « Zeller’s Limited. » The Calgary Herald, 11 décembre 1961, 32.

Jouets, glorieux jouets, on voudrait bien jouer : Quelques pages sur Reliable Toy Company Limited de Toronto, Ontario

Un hydravion à flotteurs utilitaire de Havilland Canada DHC-3 Otter exploité par Northway Aviation Limited de St. Andrews, Manitoba, lac Fishing, Manitoba, septembre 2005. Mark Swaffer via Wikimédia.

Le camion volant d’une tonne du Canada : le de Havilland Canada DHC-3 Otter

Une publicité de Moline Plow Company montrant un Moline Universal Tractor en action. Anon. « Moline Plow Company. » L’Agriculture nouvelle, 10 décembre 1921, 707.

Un véhicule très réussi et, oserais-je le taper, un gougeur de pente de l’industrie des tracteurs agricoles : le Moline Universal Tractor

L’avion de ligne à réaction Douglas DC-8 de Canadian Pacific Airlines Limited de Vancouver, Colombie-Britannique, connu sous le nom de Empress of Montreal. Anon., « Empress of Montreal DC-8 First CPA Jet Visitor. » The Gazette, 6 décembre 1961, 17.

Un article dont je suis réticent à divulguer la phrase-choc si tôt dans le jeu : Ou, Un DC racé utilisé par CP

L’avion-cargo Fairchild C-119 Flying Boxcar de la United States Air Force emprunté par Iron Ore Company of Canada Incorporated en 1951. Anon., « Fret aérien – L’opération Ungava – Le fret aérien accélère l’application d’un projet. » Interavia, décembre 1951, 672.

« Dans l’intérêt de la sécurité nationale » : Le rôle joué par un avion-cargo Fairchild C-119 Flying Boxcar de la United States Air Force dans le développement des gisements de minerai de fer de la région du lac Knob

Le Vertol Modèle 42 de Skyrotors Limited de Arnprior, Ontario, nolisé par Spartan Air Services Limited de Ottawa, Ontario, dans le cadre de l’Opération High Tower. Anon., « Operation High Tower. » The Ottawa Citizen, 8 novembre 1961, 3.

Votre mission, si toutefois vous l’acceptez, est de déplacer des trucs : Spartan Air Services Limited de Ottawa, Ontario, la station radiophonique CFRA de Ottawa et l’Opération High Tower

Une des deux sculptures grandeur nature en alliage d’aluminium de grues blanches créées par Wolfram F. Niessen pour le Regina Municipal Airport, Regina, Saskatchewan. Anon., « Regina Honors the Whooping Crane. » The Ottawa Citizen, Weekend Magazine, 18 novembre 1961, 38.

Parlons d’art, humaines et humains. Tous les humains. Plus fort maintenant. Aidez-moi. – Wolfram F. Niessen, John Cullen Nugent et les sculptures grandeur nature en alliage d’aluminium de grues blanches créées pour le Regina Municipal Airport

Joseph Alphonse Ouimet. Anon., « Le pionnier de la télévision préférait la radio à une bicyclette neuve. » La Patrie, 5 novembre 1961, 26.

« Le pionnier de la télévision préférait la radio à une bicyclette neuve : » Un survol de la carrière de Joseph Alphonse Ouimet, un père fondateur de la télévision canadienne

Une publicité publiée par La traction et le matériel agraires Société anonyme pour le tracteur de jardin américain Beeman Junior. Anon., « La traction et le matériel agraires Société anonyme. » L’Agriculture nouvelle, 12 novembre 1921, 664.

« Les arpents verts, les champs, les bois, les chemins creux, c’est fait pour moi : » La firme américaine Beeman Garden Tractor Company et le tracteur de jardin / motoculteur Beeman Junior ou Modèle G

Une ascension de l’aéronaute et parachutiste foraine Florida Lanthier. Maurice Desjardins, « Dans une modeste maison de Montréal-Nord – Florida Lanthier, reine des parachutistes, vit de couture... et de souvenirs. » Photo-Journal, 8 novembre 1951, 3.

Ombres et lumière dans le ciel du Québec : Un premier regard sur la vie et l’époque de l’aéronaute et parachutiste foraine féminine québécoise Florida Lanthier

L’irradiateur mobile de démonstration monté par Énergie atomique du Canada Limitée. Anon., « Boon to Canadian potato industry. » Saskatoon Star-Phoenix, 21 octobre 1961, 6.

Une patate chaude, deux patates chaudes, trois patates chaudes, quatre : Énergie atomique du Canada Limitée de Chalk River, Ontario, et les premiers jours de l’irradiation des aliments au Canada

Une automobile légère et économique Mathis VL333. Fernand de Laborderie, « Le 33e Salon de l’automobile. » La Nature, 15 octobre 1946, 331.

Une vision d’avenir pour une firme à bout de souffle : L’automobile légère et économique française Mathis VL333

Un Bristol Bolingbroke de reconnaissance côtière destiné à l’Aviation royale du Canada en cours de montage dans l’usine de Fairchild Aircraft Limited, Longueuil, Québec, 1941. Anon., « Les C.F. et la R.C.A.F. » Le Samedi, 18 octobre 1941, (c).

« Nous devons obtenir du matériel aérien et veiller sur nos côtes » – L’Aviation royale du Canada et l’avion de reconnaissance côtière Bristol Bolingbroke

 Le prototype du de Havilland Canada DHC-6 Twin Otter en montre au Musée de l’aviation du Canada, Ottawa, vers 2001. MAEC.

De pôle en pôle et d’horizon en horizon, le Twin Otter était, est et sera là : Une bien brève pontification sur un des meilleurs aéronefs canadiens jamais conçus

Le Royal Aircraft Factory B.E.2 en montre au Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, Ottawa, Ontario, février 2009. Wikipédia.

Le cas étrange et déconcertant des aéroplanes substitués; ou, Même en utilisant les Mathématiques modernes, 4112 n’égale jamais 5878 : La haute histoire du Royal Aircraft Factory B.E.2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, partie 2

Le Royal Aircraft Factory B.E.2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada alors qu’il appartient au Musée canadien de la guerre, Ottawa, Ontario. H.J. (« Titch ») Jenkins, « Correspondence – Ottawa’s – and Sowrey’s – B.E.2c. » Flight, 12 octobre 1961, 600.

Le cas étrange et déconcertant des aéroplanes substitués; ou, Même en utilisant les Mathématiques modernes, 4112 n’égale jamais 5878 : La haute histoire du Royal Aircraft Factory B.E.2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, partie 1

Isidore Joseph Amédée Marsan. Anon., « Isidore Joseph Amédée Marsan. » Le Bulletin des agriculteurs, 17 septembre 1921, couverture.

Un des pionniers de la science agricole au Québec et au Canada: Isidore Joseph Amédée Marsan

Une annonce publicitaire de St. Lawrence Starch Company Limited, Port Credit, Ontario. Anon., « Publicité – St. Lawrence Starch Company Limited. » Le Bulletin des agriculteurs, septembre 1941, 61.

Gratis, magnifiques cartes portant des dessins ou photographies d’aéronefs alliés! Collectionnez-les toutes!

Une automobile Aluminium français-Grégoire, Cité de l’automobile – Musée national – Collection Schlumpf, Mulhouse, France, mai 2010, Wikimédia.

Ent’ deux joints, il a ben fait quequ’chose : Jean Albert Grégoire et ses magnifiques automobiles, Partie 2

 Un exemplaire de l’automobile électrique française CGE-Tudor. C. Faroux, « Un progrès considérable de la voitures électrique. » La Vie automobile, 25 septembre 1941, 284.

Ent’ deux joints, il a ben fait quequ’chose : Jean Albert Grégoire et ses magnifiques automobiles, Partie 1

Le seul et unique exemplaire de l’avion de ligne à long rayon d’action italien Breda Zappata BZ 308. Jacques Gambu. « Breda Zappata BZ 308. » Aviation Magazine, 1er septembre 1951, 21.

Il Constellation italiano, une étoile méconnue du firmament aéronautique de l’Italie : L’avion de ligne à long rayon d’action Breda Zappata BZ 308

Paul Fjeld dans la demeure familiale, Rosemère, Québec. Claude-Lyse Gagnon, « Parti avec $200 en poche – Un jeune Québécois a pu voir décoller Apollo 15. » La Patrie, 15 août 1971, 12.

Espace, frontière de l’infini vers laquelle voyage notre planète, la Terre; voici l’histoire de vie de Paul Fjeld, passionné d’espace et artiste depuis plus d’un demi-siècle

Publicité pour la lager Frontenac Blue Label de National Breweries Limited de Montréal, Québec. Anon., « Publicité – National Breweries Limited. » Le Samedi, 23 août 1941, 12.

La grande victime de la guerre de la bière de Montréal de 1925 : Frontenac Breweries Limited de Montréal, Québec

Un véhicule tout-terrain Karou Karou. Anon., « Opération Camping à Saint-Hilaire. » Photo-Journal, 26 juillet au 1er août 1971, 47.

Tout-terrain, tout-temps, tout-plaisir : Karou Incorporée de Drummondville, Québec, et le véhicule tout-terrain Karou

Le premier exemplaire de production de l’avion d’entraînement avancé Avro Anson de fabrication canadienne équipé d’un fuselage en contreplaqué moulé, lieu inconnu, 1943. MAEC, 23290.

Tout le monde ne sait pas que la fabrication d’aéronefs peut être un sport de contact : Clarence Decatur Howe, Harvey Reginald MacMillan et la production d’avions d’entraînement avancé Avro Anson au Canada, Partie 2

Une paire d’avions d’entraînement avancé Avro Anson de fabrication canadienne utilisée par l’École de pilotage militaire no 10, Base de l’Aviation royale du Canada de Dauphin, près de Dauphin, Manitoba, 1943-44. MAEC, 27297.

Tout le monde ne sait pas que la fabrication d’aéronefs peut être un sport de contact : Clarence Decatur Howe, Harvey Reginald MacMillan et la production d’avions d’entraînement avancé Avro Anson au Canada, Partie 1

Le tout premier tramway électrique exploité par Telegraphen-Bau-Anstalt von Siemens & Halske, Berlin, Empire allemand. Anon., « The first electric railway in Berlin. » Canadian Illustrated News, 9 juillet 1881, 21.

Un tramway nommé Straßenbahn Groß-Lichterfelde, ou, Comment Telegraphen-Bau-Anstalt von Siemens & Halske met en service le premier tramway électrique au monde

L’auteur et pionnier canadien de l’aviation Frank Henry Ellis (au centre) avec les pionniers américains de l’aviation Frank Purdy Lahm (à gauche) et Will D. « Billy » Parker, président de Early Birds of Aviation Incorporated, Los Angeles, Californie. Robert Francis, « Early Birds ». Sunday Sun Magazine, 28 juillet 1951, 5.

Si nous avons vu plus loin, c’est en montant sur les épaules d’un géant : Frank Henry Ellis et Canada’s Flying Heritage

Publicité montrant un tracteur italien SAME Buffalo. Anon., « Publicité – Les Entreprises Biasotto & Hardy (Canada) Incorporée. » Le Bulletin des agriculteurs, juillet 1981, 26.

Ils étaient tous pareils, frères l’un de l’autre : Francesco Cassani, Eugenio Gabriele Cassani et la Società Accomandita Motori Endotermici (SAME)

Un Canadair North Star de British Overseas Airways Corporation, London Airport, Heathrow, Angleterre, septembre 1954. Wikimédia.

Le tour du monde en 80 heures : Quelques pages sur le Canadair North Star, partie 2

Le prototype du Canada North Star, 1946. Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, KM-08329

Le tour du monde en 80 heures : Quelques pages sur le Canadair North Star, partie 1

Une annonce publicitaire pour une faucheuse fabriquée par La Machine Agricole Nationale Limitée de Montmagny, Québec. Anon., « Publicité – La Machine Agricole Nationale Limitée. » Le Bulletin des agriculteurs, 11 juin 1921, 556.

Faites que personne n’oublie que, pendant un moment bref et éclatant, il y a eu La Machine Agricole Nationale Limitée de Montmagny, Québec

La civière Folland / Hawker Siddeley Hoverstretcher en action. Anon., « Airborne comfort. » The Calgary Herald, 9 juin 1961, 19.

Développer le germe d’une idée: Maurice Joseph Brennan et ses aéroglisseurs

Des mères et enfants prêtes à monter à bord d’un des avions de ligne Douglas DC-3 convertis en Nurseryliner par United Air Lines Incorporated, San Francisco, Californie, avril ou mai 1946. Anon., « Service aérien pour bébés. » Photo-Journal, 20 juin 1946, 12.

Asseyez-vous, détendez-vous et profitez du voyage – Des bébés dans l’avion : United Air Lines Incorporated et son service Nurseryliner

L’ingénieur et astronome amateur canadien James Hargreaves avec un instrument qu’il a fabriqué lui-même. Jean Taillefer, « Un voyage de 180 jours au Soudan, en Afrique; une expérience astronomique de 180 secondes. » Le Droit, 16 juin 1951, 13.

« Un savant d’Ottawa fait un sacrifice pour la science: » L’ingénieur et astronome amateur canadien James Hargreaves et ses voyages autour du globe

Le prototype de l’avion de brousse Fairchild F-11 Husky peu avant son premier vol, juin 1946, Musée de l’aviation et de l’espace du Canada KM-05311.

Chien-chien, tu es doué, très doué, mais tant que le rongeur sera dans le métier, tu ne seras jamais que le second : La brève mais longue histoire de l’avion de brousse Fairchild F-11 Husky

Un dessin écorché de l’avion de brousse canadien Fleet Modèle 50 Freighter. Anon., « Fleet’s Trainer and Transport. » Aviation, mai 1941, 61.

Il aurait pu (et dû?) être un des grands : L’avion de brousse canadien Fleet Modèle 50 Freighter

Wilfrid-Henri Perron. Claude Asselin, « Une encyclopédie québécoise pour les horticulteurs. » Photo-Journal, 3 au 9 mai 1971, 12.

Chez Perron, tout est bon : Un géant de l’horticulture québécoise et canadienne, Wilfrid-Henri Perron (1897-1977)

Le cyclecar / vélomobile / vélocar / automouche à pédales et / ou moteur auxiliaire Le Dauphin. Edmond Massip, « Un cyclecar à pédales et moteur auxiliaire. » La Vie automobile, 25 mai 1941, 153.

Le cyclecar / vélomobile / vélocar / automouche à pédales et / ou moteur auxiliaire Le Dauphin : Une solution (extrême?) à la pénurie de carburant à Paris au cours de l’occupation allemande pendant la Seconde Guerre mondiale

L’autogire Pitcairn PCA-2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada lors de sa grande tournée aux États-Unis, alors qu’il appartient à Sealed Power Corporation. Anon. « Pohled na Ciervovu autogiro za letu. » Letectvi, novembre 1932, 310.

« ’Moulin à vent volant’ ici mercredi » : Le grand périple de Donald Walker et du Pitcairn PCA-2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, partie 2

L’autogire Pitcairn PCA-2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada au moment où il appartenait à Standard Oil Company of New York. Anon., « Publicité – Standard Oil Company of New York. » Aviation, mai 1931, 22.

« ‘Moulin à vent volant’ ici mercredi » : Le grand périple de Donald Walker et du Pitcairn PCA-2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, partie 1

Une annonce publicitaire sobre et sans fioriture d’Elzéar Fortier Limitée de Québec, Québec. Anon., « Publicité – Elzéar Fortier Limitée. » L’Action catholique, 8 avril 1946, 9.

C’était un malin: Elzéar Fortier et la production de boissons gazeuses à Québec, Québec

Youri Alekseïevitch Gagarine et Charles Augustus Lindbergh. La légende de ces photographies mentionne la ressemblance frappante entre ces personnes importantes du monde de l’astronautique et de l’aéronautique. Anon., « Lancement du premier homme dans l’espace – Comment se sont déroulés les événements en Union soviétique. » La Tribune, 13 avril 1961, 24.

C’était aussi un petit pas pour un homme, un pas de géant pour l’humanité : Le vol dans l’espace de Youri Alekseïevitch Gagarine dans la presse francophone québécoise, 12-15 avril 1961, partie 2

Le major Youri Alekseïevitch Gagarine au cours de sa visite à Helsinki, Finlande, juillet 1961. Wikimédia.

C’était aussi un petit pas pour un homme, un pas de géant pour l’humanité : Le vol dans l’espace de Youri Alekseïevitch Gagarine dans la presse francophone québécoise, 12-15 avril 1961, partie 1

Claire Wallace, animatrice de radio de Canadian Broadcasting Corporation interviewant Diana Jocelyn Dudley, ingénieure en aménagement intérieur de Trans-Canada Air Lines, janvier 1946. Anon. « Air Transportation – Radio Broadcast over Niagara. » Canadian Transportation, avril 1946, 200.

Pas un endroit pour une dame?! Baliverne! : Diana Jocelyn Dudley et Janet Elizabeth Lowe, les premiers ingénieurs en aménagement intérieur des Lignes aériennes Trans-Canada

Peter Müller aux commandes [sic] du Pedroplan, Berlin, Allemagne, mars 1931. Anon., « Cologne contre Marseille – Le mystère du ‘Pédroplan.’ [sic] » Les Ailes, 2 avril 1931, 14.

Je veux faire voler ma bicyclette, je veux faire voler mon cerf-volant : Peter Müller et le Pedroplan

L’aéroglisseur Phillips Saucercraft, Mount Hope, Ontario. Anon., « Flying saucer crack-up. » The Calgary Herald, 2 mars 1961, 1.

Un ONVI (Objet non volant identifié) des plus intrigants : L’aéroglisseur Phillips Saucercraft

La Dre Ann Elizabeth Noelle Grace s’occupant d’un de ses patients, Montreal General Hospital, Montréal, Québec. Claude Adams, « An eye-opener for our reporter – Team of women doctors shatters Ben Casey myth. » The Gazette, 3 mars 1971, 31.

Briser le mythe de Ben Casey et James Kildare : La première femme chirurgien pédiatrique du Canada, la Dre Ann Elizabeth Noelle Grace

Une publicité de Langlais & Frère Incorporée de Québec, Québec, vantant les mérites du tracteur Zetor 25. Anon. « Publicité – Langlais & Frère Incorporée. » L’Action catholique, 3 mars 1951, 14.

De leurs épées, ils forgeront des socs de charrue; ou, Un bref regard sur la société d’état tchèque Zbrojovka Brno Národní Podnik

 Quelques personnalités présentes lors l’inauguration de l’École d’avionnerie de Cartierville, Cartierville, Québec, 3 mars 1941. Anon., « À l’inauguration de l’École d’avionnerie de Cartierville. » La Presse, 4 mars 1941, 19.

Une réalisation magnifique, pleine de promesses d’avenir, balayée par l’esprit étroit de Maurice Le Noblet Duplessis : L’École d’avionnerie de Cartierville

La présentation du premier Boeing Modèle 747 d’Air Canada à l’Aéroport international de Montréal-Dorval, Dorval, Québec. Anon., « Des milliers de personnes ont vu le géant des airs. » La Presse, 22 mars 1971, A 1.

66 327 personnes ne peuvent pas avoir tort, mais elles peuvent avoir froid : La présentation du premier Boeing Modèle 747 d’Air Canada à l’Aéroport international de Montréal-Dorval

 Le Fokker D.VII du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, mars 2019. MAEC.

Un des grands aéronefs de combat du 20ème siècle et un des nombreux joyaux d’un des plus remarquables musées de l’aviation et de l’espace de la planète Terre : Le Fokker D.VII et l’avion du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada

Une publicité de Équipements Ascot Incorporée de Saint-Élie-d’Orford, Québec, vantant les mérites du tracteur UTB U530. Anon. « Publicité – Équipements Ascot Incorporée. » Le Bulletin des agriculteurs, février 1981, 28.

De leurs ailes, ils forgeront des socs de charrue; ou, Un bref regard sur la société d’état roumaine Uzina Tractorul Braşov

Un dessin éditorial mettant en lumière le lancement de la sonde planétaire soviétique Venera 1 en février 1961. Edmund Alexander Sebestyen, « To Venus With Love. » Saskatoon Star-Phoenix, 14 février 1961, 4.

Essayer de lever les voiles sous lesquels Vénus se cachait de notre regard : La saga de la sonde planétaire soviétique Venera 1

Un Jacobs Jaycopter au repos, Edmonton, Alberta. Lyn Harrington, « Cutting helicopter training cost. » Canadian Aviation, février 1961, 20.

Un simulateur d’hélicoptère avec une différence : il vole – Le Jacobs Jaycopter canadien

Dessin éditorial montrant le roi Neptune offrant sa couronne à l’équipage du English Electric Canberra qui traverse l’Océan Atlantique en février 1951. Charles R. Knight, « Ready to Abdicate. » The Windsor Daily Star, 22 février 1951, 4.

Quelques milliers de mots sur le English Electric Canberra / Martin B-57 Canberra et le petit rôle joué par Canadair Limited dans son histoire

Le premier exemplaire de série de l’hélicoptère Piasecki HUP Retriever. Anon., « News Picture Highlights. » Aviation Week, 15 janvier 1951, 9.

« Shoe, » Retriever, « Hupmobile » ou Army Mule – un HUP sous tout autre nom est encore un HUP : Les hélicoptères Piasecki HUP Retriever et H-25 Army Mule, et le HUP du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada

Une vue du barrage de Warsak, nord du Pakistan occidental. Anon., « Inauguration du barrage de Warsak. » Le Droit, 27 janvier 1961, 12.

Franchement, ma chère / mon cher, nous avons donné un barrage : Le Canada et le barrage de Warsak au Pakistan

Un des premiers de Havilland Canada Chipmunk importés au Royaume-Uni. Anon., « De Havilland [Canada] DHC-1 ‘Chipmunk.’ » Aviation Magazine, 1er janvier 1951, couverture.

Un Tamias striatus gambadant dans les nuages : Le de Havilland Canada Chipmunk

Le 5ème de Havilland Canada AC-1 Caribou de présérie. Larry Booda, “Aeronautical Engineering – Aviation Week Pilot Report – STOL Caribou Calls for Special Handling.” Aviation Week and Space Technology, 23 janvier 1961, 56.

Un camion volant qui a donné de la mobilité aux soldats de l’ère atomique : Le de Havilland Canada Caribou

La voiture lunaire Oberth telle qu’imaginée en 1960. I.M. Levitt, « Le problème du transport sur la Lune. » L’Action catholique, 10 juillet 1960, 5.

Je ne suis tout simplement pas sûr que ce véhicule a été bien pensé : La voiture lunaire du pionnier de l’astronautique Hermann Julius Oberth

La Ferrari 512 Pininfarina Modulo, en montre lors de l’édition 1971 du Salon international de l’Auto de Montréal, Montréal, Québec. Jean D. Legault, « Une première mondiale et 12 continentales. » La Patrie, 17 janvier 1971, 31.

Une des automobiles de rêve les plus célèbres de tous les temps : La Ferrari 512 Pininfarina Modulo

Publicité pour le moins sobre pour la bière d’épinette La Canadienne de F.A. Fluet Enregistré. Anon., « Publicité – F.A. Fluet Enregistré. » L’Action catholique, 4 janvier 1951, 5.

Une petite bière qui n’était pas de la petite bière : F.A. Fluet Enregistré de Québec, Québec, et la bière d’épinette La Canadienne

Une scène croquée lors du lancement du Jeu de l’électricité par Éditions Héritage Incorporée, Montréal, Québec, 6 novembre 1968. Anon., « –. » Le Devoir, 6 novembre 1968, 11.

A B C Abécédaire. Viens avec nous autour de la Terre : L’émission de télévision éducative pour enfants Tour de Terre de la Société Radio-Canada

Une publicité vantant les mérites du Vin St.Georges. Anon. « Publicité – T.G. Bright & Company Limited. » Le Bulletin des agriculteurs, décembre 1940, 2.

Pour régaler la famille pendant les Fêtes, n’oubliez pas le Vin St.Georges : Un bref regard sur un pionnier de l’industrie vinicole canadienne, T.G. Bright & Company Limited

Le Bell Modèle 47 utilisé par Airspray Limited, Ontario. Anon., “Helicopter – Down on the Farm.” Canadian Aviation, septembre 1947, 25.

Dans la ferme de Mathurin, hiya hiya ho. Il y a des centaines de Bell, hiya hiya ho : Quelques mots de plus sur les premiers jours de l’aviation agricole au Canada

Une publicité annonçant la mise en service de l’avion de ligne court et moyen-courriers Vickers Vanguard des Lignes aériennes Trans-Canada. Anon., « Publicité – Trans-Canada Air Lines. » Maclean’s, 3 décembre 1960, 8-9.

Du « gros Viscount » au Merchantman : Le voyage abrégé du Vickers Vanguard

Le Convair 580 utilisé par le Centre canadien de télédétection de Ressources naturelles Canada, Aéroport international MacDonald-Cartier d’Ottawa, Ottawa, Ontario, septembre 2001. Wikipédia.

C’était un des grands : L’aéronef de télédétection Convair 580 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada

Un aéronef agricole Air Tractor AT-502 utilisé par Southeastern Aerial Crop Service Incorporated, Belle Glade State Municipal Airport, Floride, juin 2013. Wikipédia.

Des ailes au-dessus du monde : Le turbopropulseur et turbomoteur PT6, Partie 2

Le premier turbopropulseur conçu au Canada, le PT6 de Canadian Pratt & Whitney Aircraft Company Limited. Anon., « Publicité – Canadian Pratt & Whitney Aircraft Company Limited. » The Gazette, 14 novembre 1960, 24.

Des ailes au-dessus du monde : Le turbopropulseur et turbomoteur PT6, Partie 1

Les 14 volumes de l’édition 1960 de L’Encyclopédie de la jeunesse de Grolier Limitée. Anon., « Publicité - Grolier Limitée. » La Tribune - Perspectives, 12 novembre 1960, 31.

Un livre de connaissance : L’Encyclopédie de la Jeunesse

Roxana Hartley et M. Jolie / lord Robert Brummel, les principaux protagonistes de la pièce américaine de 1930 Dancing Partner, Belasco Theatre, New York, New York. Anon., « The Stage Goes ‘Air-minded’. » Scientific American, novembre 1930, 355.

Une pièce dans un avion, et un avion dans une pièce : Dancing Partner, 1930

Le Supermarine Spitfire exposé pour le 20ème anniversaire de la bataille d’Angleterre, Colline du Parlement, Ottawa, Ontario, 18 septembre 1940. Anon., « News roundup – Battle of Britain Ceremonies. » Aircraft, novembre 1960, 58.

Un cadeau pour le ciel : Le Supermarine Spitfire Mk IIb du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada

Certains des montages du Musée national de l’air, Aéroport de Uplands, Ottawa, Ontario, début des années 1960. MAEC, numéro de négatif 4446.

Bonne fête à nous. Bonne fête à nous. Bonne fête cher MAEC. Bonne fête à nous : Quelques mots sur les premiers jours, semaines, mois et années du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada

Une reproduction (grandeur nature?) un tant soit peu inexacte de Spoutnik I en montre à Prague, Tchécoslovaquie, dans le cadre d’une exposition commémorant le 40ème anniversaire de la Grande révolution socialiste d’octobre. Anon., « Modèle du satellite russe. » Le Nouvelliste, 10 octobre 1957, 1.

Le Québec / Canada et le satellite le plus simple, le vaisseau spatial PS-1, autrement dit Spoutnik I : Un survol de ce qui se publie dans la presse québécoise francophone entre les 5 et 12 octobre 1957, Partie 4

Pierre Dorion, « L’ère des émotions. » La Presse, 9 octobre 1957, 4.

Le Québec / Canada et le satellite le plus simple, le vaisseau spatial PS-1, autrement dit Spoutnik I : Un survol de ce qui se publie dans la presse québécoise francophone entre les 5 et 12 octobre 1957, Partie 3

Le satellite le plus simple ou vaisseau spatial PS-1, autrement dit Spoutnik I, un peu avant son lancement, septembre 1957. NASA.

Le Québec / Canada et le satellite le plus simple, le vaisseau spatial PS-1, autrement dit Spoutnik I : Un survol de ce qui se publie dans la presse québécoise francophone entre les 5 et 12 octobre 1957, partie 2

Un dessin un tant soit peu inexact du vaisseau spatial PS-1, autrement dit Spoutnik I, en orbite autour de la Terre. Anon., « Fusées et satellites seraient invincibles. » Le Soleil, 8 octobre 1957, 1.

Le Québec / Canada et le satellite le plus simple, le vaisseau spatial PS-1, autrement dit Spoutnik I : Un survol de ce qui se publie dans la presse québécoise francophone entre les 5 et 12 octobre 1957, Partie 1

Eldon Douglas McEarchern travaillant sur son Piper PA-18 Super Cub agricole sous le regard d’un de ses fils, Carman, Manitoba. Anon., « Les fermiers volants de l’ouest canadien ». Le Samedi, 22 octobre 1960, 25.

Oh, quel matin magnifique! Oh, quelle journée magnifique! : Un aperçu de la première décennie du mouvement des fermiers volants au Canada

 Une des batteuses remorquées conçues et fabriquées par Dion & Frère Incorporée de Sainte-Thérèse-de-Blainville, Québec. Anon., « Publicité – Dion & Frère Incorporée. » Le Bulletin des agriculteurs, septembre 1940, 47.

Un siècle de technologie et d’innovation agricoles dans la région québécoise des Laurentides : De Dion & Frère à Dion-AG

Jani Moreau, agente de bord, telle qu’imaginée par l’artiste Nicole Lapointe. Anon., « Un nouvel illustré : Jani hôtesse de l’air. » Claire, 15 septembre 1960, couverture.

Elle n’est pas une serveuse dans le ciel : Jani hôtesse de l’air et quelques mots sur la présence des agentes de bord dans la culture populaire

Une furieuse Clara déchiquetant le biplan Curtiss piloté par George F. Russell, Dongan Hills, New York, 10 septembre 1910. Anon., "La vache et l’aéroplane". Le Petit Journal - Supplément illustrée, 25 septembre 1910, 312.

Une rencontre rapprochée de type étrange et inhabituel, ou, Comment Clara la vache a rencontré un biplan Curtiss à Staten Island, New York, New York

Le premier avion de ligne Douglas DC-3 livré aux Lignes aériennes Trans-Canada, Aéroport de Montréal (Dorval), Dorval, Québec, vers 1945-48. MAEC, numéro de négatif 25515

Un rutilant exemplaire d’un des aéronefs les plus célèbres et importants du 20ème siècle : Le Douglas DC-3 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada

Le premier avion léger /privé Fleet Modèle 80 Canuck, Fort Erie, Ontario, mars 1946. Cet aéronef appartient à Sturgeon Air Services Limited de Fredericton, Nouveau-Brunswick. MAEC, négatif numéro KM-07962

Enseigner à voler car il a des ailes : L’avion léger / privé canadien Fleet Modèle 80 Canuck

Un Zenair CH-701 fabriqué sous licence par Czech Aircraft Works Společnost s ručenim omezeným, Oshkosh, Wisconsin, juillet 2011. Wikimédia.

Née dans un garage, mais maintenant le monde entier est un marché pour Zenair Limited : Un coup d’œil sur les concepts de l’ère de la Guerre froide de Christophe Jean Heintz, partie 2

Christophe Jean Heintz aux commandes du Heintz Zenith. Anon., « –. » Aviation magazine international, 15 au 31 août 1970, couverture.

Née dans un garage, mais maintenant le monde entier est un marché pour Zenair Limited : Un coup d’œil sur les concepts de l’ère de la Guerre froide de Christophe Jean Heintz, partie 1

Le satellite-ballon Echo 1A au cours d’un essai de gonflement, 1960. National Aeronautics and Space Administration.

Les merveilleux ballons en plomb de Claude Williams Coffee, Junior, Walter Edward Bressette et William J. O’Sullivan : Les satellites-ballons Echo au Québec et ailleurs, Partie 2

Le satellite-ballon Echo 1A filant dans le ciel, au-dessus de l’École normale de Chicoutimi, Chicoutimi, Québec. Dominique Lapointe, « Une visite qui nous est devenue familière – L’Écho 1 continue à se promener tous les soirs sur notre région. » Le Progrès du Saguenay, 27 août 1960, 7.

Les merveilleux ballons en plomb de Claude Williams Coffee, Junior, Walter Edward Bressette et William J. O’Sullivan : Les satellites-ballons Echo au Québec et ailleurs, Partie 1

Un des Found FBA-2 de Georgian Bay Airways Limited. H.L. « Des US et du Canada 2 formules d’avions légers – 1 Le Found ‘Flying Truck.’ » Aviation magazine international, 1er juillet 1964, 39.

Un petit camion volant ontarien déménagé au pays des kiwis : L’avion de brousse Found FBA-2

Le seul et unique Cushioncraft CC1, initialement connu sous le nom de Britten-Norman BN-1 Cushioncraft / CC1 Cushioncraft. Anon., "News Digest - New Cushion-rider." Aviation canadienne, août 1960, 46.

À l’époque, ça semblait être une bonne idée : Les bananes du Cameroun britannique et l’aéroglisseur Cushioncraft CC1

Le seul et unique Canadian Car & Foundry CBY-3 Loadmaster. MAEC, numéro de négatif 17826.

Les huit vies d’un wagon de marchandises volant unique, le Canadian Car & Foundry CBY-3 Loadmaster

La fusée atomique / nucléaire pulsée imaginée par l’illustrateur américain bien connu Francis Xavier Theban Tinsley. Anon., « Publicité – American Bosch Arma Corporation. » Aviation Week, 4 juillet 1960, 13.

Un méchant souffle du passé : Francis Xavier Theban Tinsley et la fusée atomique / nucléaire pulsée

Walter Thomas Leavens examinant les coupes qui entraînent l’agitateur monté à l’intérieur de la trémie de l’avion léger / privé Piper J-5 Cub Cruiser utilisé par Leavens Brothers Air Services Limited. Anon., « Crop Dusting with a Cub. » Canadian Aviation, juillet 1945, 50.

Désherbez-les et récoltez : Leavens Brothers Air Services Limited et les premiers jours de l’aviation agricole en Ontario / au Canada après la Seconde Guerre mondiale

L’Aviateur du Pacifique.

Un roman d’anticipation et de guerre de la Belle Époque : L’Aviateur du Pacifique du capitaine Danrit (Émile Driant)

Le planeur à réaction Fouga CM.8 Cyclone / Sylphe. Anon., “–.” Aviation Magazine, 1er juin 1950, couverture.

J’aime les nuages… les nuages qui passent… là-bas… là-bas… les merveilleux nuages! Les Établissements Fouga et Compagnie et ses planeurs à réaction

La voiturette Sharp / Bond Minicar Mk A présentée à la population de Montréal, Québec, par le concessionnaire Budd & Dyer Limited. Anon., « Jusqu’à 110 milles au gallon. » La Presse, 10 juin 1950, 26.

Une voiturette conçue à une époque d’austérité : La Bond Minicar

Un hydroplaneur Koser / Koser-Hrovat KB-3 Jadran, mer Adriatique, été 1949. En arrière-plan, le navire à passagères et passagers côtier Dalmacija de la firme maritime d’état Jadranska Linijska Providba. Anon., « Gliding and sailplanes in Yugoslavia. » Sailplane and Glider, juin 1950, 125.

Au-dessus des étangs, au-dessus des vallées : L’hydroplaneur Koser / Koser-Hrovat KB-3 Jadran

Le tsar Nikolaï II, à gauche, les mains derrière le dos, regardant les aéroplanes qui ont participé à la Sankt-Peterburgskaya aviatsionnaya nedelya, Saint-Pétersbourg, Empire russe. Anon., « Nouvelles sportives – Le tsar chez les aviateurs. » La Revue aérienne, 10 juin 1910, 349.

Miracle des miracles, regardez ce que l’avion a ramené : La Sankt-Peterburgskaya aviatsionnaya nedelya

Le Danois Jan Bo Kristensen effectuant un atterrissage de précision avec un parachute-voile lors d’une compétition nationale organisée par la Dansk Faldskærms Union, Randers, Danemark, août 2005. Wikipédia.

L’imagination est le plus haut cerf-volant que l’on puisse faire voler : La vie et l’époque d’un maître du vent, Domina Cléophas Jalbert, Partie 2

Domina Cléophas Jalbert, à gauche, et Hamnett Pitzer Munger avec un des ballons cerfs-volants fabriqués par Jalbert Aerological Laboratory Incorporated pour étudier la pollution atmosphérique. Anon., « Ce que devient un jouet d’enfant. » La Presse, 23 mai 1950, 3.

L’imagination est le plus haut cerf-volant que l’on puisse faire voler : La vie et l’époque d’un maître du vent, Domina Cléophas Jalbert, Partie 1

Deux des jeunes employés de Ontario Model Aircraft Company au travail, Toronto, Ontario. Arthur Lowe, « Kindergarten of the Air. » Maclean’s, 1er mai 1940, 24.

Une maternelle pour l’ère de l’aviation : Ontario Model Aircraft Company / Model Craft Hobbies Limited et quelques autres mots sur l’aéromodélisme au Canada avant et pendant la Seconde Guerre mondiale

Le seul et unique Monte-Copter Modèle 15 Triphibian, Seattle, Washington. Anon., « World Air News. » Air Pictorial, mai 1960, 167.

Le jour des triphibes : Monte-Copter Incorporated et l’hélicoptère Modèle 15 Triphibian

Le petit chéri de Vladislav Verner, le Verner W-01 Brouček. Anon., « Private Flying. » Flight International, 14 mai 1970, 806.

Malé letadlo a skvěly příběh / Un petit avion et une grande histoire : L’avion de construction amateur Verner W-01 Brouček

Personnel au sol chargeant des approvisionnements dans la soute à bombes d'un Avro Lancaster du 514e escadron de la Royal Air Force au cours de l'opération Manna, le largage de nourriture à la population néerlandaise affamée.

Il leur donna le pain du ciel à manger : Quelques mots sur l'opération Manna et l'opération Chowdown, avril-mai 1945

Un garçon et des éléments d’un jouet exposé à l’édition de 1950 de la foire des jouets de New York, New York : Stefan Olsen et la chambre à nuages du Gilbert Atomic Energy Lab. Anon., “Initiation atomique.” Photo-Journal, 13 avril 1950, 20.

Un des jouets les plus dangereux de tous les temps : Le Gilbert Atomic Energy Lab

Un des Aeronautica Macchi AL-60 utilisés au Canada par Northwest Industries Limited pour intéresser des clients potentiels, Edmonton, Alberta. Anon., « Aeronews. » Air Progress, juillet 1969, 15.

Un L-402 sous tout autre nom est encore un L-402 – ou un AL-60 ou un Conestoga ou un Ranger ou un Santa Maria ou un Trojan, à moins qu’il ne soit un Kudu, Partie 2

Le premier prototype du Lockheed L-402. Anon., « Le Lockheed-Azcarate C.L.-402. » Les Ailes, 16 avril 1960, 1.

Un L-402 sous tout autre nom est encore un L-402 – ou un AL-60 ou un Conestoga ou un Ranger ou un Santa Maria ou un Trojan, à moins qu’il ne soit un Kudu, Partie 1

Une des publicités publiées dans des quotidiens québécois pour promouvoir la nouvelle automobile Glas Goggomobil T700. Anon., « Publicité - Eugène Roy Limitée. » La Presse, 1er avril 1960, 39.

À la recherche de… la Glas Isar / Isard T700, une automobile précédemment connue sous le nom de Goggomobil T700

Le traîneau aérien conçu et fabriqué par Kenneth J. Richards. Anon., « Traîneau moderne. » L’Auto, 9 février 1940, 1.

La semaine mystérieuse magique attend pour vous emporter, ou, Est-ce que quelqu’un dans la blogosphère sait quoi que ce soit sur le traîneau aérien Richards ou le traîneau aérien Lawrence?

De gauche à droite, Boum-Boum, Ba-Ba et Bi-Bi, en d’autres mots les Lunours. Anon., “Toute la vérité sur la soucoupe de St-Bruno –Un coup monté de $100,000.” Photo-Journal, 23 février au 1er mars 1970, 1.

Nous sommes Bi-Bi Ba-Ba Boum-Boum: La saga des Lunours

Un exemplaire du turboréacteur suédois STAL Skuten en montre, sous bonne garde, à Stockholm, Suède. Anon., « Production – First Swedish Turbojet Revealed. » Aviation Week, 27 mars 1950, 36.

Un conte de deux moteurs, ou quatre, ou même six : Les STAL Skuten, Dovern et Glan

Frances Marian « Poppy » Northcutt dans une des expositions sur l’espace du Palais de la Découverte, un centre des sciences à Paris, France, pas au Texas. Anon., « Astronautique – ‘Poppy’ à Paris. » Aviation Magazine International, 15 au 31 mars 1970, 42.

Ses parents trouvent qu’elle fait un métier passionnant, mais ils aimeraient qu’elle se marie : Frances Marian « Poppy » Northcutt à la NASA et au-delà

Turi Widerøe parlant avec une agente de bord dans un avion de ligne à réaction Sud Aviation SE 210 Caravelle de Scandinavian Airlines System Denmark-Norway-Sweden. J.-C Fortin. « SAS ne compte qu’une seule femme pilote de ligne : Turi Wideroe. » Le Petit Journal, 1er mars 1970, 28.

Turi Widerøe est passée en coup de vent à Montréal l’autre jour

Quelques aspects de la quatrième exposition d’automobiles et de bateaux de Montréal. Anon., « Ouverture de l’exposition d’automobiles et de yachts. » La Presse, 28 mars 1910, 1.

Une semaine au Coliseum : L’exposition d’automobiles et de bateaux de Montréal de 1910 et les premiers aéroplanes en exposition au Québec / Canada

La docteure Margaret Beznak avec un de ses sujets de recherche. Elizabeth Motherwell, « Elle succède à son mari à la tête de la faculté de physiologie de l’U. d’Ottawa. » La Tribune, 3 février 1960, 17.

Un exemple stellaire de la contribution faite par les gens qui choisissent le Canada : Quelques mots sur la vie et l’époque de la docteure Margaret Beznak

Les sœurs Maria Cleofas et Maria Innocenza des Sœurs franciscaines de Saint-Louis de Gonzague à bord d’un avion léger / privé AVIA / Lombardi FL.3 au cours de leur formation de pilote, Turin, Italie. Anon., « Le ciel leur appartient. » Le Soleil / Perspectives, 20 février 1960, 12.

Sœur Bertrille n’est pas la première sœur volante, ou, Parlons des sœurs Maria Cleofas et Maria Innocenza – et de sœur Mary Aquinas aussi

Le Bellanca CH-300 Pacemaker du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada à Ottawa, Ontario, vers 2007. Wikipédia.

Si loin de chez lui : Le Bellanca CH-300 Pacemaker du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, Partie 2

Un Bellanca CH-300 Pacemaker utilisé par Alaska Coastal Airlines, Incorporated, Juneau, Alaska. Cet hydravion à flotteurs est maintenant exposé au Musée de l’aviation et de l’espace du Canada à Ottawa, Ontario. Keith Petrich, “Bush Flying Is Dead.” Air Trails Pictorial, février 1945, 26.

Si loin de chez lui : Le Bellanca CH-300 Pacemaker du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, Partie 1

Une voiturette New-Map / Rolux Baby typique. Anon., « La voiturette ‘Baby VB-60’ à Québec au milieu de février. » L’Action catholique, 14 janvier 1950, 12.

La voiture qui est plus économique que le tramway : La voiturette New-Map / Rolux Baby

Charles Aznavour avec le véhicule tout-terrain Beehoo / Magna Amphicat qu’il examine, Montréal, Québec. Sa fille Seda est près de lui. Suzanne Piuze, « Aznavour m’a dit… » La Patrie, 25 janvier 1970, 20.

J’aimerais en posséder une; son mon bateau, ce serait épatant : Le voyage hors route du Beehoo / Magna Amphicat

L’habitat lunaire imaginé par Rocco G. « Roy » Scarfo. Anon., « C’est écrit dans le ciel. » La Patrie du dimanche, 24 janvier 1960, 6.

Il était un des grands : Rocco G. « Roy » Scarfo, peintre de l’espace, et le monde au-delà de demain

Démonstration de la légèreté du turboréacteur Williams Jet No.1. Anon., « 23-lb Turbojet Develops 70 lb. Of Thrust. » Aviation Week and Space Technology, 18 janvier 1960, 126.

Ce moteur est peut-être un peu lourd mais son sourire demeure toujours : Le Williams Jet No. 1 et ses successeurs

L’avion de ligne General Development / Christmas, près de New York, New York. Anon., “Potężny łoskot silników powietrznych gigantów powitał rok nowy.” Lot Polski, janvier 1930, 1.

Le puissant rugissement des moteurs des géants des airs saluent la nouvelle année : La troublante saga de William Wallace Whitney Christmas

Quelques actrices et acteurs ayant contribué au succès de la série télévisée de science-fiction québécoise Opération-Mystère, 1958. De gauche à droite, Luce Guilbeault, Marcel Cabay, Georges Groulx, Louise Marleau et Hervé Brousseau. Société Radio-Canada.

Opération-Mystère, une série télévisée qui répond aux goûts de la génération des spoutniks et des soucoupes volantes

Le pont en aluminium d’Arvida, Arvida / Saguenay, Québec. Anon., « Premier pont tout en aluminium. » Le Petit Journal, 4 décembre 1949, 51.

Sur le pont d’Arvida, un site historique national de génie civil, on y danse, on y danse

Le Piaggio P-7 au repos dans son élément. Joaquin de la Llave y Sierra, « Antes y después de la Copa Schneider. » Aérea, décembre 1929, 8.

Si vous ne réussissez pas du premier coup, essayez, essayez, essayez, essayez, essayez encore : L’étrange histoire du Piaggio P-7

Une affiche du film de science-fiction japonais Uchû Daisensô

Uchû Daisensô, ou, Une bataille dans l’espace extra-atmosphérique en provenance du pays du Soleil levant

La toute première automobile / voiturette Zar Zar-Car, Windsor, Ontario. Arthur Prévost, « La première auto entièrement canadienne bientôt en vente! » Le Petit Journal, 25 octobre 1959, 67.

À la recherche d’une voiture canadienne : La Zar de toutes les Windsor

L’astrophysicienne soviétique Alla Genrikhovna Masevitch et sa fille, Natasha Josifovna Friedlander. Sam Schecter, “Deux Canadiens en Russie – Rencontres avec l’élite russe.” Le Soleil / Perspectives, 26 septembre 1959, 11.

Son nom est Masevitch, Alla Genrikhovna Masevitch

L’ornithoptère University of Toronto Institute for Aerospace Studies Great Flapper au cours d’essais, Malton, Ontario, 2005. http://www/ornithopter.net

Voler, comme dans un rêve : La saga du Great Flapper

Beth Ross posant pour un photographe alors qu’elle nettoie le fragment principal de la chondrite de Dresden devant le bureau de The Dresden News. Anon., “Adding lustre to meteor that startled a province.” Toronto Daily Star, 13 juillet 1939, 1.

L’art de la négociation en Ontario rural; ou, La triste histoire de la chondrite de Dresden

L’ingénieur canadien Owen Eugene Maynard avec une maquette du véhicule lanceur Convair Atlas surmonté d’une capsule spatiale McDonnell Mercury, 1962. Roger Nadeau, « Une foule de techniciens canadiens ont pris part au vol d’Apollo 11. » Le Petit Journal, 20 juillet 1969, 4.

Le petit gars de Sarnia qui a mis le premier humain sur la Lune

Le premier Taylor J.T.1 Monoplane, White Waltham, Angleterre. Anon., « Sport and Business. » Flight, 19 juin 1959, 839.

Tinker, Taylor, monoplan

Trois des interprètes du téléroman Amour, délices et cie, avec son concepteur, Joseph Louis Réal Giguère, Montréal, Québec. François Piazza, « Sur les ailes de Télé-Métropole – Amour, délices et cie s’envole. » Photo-journal, du 18 au 25 juin 1969, 44.

Amour, délices et cie

Un prototype du traîneau aérien Kamov Sever-2 dans son élément. Anon., « ’Mail Train’ to North. » The Gazette, 26 mars 1959, 2.

Oh quel plaisir de faire une promenade dans un Kamov Sever-2

La voiture concept SIMCA Fulgur. Aux commandes se trouve la parachutiste et mannequin française Colette Duval. Anon., « Actualités. » La Patrie du dimanche, 1er mars 1959, 2.

Elle est fulgur, fulgur, fulgur, fulgurable

La montgolfière Spirit of Canada. Peter Calamai, “Lots of hot air and a high old time.” Canadian, 26 août 1967, 14.

Ce merveilleux fou volant et sa drôle de machine

La section de route surveillée par le radar de vitesse de la Connecticut State Police, près de Glastonbury, Connecticut. Anon., “L’actualité en images – Pièges à comboys.” La Patrie, 16 février 1949, 14.

Les pièges à cowboys ne datent pas d’hier

Cecil George Armitage aux commandes d’un Aérodoo, rivière Richelieu, Québec, novembre 1968. Anon., « Et maintenant… l’Aérodoo. » Vallée de la Petite Nation, 30 janvier 1969, 15.

Le candidat mancunien; ou, comment flotter près du sol avec la plus grande facilité

Quelques membres de la Ligue des avions miniatures de Montréal en train d’examiner le modèle réduit radiocommandé alors en construction. Christian Verdon, « Avion-miniature contrôlé par la radio. » La Patrie, 7 janvier 1939, 44.

Une ligue à eux: L’histoire longtemps oubliée de la Ligue des avions miniatures de Montréal

Une affiche du film From the Earth to the Moon, la version originale anglaise de De la Terre à la Lune

Jules Gabriel Verne n’aurait pas été amusé : De la Terre à la Lune

Une image du générique de CF-RCK.

Une série télévisée captivante : CF-RCK, Partie 2

Les principaux comédiens de la série télévisée CF-RCK de la Société Radio-Canada, Yves Létourneau (à droite) et René Caron. Anon., « Une scène de CF-RCK avec René Caron et Yves Létourneau. » La semaine à Radio-Canada, du 2 au 8 janvier 1960, couverture.

Une série télévisée captivante : CF-RCK, Partie 1

Le chargement de Voo-Doo, le Waco Hadrian utilisé lors du premier vol transatlantique par un planeur de transport, Aéroport de Montréal (Dorval), Dorval, Québec, juin 1943. Anon., “Flying into focus”. Flying Aces, octobre 1943, 7.

C’est magnifique. C’est splendide. C’est inutile.

L’animateur de l’émission de télévision hebdomadaire Plein Ciel à droite, et son conseiller technique, le capitaine Marcel Everard. Anon., “Introduction à l’aviation.” La semaine à Radio-Canada, 29 novembre au 5 décembre 1958, 12.

Une émission de télévision que j’aurais aimé voir dans ma jeunesse

Envol du ballon à hydrogène qui emporte vers le ciel l’antenne de l’émetteur radio d’urgence américain BC-778, mieux connu sous le nom de « Gibson Girl. » Anon., « Gibson Girl to the rescue. » Flying Aces, septembre 1943, 30.

L’imitation est la plus belle forme de flatterie

The very first Pentecost Hoppi-Copter. Anon., “Have you seen?” Flying, September 1945, 67.

Une idée venue d’une époque où le ciel est la limite, Partie 2

A l’arrière, le Rohrbach Ro VIII Roland d’Iberia, Compañía Aérea de Transportes Sociedad anónima utilisé pour le vol Madrid-Barcelone du 14 décembre 1927. Anon., “Inauguración del nuevo servicio aéreo Madrid-Barcelona.” Aérea, octobre-décembre 1927, 33.

Jamais le dimanche : La grande histoire d’un Roland ibérien, Partie 1

Articles connexes

Deux des grands avions de chasse de la Première Guerre mondiale : un SPAD S.VII du Royal Flying Corps ou de l’Aéronautique militaire et un Albatros D.III du Luftstreitkräfte. Anon., « A Dog Fight. » Canadian Aviation, janvier 1932, 12.

L’histoire des photographies les plus extraordinaires jamais prises de combats aériens pendant la Première guerre mondiale, Ou, Le long et le court de la collection Cockburn-Lange

Le Canadair CL-44 loué par British Overseas Airways Corporation (BOAC), septembre 1963. Cet aéronef de Seaboard World Airlines Incorporated transporte 19 voitures de course du Royaume-Uni aux États-Unis lors de ce vol, son premier aux couleurs de BOAC. MAEC.

Un bon élan en mérite un autre : La saga de l’avion-cargo canadien Canadair CL-44, Partie 2

Une publicité de l’avionneur Canadair Limited de Cartierville, Québec, vantant les mérites de son hénaurme avion-cargo, le Canadair CL-44. Anon., « Canadair Limited. » La Presse, 23 janvier 1962, 29.

Un bon élan en mérite un autre : La saga de l’avion-cargo canadien Canadair CL-44, Partie 1

Un hydravion à flotteurs utilitaire de Havilland Canada DHC-3 Otter exploité par Northway Aviation Limited de St. Andrews, Manitoba, lac Fishing, Manitoba, septembre 2005. Mark Swaffer via Wikimédia.

Le camion volant d’une tonne du Canada : le de Havilland Canada DHC-3 Otter

Une ascension de l’aéronaute et parachutiste foraine Florida Lanthier. Maurice Desjardins, « Dans une modeste maison de Montréal-Nord – Florida Lanthier, reine des parachutistes, vit de couture... et de souvenirs. » Photo-Journal, 8 novembre 1951, 3.

Ombres et lumière dans le ciel du Québec : Un premier regard sur la vie et l’époque de l’aéronaute et parachutiste foraine féminine québécoise Florida Lanthier

Le Royal Aircraft Factory B.E.2 en montre au Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, Ottawa, Ontario, février 2009. Wikipédia.

Le cas étrange et déconcertant des aéroplanes substitués; ou, Même en utilisant les Mathématiques modernes, 4112 n’égale jamais 5878 : La haute histoire du Royal Aircraft Factory B.E.2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, partie 2

Le Royal Aircraft Factory B.E.2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada alors qu’il appartient au Musée canadien de la guerre, Ottawa, Ontario. H.J. (« Titch ») Jenkins, « Correspondence – Ottawa’s – and Sowrey’s – B.E.2c. » Flight, 12 octobre 1961, 600.

Le cas étrange et déconcertant des aéroplanes substitués; ou, Même en utilisant les Mathématiques modernes, 4112 n’égale jamais 5878 : La haute histoire du Royal Aircraft Factory B.E.2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, partie 1

Une annonce publicitaire de St. Lawrence Starch Company Limited, Port Credit, Ontario. Anon., « Publicité – St. Lawrence Starch Company Limited. » Le Bulletin des agriculteurs, septembre 1941, 61.

Gratis, magnifiques cartes portant des dessins ou photographies d’aéronefs alliés! Collectionnez-les toutes!

Le seul et unique exemplaire de l’avion de ligne à long rayon d’action italien Breda Zappata BZ 308. Jacques Gambu. « Breda Zappata BZ 308. » Aviation Magazine, 1er septembre 1951, 21.

Il Constellation italiano, une étoile méconnue du firmament aéronautique de l’Italie : L’avion de ligne à long rayon d’action Breda Zappata BZ 308

Paul Fjeld dans la demeure familiale, Rosemère, Québec. Claude-Lyse Gagnon, « Parti avec $200 en poche – Un jeune Québécois a pu voir décoller Apollo 15. » La Patrie, 15 août 1971, 12.

Espace, frontière de l’infini vers laquelle voyage notre planète, la Terre; voici l’histoire de vie de Paul Fjeld, passionné d’espace et artiste depuis plus d’un demi-siècle

Le premier exemplaire de production de l’avion d’entraînement avancé Avro Anson de fabrication canadienne équipé d’un fuselage en contreplaqué moulé, lieu inconnu, 1943. MAEC, 23290.

Tout le monde ne sait pas que la fabrication d’aéronefs peut être un sport de contact : Clarence Decatur Howe, Harvey Reginald MacMillan et la production d’avions d’entraînement avancé Avro Anson au Canada, Partie 2

Une paire d’avions d’entraînement avancé Avro Anson de fabrication canadienne utilisée par l’École de pilotage militaire no 10, Base de l’Aviation royale du Canada de Dauphin, près de Dauphin, Manitoba, 1943-44. MAEC, 27297.

Tout le monde ne sait pas que la fabrication d’aéronefs peut être un sport de contact : Clarence Decatur Howe, Harvey Reginald MacMillan et la production d’avions d’entraînement avancé Avro Anson au Canada, Partie 1

Footer Ingenium

À propos Le réseau

Le réseau

Contactez-nous

Ingenium
C.P. 9724, succursale T
Ottawa (Ontario) K1G 5A3
Canada

613-991-3044
1-866-442-4416
contact@IngeniumCanada.org
  • Facebook
  • Instagram
  • Twitter
  • Le Réseau

    • Accueil du Réseau
    • À propos du Réseau
    • Nos partenaires
  • Visitez

    • Ressources en ligne pour la science chez soi
    • Musée de l'agriculture et de l'alimentation du Canada
    • Musée de l'aviation et de l'espace du Canada
    • Musée des sciences et de la technologie du Canada
    • Centre Ingenium
  • Ingenium

    • Accueil Ingenium
    • À propos d'Ingenium
    • La Fondation
  • Pour les médias

    • Salle des nouvelles
    • Prix

Connect with us

Abonnez-vous à notre bulletin de nouvelles afin de recevoir les dernières nouvelles d'Ingenium directement dans votre boîte de réception!

S'inscrire

Legal Bits

Ingenium Énoncé de confidentialité

© 2023 Ingenium

Symbole du Gouvernement du Canada
  • Explorer
    • Catégories
    • Types de médias
    • Tableaux
    • Articles vedettes
  • À propos
    • À propos du Réseau
    • Nos partenaires