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Ce moteur est peut-être un peu lourd mais son sourire demeure toujours : Le Williams Jet No. 1 et ses successeurs

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6 janv. 2020
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Aviation
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Par : Rénald Fortier
Ingenium - Musées des sciences et de l’innovation du Canada
Démonstration de la légèreté du turboréacteur Williams Jet No.1. Anon., « 23-lb Turbojet Develops 70 lb. Of Thrust. » Aviation Week and Space Technology, 18 janvier 1960, 126.
Démonstration de la légèreté du turboréacteur Williams Jet No.1. Anon., « 23-lb Turbojet Develops 70 lb. Of Thrust. » Aviation Week and Space Technology, 18 janvier 1960, 126.

Très chère / cher ami(e) lectrice ou lecteur, c’est avec un plaisir sans cesse renouvelé que je, votre humble serviteur, vous souhaite la bienvenue dans le monde merveilleux de l’aviation et de l’espace – et de tout ce qui peut m’amuser ou m’intriguer – de manière intellectuelle, bien sûr.

Le sujet de cette semaine devrait également vous amuser ou intriguer. La légende, une fois traduite, de la photographie sur laquelle je suis tombé en parcourant le numéro du 18 janvier 1960 du célèbre hebdomadaire américain Aviation Leak and Space Mythology, désolé, Aviation Week et Space Technology, devrait vous mettre en appétit :

Un turboréacteur à flux centrifuge pesant [11 kilogrammes] 23 livres développant une poussée de [11 kilogrammes] 70 livres. Le moteur, mis au point par Williams Research Corp., Walled Lake, Michigan, est destiné aux hélicoptères munis de moteurs à réaction en bouts de pales de rotor et en multiples unités pour la propulsion d’aéronefs légers. Le moteur à réaction utilise un compresseur à rapport 4 à 1, une chambre de combustion annulaire et une turbine à flux axial à un étage fonctionnant à 59 000 tours/minute. Williams dit que les problèmes mécaniques liés au fonctionnement à haute vitesse se sont révélés moins gênants que la réalisation d’un rendement aérodynamique élevé avec les composants miniatures lors du développement du moteur.

Dans l’ensemble, l’histoire de Williams Research Corporation est l’histoire d’un être humain remarquable, Sam Barlow Williams. Né aux États-Unis en mai 1921, Williams est un enfant intelligent qui aime bricoler. Comme beaucoup de jeunes gens, il développe un intérêt pour les turbines à gaz tout en étudiant en génie mécanique pendant la Seconde Guerre mondiale.

Après avoir obtenu son baccalauréat à la Purdue University, M. Williams rejoint le personnel de la division de génie d’un géant américain de l’automobile mentionné à quelques reprises dans notre blogue / bulletin / machin depuis janvier 2019, à savoir Chrysler Corporation. Bien qu’initialement impliqué dans la métallurgie et le développement de moteurs à pistons, son intérêt pour les turbines à gaz ne passe pas inaperçu. Au début de 1944, le responsable de la section de recherche en génie de Chrysler entame des travaux sur une turbine à gaz, la A-86, qui devient un projet de recherche à part entière en milieu d’année.

À la fin de 1944, des représentants du Bureau of Aeronautics de la United States Navy (USN) demandent à Chrysler si elle est disposée à transformer ce moteur en un turbopropulseur apparemment destiné à un aéronef de patrouille maritime à long rayon d’action. La USN envoie ses demandes en mai 1945 et suit avec une lettre d’intention en juin. Chrysler relève le défi. Craignant que le moteur projeté ne soit pas assez puissant, la USN réécrit à toute fin utile le contrat à la fin de 1945, pour tenir compte de ses nouvelles exigences, en coopération avec Chrysler.

Williams est invité à se joindre à l’équipe de la corporation à un moment donné en 1944 ou 1945. Il joue un rôle important, et…

Est-ce que votre serviteur a déjà pontifié, désolé, parlé (tapé?) de turbopropulseurs, ami(e) lectrice ou lecteur? C’est bien ce que je pensais. Pourquoi ne pas remédier à cette carence de ma part en ce moment même?

Pour faire une longue histoire, un moteur à réaction est un type de turbine à gaz et, en tant que tel, un cousin des turbines à vapeur utilisées pour alimenter les navires, en particulier au début du 20ème siècle, et pour produire de l’électricité. Contrairement aux moteurs à pistons utilisés dans les automobiles ou dans les aéronefs légers / privés, un moteur à réaction ne nécessite pas de pistons, soupapes ou vilebrequin pour produire de la puissance. De fait, un moteur à réaction produit de la puissance en continu tout en tournant, ce qui le rend beaucoup plus efficace que les moteurs à piston à grande puissance, car ceux-ci ne produisent de la puissance que pendant 1 des 4 opérations de leur cycle.

On peut expliquer brièvement comment fonctionne un moteur à réaction. L’air pénètre à l’avant par une entrée d’air et est comprimé par un compresseur à rotation rapide, généralement un compresseur à plusieurs étages semblable à un ventilateur pour être plus précis. Réchauffé au cours du processus, cet air pénètre dans une ou quelques chambres de combustion où du carburant est injecté et où le mélange air-carburant est brûlé. Les gaz surchauffés et en expansion se précipitent vers l’arrière du turboréacteur et s’échappent dans l’atmosphère par une tuyère qui maximise leur vitesse. Alors que les gaz s’échappent, ils entraînent une turbine semblable à une éolienne, généralement multi-étages, connectée au compresseur à l’avant, et poussent l’aéronef dans lequel le moteur est monté. On peut exprimer tout ce cycle en quelques mots de sagesse: aspirer, comprimer, boum et souffler.

Comme vous vous en doutez sûrement, le moteur à réaction est une application de la troisième loi de la physique de Newton, qui stipule que pour chaque action, il existe une réaction égale et opposée.

Le principe de fonctionnement d’un moteur à réaction de base, ou turboréacteur, est modifié avec le temps et des variantes font rapidement leur apparition. Veuillez noter que la description suivante décrit une configuration de moteur typique. Il est fort possible que certains moteurs fonctionnent de manière quelque peu différente.

Dans le cas du turbopropulseur, la turbine à l’arrière du moteur est connectée non seulement au compresseur situé à l’avant, mais également à un ensemble d’engrenages, en d’autres termes un réducteur, relié à une hélice. La majeure partie de la puissance développée par un turbopropulseur est fournie à cette hélice. Cela accroît la complexité mais conduit à une consommation de carburant inférieure à celle d’un turboréacteur. Les limitations d’une hélice signifient toutefois que, à l’instar des aéronefs équipés de moteurs à pistons, les aéronefs équipés de turbopropulseurs ont beaucoup de difficulté à voler plus rapidement que 750 à 800 kilomètres/heure (470 à 500 milles/heure). Cela étant dit (tapé?), les turbopropulseurs sont beaucoup plus légers que les moteurs à pistons dans la même plage de puissance. Ils sont largement utilisés dans les avions-navettes de petite et moyenne taille, les aéronefs utilitaires et les avions de transport militaires.

Bon, n’était-ce pas amusant et éclairant, ami(e) lectrice ou lecteur? Il y aura un test à la fin de cet article soit dit en passant.

Le turbopropulseur Chrysler T36 tourne pour la première fois sur un banc d’essai, mais sans hélice, en juin 1947. Il fait tourner une hélice pour la première fois en février 1948. Le T36 fonctionne plutôt bien mais a des problèmes. Il produit moins de puissance que prévu mais consomme plus de carburant que prévu, par exemple. Les dits problèmes, alliés à une réorientation des priorités de la USN vers les turboréacteurs et à une réorientation des priorités de Chrysler vers la production automobile, conduisent à l’abandon du projet T36 en juillet 1948. Une version (grandement?) améliorée et plus puissante du moteur est en développement à l’époque, mais n’est jamais testée.

Ne voulant pas abandonner l’expertise développée par son équipe, l’ingénieur en charge convainc la direction de Chrysler de développer une turbine à gaz pouvant être utilisée sur les automobiles. Un prototype de ce moteur tourne pour la première fois, sur un banc d’essai, en 1953. Un autre exemplaire de ce moteur est monté sur un coupé sport Plymouth de 1954. Williams est un des passagers de l’automobile lorsqu’elle est testée pour la première fois. L’automobile à turbine est présentée pour la première fois en public en juin 1954 lors de l’inauguration de la nouvelle installation d’essai de Chrysler. Croiriez-vous que cette automobile représente la première tentative d’un constructeur automobile américain d’installer une turbine à gaz dans un véhicule de série?

S’il est vrai qu’un autre exemplaire de ce moteur à turbine à gaz est monté sur une Plymouth de 1955, la chose importante à noter ici, dans notre vous savez quoi, est le fait qu’encore un autre exemplaire de ce moteur propulse une berline à quatre portes Plymouth de 1956 utilisée pour faire le premier voyage transcontinental effectué par une automobile propulsée par une turbine à gaz. Le trajet de 4 860 kilomètres (3 020 milles) entre New York, New York, et Los Angeles, Californie, dure 4 jours, en mars 1956. Les personnes à bord ne sont pas pressées, et ne veulent pas obtenir de contraventions pour excès de vitesse. Le moteur à turbine à gaz ne cause aucun tribule, si je peux me permettre de paraphraser Montgomery « Scotty » Scott, un personnage de Patrouille du Cosmos interprété par l’acteur canadien James Montgomery « Jimmy » Doohan.
    
Si je peux me permettre une brève digression, saviez-vous que Doohan est pilote d’observation pendant la Seconde Guerre mondiale? Et oui, la fameuse série télévisée Patrouille du Cosmos est mentionnée dans quelques numéros de notre blogue / bulletin / machin depuis août August 2017.

Continuant sur notre lancée sur le chemin vers la digression, Doohan détient la vedette dans un téléfilm important produit en 1956 par le radio télédiffuseur national canadien Canadian Broadcasting Corporation. Le scénariste de Flight into Danger est un pilote de la Royal Air Force de la Seconde Guerre mondiale d’origine britannique qui immigre plus tard au Canada. Il s’appelle Arthur Hailey. Très populaire auprès du public et des critiques, Flight into Danger donne naissance à un film américain de 1957, À l’heure zéro, dont le héros est également un pilote canadien qui a perdu confiance en lui-même.

Le roman 714 appelle Vancouver, publié en anglais en 1958 et écrit par Hailey avec 2 co-auteurs qui utilisent un nom de plume commun, John Castle, est à l’origine d’un téléfilm américain, Terror in the Sky.

Il convient de noter que l’avion de ligne sur lequel se déroule l’action du film À l’heure zéro et du roman 714 appelle Vancouver est le vol 714 à destination de Vancouver. Fait intéressant, le 22ème et avant-dernier album des aventures de Tintin, un héros de bande dessinée connu dans le monde entier créé par le belge Georges Prosper Remi, dit Hergé, s’intitule… Vol 714 pour Sydney. Le monde est petit, n’est-ce pas? Cet album est sorti en 1968.

Et oui, Hergé est mentionné dans quelques numéros de notre blogue / bulletin / machin depuis août 2018.

Le succès de l’histoire de Hailey ne s’arrête pas là. Au Royaume-Uni, British Broadcasting Corporation adapte le scénario de Flight into Danger pour un épisode de la série télévisée Studio 4, diffusée en 1962. Un radio télédiffuseur d’état ouest-allemand, Süddeutscher Rundfunk, produit un téléfilm intitulé Flug in Gefahr en 1964. En Tchécoslovaquie, le radiodiffuseur d’état, Československý Rozhlas, diffuse sa propre version, Let do nebezpečí, en 1981.

Le succès de l’histoire de Hailey ne s’arrête pas là non plus. L’industrie cinématographique américaine commence à s’intéresser aux films dits de catastrophe à partir de la fin des années 1960. Sorti en salles en 1970, L’aéroport rencontre un franc succès. En fait, ce long métrage a un tel succès qu’il donne naissance à une des séries de films de catastrophes les plus célèbres du 20ème siècle: 747 en péril (1974), Les naufragés du 747 (1977) et Airport 80 Concorde (1979). Ce dernier ne connaît pas de successeur car il fait peu d’argent.

Cela étant dit (tapé?), le succès même de la série entraîne la production d’un film satirique très réussi basé sur les scénarios de Flight into Danger et À l’heure zéro. L’acteur canadien Leslie William Nielsen joue un personnage secondaire dans ce film de 1980 intitulé Y-a-t-il un pilote dans l’avion? Sa performance ne passe pas inaperçue. Pour Nielsen, c’est le début d’une nouvelle carrière.

Et oui encore, tant Nielsen que Y-a-t-il un pilote dans l’avion? sont mentionnés dans un numéro de novembre 2018 de notre blogue / bulletin / machin, mais revenons à notre histoire.

Aussi intéressant que puisse être l’histoire des automobiles à turbine à gaz de Chrysler, il est peut-être temps de revenir à notre histoire. Je sais, je sais, moi aussi je pleure à l’idée de quitter cette histoire fascinante, mais être misérable bâtit le caractère, si je peux me permettre de citer, en traduction, un philosophe brillant, bien que pas mal jeune et peu connu du nom de Calvin.

Bien que convaincu que de petites turbines à gaz efficaces et peu coûteuses peuvent avoir des applications aéronautiques, industrielles et marines, Williams sait que Chrysler n’a pas l’intention de produire une automobile à turbine dans un avenir proche. Il décide donc de faire un acte de foi et de quitter son travail à la fin de 1954. Williams remplit un objectif de vie en fondant sa propre entreprise, la susmentionnée Williams Research, au début de janvier 1955. À ce moment-là, il a déjà commencé à travailler sur son premier projet, le développement d’une petite turbine à gaz pour Outboard Marine Corporation, un fabricant bien connu de moteurs hors-bord pour runabouts / bateaux à moteur.

Une digression si je peux me le permettre. Oui, une autre digression mais je suis sûr que vous allez l’aimer. Après tout, l’objectif principal de notre blogue / bulletin / machin est d’explorer le monde merveilleux de l’aviation et de l’espace. Vous serez peut-être heureux, ou pas, d’apprendre (entendre?) que Outboard Marine peut être associé à un projet aéronautique inhabituel qui débute à Peterborough, Ontario, vers 1961.

Il s’agit d’un planeur motorisé équipé d’un moteur hors-bord Jonhson modifié. Michael « Mike » Offierski, né Michał Offierski, travaille sur ce projet avec l’aide de 2 amis, dont un compatriote. Ce pilote vétéran de la Seconde Guerre mondiale d’origine polonaise, Offierski bien sûr, qui établit plusieurs records de planeurs motorisés à la fin des années 1930, est chef d’atelier dans la section expérimentale Johnson de Pioneer Saws Limited de Peterborough, une filiale de Outboard Marine. Il convient de noter que Offierski et ses amis utilisent la cellule d’un planeur allemand extrêmement populaire, le Schneider Grunau Baby, un type testé vers 1931, pour fabriquer leur planeur motorisé. Cet aéronef est achevé en 1967. Il est retiré du registre des aéronefs civils canadiens à une date indéterminée.

Croiriez-vous que J. Arthur « Art » Brazier, alors mécanicien navigant au Regina Flying Club à Regina, Saskatchewan, construit un Heath Parasol, possiblement avec l’aide de Stephen Stanley « Steve » Albulet, une personne âgée de 17 à 18 ans qui travaille dans une pharmacie de quartier? Cet aéronef de construction amateur est propulsé par un moteur Johnson Sea Horse. Cela constituait en soi un choix intriguant étant donné que le Sea Horse est un moteur hors-bord de bateau à la pointe de la tendance conçu par un des plus grands fabricants de moteurs de ce type au monde, une firme américaine du nom de Johnson Motor Company. De fait, Brazier doit passer beaucoup de temps et d’efforts pour adapter ce moteur à une utilisation dans un aéronef. Il doit même concevoir et construire sa propre hélice.

Le choix de Brazier n’est cependant pas unique. Un constructeur amateur austro-américain de Bellingham, Washington, et étudiant à la University of Washington, Gernot Wolfgang « George » Heinemann, monte un Sea Horse converti sur un hydravion à flotteurs Parasol modifié, le GH-1 Sport, qu’il achève en 1930. Cet aéronef remporte le deuxième prix d’un concours de construction amateur organisé par le magazine mensuel Modern Mechanics and Inventions. Il est ensuite converti en biplan et rééquipé avec un moteur d’automobile Ford Modèle T. Heinemann meurt tragiquement en juillet 1931, à l’âge de 22 ans.

D’autres aéronefs munis des moteurs Johnson comprennent
- un planeur motorisé complété en 1931 par Glidaire Company de San Antonio, Texas;
- un petit hydravion à coque volant complété en 1931 par Harry T. Booth de Freeport, New York; et
- un hélicoptère complété à une date incertaine (1932?), mais jamais testé en vol malgré des déclarations à cet effet, par 2 épiciers, les frères John Francis et Russell Henry Halligan, de Beardstown, Illinois.

Soit dit en passant, les 4 frères Johnson ne sont pas des étrangers à l’aviation. En 1911, ils conçoivent un moteur pour un aéroplane qu’ils ont construit. Cette machine volante est probablement un des premiers, sinon le premier monoplan de conception américaine à voler aux États-Unis.

Johnson Motor est acheté en 1935 par Outboard Marine et intégré à Outboard Marine and Manufacturing Company, devenue Outboard Marine Company vers 1960. Une filiale du géant canadien du sport motorisé Bombardier Recreational Products Incorporated, Bombardier Motor Corporation of America, acquiert les actifs moteurs de Outboard Marine, en d’autres mots les marques Johnson Outboards et Evinrude Outboards, en mars 2001 après la faillite de celle-ci, mais revenons à notre digression.

Testé au printemps 1931, le Parasol construit par Brazier est immatriculé en juillet de la même année. Deux gentilshommes de Regina, A.A. Weaver et S.L. Ring, achètent le Parasol en 1934 et l’immatriculent en juin. À son tour, T.A. Burton, de Abernathy, Saskatchewan, acquiert le Parasol et l’immatricule en janvier 1936. Le ministère des Transports cloue l’aéronef au sol en juillet 1937. Il convient de noter qu’à un moment de sa carrière, le Parasol est rééquipé avec un moteur d’aéronef léger plus conventionnel. L’aéronef est finalement vendu à Nicholas Froebe de Carman, Manitoba, en 1942, mais n’est pas officiellement immatriculé. En juin 1943, alors qu’il vole à basse altitude à Carman, l’aéronef de Froebe décroche et s’écrase. Froebe est tué. Le Parasol est endommagé de façon irréparable.

Froebe est bien connu des historiens de l’aviation canadienne pour une toute autre raison. Vous voyez, lui et ses frères, Douglas et Theodore Froebe, des agriculteurs vivant comme lui à / près de Carman, conçoivent un hélicoptère à 2 rotors coaxiaux qui tournent en direction opposée après avoir fabriqué un Parasol non immatriculé qui s’écrase lors de son second vol, vers 1931-32.

Douglas Froebe effectue quelques très courts vols stationnaires à bord de l’hélicoptère Froebe à partir de décembre 1938. Ce projet ne va pas au-delà du stade du prototype. L’hélicoptère en question se trouve aujourd’hui au Royal Aviation Museum of Western Canada à Winnipeg, Manitoba, mais je digresse. Revenons à Albulet, si, si, Albulet.

Saviez-vous, ami(e) lectrice ou lecteur exaspéré(e), que Brazier aide Albulet à construire un Parasol à Regina sur une période d’environ 2 ans? Cet aéronef est immatriculé en juin 1933. Désireux de trouver un meilleur moteur pour sa monture, Albulet encaisse sa police d’assurance de 200 $ au printemps 1934, sans le dire à ses parents, qui désapprouvent son intérêt pour l’aviation et veulent qu’il devienne pharmacien. Il utilise cet argent pour acheter un moteur plus puissant. Albulet effectue un premier vol réussi à bord de son aéronef modifié peu de temps après.

À l’époque du premier vol du Parasol de Albulet, une brasserie possédant une filiale en ville fournit, gratuitement, chaque semaine, une caisse de pilsner / lager au personnel de hangar du Regina Flying Club. En contrepartie, la brasserie souhaite toutefois une forme de reconnaissance. Albulet, qui ne boit pas, accepte de peindre le nom Pilsner Pup sur le fuselage avant de son aéronef afin d’aider ses amis de l’aéroclub. La brasserie avec une filiale à Lethbridge est Associated Breweries of Canada Limited, la plus grande entreprise de ce type dans l’Ouest canadien et la seconde en importance au Canada. Elle est mentionné dans un numéro d’avril 2019 de notre blogue / bulletin / machin. Notre monde en est un qui est interconnecté, n’est-ce pas?

Albulet utilise son Parasol pour accumuler ses heures de vol afin d’obtenir une licence de pilote commercial, ce qu’il fait. Il vend l’aéronef à Wesley E. « Wes » Hodgson de Regina qui l’immatricule en septembre 1935. D.W. Willis de Prince Albert, Alberta, achète le Parasol en 1936 et soumet une demande d’immatriculation en octobre. Il ne l’a complète pas pour une raison ou une autre. L’aéronef est vendu à Victor Maurice Terry, de Calgary, Alberta, en décembre 1938. En janvier 1939, conscient du fait que l’aéronef a besoin d’une révision complète, sans parler d’un revêtement en tissu complet de son aile, Terry l’envoie au Provincial Institute of Technology and Art, une institution mentionnée dans un numéro de novembre 2019 de notre blogue / bulletin / machin, connue maintenant sous le nom de Southern Alberta Institute of Technology and Art. La révision achevée, Terry effectue au moins un vol d’essais à bord du Parasol en mai 1939 et l’immatricule. Lui aussi soucieux d’obtenir une licence de pilote commercial, il pilote le Parasol jusqu’en 1940.

Un deuxième calgarien, W.H. Pearse achète l’aéronef et l’immatricule en août 1940. Le jeune homme veut utiliser le Parasol pour acquérir de l’expérience afin d’obtenir une licence d’instructeur de vol qu’il pourrait utiliser pour rejoindre une école utilisée dans le cadre du Plan d’entraînement aérien du Commonwealth britannique. Vues ces circonstances, le ministère des Transports renonce à certaines restrictions concernant l’utilisation d’aéronefs privés au Canada en temps de guerre. Le Parasol est toutefois gravement endommagé en septembre 1940, lors d’un atterrissage forcé causé par une panne moteur en vol, à environ 1.5 kilomètre (1 mille) de l’aéroport local. Pearse n’est pas blessé dans l’accident. L’aile droite de l’aéronef subit toutefois de graves dommages. Le Parasol est retiré du service peu après, sans réparations. On ignore où se retrouve cet aéronef.

Il est à noter que Albulet devient pilote pour les Lignes aériennes Trans-Canada, un transporteur aérien connu aujourd’hui sous le nom de Air Canada, pilotant des avions de ligne réputés comme le Canadair North Star à moteurs à pistons, un type d’appareil retrouvé dans la collection incomparable du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada à Ottawa, Ontario, et le Douglas DC-8 à réaction. Mais revenons à notre histoire originale.

Williams Research teste la turbine à gaz qu’elle a développée pour Outboard Marine dans un petit runabout. Bien que raisonnablement heureuse, la direction de cette dernière estime qu’un moteur plus puissant conviendrait mieux aux besoins de ses clients. Williams et sa petite équipe conçoivent le dit moteur. La direction de Outboard Marine est à nouveau raisonnablement heureuse. De fait, elle décide de créer une capacité interne de développement et de production de turbines à gaz. Engagé en tant que consultant pendant environ 2 ans, Williams aide son client à comprendre ce que fait l’industrie automobile avec les turbines à gaz et évaluer les risques inhérents à son entrée dans ce domaine. À la fin, Outboard Marine conclut qu’il serait prudent d’attendre que l’industrie automobile soit fortement impliquée dans le développement des turbines à gaz avant de prendre toute décision. Étant donné que cette industrie choisit de ne pas produire d’automobiles à turbine à gaz, Outboard Marine prend la même décision en 1964.

À ce moment-là, Williams Research est impliqué dans de nouvelles aventures. Cette histoire commence en 1956, lorsqu’elle commence à développer une turbine à gaz industrielle pour un fabricant américain de gros moteurs industriels. Waukesha Motor Company teste plusieurs exemplaires de ce moteur vers 1968 et est raisonnablement heureuse. Malgré cela, sa direction estime qu’un moteur plus puissant conviendrait mieux aux besoins de ses clients. Williams Research conçoit ce moteur, qui est testé à la fois comme générateur d’électricité et moteur de véhicule lourd vers 1971. Aussi prometteur que soit ce moteur, Bangor-Punta Corporation, un fabricant de véhicules de plaisance (caravanes, maisons motorisées, motoneiges, péniches, voiliers, etc.) qui acquiert Waukesha Motor en 1968, ne souhaite pas poursuivre son développement.

À ce moment-là encore, Williams Research est impliqué dans de nouvelles aventures. Cette histoire commence en 1957 lorsqu’elle commence à développer un turboréacteur connu sous le nom de Jet No. 1. Elle le fait de son propre chef, sans attendre qu’un partenaire extérieur paie l’essentiel des coûts de développement. Et oui, ami(e) lectrice ou lecteur pétillant(e), c’est le moteur de la photographie au début de cet article. Ce moteur simple mais efficace destiné aux hélicoptères munis de réacteurs en bouts de pales de rotor, d’aéronefs multimoteurs légers / privés et de drones, un type de machine volante connu plus tard sous le nom de véhicule télécommandé / aéronef sans pilote, comprend des éléments de la première turbine à gaz que Williams Research a développée pour Outboard Marine. Le Jet No. 1 tourne pour la première fois sur un banc d’essai, en 1957.

La photographie au début de cet article est publiée dans le numéro du 18 janvier 1960 de Aviation Week and Space Technology. Cela vous dérangerait-il si j’interrompais le flux de cette pontification pendant 1 minute ou 2? Il est suggéré que la dame dans la dite photographie est quelque peu similaire en apparence à une des plus célèbres mamans de la télévision du 20ème siècle, June Evelyn Bronson Cleaver, un des personnages principaux de Leave It to Beaver, une comédie de situation américaine très populaire diffusée entre octobre 1957 et juin 1963. Fin de la digression.

La susmentionnée photographie, dis-je, attire l’attention de quelqu’un chez Canadair Limited, un avionneur bien connu basé à Cartierville, Québec, et une filiale du géant américain de la défense également bien connu General Dynamics Corporation mentionnée dans plusieurs numéros de notre blogue / bulletin / machin depuis février 2018. Et oui, ami(e) lectrice ou lecteur, General Dynamics est mentionnée dans plusieurs numéros de ce même blogue / bulletin / machin depuis mars 2018. Pouvons-nous revenir à notre histoire maintenant?

Peu de temps après avoir vu la photographie de la gentille dame tenant un exemplaire du Jet No. 1, un ingénieur de Canadair du nom de John P. « Jack » Kerr contacte Williams Research pour voir si le dit moteur pourrait être utilisé dans un petit aéronef sans pilote de surveillance sur lequel la firme canadienne travaille, un développement qui entraînera l’inclusion d’une autre de ces digressions que nous connaissons et aimons toutes / tous les deux.

La voici.

Il ne fait aucun doute que Canadair joue un rôle plus important dans le développement de véhicules aériens sans pilote canadiens que toute autre firme. L’implication de la firme dans ce domaine d’activité remonte en fait à la toute fin des années 1950. L’abandon du missile air-air Douglas AAM-N-3 Sparrow II destiné à l’intercepteur de bombardiers supersonique canadien Avro CF-105 Arrow, en septembre 1958, libère un certain nombre d’ingénieurs chez Canadair, la firme qui devait produire ce missile au Canada. Ils préparent tout d’abord des plans pour un aéronef sans pilote capable de transporter des messages ou des cartes. Des officiers de l’Armée canadienne contactés par Canadair ne montrent pas beaucoup d’enthousiasme pour cette idée. Ils suggèrent la mise au point d’un aéronef sans pilote de surveillance équipé de caméras et utilisable en Europe.

Et oui, ami(e) lectrice ou lecteur fana d’aviation, le Arrow est mentionné à quelques reprises dans notre blogue / bulletin / machin depuis février 2018.

Canadair prépare les plans d’un aéronef sans pilote de surveillance, le XC-1, à l’aide de croquis d’avions cibles qui devaient être utilisées avec le Sparrow II. En mai 1960, le ministère de la Production de défense et, apparemment, la United States Army acceptent de financer le développement initial du CL-89, une désignation adoptée avant même la fin de 1959. En juin 1963, les gouvernements canadien et britannique signent une entente de conception, développement, mise à l’essai et évaluation de l’aéronef sans pilote canadien. De fait, la British Army devient rapidement le principal promoteur du CL-89, baptisé Midge par ce service. Le gouvernement ouest-allemand rejoint le projet à la fin de 1965. Le CL-89 reçoit une désignation officielle américaine, AN/USD-501, à peu près au même moment.

Le premier CL-89 mis à l’essai, en mars 1964, sur un champ de tir de la United States Army, s’écrase presque immédiatement. Un autre prototype effectue le premier vol réussi, en mai. L’élimination des défauts techniques de ce qui est alors une technologie de pointe s’avère difficile.

Un aéronef sans pilote de surveillance Canadair CL-89 typique en cours de lancement. Anon., « Qu’y a-t-il dans l’air? » Interavia, janvier 1970, 83.

Un aéronef sans pilote de surveillance Canadair CL-89 typique en cours de lancement. Anon., « Qu’y a-t-il dans l’air? » Interavia, janvier 1970, 83.

Canadair signe un premier contrat de production avec l’Allemagne de l’Ouest et / ou le Royaume-Uni en décembre 1967. La United States Army envisage de commander des CL-89 pour utilisation au Vietnam, mais décide ensuite de ne pas donner suite à cette idée. Le gouvernement italien signe une commande pour la Esercito Italiano, ou armée italienne, en 1974. Meteor Società per Azioni Costruzioni Aeronautiche ed Electroniche, une firme italienne qui travaille dans le domaine des aéronefs sans pilote, est impliquée dans la production des CL-89 de l’armée italienne. Le gouvernement français signe une commande pour l’Armée de Terre au milieu des années 1970.

En 1969, Canadair expédie un système complet comprenant des CL-89 et leurs véhicules de soutien en Allemagne de l’Ouest à des fins d’essais. L’aéronef sans pilote canadien entre en service en 1972 dans l’armée ouest-allemande, ou Heer. Utilisé par les armées d’Allemagne de l’Ouest, de France, d’Italie, du Royaume-Uni et de Turquie (via l’Allemagne de l’Ouest), le CL-89 est le premier aéronef sans pilote de surveillance mis en service par l’Organisation du Traité de l’Atlantique Nord (OTAN). Au fil des ans, Canadair fabrique près de 600 CL-89.

Et oui, l’étonnante collection du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada comprend un CL-89.

Croiriez-vous que le CL-89 est le véhicule même qui lance Williams Research sur la voie de la grandeur dans le monde de l’aviation? Profondément encouragée par l’intérêt manifesté par Canadair, la firme repense son Jet No. 1, donnant ainsi naissance au WR2. Un prototype de ce moteur apparemment fruste mais efficace tourne pour la première fois sur un banc d’essai, en 1962. Le développement d’une version de production du WR2 commence la même année. Ce moteur simple, léger et bon marché est mis à l’essai en vol en mars 1964, une première pour un moteur conçu par Williams Research, lors du susmentionné premier vol du CL-89. Les livraisons de la première version de série du WR2 débutent en 1968. Des centaines de ces moteurs quittent l’usine au cours des années suivantes.

Le WR2 peut, je répète peut, avoir propulsé les premiers prototypes d’un aéronef sans pilote de surveillance d’une performance et d’une capacité supérieures à celles du CL-89, qui est déjà très bon. Ce CL-289 est développé conjointement par Canadair et 2 firmes européennes, Dornier Gesellschaft mit beschränkter Haftung d’Allemagne de l’Ouest et la Société Anonyme de télécommunications (SAT), une filiale de SAGEM, autrement dit la Société d’applications générales de l’électricité et de la mécanique, de France. Et tout ce que votre humble serviteur dira aujourd’hui à propos de cet aéronef sans pilote de surveillance très réussi. Non, non, aucune quantité de coups de pied et de cris ne changera mon esprit – et vous n’avez évidemment pas assez d’argent. Mais revenons à notre histoire.

Williams Research conçoit un dérivé du WR2, le WR24, connu des militaires américains comme le J400, pour équiper un avion cible subsonique récupérable piloté à distance développé pour la USN par un constructeur américain bien connu, Northrop Corporation. Un prototype du NV-105 vole pour la première fois en 1964, si, 1964, tout comme le CL-89. Son aile delta s’avérant peu adaptée, une nouvelle version du NV-105, équipée d’une aile droite, est testée en 1965. Le Northrop MQM-74 entre en production en 1968. Plus de 6 000 de ces avions cibles fiables, qui peuvent être lancés depuis une installation terrestre, un navire ou un aéronef, sont produits depuis lors par Northrop, devenu Northrop Grumman Corporation en 1994. Cet avion cible est toujours en production au début de 2020.

Communément appelé Chukar, nom officiellement utilisé uniquement pour les avions cibles vendus à l’étranger, ou c’est ce qui semble être le cas, le MQM-74 / BQM-74 est utilisé par l’OTAN elle-même et quelques membres de cette organisation (Allemagne de l’Ouest / Allemagne, Espagne, États-Unis, Grèce, Italie, Pays-Bas et Royaume-Uni,), ainsi que par des alliés et anciens alliés des États-Unis (Japon et Arabie saoudite d’un côté et Iran de l’autre), et…

Je reconnais ce regard sur votre visage, ami(e) lectrice ou lecteur. Votre hamster est tombé de sa roue en essayant de comprendre ce qu’est un chukar, n’est-ce pas? (Bonjour, EP!) Ne craignez point, nous allons unir nos forces pour aider la petite bestiole. Un chukar est une espèce asiatique de gibier à plumes, une perdrix plus précisément, introduite pour la première fois aux États-Unis en 1893 et ​​au Canada (Colombie-Britannique) au début des années 1950. Et oui, le fait que le chukar soit venu en Amérique du Nord pour se faire tirer dessus par des chasseurs explique pourquoi quelqu’un chez Northrop a pensé que son nom serait des plus approprié pour un avion cible ciblé par des missiles et canons automatiques.

Et non, les Forces armées canadiennes n’ont pas eu / n’ont pas de Chukar dans leur inventaire. Elles ont plutôt des avions cibles Meggitt / QinetiQ Vindicator II, et ici repose une histoire, et… D’accord, d’accord, une brève histoire.

Les origines de Vindicator II sont quelque peu nébuleuses, une situation assez courante dans le monde des aéronefs sans pilote. Boeing Canada Technology Limited de Winnipeg et la firme britannique Target Technology Limited (TTL) collaborent à la fin des années 1980 pour développer le Vindicator, un avion cible qui semble dériver du Target Technology Banshee, un avion cible qui connaît alors et plus tard beaucoup de succès dans le monde entier.

Vers la fin des années 1980, Boeing Canada Technology et la petite firme américaine Continental RPVs Incorporated collaborent au développement d’un autre avion drone cible, le Vindicator II. Si celui-ci peut être mis en production dans les années 1990, les informations disponibles ne sont pas aussi claires en ce qui concerne l’avion cible Vindicator conçu plus tôt avec l’aide de TTL.

Quoiqu’il en soit, les droits de production des avions cibles de Boeing Canada Technology, y compris le Vindicator II, deviennent la propriété de Rolls-Royce Public Limited Company à une date indéterminée – dans les années 1990, semble-t-il. Une filiale de ce constructeur britannique d’automobiles de luxe et de moteurs d’aéronefs de renommée mondiale, Bristol Aerospace Limited de Winnipeg, devient responsable du Vindicator II. Il convient de noter que la fabrication de la cellule de cet avion cible se fait toutefois dans les ateliers d’une petite firme britannique, Tasuma (UK) Limited.

En 1999 peut-être, Rolls-Royce vend les droits de production de tous ses avions cibles à Schreiner Luchvaart Groep Besloten Vennootschap, un groupe néerlandais dont les hélicoptères soutiennent l’industrie pétrolière en mer du Nord et en Afrique. Schreiner Target Services Canada Limited voit le jour.

La firme britannique de production aérospatiale et de défense Meggitt Public Limited Company acquiert Schreiner Target Services Canada en 2004, peu avant ou peu après le rachat de Schreiner Luchvaart Groep par CHC Helicopter Corporation, une importante firme canadienne qui soutient l’industrie pétrolière dans plusieurs pays du monde avec ses hélicoptères. Meggitt Training Systems Canada Incorporated, une filiale de Meggitt Target Systems, elle-même une division de Meggitt, est établie à Medicine Hat, Alberta. En 2015, Meggitt Training Systems Canada et Meggitt Defence Systems Limited, une autre filiale de Meggitt, fusionnent pour former Meggitt Target Systems Limited.

QinetiQ Group Public Limited Company, un groupe britannique de production de défense ayant des filiales à l’étranger, acquiert Meggitt Target Systems en décembre 2016. La Cette firme est connue en 2020 sous le nom de QinetiQ Target Systems Limited.

Le Vindicator II peut, je répète peut, être en production en 2020. Plus de 600 exemplaires de cet avion cible solide et fiable sont livrés aux forces armées du Canada, des États-Unis et de quelques autres pays. Le Vindicator II est un des avions cibles les plus performants de sa catégorie à la fin du 20ème siècle et au début du 21ème.

Croiriez-vous que le Vindicator II est le premier avion cible canadien produit en grand nombre? Plus de 20 petites et moyennes entreprises fabriquent diverses composantes – une contribution importante à l’économie régionale et provinciale.

Soit dit en passant, les Forces armées canadiennes utilisent le Vindicator II depuis plus de 1 décennie (ou 2?) pour former le personnel de défense antiaérienne de la Marine royale canadienne (destroyers porte-hélicoptère et frégates de patrouille) et de l’Armée canadienne (unités de défense antiaérienne fixes ou mobiles). Elles utilisent également cet avion cible pour compléter la formation des pilotes de l’avion de chasse supersonique McDonnell Douglas CF-188 de l’Aviation royale canadienne. Et oui, ami(e) lectrice ou lecteur, la fabuleuse collection du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada comprend un CF-188, autrement dit un F/A-18 Hornet.

Il convient de noter que le Vindicator II joue un rôle dans l’introduction d’une nouvelle arme, l’aéronef sans pilote de surveillance, dans les Forces armées canadiennes. Le gouvernement fédéral ayant promis d’envoyer des troupes en Afghanistan en 2003, le ministère de la Défense nationale signe un premier contrat pour quelques SAGEM Sperwer, un aéronef sans pilote français qui reçoit la désignation militaire canadienne CU-161. Le ministère commande ensuite des Vindicator II, quelques douzaines peut-être, équipés d’une caméra vidéo orientable pour accélérer la formation du personnel qui contrôlerait les Sperwer en Afghanistan. Ces Vindicator II reçoivent la désignation militaire canadienne CU-162.

Avant que je ne l’oublie, permettez-moi de mentionner que l’incroyable, si, si incroyable collection du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada comprend le premier Sperwer utilisé en Afghanistan par les Forces armées canadiennes. Elle comprend également un Vindicator II.

Curieusement, on pourrait soutenir que l’histoire du Sperwer commence en mars 1983, avec le premier vol d’un avion cible, le susmentionné Banshee, conçu par la firme anglaise Piper Target Technology Limited, plus tard connue sous le nom de, vous l’aurez deviné, TTL. Le monde est petit, n’est-ce pas? Cet avion cible à faible coût s’avère le plus réussi au monde dans sa catégorie. Plus de 5 000 Banshee sont fabriqués par Piper Target Technology / TTL, une firme connue en 2020 sous le nom de la susmentionnée QinetiQ Target Systems. Ils ont servi / servent dans près de 40 pays à travers le monde.

À la fin des années 1980 ou au tout début des années 1990, TTL met au point une version de surveillance du Banshee. Connu sous le nom de Spectre, cet aéronef sans pilote a une autonomie et une endurance accrues, ainsi qu’une charge utile plus importante. SAGEM est intriguée par les avions cibles / aéronefs sans pilote de TTL et en acquiert les droits de production. Elle développe rapidement son propre aéronef sans pilote de surveillance, le Crécerelle. Remarquez, des versions de surveillance du Banshee sont également produites en relativement petit nombre. La Pãkistãn Fãuj, ou armée pakistanaise, par exemple, en acquiert peut-être quelques-unes.

Alors que les années 1990 commencent, des problèmes non divulgués avec l’Eurodrone Brevel, un aéronef sans pilote de surveillance franco-allemand en cours de développement, causent un certain malaise au sein de l’Armée de Terre. En 1993, elle en a assez et commande la Crécerelle. Le petit aéronef sans pilote entre en service en 1995. Environ 25 exemplaires sont produits. Le Crécerelle est un des premiers, sinon le premier aéronef sans pilote de conception européenne opérationnel en Europe. Une version à autonomie étendue, la Crécerelle-LR, à l’étude vers 2003 pour l’Armée de Terre, ne semble pas être produite, pas plus que le Brevel.

En 1994, SAGEM met au point une version de la Crécerelle à plus longue autonomie spécialement destinée au marché de l’exportation. Plus grand, plus angulaire, plus puissant et beaucoup plus lourd que son prédécesseur, ce véhicule largement repensé, connu sous le nom de, vous l’aurez deviné de nouveau, Sperwer, est commandé par la Koninklijke Landmacht, ou armée néerlandaise, à la mi-1996. Un prototype de cet aéronef sans pilote vole apparemment plus tard cette année-là. Des commandes supplémentaires suivant bientôt, de la Armén, ou armée suédoise, par exemple. Ces Sperwer, connus localement sous le nom de Ugglan, sont peut-être spécialement équipés pour faire face aux hivers glaciaux de la Suède. La Hærens, ou armée danoise, signe également une commande. Ces Sperwer sont connus localement sous le nom de Tornfalke. La Ellinikós Stratós, ou armée grecque, commande également des Sperwer, mais je ne saurais dire si ces aéronefs sans pilote portent le nom d’un zoiseau local.

Il est à noter que l’Armée de Terre choisit, finalement, le Sperwer pour remplacer ses Crécerelle. Cette version française du Sperwer est officiellement connue sous le nom de Système de drone tactique intérimaire (SDTI). Comme son nom l’indique, le SDTI doit combler un vide jusqu’à l’entrée en service d’un bien meilleur aéronef sans pilote. Ce véhicule, le SAGEM Patroller, un nom très, très français, devrait entrer en service en 2020.

En 2009, SAGEM offre une version mise à jour et à plus longue autonomie de son aéronef sans pilote, aux utilisateurs actuels et potentiels. Votre humble serviteur n’est pas en mesure de dire si ce Sperwer II / Sperwer ER entre en production. D’une certaine manière, j’en doute. Au total, plus de 130 Sperwer sont produits.

Saviez-vous que SAGEM est fondée en 1924? La firme connaît une croissance rapide alors qu’elle diversifie ses activités, des caméras et projecteurs de cinéma aux systèmes de distribution d’électricité. En 1939, SAGEM devient un acteur important de l’industrie téléphonique française lorsqu’elle prend le contrôle de la Société d’applications téléphoniques, qui devient par la suite la susmentionnée SAT, et… Vous vous rappelez que SAT est une des 3 firmes impliquées dans le tout aussi susmentionné CL-289, n’est-ce pas? Soupir.

Qu’y a-t-il, ami(e) lectrice ou lecteur? Vous contestez ma définition du mot bref? Cela me convient tout à fait, vous savez, mais nous voudrons peut-être revenir à notre histoire. Je vous dis ça comme ça, moi.

Aurais-je raison de supposer que vous ne souhaitez pas vraiment tout savoir sur les nombreux problèmes du Sperwer en service canadien? C’est ce que je pensais. Soupir.

Terminons donc ce numéro de notre blogue / bulletin / machin en précisant que le fondateur de ce qui est aujourd’hui, c’est-à-dire en 2020, Williams International Corporation quitte ce monde en juin 2009. Williams a 88 ans. La firme qu’il fonde il y a 65 ans ce mois-ci, si, si, 65 ans ce mois-ci, est encore florissante au début de 2020. Bon anniversaire, Williams International!

Et maintenant pour le test.

De quelle couleur est mon chapeau de pêcheur / marin / capitaine grec?

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Williams research Canadair CL-89 Sagem sperwer
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Rénald Fortier

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Rénald Fortier
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L’automobile de tourisme McLaughlin D45 propulsée au gaz de paille avec son sac de gaz, Saskatoon, Saskatchewan. Anon., « Is This Prophetic of Future? Auto Is Run With Straw Gas. » The Winnipeg Evening Tribune, 20 août 1918, 1.

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L’illustration qui porte à l’attention de plusieurs le projet de production de gaz de paille du professeur Robert Dawson MacLaurin de la University of Saskatchewan. Anon., « Straw Gas Here: Novel Motor Fuel Used to Save Gasoline. » Visalia Morning Delta, 15 novembre 1918, 6.

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Caricature de l’illustrateur / graphiste Jacques Gagnier faisant la promotion du jeu questionnaire radiophonique hebdomadaire québécois Auto-Tram diffusé par la station radiophonique CKAC de Montréal, Québec. Jacques Gagnier, « –. » RadioMonde, 27 novembre 1948, 18.

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Publicité de Campbell Motors Limited de Vancouver, Colombie-Britannique, vantant les mérites de l’automobile AZNP Škoda 1101 ou 1102. Anon., « Campbell Motors Limited. » The Vancouver Sun, 10 juin 1950, 11.

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Une publicité de l’entreprise de commerce extérieur tchécoslovaque Omnitrade Limited de Montréal, Québec, pour l’automobile AZNP Škoda 440. Anon., « Omnitrade Limited. » The Montreal Star, 28 novembre 1958, 24.

« Les Rouges portent la Guerre froide aux Nord-Américains : » Une brève feuille de route des circonstances entourant l’importation au Canada d’automobiles tchécoslovaques au plus fort de la Guerre froide, partie 1

Le prototype de validation de principe de la turbine éolienne Constantin, Roanne, France. Jean Labadié, « Le vent source d’énergie inépuisable. » La Science et la Vie, juin 1927, 491.

« V’là l’bon vent, v’là l’joli vent : » Un survol en coup de vent de la fascinante turbine éolienne de l’ingénieur français Louis Constantin, et de quelques autres choses en plus, partie 2

Le prototype de turbine éolienne de Louis Constantin, dans le sud de la France, vers 1928. Jean Labadié, « L’œuvre originale d’un aérodynamicien français – Girouettes stabilisatrices et turbines éoliennes. » Science et Monde, 5 octobre 1933, 639.

« V’là l’bon vent, v’là l’joli vent : » Un survol en coup de vent de la fascinante turbine éolienne de l’ingénieur français Louis Constantin, et de quelques autres choses en plus, partie 1

GGeorge Bernard Raser, Junior, assis sur une faucheuse tirée par une automobile conduite par son frère, Harry Thomas Raser, près d’East Ashtabula, Ohio, mai ou juin 1903. Paul d’Arner, « L’automobile et l’agriculture. » Le Monde illustré, 31 octobre 1903, 409.

Creuse, creuse, creuse ton champ; Ou, Comment deux frères, Harry Thomas Raser et George Bernard Raser, Junior, ont utilisé une automobile sur la ferme familiale, près d’East Ashtabula, Ohio, en 1903

Le premier Curtiss JN-4 Canuck équipé de flotteurs, août 1919, Vancouver, Colombie-Britannique. MAEC, 5245.

Une fable d’air, d’eau, et de feu : Un coup d’œil sur les activités aéronautiques de Hoffar Motor Boat Company de Vancouver, Colombie-Britannique, 1915-27, partie 4

L’hydravion à coque Hoffar H-3, près de Vancouver, Colombie-Britannique, mai ou juin 1919. MAEC, 5174

Une fable d’air, d’eau, et de feu : Un coup d’œil sur les activités aéronautiques de Hoffar Motor Boat Company de Vancouver, Colombie-Britannique, 1915-27, partie 3

Logan Archbold Vilas, l’aviateur officiel du Wisconsin State Board of Forestry. Anon., « Wisconsin Has Flying Fire Warden. » The State Journal, 14 octobre 1915, 11.

Une fable d’air, d’eau, et de feu : Un coup d’œil sur les activités aéronautiques de Hoffar Motor Boat Company de Vancouver, Colombie-Britannique, 1915-27, partie 2

Les restes de l’hydravion à coque Hoffar H-2 après son écrasement sur le toit de la maison d’un médecin des oreilles, des yeux et du nez, Vancouver, Colombie-Britannique. Anon., « From Hantsport to Vancouver. » Canadian Courier, 28 septembre 1918, 12.

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Wilfrid Thomas Reid. Anon., « Specification and description of the Reid Rambler. » Canadian Air Review, novembre 1928, 30.

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Une publicité de Curtiss-Reid Aircraft Company Limited de Montréal / Cartierville, Québec, montrant son avion léger / privé Curtiss-Reid Rambler. Anon., « Curtiss-Reid Aircraft Company Limited. » Canadian Air Review, mai 1929, 23.

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Le SAGEM CU-161 Sperwer du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada après un de ses atterrissages sans incident en Afghanistan. David Pugliese, « Faulty drones risk lives: troops. » Ottawa Citizen, 29 août 2007, 10.

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Le premier aéronef sans pilote tactique SAGEM CU-161 Sperwer exploité par les Forces canadiennes, près de Kaboul, Afghanistan, novembre 2003. Anon., « Drones canadiens utilisés en Afghanistan ». La Presse, 19 mars 2006, A 5.

L’introduction du Canada à un jeu de drones mortel : Un trop bref aperçu de la carrière canadienne de l’aéronef sans pilote tactique SAGEM Sperwer, partie 2

Une vue d’un aéronef sans pilote tactique SAGEM Sperwer générique / typique. Chris Wattie, « Army buys spy drones for Afghan mission. » National Post, 8 août 2003, 4.

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La première Cadillac miniature alors qu’elle est conduite à Londres, Angleterre, par un garçon de bureau non identifié travaillant chez F.S. Bennett Limited. British & Colonial Kinematograph Company Limited, The Smallest Car in the Largest City in the World, 1913.

Un prince et sa Cadillac; ou, Comment le prince Olav de la maison Schleswig-Holstein-Sonderburg-Glücksburg, héritier du trône de Norvège, a obtenu sa première bagnole – avec des informations sur d’autres Cadillac miniatures, partie 2

Une Cadillac lilliputienne qui pourrait être celle mentionnée dans le titre de cet article, 1912-13. Anon., « La plus petite voiturette automobile au monde. » La Science et la Vie, août 1913, 275.

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L’arrivée d’André-Georges Lafitte à Dijon, France, juin 1990. A.-G. Lafitte, « Un membre de l’I.F.N. traverser l’Atlantique Nord en U.L.M. » Navigation, octobre 1991, 559.

L’affaire Pélican : La fascinante histoire d’un des piliers fondateurs de l’industrie québécoise de l’avion ultra-léger, Ultravia Aéro Incorporée, partie 2

Un avion ultraléger Ultravia Pélican typique sur flotteurs. L’absence d’immatriculation est à noter. Anon., « Amateurs – ULM ou avions? » Aviation magazine international, 1er août 1983, 37.

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Une carte de l’atocatière de Les Producteurs de Québec Limitée de Lemieux, Québec. Luc Bureau, « Un exemple d’adaptation de l’agriculture à des conditions écologiques en apparence hostiles : L’Atocatière de Lemieux », Cahiers de géographie du Québec, décembre 1970, 389.

« Un serpent de mer sans affidavit, c’est comme une dinde rôtie sans sauce aux canneberges; » Ou, Comment la famille Larocque a créé la première atocatière du Québec, partie 3

Certains des bâtiments de l’atocatière exploitée par Les Producteurs de Québec Limitée de Lemieux, Québec. Pierre Arthur Dorion. « La plus importante plantation d’atocas au pays. » Le Bulletin des agriculteurs, juillet 1955, 11.

« Un serpent de mer sans affidavit, c’est comme une dinde rôtie sans sauce aux canneberges; » Ou, Comment la famille Larocque a créé la première atocatière du Québec, partie 2

Charles Larocque, gérant de Les Produits de Québec Limitée de Lemieux, Québec, montrant comment ramasser des canneberges, à gauche, ainsi que des fruits tombés flottant sur l’eau. Arthur Prévost, « À Lemieux, au Québec, a prospéré la culture des ‘juteux atacas.’ » Photo-Journal, 23 juillet 1953, 33.

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Un Lawrence Niles Swank à l’air sérieux indiquant le point d’impact initial de la météorite qui a frappé son automobile près de Crawfordsville, Indiana, octobre 1930. Anon., « Projectile céleste ». Le Petit Journal, 2 juillet 1933, 22.

« Une cible difficile pour un tireur d’élite météorique de l’espace interplanétaire » – L’incroyable histoire d’un adolescent de l’Indiana, Lawrence Niles Swank, dont l’automobile a été sonnée par une météorite

Le chemin de fer aérostatique / chemin de fer au ballon proposé par Friedrich Volderauer. Salvatore Pannizzi, « Mountain Railways. » The Wide World Magazine, juillet 1898, 304.

Les voyages ferroviaires les plus scéniques du monde, animée par vous savez qui – Saison 7, Épisode 7 – Le Aerostatischen Bahn / Luftballon-Eisenbahn de Friedrich Volderauer

Une publicité typique de la Lion Brewery de Berlin, Ontario. Anon., « Lion Brewery. » The Canadian Courier, 6 juin 1908, 17.

D’une Lion Brewery à Waterloo à une Ranger Brewing à Kitchener, et plus encore : Un bref aperçu de l’histoire d’une brasserie ontarienne quelque peu oubliée

La sous-lieutenante Valentina Vladimirovna Terechkova, au centre de la photographie, au Cinquième congrès mondial des femmes, Moscou, Union des républiques socialistes soviétiques, juin 1963. RIA « Novosti, » 612179.

« La Russie lance une… ‘cosmonette’ » Un autre bref regard sur la façon dont la presse francophone du Québec couvre un aspect du programme spatial soviétique, en l’occurrence le voyage dans l’espace de Valentina Vladimirovna Terechkova, partie 2

La sous-lieutenante Valentina Vladimirovna Terechkova en tenue de ville et en tenue spatiale. Anon., « Un 3e Russe dans l’espace? Il irait rejoindre le couple qui s’y trouve. » La Presse, 17 juin 1963, 1.

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L’avion de ligne à réaction Tupolev Tu-104 exploité par Aeroflot qui participe au spectacle aérien du Centenaire de la Colombie-Britannique, Aéroport d’Uplands, Ottawa, Ontario. Don Brown, « Aerial Display Ready. » The Ottawa Citizen, 13 juin 1958, 39.

« Il roule au sol avec toute l’aisance d’une cigogne arthritique, » Ou, Un bref regard sur la brève présence au spectacle aérien du Centenaire de la Colombie-Britannique d’un avion de ligne à réaction Tupolev Tu-104 d’Aeroflot, partie 2

L’avion de ligne à réaction Tupolev Tu-104 exploité par Aeroflot qui participe au spectacle aérien du Centenaire de la Colombie-Britannique, tenu à l’Aéroport international de Vancouver, Richmond, Colombie-Britannique. Anon., « –. » The Sunday Sun, 14 juin 1958, 25.

« Il roule au sol avec toute l’aisance d’une cigogne arthritique, » Ou, Un bref regard sur la brève présence au spectacle aérien du Centenaire de la Colombie-Britannique d’un avion de ligne à réaction Tupolev Tu-104 d’Aeroflot, partie 1

Le bateau fluvial à roue arrière SS Klondike à un stade précoce de son voyage vers Whiskey Flats South, Whitehorse, Territoire du Yukon. Anon., « Sidewalk Supers Size Up Sternwheeler. » Whitehorse Star, 23 juin 1966, 1.

Alors que le monde, euh, alors que la roue tourne; Ou, Comment / pourquoi le SS Klondike, un cargo fluvial à roue arrière brièvement utilisé pour des croisières fluviales, est devenu un des 1 004 lieux historiques nationaux de Parcs Canada, partie 3

Des passagères et passagers du bateau fluvial à roue arrière canadien SS Klondike regardent leur navire s’apprêter à traverser un passage étroit du fleuve Yukon, aux rapides Five Finger, Territoire du Yukon. David Willock, « There’s Tourist Gold in the Yukon. » The Ottawa Citizen – Weekend Magazine, 25 juin 1955, 18.

Alors que le monde, euh, alors que la roue tourne; Ou, Comment / pourquoi le SS Klondike, un cargo fluvial à roue arrière brièvement utilisé pour des croisières fluviales, est devenu un des 1 004 lieux historiques nationaux de Parcs Canada, partie 2

Une bête de somme abandonnée et échouée face à un avenir incertain, le bateau fluvial à roue arrière canadien SS Klondike, Whitehorse, Territoire du Yukon. Anon., « Yukon River Boats. » The Calgary Herald, 5 mai 1958, 1.

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Une souriante Mme Élie Fortin de Montmagny, Québec, acceptant la bicyclette gagnée par sa fille, Michèle Fortin, dans le cadre d’un concours organisé par Dulac Potato Chips Incorporated de Sainte-Marie, Québec. Anon., « –. » Le Peuple, 10 mai 1963, 10.

Une grande dame qui n’a jamais lâché la patate : Anne Marie Harmonia Hallé et la saga des croustilles Dulac

La première planche de la bande dessinée Julien Gagnon. Rémy, « Julien Gagnon » Le Petit Journal, section magazine, 16 mai 1948, 18.

La grande aventure d’un pilote et chasseur d’espions amateur québécois fictif qui affronte un bad hombre communiste tout aussi fictif à l’aube d’une Guerre froide bien réelle : La bande dessinée Julien Gagnon de Rémy / Normand Hudon

Le véhicule tout-terrains Loman 225 en montre au Salon camping, chasse et pêche 73, Montréal, Québec. Anon., « Pédalo ‘Fun Cycle’ – Une réponse à un rêve… » La Patrie, 1er avril 1973, 23.

Quatre roues pour toutes les saisons : Les véhicule tout-terrains de Loman Incorporée de Richelieu, Québec

Le seul et unique Rohr M.O.1 Midnight Oiler avant l’installation de son nez définitif et de son stabilisateur horizontal avant, Chula Vista, Californie. Anon., « Private Flying – ‘Midnight Oiler’ Radical Design Lightplane is Built by Rohr. » Aviation News, 1 juillet 1946, 15.

Brûler l’huile de minuit pour atteindre le ciel et rugir : La trop brève saga de l’avion léger / privé Rohr M.O.1 Midnight Oiler

Divers aspects des activités entourant le lancement du chemin de fer sur la glace entre Longueuil, Québec, et Hochelaga / Montréal, Québec. Anon., « Montreal – Incidents at the opening of the ice railway bridge. » Canadian Illustrated News, 14 février 1880, 104.

Tirer des marchandises sur une glace mince : Le chemin de fer du pont de glace entre Longueuil, Québec, et Hochelaga / Montréal, Québec, partie 2

La locomotive gaiement décorée W.H. Pangman et les wagons plats qu’elle remorque lors de la première traversée du fleuve Saint-Laurent entre Hochelaga / Montréal, Québec, et Longueuil, Québec, janvier 1880. R. Richou, « Un chemin de fer sur la glace. » La Nature, 28 avril 1883, 349.

Tirer des marchandises sur une glace mince : Le chemin de fer du pont de glace entre Longueuil, Québec, et Hochelaga / Montréal, Québec, partie 1

Ahh, la crème glacée, les cause et solution de tous les problèmes de la vie. Je me demande si ce jeune garçon sait qu’il mange en fait de la mellorine. Anon., « De la crème glacée synthétique. » Photo-Journal, 16 avril 1953, 3.

En achètent-ils ou non? Seul leur épicier le sait avec certitude : Un bref coup d’œil sur une imitation de crème glacée à moindre coût parfois connue sous le nom de mellorine

Une publicité typique de T.K. Bellis Turtle Company Limited. Anon., “T.K. Bellis Turtle Company Limited.” The Graphic, 8 janvier 1898, 64.

Saccager la nature et se constituer une fortune en satisfaisant les envies d’une élite égoïste; Ou, Comment une industrie dominée par T.K. Bellis Turtle Company Limited de Londres, Angleterre, a presque anéanti une véritable merveille de la mer, partie 2

Thomas Kerrison Bellis, en d’autres termes le Roi de la tortue. Anon., « Good Stories for All – Turtle King of England is a Powerful Ruler. » The Boston Daily Globe, 17 mars 1898. 8.

Saccager la nature et se constituer une fortune en satisfaisant les envies d’une élite égoïste; Ou, Comment une industrie dominée par T.K. Bellis Turtle Company Limited de Londres, Angleterre, a presque anéanti une véritable merveille de la mer, partie 1

Le Mikoyan-Gourevitch MiG-15 de la Wojska Lotnicze piloté par le second lieutenant Franciszek Jarecki, aérodrome de Rønne, Rønne, Danemark. Jarecki est le gentilhomme marqué par une flèche. Anon., « Undamaged Red Jet in NATO Hands. » The Gazette, 7 mars 1953, 2.

Un vol pour la liberté qui a percé le rideau de fer; ou, Le jour où le second lieutenant Franciszek Jarecki s’est échappé de Pologne à bord d’un chasseur à réaction Mikoyan-Gourevitch MiG-15

Quatre des personnages principaux de ce qui peut bien être la première série télévisée de SF au Canada, Space Command de Canadian Broadcasting Corporation. Anon., « Space Command Is Not Run-Of-Mill ‘Opera.’ » The Ottawa Citizen, 26 décembre 1953, 14.

« Défiant les étoiles elles-mêmes » : Un regard infinitésimal sur ce qui pourrait bien être la première série télévisée de science-fiction au Canada, Space Command de Canadian Broadcasting Corporation

Le prototype du Astro Kinetics Lift de Astro Kinetics Corporation, Houston, Texas. Anon., « Aircraft and Powerplants – Crane version of ‘flying saucer’ projected in U.S.A. » The Aeroplane and Commercial Aviation News, 7 mars 1963, 24.

« Regardez! Là-haut dans le ciel! C’est un oiseau! C’est un avion! C’est une soucoupe volante texane! » Astro Kinetics Corporation de Houston, Texas, et ses aéronefs à décollage et atterrissage verticaux à l’allure unique

 James Bertram Blackmon (à droite, bien sûr) parlant de sa fusée avec l’animateur de la très populaire émission quotidienne d’actualités et débats télévisés américaine Today, David Cunningham Garroway, New York, New York. Anon., « Jimmy on TV Show. » The Charlotte Observer, 1er décembre 1956, 2.

Un jeune prodige américain de l’aube de l’ère spatiale devenu professeur au Propulsion Research Center de la University of Alabama in Huntsville : James Bertram Blackmon, voici votre vie, partie 2

James Bertram « Jim / Jimmy » Blackmon et sa fusée faite-maison, Charlotte, Caroline du Nord, juillet 1956. Irwin Hersey, « Aid for basement rocketeers. » Astronautics, février 1958, 25.

Un jeune prodige américain de l’aube de l’ère spatiale devenu professeur au Propulsion Research Center de la University of Alabama in Huntsville : James Bertram Blackmon, voici votre vie, partie 1

Le Canadair Silver Star du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, Ottawa, Ontario, juin 2005. Cet aéronef est piloté par le Red Knight, ou chevalier rouge, le pilote de voltige solo de l’Aviation royale du Canada, en 1961-64. Alain Rioux, via Wikimedia.

Il a vraiment continué longtemps, longtemps, longtemps : Un bref aperçu de la carrière canadienne de l’avion d’entraînement à réaction Lockheed / Canadair Silver Star, partie 2

Le ministre de la Défense nationale du Canada, Brooke Claxton, à gauche, avec le premier avion d’entraînement à réaction Lockheed T-33 Silver Star fabriqué au Canada, Cartierville, Québec. Anon., « M. Claxton reçoit le premier réacté T-33 fabriqué ici. » La Patrie, 13 février 1953, 1.

Il a vraiment continué longtemps, longtemps, longtemps : Un bref aperçu de la carrière canadienne de l’avion d’entraînement à réaction Lockheed / Canadair Silver Star, partie 1

La trentaine de paysans mexicains qui participent au déblaiement de la météorite de Bacubirito, non loin de Bacubirito, Mexique, 1902. N. Rosst, « La grande météorite de ‘Bacubirito’ (Mexique). » La Nature, 14 février 1903, 173.

Une flamme dans le ciel du nord et une cendre de feu sidéral : La météorite de Bacubirito

Un dispositif de dégivrage de piste de Woolery Machine Company en action à l’aéroport de Cologne-Wahn, Cologne, Allemagne de l’Ouest. Anon., « Ancillary Review – Flame-throwing – On Ice. » The Aeroplane and Commercial Aviation News, 28 février 1963, 29.

Allez, PB, allume mon feu. Essaie de mett’ la glace en feu : Un coup d’œil sur la firme américaine Woolery Machine Company et sur certaines de ses idées et produits

Un promoteur de la Sure Food, le chimiste alimentaire James Pearson (à droite), dans les installations de Wentworth Canning Company Limited de Hamilton, Ontario. Anon., « La viande, synthétique, produit canadien, pourrait sauver de la famine les peuples affamés d’Europe. » Photo-Journal, 5 février 1948, 3.

« Cela sent la viande. Cela ressemble même à de la viande. » L’histoire oubliée depuis longtemps d’une viande synthétique / viande d’imitation / viande artificielle / succédané de viande / substitut de viande / simili-viande parfois appelée Sure Food

L’avion de brousse Junkers Ju 52 immatriculé CF-ARM de Canadian Airways Limited de Montréal, Québec, lac Manouane, Québec, août ou septembre 1940. MAEC, 13469.

Les vieux avions de brousse ne meurent jamais, ils ne font que s’effacer doucement : Quelques lignes, d’accord, plusieurs lignes sur la remarquable carrière d’un « cargo volant / wagon volant » Junkers Ju 52 nommé CF-ARM, partie 3

L’avion de brousse Junkers Ju 52 immatriculé CF-ARM de Canadian Airways Limited de Montréal, Québec, en réparation, Arviat, Nunavut (Eskimo Point, Territoires du Nord-Ouest), septembre 1932. MAEC, 1208.

Les vieux avions de brousse ne meurent jamais, ils ne font que s’effacer doucement : Quelques lignes, d’accord, plusieurs lignes sur la remarquable carrière d’un « cargo volant / wagon volant » Junkers Ju 52 nommé CF-ARM, partie 2

L’avion de brousse Junkers Ju 52 immatriculé CF-ARM de Canadian Airways Limited de Montréal, Québec. Anon., « Pionnier des transports lourds dans le nord du Canada, le ‘Cargo volant’ a fini sa carrière. » Photo-Journal, 29 janvier 1948, 2.

Les vieux avions de brousse ne meurent jamais, ils ne font que s’effacer doucement : Quelques lignes, d’accord, plusieurs lignes sur la remarquable carrière d’un « cargo volant / wagon volant » Junkers Ju 52 nommé CF-ARM, partie 1

Le sergent Bob Electro de l’Aviation royale du Canada (ARC) pris en flagrant délit de salut au commandant de la Base de l’ARC de Clinton, le colonel d’aviation John Gordon Mathieson, Clinton, Ontario. Anon., « Six-Year-Old Sergeant. » The North Bay Nugget, 7 janvier 1963, 15.

Dōmo arigatō, gunsō Electro, mata au hi made : Les aventures électroniques du sergent Bob Electro de l’Aviation royale du Canada et des Forces armées canadiennes

Une pièce d’équipement fort appropriée vue la saison, enfin, la saison qui affecte la partie nord de l’hémisphère nord de la planète Terre, la souffleuse à neige domestique de Autocanner Enregistré de Montréal, Québec. Anon., « –. » Montréal-Matin, 9 janvier 1948, 6.

« Qu’il neige! Qu’il neige! Qu’il neige! » La souffleuse à neige domestique Blo-All de Autocanner Enregistré de Montréal, Québec

Le simulateur d’impact en vol de 10 pouces du Conseil national de recherches du Canada à un moment donné de sa longue carrière, Uplands / Ottawa, Ontario. CNRC.

Une grande réussite canadienne que vous devriez connaître : Un bref coup d’œil sur les simulateurs d’impact en vol du Conseil national de recherches du Canada remis au Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, partie 3

Le simulateur d’impact en vol de 3.75 / 3.5 pouces du Conseil national de recherches du Canada à un moment donné de sa longue carrière, Uplands / Ottawa, Ontario. CNRC.

Une grande réussite canadienne que vous devriez connaître : Un bref coup d’œil sur les simulateurs d’impact en vol du Conseil national de recherches du Canada remis au Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, partie 2

Le simulateur d’impact en vol de 10 pouces du Conseil national de recherches du Canada à un moment donné de sa longue carrière, Uplands / Ottawa, Ontario. CNRC.

Une grande réussite canadienne que vous devriez connaître : Un bref coup d’œil sur les simulateurs d’impact en vol du Conseil national de recherches du Canada remis au Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, partie 1

Une grenouille-taureau typique sauvage et libre. John J. Brice, éditeur, A Manual of Fish-Culture: Based on the Methods of the United States Commission of Fish and Fisheries, with Chapters on the Cultivation of Oysters and Frogs (Washington : Government Printing Office, 1897), 258.

« La grenouille est-elle gibier ou poisson? Là est le chiendent. » Un bref coup d’œil sur l’histoire de la raniculture au Canada et au Québec, partie 4

Une publicité typique de Giant Frog & Sea Food Limited de Montréal, Québec. Anon., « Giant Frog & Sea Food Limited. » La Patrie, 18 octobre 1952, 53.

« La grenouille est-elle gibier ou poisson? Là est le chiendent. » Un bref coup d’œil sur l’histoire de la raniculture au Canada et au Québec, partie 3

Trois des innombrables grenouilles-taureaux trouvées dans la grenouillère de Harold Lee, Casitas Springs, Californie. Anon., « Nature – Frog Farm.” » Pix, 6 janvier 1951, 30.

“La grenouille est-elle gibier ou poisson? Là est le chiendent. » Un bref coup d’œil sur l’histoire de la raniculture au Canada et au Québec, partie 2

Une publicité typique de Canadian Frog’s Industries Company de Montréal, Québec. Anon., « Canadian Frog’s Industries Company. » La Patrie, 16 novembre 1952, 86.

« La grenouille est-elle gibier ou poisson? Là est le chiendent. » Un bref coup d’œil sur l’histoire de la raniculture au Canada et au Québec, partie 1

Un dessin éditorial qui reflète la réaction de nombreux Américains suite au lancement de Spoutnik 2. Une traduction du titre du dessin pourrait être Notre propre disgrâce non-volante. John Milt Morris, « Our own non-fly doghouse. » The Nome Nugget, 8 novembre 1957, 2.

Les trois jours du Spoutnik; ou, « Radio-Moscou admet que le chien tournant autour de la terre dans le satellite ne reviendra jamais » : Laïka, Spoutnik 2 et la presse quotidienne du Québec, partie 3

Une réplique de Spoutnik 2, Tsentral’nyy Dom Aviatsii i Kosmonavtiki DOSAAF Rossíi, Moscou, avril 2021. Krasnyy via Wikipédia.

Les trois jours du Spoutnik; ou, « Radio-Moscou admet que le chien tournant autour de la terre dans le satellite ne reviendra jamais » : Laïka, Spoutnik 2 et la presse quotidienne du Québec, partie 2

Le premier portrait official de Laïka à être diffusé par les autorités soviétiques. Cette photographie est initialement publiée dans le quotidien moscovite Pravda. Anon., « More Sputnik Dogs Due Before Humans Go Up. » The Evening Star, 13 novembre 1957, 6.

Les trois jours du Spoutnik; ou, « Radio-Moscou admet que le chien tournant autour de la terre dans le satellite ne reviendra jamais » : Laïka, Spoutnik 2 et la presse quotidienne du Québec, partie 1

Le biplan (monoplace?) conçu par Canadian Aircraft Works (Incorporated? Limited? Registered?) de Montréal / Coteau Rouge, Québec, janvier 1915. Gustave Pollien peut se trouver aux commandes. MAEC, 1134.

Un terrifique trio actif aux débuts de l’aviation au Québec : Ernest Anctil, Gustave Pollien et Percival Hall Reid, partie 3

Le biplan fabriqué par Gustave Pollien (à gauche) et Ernest Anctil, Cartierville, Québec. Anon., « L’aviation chez nous – Un jeune aviateur canadien-français, Ernest Anctil, vole avec succès sur un biplan construit au pays. » La Presse, 27 septembre 1912, 1.

Un terrifique trio actif aux débuts de l’aviation au Québec : Ernest Anctil, Gustave Pollien et Percival Hall Reid, partie 2

Le biplan fabriqué par Ernest Anctil (à gauche dans la photographie du bas) et Gustave Pollien, Cartierville, Québec. Anon., « The first Montreal-made biplane. » The Standard, 5 octobre 1912, 4.

Un terrifique trio actif aux débuts de l’aviation au Québec : Ernest Anctil, Gustave Pollien et Percival Hall Reid, partie 1

Louis Victor Jules Vierne (3ème à partir de la gauche), compositeur et organiste de la cathédrale Notre-Dame de Paris au clavier de l’orgue électronique Coupleux Givelet, station de radio Poste Parisien, Paris, France. Anon., « L’orgue des ondes du ‘Poste parisien’ est inauguré. » Le Petit Parisien, 27 octobre 1932, 1.

La mélodieuse épopée de deux pionniers français de la musique électronique qui méritent d’être mieux connus : Joseph Armand Marie Givelet et Édouard Éloy Coupleux

 Vue d’artiste du satellite canadien Alouette en orbite au-dessus du Canada. Office national du film, Photo-reportage 288 – Le Canada, nouveau visiteur de l’espace, NFB62-5961.

Alouette, gentille alouette, Alouette, je te lancerai; Ou, Comment la Guerre froide propulse le Canada dans l’espace par le biais du satellite Alouette, partie 3

La fusée Thor-Agena qui place le satellite canadien Alouette en orbite, Vandenberg Air Force Base, Californie. Anon., « Alouette’ Working Perfectly – First Canadian Satellite in Orbit. » The Montreal Star, 29 septembre 1962, 1.

Alouette, gentille alouette, Alouette, je te lancerai; Ou, Comment la Guerre froide propulse le Canada dans l’espace par le biais du satellite Alouette, partie 2

Deux des ingénieurs qui font du satellite Alouette un succès : Colin A. Franklin (à gauche) et John N. Barry, Ottawa, Ontario. Anon., « Many ‘Firsts’ for Canadian Satellite – Alouette Sports New Space Advances. » The Montreal Star, 22 septembre 1962, 43.

Alouette, gentille alouette, Alouette, je te lancerai; Ou, Comment la Guerre froide propulse le Canada dans l’espace par le biais du satellite Alouette, partie 1

Vue approximative de la zone dans laquelle l’éclipse solaire du 31 août 1932 peut être observée dans sa totalité (image principale), ou pas (colonne de droite). Anon. « Mighty Workings of Tomorrow’s Eclipse. » Sherbrooke Daily Record, 30 août 1932, 1.

« Nous prions tous pour une journée sans nuages : » L’éclipse solaire du 31 août 1932 au Québec, partie 3

Certains des chercheurs britanniques éminents en route vers le Canada dans le but d’observer l’éclipse solaire totale du 31 août 1932. Anon., « Le ciel québécois et les astronomes. » La Presse, 29 juillet 1932, 9.

« Nous prions tous pour une journée sans nuages : » L’éclipse solaire du 31 août 1932 au Québec, partie 2

L’éclipse solaire du 31 août 1932 telle qu’on peut l’observer dans sa totalité, à partir d’une route de campagne du Maine. Anon., « Souvenir d’éclipse. » La Presse – Magazine illustré, 24 septembre 1932, 9.

« Nous prions tous pour une journée sans nuages : » L’éclipse solaire du 31 août 1932 au Québec, partie 1

Le réservoir Manicouagan, également connu sous le nom d’œil du Québec, photographié depuis l’espace par le satellite Sentinel 2-A du programme Copernicus de l’Agence spatiale européenne, janvier 2017. https://scihub.copernicus.eu/ via Wikimedia.

Sic itur ad astra : Quelques observations sur la stellaire carrière de l’astronome canadien Carlyle Smith Beals, partie 2

Carlyle Smith Beals, astronome fédéral. Raymond Taillefer, « Tant qu’il y aura des étoiles - L’observatoire fédéral assure au Canada un brillant rôle scientifique. » Le Droit, 2 août 1947, 1.A.

Sic itur ad astra : Quelques observations sur la stellaire carrière de l’astronome canadien Carlyle Smith Beals, partie 1

Le prototype de l’avion de brousse canadien de Havilland Canada DHC-2 Beaver en montre au Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, Ottawa, Ontario. MAEC, deHavilland DHC-2 Beaver-005

Bonne fête Beaver, bonne fête Beaver, bonne fête, bonne fête, bonne fête Beaver : Un trop bref coup d’œil sur une icône canadienne, l’avion de brousse de Havilland Canada DHC-2 Beaver, partie 2

Le prototype de l’avion de brousse canadien de Havilland Canada DHC-2 Beaver le jour de son premier vol, Downsview, Ontario, août 1947. MAEC, KM-08317

Bonne fête Beaver, bonne fête Beaver, bonne fête, bonne fête, bonne fête Beaver : Un trop bref coup d’œil sur une icône canadienne, l’avion de brousse de Havilland Canada DHC-2 Beaver, partie 1

Le Shell By-Plane X 100 Astroterramare du professeur Septimus Urge (extrême droite), Pleasure Gardens du Festival of Britain, Battersea Park, Londres, Angleterre. Anon., « New British Jet Unique, but Not Matchless. » Aviation Week, 18 août 1952, 44.

Des machines de Heath Robinson / Rube Goldberg que Heath Robinson et « Rube » Goldberg eux-mêmes auraient approuvées; Ou, Le monde merveilleux de Frederick Rowland Emett et ses choses

Rachel Marie-Louise Clément, née Guillot, en train se saler des fromages camembert Madame Clément produits par Laiterie R.A. Clément (Enregistrée? Incorporée? Limitée?), McMasterville ou Beloeil, Québec. Anon., « Fromages du Québec. » Photo-Journal, 28 août 1952, 33.

« Si j’avais cent vies, je recommencerais l’aventure du camembert : » Le délicieuse saga québécoise de la famille Clément et de ses fromages

Vue d’artiste du dirigeable conçu par le modeleur, ouvrier, sculpteur ou tailleur de pierre québécois Louis N. Filion. Anon., « Le secret de la direction des ballons est-il réellement détenu par un Canadien-français? » La Patrie, 26 juillet 1902, 19.

En 1902, le secret de la direction des ballons dirigeables est-il détenu par le Québécois Louis N. Filion? C’est à moi de le savoir et à vous de le découvrir

Une publicité typique de Bamboo Cycle Company Limited de Londres, Angleterre. Anon., « Bamboo Cycle Company Limited. » The Graphic, 31 juillet 1897, 179.

« En cas de doute mon conseil est Acheter une Bamboo : » Quelques pages sur Bamboo Cycle Company Limited de Londres, Angleterre

Un tir d’essai américain d’une fusée à courte portée sol-sol non guidée Douglas M31 Honest John. Anon., « Engins et missiles ». Aviation Magazine, 1 juin 1959, 155.

Elle n’a peut-être pas changé l’histoire mais aurait certainement changé la géographie : Un bref mais effrayant coup d’œil sur les fusées à courte portée sol-sol non guidées Douglas M31 et M50 / MGR-1 Honest John, partie 2

Une équipe de l’Artillerie royale canadienne de l’Armée canadienne s’entraînant sur une fusée à courte portée sol-sol non guidée Douglas M31 Honest John de la United States Army, Fort Sill, Oklahoma. Anon., « Rocket Training. » Sherbrooke Daily Record, 13 juillet 1957, 1.

Elle n’a peut-être pas changé l’histoire mais aurait certainement changé la géographie : Un bref mais effrayant coup d’œil sur les fusées à courte portée sol-sol non guidées Douglas M31 et M50 / MGR-1 Honest John, partie 1

Une publicité de Frisco Soda Water Company de Montréal, Québec, pour la bière Salvador brassée par Reinhardt ‘Salvador’ Brewery Limited de Toronto, Ontario. Anon., « Frisco Soda Water Company. » The Montreal Daily Star, 5 juillet 1912, 5.

Un conte de deux Reinhardt; ou, Un bref aperçu de deux brasseries canadiennes disparues et oubliées depuis longtemps

Kenneth Albert Arnold, au centre, avec deux autres pilotes qui affirment avoir vu des objets volants non identifiés, soit Emil J. Smith, à gauche, et Ralph Stevens. Anon., « Pilotes qui virent des soucoupes volantes. » Le Soleil, 8 juillet 1947, 1.

« Tout le monde a vu les soucoupes volantes, les journalistes exceptés : » Les premières observations d’objets volants non identifiés / phénomènes aériens non identifiés dans la province de Québec, 24 juin au 19 juillet 1947, partie 2

Kenneth Albert Arnold. Anon., « Boise Airman Positive He Didn’t See Ordinary Craft Reflections. » The Idaho Daily Statesman, 28 juin 1947, 9.

« Tout le monde a vu les soucoupes volantes, les journalistes exceptés : » Les premières observations d’objets volants non identifiés / phénomènes aériens non identifiés dans la province de Québec, 24 juin au 19 juillet 1947, partie 1

Une publicité typique de O-Pee-Chee Gum Company de London, Ontario. Anon., « O-Pee-Chee Gum Company. » The Aylmer Express, 6 juin 1912, 5.

« Mâche Mâche Mâche Mâche ta gomme à bulles: » Les sucrés de bons vieux temps de O-Pee-Chee Gum Company Limited de London, Ontario

Publicité concernant la Isetta fabriquée par Isetta of Great Britain Limited. Une fois traduit, le texte se lit : « Hé! ne touche pas à cette pièce de 10 cents! Je vais juste prouver que cette Isetta peut se garer dessus! » Anon., « City Motors Limited. » The Gazette, 21 novembre 1957, 2.

Un coup d’œil sous le capot d’un des symboles du miracle économique ouest-allemand des années 1950 ; ou, L’histoire multiforme et multinationale de la microvoiture Isetta, partie 2

Une BMW 250 ou 300 typique. Devon Francis, « What you get in the foreign economy cars. » Popular Science, juin 1957, 62.

Un coup d’œil sous le capot d’un des symboles du miracle économique ouest-allemand des années 1950 ; ou, L’histoire multiforme et multinationale de la microvoiture Isetta, partie 1

Un projecteur de planétarium Spitz au Planetario Municipal Agrimensor Germán Barbato, le premier planétarium d’Amérique du Sud, inauguré en 1955, Montevideo, Uruguay, février 2015. Fedaro via Wikimedia.

Béni soit celui qui apporte les merveilles du cosmos à la multitude : Armand Neustadter Spitz et ses projecteurs de planétarium, partie 2

Armand Neustadter Spitz. Hilaire Cuny, « Sciences et techniques – La plus gigantesque tentative de notre temps : La conquête de l’espace cosmique. » Combat, 15 mai 1957, 6.

Béni soit celui qui apporte les merveilles du cosmos à la multitude : Armand Neustadter Spitz et ses projecteurs de planétarium, partie 1

Une publicité typique de la firme William Hood & Company de Toronto, Ontario. Anon., « William Hood & Company. » The Canadian Grocer & General Storekeeper, 27 mai 1892, 9.

« Un nouveau gagnant commercial pour les épiciers et marchands généraux; » ou, Comment William Hood & Company de Toronto, Ontario, devient un prétexte pour s’attarder sur les mystères de… l’huile de ricin

Une publicité typique de Tillson Company Limited. Anon. « Tillson Company Limited. » The Canadian Grocer & General Storekeeper, 13 mai 1892, 19.

« Un aliment, pas une mode: » La vie et l’époque de Edwin Delevan Tillson de Tillsonburg, Ontario

Gertrude Dugal, la première Québécoise francophone ayant obtenu une licence de pilote – ou pas, Aéroport de Cartierville, Cartierville, Québec. Anon., « La seule diplômée. » La Patrie, Journal du dimanche, 18 mai 1947, 1.

« À travers les nuages, je vois voler mon ombre: » Quelques mots sur Gertrude Dugal, la première Québécoise francophone ayant obtenu une licence de pilote – à moins que ce ne soit quelqu’un d’autre

Une motomarine Vincent Amanda dans son élément, Ruislip, Angleterre, avril 1957. Anon., “Triss i bâtar.” Teknikens Värld med Flyg, 2 au 16 mai 1957, 8.

Bournemouth, Scarborough, ooh je veux vous emmener. Great Yarmouth, Lyme Regis, ami(e) lectrice, lecteur : La Vincent Amanda, l’ancêtre presque oubliée des motomarines d’aujourd’hui

Une vue en gros plan d’une pilule radio quelques instants avant que le premier patient volontaire ne l’avale. Anon., « Science – Radio Made to Swallow. » Life, 29 avril 1957, 74.

Prenez une de ces pilules et vos entrailles m’appelleront en matinée : La saga digestive de… la pilule radio

Dan Cooper, tel que dessiné par l’auteur de bande dessinée belge Albert Weinberg lors de sa visite à North Bay, Ontario, en mai-juin 1966. Anon., « Originator of RCAF cartoon hero visits defence bases at North Bay. » The North Bay Nugget, 3 juin 1966, 1.

Un prolifique auteur de bande dessinée belge qui mérite d’être mieux connu : Le père de Dan Cooper, héros canadien, Albert Weinberg (1922-2011), partie 2

Albert Weinberg au cours d’une de ses nombreuses visites en sol canadien. Anon., « Dan Cooper c’est Buzz Beurling. » La Presse, 31 mars 1975, A3.

Un prolifique auteur de bande dessinée belge qui mérite d’être mieux connu : Le père de Dan Cooper, héros canadien, Albert Weinberg (1922-2011), partie 1

Un avion de chasse FFVS J 22 typique de l’armée de l’air suédoise, ou Flygvapnet, Bunge, Suède, vers 1948-49. Flygvapenmuseum, FVMF.002142.

On m’a demandé quelques fois quel était mon avion préféré. Eh bien, voici l’un de mes favoris de tous les temps : l’avion de chasse suédois FFVS J 22, partie 2

Un avion de chasse FFVS J 22 typique de l’armée de l’air suédoise, ou Flygvapnet. Harald Jacobson, « Ett flygplan – en flygepok. » Looping, avril 1952, 12.

On m’a demandé quelques fois quel était mon avion préféré. Eh bien, voici l’un de mes favoris de tous les temps : l’avion de chasse suédois FFVS J 22, partie 1

 Une publicité pour des produits, en l’occurrence du hareng et de la sardine, mis en conserve par Connors Brothers Limited de Black’s Harbour, Nouveau-Brunswick. Anon., « Connors Brothers Limited ». Le Prix courant, 29 mars 1912, 20.

D’un appât à homard et engrais pour pommes de terre à de l’argent d’eau salée : L’humble sardine et Connors Brothers Limited de Black’s Harbour, Nouveau-Brunswick

Une Volvo P1800 comparable à celle que conduit Simon Templar, dit le Saint, un personnage joué à la télévision par Roger George Moore, Volvo Museum, Göteborg, Suède, 2008. Jarle Vines via Wikimedia.

Une sainte automobile du pays de « Fifi » Brindacier et Lisbeth Salander : La grande routière / voiture sport suédoise Volvo P1800, partie 2

Une grande routière / voiture de sport Volvo P1800 typique Anon., « La plus belle auto. » La Patrie du Dimanche, 25 mars 1962, 11.

Une sainte automobile du pays de « Fifi » Brindacier et Lisbeth Salander : La grande routière / voiture sport suédoise Volvo P1800, partie 1

Le député sortant de la circonscription électorale de Limoux, France, le sénateur Henri Charles Étienne Dujardin-Beaumetz. Joseph Uzanne. Figures contemporaines. (10ème édition) (Paris: Librairie Henri Floury, 1906), non paginé.

« Mon cher Védrines, c’est une panne de scrutin : » Charles Toussaint « Jules » Védrines et l’élection législative partielle de Limoux, France, de mars 1912, Partie 2

Caricature du sénateur Henri Charles Étienne Dujardin-Beaumetz se payant la tête de « Jules » Védrines, le candidat défait lors de l’élection législative partielle de Limoux, France, de mars 1912. Anon., « La course Limoux-Palais-Bourbon. » Le Rire, 30 mars 1912, non paginé.

« Mon cher Védrines, c’est une panne de scrutin : » Charles Toussaint « Jules » Védrines et l’élection législative partielle de Limoux, France, de mars 1912, Partie 1

Le laboratoire sur roues Lincoln Continental 1950X / Ford X-100. Anon., « La Ford de l’avenir. » Photo-Journal, 28 février 1952, 8.

La voiture de demain telle qu’on l’imaginait il y a 70 ans : Le laboratoire sur roues Lincoln Continental 1950X / Ford X-100

Edward T. Faulkner et son Curtiss JN-4 Canuck, Honeoye Falls, New York, 1962. Musée de l’aviation et de l’espace du Canada 2985.

Il décolle à 100 kilomètres/heure, vole à 100 kilomètres/heure et atterrit à 100 kilomètres/heure, plus ou moins : La saga du Curtiss JN-4 Canuck

Une publicité de David Brown (Canada) Limited de Toronto, Ontario, montrant des tracteurs offerts par une firme sœur / frère britannique, David Brown Tractors Limited. Anon., « David Brown (Canada) Limited ». Le Bulletin des agriculteurs, février 1962, 75.

« Voulez-vous conduire mon tracteur? Allons donc charger du foin. » Un très bref aperçu de l’histoire de la firme britannique David Brown Tractors Limited

Tomanowos, mieux connue sous le nom de météorite Willamette, American Museum of Natural History, New York, New York. Anon., « Ça et là, par l’image. » Le Samedi, 22 février 1947, 8.

Tomanowos, une visiteuse du ciel ou de la Lune : Un coup d’œil sur de la plus grosse météorite nord-américaine connue aujourd’hui

Vera Elsie Strodl portant le blouson de vol en cuir qu’elle porte pendant la Seconde Guerre mondiale. Glennis Zilm, « Only Canadian honored – Long love of flying brings award to aviatrix. » The Gazette, 1er février 1972, 8.

Dieu aurait pu être son copilote, Ou, La carrière remarquable d’une pilote remarquable, Vera Elsie Strodl

John D’Alton Woodlock avec un de ses fils, Peter Woodlock, devant le téléviseur familial, Iberville, Québec, été 1949. Arthur Prévost, « Dix ans avant CBFT – À Iberville, on a la TV depuis 14 ans!... » Le Petit Journal, 14 janvier 1962, A-49.

Mais malheureusement, comme tant de grands esprits, le pionnier québécois de la télévision John D’Alton Woodlock est parti trop tôt – et vite oublié

Une publicité de la Société auxiliaire agricole de Paris, France, montrant un tracteur agricole Pavesi P4 ou Agrophile-Pavesi en action. Anon., « Société auxiliaire agricole, » L’Agriculture nouvelle, 14 janvier 1922, 4.

Il était une fois un tracteur acrobate : La belle bien que partiellement militaire histoire du tracteur agricole Pavesi P4 et la carrière de Ugo Pavesi

Deux des grands avions de chasse de la Première Guerre mondiale : un SPAD S.VII du Royal Flying Corps ou de l’Aéronautique militaire et un Albatros D.III du Luftstreitkräfte. Anon., « A Dog Fight. » Canadian Aviation, janvier 1932, 12.

L’histoire des photographies les plus extraordinaires jamais prises de combats aériens pendant la Première guerre mondiale, Ou, Le long et le court de la collection Cockburn-Lange

Une vue d’ensemble d’un des premiers réseaux téléphoniques au Canada, Montréal, Québec, 1878. Anon., « Le premier téléphone qui ait jamais été installé à Montréal. » La Presse, 27 janvier 1912, 5.

Ils sont parmi les premiers à tendre la main et toucher quelqu’un : Un regard sur un des premiers réseaux téléphoniques au Canada

Le Canadair CL-44 loué par British Overseas Airways Corporation (BOAC), septembre 1963. Cet aéronef de Seaboard World Airlines Incorporated transporte 19 voitures de course du Royaume-Uni aux États-Unis lors de ce vol, son premier aux couleurs de BOAC. MAEC.

Un bon élan en mérite un autre : La saga de l’avion-cargo canadien Canadair CL-44, Partie 2

Une publicité de l’avionneur Canadair Limited de Cartierville, Québec, vantant les mérites de son hénaurme avion-cargo, le Canadair CL-44. Anon., « Canadair Limited. » La Presse, 23 janvier 1962, 29.

Un bon élan en mérite un autre : La saga de l’avion-cargo canadien Canadair CL-44, Partie 1

Publicité publiée par les magasins Zeller’s Limited de Calgary, Alberta, qui met en valeur le tracteur Reely Ride-’em produit par Reliable Toy Company Limited de Toronto, Ontario. Anon. « Zeller’s Limited. » The Calgary Herald, 11 décembre 1961, 32.

Jouets, glorieux jouets, on voudrait bien jouer : Quelques pages sur Reliable Toy Company Limited de Toronto, Ontario

Un hydravion à flotteurs utilitaire de Havilland Canada DHC-3 Otter exploité par Northway Aviation Limited de St. Andrews, Manitoba, lac Fishing, Manitoba, septembre 2005. Mark Swaffer via Wikimédia.

Le camion volant d’une tonne du Canada : le de Havilland Canada DHC-3 Otter

Une publicité de Moline Plow Company montrant un Moline Universal Tractor en action. Anon. « Moline Plow Company. » L’Agriculture nouvelle, 10 décembre 1921, 707.

Un véhicule très réussi et, oserais-je le taper, un gougeur de pente de l’industrie des tracteurs agricoles : le Moline Universal Tractor

L’avion de ligne à réaction Douglas DC-8 de Canadian Pacific Airlines Limited de Vancouver, Colombie-Britannique, connu sous le nom de Empress of Montreal. Anon., « Empress of Montreal DC-8 First CPA Jet Visitor. » The Gazette, 6 décembre 1961, 17.

Un article dont je suis réticent à divulguer la phrase-choc si tôt dans le jeu : Ou, Un DC racé utilisé par CP

L’avion-cargo Fairchild C-119 Flying Boxcar de la United States Air Force emprunté par Iron Ore Company of Canada Incorporated en 1951. Anon., « Fret aérien – L’opération Ungava – Le fret aérien accélère l’application d’un projet. » Interavia, décembre 1951, 672.

« Dans l’intérêt de la sécurité nationale » : Le rôle joué par un avion-cargo Fairchild C-119 Flying Boxcar de la United States Air Force dans le développement des gisements de minerai de fer de la région du lac Knob

Le Vertol Modèle 42 de Skyrotors Limited de Arnprior, Ontario, nolisé par Spartan Air Services Limited de Ottawa, Ontario, dans le cadre de l’Opération High Tower. Anon., « Operation High Tower. » The Ottawa Citizen, 8 novembre 1961, 3.

Votre mission, si toutefois vous l’acceptez, est de déplacer des trucs : Spartan Air Services Limited de Ottawa, Ontario, la station radiophonique CFRA de Ottawa et l’Opération High Tower

Une des deux sculptures grandeur nature en alliage d’aluminium de grues blanches créées par Wolfram F. Niessen pour le Regina Municipal Airport, Regina, Saskatchewan. Anon., « Regina Honors the Whooping Crane. » The Ottawa Citizen, Weekend Magazine, 18 novembre 1961, 38.

Parlons d’art, humaines et humains. Tous les humains. Plus fort maintenant. Aidez-moi. – Wolfram F. Niessen, John Cullen Nugent et les sculptures grandeur nature en alliage d’aluminium de grues blanches créées pour le Regina Municipal Airport

Joseph Alphonse Ouimet. Anon., « Le pionnier de la télévision préférait la radio à une bicyclette neuve. » La Patrie, 5 novembre 1961, 26.

« Le pionnier de la télévision préférait la radio à une bicyclette neuve : » Un survol de la carrière de Joseph Alphonse Ouimet, un père fondateur de la télévision canadienne

Une publicité publiée par La traction et le matériel agraires Société anonyme pour le tracteur de jardin américain Beeman Junior. Anon., « La traction et le matériel agraires Société anonyme. » L’Agriculture nouvelle, 12 novembre 1921, 664.

« Les arpents verts, les champs, les bois, les chemins creux, c’est fait pour moi : » La firme américaine Beeman Garden Tractor Company et le tracteur de jardin / motoculteur Beeman Junior ou Modèle G

Une ascension de l’aéronaute et parachutiste foraine Florida Lanthier. Maurice Desjardins, « Dans une modeste maison de Montréal-Nord – Florida Lanthier, reine des parachutistes, vit de couture... et de souvenirs. » Photo-Journal, 8 novembre 1951, 3.

Ombres et lumière dans le ciel du Québec : Un premier regard sur la vie et l’époque de l’aéronaute et parachutiste foraine féminine québécoise Florida Lanthier

L’irradiateur mobile de démonstration monté par Énergie atomique du Canada Limitée. Anon., « Boon to Canadian potato industry. » Saskatoon Star-Phoenix, 21 octobre 1961, 6.

Une patate chaude, deux patates chaudes, trois patates chaudes, quatre : Énergie atomique du Canada Limitée de Chalk River, Ontario, et les premiers jours de l’irradiation des aliments au Canada

Une automobile légère et économique Mathis VL333. Fernand de Laborderie, « Le 33e Salon de l’automobile. » La Nature, 15 octobre 1946, 331.

Une vision d’avenir pour une firme à bout de souffle : L’automobile légère et économique française Mathis VL333

Un Bristol Bolingbroke de reconnaissance côtière destiné à l’Aviation royale du Canada en cours de montage dans l’usine de Fairchild Aircraft Limited, Longueuil, Québec, 1941. Anon., « Les C.F. et la R.C.A.F. » Le Samedi, 18 octobre 1941, (c).

« Nous devons obtenir du matériel aérien et veiller sur nos côtes » – L’Aviation royale du Canada et l’avion de reconnaissance côtière Bristol Bolingbroke

 Le prototype du de Havilland Canada DHC-6 Twin Otter en montre au Musée de l’aviation du Canada, Ottawa, vers 2001. MAEC.

De pôle en pôle et d’horizon en horizon, le Twin Otter était, est et sera là : Une bien brève pontification sur un des meilleurs aéronefs canadiens jamais conçus

Le Royal Aircraft Factory B.E.2 en montre au Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, Ottawa, Ontario, février 2009. Wikipédia.

Le cas étrange et déconcertant des aéroplanes substitués; ou, Même en utilisant les Mathématiques modernes, 4112 n’égale jamais 5878 : La haute histoire du Royal Aircraft Factory B.E.2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, partie 2

Le Royal Aircraft Factory B.E.2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada alors qu’il appartient au Musée canadien de la guerre, Ottawa, Ontario. H.J. (« Titch ») Jenkins, « Correspondence – Ottawa’s – and Sowrey’s – B.E.2c. » Flight, 12 octobre 1961, 600.

Le cas étrange et déconcertant des aéroplanes substitués; ou, Même en utilisant les Mathématiques modernes, 4112 n’égale jamais 5878 : La haute histoire du Royal Aircraft Factory B.E.2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, partie 1

Isidore Joseph Amédée Marsan. Anon., « Isidore Joseph Amédée Marsan. » Le Bulletin des agriculteurs, 17 septembre 1921, couverture.

Un des pionniers de la science agricole au Québec et au Canada: Isidore Joseph Amédée Marsan

Une annonce publicitaire de St. Lawrence Starch Company Limited, Port Credit, Ontario. Anon., « Publicité – St. Lawrence Starch Company Limited. » Le Bulletin des agriculteurs, septembre 1941, 61.

Gratis, magnifiques cartes portant des dessins ou photographies d’aéronefs alliés! Collectionnez-les toutes!

Une automobile Aluminium français-Grégoire, Cité de l’automobile – Musée national – Collection Schlumpf, Mulhouse, France, mai 2010, Wikimédia.

Ent’ deux joints, il a ben fait quequ’chose : Jean Albert Grégoire et ses magnifiques automobiles, Partie 2

 Un exemplaire de l’automobile électrique française CGE-Tudor. C. Faroux, « Un progrès considérable de la voitures électrique. » La Vie automobile, 25 septembre 1941, 284.

Ent’ deux joints, il a ben fait quequ’chose : Jean Albert Grégoire et ses magnifiques automobiles, Partie 1

Le seul et unique exemplaire de l’avion de ligne à long rayon d’action italien Breda Zappata BZ 308. Jacques Gambu. « Breda Zappata BZ 308. » Aviation Magazine, 1er septembre 1951, 21.

Il Constellation italiano, une étoile méconnue du firmament aéronautique de l’Italie : L’avion de ligne à long rayon d’action Breda Zappata BZ 308

Paul Fjeld dans la demeure familiale, Rosemère, Québec. Claude-Lyse Gagnon, « Parti avec $200 en poche – Un jeune Québécois a pu voir décoller Apollo 15. » La Patrie, 15 août 1971, 12.

Espace, frontière de l’infini vers laquelle voyage notre planète, la Terre; voici l’histoire de vie de Paul Fjeld, passionné d’espace et artiste depuis plus d’un demi-siècle

Publicité pour la lager Frontenac Blue Label de National Breweries Limited de Montréal, Québec. Anon., « Publicité – National Breweries Limited. » Le Samedi, 23 août 1941, 12.

La grande victime de la guerre de la bière de Montréal de 1925 : Frontenac Breweries Limited de Montréal, Québec

Un véhicule tout-terrain Karou Karou. Anon., « Opération Camping à Saint-Hilaire. » Photo-Journal, 26 juillet au 1er août 1971, 47.

Tout-terrain, tout-temps, tout-plaisir : Karou Incorporée de Drummondville, Québec, et le véhicule tout-terrain Karou

Le premier exemplaire de production de l’avion d’entraînement avancé Avro Anson de fabrication canadienne équipé d’un fuselage en contreplaqué moulé, lieu inconnu, 1943. MAEC, 23290.

Tout le monde ne sait pas que la fabrication d’aéronefs peut être un sport de contact : Clarence Decatur Howe, Harvey Reginald MacMillan et la production d’avions d’entraînement avancé Avro Anson au Canada, Partie 2

Une paire d’avions d’entraînement avancé Avro Anson de fabrication canadienne utilisée par l’École de pilotage militaire no 10, Base de l’Aviation royale du Canada de Dauphin, près de Dauphin, Manitoba, 1943-44. MAEC, 27297.

Tout le monde ne sait pas que la fabrication d’aéronefs peut être un sport de contact : Clarence Decatur Howe, Harvey Reginald MacMillan et la production d’avions d’entraînement avancé Avro Anson au Canada, Partie 1

Le tout premier tramway électrique exploité par Telegraphen-Bau-Anstalt von Siemens & Halske, Berlin, Empire allemand. Anon., « The first electric railway in Berlin. » Canadian Illustrated News, 9 juillet 1881, 21.

Un tramway nommé Straßenbahn Groß-Lichterfelde, ou, Comment Telegraphen-Bau-Anstalt von Siemens & Halske met en service le premier tramway électrique au monde

L’auteur et pionnier canadien de l’aviation Frank Henry Ellis (au centre) avec les pionniers américains de l’aviation Frank Purdy Lahm (à gauche) et Will D. « Billy » Parker, président de Early Birds of Aviation Incorporated, Los Angeles, Californie. Robert Francis, « Early Birds ». Sunday Sun Magazine, 28 juillet 1951, 5.

Si nous avons vu plus loin, c’est en montant sur les épaules d’un géant : Frank Henry Ellis et Canada’s Flying Heritage

Publicité montrant un tracteur italien SAME Buffalo. Anon., « Publicité – Les Entreprises Biasotto & Hardy (Canada) Incorporée. » Le Bulletin des agriculteurs, juillet 1981, 26.

Ils étaient tous pareils, frères l’un de l’autre : Francesco Cassani, Eugenio Gabriele Cassani et la Società Accomandita Motori Endotermici (SAME)

Un Canadair North Star de British Overseas Airways Corporation, London Airport, Heathrow, Angleterre, septembre 1954. Wikimédia.

Le tour du monde en 80 heures : Quelques pages sur le Canadair North Star, partie 2

Le prototype du Canada North Star, 1946. Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, KM-08329

Le tour du monde en 80 heures : Quelques pages sur le Canadair North Star, partie 1

Une annonce publicitaire pour une faucheuse fabriquée par La Machine Agricole Nationale Limitée de Montmagny, Québec. Anon., « Publicité – La Machine Agricole Nationale Limitée. » Le Bulletin des agriculteurs, 11 juin 1921, 556.

Faites que personne n’oublie que, pendant un moment bref et éclatant, il y a eu La Machine Agricole Nationale Limitée de Montmagny, Québec

La civière Folland / Hawker Siddeley Hoverstretcher en action. Anon., « Airborne comfort. » The Calgary Herald, 9 juin 1961, 19.

Développer le germe d’une idée: Maurice Joseph Brennan et ses aéroglisseurs

Des mères et enfants prêtes à monter à bord d’un des avions de ligne Douglas DC-3 convertis en Nurseryliner par United Air Lines Incorporated, San Francisco, Californie, avril ou mai 1946. Anon., « Service aérien pour bébés. » Photo-Journal, 20 juin 1946, 12.

Asseyez-vous, détendez-vous et profitez du voyage – Des bébés dans l’avion : United Air Lines Incorporated et son service Nurseryliner

L’ingénieur et astronome amateur canadien James Hargreaves avec un instrument qu’il a fabriqué lui-même. Jean Taillefer, « Un voyage de 180 jours au Soudan, en Afrique; une expérience astronomique de 180 secondes. » Le Droit, 16 juin 1951, 13.

« Un savant d’Ottawa fait un sacrifice pour la science: » L’ingénieur et astronome amateur canadien James Hargreaves et ses voyages autour du globe

Le prototype de l’avion de brousse Fairchild F-11 Husky peu avant son premier vol, juin 1946, Musée de l’aviation et de l’espace du Canada KM-05311.

Chien-chien, tu es doué, très doué, mais tant que le rongeur sera dans le métier, tu ne seras jamais que le second : La brève mais longue histoire de l’avion de brousse Fairchild F-11 Husky

Un dessin écorché de l’avion de brousse canadien Fleet Modèle 50 Freighter. Anon., « Fleet’s Trainer and Transport. » Aviation, mai 1941, 61.

Il aurait pu (et dû?) être un des grands : L’avion de brousse canadien Fleet Modèle 50 Freighter

Wilfrid-Henri Perron. Claude Asselin, « Une encyclopédie québécoise pour les horticulteurs. » Photo-Journal, 3 au 9 mai 1971, 12.

Chez Perron, tout est bon : Un géant de l’horticulture québécoise et canadienne, Wilfrid-Henri Perron (1897-1977)

Le cyclecar / vélomobile / vélocar / automouche à pédales et / ou moteur auxiliaire Le Dauphin. Edmond Massip, « Un cyclecar à pédales et moteur auxiliaire. » La Vie automobile, 25 mai 1941, 153.

Le cyclecar / vélomobile / vélocar / automouche à pédales et / ou moteur auxiliaire Le Dauphin : Une solution (extrême?) à la pénurie de carburant à Paris au cours de l’occupation allemande pendant la Seconde Guerre mondiale

L’autogire Pitcairn PCA-2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada lors de sa grande tournée aux États-Unis, alors qu’il appartient à Sealed Power Corporation. Anon. « Pohled na Ciervovu autogiro za letu. » Letectvi, novembre 1932, 310.

« ’Moulin à vent volant’ ici mercredi » : Le grand périple de Donald Walker et du Pitcairn PCA-2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, partie 2

L’autogire Pitcairn PCA-2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada au moment où il appartenait à Standard Oil Company of New York. Anon., « Publicité – Standard Oil Company of New York. » Aviation, mai 1931, 22.

« ‘Moulin à vent volant’ ici mercredi » : Le grand périple de Donald Walker et du Pitcairn PCA-2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, partie 1

Une annonce publicitaire sobre et sans fioriture d’Elzéar Fortier Limitée de Québec, Québec. Anon., « Publicité – Elzéar Fortier Limitée. » L’Action catholique, 8 avril 1946, 9.

C’était un malin: Elzéar Fortier et la production de boissons gazeuses à Québec, Québec

Youri Alekseïevitch Gagarine et Charles Augustus Lindbergh. La légende de ces photographies mentionne la ressemblance frappante entre ces personnes importantes du monde de l’astronautique et de l’aéronautique. Anon., « Lancement du premier homme dans l’espace – Comment se sont déroulés les événements en Union soviétique. » La Tribune, 13 avril 1961, 24.

C’était aussi un petit pas pour un homme, un pas de géant pour l’humanité : Le vol dans l’espace de Youri Alekseïevitch Gagarine dans la presse francophone québécoise, 12-15 avril 1961, partie 2

Le major Youri Alekseïevitch Gagarine au cours de sa visite à Helsinki, Finlande, juillet 1961. Wikimédia.

C’était aussi un petit pas pour un homme, un pas de géant pour l’humanité : Le vol dans l’espace de Youri Alekseïevitch Gagarine dans la presse francophone québécoise, 12-15 avril 1961, partie 1

Claire Wallace, animatrice de radio de Canadian Broadcasting Corporation interviewant Diana Jocelyn Dudley, ingénieure en aménagement intérieur de Trans-Canada Air Lines, janvier 1946. Anon. « Air Transportation – Radio Broadcast over Niagara. » Canadian Transportation, avril 1946, 200.

Pas un endroit pour une dame?! Baliverne! : Diana Jocelyn Dudley et Janet Elizabeth Lowe, les premiers ingénieurs en aménagement intérieur des Lignes aériennes Trans-Canada

Peter Müller aux commandes [sic] du Pedroplan, Berlin, Allemagne, mars 1931. Anon., « Cologne contre Marseille – Le mystère du ‘Pédroplan.’ [sic] » Les Ailes, 2 avril 1931, 14.

Je veux faire voler ma bicyclette, je veux faire voler mon cerf-volant : Peter Müller et le Pedroplan

L’aéroglisseur Phillips Saucercraft, Mount Hope, Ontario. Anon., « Flying saucer crack-up. » The Calgary Herald, 2 mars 1961, 1.

Un ONVI (Objet non volant identifié) des plus intrigants : L’aéroglisseur Phillips Saucercraft

La Dre Ann Elizabeth Noelle Grace s’occupant d’un de ses patients, Montreal General Hospital, Montréal, Québec. Claude Adams, « An eye-opener for our reporter – Team of women doctors shatters Ben Casey myth. » The Gazette, 3 mars 1971, 31.

Briser le mythe de Ben Casey et James Kildare : La première femme chirurgien pédiatrique du Canada, la Dre Ann Elizabeth Noelle Grace

Une publicité de Langlais & Frère Incorporée de Québec, Québec, vantant les mérites du tracteur Zetor 25. Anon. « Publicité – Langlais & Frère Incorporée. » L’Action catholique, 3 mars 1951, 14.

De leurs épées, ils forgeront des socs de charrue; ou, Un bref regard sur la société d’état tchèque Zbrojovka Brno Národní Podnik

 Quelques personnalités présentes lors l’inauguration de l’École d’avionnerie de Cartierville, Cartierville, Québec, 3 mars 1941. Anon., « À l’inauguration de l’École d’avionnerie de Cartierville. » La Presse, 4 mars 1941, 19.

Une réalisation magnifique, pleine de promesses d’avenir, balayée par l’esprit étroit de Maurice Le Noblet Duplessis : L’École d’avionnerie de Cartierville

La présentation du premier Boeing Modèle 747 d’Air Canada à l’Aéroport international de Montréal-Dorval, Dorval, Québec. Anon., « Des milliers de personnes ont vu le géant des airs. » La Presse, 22 mars 1971, A 1.

66 327 personnes ne peuvent pas avoir tort, mais elles peuvent avoir froid : La présentation du premier Boeing Modèle 747 d’Air Canada à l’Aéroport international de Montréal-Dorval

 Le Fokker D.VII du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, mars 2019. MAEC.

Un des grands aéronefs de combat du 20ème siècle et un des nombreux joyaux d’un des plus remarquables musées de l’aviation et de l’espace de la planète Terre : Le Fokker D.VII et l’avion du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada

Une publicité de Équipements Ascot Incorporée de Saint-Élie-d’Orford, Québec, vantant les mérites du tracteur UTB U530. Anon. « Publicité – Équipements Ascot Incorporée. » Le Bulletin des agriculteurs, février 1981, 28.

De leurs ailes, ils forgeront des socs de charrue; ou, Un bref regard sur la société d’état roumaine Uzina Tractorul Braşov

Un dessin éditorial mettant en lumière le lancement de la sonde planétaire soviétique Venera 1 en février 1961. Edmund Alexander Sebestyen, « To Venus With Love. » Saskatoon Star-Phoenix, 14 février 1961, 4.

Essayer de lever les voiles sous lesquels Vénus se cachait de notre regard : La saga de la sonde planétaire soviétique Venera 1

Un Jacobs Jaycopter au repos, Edmonton, Alberta. Lyn Harrington, « Cutting helicopter training cost. » Canadian Aviation, février 1961, 20.

Un simulateur d’hélicoptère avec une différence : il vole – Le Jacobs Jaycopter canadien

Dessin éditorial montrant le roi Neptune offrant sa couronne à l’équipage du English Electric Canberra qui traverse l’Océan Atlantique en février 1951. Charles R. Knight, « Ready to Abdicate. » The Windsor Daily Star, 22 février 1951, 4.

Quelques milliers de mots sur le English Electric Canberra / Martin B-57 Canberra et le petit rôle joué par Canadair Limited dans son histoire

Le premier exemplaire de série de l’hélicoptère Piasecki HUP Retriever. Anon., « News Picture Highlights. » Aviation Week, 15 janvier 1951, 9.

« Shoe, » Retriever, « Hupmobile » ou Army Mule – un HUP sous tout autre nom est encore un HUP : Les hélicoptères Piasecki HUP Retriever et H-25 Army Mule, et le HUP du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada

Une vue du barrage de Warsak, nord du Pakistan occidental. Anon., « Inauguration du barrage de Warsak. » Le Droit, 27 janvier 1961, 12.

Franchement, ma chère / mon cher, nous avons donné un barrage : Le Canada et le barrage de Warsak au Pakistan

Un des premiers de Havilland Canada Chipmunk importés au Royaume-Uni. Anon., « De Havilland [Canada] DHC-1 ‘Chipmunk.’ » Aviation Magazine, 1er janvier 1951, couverture.

Un Tamias striatus gambadant dans les nuages : Le de Havilland Canada Chipmunk

Le 5ème de Havilland Canada AC-1 Caribou de présérie. Larry Booda, “Aeronautical Engineering – Aviation Week Pilot Report – STOL Caribou Calls for Special Handling.” Aviation Week and Space Technology, 23 janvier 1961, 56.

Un camion volant qui a donné de la mobilité aux soldats de l’ère atomique : Le de Havilland Canada Caribou

La voiture lunaire Oberth telle qu’imaginée en 1960. I.M. Levitt, « Le problème du transport sur la Lune. » L’Action catholique, 10 juillet 1960, 5.

Je ne suis tout simplement pas sûr que ce véhicule a été bien pensé : La voiture lunaire du pionnier de l’astronautique Hermann Julius Oberth

La Ferrari 512 Pininfarina Modulo, en montre lors de l’édition 1971 du Salon international de l’Auto de Montréal, Montréal, Québec. Jean D. Legault, « Une première mondiale et 12 continentales. » La Patrie, 17 janvier 1971, 31.

Une des automobiles de rêve les plus célèbres de tous les temps : La Ferrari 512 Pininfarina Modulo

Publicité pour le moins sobre pour la bière d’épinette La Canadienne de F.A. Fluet Enregistré. Anon., « Publicité – F.A. Fluet Enregistré. » L’Action catholique, 4 janvier 1951, 5.

Une petite bière qui n’était pas de la petite bière : F.A. Fluet Enregistré de Québec, Québec, et la bière d’épinette La Canadienne

Une scène croquée lors du lancement du Jeu de l’électricité par Éditions Héritage Incorporée, Montréal, Québec, 6 novembre 1968. Anon., « –. » Le Devoir, 6 novembre 1968, 11.

A B C Abécédaire. Viens avec nous autour de la Terre : L’émission de télévision éducative pour enfants Tour de Terre de la Société Radio-Canada

Une publicité vantant les mérites du Vin St.Georges. Anon. « Publicité – T.G. Bright & Company Limited. » Le Bulletin des agriculteurs, décembre 1940, 2.

Pour régaler la famille pendant les Fêtes, n’oubliez pas le Vin St.Georges : Un bref regard sur un pionnier de l’industrie vinicole canadienne, T.G. Bright & Company Limited

Le Bell Modèle 47 utilisé par Airspray Limited, Ontario. Anon., “Helicopter – Down on the Farm.” Canadian Aviation, septembre 1947, 25.

Dans la ferme de Mathurin, hiya hiya ho. Il y a des centaines de Bell, hiya hiya ho : Quelques mots de plus sur les premiers jours de l’aviation agricole au Canada

Une publicité annonçant la mise en service de l’avion de ligne court et moyen-courriers Vickers Vanguard des Lignes aériennes Trans-Canada. Anon., « Publicité – Trans-Canada Air Lines. » Maclean’s, 3 décembre 1960, 8-9.

Du « gros Viscount » au Merchantman : Le voyage abrégé du Vickers Vanguard

Le Convair 580 utilisé par le Centre canadien de télédétection de Ressources naturelles Canada, Aéroport international MacDonald-Cartier d’Ottawa, Ottawa, Ontario, septembre 2001. Wikipédia.

C’était un des grands : L’aéronef de télédétection Convair 580 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada

Un aéronef agricole Air Tractor AT-502 utilisé par Southeastern Aerial Crop Service Incorporated, Belle Glade State Municipal Airport, Floride, juin 2013. Wikipédia.

Des ailes au-dessus du monde : Le turbopropulseur et turbomoteur PT6, Partie 2

Le premier turbopropulseur conçu au Canada, le PT6 de Canadian Pratt & Whitney Aircraft Company Limited. Anon., « Publicité – Canadian Pratt & Whitney Aircraft Company Limited. » The Gazette, 14 novembre 1960, 24.

Des ailes au-dessus du monde : Le turbopropulseur et turbomoteur PT6, Partie 1

Les 14 volumes de l’édition 1960 de L’Encyclopédie de la jeunesse de Grolier Limitée. Anon., « Publicité - Grolier Limitée. » La Tribune - Perspectives, 12 novembre 1960, 31.

Un livre de connaissance : L’Encyclopédie de la Jeunesse

Roxana Hartley et M. Jolie / lord Robert Brummel, les principaux protagonistes de la pièce américaine de 1930 Dancing Partner, Belasco Theatre, New York, New York. Anon., « The Stage Goes ‘Air-minded’. » Scientific American, novembre 1930, 355.

Une pièce dans un avion, et un avion dans une pièce : Dancing Partner, 1930

Le Supermarine Spitfire exposé pour le 20ème anniversaire de la bataille d’Angleterre, Colline du Parlement, Ottawa, Ontario, 18 septembre 1940. Anon., « News roundup – Battle of Britain Ceremonies. » Aircraft, novembre 1960, 58.

Un cadeau pour le ciel : Le Supermarine Spitfire Mk IIb du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada

Certains des montages du Musée national de l’air, Aéroport de Uplands, Ottawa, Ontario, début des années 1960. MAEC, numéro de négatif 4446.

Bonne fête à nous. Bonne fête à nous. Bonne fête cher MAEC. Bonne fête à nous : Quelques mots sur les premiers jours, semaines, mois et années du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada

Une reproduction (grandeur nature?) un tant soit peu inexacte de Spoutnik I en montre à Prague, Tchécoslovaquie, dans le cadre d’une exposition commémorant le 40ème anniversaire de la Grande révolution socialiste d’octobre. Anon., « Modèle du satellite russe. » Le Nouvelliste, 10 octobre 1957, 1.

Le Québec / Canada et le satellite le plus simple, le vaisseau spatial PS-1, autrement dit Spoutnik I : Un survol de ce qui se publie dans la presse québécoise francophone entre les 5 et 12 octobre 1957, Partie 4

Pierre Dorion, « L’ère des émotions. » La Presse, 9 octobre 1957, 4.

Le Québec / Canada et le satellite le plus simple, le vaisseau spatial PS-1, autrement dit Spoutnik I : Un survol de ce qui se publie dans la presse québécoise francophone entre les 5 et 12 octobre 1957, Partie 3

Le satellite le plus simple ou vaisseau spatial PS-1, autrement dit Spoutnik I, un peu avant son lancement, septembre 1957. NASA.

Le Québec / Canada et le satellite le plus simple, le vaisseau spatial PS-1, autrement dit Spoutnik I : Un survol de ce qui se publie dans la presse québécoise francophone entre les 5 et 12 octobre 1957, partie 2

Un dessin un tant soit peu inexact du vaisseau spatial PS-1, autrement dit Spoutnik I, en orbite autour de la Terre. Anon., « Fusées et satellites seraient invincibles. » Le Soleil, 8 octobre 1957, 1.

Le Québec / Canada et le satellite le plus simple, le vaisseau spatial PS-1, autrement dit Spoutnik I : Un survol de ce qui se publie dans la presse québécoise francophone entre les 5 et 12 octobre 1957, Partie 1

Eldon Douglas McEarchern travaillant sur son Piper PA-18 Super Cub agricole sous le regard d’un de ses fils, Carman, Manitoba. Anon., « Les fermiers volants de l’ouest canadien ». Le Samedi, 22 octobre 1960, 25.

Oh, quel matin magnifique! Oh, quelle journée magnifique! : Un aperçu de la première décennie du mouvement des fermiers volants au Canada

 Une des batteuses remorquées conçues et fabriquées par Dion & Frère Incorporée de Sainte-Thérèse-de-Blainville, Québec. Anon., « Publicité – Dion & Frère Incorporée. » Le Bulletin des agriculteurs, septembre 1940, 47.

Un siècle de technologie et d’innovation agricoles dans la région québécoise des Laurentides : De Dion & Frère à Dion-AG

Jani Moreau, agente de bord, telle qu’imaginée par l’artiste Nicole Lapointe. Anon., « Un nouvel illustré : Jani hôtesse de l’air. » Claire, 15 septembre 1960, couverture.

Elle n’est pas une serveuse dans le ciel : Jani hôtesse de l’air et quelques mots sur la présence des agentes de bord dans la culture populaire

Une furieuse Clara déchiquetant le biplan Curtiss piloté par George F. Russell, Dongan Hills, New York, 10 septembre 1910. Anon., "La vache et l’aéroplane". Le Petit Journal - Supplément illustrée, 25 septembre 1910, 312.

Une rencontre rapprochée de type étrange et inhabituel, ou, Comment Clara la vache a rencontré un biplan Curtiss à Staten Island, New York, New York

Le premier avion de ligne Douglas DC-3 livré aux Lignes aériennes Trans-Canada, Aéroport de Montréal (Dorval), Dorval, Québec, vers 1945-48. MAEC, numéro de négatif 25515

Un rutilant exemplaire d’un des aéronefs les plus célèbres et importants du 20ème siècle : Le Douglas DC-3 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada

Le premier avion léger /privé Fleet Modèle 80 Canuck, Fort Erie, Ontario, mars 1946. Cet aéronef appartient à Sturgeon Air Services Limited de Fredericton, Nouveau-Brunswick. MAEC, négatif numéro KM-07962

Enseigner à voler car il a des ailes : L’avion léger / privé canadien Fleet Modèle 80 Canuck

Un Zenair CH-701 fabriqué sous licence par Czech Aircraft Works Společnost s ručenim omezeným, Oshkosh, Wisconsin, juillet 2011. Wikimédia.

Née dans un garage, mais maintenant le monde entier est un marché pour Zenair Limited : Un coup d’œil sur les concepts de l’ère de la Guerre froide de Christophe Jean Heintz, partie 2

Christophe Jean Heintz aux commandes du Heintz Zenith. Anon., « –. » Aviation magazine international, 15 au 31 août 1970, couverture.

Née dans un garage, mais maintenant le monde entier est un marché pour Zenair Limited : Un coup d’œil sur les concepts de l’ère de la Guerre froide de Christophe Jean Heintz, partie 1

Le satellite-ballon Echo 1A au cours d’un essai de gonflement, 1960. National Aeronautics and Space Administration.

Les merveilleux ballons en plomb de Claude Williams Coffee, Junior, Walter Edward Bressette et William J. O’Sullivan : Les satellites-ballons Echo au Québec et ailleurs, Partie 2

Le satellite-ballon Echo 1A filant dans le ciel, au-dessus de l’École normale de Chicoutimi, Chicoutimi, Québec. Dominique Lapointe, « Une visite qui nous est devenue familière – L’Écho 1 continue à se promener tous les soirs sur notre région. » Le Progrès du Saguenay, 27 août 1960, 7.

Les merveilleux ballons en plomb de Claude Williams Coffee, Junior, Walter Edward Bressette et William J. O’Sullivan : Les satellites-ballons Echo au Québec et ailleurs, Partie 1

Un des Found FBA-2 de Georgian Bay Airways Limited. H.L. « Des US et du Canada 2 formules d’avions légers – 1 Le Found ‘Flying Truck.’ » Aviation magazine international, 1er juillet 1964, 39.

Un petit camion volant ontarien déménagé au pays des kiwis : L’avion de brousse Found FBA-2

Le seul et unique Cushioncraft CC1, initialement connu sous le nom de Britten-Norman BN-1 Cushioncraft / CC1 Cushioncraft. Anon., "News Digest - New Cushion-rider." Aviation canadienne, août 1960, 46.

À l’époque, ça semblait être une bonne idée : Les bananes du Cameroun britannique et l’aéroglisseur Cushioncraft CC1

Le seul et unique Canadian Car & Foundry CBY-3 Loadmaster. MAEC, numéro de négatif 17826.

Les huit vies d’un wagon de marchandises volant unique, le Canadian Car & Foundry CBY-3 Loadmaster

La fusée atomique / nucléaire pulsée imaginée par l’illustrateur américain bien connu Francis Xavier Theban Tinsley. Anon., « Publicité – American Bosch Arma Corporation. » Aviation Week, 4 juillet 1960, 13.

Un méchant souffle du passé : Francis Xavier Theban Tinsley et la fusée atomique / nucléaire pulsée

Walter Thomas Leavens examinant les coupes qui entraînent l’agitateur monté à l’intérieur de la trémie de l’avion léger / privé Piper J-5 Cub Cruiser utilisé par Leavens Brothers Air Services Limited. Anon., « Crop Dusting with a Cub. » Canadian Aviation, juillet 1945, 50.

Désherbez-les et récoltez : Leavens Brothers Air Services Limited et les premiers jours de l’aviation agricole en Ontario / au Canada après la Seconde Guerre mondiale

L’Aviateur du Pacifique.

Un roman d’anticipation et de guerre de la Belle Époque : L’Aviateur du Pacifique du capitaine Danrit (Émile Driant)

Le planeur à réaction Fouga CM.8 Cyclone / Sylphe. Anon., “–.” Aviation Magazine, 1er juin 1950, couverture.

J’aime les nuages… les nuages qui passent… là-bas… là-bas… les merveilleux nuages! Les Établissements Fouga et Compagnie et ses planeurs à réaction

La voiturette Sharp / Bond Minicar Mk A présentée à la population de Montréal, Québec, par le concessionnaire Budd & Dyer Limited. Anon., « Jusqu’à 110 milles au gallon. » La Presse, 10 juin 1950, 26.

Une voiturette conçue à une époque d’austérité : La Bond Minicar

Un hydroplaneur Koser / Koser-Hrovat KB-3 Jadran, mer Adriatique, été 1949. En arrière-plan, le navire à passagères et passagers côtier Dalmacija de la firme maritime d’état Jadranska Linijska Providba. Anon., « Gliding and sailplanes in Yugoslavia. » Sailplane and Glider, juin 1950, 125.

Au-dessus des étangs, au-dessus des vallées : L’hydroplaneur Koser / Koser-Hrovat KB-3 Jadran

Le tsar Nikolaï II, à gauche, les mains derrière le dos, regardant les aéroplanes qui ont participé à la Sankt-Peterburgskaya aviatsionnaya nedelya, Saint-Pétersbourg, Empire russe. Anon., « Nouvelles sportives – Le tsar chez les aviateurs. » La Revue aérienne, 10 juin 1910, 349.

Miracle des miracles, regardez ce que l’avion a ramené : La Sankt-Peterburgskaya aviatsionnaya nedelya

Le Danois Jan Bo Kristensen effectuant un atterrissage de précision avec un parachute-voile lors d’une compétition nationale organisée par la Dansk Faldskærms Union, Randers, Danemark, août 2005. Wikipédia.

L’imagination est le plus haut cerf-volant que l’on puisse faire voler : La vie et l’époque d’un maître du vent, Domina Cléophas Jalbert, Partie 2

Domina Cléophas Jalbert, à gauche, et Hamnett Pitzer Munger avec un des ballons cerfs-volants fabriqués par Jalbert Aerological Laboratory Incorporated pour étudier la pollution atmosphérique. Anon., « Ce que devient un jouet d’enfant. » La Presse, 23 mai 1950, 3.

L’imagination est le plus haut cerf-volant que l’on puisse faire voler : La vie et l’époque d’un maître du vent, Domina Cléophas Jalbert, Partie 1

Deux des jeunes employés de Ontario Model Aircraft Company au travail, Toronto, Ontario. Arthur Lowe, « Kindergarten of the Air. » Maclean’s, 1er mai 1940, 24.

Une maternelle pour l’ère de l’aviation : Ontario Model Aircraft Company / Model Craft Hobbies Limited et quelques autres mots sur l’aéromodélisme au Canada avant et pendant la Seconde Guerre mondiale

Le seul et unique Monte-Copter Modèle 15 Triphibian, Seattle, Washington. Anon., « World Air News. » Air Pictorial, mai 1960, 167.

Le jour des triphibes : Monte-Copter Incorporated et l’hélicoptère Modèle 15 Triphibian

Le petit chéri de Vladislav Verner, le Verner W-01 Brouček. Anon., « Private Flying. » Flight International, 14 mai 1970, 806.

Malé letadlo a skvěly příběh / Un petit avion et une grande histoire : L’avion de construction amateur Verner W-01 Brouček

La caisse contenant le Blériot Type XI de Jean Versailles sur le camion hippomobile spécialement équipé de Shedden Forwarding Company Limited, Montréal, Québec. Anon., « Le premier aéroplane à Montréal. » La Presse, 28 mai 1910, 12.

Montréal a son premier aéroplane : Le Blériot Type XI de Jean Versailles et William Carruthers

Personnel au sol chargeant des approvisionnements dans la soute à bombes d'un Avro Lancaster du 514e escadron de la Royal Air Force au cours de l'opération Manna, le largage de nourriture à la population néerlandaise affamée.

Il leur donna le pain du ciel à manger : Quelques mots sur l'opération Manna et l'opération Chowdown, avril-mai 1945

Un garçon et des éléments d’un jouet exposé à l’édition de 1950 de la foire des jouets de New York, New York : Stefan Olsen et la chambre à nuages du Gilbert Atomic Energy Lab. Anon., “Initiation atomique.” Photo-Journal, 13 avril 1950, 20.

Un des jouets les plus dangereux de tous les temps : Le Gilbert Atomic Energy Lab

Un des Aeronautica Macchi AL-60 utilisés au Canada par Northwest Industries Limited pour intéresser des clients potentiels, Edmonton, Alberta. Anon., « Aeronews. » Air Progress, juillet 1969, 15.

Un L-402 sous tout autre nom est encore un L-402 – ou un AL-60 ou un Conestoga ou un Ranger ou un Santa Maria ou un Trojan, à moins qu’il ne soit un Kudu, Partie 2

Le premier prototype du Lockheed L-402. Anon., « Le Lockheed-Azcarate C.L.-402. » Les Ailes, 16 avril 1960, 1.

Un L-402 sous tout autre nom est encore un L-402 – ou un AL-60 ou un Conestoga ou un Ranger ou un Santa Maria ou un Trojan, à moins qu’il ne soit un Kudu, Partie 1

Une des publicités publiées dans des quotidiens québécois pour promouvoir la nouvelle automobile Glas Goggomobil T700. Anon., « Publicité - Eugène Roy Limitée. » La Presse, 1er avril 1960, 39.

À la recherche de… la Glas Isar / Isard T700, une automobile précédemment connue sous le nom de Goggomobil T700

Le traîneau aérien conçu et fabriqué par Kenneth J. Richards. Anon., « Traîneau moderne. » L’Auto, 9 février 1940, 1.

La semaine mystérieuse magique attend pour vous emporter, ou, Est-ce que quelqu’un dans la blogosphère sait quoi que ce soit sur le traîneau aérien Richards ou le traîneau aérien Lawrence?

De gauche à droite, Boum-Boum, Ba-Ba et Bi-Bi, en d’autres mots les Lunours. Anon., “Toute la vérité sur la soucoupe de St-Bruno –Un coup monté de $100,000.” Photo-Journal, 23 février au 1er mars 1970, 1.

Nous sommes Bi-Bi Ba-Ba Boum-Boum: La saga des Lunours

Un exemplaire du turboréacteur suédois STAL Skuten en montre, sous bonne garde, à Stockholm, Suède. Anon., « Production – First Swedish Turbojet Revealed. » Aviation Week, 27 mars 1950, 36.

Un conte de deux moteurs, ou quatre, ou même six : Les STAL Skuten, Dovern et Glan

Frances Marian « Poppy » Northcutt dans une des expositions sur l’espace du Palais de la Découverte, un centre des sciences à Paris, France, pas au Texas. Anon., « Astronautique – ‘Poppy’ à Paris. » Aviation Magazine International, 15 au 31 mars 1970, 42.

Ses parents trouvent qu’elle fait un métier passionnant, mais ils aimeraient qu’elle se marie : Frances Marian « Poppy » Northcutt à la NASA et au-delà

Turi Widerøe parlant avec une agente de bord dans un avion de ligne à réaction Sud Aviation SE 210 Caravelle de Scandinavian Airlines System Denmark-Norway-Sweden. J.-C Fortin. « SAS ne compte qu’une seule femme pilote de ligne : Turi Wideroe. » Le Petit Journal, 1er mars 1970, 28.

Turi Widerøe est passée en coup de vent à Montréal l’autre jour

Quelques aspects de la quatrième exposition d’automobiles et de bateaux de Montréal. Anon., « Ouverture de l’exposition d’automobiles et de yachts. » La Presse, 28 mars 1910, 1.

Une semaine au Coliseum : L’exposition d’automobiles et de bateaux de Montréal de 1910 et les premiers aéroplanes en exposition au Québec / Canada

La docteure Margaret Beznak avec un de ses sujets de recherche. Elizabeth Motherwell, « Elle succède à son mari à la tête de la faculté de physiologie de l’U. d’Ottawa. » La Tribune, 3 février 1960, 17.

Un exemple stellaire de la contribution faite par les gens qui choisissent le Canada : Quelques mots sur la vie et l’époque de la docteure Margaret Beznak

Les sœurs Maria Cleofas et Maria Innocenza des Sœurs franciscaines de Saint-Louis de Gonzague à bord d’un avion léger / privé AVIA / Lombardi FL.3 au cours de leur formation de pilote, Turin, Italie. Anon., « Le ciel leur appartient. » Le Soleil / Perspectives, 20 février 1960, 12.

Sœur Bertrille n’est pas la première sœur volante, ou, Parlons des sœurs Maria Cleofas et Maria Innocenza – et de sœur Mary Aquinas aussi

Le Bellanca CH-300 Pacemaker du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada à Ottawa, Ontario, vers 2007. Wikipédia.

Si loin de chez lui : Le Bellanca CH-300 Pacemaker du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, Partie 2

Un Bellanca CH-300 Pacemaker utilisé par Alaska Coastal Airlines, Incorporated, Juneau, Alaska. Cet hydravion à flotteurs est maintenant exposé au Musée de l’aviation et de l’espace du Canada à Ottawa, Ontario. Keith Petrich, “Bush Flying Is Dead.” Air Trails Pictorial, février 1945, 26.

Si loin de chez lui : Le Bellanca CH-300 Pacemaker du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, Partie 1

Une voiturette New-Map / Rolux Baby typique. Anon., « La voiturette ‘Baby VB-60’ à Québec au milieu de février. » L’Action catholique, 14 janvier 1950, 12.

La voiture qui est plus économique que le tramway : La voiturette New-Map / Rolux Baby

Charles Aznavour avec le véhicule tout-terrain Beehoo / Magna Amphicat qu’il examine, Montréal, Québec. Sa fille Seda est près de lui. Suzanne Piuze, « Aznavour m’a dit… » La Patrie, 25 janvier 1970, 20.

J’aimerais en posséder une; son mon bateau, ce serait épatant : Le voyage hors route du Beehoo / Magna Amphicat

L’habitat lunaire imaginé par Rocco G. « Roy » Scarfo. Anon., « C’est écrit dans le ciel. » La Patrie du dimanche, 24 janvier 1960, 6.

Il était un des grands : Rocco G. « Roy » Scarfo, peintre de l’espace, et le monde au-delà de demain

L’avion de ligne General Development / Christmas, près de New York, New York. Anon., “Potężny łoskot silników powietrznych gigantów powitał rok nowy.” Lot Polski, janvier 1930, 1.

Le puissant rugissement des moteurs des géants des airs saluent la nouvelle année : La troublante saga de William Wallace Whitney Christmas

Quelques actrices et acteurs ayant contribué au succès de la série télévisée de science-fiction québécoise Opération-Mystère, 1958. De gauche à droite, Luce Guilbeault, Marcel Cabay, Georges Groulx, Louise Marleau et Hervé Brousseau. Société Radio-Canada.

Opération-Mystère, une série télévisée qui répond aux goûts de la génération des spoutniks et des soucoupes volantes

Le pont en aluminium d’Arvida, Arvida / Saguenay, Québec. Anon., « Premier pont tout en aluminium. » Le Petit Journal, 4 décembre 1949, 51.

Sur le pont d’Arvida, un site historique national de génie civil, on y danse, on y danse

Le Piaggio P-7 au repos dans son élément. Joaquin de la Llave y Sierra, « Antes y después de la Copa Schneider. » Aérea, décembre 1929, 8.

Si vous ne réussissez pas du premier coup, essayez, essayez, essayez, essayez, essayez encore : L’étrange histoire du Piaggio P-7

Une affiche du film de science-fiction japonais Uchû Daisensô

Uchû Daisensô, ou, Une bataille dans l’espace extra-atmosphérique en provenance du pays du Soleil levant

La toute première automobile / voiturette Zar Zar-Car, Windsor, Ontario. Arthur Prévost, « La première auto entièrement canadienne bientôt en vente! » Le Petit Journal, 25 octobre 1959, 67.

À la recherche d’une voiture canadienne : La Zar de toutes les Windsor

L’astrophysicienne soviétique Alla Genrikhovna Masevitch et sa fille, Natasha Josifovna Friedlander. Sam Schecter, “Deux Canadiens en Russie – Rencontres avec l’élite russe.” Le Soleil / Perspectives, 26 septembre 1959, 11.

Son nom est Masevitch, Alla Genrikhovna Masevitch

L’ornithoptère University of Toronto Institute for Aerospace Studies Great Flapper au cours d’essais, Malton, Ontario, 2005. http://www/ornithopter.net

Voler, comme dans un rêve : La saga du Great Flapper

Beth Ross posant pour un photographe alors qu’elle nettoie le fragment principal de la chondrite de Dresden devant le bureau de The Dresden News. Anon., “Adding lustre to meteor that startled a province.” Toronto Daily Star, 13 juillet 1939, 1.

L’art de la négociation en Ontario rural; ou, La triste histoire de la chondrite de Dresden

L’ingénieur canadien Owen Eugene Maynard avec une maquette du véhicule lanceur Convair Atlas surmonté d’une capsule spatiale McDonnell Mercury, 1962. Roger Nadeau, « Une foule de techniciens canadiens ont pris part au vol d’Apollo 11. » Le Petit Journal, 20 juillet 1969, 4.

Le petit gars de Sarnia qui a mis le premier humain sur la Lune

Le premier Taylor J.T.1 Monoplane, White Waltham, Angleterre. Anon., « Sport and Business. » Flight, 19 juin 1959, 839.

Tinker, Taylor, monoplan

Trois des interprètes du téléroman Amour, délices et cie, avec son concepteur, Joseph Louis Réal Giguère, Montréal, Québec. François Piazza, « Sur les ailes de Télé-Métropole – Amour, délices et cie s’envole. » Photo-journal, du 18 au 25 juin 1969, 44.

Amour, délices et cie

Un prototype du traîneau aérien Kamov Sever-2 dans son élément. Anon., « ’Mail Train’ to North. » The Gazette, 26 mars 1959, 2.

Oh quel plaisir de faire une promenade dans un Kamov Sever-2

La voiture concept SIMCA Fulgur. Aux commandes se trouve la parachutiste et mannequin française Colette Duval. Anon., « Actualités. » La Patrie du dimanche, 1er mars 1959, 2.

Elle est fulgur, fulgur, fulgur, fulgurable

La montgolfière Spirit of Canada. Peter Calamai, “Lots of hot air and a high old time.” Canadian, 26 août 1967, 14.

Ce merveilleux fou volant et sa drôle de machine

La section de route surveillée par le radar de vitesse de la Connecticut State Police, près de Glastonbury, Connecticut. Anon., “L’actualité en images – Pièges à comboys.” La Patrie, 16 février 1949, 14.

Les pièges à cowboys ne datent pas d’hier

Cecil George Armitage aux commandes d’un Aérodoo, rivière Richelieu, Québec, novembre 1968. Anon., « Et maintenant… l’Aérodoo. » Vallée de la Petite Nation, 30 janvier 1969, 15.

Le candidat mancunien; ou, comment flotter près du sol avec la plus grande facilité

Quelques membres de la Ligue des avions miniatures de Montréal en train d’examiner le modèle réduit radiocommandé alors en construction. Christian Verdon, « Avion-miniature contrôlé par la radio. » La Patrie, 7 janvier 1939, 44.

Une ligue à eux: L’histoire longtemps oubliée de la Ligue des avions miniatures de Montréal

Une affiche du film From the Earth to the Moon, la version originale anglaise de De la Terre à la Lune

Jules Gabriel Verne n’aurait pas été amusé : De la Terre à la Lune

Une image du générique de CF-RCK.

Une série télévisée captivante : CF-RCK, Partie 2

Les principaux comédiens de la série télévisée CF-RCK de la Société Radio-Canada, Yves Létourneau (à droite) et René Caron. Anon., « Une scène de CF-RCK avec René Caron et Yves Létourneau. » La semaine à Radio-Canada, du 2 au 8 janvier 1960, couverture.

Une série télévisée captivante : CF-RCK, Partie 1

Le chargement de Voo-Doo, le Waco Hadrian utilisé lors du premier vol transatlantique par un planeur de transport, Aéroport de Montréal (Dorval), Dorval, Québec, juin 1943. Anon., “Flying into focus”. Flying Aces, octobre 1943, 7.

C’est magnifique. C’est splendide. C’est inutile.

L’animateur de l’émission de télévision hebdomadaire Plein Ciel à droite, et son conseiller technique, le capitaine Marcel Everard. Anon., “Introduction à l’aviation.” La semaine à Radio-Canada, 29 novembre au 5 décembre 1958, 12.

Une émission de télévision que j’aurais aimé voir dans ma jeunesse

Envol du ballon à hydrogène qui emporte vers le ciel l’antenne de l’émetteur radio d’urgence américain BC-778, mieux connu sous le nom de « Gibson Girl. » Anon., « Gibson Girl to the rescue. » Flying Aces, septembre 1943, 30.

L’imitation est la plus belle forme de flatterie

The very first Pentecost Hoppi-Copter. Anon., “Have you seen?” Flying, September 1945, 67.

Une idée venue d’une époque où le ciel est la limite, Partie 2

A l’arrière, le Rohrbach Ro VIII Roland d’Iberia, Compañía Aérea de Transportes Sociedad anónima utilisé pour le vol Madrid-Barcelone du 14 décembre 1927. Anon., “Inauguración del nuevo servicio aéreo Madrid-Barcelona.” Aérea, octobre-décembre 1927, 33.

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