Alors que le monde, euh, alors que la roue tourne; Ou, Comment / pourquoi le SS Klondike, un cargo fluvial à roue arrière brièvement utilisé pour des croisières fluviales, est devenu un des 1 004 lieux historiques nationaux de Parcs Canada, partie 2
Bienvenue à nouveau, ami(e) lectrice ou lecteur! Comme je le pensais, rien de tel qu’un suspense pour encourager les visites de retour. Poursuivons-nous notre examen de la carrière du bateau fluvial à roue arrière SS Klondike? Bien pour vous.
Il va sans dire que les résidentes et résidents du terminus de la route empruntée par le SS Klondike, Dawson City, Territoire du Yukon, dont le nombre passe d’environ 750 à environ 500 lorsque le siège du gouvernement du Territoire du Yukon va à White Horse,… Territoire du Yukon, en avril 1953, espèrent que le projet proposé en 1954 par Canadian Pacific Airlines Limited, à savoir la transformation du bateau fluvial à roue arrière SS Klondike en navire de croisière, serait populaire. Cela compléterait certainement le flux plutôt faible de touristes venant de White Horse via une autoroute / route, ou de Fairbanks, Territoire de l’Alaska, via une route uniquement d’été.
Les résidentes et résidents de la ville ont rénové du mieux qu’elles et ils pouvaient un lieu de l’époque de la ruée vers l’or, le Auditorium Theatre, un lieu également connu sous le nom de Nugget Hall ou Palace Grand. De plus, une petite équipe rassemble lentement des artefacts afin d’ouvrir un musée.
Croiriez-vous qu’un groupe de résidentes et résidents prévoit s’habiller en costume d’époque et organiser un événement ruée vers l’or chaque fois que le SS Klondike se présenterait au quai? Avant même que le navire n’y arrive, une émission spéciale préparée par le personnel bénévole de la station de radio locale serait diffusée sur son système de sonorisation. Deux vétérans de la ruée vers l’or accueilleraient les touristes sur le quai et les escorteraient jusqu’aux anciennes voitures à cheval qui les emmèneraient au Nugget Hall.
Une fois sur place, les dits touristes recevraient 100 $ en faux pognon qui pourraient être utilisés sur divers appareils de jeu. Remarquez, il est également possible que le dit faux pognon devrait être acheté. Un seul dollar vous rapporterait 1 000 $ en argent de jeu. Et oui, de la musique de la fin des années 1890 jouerait en arrière-plan alors que vous perdriez tout.
Il est suggéré que le pognon gagné par les heureuses gagnantes et gagnants serait converti en or et… Euh, pas besoin de vous énerver, ami(e) lectrice ou lecteur cupide. Si vous aviez gagné 10 000 $ lors de votre virée au jeu, vous auriez reçu 10 $ en or, soit environ 9 grammes (0.3 once) de métal précieux, en d’autres mots une paire de sphères en or de 7.6 millimètres (0.3 pouce) de diamètre, en encore d’autres mots une paire de boucles d’oreilles.
Ce 10 $ correspondrait à environ 110 $ en devise canadienne de 2023. Compte tenu de la valeur actuelle de l’or, cette somme correspondrait à 1.3 gramme (0.045 once) de métal précieux, en d’autres mots une paire de sphères en or de 4 millimètres (0.15 pouce) de diamètre, en encore d’autres mots une paire de boucles d’oreilles nettement plus petites, mais revenons à notre histoire.
Une attraction qui, espère-t-on, intéresserait les touristes est la cabane du barde du Yukon, le poète et écrivain écossais canadien Robert William « Bob » Service, qui vit à Dawson City en 1908-09 et 1912. De fait, un plan est en cours pour transformer le poème narratif de 1907 de ce dernier, The Shooting of Dan McGrew, en une présentation jouée dans un théâtre de l’époque de la ruée vers l’or. McGrew, un homme dangereux en effet, et sa lumière d’amour Lou sont des personnages fictifs qui pourraient, je répète pourraient, être vaguement basés sur deux résidente et résident américains de Dawson City, le directeur de salle de danse Murray Eads et son épouse, une fille de salle de danse / entraîneuse nommée Lulu Mae Johnson.
Une autre attraction qui pourrait même s’avérer encore plus intéressante est la possibilité de chercher de l’or dans un des nombreux ruisseaux près de Dawson City, sous la supervision d’un vétéran de la ruée vers l’or.
Remarquez, il serait également possible de faire une descente dans les boutiques de souvenirs locales pour acheter des bijoux fabriqués avec de l’or et / ou de l’ivoire extraits localement. Si, si, de l’ivoire. Je ne plaisante pas. Il y avait, et il y a encore, des défenses de mastodonte et mammouth sous ces vertes collines! (Bonjour, EP!) Bien que de telles défenses aient été déterrées au début de la ruée vers l’or, le fait est que de gens des Premières Nations ont découvert ces gros objets bien avant cela, il y a bien plus de 13 000 ans en fait.
Un tel fait est et continuera d’être un rappel que le Canada est mon foyer en terre autochtone, en anglais my home on native land, si votre humble serviteur peut paraphraser la version de l’hymne national Ô Canada chantée en février 2023 par la compositrice / chanteuse / auteure / actrice canadienne Jully Black, née Jullyann Inderia Gordon Black, mais revenons à notre histoire.
Tout l’argent tiré des événements de la ruée vers l’or, ou Days of ‘98 comme on peut les appeler, en anglais, serait utilisé pour promouvoir Dawson City, avec une (petite?) partie destinée à l’acquisition d’artefacts pour le musée.
L’optimisme des Dawsoniennes et Dawsoniens semble fondé sur des faits. Voyez-vous, au moment où le SS Klondike commence son voyage inaugural, Canadian Pacific Airlines a déjà pris des réservations de quelques pays (Allemagne de l’Ouest, Espagne, États-Unis, France, Royaume-Uni). Croiriez-vous que 50 Brésiliennes et Brésiliens aisé(e)s occuperaient toutes les cabines lors d’un voyage en juillet?
Le voyage inaugural du SS Klondike, en juin 1954, comme nous le savons tous les deux, est couvert de manière très positive par Charles F.M. « Charlie » King, un correspondant permanent au quotidien The Vancouver Province de Vancouver, Colombie-Britannique. La chroniqueuse itinérante d’un autre quotidien de Vancouver, The Vancouver Sun, Penny Wise, dans la vraie vie Evelyn A. Caldwell, est tout aussi enthousiaste, sinon plus.
Étant donné que Canadian Pacific Airlines a transporté une pleine cabine de journalistes jusqu’à White Horse, probablement gratuitement, dans l’espoir de créer de bonnes vibrations, votre humble serviteur se demande si King et Wise / Caldwell font partie de ces quelques, ces heureux quelques, cette petite bande de frères et sœurs.
Et oui, quelques / plusieurs journaux américains mentionnent les Klondike Tours de Canadian Pacific Airlines durant les jours qui précèdent le voyage inaugural du SS Klondike. Des articles supplémentaires sur le navire et ses voyages paraissent en juillet 1954 et plus tard, ainsi qu’en 1955, dans des endroits aussi éloignés que Honolulu, Territoire d’Hawaï.
Les espoirs de toutes les personnes impliquées dans le projet SS Klondike sont probablement un peu stimulés lorsque le prince Philip, né Philippos de Grèce et du Danemark de la maison Schleswig-Holstein-Sonderburg-Glücksburg, un époux royal mentionné dans des numéros de janvier 2021 et mars 2023 de notre incroyaaable blogue / bulletin / machin, arrive à bord en août 1954 dans le cadre d’une tournée de 3 semaines et 24 000 kilomètres (15 000 milles) au Canada qui le mène d’un océan à l’autre et à l’autre encore. Cette tournée implique des vols à bord de quelques types d’avions de transport / utilitaires de l’Aviation royale du Canada : un Douglas Dakota, un de Havilland Canada Otter, un Consolidated Canso et le seul et unique Douglas / Canadair C-5.
Et non, le bon duc, marin aguerri et vétéran de la Seconde Guerre mondiale, ne reste pas très longtemps à bord du SS Klondike. Sa croisière ne dure que 2 heures. Selon John Tomlinson, le fils adolescent d’un économiste de British Yukon Navigation Company Limited vivant à White Horse qui est embauché en 1954 comme lave-vaisselle et garçon de cabine, le bon prince a l’occasion d’amener le navire à quai à White Horse. Alors qu’il le fait, il sous-estime cependant légèrement la force du fleuve Yukon. Le SS Klondike heurte le dit quai avec suffisamment de force pour le désaligner légèrement.
Est-ce qu’au moins une des machines volantes mentionnées dans le paragraphe précédent se trouve dans l’inoubliable collection du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada d’Ottawa, Ontario, demandez-vous, ami(e) lectrice ou lecteur? Et comment. Cet étonnant musée national possède un Canso et un Otter. Il a également un exemplaire de l’homologue civil du Dakota, le Douglas DC-3. (Bonjour, EG!) Le musée possède même un cousin du C-5, à savoir un Douglas / Canadair North Star.
Une firme américaine multinationale de services financiers bien connue est suffisamment impressionnée par ce que Canadian Pacific Airlines offre pour inclure les Klondike Tours dans ses propres offres de 1955. Les 8 circuits accompagnés de 18 jours du Territoire de l’Alaska et du Territoire du Yukon offerts par American Express Company entre juin et août couvrent beaucoup plus de terrain mais sont beaucoup plus coûteux.
Les premiers jours ou semaines de la saison 1955 ne sont cependant pas vraiment propices. Les faibles niveaux d’eau du fleuve Yukon entraînent l’annulation de quelques voyages, ce qui a un impact considérable sur les revenus.
La seule personne notable que votre humble serviteur peut lier à cette saison 1955 du SS Klondike n’est en fait pas si notable. Il s’agit de sir Harold Walter Seymour Howard, agent de change anglais et Right Honourable Lord Mayor of London en 1954-55.
Incidemment, comme cela est mentionné dans un numéro d’avril 2023 de notre formidable blogue / bulletin / machin, le maire en question n’est pas le maire de la capitale du Royaume-Uni, un poste qui voit physiquement le jour en mai… 2000. Nenni. Le Right Honourable Lord Mayor of London est le maire de la City of London, une petite zone centrée sur le quartier des affaires de la métropole anglaise / britannique, mais revenons à notre sujet.
Aussi populaire qu’ils s’avèrent auprès des gens heureux qui voyagent à bord du SS Klondike, les Klondike Tours proposés par Canadian Pacific Airlines ne s’avèrent pas suffisamment populaires. Les coûts d’exploitation de ce navire sont tout simplement trop élevés.
Voyez-vous, de nombreux membres de l’équipage, sinon la plupart, auraient voulu un an de salaire pour les 3 ou 4 mois au cours desquels le navire voyage effectivement sur le fleuve Yukon. British Yukon Navigation ne peut pas ou ne veut pas accepter cette demande. Remarquez, il est possible, je répète possible, que la firme ait tenté de couvrir ces augmentations en augmentant considérablement le prix d’affrètement du SS Klondike. Quoi qu’il en soit, l’échec des négociations avec Canadian Pacific Airlines pour un accord de trafic conjoint est le dernier clou dans la coque du navire.
La direction de British Yukon Navigation annonce que le SS Klondike ne serait pas préparé pour le service en 1956 à la… mi-décembre 1955. Elle annonce également que l’autre bateau fluvial à roue arrière qu’elle utilise encore, le transporteur de fret SS Tutshi, serait également retiré du service. Pour couronner le tout, la direction de British Yukon Navigation annonce qu’elle ferme définitivement boutique.
Au risque de surcharger les limites de la politesse, votre humble serviteur se souvient d’une ligne délicieusement méchante dans un film américain décevant mais populaire de 1991 (!) : « Annule les distributions de restes pour les lépreux et les orphelins! Supprime les décapitations sans douleur! Et annule les fêtes de Noël! »
Le film est bien sûr Robin des bois : Prince des voleurs. Alan Sidney Patrick Rickman y est tout simplement GÉNIAL en tant que shérif de Nottingham.
Le SS Klondike peut, je répète peut, être laissé hors de l’eau au printemps 1956. Remarquez, il faut se demander si les navires sont hissés hors de l’eau chaque année, à l’aide de gros rouleaux de pin, pour s’assurer qu’ils ne seraient pas endommagés, voire écrasés, par les glaces qui se forment sur le fleuve Yukon à l’arrivée de l’hiver.
Tout n’est pourtant pas perdu. Voyez-vous, un plan audacieux est élaboré au plus tard en mars 1957 pour remettre le SS Klondike en service, au moins pendant quelques mois. L’individu derrière ce plan est l’ancien commissaire du City Market de Vancouver. William Joseph McGuigan avance l’idée de remettre à neuf le SS Klondike avant de l’amener de Whitehorse jusqu’à New Westminster, Colombie-Britannique, c’est-à-dire jusqu’à Vancouver. Il veut voir le vieux bateau fluvial à roue arrière sillonner les eaux du fleuve Fraser, jusqu’à Hope, Colombie-Britannique, peut-être, lors des célébrations du centenaire entourant la création de la colonie de la couronne de la Colombie-Britannique à partir de deux districts de traite des fourrures, la New Caledonia et le Columbia Department, qui forment la partie continentale de la province de la Colombie-Britannique, en août 1858.
Et oui, le proverbial corbeau devrait parcourir une distance d’environ 1 480 kilomètres (environ 920 milles) pour aller de Whitehorse à Vancouver. Déplacer un bateau fluvial à roue arrière de 64 mètres (210 pieds) de long entre ces deux points ne serait pas facile.
Et oui, encore, Whitehorse est bien orthographiée Whitehorse et non White Horse. Le changement d’orthographe est apparemment fait en mars 1957, je pense, mais revenons à notre histoire.
Il pourrait s’avérer possible pour le SS Klondike de descendre le fleuve Yukon jusqu’à son delta, dans le Territoire de l’Alaska, qui se vide dans la mer de Béring, et, une fois renforcé et placardé, d’être remorqué jusqu’à Vancouver. Remarquez, il pourrait également s’avérer possible, bien que plus cher, de découper le navire en sections et de les déplacer vers Skagway, Territoire de l’Alaska, une ville portuaire intérieure, et, une fois les dites sections réassemblées, de remorquer le navire jusqu’à Vancouver – à moins qu’il ne puisse s’y rendre par ses propres moyens. Une option plus simple, à condition qu’un équipage expérimenté puisse être trouvé, pourrait être que le navire descende le fleuve Yukon jusqu’à son delta et se rende jusqu’à Vancouver par ses propres moyens.
Les personnes qui connaissent une chose ou trois sur le SS Klondike et la navigation fluviale ne pensent pas que le projet de McGuigan irait très loin. Leurs évaluations s’avèrent exactes. Il faut se demander lequel des défis, des complexités du déménagement ou de son coût, évalué à environ 110 000 $, ou environ 1 165 000 $ en monnaie de 2023, ou les deux, s’avèrent fatals au projet – ou est-ce qu’il l’est, fatal autrement dit.
Voyez-vous, ami(e) lectrice ou lecteur surpris(e), l’idée de McGuigan attire l’attention de John S. Lester de West Vancouver, Colombie-Britannique. Ce prospère propriétaire de café / restaurant achète le SS Klondike en janvier 1958. Le plan de Lester est que le navire descende le fleuve Yukon jusqu’à son delta et, une fois renforcé et placardé, qu’il soit remorqué jusqu’à Vancouver. Le voyage doit durer environ 6 semaines.
Une fois à Vancouver, le navire serait rénové et descendrait / remonterait Indian Arm, un fjord au nord de la ville, ou, si cela s’avérait impossible, remonterait / descendrait le fleuve Fraser. Lester étudie également la possibilité de transformer l’ancien bateau fluvial à roue arrière en un restaurant ou boîte de nuit qui fonctionnerait pendant des années après 1958. Le projet de Lester ne va nulle part. Celui-ci fait en effet marche arrière au milieu de l’été 1958. Le coût du déménagement de White Horse à Vancouver est tout simplement trop élevé.
Quoi qu’il en soit, le SS Klondike se trouve encore sur la rive du fleuve en mai 1958, au nord du dépôt ferroviaire et près du chantier naval de British Yukon Navigation, lorsque la photographie au tout début de cet article, dans la partie 1, est prise. Malheureusement, l’intérieur du navire a été dépouillé de son mobilier à un moment donné.
Des semaines, puis des mois passent. À l’été 1959, White Pass & Yukon Corporation de Vancouver, la propriétaire directe du SS Klondike depuis la dissolution de sa filiale, British Yukon Navigation, annonce sa volonté de donner les bateaux fluviaux à roue arrière sur la rive du fleuve Yukon, en groupe ou individuellement, à toute personne ou organisme désireuse et capable de les ou de la déplacer ailleurs. La firme veut enlever / détruire ses installations de manutention de navires, voyez-vous, et les vieux navires font obstacle.
Remarquez, le pont du fleuve Yukon à Carmacks, Territoire du Yukon, à peu près à mi-chemin entre Whitehorse et Dawson City, inauguré en août 1959, fait obstacle à tout effort visant à faire naviguer des bateaux fluviaux à roue arrière vers Dawson City – ou n’importe où ailleurs.
Une des organisations approchées par White Pass & Yukon Railway est le ministère des Affaires du Nord et des Ressources naturelles fédéral. À un moment donné en août ou au début de septembre 1959, ce dernier semble accepter de reprendre les SS Klondike et SS Keno, un bateau fluvial à roue arrière achevé à White Horse en 1922 par British Yukon Navigation.
Selon un plan proposé à l’époque par le sous-ministre des Affaires du Nord et des Ressources naturelles et commissaire des Territoires du Nord-Ouest, Robert Gordon Robertson, les deux navires seraient déplacés à Whiskey Flats, un quartier multiculturel sympathique mais assez pauvre qui abrite environ 350 résidentes et résidents permanent(e)s et saisonnières / saisonniers ou, comme l’appellent certaines personnes blanches comme neige, en traduction, « une zone de squatteurs délabrée de Whitehorse. » Les SS Klondike et SS Keno seraient les éléments centraux d’un parc que le ministère veut créer à Whitehorse.
Remarquez, l’inauguration du pont Robert Campbell en avril 1956 par nul autre que le gouverneur général du Canada, Charles Vincent Massey, change également la donne. Voyez-vous, les deux moitiés de Whiskey Flats flanquent ce lien en acier entre le centre-ville de White Horse / Whitehorse et le nouveau quartier agréable / haut de gamme de Riverdale. Croiriez-vous que les Riverdaliens qui traversent le pont Robert Campbell n’aiment pas la vue – et commencent à s’en plaindre? Je ne plaisante pas.
Les plaintes contribuent vraisemblablement à convaincre White Pass & Yukon Railway, le conseil municipal de Whitehorse et le Council of the Yukon Territory de la nécessité d’agir.
Avant que j’oublie, le ministère des Affaires du Nord et des Ressources naturelles pense tout d’abord qu’il serait préférable et moins coûteux de déplacer le SS Casca, un autre bateau fluvial à roue arrière échoué sur les rives du fleuve Yukon. Quelqu’un fait cependant vite remarquer que le SS Klondike constituerait une meilleure et plus intéressante attraction.
Maintenant, ami(e) lectrice ou lecteur, aimeriez-vous savoir quelles mesures, le cas échéant, sont prises par le ministère des Affaires du Nord et des Ressources naturelles?
Bien pour vous, mais vous devrez attendre la semaine prochaine.
Oh oui, avant que j’oublie, Massey est mentionné dans des numéros de mai 2019, octobre 2021 et novembre 2021 de notre resplendissant blogue / bulletin / machin.