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Tirer des marchandises sur une glace mince : Le chemin de fer du pont de glace entre Longueuil, Québec, et Hochelaga / Montréal, Québec, partie 2

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16 avr. 2023
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Transport ferroviaire
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Sciences sociales et culture
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Par : Rénald Fortier
Ingenium - Musées des sciences et de l’innovation du Canada
Divers aspects des activités entourant le lancement du chemin de fer sur la glace entre Longueuil, Québec, et Hochelaga / Montréal, Québec. Anon., « Montreal – Incidents at the opening of the ice railway bridge. » Canadian Illustrated News, 14 février 1880, 104.
Aspects des activités entourant le lancement du chemin de fer sur la glace entre Longueuil, Québec, et Hochelaga / Montréal, Québec. Anon., « Montreal – Incidents at the opening of the ice railway bridge. » Canadian Illustrated News, 14 février 1880, 104.

Bienvenue à la seconde partie de cet article sur un aspect unique de l’histoire des chemins de fer au Canada, ami(e) lectrice ou lecteur.

Lorsque nous nous sommes défilé(e)s la semaine dernière, le chemin de fer sur la glace entre Hochelaga / Montréal, Québec, et Longueuil, Québec, venait d’être inauguré, fin janvier 1880. Voyons ce qui s’est passé ensuite, d’accord?

Le premier jour du service régulier, un ou quelques trains transportent des personnes intéressées à éprouver le frisson de voyager sur la glace. Le coût? 25 cents pour un aller-retour, ce qui équivaut à environ 7.00 $ en devise 2023, ce qui n’est pas trop mal. Et non, si votre humble serviteur avait été présent à l’époque, je n’aurais pas fait cette traversée pour toute la richesse de la Terre. Suis-je un Gallus gallus domesticus, demandez-vous, ami(e) lectrice ou lecteur amusé(e)? Et comment.

Au fait, vous et moi devrions nous considérer chanceux que les poulets ont la taille qu’ils ont. Rencontrer un Gallus gallus domesticus mécontent de la taille d’un Homo sapiens adulte dans une ruelle sombre pourrait ne pas être une expérience amusante.

Ce qui me fait penser à Sylviornis, un parent pas trop, trop éloigné des poulets. Originaire de Nouvelle-Calédonie, une île de l’océan Pacifique, cet oiseau incapable de voler, un lent brouteur à première vue, pesait jusqu’à 35 kilogrammes environ (environ 75 livres). Avec sa tête tenue bien haute, un grand individu aurait pu mesurer jusqu’à 1.6 mètre (5 pieds 3 pouces). La prédation humaine ainsi que la prédation par des meutes de chiens sauvages, introduits par les dits humains, sans oublier la perte d’habitat résultant de la présence… humaine, provoque l’extinction de Sylviornis il n’y a pas plus de 3 000 ans, ce qui est bien dommage. Mais revenons à notre histoire.

Il s’avère que la voie ferrée sur la glace commence apparemment à transporter des trains composés de wagons de marchandises et / ou de wagons plats quelques jours après son inauguration. Jugée un tantinet trop lourde, la locomotive utilisée pour l’inaugurer peut être mise de côté au profit d’une machine plus légère. De fait, la puissance de la vapeur peut avoir cédé la place à la puissance des chevaux à quelques / plusieurs reprises.

Ce n’est cependant pas le seul revers. Les installations limitées disponibles à Longueuil s’avèrent problématiques. Le temps qu’il faut pour décharger les wagons de marchandises agace aussi grandement la direction de Quebec, Montreal, Ottawa & Occidental Railway Company (QMO&OR) de Montréal (?), qui espérait livrer plus de marchandises – et gagner plus de pognon. Un dégel très important à la fin février suscite également quelques inquiétudes.

Incidemment, l’épaisseur de la glace près de la voie est vérifiée trois fois par semaine. Des trous sont forés tous les 180 mètres environ (environ 200 verges). Pas plus tard que début mars, la glace atteint environ 60 à 90 centimètres (environ 2 à 3 pieds) d’épaisseur. Cela étant dit (tapé?), cependant, une très grande ouverture sur la glace, à seulement 180 mètres environ (environ 200 verges) de la voie, se rapproche progressivement mais lentement. Pour réduire la charge sur la glace, la puissance des chevaux remplace la puissance de la vapeur à la mi-mars.

La dernière traversée de la saison 1880 a lieu le tout premier jour d’avril, et ce n’est pas une blague. La voie est bientôt démantelée et entreposée à Longueuil et Hochelaga, prête à être utilisée durant l’hiver 1880-81. Tragiquement, un des travailleurs embauchés pour le travail, un Québécois du nom de Valiquette, perd la vie en glissant à travers la glace.

Au total, de 1 000 à 1 200 wagons environ effectuent la traversée en 2 mois. Des chevaux fournissent la puissance requise dans la plupart des cas. Si plus de wagons de chemin de fer et une locomotive dédiée avaient été disponibles à plein temps, beaucoup plus de marchandises auraient pu être transportées.

Pour aggraver les choses, le chemin de fer sur la glace perd de l’argent. Cela dit (tapé?), les directions de QMO&OR et de son partenaire, South Eastern Railway Company de Montréal, sont généralement satisfaites des résultats. Voyez-vous, elles ne s’attendaient pas à faire de l’argent pendant la première saison d’opérations.

Et oui, en préparation de la saison 1880-81, l’une ou les deux firmes commandent 100 wagons supplémentaires.

Il convient également de noter que l’existence même du chemin de fer sur la glace aurait, je répète aurait, pu forcer Grand Trunk Railway Company of Canada (GTR) de Montréal à réduire (considérablement?) ses tarifs de fret sur la route entre Québec, Québec, et Boston, Massachusetts.

Toujours désireux de transporter des marchandises sur le fleuve Saint-Laurent, South Eastern Railway et QMO&OR utilisent apparemment des barges remorquées par un remorqueur dès que la navigation entre Hochelaga et Longueuil devient possible. Comme mesure à plus long terme, ils prévoient financer la construction d’une paire de traversiers ferroviaires à vapeur qui doivent être prêts en août 1880. On parle même d’un tunnel.

Et oui, ami(e) lectrice ou lecteur, on dirait qu’un seul traversier à vapeur à roues latérales, un navire apparemment connu sous le nom de SS South Eastern, est en fait construit par Montreal Marine Works (Limited?), un chantier naval montréalais respecté appartenant à un important constructeur naval francophone, Augustin Cantin. La compagnie qui exploite ce navire est la Compagnie de navigation de Longueuil.

Lancé en juillet 1881, le traversier ferroviaire aurait fait sa première traversée du fleuve Saint-Laurent en septembre. Initialement utilisé pour transporter du fret, le navire transporte sa première charge de 4 wagons chargés ce même mois. De fait, au plus tard à la première semaine d’octobre, SS South Eastern a transporté pas moins de 400 wagons sur le fleuve Saint-Laurent. Mis en cale sèche pour réparer des dommages à sa coque à un moment donné en octobre ou novembre, il est remis en service bien avant la fin de ce dernier mois.

Avant que j’oublie, saviez-vous que William Notman, le co-patron du fameux studio de photographie Notman & Sandham de Montréal est apparemment le président de la dite Compagnie de navigation de Longueuil? Le monde est petit…

Curieusement, la bien connue firme Beauchemin & Fils (Limitée?) de Sorel, Québec, exploitée par Joseph Hyacinthe, Louis Philippe et Moïse Beauchemin, est également mentionnée comme étant le fabricant du traversier à vapeur à roues latérales. Mieux encore, la paire de moteurs à vapeur construits pour être utilisés sur ce navire est apparemment fabriquée par E.E. Gilbert & Sons (Limited?) de Montréal.

Alors quoi, dites-vous (tapez-vous?), ami(e) lectrice/lecteur blasé(e)? Alors quoi!? Je vous ferai savoir que Ebenezer Edwin Gilbert est un des premiers ingénieurs en mécanique, un ingénieur autodidacte à coup sûr mais quand même sacrément bon, qui vient au monde dans ce qui est maintenant le Canada. En fait, il naît à Montréal, dans ce qui est alors le Bas-Canada, en septembre 1823.

Gilbert est reconnu pour la qualité et le caractère innovant des moteurs à vapeur qu’il développe pour des navires et stations de pompage d’eau municipales, sans oublier son travail de pionnier dans le forage sous-marin.

Il suffit de mentionner le moteur du bateau à vapeur à aubes SS Montreal, le plus gros et le plus puissant construit à ce jour dans ce qui est alors la province du Canada. Achevé en 1860, ce navire effectue encore ses trajets réguliers entre Montréal et Québec lorsque Gilbert quitte cette Terre en février 1889, à l’âge de 65 ans, mais revenons à notre récit.

Le succès relatif de la saison 1880 incite les promoteurs du chemin de fer sur la glace à réessayer durant l’hiver 1880-81. De fait, la construction de la voie commence au début de janvier 1881 et s’achève en quelques jours. Si la glace du côté de Longueuil s’avère remarquablement lisse et exempte de bourguignons, celle du côté d’Hochelaga s’avère beaucoup plus difficile à travailler. Compte tenu du nombre de wagons qui attendent à Hochelaga (jusqu’à 1 500?), la vitesse est de mise. De fait, les ouvriers travaillent aux flambeaux à au moins deux reprises. Louis Adélard Senécal et quelques autres grosses légumes se pointent au moins une fois pour les encourager à procéder rapidement.

Pour une raison ou pour une autre (bonne qualité de la glace ou besoin de vitesse?), la voie ferrée installée en travers du fleuve Saint-Laurent en 1881 est nettement plus courte que celle utilisée en 1880. Plutôt que de faire un grand détour, sa trajectoire entre Longueuil et Hochelaga est presque une ligne droite.

Aussi bénéfique que soit le nouveau tracé pour les exploitants du chemin de fer sur la glace, de nombreuses personnes qui doivent fréquemment traverser le fleuve Saint-Laurent sont loin d’être satisfaites. Ce nouvel itinéraire est parfois inconfortablement proche du chemin emprunté par ces individus. Le bruit des locomotives pourrait effrayer les chevaux qui tirent leurs traîneaux. Si les autorités municipales de Longueuil ne se penchent pas sur cette affaire, elles pourraient être poursuivies par quiconque aurait un accident causé par un cheval paniqué.

Une locomotive va sur la glace au début de janvier, avant que quelques touches finales à la voie ne soient mises en place. Elle rencontre des wagons de chemin de fer au milieu du fleuve et les transporte jusqu’à une rive du fleuve Saint-Laurent que je n’ai pas encore identifiée. Des chevaux quittent alors Longueuil et remorquent pas mal de wagons jusqu’au milieu du fleuve. Une locomotive quitte Hochelaga peu de temps après et transporte les dits wagons jusqu’à une rive du fleuve Saint-Laurent que je n’ai pas encore identifiée. Convaincu que le chemin de fer sur la glace est prêt à être utilisé, l’équipe attelle une locomotive à 18 wagons, je crois, et la regarde traverser le majestueux fleuve Saint-Laurent.

Ce même premier jour de fonctionnement, un train n’est qu’à 180 à 280 mètres environ (environ 200 à 300) verges du rivage à Longueuil lorsqu’il saute de sa voie, se renverse d’un côté, passe à travers la glace et coule. Toutes les quelques personnes à bord sauf une ont le temps de tenir compte de l’avertissement crié par le chauffeur et sautent en toute sécurité sur la glace. L’ingénieur / conducteur de train n’est pas aussi rapide. Il tombe à l’eau et a de la chance de s’en sortir avec sa vie.

Curieusement, quelques reportages soulignent qu’un des individus à bord de la locomotive, le chauffeur peut-être, est le fils du surintendant général de QMO&OR. Cela n’est pas possible, car Senécal n’a pas de fils. Il a cependant deux filles.

Divers aspects de l’accident survenu au chemin de fer sur la glace entre Hochelaga, Québec, et Longueuil, Québec. Anon., « Sketches on the ice railroad, a locomotive gone astray. » Canadian Illustrated News, 15 janvier 1881, 41.

 

Bien que la cause… Qu’y a-t-il, ami(e) lectrice ou lecteur? Vous souhaitez en savoir plus sur l’illustration que vous venez de voir? De la musique à mes oreilles. Voici une traduction de leurs légendes…

En haut à gauche – Grande effervescence chez les locaux

En haut – Carte du pont de glace-chemin de fer, d’une rive à l’autre

En bas – L’accident

Votre humble serviteur s’est permis d’exclure des vues du site de l’accident vu de loin et regardant à la fois vers Hochelaga et Longueuil, ainsi qu’un dessin de trois personnes vérifiant l’épaisseur de la glace, mais revenons à notre histoire.

Bien que la cause de l’accident ne peut pas être entièrement établie, il est possible que le train avec les 18 wagons ait affaibli / fissuré la glace. Remarquez, un changement d’épaisseur de la glace et / ou un tourbillon sur le site de l’accident ayant affecté l’épaisseur de la glace peut également avoir joué un rôle.

L’équipe du chemin de fer sur la glace installe rapidement une petite voie de contournement à une certaine distance de l’énorme trou dans la glace, ce qui permet à la circulation de reprendre le lendemain, je pense. Cependant, la nouvelle locomotive affectée au chemin de fer sur la glace tombe rapidement en panne, ce qui signifie que des chevaux doivent être utilisés pendant un certain temps.

Le renversement d’un chariot tiré par des chevaux le lendemain de l’accident alors que celui-ci monte une déclivité pour éviter une collision avec un traîneau tiré par des chevaux montre à quel point l’état des glaces sur le fleuve Saint-Laurent est préoccupant.

Entre-temps, de grandes quantités d’eau, sans parler de beaucoup de foin et branches, sont jetées autour du trou béant pour renforcer son périmètre afin qu’un trio de grosses grues puisse être ancré près de son bord. Au moment où ce travail est complété, la glace a environ 2.15 mètres (environ 7 pieds) d’épaisseur.

L’équipe chargée de soulever la locomotive est, dit-on, dirigée par un maître charretier local, Louis Laurier, je crois. Ceci étant dit (tapé?), un gentilhomme de Sorel, Québec, du nom de Charles ou Moïse Champagne est responsable de l’équipe de plongée. Vêtu du lourd et encombrant scaphandre utilisé à l’époque, ce dernier doit descendre 3 fois sans succès dans les eaux glaciales du fleuve Saint-Laurent avant de croiser la locomotive de QMO&OR, intacte mais couchée sur le flanc, à environ 9 mètres (30 pieds) sous l’eau.

De nombreux badauds regardent les procédures avec beaucoup d’intérêt, ce qui agace et inquiète les personnes impliquées dans l’opération de sauvetage. Voyez-vous, si un des câbles utilisés pour soulever la locomotive ou un des câbles des ancrages utilisés pour stabiliser les derricks venait à lâcher, de nombreux badauds pourraient être gravement blessés – ou pire. De fait, un des câbles lâche plus tard alors que la locomotive quitte son tombeau liquide mais, heureusement, personne n’est blessé. L’équipe a le temps d’attacher des câbles à la locomotive avant qu’elle ne coule une seconde fois au fond du fleuve.

Un quotidien montréalais, La Patrie, trouve beaucoup de choses qu’il n’aime pas dans les articles publiés dans le quotidien pro-gouvernemental La Minerve, également montréalais. Selon ce journal non pro-gouvernemental, trois individus du nom de Beauchemin, Fréchette et Seigman (Sigman? Seligman?) sont chargés de l’opération de sauvetage. Seigman est celui qui plonge dans le fleuve Saint-Laurent. De fait, il doit descendre au moins une demi-douzaine de fois pour sécuriser les chaînes nécessaires au levage de la locomotive, qui n’est pas parfaitement intacte.

Curieusement, La Patrie rapporte que La Minerve rapporte que l’eau au fond du fleuve Saint-Laurent est… tiède. Cela n’est toutefois pas exact. Cette dernière affirme en effet que les plongeurs affirment que la température de l’eau est confortable.

Quoi qu’il en soit, la locomotive est hissée hors de l’eau à la fin janvier et remorquée jusqu’à un atelier de Longueuil, à proximité, en utilisant une voie temporaire. Elle est apparemment de retour sur la bonne voie, sans jeu de mots, à la mi-février, et…

Vous avez une question, n’est-ce pas, ami(e) lectrice ou lecteur attentive / attentif ? Merveilleux. Parlez, s’il vous plaît. La personne Beauchemin mentionnée il y a quelques secondes est-elle un des propriétaires de la firme bien connue Beauchemin & Fils (Limitée?) de Sorel, Québec, opérée par Joseph Hyacinthe, Louis Philippe et Moïse Beauchemin et mentionnée dans la première partie de cet article comme étant un possible fabricant du traversier à vapeur à roues latérales SS South Eastern? Hmm, je n’y avais pas pensé, mais c’est certainement une possibilité. Bien joué, mais c’est vous qui digressez cette fois. Revenons à la saison d’exploitation de 1881 de notre chemin de fer sur la glace.

Des conditions douces et pluvieuses se révèlent rapidement problématiques pour les exploitants du dit chemin de fer. Des fissures apparaissent dans la glace. Pour maintenir le service, les ouvriers insèrent de longues poutres en bois sous la voie pour répartir la charge. Des chevaux sont utilisés en lieu et place d’une locomotive pour réduire davantage la charge sur la glace.

En mars, alors que le printemps arrive à Montréal, les ouvriers commencent à démanteler le chemin de fer sur la glace. Chaque morceau est enlevé et entreposé quelques jours avant la fin du mois. Au total, la voie ferrée sur la glace a été en place, mais pas nécessairement opérationnelle remarquez, pendant une dizaine de semaines.

Curieusement, ce même jour où le printemps arrive à Montréal, un quotidien de Québec, Le Journal de Québec, rapporte que, pas tout à fait un mois auparavant, un chemin de fer sur la glace est inauguré entre Oranienbaum et le port insulaire de Kronshtadt, deux localités situées à proximité de Sankt-Peterburg, Empire russe. Le Journal de Québec semble croire que la dépêche qu’il cite affirme que le dit chemin de fer est le premier du monde. Votre humble serviteur s’inscrit en faux. D’autres sources qui mentionnent l’inauguration déclarent simplement que le chemin de fer sur la glace entre Oranienbaum et Kronshtadt est le premier de l’Empire russe.

Cela étant dit (tapé?), le chemin de fer sur la glace russe est une pièce d’ingénierie beaucoup plus impressionnante que celle du Québec. Ouais, il l’est. D’une longueur d’environ 22.5 kilomètres (14 milles), il peut apparemment accueillir des trains transportant jusqu’à 500 tonnes métriques (500 tonnes impériales / 550 tonnes américaines) de fret, mais je digresse.

Malgré l’accident majeur mentionné plus haut, les gens derrière le chemin de fer sur la glace du Saint-Laurent, ou du moins certains / plusieurs d’entre eux, n’abandonnent pas. Le temps est cependant exceptionnellement clément à Montréal à la fin de 1881. En conséquence, la construction de la voie ne débute qu’à la fin de janvier 1882. Compte tenu du nombre de wagons qui attendent à Hochelaga, la vitesse est assurément de mise.

Pour aggraver les choses, la glace se brise à deux endroits, créant des trous béants de plusieurs mètres (verges) de largeur. Compte tenu des problèmes associés au déplacement de la voie vers un endroit plus sûr et du risque que la glace se brise là aussi, les ouvriers ne peuvent que boucher les trous existants. On craint de plus en plus que la mauvaise qualité de la glace n’empêche l’exploitation du chemin de fer sur la glace en 1882.

Quoi qu’il en soit, la première traversée s’effectue quelques jours avant la mi-février. Ce même jour, peu après avoir quitté Longueuil, le mécanicien d’un train est horrifié de voir la glace couler, puis craquer sous son poids. Il donne toute la puissance du moteur de la locomotive et espère pour le mieux. La glace se brise rapidement en quelques gros blocs. L’augmentation de la vitesse est peut-être la seule chose qui empêche le train de sombrer. Au lieu de cela, il atteint une partie de la voie où la glace est plus épaisse. La circulation entre les deux rives du fleuve Saint-Laurent est immédiatement interrompue.

Deux jours plus tard, des travailleurs se rendent prudemment sur la glace pour examiner la voie. Ils découvrent que la zone brisée est gelée. La voie n’a besoin que de réparations mineures. Les trains commencent à la traverser le même jour. Leurs équipages ne sont peut-être pas trop ravis de la décision de leurs supérieurs.

Plus tard le même jour, alors qu’un train à destination de Longueuil atteint le point médian de la voie ferrée sur la glace, une locomotive et deux des trois wagons sautent de la voie. Cette fois-là, la glace tient. Les ouvriers se rendent rapidement sur les lieux. La locomotive et les wagons sont bientôt remplacés sur la voie.

Cependant, le trafic régulier ne reprend apparemment pas immédiatement, car certains problèmes, peut-être d’importantes congères, continuent d’affliger le chemin de fer sur la glace jusqu’à la deuxième semaine de février. Une hausse des températures ne fait qu’empirer les choses. Alors que les opérations reviennent lentement à la normale, les travailleurs surveillent de près les importantes ouvertures dans la glace présentes entre Longueuil et l’île Sainte-Hélène.

Quelques jours après le début de la seconde quinzaine de février, alors qu’une locomotive est inactive à Longueuil, un chauffeur met la vapeur pour une raison ou une autre. La locomotive commence rapidement à se déplacer vers des wagons de chemin de fer sur la voie. Incapable de l’arrêter parce qu’il ne sait pas comment, le chauffeur devient très, très nerveux. Heureusement, le conducteur peut sauter à bord de la locomotive et l’arrêter avant qu’une collision ne se produise.

Début mars, la locomotive ne remorque qu’un seul wagon à la fois. Prendre une charge plus lourde semble bien trop risqué. De fait, des chevaux peuvent être mis en service pour réduire davantage la charge sur la glace. Quoi qu’il en soit, tout le trafic est interrompu plusieurs jours avant la mi-mars. La voie est rapidement démontée et entreposée. Au total, le chemin de fer sur la glace est opérationnel pendant un maigre 4 semaines en 1882, et…

Vous avez une question, ami(e) lectrice ou lecteur? Que transportent les trains qui profitent du service offert par le chemin de fer sur la glace d’Hochelaga à Longueuil, demandez-vous? Une bonne question. Comme vous pouvez bien l’imaginer, les chargements varient d’un jour à l’autre, d’une semaine à l’autre, etc. Cela étant dit (tapé?), on peut affirmer avec un bon degré de certitude que beaucoup de foin, du vrai foin, pas de l’argent bien sûr, est transporté en 1882. L’année précédente, des pommes de terre sont transportées en grande quantité. En 1883, le principal produit d’échange est le bois, mais revenons à notre histoire.

Comme on peut l’imaginer, les difficultés du chemin de fer sur la glace ne passent pas inaperçues à Québec. Oui, la ville, pas la province. Le gouvernement de Joseph-Adolphe Chapleau, semble-t-il, en a assez.

En février 1882, le susmentionné Senécal vend la moitié ouest (Montréal-Ottawa) de QMO&OR à un géant canadien du transport mentionné à plusieurs reprises dans notre blogue / bulletin / machin depuis avril 2018, Canadian Pacific Railway Company (CPR) de Montréal. Il aurait empoché un profit personnel de 100 000 $, soit environ 2 800 000 $ en devises de 2023. Senécal ne serait-il pas en situation de conflit d’intérêt, demandez-vous, ami(e) lectrice ou lecteur? C’est fort possible, sinon probable, mais n’oubliez pas que Senécal et le premier ministre Chapleau sont de bons copains.

En tant que surintendant général de QMO&OR, ce qui signifie qu’il est un employé du gouvernement provincial, Senécal est également fortement impliqué dans la vente de la moitié est (Montréal-Québec) de cette firme à North Shore Railway Company of Montréal (?). Fait intéressant / choquant, il est également un membre en coulisse du syndicat financier derrière cet achat. La participation de Senécal est toutefois rendue publique en mars, une révélation qui fait grand bruit à l’Assemblée législative du Québec. L’opposition officielle est outrée, ce qui est à prévoir, mais certains / plusieurs membres du caucus de Chapleau ne sont pas trop contents non plus. Cependant, ce déplaisir n’éclate apparemment pas au grand jour. En conséquence, la transaction controversée est approuvée. N’oublions pas que Senécal et Chapleau sont de bons copains.

Un autre clou dans les traverses du chemin de fer sur la glace est enfoncé au début d’avril 1882 lorsqu’une firme nouvellement créée, Montreal & Sorel Railway Company de Montréal, commence à faire circuler des trains de Saint-Lambert, Québec, près de Longueuil, vers Sorel, via le Great Victoria Bridge. South Eastern Railway peut, je répète peut, avoir conclu un accord avec cette firme à un moment donné, afin qu’elle aussi puisse utiliser le pont. Mais le pire reste à venir.

En décembre 1882, North Shore Railway vend la moitié est de QMO&OR à GTR et Senécal fait plus de pognon. Et oui, il fait encore plus de pognon lorsque GTR vend cette même moitié est de QMO&OR au CPR, en 1885, mais revenons à notre histoire.

Comme vous pouvez bien l’imaginer, la vente des deux moitiés de QMO&OR change la façon dont le chemin de fer sur la glace fonctionne pendant l’hiver 1882-83. North Shore Railway n’en a pas besoin car sa relation amicale avec GTR signifie que ses trains peuvent emprunter le Great Victoria Bridge sans aucun problème. CPR, quant à lui, n’a besoin du chemin de fer sur la glace que pour transporter une partie du matériel et de l’équipement nécessaires à la construction de son chemin de fer transcontinental qui progresse alors rapidement. Cela laisse pratiquement South Eastern Railway comme le seul utilisateur sérieux du chemin de fer sur la glace.

Par chance, Mère Nature semble sourire un peu sur South Eastern Railway durant l’hiver 1882-83. La construction du chemin de fer sur la glace commence au cours de la seconde semaine de janvier. Les premiers trains quittent Hochelaga peu après le milieu du mois. Ceci étant dit (tapé?), le trafic sur la voie accuse une baisse de 50 % par rapport à 1882.

L’occasion de rehausser la notoriété du chemin de fer sur la glace se présente à la fin janvier lorsque Montréal accueille le premier d’un quintette de carnavals d’hiver axés sur des activités sportives (glissade, hockey, patinage, raquette, etc.). De fait, des reportages publiés au moins aussi loin que Selma, Alabama, déclarent que le dit chemin de fer serait une grande attraction. Des trains spéciaux d’excursion circulent apparemment toutes les heures au moins à certains moments entre Hochelaga et Longueuil, avec retour. À première vue, ils s’avèrent très populaires auprès des touristes et, probablement, des résidents locaux également.

Un peu avant la mi-mars, une forte tempête de neige met fin aux opérations jusqu’à ce que la voie puisse être dégagée – par des hommes avec des pelles. Une autre tempête de neige frappe une semaine plus tard, ce qui a entraîné encore plus de pelletage. Pelleter, demandez-vous, ami(e) lectrice ou lecteur perplexe? Est-ce tout ce qui peut être fait en 1883? Eh bien, c’est le cas. Voyez-vous, contrairement à ses rivaux terrestres, le chemin de fer sur la glace ne peut pas être dégagé par des chasse-neige sur rail. Eh bien, il aurait peut-être été possible d’utiliser des chasse-neige, mais auriez-vous osé mettre un de ces véhicules coûteux, numériquement déficients et lourds sur la glace du fleuve Saint-Laurent?

Les opérations régulières se poursuivent jusqu’au début d’avril lorsqu’un grand dégel s’abat sur la région de Montréal. Un ordre vient d’en haut pour démonter la voie. Cet ordre arrive à point nommé. Voyez-vous, l’équipage du dernier train a de la chance de ne pas passer à travers la glace. Au total, le chemin de fer sur la glace est en place mais pas nécessairement opérationnel pendant environ 11 semaines en 1883, pour un grand total d’environ 8 mois de présence sur la glace entre 1880 et 1883.

Aussi efficace qu’il ait été depuis 1880, la triste vérité est que le chemin de fer sur la glace reste comme toujours à la merci de la température.

Le pire reste à venir cependant. Voyez-vous, ami(e) lectrice ou lecteur, South Eastern Railway est, si votre humble serviteur peut utiliser le nom d’un de ses groupes de rock préférés, en « dire straits, » soit dans une situation désespérée. (Mark Freuder Knopfler est super!) La situation atteint un tel état critique que, au début d’octobre 1883, ses administrateurs le transférèrent entre les mains des détenteurs des firmes qui détiennent les obligations du chemin de fer. Étant donné que la majorité de ces obligations sont détenues par CPR, les mesures prises par les administrateurs de South Eastern Railway font de ce géant le propriétaire de facto du chemin de fer.

En septembre 1887, les opérations du South Eastern Railway sont prises en charge par CPR.

À ce moment-là, cette firme peut traverser le fleuve Saint-Laurent à sa guise. Voyez-vous, des trains commencent à traverser le pont ferroviaire du CPR entre Kahnawake, une communauté des Premières Nations, une communauté Kanien’kehá:ka pour être plus précise, sur la rive sud du fleuve, et Lachine, Québec, sur l’île de Montréal, fin juillet 1887.

Le susmentionné Senécal décède en octobre 1887, à l’âge de 58 ans, neuf mois environ après avoir réalisé son ambition de longue date de se joindre au Sénat du Canada. Le décès de ce spéculateur sans scrupules ou brillant entrepreneur, votre choix, clôt sans doute définitivement le livre de la saga du chemin de fer du pont de glace entre Hochelaga et Longueuil.

Incidemment, le traversier à vapeur à roues latérales SS South Eastern qui complémente le dit chemin de fer est vendu à Richelieu & Ontario Navigation Company Limited de Montréal, une compagnie détenue / contrôlée par, vous l’aurez deviné, Senécal, jusqu’à sa mort enfin.

N’ayant pas besoin de transporter des wagons de chemin de fer, cette firme enlève les rails à bord du navire. SS South Eastern sert de traversier entre Longueuil, l’île Sainte-Hélène et Montréal jusqu’en 1890, date à laquelle il est vendu à Canadian Pacific Car & Passenger Transfer Company de Prescott, Ontario, une firme qu’il ne faut pas confondre avec CPR. Le navire reste apparemment en service jusqu’à la fin des années 1890.

Et ainsi se termine notre voyage sur la voie ferrée du temps. Veuillez accepter mes excuses pour la longueur de ce texte. Mes tentatives d’être bref ne sont pas encore totalement couronnées de succès. À plus et…

Et puis zut, votre humble serviteur ne peut tout simplement pas laisser passer une jolie petite histoire sans l’insérer à cette dernière station de notre article sur le chemin de fer sur la glace. Vous vous souvenez peut-être que, en mars, j’avais facilement admis que j’avais eu, que j’avais et que je continuerais vraisemblablement d’avoir une forte affinité pour l’inhabituel, l’étrange, le bizarre, etc. Eh bien, voici la confirmation de cette faille dans ma constitution génétique.

À la mi-octobre 1882, le propriétaire du Club House Hotel de Longueuil, un gentilhomme du nom de McGuire, est au quai de Longueuil pour affaires lorsqu’il aperçoit, en traduction, « se prélassant sous la surface, apparemment endormi, un monstre énorme et hideux. » Peu de temps après, un agent du South Eastern Railway du nom de Twohey, le capitaine du traversier à vapeur du chemin de fer à roues latérales SS South Eastern ainsi que certains villageois sont attirés vers l’endroit et voient ce qui semble être un énorme serpent avec un dos tacheté de noir et un ventre blanchâtre. À en juger par les nombreux anneaux de la bête, les témoins pensent qu’elle doit mesurer au moins 12 mètres environ (environ 40 pieds) de long.

Même si quelques modes d’attaque sont proposés pour faire face au serpent d’eau géant, aucun des témoins ne se porte volontaire pour mener la charge. Au bout de quelques heures, la bête reste là où elle est, ne faisant de mal à personne et n’étant blessée par personne. À un moment donné, cependant, le serpent d’eau s’éloigne silencieusement et furtivement.

Incidemment, il y a des vrais de vrais serpents d’eau au Québec. De fait, la couleuvre d’eau est assez commune dans cette province. Le plus gros individu jamais repéré / capturé est une femelle d’environ 1.5 mètre (environ 5 pieds) de long. Chercher à énerver un serpent de cette taille à faible distance n’est peut-être pas une bonne idée, ami(e) lectrice ou lecteur. Une morsure serait très douloureuse. Les membres de cette espèce d’ophidien totalement inoffensive sont généralement beaucoup plus petits, avec une longueur moyenne d’environ 70 à 80 centimètres environ (environ 27.5 à 31.5 pouces). Même alors, la morsure d’un serpent de cette taille se défendant contre un humain agaçant ne sera peut-être pas oubliée de sitôt, mais je digresse.

Et oui, j’ai été mordu, une fois, par un petit serpent taureau, je crois, il y a bien 40 ans, quand j’avais des cheveux. (Soupir…) Elle a fait couler du sang, une petite goutte ou deux. Détacher les mâchoires de cet ophidien de mon doigt sans le blesser s’est avéré un peu compliqué. Pourtant, je n’éprouve aucune rancune envers ce serpent. Il n’a pas fait tout son possible pour me capturer, bien au contraire. J’ai eu ce que je méritais, mais revenons à notre histoire de cryptide, un cryptide étant un animal dont l’existence n’est pas reconnue par la communauté scientifique, pour de très bonnes raisons : dans l’ensemble, ces animaux, qu’il s’agisse de créatures lacustres ou de grands hominidés, n’existent tout simplement pas, mais je digresse. Encore.

Tant qu’on y est… Et vous, ami(e) lectrice ou lecteur indigné(e), avez une question. Et le calmar géant? N’est-ce pas un cryptide qui s’est avéré réel? Eh bien, au risque de secouer un nid de frelons, on pourrait dire que le calmar géant n’a jamais vraiment été un cryptide. Voyez-vous, environ 60 rapports concernant des spécimens vus / examinés de près de telles bestioles sont connus pour exister pour les années antérieures à 1882. Le plus ancien date de 1546. Le nombre d’autres spécimens vus / examinés d’aussi près mais jamais signalés ne sera bien sûr jamais connu. Le nombre total de créatures lacustres, grands hominidés ou fées des dents examinées avec le même détail est de… zéro, et revenons à notre histoire.

Tant qu’on y est, et si vous n’y voyez pas d’inconvénient, il y a eu autrefois au moins un serpent dont la corpulence rivalisait avec celle du serpent d’eau de Longueuil. Je ne plaisante pas. Titanoboa vivait il y a 58 à 60 millions d’années dans l’actuelle Colombie. La comparaison des fossiles mis au jour avec des ossements de serpents similaires vivants aujourd’hui (python, boa et anaconda par exemple) conduit des paléontologues à affirmer que cet ophidien pouvait atteindre une longueur allant jusqu’à 13 mètres (environ 43 pieds). Il aurait pu peser près de 1 150 kilogrammes (près de 2 550 livres). Ayoye!

Et oui, il y a eu des affirmations selon lesquelles des serpents aussi gros, sinon plus, que Titanoboa vivent encore en Amérique du Sud, dans le bassin de l’Amazone. Fin de la seconde digression. Désolé et… faites de beaux rêves.

Le soir venu, tout Longueuil est en effervescence avec des nouvelles concernant l’observation du serpent d’eau géant.

Croiriez-vous qu’un avocat du nom de Charles L. Gethings rapporte que, quelques jours auparavant, alors qu’il est sur le fleuve Saint-Laurent avec quelques dames, un énorme quelque chose émerge de l’eau alors que le ciel s’assombrissait, à la tombée de la nuit? Pis encore, ce quelque chose poursuit le petit groupe sur une distance considérable. Les dames sont naturellement très alarmées, déclare Gethings. Personnellement, j’ai l’impression qu’il est tout aussi alarmé que ses compagnes, mais je digresse.

Au lendemain de l’extraordinaire observation de McGuire, un pourcentage non négligeable de la population masculine de Longueuil se trouve dans des bateaux transportant toutes sortes de machins plus ou moins utiles destinés à capturer le serpent d’eau géant et / ou à le tuer afin que sa carcasse puisse être exposée dans le salles d’une institution muséale récemment inaugurée (août 1882?) située sur le site de ce qui est alors McGill College et familièrement connu sous le nom de Peter Redpath Museum.

Vous vous souvenez de la scène similaire dans le film à suspense à grand succès de 1975 (!) Les dents de la mer, n’est-ce pas? Les Homo sapiens mâle peuvent parfois être incroyablement idiots. Je veux dire, poursuivre un serpent d’environ 12 mètres (environ 40 pieds) de long dans des chaloupes? Voyons…

Selon le reportage que votre humble serviteur a découvert, les entourloupes qui se déroulent près de Longueuil s’avèrent irrésistibles pour un journaliste d’un quotidien de Montréal, The Montreal Daily Star, ou pour son éditeur, Hugh Graham. Remarquez, il est également possible que certains témoins se soient un peu amusés aux dépens du dit journaliste, qui publie un article que votre humble serviteur a été aux anges de paraphraser dans les paragraphes précédents.

The Montreal Daily Star n’aurait cependant pas publié d’article sur l’accueil réservé à son journaliste lorsqu’il va voir le capitaine du SS South Eastern pour obtenir des informations. Voyez-vous, ami(e) lectrice ou lecteur, le bon capitaine rit. Il n’y a pas de serpent, affirme-t-il, seulement un morceau de roche. Il emmène ensuite le journaliste sur le site de l’observation pour prouver son point de vue. Là, le dit journaliste voit un gros morceau de roche plat qui crève la surface de l’eau plus ou moins fréquemment à une de ses extrémités.

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La sous-lieutenante Valentina Vladimirovna Terechkova, au centre de la photographie, au Cinquième congrès mondial des femmes, Moscou, Union des républiques socialistes soviétiques, juin 1963. RIA « Novosti, » 612179.

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L’avion de ligne à réaction Tupolev Tu-104 exploité par Aeroflot qui participe au spectacle aérien du Centenaire de la Colombie-Britannique, Aéroport d’Uplands, Ottawa, Ontario. Don Brown, « Aerial Display Ready. » The Ottawa Citizen, 13 juin 1958, 39.

« Il roule au sol avec toute l’aisance d’une cigogne arthritique, » Ou, Un bref regard sur la brève présence au spectacle aérien du Centenaire de la Colombie-Britannique d’un avion de ligne à réaction Tupolev Tu-104 d’Aeroflot, partie 2

L’avion de ligne à réaction Tupolev Tu-104 exploité par Aeroflot qui participe au spectacle aérien du Centenaire de la Colombie-Britannique, tenu à l’Aéroport international de Vancouver, Richmond, Colombie-Britannique. Anon., « –. » The Sunday Sun, 14 juin 1958, 25.

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Le bateau fluvial à roue arrière SS Klondike à un stade précoce de son voyage vers Whiskey Flats South, Whitehorse, Territoire du Yukon. Anon., « Sidewalk Supers Size Up Sternwheeler. » Whitehorse Star, 23 juin 1966, 1.

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Des passagères et passagers du bateau fluvial à roue arrière canadien SS Klondike regardent leur navire s’apprêter à traverser un passage étroit du fleuve Yukon, aux rapides Five Finger, Territoire du Yukon. David Willock, « There’s Tourist Gold in the Yukon. » The Ottawa Citizen – Weekend Magazine, 25 juin 1955, 18.

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Une bête de somme abandonnée et échouée face à un avenir incertain, le bateau fluvial à roue arrière canadien SS Klondike, Whitehorse, Territoire du Yukon. Anon., « Yukon River Boats. » The Calgary Herald, 5 mai 1958, 1.

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La première planche de la bande dessinée Julien Gagnon. Rémy, « Julien Gagnon » Le Petit Journal, section magazine, 16 mai 1948, 18.

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Le véhicule tout-terrains Loman 225 en montre au Salon camping, chasse et pêche 73, Montréal, Québec. Anon., « Pédalo ‘Fun Cycle’ – Une réponse à un rêve… » La Patrie, 1er avril 1973, 23.

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Le seul et unique Rohr M.O.1 Midnight Oiler avant l’installation de son nez définitif et de son stabilisateur horizontal avant, Chula Vista, Californie. Anon., « Private Flying – ‘Midnight Oiler’ Radical Design Lightplane is Built by Rohr. » Aviation News, 1 juillet 1946, 15.

Brûler l’huile de minuit pour atteindre le ciel et rugir : La trop brève saga de l’avion léger / privé Rohr M.O.1 Midnight Oiler

La locomotive gaiement décorée W.H. Pangman et les wagons plats qu’elle remorque lors de la première traversée du fleuve Saint-Laurent entre Hochelaga / Montréal, Québec, et Longueuil, Québec, janvier 1880. R. Richou, « Un chemin de fer sur la glace. » La Nature, 28 avril 1883, 349.

Tirer des marchandises sur une glace mince : Le chemin de fer du pont de glace entre Longueuil, Québec, et Hochelaga / Montréal, Québec, partie 1

Ahh, la crème glacée, les cause et solution de tous les problèmes de la vie. Je me demande si ce jeune garçon sait qu’il mange en fait de la mellorine. Anon., « De la crème glacée synthétique. » Photo-Journal, 16 avril 1953, 3.

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Une publicité typique de T.K. Bellis Turtle Company Limited. Anon., “T.K. Bellis Turtle Company Limited.” The Graphic, 8 janvier 1898, 64.

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Thomas Kerrison Bellis, en d’autres termes le Roi de la tortue. Anon., « Good Stories for All – Turtle King of England is a Powerful Ruler. » The Boston Daily Globe, 17 mars 1898. 8.

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Le Mikoyan-Gourevitch MiG-15 de la Wojska Lotnicze piloté par le second lieutenant Franciszek Jarecki, aérodrome de Rønne, Rønne, Danemark. Jarecki est le gentilhomme marqué par une flèche. Anon., « Undamaged Red Jet in NATO Hands. » The Gazette, 7 mars 1953, 2.

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Quatre des personnages principaux de ce qui peut bien être la première série télévisée de SF au Canada, Space Command de Canadian Broadcasting Corporation. Anon., « Space Command Is Not Run-Of-Mill ‘Opera.’ » The Ottawa Citizen, 26 décembre 1953, 14.

« Défiant les étoiles elles-mêmes » : Un regard infinitésimal sur ce qui pourrait bien être la première série télévisée de science-fiction au Canada, Space Command de Canadian Broadcasting Corporation

Le prototype du Astro Kinetics Lift de Astro Kinetics Corporation, Houston, Texas. Anon., « Aircraft and Powerplants – Crane version of ‘flying saucer’ projected in U.S.A. » The Aeroplane and Commercial Aviation News, 7 mars 1963, 24.

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James Bertram « Jim / Jimmy » Blackmon et sa fusée faite-maison, Charlotte, Caroline du Nord, juillet 1956. Irwin Hersey, « Aid for basement rocketeers. » Astronautics, février 1958, 25.

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Le Canadair Silver Star du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, Ottawa, Ontario, juin 2005. Cet aéronef est piloté par le Red Knight, ou chevalier rouge, le pilote de voltige solo de l’Aviation royale du Canada, en 1961-64. Alain Rioux, via Wikimedia.

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Le ministre de la Défense nationale du Canada, Brooke Claxton, à gauche, avec le premier avion d’entraînement à réaction Lockheed T-33 Silver Star fabriqué au Canada, Cartierville, Québec. Anon., « M. Claxton reçoit le premier réacté T-33 fabriqué ici. » La Patrie, 13 février 1953, 1.

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La trentaine de paysans mexicains qui participent au déblaiement de la météorite de Bacubirito, non loin de Bacubirito, Mexique, 1902. N. Rosst, « La grande météorite de ‘Bacubirito’ (Mexique). » La Nature, 14 février 1903, 173.

Une flamme dans le ciel du nord et une cendre de feu sidéral : La météorite de Bacubirito

Un dispositif de dégivrage de piste de Woolery Machine Company en action à l’aéroport de Cologne-Wahn, Cologne, Allemagne de l’Ouest. Anon., « Ancillary Review – Flame-throwing – On Ice. » The Aeroplane and Commercial Aviation News, 28 février 1963, 29.

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Un promoteur de la Sure Food, le chimiste alimentaire James Pearson (à droite), dans les installations de Wentworth Canning Company Limited de Hamilton, Ontario. Anon., « La viande, synthétique, produit canadien, pourrait sauver de la famine les peuples affamés d’Europe. » Photo-Journal, 5 février 1948, 3.

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L’avion de brousse Junkers Ju 52 immatriculé CF-ARM de Canadian Airways Limited de Montréal, Québec, lac Manouane, Québec, août ou septembre 1940. MAEC, 13469.

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Une grenouille-taureau typique sauvage et libre. John J. Brice, éditeur, A Manual of Fish-Culture: Based on the Methods of the United States Commission of Fish and Fisheries, with Chapters on the Cultivation of Oysters and Frogs (Washington : Government Printing Office, 1897), 258.

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Une publicité typique de Giant Frog & Sea Food Limited de Montréal, Québec. Anon., « Giant Frog & Sea Food Limited. » La Patrie, 18 octobre 1952, 53.

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Trois des innombrables grenouilles-taureaux trouvées dans la grenouillère de Harold Lee, Casitas Springs, Californie. Anon., « Nature – Frog Farm.” » Pix, 6 janvier 1951, 30.

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Un dessin éditorial qui reflète la réaction de nombreux Américains suite au lancement de Spoutnik 2. Une traduction du titre du dessin pourrait être Notre propre disgrâce non-volante. John Milt Morris, « Our own non-fly doghouse. » The Nome Nugget, 8 novembre 1957, 2.

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Une réplique de Spoutnik 2, Tsentral’nyy Dom Aviatsii i Kosmonavtiki DOSAAF Rossíi, Moscou, avril 2021. Krasnyy via Wikipédia.

Les trois jours du Spoutnik; ou, « Radio-Moscou admet que le chien tournant autour de la terre dans le satellite ne reviendra jamais » : Laïka, Spoutnik 2 et la presse quotidienne du Québec, partie 2

Le premier portrait official de Laïka à être diffusé par les autorités soviétiques. Cette photographie est initialement publiée dans le quotidien moscovite Pravda. Anon., « More Sputnik Dogs Due Before Humans Go Up. » The Evening Star, 13 novembre 1957, 6.

Les trois jours du Spoutnik; ou, « Radio-Moscou admet que le chien tournant autour de la terre dans le satellite ne reviendra jamais » : Laïka, Spoutnik 2 et la presse quotidienne du Québec, partie 1

Le biplan (monoplace?) conçu par Canadian Aircraft Works (Incorporated? Limited? Registered?) de Montréal / Coteau Rouge, Québec, janvier 1915. Gustave Pollien peut se trouver aux commandes. MAEC, 1134.

Un terrifique trio actif aux débuts de l’aviation au Québec : Ernest Anctil, Gustave Pollien et Percival Hall Reid, partie 3

Le biplan fabriqué par Gustave Pollien (à gauche) et Ernest Anctil, Cartierville, Québec. Anon., « L’aviation chez nous – Un jeune aviateur canadien-français, Ernest Anctil, vole avec succès sur un biplan construit au pays. » La Presse, 27 septembre 1912, 1.

Un terrifique trio actif aux débuts de l’aviation au Québec : Ernest Anctil, Gustave Pollien et Percival Hall Reid, partie 2

Le biplan fabriqué par Ernest Anctil (à gauche dans la photographie du bas) et Gustave Pollien, Cartierville, Québec. Anon., « The first Montreal-made biplane. » The Standard, 5 octobre 1912, 4.

Un terrifique trio actif aux débuts de l’aviation au Québec : Ernest Anctil, Gustave Pollien et Percival Hall Reid, partie 1

Louis Victor Jules Vierne (3ème à partir de la gauche), compositeur et organiste de la cathédrale Notre-Dame de Paris au clavier de l’orgue électronique Coupleux Givelet, station de radio Poste Parisien, Paris, France. Anon., « L’orgue des ondes du ‘Poste parisien’ est inauguré. » Le Petit Parisien, 27 octobre 1932, 1.

La mélodieuse épopée de deux pionniers français de la musique électronique qui méritent d’être mieux connus : Joseph Armand Marie Givelet et Édouard Éloy Coupleux

 Vue d’artiste du satellite canadien Alouette en orbite au-dessus du Canada. Office national du film, Photo-reportage 288 – Le Canada, nouveau visiteur de l’espace, NFB62-5961.

Alouette, gentille alouette, Alouette, je te lancerai; Ou, Comment la Guerre froide propulse le Canada dans l’espace par le biais du satellite Alouette, partie 3

La fusée Thor-Agena qui place le satellite canadien Alouette en orbite, Vandenberg Air Force Base, Californie. Anon., « Alouette’ Working Perfectly – First Canadian Satellite in Orbit. » The Montreal Star, 29 septembre 1962, 1.

Alouette, gentille alouette, Alouette, je te lancerai; Ou, Comment la Guerre froide propulse le Canada dans l’espace par le biais du satellite Alouette, partie 2

Deux des ingénieurs qui font du satellite Alouette un succès : Colin A. Franklin (à gauche) et John N. Barry, Ottawa, Ontario. Anon., « Many ‘Firsts’ for Canadian Satellite – Alouette Sports New Space Advances. » The Montreal Star, 22 septembre 1962, 43.

Alouette, gentille alouette, Alouette, je te lancerai; Ou, Comment la Guerre froide propulse le Canada dans l’espace par le biais du satellite Alouette, partie 1

Vue approximative de la zone dans laquelle l’éclipse solaire du 31 août 1932 peut être observée dans sa totalité (image principale), ou pas (colonne de droite). Anon. « Mighty Workings of Tomorrow’s Eclipse. » Sherbrooke Daily Record, 30 août 1932, 1.

« Nous prions tous pour une journée sans nuages : » L’éclipse solaire du 31 août 1932 au Québec, partie 3

Certains des chercheurs britanniques éminents en route vers le Canada dans le but d’observer l’éclipse solaire totale du 31 août 1932. Anon., « Le ciel québécois et les astronomes. » La Presse, 29 juillet 1932, 9.

« Nous prions tous pour une journée sans nuages : » L’éclipse solaire du 31 août 1932 au Québec, partie 2

L’éclipse solaire du 31 août 1932 telle qu’on peut l’observer dans sa totalité, à partir d’une route de campagne du Maine. Anon., « Souvenir d’éclipse. » La Presse – Magazine illustré, 24 septembre 1932, 9.

« Nous prions tous pour une journée sans nuages : » L’éclipse solaire du 31 août 1932 au Québec, partie 1

Le réservoir Manicouagan, également connu sous le nom d’œil du Québec, photographié depuis l’espace par le satellite Sentinel 2-A du programme Copernicus de l’Agence spatiale européenne, janvier 2017. https://scihub.copernicus.eu/ via Wikimedia.

Sic itur ad astra : Quelques observations sur la stellaire carrière de l’astronome canadien Carlyle Smith Beals, partie 2

Carlyle Smith Beals, astronome fédéral. Raymond Taillefer, « Tant qu’il y aura des étoiles - L’observatoire fédéral assure au Canada un brillant rôle scientifique. » Le Droit, 2 août 1947, 1.A.

Sic itur ad astra : Quelques observations sur la stellaire carrière de l’astronome canadien Carlyle Smith Beals, partie 1

Le prototype de l’avion de brousse canadien de Havilland Canada DHC-2 Beaver en montre au Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, Ottawa, Ontario. MAEC, deHavilland DHC-2 Beaver-005

Bonne fête Beaver, bonne fête Beaver, bonne fête, bonne fête, bonne fête Beaver : Un trop bref coup d’œil sur une icône canadienne, l’avion de brousse de Havilland Canada DHC-2 Beaver, partie 2

Le prototype de l’avion de brousse canadien de Havilland Canada DHC-2 Beaver le jour de son premier vol, Downsview, Ontario, août 1947. MAEC, KM-08317

Bonne fête Beaver, bonne fête Beaver, bonne fête, bonne fête, bonne fête Beaver : Un trop bref coup d’œil sur une icône canadienne, l’avion de brousse de Havilland Canada DHC-2 Beaver, partie 1

Le Shell By-Plane X 100 Astroterramare du professeur Septimus Urge (extrême droite), Pleasure Gardens du Festival of Britain, Battersea Park, Londres, Angleterre. Anon., « New British Jet Unique, but Not Matchless. » Aviation Week, 18 août 1952, 44.

Des machines de Heath Robinson / Rube Goldberg que Heath Robinson et « Rube » Goldberg eux-mêmes auraient approuvées; Ou, Le monde merveilleux de Frederick Rowland Emett et ses choses

Rachel Marie-Louise Clément, née Guillot, en train se saler des fromages camembert Madame Clément produits par Laiterie R.A. Clément (Enregistrée? Incorporée? Limitée?), McMasterville ou Beloeil, Québec. Anon., « Fromages du Québec. » Photo-Journal, 28 août 1952, 33.

« Si j’avais cent vies, je recommencerais l’aventure du camembert : » Le délicieuse saga québécoise de la famille Clément et de ses fromages

Vue d’artiste du dirigeable conçu par le modeleur, ouvrier, sculpteur ou tailleur de pierre québécois Louis N. Filion. Anon., « Le secret de la direction des ballons est-il réellement détenu par un Canadien-français? » La Patrie, 26 juillet 1902, 19.

En 1902, le secret de la direction des ballons dirigeables est-il détenu par le Québécois Louis N. Filion? C’est à moi de le savoir et à vous de le découvrir

Une publicité typique de Bamboo Cycle Company Limited de Londres, Angleterre. Anon., « Bamboo Cycle Company Limited. » The Graphic, 31 juillet 1897, 179.

« En cas de doute mon conseil est Acheter une Bamboo : » Quelques pages sur Bamboo Cycle Company Limited de Londres, Angleterre

Un tir d’essai américain d’une fusée à courte portée sol-sol non guidée Douglas M31 Honest John. Anon., « Engins et missiles ». Aviation Magazine, 1 juin 1959, 155.

Elle n’a peut-être pas changé l’histoire mais aurait certainement changé la géographie : Un bref mais effrayant coup d’œil sur les fusées à courte portée sol-sol non guidées Douglas M31 et M50 / MGR-1 Honest John, partie 2

Une équipe de l’Artillerie royale canadienne de l’Armée canadienne s’entraînant sur une fusée à courte portée sol-sol non guidée Douglas M31 Honest John de la United States Army, Fort Sill, Oklahoma. Anon., « Rocket Training. » Sherbrooke Daily Record, 13 juillet 1957, 1.

Elle n’a peut-être pas changé l’histoire mais aurait certainement changé la géographie : Un bref mais effrayant coup d’œil sur les fusées à courte portée sol-sol non guidées Douglas M31 et M50 / MGR-1 Honest John, partie 1

Une publicité de Frisco Soda Water Company de Montréal, Québec, pour la bière Salvador brassée par Reinhardt ‘Salvador’ Brewery Limited de Toronto, Ontario. Anon., « Frisco Soda Water Company. » The Montreal Daily Star, 5 juillet 1912, 5.

Un conte de deux Reinhardt; ou, Un bref aperçu de deux brasseries canadiennes disparues et oubliées depuis longtemps

Kenneth Albert Arnold, au centre, avec deux autres pilotes qui affirment avoir vu des objets volants non identifiés, soit Emil J. Smith, à gauche, et Ralph Stevens. Anon., « Pilotes qui virent des soucoupes volantes. » Le Soleil, 8 juillet 1947, 1.

« Tout le monde a vu les soucoupes volantes, les journalistes exceptés : » Les premières observations d’objets volants non identifiés / phénomènes aériens non identifiés dans la province de Québec, 24 juin au 19 juillet 1947, partie 2

Kenneth Albert Arnold. Anon., « Boise Airman Positive He Didn’t See Ordinary Craft Reflections. » The Idaho Daily Statesman, 28 juin 1947, 9.

« Tout le monde a vu les soucoupes volantes, les journalistes exceptés : » Les premières observations d’objets volants non identifiés / phénomènes aériens non identifiés dans la province de Québec, 24 juin au 19 juillet 1947, partie 1

Une publicité typique de O-Pee-Chee Gum Company de London, Ontario. Anon., « O-Pee-Chee Gum Company. » The Aylmer Express, 6 juin 1912, 5.

« Mâche Mâche Mâche Mâche ta gomme à bulles: » Les sucrés de bons vieux temps de O-Pee-Chee Gum Company Limited de London, Ontario

Publicité concernant la Isetta fabriquée par Isetta of Great Britain Limited. Une fois traduit, le texte se lit : « Hé! ne touche pas à cette pièce de 10 cents! Je vais juste prouver que cette Isetta peut se garer dessus! » Anon., « City Motors Limited. » The Gazette, 21 novembre 1957, 2.

Un coup d’œil sous le capot d’un des symboles du miracle économique ouest-allemand des années 1950 ; ou, L’histoire multiforme et multinationale de la microvoiture Isetta, partie 2

Une BMW 250 ou 300 typique. Devon Francis, « What you get in the foreign economy cars. » Popular Science, juin 1957, 62.

Un coup d’œil sous le capot d’un des symboles du miracle économique ouest-allemand des années 1950 ; ou, L’histoire multiforme et multinationale de la microvoiture Isetta, partie 1

Un projecteur de planétarium Spitz au Planetario Municipal Agrimensor Germán Barbato, le premier planétarium d’Amérique du Sud, inauguré en 1955, Montevideo, Uruguay, février 2015. Fedaro via Wikimedia.

Béni soit celui qui apporte les merveilles du cosmos à la multitude : Armand Neustadter Spitz et ses projecteurs de planétarium, partie 2

Armand Neustadter Spitz. Hilaire Cuny, « Sciences et techniques – La plus gigantesque tentative de notre temps : La conquête de l’espace cosmique. » Combat, 15 mai 1957, 6.

Béni soit celui qui apporte les merveilles du cosmos à la multitude : Armand Neustadter Spitz et ses projecteurs de planétarium, partie 1

Une publicité typique de la firme William Hood & Company de Toronto, Ontario. Anon., « William Hood & Company. » The Canadian Grocer & General Storekeeper, 27 mai 1892, 9.

« Un nouveau gagnant commercial pour les épiciers et marchands généraux; » ou, Comment William Hood & Company de Toronto, Ontario, devient un prétexte pour s’attarder sur les mystères de… l’huile de ricin

Une publicité typique de Tillson Company Limited. Anon. « Tillson Company Limited. » The Canadian Grocer & General Storekeeper, 13 mai 1892, 19.

« Un aliment, pas une mode: » La vie et l’époque de Edwin Delevan Tillson de Tillsonburg, Ontario

Gertrude Dugal, la première Québécoise francophone ayant obtenu une licence de pilote – ou pas, Aéroport de Cartierville, Cartierville, Québec. Anon., « La seule diplômée. » La Patrie, Journal du dimanche, 18 mai 1947, 1.

« À travers les nuages, je vois voler mon ombre: » Quelques mots sur Gertrude Dugal, la première Québécoise francophone ayant obtenu une licence de pilote – à moins que ce ne soit quelqu’un d’autre

Une motomarine Vincent Amanda dans son élément, Ruislip, Angleterre, avril 1957. Anon., “Triss i bâtar.” Teknikens Värld med Flyg, 2 au 16 mai 1957, 8.

Bournemouth, Scarborough, ooh je veux vous emmener. Great Yarmouth, Lyme Regis, ami(e) lectrice, lecteur : La Vincent Amanda, l’ancêtre presque oubliée des motomarines d’aujourd’hui

Une vue en gros plan d’une pilule radio quelques instants avant que le premier patient volontaire ne l’avale. Anon., « Science – Radio Made to Swallow. » Life, 29 avril 1957, 74.

Prenez une de ces pilules et vos entrailles m’appelleront en matinée : La saga digestive de… la pilule radio

Dan Cooper, tel que dessiné par l’auteur de bande dessinée belge Albert Weinberg lors de sa visite à North Bay, Ontario, en mai-juin 1966. Anon., « Originator of RCAF cartoon hero visits defence bases at North Bay. » The North Bay Nugget, 3 juin 1966, 1.

Un prolifique auteur de bande dessinée belge qui mérite d’être mieux connu : Le père de Dan Cooper, héros canadien, Albert Weinberg (1922-2011), partie 2

Albert Weinberg au cours d’une de ses nombreuses visites en sol canadien. Anon., « Dan Cooper c’est Buzz Beurling. » La Presse, 31 mars 1975, A3.

Un prolifique auteur de bande dessinée belge qui mérite d’être mieux connu : Le père de Dan Cooper, héros canadien, Albert Weinberg (1922-2011), partie 1

Un avion de chasse FFVS J 22 typique de l’armée de l’air suédoise, ou Flygvapnet, Bunge, Suède, vers 1948-49. Flygvapenmuseum, FVMF.002142.

On m’a demandé quelques fois quel était mon avion préféré. Eh bien, voici l’un de mes favoris de tous les temps : l’avion de chasse suédois FFVS J 22, partie 2

Un avion de chasse FFVS J 22 typique de l’armée de l’air suédoise, ou Flygvapnet. Harald Jacobson, « Ett flygplan – en flygepok. » Looping, avril 1952, 12.

On m’a demandé quelques fois quel était mon avion préféré. Eh bien, voici l’un de mes favoris de tous les temps : l’avion de chasse suédois FFVS J 22, partie 1

 Une publicité pour des produits, en l’occurrence du hareng et de la sardine, mis en conserve par Connors Brothers Limited de Black’s Harbour, Nouveau-Brunswick. Anon., « Connors Brothers Limited ». Le Prix courant, 29 mars 1912, 20.

D’un appât à homard et engrais pour pommes de terre à de l’argent d’eau salée : L’humble sardine et Connors Brothers Limited de Black’s Harbour, Nouveau-Brunswick

Une Volvo P1800 comparable à celle que conduit Simon Templar, dit le Saint, un personnage joué à la télévision par Roger George Moore, Volvo Museum, Göteborg, Suède, 2008. Jarle Vines via Wikimedia.

Une sainte automobile du pays de « Fifi » Brindacier et Lisbeth Salander : La grande routière / voiture sport suédoise Volvo P1800, partie 2

Une grande routière / voiture de sport Volvo P1800 typique Anon., « La plus belle auto. » La Patrie du Dimanche, 25 mars 1962, 11.

Une sainte automobile du pays de « Fifi » Brindacier et Lisbeth Salander : La grande routière / voiture sport suédoise Volvo P1800, partie 1

Le député sortant de la circonscription électorale de Limoux, France, le sénateur Henri Charles Étienne Dujardin-Beaumetz. Joseph Uzanne. Figures contemporaines. (10ème édition) (Paris: Librairie Henri Floury, 1906), non paginé.

« Mon cher Védrines, c’est une panne de scrutin : » Charles Toussaint « Jules » Védrines et l’élection législative partielle de Limoux, France, de mars 1912, Partie 2

Caricature du sénateur Henri Charles Étienne Dujardin-Beaumetz se payant la tête de « Jules » Védrines, le candidat défait lors de l’élection législative partielle de Limoux, France, de mars 1912. Anon., « La course Limoux-Palais-Bourbon. » Le Rire, 30 mars 1912, non paginé.

« Mon cher Védrines, c’est une panne de scrutin : » Charles Toussaint « Jules » Védrines et l’élection législative partielle de Limoux, France, de mars 1912, Partie 1

Le laboratoire sur roues Lincoln Continental 1950X / Ford X-100. Anon., « La Ford de l’avenir. » Photo-Journal, 28 février 1952, 8.

La voiture de demain telle qu’on l’imaginait il y a 70 ans : Le laboratoire sur roues Lincoln Continental 1950X / Ford X-100

Edward T. Faulkner et son Curtiss JN-4 Canuck, Honeoye Falls, New York, 1962. Musée de l’aviation et de l’espace du Canada 2985.

Il décolle à 100 kilomètres/heure, vole à 100 kilomètres/heure et atterrit à 100 kilomètres/heure, plus ou moins : La saga du Curtiss JN-4 Canuck

Une publicité de David Brown (Canada) Limited de Toronto, Ontario, montrant des tracteurs offerts par une firme sœur / frère britannique, David Brown Tractors Limited. Anon., « David Brown (Canada) Limited ». Le Bulletin des agriculteurs, février 1962, 75.

« Voulez-vous conduire mon tracteur? Allons donc charger du foin. » Un très bref aperçu de l’histoire de la firme britannique David Brown Tractors Limited

Tomanowos, mieux connue sous le nom de météorite Willamette, American Museum of Natural History, New York, New York. Anon., « Ça et là, par l’image. » Le Samedi, 22 février 1947, 8.

Tomanowos, une visiteuse du ciel ou de la Lune : Un coup d’œil sur de la plus grosse météorite nord-américaine connue aujourd’hui

Vera Elsie Strodl portant le blouson de vol en cuir qu’elle porte pendant la Seconde Guerre mondiale. Glennis Zilm, « Only Canadian honored – Long love of flying brings award to aviatrix. » The Gazette, 1er février 1972, 8.

Dieu aurait pu être son copilote, Ou, La carrière remarquable d’une pilote remarquable, Vera Elsie Strodl

John D’Alton Woodlock avec un de ses fils, Peter Woodlock, devant le téléviseur familial, Iberville, Québec, été 1949. Arthur Prévost, « Dix ans avant CBFT – À Iberville, on a la TV depuis 14 ans!... » Le Petit Journal, 14 janvier 1962, A-49.

Mais malheureusement, comme tant de grands esprits, le pionnier québécois de la télévision John D’Alton Woodlock est parti trop tôt – et vite oublié

Une publicité de la Société auxiliaire agricole de Paris, France, montrant un tracteur agricole Pavesi P4 ou Agrophile-Pavesi en action. Anon., « Société auxiliaire agricole, » L’Agriculture nouvelle, 14 janvier 1922, 4.

Il était une fois un tracteur acrobate : La belle bien que partiellement militaire histoire du tracteur agricole Pavesi P4 et la carrière de Ugo Pavesi

Deux des grands avions de chasse de la Première Guerre mondiale : un SPAD S.VII du Royal Flying Corps ou de l’Aéronautique militaire et un Albatros D.III du Luftstreitkräfte. Anon., « A Dog Fight. » Canadian Aviation, janvier 1932, 12.

L’histoire des photographies les plus extraordinaires jamais prises de combats aériens pendant la Première guerre mondiale, Ou, Le long et le court de la collection Cockburn-Lange

Une vue d’ensemble d’un des premiers réseaux téléphoniques au Canada, Montréal, Québec, 1878. Anon., « Le premier téléphone qui ait jamais été installé à Montréal. » La Presse, 27 janvier 1912, 5.

Ils sont parmi les premiers à tendre la main et toucher quelqu’un : Un regard sur un des premiers réseaux téléphoniques au Canada

Le Canadair CL-44 loué par British Overseas Airways Corporation (BOAC), septembre 1963. Cet aéronef de Seaboard World Airlines Incorporated transporte 19 voitures de course du Royaume-Uni aux États-Unis lors de ce vol, son premier aux couleurs de BOAC. MAEC.

Un bon élan en mérite un autre : La saga de l’avion-cargo canadien Canadair CL-44, Partie 2

Une publicité de l’avionneur Canadair Limited de Cartierville, Québec, vantant les mérites de son hénaurme avion-cargo, le Canadair CL-44. Anon., « Canadair Limited. » La Presse, 23 janvier 1962, 29.

Un bon élan en mérite un autre : La saga de l’avion-cargo canadien Canadair CL-44, Partie 1

Publicité publiée par les magasins Zeller’s Limited de Calgary, Alberta, qui met en valeur le tracteur Reely Ride-’em produit par Reliable Toy Company Limited de Toronto, Ontario. Anon. « Zeller’s Limited. » The Calgary Herald, 11 décembre 1961, 32.

Jouets, glorieux jouets, on voudrait bien jouer : Quelques pages sur Reliable Toy Company Limited de Toronto, Ontario

Un hydravion à flotteurs utilitaire de Havilland Canada DHC-3 Otter exploité par Northway Aviation Limited de St. Andrews, Manitoba, lac Fishing, Manitoba, septembre 2005. Mark Swaffer via Wikimédia.

Le camion volant d’une tonne du Canada : le de Havilland Canada DHC-3 Otter

Une publicité de Moline Plow Company montrant un Moline Universal Tractor en action. Anon. « Moline Plow Company. » L’Agriculture nouvelle, 10 décembre 1921, 707.

Un véhicule très réussi et, oserais-je le taper, un gougeur de pente de l’industrie des tracteurs agricoles : le Moline Universal Tractor

L’avion de ligne à réaction Douglas DC-8 de Canadian Pacific Airlines Limited de Vancouver, Colombie-Britannique, connu sous le nom de Empress of Montreal. Anon., « Empress of Montreal DC-8 First CPA Jet Visitor. » The Gazette, 6 décembre 1961, 17.

Un article dont je suis réticent à divulguer la phrase-choc si tôt dans le jeu : Ou, Un DC racé utilisé par CP

L’avion-cargo Fairchild C-119 Flying Boxcar de la United States Air Force emprunté par Iron Ore Company of Canada Incorporated en 1951. Anon., « Fret aérien – L’opération Ungava – Le fret aérien accélère l’application d’un projet. » Interavia, décembre 1951, 672.

« Dans l’intérêt de la sécurité nationale » : Le rôle joué par un avion-cargo Fairchild C-119 Flying Boxcar de la United States Air Force dans le développement des gisements de minerai de fer de la région du lac Knob

Le Vertol Modèle 42 de Skyrotors Limited de Arnprior, Ontario, nolisé par Spartan Air Services Limited de Ottawa, Ontario, dans le cadre de l’Opération High Tower. Anon., « Operation High Tower. » The Ottawa Citizen, 8 novembre 1961, 3.

Votre mission, si toutefois vous l’acceptez, est de déplacer des trucs : Spartan Air Services Limited de Ottawa, Ontario, la station radiophonique CFRA de Ottawa et l’Opération High Tower

Une des deux sculptures grandeur nature en alliage d’aluminium de grues blanches créées par Wolfram F. Niessen pour le Regina Municipal Airport, Regina, Saskatchewan. Anon., « Regina Honors the Whooping Crane. » The Ottawa Citizen, Weekend Magazine, 18 novembre 1961, 38.

Parlons d’art, humaines et humains. Tous les humains. Plus fort maintenant. Aidez-moi. – Wolfram F. Niessen, John Cullen Nugent et les sculptures grandeur nature en alliage d’aluminium de grues blanches créées pour le Regina Municipal Airport

Joseph Alphonse Ouimet. Anon., « Le pionnier de la télévision préférait la radio à une bicyclette neuve. » La Patrie, 5 novembre 1961, 26.

« Le pionnier de la télévision préférait la radio à une bicyclette neuve : » Un survol de la carrière de Joseph Alphonse Ouimet, un père fondateur de la télévision canadienne

Une publicité publiée par La traction et le matériel agraires Société anonyme pour le tracteur de jardin américain Beeman Junior. Anon., « La traction et le matériel agraires Société anonyme. » L’Agriculture nouvelle, 12 novembre 1921, 664.

« Les arpents verts, les champs, les bois, les chemins creux, c’est fait pour moi : » La firme américaine Beeman Garden Tractor Company et le tracteur de jardin / motoculteur Beeman Junior ou Modèle G

Une ascension de l’aéronaute et parachutiste foraine Florida Lanthier. Maurice Desjardins, « Dans une modeste maison de Montréal-Nord – Florida Lanthier, reine des parachutistes, vit de couture... et de souvenirs. » Photo-Journal, 8 novembre 1951, 3.

Ombres et lumière dans le ciel du Québec : Un premier regard sur la vie et l’époque de l’aéronaute et parachutiste foraine féminine québécoise Florida Lanthier

L’irradiateur mobile de démonstration monté par Énergie atomique du Canada Limitée. Anon., « Boon to Canadian potato industry. » Saskatoon Star-Phoenix, 21 octobre 1961, 6.

Une patate chaude, deux patates chaudes, trois patates chaudes, quatre : Énergie atomique du Canada Limitée de Chalk River, Ontario, et les premiers jours de l’irradiation des aliments au Canada

Une automobile légère et économique Mathis VL333. Fernand de Laborderie, « Le 33e Salon de l’automobile. » La Nature, 15 octobre 1946, 331.

Une vision d’avenir pour une firme à bout de souffle : L’automobile légère et économique française Mathis VL333

Un Bristol Bolingbroke de reconnaissance côtière destiné à l’Aviation royale du Canada en cours de montage dans l’usine de Fairchild Aircraft Limited, Longueuil, Québec, 1941. Anon., « Les C.F. et la R.C.A.F. » Le Samedi, 18 octobre 1941, (c).

« Nous devons obtenir du matériel aérien et veiller sur nos côtes » – L’Aviation royale du Canada et l’avion de reconnaissance côtière Bristol Bolingbroke

 Le prototype du de Havilland Canada DHC-6 Twin Otter en montre au Musée de l’aviation du Canada, Ottawa, vers 2001. MAEC.

De pôle en pôle et d’horizon en horizon, le Twin Otter était, est et sera là : Une bien brève pontification sur un des meilleurs aéronefs canadiens jamais conçus

Le Royal Aircraft Factory B.E.2 en montre au Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, Ottawa, Ontario, février 2009. Wikipédia.

Le cas étrange et déconcertant des aéroplanes substitués; ou, Même en utilisant les Mathématiques modernes, 4112 n’égale jamais 5878 : La haute histoire du Royal Aircraft Factory B.E.2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, partie 2

Le Royal Aircraft Factory B.E.2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada alors qu’il appartient au Musée canadien de la guerre, Ottawa, Ontario. H.J. (« Titch ») Jenkins, « Correspondence – Ottawa’s – and Sowrey’s – B.E.2c. » Flight, 12 octobre 1961, 600.

Le cas étrange et déconcertant des aéroplanes substitués; ou, Même en utilisant les Mathématiques modernes, 4112 n’égale jamais 5878 : La haute histoire du Royal Aircraft Factory B.E.2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, partie 1

Isidore Joseph Amédée Marsan. Anon., « Isidore Joseph Amédée Marsan. » Le Bulletin des agriculteurs, 17 septembre 1921, couverture.

Un des pionniers de la science agricole au Québec et au Canada: Isidore Joseph Amédée Marsan

Une annonce publicitaire de St. Lawrence Starch Company Limited, Port Credit, Ontario. Anon., « Publicité – St. Lawrence Starch Company Limited. » Le Bulletin des agriculteurs, septembre 1941, 61.

Gratis, magnifiques cartes portant des dessins ou photographies d’aéronefs alliés! Collectionnez-les toutes!

Une automobile Aluminium français-Grégoire, Cité de l’automobile – Musée national – Collection Schlumpf, Mulhouse, France, mai 2010, Wikimédia.

Ent’ deux joints, il a ben fait quequ’chose : Jean Albert Grégoire et ses magnifiques automobiles, Partie 2

 Un exemplaire de l’automobile électrique française CGE-Tudor. C. Faroux, « Un progrès considérable de la voitures électrique. » La Vie automobile, 25 septembre 1941, 284.

Ent’ deux joints, il a ben fait quequ’chose : Jean Albert Grégoire et ses magnifiques automobiles, Partie 1

Le seul et unique exemplaire de l’avion de ligne à long rayon d’action italien Breda Zappata BZ 308. Jacques Gambu. « Breda Zappata BZ 308. » Aviation Magazine, 1er septembre 1951, 21.

Il Constellation italiano, une étoile méconnue du firmament aéronautique de l’Italie : L’avion de ligne à long rayon d’action Breda Zappata BZ 308

Paul Fjeld dans la demeure familiale, Rosemère, Québec. Claude-Lyse Gagnon, « Parti avec $200 en poche – Un jeune Québécois a pu voir décoller Apollo 15. » La Patrie, 15 août 1971, 12.

Espace, frontière de l’infini vers laquelle voyage notre planète, la Terre; voici l’histoire de vie de Paul Fjeld, passionné d’espace et artiste depuis plus d’un demi-siècle

Publicité pour la lager Frontenac Blue Label de National Breweries Limited de Montréal, Québec. Anon., « Publicité – National Breweries Limited. » Le Samedi, 23 août 1941, 12.

La grande victime de la guerre de la bière de Montréal de 1925 : Frontenac Breweries Limited de Montréal, Québec

Un véhicule tout-terrain Karou Karou. Anon., « Opération Camping à Saint-Hilaire. » Photo-Journal, 26 juillet au 1er août 1971, 47.

Tout-terrain, tout-temps, tout-plaisir : Karou Incorporée de Drummondville, Québec, et le véhicule tout-terrain Karou

Le premier exemplaire de production de l’avion d’entraînement avancé Avro Anson de fabrication canadienne équipé d’un fuselage en contreplaqué moulé, lieu inconnu, 1943. MAEC, 23290.

Tout le monde ne sait pas que la fabrication d’aéronefs peut être un sport de contact : Clarence Decatur Howe, Harvey Reginald MacMillan et la production d’avions d’entraînement avancé Avro Anson au Canada, Partie 2

Une paire d’avions d’entraînement avancé Avro Anson de fabrication canadienne utilisée par l’École de pilotage militaire no 10, Base de l’Aviation royale du Canada de Dauphin, près de Dauphin, Manitoba, 1943-44. MAEC, 27297.

Tout le monde ne sait pas que la fabrication d’aéronefs peut être un sport de contact : Clarence Decatur Howe, Harvey Reginald MacMillan et la production d’avions d’entraînement avancé Avro Anson au Canada, Partie 1

Le tout premier tramway électrique exploité par Telegraphen-Bau-Anstalt von Siemens & Halske, Berlin, Empire allemand. Anon., « The first electric railway in Berlin. » Canadian Illustrated News, 9 juillet 1881, 21.

Un tramway nommé Straßenbahn Groß-Lichterfelde, ou, Comment Telegraphen-Bau-Anstalt von Siemens & Halske met en service le premier tramway électrique au monde

L’auteur et pionnier canadien de l’aviation Frank Henry Ellis (au centre) avec les pionniers américains de l’aviation Frank Purdy Lahm (à gauche) et Will D. « Billy » Parker, président de Early Birds of Aviation Incorporated, Los Angeles, Californie. Robert Francis, « Early Birds ». Sunday Sun Magazine, 28 juillet 1951, 5.

Si nous avons vu plus loin, c’est en montant sur les épaules d’un géant : Frank Henry Ellis et Canada’s Flying Heritage

Publicité montrant un tracteur italien SAME Buffalo. Anon., « Publicité – Les Entreprises Biasotto & Hardy (Canada) Incorporée. » Le Bulletin des agriculteurs, juillet 1981, 26.

Ils étaient tous pareils, frères l’un de l’autre : Francesco Cassani, Eugenio Gabriele Cassani et la Società Accomandita Motori Endotermici (SAME)

Un Canadair North Star de British Overseas Airways Corporation, London Airport, Heathrow, Angleterre, septembre 1954. Wikimédia.

Le tour du monde en 80 heures : Quelques pages sur le Canadair North Star, partie 2

Le prototype du Canada North Star, 1946. Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, KM-08329

Le tour du monde en 80 heures : Quelques pages sur le Canadair North Star, partie 1

Une annonce publicitaire pour une faucheuse fabriquée par La Machine Agricole Nationale Limitée de Montmagny, Québec. Anon., « Publicité – La Machine Agricole Nationale Limitée. » Le Bulletin des agriculteurs, 11 juin 1921, 556.

Faites que personne n’oublie que, pendant un moment bref et éclatant, il y a eu La Machine Agricole Nationale Limitée de Montmagny, Québec

La civière Folland / Hawker Siddeley Hoverstretcher en action. Anon., « Airborne comfort. » The Calgary Herald, 9 juin 1961, 19.

Développer le germe d’une idée: Maurice Joseph Brennan et ses aéroglisseurs

Des mères et enfants prêtes à monter à bord d’un des avions de ligne Douglas DC-3 convertis en Nurseryliner par United Air Lines Incorporated, San Francisco, Californie, avril ou mai 1946. Anon., « Service aérien pour bébés. » Photo-Journal, 20 juin 1946, 12.

Asseyez-vous, détendez-vous et profitez du voyage – Des bébés dans l’avion : United Air Lines Incorporated et son service Nurseryliner

L’ingénieur et astronome amateur canadien James Hargreaves avec un instrument qu’il a fabriqué lui-même. Jean Taillefer, « Un voyage de 180 jours au Soudan, en Afrique; une expérience astronomique de 180 secondes. » Le Droit, 16 juin 1951, 13.

« Un savant d’Ottawa fait un sacrifice pour la science: » L’ingénieur et astronome amateur canadien James Hargreaves et ses voyages autour du globe

Le prototype de l’avion de brousse Fairchild F-11 Husky peu avant son premier vol, juin 1946, Musée de l’aviation et de l’espace du Canada KM-05311.

Chien-chien, tu es doué, très doué, mais tant que le rongeur sera dans le métier, tu ne seras jamais que le second : La brève mais longue histoire de l’avion de brousse Fairchild F-11 Husky

Un dessin écorché de l’avion de brousse canadien Fleet Modèle 50 Freighter. Anon., « Fleet’s Trainer and Transport. » Aviation, mai 1941, 61.

Il aurait pu (et dû?) être un des grands : L’avion de brousse canadien Fleet Modèle 50 Freighter

Wilfrid-Henri Perron. Claude Asselin, « Une encyclopédie québécoise pour les horticulteurs. » Photo-Journal, 3 au 9 mai 1971, 12.

Chez Perron, tout est bon : Un géant de l’horticulture québécoise et canadienne, Wilfrid-Henri Perron (1897-1977)

Le cyclecar / vélomobile / vélocar / automouche à pédales et / ou moteur auxiliaire Le Dauphin. Edmond Massip, « Un cyclecar à pédales et moteur auxiliaire. » La Vie automobile, 25 mai 1941, 153.

Le cyclecar / vélomobile / vélocar / automouche à pédales et / ou moteur auxiliaire Le Dauphin : Une solution (extrême?) à la pénurie de carburant à Paris au cours de l’occupation allemande pendant la Seconde Guerre mondiale

L’autogire Pitcairn PCA-2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada lors de sa grande tournée aux États-Unis, alors qu’il appartient à Sealed Power Corporation. Anon. « Pohled na Ciervovu autogiro za letu. » Letectvi, novembre 1932, 310.

« ’Moulin à vent volant’ ici mercredi » : Le grand périple de Donald Walker et du Pitcairn PCA-2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, partie 2

L’autogire Pitcairn PCA-2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada au moment où il appartenait à Standard Oil Company of New York. Anon., « Publicité – Standard Oil Company of New York. » Aviation, mai 1931, 22.

« ‘Moulin à vent volant’ ici mercredi » : Le grand périple de Donald Walker et du Pitcairn PCA-2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, partie 1

Une annonce publicitaire sobre et sans fioriture d’Elzéar Fortier Limitée de Québec, Québec. Anon., « Publicité – Elzéar Fortier Limitée. » L’Action catholique, 8 avril 1946, 9.

C’était un malin: Elzéar Fortier et la production de boissons gazeuses à Québec, Québec

Youri Alekseïevitch Gagarine et Charles Augustus Lindbergh. La légende de ces photographies mentionne la ressemblance frappante entre ces personnes importantes du monde de l’astronautique et de l’aéronautique. Anon., « Lancement du premier homme dans l’espace – Comment se sont déroulés les événements en Union soviétique. » La Tribune, 13 avril 1961, 24.

C’était aussi un petit pas pour un homme, un pas de géant pour l’humanité : Le vol dans l’espace de Youri Alekseïevitch Gagarine dans la presse francophone québécoise, 12-15 avril 1961, partie 2

Le major Youri Alekseïevitch Gagarine au cours de sa visite à Helsinki, Finlande, juillet 1961. Wikimédia.

C’était aussi un petit pas pour un homme, un pas de géant pour l’humanité : Le vol dans l’espace de Youri Alekseïevitch Gagarine dans la presse francophone québécoise, 12-15 avril 1961, partie 1

Claire Wallace, animatrice de radio de Canadian Broadcasting Corporation interviewant Diana Jocelyn Dudley, ingénieure en aménagement intérieur de Trans-Canada Air Lines, janvier 1946. Anon. « Air Transportation – Radio Broadcast over Niagara. » Canadian Transportation, avril 1946, 200.

Pas un endroit pour une dame?! Baliverne! : Diana Jocelyn Dudley et Janet Elizabeth Lowe, les premiers ingénieurs en aménagement intérieur des Lignes aériennes Trans-Canada

Peter Müller aux commandes [sic] du Pedroplan, Berlin, Allemagne, mars 1931. Anon., « Cologne contre Marseille – Le mystère du ‘Pédroplan.’ [sic] » Les Ailes, 2 avril 1931, 14.

Je veux faire voler ma bicyclette, je veux faire voler mon cerf-volant : Peter Müller et le Pedroplan

L’aéroglisseur Phillips Saucercraft, Mount Hope, Ontario. Anon., « Flying saucer crack-up. » The Calgary Herald, 2 mars 1961, 1.

Un ONVI (Objet non volant identifié) des plus intrigants : L’aéroglisseur Phillips Saucercraft

La Dre Ann Elizabeth Noelle Grace s’occupant d’un de ses patients, Montreal General Hospital, Montréal, Québec. Claude Adams, « An eye-opener for our reporter – Team of women doctors shatters Ben Casey myth. » The Gazette, 3 mars 1971, 31.

Briser le mythe de Ben Casey et James Kildare : La première femme chirurgien pédiatrique du Canada, la Dre Ann Elizabeth Noelle Grace

Une publicité de Langlais & Frère Incorporée de Québec, Québec, vantant les mérites du tracteur Zetor 25. Anon. « Publicité – Langlais & Frère Incorporée. » L’Action catholique, 3 mars 1951, 14.

De leurs épées, ils forgeront des socs de charrue; ou, Un bref regard sur la société d’état tchèque Zbrojovka Brno Národní Podnik

 Quelques personnalités présentes lors l’inauguration de l’École d’avionnerie de Cartierville, Cartierville, Québec, 3 mars 1941. Anon., « À l’inauguration de l’École d’avionnerie de Cartierville. » La Presse, 4 mars 1941, 19.

Une réalisation magnifique, pleine de promesses d’avenir, balayée par l’esprit étroit de Maurice Le Noblet Duplessis : L’École d’avionnerie de Cartierville

La présentation du premier Boeing Modèle 747 d’Air Canada à l’Aéroport international de Montréal-Dorval, Dorval, Québec. Anon., « Des milliers de personnes ont vu le géant des airs. » La Presse, 22 mars 1971, A 1.

66 327 personnes ne peuvent pas avoir tort, mais elles peuvent avoir froid : La présentation du premier Boeing Modèle 747 d’Air Canada à l’Aéroport international de Montréal-Dorval

 Le Fokker D.VII du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, mars 2019. MAEC.

Un des grands aéronefs de combat du 20ème siècle et un des nombreux joyaux d’un des plus remarquables musées de l’aviation et de l’espace de la planète Terre : Le Fokker D.VII et l’avion du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada

Une publicité de Équipements Ascot Incorporée de Saint-Élie-d’Orford, Québec, vantant les mérites du tracteur UTB U530. Anon. « Publicité – Équipements Ascot Incorporée. » Le Bulletin des agriculteurs, février 1981, 28.

De leurs ailes, ils forgeront des socs de charrue; ou, Un bref regard sur la société d’état roumaine Uzina Tractorul Braşov

Un dessin éditorial mettant en lumière le lancement de la sonde planétaire soviétique Venera 1 en février 1961. Edmund Alexander Sebestyen, « To Venus With Love. » Saskatoon Star-Phoenix, 14 février 1961, 4.

Essayer de lever les voiles sous lesquels Vénus se cachait de notre regard : La saga de la sonde planétaire soviétique Venera 1

Un Jacobs Jaycopter au repos, Edmonton, Alberta. Lyn Harrington, « Cutting helicopter training cost. » Canadian Aviation, février 1961, 20.

Un simulateur d’hélicoptère avec une différence : il vole – Le Jacobs Jaycopter canadien

Dessin éditorial montrant le roi Neptune offrant sa couronne à l’équipage du English Electric Canberra qui traverse l’Océan Atlantique en février 1951. Charles R. Knight, « Ready to Abdicate. » The Windsor Daily Star, 22 février 1951, 4.

Quelques milliers de mots sur le English Electric Canberra / Martin B-57 Canberra et le petit rôle joué par Canadair Limited dans son histoire

Le premier exemplaire de série de l’hélicoptère Piasecki HUP Retriever. Anon., « News Picture Highlights. » Aviation Week, 15 janvier 1951, 9.

« Shoe, » Retriever, « Hupmobile » ou Army Mule – un HUP sous tout autre nom est encore un HUP : Les hélicoptères Piasecki HUP Retriever et H-25 Army Mule, et le HUP du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada

Une vue du barrage de Warsak, nord du Pakistan occidental. Anon., « Inauguration du barrage de Warsak. » Le Droit, 27 janvier 1961, 12.

Franchement, ma chère / mon cher, nous avons donné un barrage : Le Canada et le barrage de Warsak au Pakistan

Un des premiers de Havilland Canada Chipmunk importés au Royaume-Uni. Anon., « De Havilland [Canada] DHC-1 ‘Chipmunk.’ » Aviation Magazine, 1er janvier 1951, couverture.

Un Tamias striatus gambadant dans les nuages : Le de Havilland Canada Chipmunk

Le 5ème de Havilland Canada AC-1 Caribou de présérie. Larry Booda, “Aeronautical Engineering – Aviation Week Pilot Report – STOL Caribou Calls for Special Handling.” Aviation Week and Space Technology, 23 janvier 1961, 56.

Un camion volant qui a donné de la mobilité aux soldats de l’ère atomique : Le de Havilland Canada Caribou

La voiture lunaire Oberth telle qu’imaginée en 1960. I.M. Levitt, « Le problème du transport sur la Lune. » L’Action catholique, 10 juillet 1960, 5.

Je ne suis tout simplement pas sûr que ce véhicule a été bien pensé : La voiture lunaire du pionnier de l’astronautique Hermann Julius Oberth

La Ferrari 512 Pininfarina Modulo, en montre lors de l’édition 1971 du Salon international de l’Auto de Montréal, Montréal, Québec. Jean D. Legault, « Une première mondiale et 12 continentales. » La Patrie, 17 janvier 1971, 31.

Une des automobiles de rêve les plus célèbres de tous les temps : La Ferrari 512 Pininfarina Modulo

Publicité pour le moins sobre pour la bière d’épinette La Canadienne de F.A. Fluet Enregistré. Anon., « Publicité – F.A. Fluet Enregistré. » L’Action catholique, 4 janvier 1951, 5.

Une petite bière qui n’était pas de la petite bière : F.A. Fluet Enregistré de Québec, Québec, et la bière d’épinette La Canadienne

Une scène croquée lors du lancement du Jeu de l’électricité par Éditions Héritage Incorporée, Montréal, Québec, 6 novembre 1968. Anon., « –. » Le Devoir, 6 novembre 1968, 11.

A B C Abécédaire. Viens avec nous autour de la Terre : L’émission de télévision éducative pour enfants Tour de Terre de la Société Radio-Canada

Une publicité vantant les mérites du Vin St.Georges. Anon. « Publicité – T.G. Bright & Company Limited. » Le Bulletin des agriculteurs, décembre 1940, 2.

Pour régaler la famille pendant les Fêtes, n’oubliez pas le Vin St.Georges : Un bref regard sur un pionnier de l’industrie vinicole canadienne, T.G. Bright & Company Limited

Le Bell Modèle 47 utilisé par Airspray Limited, Ontario. Anon., “Helicopter – Down on the Farm.” Canadian Aviation, septembre 1947, 25.

Dans la ferme de Mathurin, hiya hiya ho. Il y a des centaines de Bell, hiya hiya ho : Quelques mots de plus sur les premiers jours de l’aviation agricole au Canada

Une publicité annonçant la mise en service de l’avion de ligne court et moyen-courriers Vickers Vanguard des Lignes aériennes Trans-Canada. Anon., « Publicité – Trans-Canada Air Lines. » Maclean’s, 3 décembre 1960, 8-9.

Du « gros Viscount » au Merchantman : Le voyage abrégé du Vickers Vanguard

Le Convair 580 utilisé par le Centre canadien de télédétection de Ressources naturelles Canada, Aéroport international MacDonald-Cartier d’Ottawa, Ottawa, Ontario, septembre 2001. Wikipédia.

C’était un des grands : L’aéronef de télédétection Convair 580 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada

Un aéronef agricole Air Tractor AT-502 utilisé par Southeastern Aerial Crop Service Incorporated, Belle Glade State Municipal Airport, Floride, juin 2013. Wikipédia.

Des ailes au-dessus du monde : Le turbopropulseur et turbomoteur PT6, Partie 2

Le premier turbopropulseur conçu au Canada, le PT6 de Canadian Pratt & Whitney Aircraft Company Limited. Anon., « Publicité – Canadian Pratt & Whitney Aircraft Company Limited. » The Gazette, 14 novembre 1960, 24.

Des ailes au-dessus du monde : Le turbopropulseur et turbomoteur PT6, Partie 1

Les 14 volumes de l’édition 1960 de L’Encyclopédie de la jeunesse de Grolier Limitée. Anon., « Publicité - Grolier Limitée. » La Tribune - Perspectives, 12 novembre 1960, 31.

Un livre de connaissance : L’Encyclopédie de la Jeunesse

Roxana Hartley et M. Jolie / lord Robert Brummel, les principaux protagonistes de la pièce américaine de 1930 Dancing Partner, Belasco Theatre, New York, New York. Anon., « The Stage Goes ‘Air-minded’. » Scientific American, novembre 1930, 355.

Une pièce dans un avion, et un avion dans une pièce : Dancing Partner, 1930

Le Supermarine Spitfire exposé pour le 20ème anniversaire de la bataille d’Angleterre, Colline du Parlement, Ottawa, Ontario, 18 septembre 1940. Anon., « News roundup – Battle of Britain Ceremonies. » Aircraft, novembre 1960, 58.

Un cadeau pour le ciel : Le Supermarine Spitfire Mk IIb du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada

Certains des montages du Musée national de l’air, Aéroport de Uplands, Ottawa, Ontario, début des années 1960. MAEC, numéro de négatif 4446.

Bonne fête à nous. Bonne fête à nous. Bonne fête cher MAEC. Bonne fête à nous : Quelques mots sur les premiers jours, semaines, mois et années du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada

Une reproduction (grandeur nature?) un tant soit peu inexacte de Spoutnik I en montre à Prague, Tchécoslovaquie, dans le cadre d’une exposition commémorant le 40ème anniversaire de la Grande révolution socialiste d’octobre. Anon., « Modèle du satellite russe. » Le Nouvelliste, 10 octobre 1957, 1.

Le Québec / Canada et le satellite le plus simple, le vaisseau spatial PS-1, autrement dit Spoutnik I : Un survol de ce qui se publie dans la presse québécoise francophone entre les 5 et 12 octobre 1957, Partie 4

Pierre Dorion, « L’ère des émotions. » La Presse, 9 octobre 1957, 4.

Le Québec / Canada et le satellite le plus simple, le vaisseau spatial PS-1, autrement dit Spoutnik I : Un survol de ce qui se publie dans la presse québécoise francophone entre les 5 et 12 octobre 1957, Partie 3

Le satellite le plus simple ou vaisseau spatial PS-1, autrement dit Spoutnik I, un peu avant son lancement, septembre 1957. NASA.

Le Québec / Canada et le satellite le plus simple, le vaisseau spatial PS-1, autrement dit Spoutnik I : Un survol de ce qui se publie dans la presse québécoise francophone entre les 5 et 12 octobre 1957, partie 2

Un dessin un tant soit peu inexact du vaisseau spatial PS-1, autrement dit Spoutnik I, en orbite autour de la Terre. Anon., « Fusées et satellites seraient invincibles. » Le Soleil, 8 octobre 1957, 1.

Le Québec / Canada et le satellite le plus simple, le vaisseau spatial PS-1, autrement dit Spoutnik I : Un survol de ce qui se publie dans la presse québécoise francophone entre les 5 et 12 octobre 1957, Partie 1

Eldon Douglas McEarchern travaillant sur son Piper PA-18 Super Cub agricole sous le regard d’un de ses fils, Carman, Manitoba. Anon., « Les fermiers volants de l’ouest canadien ». Le Samedi, 22 octobre 1960, 25.

Oh, quel matin magnifique! Oh, quelle journée magnifique! : Un aperçu de la première décennie du mouvement des fermiers volants au Canada

 Une des batteuses remorquées conçues et fabriquées par Dion & Frère Incorporée de Sainte-Thérèse-de-Blainville, Québec. Anon., « Publicité – Dion & Frère Incorporée. » Le Bulletin des agriculteurs, septembre 1940, 47.

Un siècle de technologie et d’innovation agricoles dans la région québécoise des Laurentides : De Dion & Frère à Dion-AG

Jani Moreau, agente de bord, telle qu’imaginée par l’artiste Nicole Lapointe. Anon., « Un nouvel illustré : Jani hôtesse de l’air. » Claire, 15 septembre 1960, couverture.

Elle n’est pas une serveuse dans le ciel : Jani hôtesse de l’air et quelques mots sur la présence des agentes de bord dans la culture populaire

Une furieuse Clara déchiquetant le biplan Curtiss piloté par George F. Russell, Dongan Hills, New York, 10 septembre 1910. Anon., "La vache et l’aéroplane". Le Petit Journal - Supplément illustrée, 25 septembre 1910, 312.

Une rencontre rapprochée de type étrange et inhabituel, ou, Comment Clara la vache a rencontré un biplan Curtiss à Staten Island, New York, New York

Le premier avion de ligne Douglas DC-3 livré aux Lignes aériennes Trans-Canada, Aéroport de Montréal (Dorval), Dorval, Québec, vers 1945-48. MAEC, numéro de négatif 25515

Un rutilant exemplaire d’un des aéronefs les plus célèbres et importants du 20ème siècle : Le Douglas DC-3 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada

Le premier avion léger /privé Fleet Modèle 80 Canuck, Fort Erie, Ontario, mars 1946. Cet aéronef appartient à Sturgeon Air Services Limited de Fredericton, Nouveau-Brunswick. MAEC, négatif numéro KM-07962

Enseigner à voler car il a des ailes : L’avion léger / privé canadien Fleet Modèle 80 Canuck

Un Zenair CH-701 fabriqué sous licence par Czech Aircraft Works Společnost s ručenim omezeným, Oshkosh, Wisconsin, juillet 2011. Wikimédia.

Née dans un garage, mais maintenant le monde entier est un marché pour Zenair Limited : Un coup d’œil sur les concepts de l’ère de la Guerre froide de Christophe Jean Heintz, partie 2

Christophe Jean Heintz aux commandes du Heintz Zenith. Anon., « –. » Aviation magazine international, 15 au 31 août 1970, couverture.

Née dans un garage, mais maintenant le monde entier est un marché pour Zenair Limited : Un coup d’œil sur les concepts de l’ère de la Guerre froide de Christophe Jean Heintz, partie 1

Le satellite-ballon Echo 1A au cours d’un essai de gonflement, 1960. National Aeronautics and Space Administration.

Les merveilleux ballons en plomb de Claude Williams Coffee, Junior, Walter Edward Bressette et William J. O’Sullivan : Les satellites-ballons Echo au Québec et ailleurs, Partie 2

Le satellite-ballon Echo 1A filant dans le ciel, au-dessus de l’École normale de Chicoutimi, Chicoutimi, Québec. Dominique Lapointe, « Une visite qui nous est devenue familière – L’Écho 1 continue à se promener tous les soirs sur notre région. » Le Progrès du Saguenay, 27 août 1960, 7.

Les merveilleux ballons en plomb de Claude Williams Coffee, Junior, Walter Edward Bressette et William J. O’Sullivan : Les satellites-ballons Echo au Québec et ailleurs, Partie 1

Un des Found FBA-2 de Georgian Bay Airways Limited. H.L. « Des US et du Canada 2 formules d’avions légers – 1 Le Found ‘Flying Truck.’ » Aviation magazine international, 1er juillet 1964, 39.

Un petit camion volant ontarien déménagé au pays des kiwis : L’avion de brousse Found FBA-2

Le seul et unique Cushioncraft CC1, initialement connu sous le nom de Britten-Norman BN-1 Cushioncraft / CC1 Cushioncraft. Anon., "News Digest - New Cushion-rider." Aviation canadienne, août 1960, 46.

À l’époque, ça semblait être une bonne idée : Les bananes du Cameroun britannique et l’aéroglisseur Cushioncraft CC1

Le seul et unique Canadian Car & Foundry CBY-3 Loadmaster. MAEC, numéro de négatif 17826.

Les huit vies d’un wagon de marchandises volant unique, le Canadian Car & Foundry CBY-3 Loadmaster

La fusée atomique / nucléaire pulsée imaginée par l’illustrateur américain bien connu Francis Xavier Theban Tinsley. Anon., « Publicité – American Bosch Arma Corporation. » Aviation Week, 4 juillet 1960, 13.

Un méchant souffle du passé : Francis Xavier Theban Tinsley et la fusée atomique / nucléaire pulsée

Walter Thomas Leavens examinant les coupes qui entraînent l’agitateur monté à l’intérieur de la trémie de l’avion léger / privé Piper J-5 Cub Cruiser utilisé par Leavens Brothers Air Services Limited. Anon., « Crop Dusting with a Cub. » Canadian Aviation, juillet 1945, 50.

Désherbez-les et récoltez : Leavens Brothers Air Services Limited et les premiers jours de l’aviation agricole en Ontario / au Canada après la Seconde Guerre mondiale

L’Aviateur du Pacifique.

Un roman d’anticipation et de guerre de la Belle Époque : L’Aviateur du Pacifique du capitaine Danrit (Émile Driant)

Le planeur à réaction Fouga CM.8 Cyclone / Sylphe. Anon., “–.” Aviation Magazine, 1er juin 1950, couverture.

J’aime les nuages… les nuages qui passent… là-bas… là-bas… les merveilleux nuages! Les Établissements Fouga et Compagnie et ses planeurs à réaction

La voiturette Sharp / Bond Minicar Mk A présentée à la population de Montréal, Québec, par le concessionnaire Budd & Dyer Limited. Anon., « Jusqu’à 110 milles au gallon. » La Presse, 10 juin 1950, 26.

Une voiturette conçue à une époque d’austérité : La Bond Minicar

Un hydroplaneur Koser / Koser-Hrovat KB-3 Jadran, mer Adriatique, été 1949. En arrière-plan, le navire à passagères et passagers côtier Dalmacija de la firme maritime d’état Jadranska Linijska Providba. Anon., « Gliding and sailplanes in Yugoslavia. » Sailplane and Glider, juin 1950, 125.

Au-dessus des étangs, au-dessus des vallées : L’hydroplaneur Koser / Koser-Hrovat KB-3 Jadran

Le tsar Nikolaï II, à gauche, les mains derrière le dos, regardant les aéroplanes qui ont participé à la Sankt-Peterburgskaya aviatsionnaya nedelya, Saint-Pétersbourg, Empire russe. Anon., « Nouvelles sportives – Le tsar chez les aviateurs. » La Revue aérienne, 10 juin 1910, 349.

Miracle des miracles, regardez ce que l’avion a ramené : La Sankt-Peterburgskaya aviatsionnaya nedelya

Le Danois Jan Bo Kristensen effectuant un atterrissage de précision avec un parachute-voile lors d’une compétition nationale organisée par la Dansk Faldskærms Union, Randers, Danemark, août 2005. Wikipédia.

L’imagination est le plus haut cerf-volant que l’on puisse faire voler : La vie et l’époque d’un maître du vent, Domina Cléophas Jalbert, Partie 2

Domina Cléophas Jalbert, à gauche, et Hamnett Pitzer Munger avec un des ballons cerfs-volants fabriqués par Jalbert Aerological Laboratory Incorporated pour étudier la pollution atmosphérique. Anon., « Ce que devient un jouet d’enfant. » La Presse, 23 mai 1950, 3.

L’imagination est le plus haut cerf-volant que l’on puisse faire voler : La vie et l’époque d’un maître du vent, Domina Cléophas Jalbert, Partie 1

Deux des jeunes employés de Ontario Model Aircraft Company au travail, Toronto, Ontario. Arthur Lowe, « Kindergarten of the Air. » Maclean’s, 1er mai 1940, 24.

Une maternelle pour l’ère de l’aviation : Ontario Model Aircraft Company / Model Craft Hobbies Limited et quelques autres mots sur l’aéromodélisme au Canada avant et pendant la Seconde Guerre mondiale

Le seul et unique Monte-Copter Modèle 15 Triphibian, Seattle, Washington. Anon., « World Air News. » Air Pictorial, mai 1960, 167.

Le jour des triphibes : Monte-Copter Incorporated et l’hélicoptère Modèle 15 Triphibian

Le petit chéri de Vladislav Verner, le Verner W-01 Brouček. Anon., « Private Flying. » Flight International, 14 mai 1970, 806.

Malé letadlo a skvěly příběh / Un petit avion et une grande histoire : L’avion de construction amateur Verner W-01 Brouček

La caisse contenant le Blériot Type XI de Jean Versailles sur le camion hippomobile spécialement équipé de Shedden Forwarding Company Limited, Montréal, Québec. Anon., « Le premier aéroplane à Montréal. » La Presse, 28 mai 1910, 12.

Montréal a son premier aéroplane : Le Blériot Type XI de Jean Versailles et William Carruthers

Personnel au sol chargeant des approvisionnements dans la soute à bombes d'un Avro Lancaster du 514e escadron de la Royal Air Force au cours de l'opération Manna, le largage de nourriture à la population néerlandaise affamée.

Il leur donna le pain du ciel à manger : Quelques mots sur l'opération Manna et l'opération Chowdown, avril-mai 1945

Un garçon et des éléments d’un jouet exposé à l’édition de 1950 de la foire des jouets de New York, New York : Stefan Olsen et la chambre à nuages du Gilbert Atomic Energy Lab. Anon., “Initiation atomique.” Photo-Journal, 13 avril 1950, 20.

Un des jouets les plus dangereux de tous les temps : Le Gilbert Atomic Energy Lab

Un des Aeronautica Macchi AL-60 utilisés au Canada par Northwest Industries Limited pour intéresser des clients potentiels, Edmonton, Alberta. Anon., « Aeronews. » Air Progress, juillet 1969, 15.

Un L-402 sous tout autre nom est encore un L-402 – ou un AL-60 ou un Conestoga ou un Ranger ou un Santa Maria ou un Trojan, à moins qu’il ne soit un Kudu, Partie 2

Le premier prototype du Lockheed L-402. Anon., « Le Lockheed-Azcarate C.L.-402. » Les Ailes, 16 avril 1960, 1.

Un L-402 sous tout autre nom est encore un L-402 – ou un AL-60 ou un Conestoga ou un Ranger ou un Santa Maria ou un Trojan, à moins qu’il ne soit un Kudu, Partie 1

Une des publicités publiées dans des quotidiens québécois pour promouvoir la nouvelle automobile Glas Goggomobil T700. Anon., « Publicité - Eugène Roy Limitée. » La Presse, 1er avril 1960, 39.

À la recherche de… la Glas Isar / Isard T700, une automobile précédemment connue sous le nom de Goggomobil T700

Le traîneau aérien conçu et fabriqué par Kenneth J. Richards. Anon., « Traîneau moderne. » L’Auto, 9 février 1940, 1.

La semaine mystérieuse magique attend pour vous emporter, ou, Est-ce que quelqu’un dans la blogosphère sait quoi que ce soit sur le traîneau aérien Richards ou le traîneau aérien Lawrence?

De gauche à droite, Boum-Boum, Ba-Ba et Bi-Bi, en d’autres mots les Lunours. Anon., “Toute la vérité sur la soucoupe de St-Bruno –Un coup monté de $100,000.” Photo-Journal, 23 février au 1er mars 1970, 1.

Nous sommes Bi-Bi Ba-Ba Boum-Boum: La saga des Lunours

Un exemplaire du turboréacteur suédois STAL Skuten en montre, sous bonne garde, à Stockholm, Suède. Anon., « Production – First Swedish Turbojet Revealed. » Aviation Week, 27 mars 1950, 36.

Un conte de deux moteurs, ou quatre, ou même six : Les STAL Skuten, Dovern et Glan

Frances Marian « Poppy » Northcutt dans une des expositions sur l’espace du Palais de la Découverte, un centre des sciences à Paris, France, pas au Texas. Anon., « Astronautique – ‘Poppy’ à Paris. » Aviation Magazine International, 15 au 31 mars 1970, 42.

Ses parents trouvent qu’elle fait un métier passionnant, mais ils aimeraient qu’elle se marie : Frances Marian « Poppy » Northcutt à la NASA et au-delà

Turi Widerøe parlant avec une agente de bord dans un avion de ligne à réaction Sud Aviation SE 210 Caravelle de Scandinavian Airlines System Denmark-Norway-Sweden. J.-C Fortin. « SAS ne compte qu’une seule femme pilote de ligne : Turi Wideroe. » Le Petit Journal, 1er mars 1970, 28.

Turi Widerøe est passée en coup de vent à Montréal l’autre jour

Quelques aspects de la quatrième exposition d’automobiles et de bateaux de Montréal. Anon., « Ouverture de l’exposition d’automobiles et de yachts. » La Presse, 28 mars 1910, 1.

Une semaine au Coliseum : L’exposition d’automobiles et de bateaux de Montréal de 1910 et les premiers aéroplanes en exposition au Québec / Canada

La docteure Margaret Beznak avec un de ses sujets de recherche. Elizabeth Motherwell, « Elle succède à son mari à la tête de la faculté de physiologie de l’U. d’Ottawa. » La Tribune, 3 février 1960, 17.

Un exemple stellaire de la contribution faite par les gens qui choisissent le Canada : Quelques mots sur la vie et l’époque de la docteure Margaret Beznak

Les sœurs Maria Cleofas et Maria Innocenza des Sœurs franciscaines de Saint-Louis de Gonzague à bord d’un avion léger / privé AVIA / Lombardi FL.3 au cours de leur formation de pilote, Turin, Italie. Anon., « Le ciel leur appartient. » Le Soleil / Perspectives, 20 février 1960, 12.

Sœur Bertrille n’est pas la première sœur volante, ou, Parlons des sœurs Maria Cleofas et Maria Innocenza – et de sœur Mary Aquinas aussi

Le Bellanca CH-300 Pacemaker du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada à Ottawa, Ontario, vers 2007. Wikipédia.

Si loin de chez lui : Le Bellanca CH-300 Pacemaker du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, Partie 2

Un Bellanca CH-300 Pacemaker utilisé par Alaska Coastal Airlines, Incorporated, Juneau, Alaska. Cet hydravion à flotteurs est maintenant exposé au Musée de l’aviation et de l’espace du Canada à Ottawa, Ontario. Keith Petrich, “Bush Flying Is Dead.” Air Trails Pictorial, février 1945, 26.

Si loin de chez lui : Le Bellanca CH-300 Pacemaker du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, Partie 1

Une voiturette New-Map / Rolux Baby typique. Anon., « La voiturette ‘Baby VB-60’ à Québec au milieu de février. » L’Action catholique, 14 janvier 1950, 12.

La voiture qui est plus économique que le tramway : La voiturette New-Map / Rolux Baby

Charles Aznavour avec le véhicule tout-terrain Beehoo / Magna Amphicat qu’il examine, Montréal, Québec. Sa fille Seda est près de lui. Suzanne Piuze, « Aznavour m’a dit… » La Patrie, 25 janvier 1970, 20.

J’aimerais en posséder une; son mon bateau, ce serait épatant : Le voyage hors route du Beehoo / Magna Amphicat

L’habitat lunaire imaginé par Rocco G. « Roy » Scarfo. Anon., « C’est écrit dans le ciel. » La Patrie du dimanche, 24 janvier 1960, 6.

Il était un des grands : Rocco G. « Roy » Scarfo, peintre de l’espace, et le monde au-delà de demain

Démonstration de la légèreté du turboréacteur Williams Jet No.1. Anon., « 23-lb Turbojet Develops 70 lb. Of Thrust. » Aviation Week and Space Technology, 18 janvier 1960, 126.

Ce moteur est peut-être un peu lourd mais son sourire demeure toujours : Le Williams Jet No. 1 et ses successeurs

L’avion de ligne General Development / Christmas, près de New York, New York. Anon., “Potężny łoskot silników powietrznych gigantów powitał rok nowy.” Lot Polski, janvier 1930, 1.

Le puissant rugissement des moteurs des géants des airs saluent la nouvelle année : La troublante saga de William Wallace Whitney Christmas

Quelques actrices et acteurs ayant contribué au succès de la série télévisée de science-fiction québécoise Opération-Mystère, 1958. De gauche à droite, Luce Guilbeault, Marcel Cabay, Georges Groulx, Louise Marleau et Hervé Brousseau. Société Radio-Canada.

Opération-Mystère, une série télévisée qui répond aux goûts de la génération des spoutniks et des soucoupes volantes

Le pont en aluminium d’Arvida, Arvida / Saguenay, Québec. Anon., « Premier pont tout en aluminium. » Le Petit Journal, 4 décembre 1949, 51.

Sur le pont d’Arvida, un site historique national de génie civil, on y danse, on y danse

Le Piaggio P-7 au repos dans son élément. Joaquin de la Llave y Sierra, « Antes y después de la Copa Schneider. » Aérea, décembre 1929, 8.

Si vous ne réussissez pas du premier coup, essayez, essayez, essayez, essayez, essayez encore : L’étrange histoire du Piaggio P-7

Une affiche du film de science-fiction japonais Uchû Daisensô

Uchû Daisensô, ou, Une bataille dans l’espace extra-atmosphérique en provenance du pays du Soleil levant

La toute première automobile / voiturette Zar Zar-Car, Windsor, Ontario. Arthur Prévost, « La première auto entièrement canadienne bientôt en vente! » Le Petit Journal, 25 octobre 1959, 67.

À la recherche d’une voiture canadienne : La Zar de toutes les Windsor

L’astrophysicienne soviétique Alla Genrikhovna Masevitch et sa fille, Natasha Josifovna Friedlander. Sam Schecter, “Deux Canadiens en Russie – Rencontres avec l’élite russe.” Le Soleil / Perspectives, 26 septembre 1959, 11.

Son nom est Masevitch, Alla Genrikhovna Masevitch

L’ornithoptère University of Toronto Institute for Aerospace Studies Great Flapper au cours d’essais, Malton, Ontario, 2005. http://www/ornithopter.net

Voler, comme dans un rêve : La saga du Great Flapper

Beth Ross posant pour un photographe alors qu’elle nettoie le fragment principal de la chondrite de Dresden devant le bureau de The Dresden News. Anon., “Adding lustre to meteor that startled a province.” Toronto Daily Star, 13 juillet 1939, 1.

L’art de la négociation en Ontario rural; ou, La triste histoire de la chondrite de Dresden

L’ingénieur canadien Owen Eugene Maynard avec une maquette du véhicule lanceur Convair Atlas surmonté d’une capsule spatiale McDonnell Mercury, 1962. Roger Nadeau, « Une foule de techniciens canadiens ont pris part au vol d’Apollo 11. » Le Petit Journal, 20 juillet 1969, 4.

Le petit gars de Sarnia qui a mis le premier humain sur la Lune

Le premier Taylor J.T.1 Monoplane, White Waltham, Angleterre. Anon., « Sport and Business. » Flight, 19 juin 1959, 839.

Tinker, Taylor, monoplan

Trois des interprètes du téléroman Amour, délices et cie, avec son concepteur, Joseph Louis Réal Giguère, Montréal, Québec. François Piazza, « Sur les ailes de Télé-Métropole – Amour, délices et cie s’envole. » Photo-journal, du 18 au 25 juin 1969, 44.

Amour, délices et cie

Un prototype du traîneau aérien Kamov Sever-2 dans son élément. Anon., « ’Mail Train’ to North. » The Gazette, 26 mars 1959, 2.

Oh quel plaisir de faire une promenade dans un Kamov Sever-2

La voiture concept SIMCA Fulgur. Aux commandes se trouve la parachutiste et mannequin française Colette Duval. Anon., « Actualités. » La Patrie du dimanche, 1er mars 1959, 2.

Elle est fulgur, fulgur, fulgur, fulgurable

La montgolfière Spirit of Canada. Peter Calamai, “Lots of hot air and a high old time.” Canadian, 26 août 1967, 14.

Ce merveilleux fou volant et sa drôle de machine

La section de route surveillée par le radar de vitesse de la Connecticut State Police, près de Glastonbury, Connecticut. Anon., “L’actualité en images – Pièges à comboys.” La Patrie, 16 février 1949, 14.

Les pièges à cowboys ne datent pas d’hier

Cecil George Armitage aux commandes d’un Aérodoo, rivière Richelieu, Québec, novembre 1968. Anon., « Et maintenant… l’Aérodoo. » Vallée de la Petite Nation, 30 janvier 1969, 15.

Le candidat mancunien; ou, comment flotter près du sol avec la plus grande facilité

Quelques membres de la Ligue des avions miniatures de Montréal en train d’examiner le modèle réduit radiocommandé alors en construction. Christian Verdon, « Avion-miniature contrôlé par la radio. » La Patrie, 7 janvier 1939, 44.

Une ligue à eux: L’histoire longtemps oubliée de la Ligue des avions miniatures de Montréal

Une affiche du film From the Earth to the Moon, la version originale anglaise de De la Terre à la Lune

Jules Gabriel Verne n’aurait pas été amusé : De la Terre à la Lune

Une image du générique de CF-RCK.

Une série télévisée captivante : CF-RCK, Partie 2

Les principaux comédiens de la série télévisée CF-RCK de la Société Radio-Canada, Yves Létourneau (à droite) et René Caron. Anon., « Une scène de CF-RCK avec René Caron et Yves Létourneau. » La semaine à Radio-Canada, du 2 au 8 janvier 1960, couverture.

Une série télévisée captivante : CF-RCK, Partie 1

Le chargement de Voo-Doo, le Waco Hadrian utilisé lors du premier vol transatlantique par un planeur de transport, Aéroport de Montréal (Dorval), Dorval, Québec, juin 1943. Anon., “Flying into focus”. Flying Aces, octobre 1943, 7.

C’est magnifique. C’est splendide. C’est inutile.

L’animateur de l’émission de télévision hebdomadaire Plein Ciel à droite, et son conseiller technique, le capitaine Marcel Everard. Anon., “Introduction à l’aviation.” La semaine à Radio-Canada, 29 novembre au 5 décembre 1958, 12.

Une émission de télévision que j’aurais aimé voir dans ma jeunesse

Envol du ballon à hydrogène qui emporte vers le ciel l’antenne de l’émetteur radio d’urgence américain BC-778, mieux connu sous le nom de « Gibson Girl. » Anon., « Gibson Girl to the rescue. » Flying Aces, septembre 1943, 30.

L’imitation est la plus belle forme de flatterie

The very first Pentecost Hoppi-Copter. Anon., “Have you seen?” Flying, September 1945, 67.

Une idée venue d’une époque où le ciel est la limite, Partie 2

A l’arrière, le Rohrbach Ro VIII Roland d’Iberia, Compañía Aérea de Transportes Sociedad anónima utilisé pour le vol Madrid-Barcelone du 14 décembre 1927. Anon., “Inauguración del nuevo servicio aéreo Madrid-Barcelona.” Aérea, octobre-décembre 1927, 33.

Jamais le dimanche : La grande histoire d’un Roland ibérien, Partie 1

Articles connexes

Le chemin de fer aérostatique / chemin de fer au ballon proposé par Friedrich Volderauer. Salvatore Pannizzi, « Mountain Railways. » The Wide World Magazine, juillet 1898, 304.

Les voyages ferroviaires les plus scéniques du monde, animée par vous savez qui – Saison 7, Épisode 7 – Le Aerostatischen Bahn / Luftballon-Eisenbahn de Friedrich Volderauer

La locomotive gaiement décorée W.H. Pangman et les wagons plats qu’elle remorque lors de la première traversée du fleuve Saint-Laurent entre Hochelaga / Montréal, Québec, et Longueuil, Québec, janvier 1880. R. Richou, « Un chemin de fer sur la glace. » La Nature, 28 avril 1883, 349.

Tirer des marchandises sur une glace mince : Le chemin de fer du pont de glace entre Longueuil, Québec, et Hochelaga / Montréal, Québec, partie 1

Un dispositif de dégivrage de piste de Woolery Machine Company en action à l’aéroport de Cologne-Wahn, Cologne, Allemagne de l’Ouest. Anon., « Ancillary Review – Flame-throwing – On Ice. » The Aeroplane and Commercial Aviation News, 28 février 1963, 29.

Allez, PB, allume mon feu. Essaie de mett’ la glace en feu : Un coup d’œil sur la firme américaine Woolery Machine Company et sur certaines de ses idées et produits

Photo noir et blanc de six porteurs noirs en uniforme, côte à côte devant un train. Souriants, ils regardent la caméra ou se regardent entre eux.

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Photo prise au centre d’une vaste salle, avec deux rangées de locomotives et de matériel roulant.

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Le tout premier tramway électrique exploité par Telegraphen-Bau-Anstalt von Siemens & Halske, Berlin, Empire allemand. Anon., « The first electric railway in Berlin. » Canadian Illustrated News, 9 juillet 1881, 21.

Un tramway nommé Straßenbahn Groß-Lichterfelde, ou, Comment Telegraphen-Bau-Anstalt von Siemens & Halske met en service le premier tramway électrique au monde

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