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Franchement, ma chère / mon cher, nous avons donné un barrage : Le Canada et le barrage de Warsak au Pakistan

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24 janv. 2021
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Par : Rénald Fortier
Ingenium - Musées des sciences et de l’innovation du Canada
Une vue du barrage de Warsak, nord du Pakistan occidental. Anon., « Inauguration du barrage de Warsak. » Le Droit, 27 janvier 1961, 12.
Une vue du barrage de Warsak, nord du Pakistan occidental. Anon., « Inauguration du barrage de Warsak. » Le Droit, 27 janvier 1961, 12.

As salamu alaykum, ami (e) lectrice ou lecteur. Nous sommes réunis ici aujourd’hui pour examiner un des nombreux exemples de la contribution du Canada au fil des ans au développement des pays en voie de développement. Et oui, l’exemple que votre humble serviteur a en tête est le barrage de Warsak, au Pakistan – une contribution technologique majeure si je puis le dire (taper?).

Passons d’abord en revue la légende de la photographie que vous venez de voir, qui est publiée dans l’édition du 27 janvier 1961 du seul quotidien de langue française d’Ottawa, Ontario, Le Droit.

L’industrie et l’agriculture du Pakistan connaîtront un nouvel essor par la suite de l’inauguration du grand barrage de Warsak, construit sur la rivière Kabu [sic], à [1 600 kilomètres] 1,000 milles au nord de Karachi. On voit à droite le flot d’eau à travers les immenses portes de [12 mètres] 40 pieds de hauteur sur [12 mètres] 40 pieds de largeur. Le barrage restera toujours un monument de la coopération canado-pakistanaise dans le Plan de Colombo.

Pour paraphraser, en traduction, le chanteur du groupe new wave américain Talking Heads, dans sa chanson à succès de 1981 Once in an lifetime, vous pouvez vous demander ce qu’était / est le Plan de Colombo. Une bonne question.

Le Colombo Plan for Co-operative Economic Development in South and South-East Asia, ou Plan de Colombo en abrégé, est élaboré lors de la Commonwealth Conference on Foreign Affairs tenue à Colombo, Ceylan (l’actuel Sri Lanka), en janvier 1950. Son objectif manifeste est d’aider au développement économique de l’Asie du Sud et du Sud-Est, lire Ceylan, Inde et Pakistan, en utilisant certaines sommes d’argent données par l’Australie, le Canada, la Nouvelle-Zélande et le Royaume-Uni.

Et oui, la Guerre froide étant la Guerre froide, le Plan de Colombo vise également à aider les gouvernements de ces pays nouvellement indépendants à combattre les mouvements et partis communistes à l’intérieur de leurs frontières.

Remarquez, il y a apparemment des gens au sein du gouvernement britannique qui craignent que les gouvernements de Ceylan, de l’Inde et du Pakistan, qui ont cruellement besoin d’argent pour développer leur économie, rappellent les prêts que leurs gouvernements antérieurs à l’indépendance, sous contrôle britannique, font au Royaume-Uni pendant la Seconde Guerre mondiale. De telles demandes légitimes de remboursement auraient encore aggravé la situation financière désastreuse du Royaume-Uni à l’époque. Le Plan de Colombo peut donc être considéré, en partie, comme un moyen de, si votre humble serviteur peut être brutal, pelleter une partie des besoins financiers pleinement justifiés de Ceylan, de l’Inde et du Pakistan dans les arrière-cours de l’Australie, du Canada et de la Nouvelle-Zélande. On peut se demander si ces pays sont pleinement conscients de ce qui se passe peut-être.

Et non, le gouvernement sud-africain, étant la belle entreprise blanche qu’elle est, ne montre aucun intérêt à participer, et ce même s’il a un représentant à la conférence. Pour être honnête, on peut soutenir que les gouvernements et populations d’Australie, du Canada, de Nouvelle-Zélande et du Royaume-Uni contiennent leur juste part de Homo sapiens racistes.

Soit dit en passant, la Guerre froide étant toujours la Guerre froide, le Plan de Colombo attire rapidement de nouveaux membres. À la fin de 1958, 2 autres pays, des pays n’appartenant pas au Commonwealth en surcroît, contribuent du pognon au pot collectif, à savoir les États-Unis et le Japon. On peut se demander si ce dernier rejoint le groupe de son plein gré.

La liste des pays bénéficiaires, quant à elle, est passée du trio mentionné ci-dessus à 12 pays indépendants (Birmanie (l’actuel Myanmar), Cambodge, Ceylan, Inde, Indonésie, Laos, Malaisie, Népal, Pakistan, Philippines, Thaïlande et Vietnam du Sud), ainsi que 4 territoires contrôlés plus ou moins directement par le Royaume-Uni (Bornéo, Brunei, Sarawak et Singapour).

Et oui, le Plan de Colombo, connu depuis 1977 sous le nom de Colombo Plan for Cooperative Economic and Social Development in Asia and the Pacific, est toujours en vigueur au début de 2021. De fait, il y a 27 pays membres dans l’organisation. Le Canada n’en fait toutefois plus partie. Le gouvernement dirigé par Martin Bryan Mulroney se retire en 1992. Le Royaume-Uni l’a fait l’année précédente, mais revenons à notre histoire.

L’histoire du barrage de Warsak commence vers 1947 lorsque le Public Works Department du gouvernement de ce qui est alors la North West Frontier Province de l’Inde commence à examiner la possibilité de construire un barrage sur la rivière Kaboul, non loin de Peshawar, une ville animée et la capitale de la province.

Cette région de l’Inde est semi-désertique et montagneuse, avec de nombreuses gorges étroites. Avec seulement quelques petites parcelles de terre sur lesquelles elles peuvent cultiver de la nourriture, et de petits troupeaux de chèvres pour fournir de la viande, les tribus pachtounes locales doivent souvent recourir à des tactiques de prédation contre des gens légèrement mieux nantis vivant dans des endroits plus fertiles. Elles doivent également recourir à la contrebande, vers et depuis l’Afghanistan ou la Chine. Les produits qu’elles transportent sont assez variés, et pas toujours légaux.

Quoiqu’il en soit, les forces militaires britanniques stationnées dans la North West Frontier Province tentent pendant des décennies de maîtriser les populations fortement indépendantes qui y vivent, avec un succès variable. Dans les années 1920 et 1930, la Royal Air Force (RAF) se lance dans cette voie, avec un succès limité, et… Me voilà en train de digresser à nouveau. Désolé.

Néanmoins, votre humble serviteur aimerait souligner que le bombardier léger Hawker Hind du tout à fait étonnant Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, à Ottawa, Ontario, est très similaire aux Hawker Hart et Audax pilotés par des équipages de la RAF dans la North West Frontier Province au cours des années 1930. Croiriez-vous que l’aéronef du musée est utilisé par le Šāaêy Dāfǧānstān Aoāyy Dzoāk, ou armée de l’air royale afghane, entre la fin des années 1930 et un certain point dans les années 1940?

Maintenant, vous vous demandez peut-être pourquoi le gouvernement pakistanais veut construire un barrage dans la North West Frontier Province. Une bonne question. Confrontée à une population en croissance rapide et à des superficies limitées de terres cultivables, il a besoin d’eau pour irriguer des parcelles de terre supplémentaires qui pourraient être utilisées pour nourrir un nombre croissant de personnes. Remarquez, le gouvernement a également besoin de plus en plus d’électricité pour alimenter les nouvelles industries qu’il veut créer afin d’améliorer le niveau de vie des dites personnes.

Quoiqu’il en soit, un conglomérat de conseil et conception formé par 3 sociétés de conseil étrangères bien connues et respectées est invité à soumettre un rapport de projet provisoire sur le barrage de Warsak, qui est apparemment nommé d’après un village de huttes de terre situé à proximité.

Que le contrat soit attribué avant ou après que l’Inde et le Pakistan sont devenus des pays indépendants, en août 1947, n’est pas clair. Quoiqu’il en soit, de nouveau, le site du futur barrage se trouve au Pakistan occidental, la moitié ouest du Pakistan – un pays scindé en 2 à la suite de la partition de l’Inde.

Oh, au fait, les firmes qui forment le dit conglomérat, Merz Rendel Vatten (Pakistan), sont

- Merz & McClellan Consulting Engineers Limited, un consultant britannique en génie électrique et mécanique,

- Rendel, Palmer and Tritton Limited, un consultant britannique en génie civil, et

- Aktiebolaget Vattenbyggnadsbyran, un consultant suédois en génie hydroélectrique.

Si on en croit un chroniqueur australien respecté, Douglas Wilkie, dans une chronique publiée en février 1951, certaines tribus pachtounes retardent le projet d’une manière ou d’une autre.

Quoiqu’il en soit, Merz Rendel Vatten (Pakistan) soumet son rapport intérimaire de projet en 1951. Le gouvernement pakistanais l’examine de manière approfondie, ainsi que celui concernant un projet de barrage sur le fleuve Indus. Il choisit de poursuivre le projet de barrage de Warsak. Les travaux sur le site commencent peu après.

Pendant que cela se déroule, le gouvernement fédéral, d’accord, d’accord, le gouvernement canadien, s’intéresse au projet pakistanais. Le Canada et le Pakistan signent apparemment une sorte d’accord en 1952. C’est ainsi que naît le plus grand projet humanitaire financé à ce jour par le Canada.

L’administrateur de la Division économique et technique internationale du ministère des Affaires extérieures du Canada, qui supervise le Plan de Colombo, entre 1951 et 1957, joue un rôle important dans la participation du Canada. Né au Royaume-Uni, Reginald George « Nik » Cavell est tout un personnage, avec de multiples carrières avant 1951 (violoniste de théâtre, faire-valoir d’un comédien, officier de la Indian Army, marchand de chevaux, magistrat, agent de prévention de la peste, éleveur de moutons, journaliste, dirigeant de compagnie de téléphone, agent secret et président de société (2 fois ), et président d’instituts (affaires étrangères et internationales), dans des pays aussi éloignés que le Royaume-Uni, l’Inde, l’Afrique du Sud, la Chine, le Japon et le Canada.

Si je peux me permettre d’exprimer une opinion, un événement rare comme nous le savons toutes / tous les 2, Cavell mérite sinon une thèse de doctorat complète, du moins un mémoire de maîtrise.

Soit dit en passant, le ministère des Affaires extérieures n’est pas la seule entité du gouvernement fédéral liée au Plan de Colombo. Jusqu’en 1960, l’aide étrangère canadienne est supervisée conjointement par ce dernier ainsi que par le ministère des Finances et le ministère du Commerce, dans le dernier cas par l’intermédiaire de sa Direction d’assistance économique et technique. L’arrangement fonctionne raisonnablement bien la plupart du temps, mais pas très bien tout le temps.

Le Premier ministre du Canada, Louis Stephen St-Laurent, un gentilhomme mentionné dans des numéros de juillet 2019 et octobre 2020 de notre blogue / bulletin / machin, visite le site du futur barrage de Warsak en février 1954, dans le cadre d’une visite officielle au Pakistan.

Le Canada et le Pakistan signent un autre accord en novembre de la même année, au Pakistan. Le gouvernement fédéral accepte de fournir plus de pognon, ainsi que des équipements et services techniques.

Peu de temps après, le gouvernement fédéral choisit H.G. Acres & Company Limited comme cabinet de conseil. Bien connue pour son expertise en génie hydroélectrique, la firme de Niagara Falls, Ontario, doit préparer un plan détaillé pour le site.

Le contrat pour la construction du barrage proprement dit est attribué en août 1955 à une entreprise de construction canadienne bien connue. Angus Robertson (Overseas) Limited effectue le travail pour le compte de Angus Robertson Limited de Toronto, Ontario.

Soit dit en passant, le premier envoi d’équipement / machinerie canadien quitte Montréal ce même mois, à bord du SS City of Doncaster, un cargo appartenant à une compagnie maritime britannique.

Le secrétaire d’état aux Affaires extérieures du Canada visite le site en novembre 1955, avec son épouse, Maryon Elspeth Moody Pearson, dans le cadre d’une visite officielle au Pakistan. Croiriez-vous que Lester Bowles « Mike » Pearson aurait appuyé sur le bouton qui fait sauter la première charge explosive posée à Warsak?

Mieux encore, peut-être, des chefs de tribu pachtounes offrent des cadeaux à Pearson, à savoir quelques fusils, une paire de poignards et un revolver fait à la main, en guise de remerciement pour le travail effectué à Warsak. Bien que déconcerté au départ, le Canadien noue rapidement une ceinture de poignard autour de sa taille, alors que son épouse immortalise la scène avec une photo – ou peut-être deux.

À la fin de 1955, environ 200 Canadiennes et Canadiens, dont beaucoup sinon la plupart sont des ingénieurs et des techniciens, sont à Warsak. Ce nombre passe à environ 300 en 1957. Nombre de ces ingénieurs et techniciens viennent dans cet endroit isolé avec leur épouse et leurs enfants. Ils vivent dans des bungalows climatisés dans un village entièrement construit par le gouvernement pakistanais.

Bien avant que la construction du barrage ne soit terminée, le dit village, oserais-je dire (taper?) communauté fermée, parfois / souvent appelée « Little Canada », en français « Petit Canada, » a des rues pavées, une salle de danse, une piscine, un hôpital de 50 lits, une église, une école, un court de tennis éclairé, une bibliothèque, un commissaire et un bowling. Et n’oublions pas les indispensables bâtiments administratifs. Les susmentionnées activités récréatives sont apparemment situées dans ou autour d’une sorte de centre récréatif.

Dans l’ensemble, la vie est belle, si on ne pense pas trop aux serpents et scorpions. De nombreuses familles canadiennes passent leurs vacances en Afghanistan, en Inde et / ou au Pakistan pendant leur séjour à Warsak.

Les gardes armés pakistanais qui patrouillent et protègent le site du barrage semblent surveiller de près le village canadien.

De nombreux ouvriers et ingénieurs pakistanais regardent avec une envie non dissimulée les logements luxueux des expatriés canadiens. Mais attendez, il y a plus.

Au cours de l’été 1959, le fils du chef de la mission militaire pakistanaise à Washington, District de Columbia, le major-général Mian Hayaud Din, déclare que tout ne va pas bien au « Petit Canada. » En effet, Mian Ahmed Hayaud Din déclare qu’un certain nombre de Canadiens mâles ne sont pas heureux de voir leurs épouses danser avec des ingénieurs pakistanais lors d’un événement qui y est organisé. Remarquez, un certain nombre d’épouses des dits ingénieurs ne sont pas non plus ravies. La présence des Canadiens devient une source d’ennuis, déclare Hayaud Din.

Et non, l’événement en question n’est pas la seule fois où des Canadiennes, Canadiens, Pakistanaises et Pakistanais fraternisent

Votre humble serviteur se demande si le « Petit Canada » existe encore en 2021 et qui l’utilise peut-être, mais je digresse.

Des rumeurs circulent au cours de l’été 1959 selon lesquelles le village serait cédé à la Pākistān Fizā’iyah une fois le barrage achevé. Selon ces rumeurs, l’armée de l’air pakistanaise déménagerait en fait son quartier général de Karachi à Warsak. Ces rumeurs s’avèrent non fondées.

Votre humble serviteur ne peut pas dire qui emménage dans le « Petit Canada » après le départ des Canadiennes et Canadiens. Loger les ingénieurs et techniciens qui contrôlent et entretiennent le site semble un choix logique, mais qu’est que j’en sais?

Malheureusement, cet endroit idyllique peut, je répète peut, être utilisé comme centre de détention provisoire au printemps 1973. Cette histoire commence au début de 1971. De plus en plus frustrée par le traitement qu’elle reçoit du gouvernement pakistanais, une grande partie de la population du Pakistan oriental se rebelle. Elles et ils veulent leur propre pays. L’indépendance du Bangladesh est ainsi proclamée en mars. La répression gouvernementale est sévère. Jusqu’à 10 millions de personnes (15 % de la population!) fuient vers l’Inde, dont le gouvernement leur donne refuge et offre une assistance au mouvement indépendantiste. Furieux de cette aide, le gouvernement pakistanais lance des attaques contre l’Inde en décembre. La guerre indo-pakistanaise de 1971 ne dure que 13 jours. Les forces armées pakistanaises sont battues à plate couture et doivent quitter le Pakistan oriental / Bangladesh.

Il semble qu’un échange de prisonnières et prisonniers (environ 6 000 soldats pakistanais et 10 000 civils bengalis / bangladais) est organisé au printemps 1973, et c’est alors que le « Petit Canada » entre en scène. Environ 200 Bengalis bloqués au Pakistan sont déplacés de leur logement gouvernemental début mai dans le cadre d’une opération policière massive. Ils sont détenus dans 3 localités, dont Warsak, avant leur rapatriement au Bangladesh.

Et revenons au projet de barrage de Warsak. Il est décidé à un moment donné d’installer 4 générateurs électriques, fabriqués par Canadian General Electric Company Limited de Toronto, une filiale du géant industriel américain General Electric Company (GE) – ce qui n’est pas le nombre initialement proposé. Cela étant dit (tapé?), des dispositions sont prises pour inclure une autre paire de générateurs de puissance similaire à une date ultérieure.

Les dits générateurs sont donnés au Pakistan par le gouvernement fédéral, qui fait également don des gigantesques vannes de régulation, fabriquées par Canadian Vickers Limited de Montréal, Québec, ainsi que d’un atelier de construction.

Souhaitez-vous savoir que GE est mentionnée dans des numéros de juin 2018 et janvier 2020 de notre… Il n’y a pas lieu de s’énerver. Je ne faisais que poser la question.

Et rien que pour cela, j’aurai le plaisir infini de souligner que les turbines du barrage sont fabriquées par Dominion Engineering Company Limited de Montréal – une firme mentionnée dans un numéro de mai 2018 de notre blogue / bulletin / machin. Pour couronner le tout, Canadian Vickers est mentionnée quelques / plusieurs fois dans cette publication, et ce depuis mai 2018, mais revenons à notre barrage.

La proximité de la frontière avec l’Afghanistan signifie qu’il faut faire preuve de prudence dans la conception du dit barrage pour éviter la survenue d’inondations transfrontalières.

Parlant (tapant ?) d’eau, le plan global pour la région prévoit des installations d’irrigation pour un maximum de 570 kilomètres carrés (220 milles carrés) de terre des 2 côtés de la rivière Kaboul – ce qui n’est pas rien. Que ce chiffre soit atteint ou non n’est pas clair, un chiffre d’environ 480 kilomètres carrés (185 milles carrés) étant mentionné à la fin des années 1950. Quoiqu’il en soit, la zone irriguée doit produire d’énormes quantités de nourriture chaque année pour les 4 millions d’habitantes et habitants de la région.

Il faut également reconnaître que la construction du barrage contribue à apporter une sorte de stabilité dans les régions du nord du Pakistan occidental, une région instable s’il y en a un, où l’Afghanistan, la Chine, l’Inde, le Pakistan et l’Union des Républiques socialistes soviétiques se rencontrent plus ou moins directement, et ce pendant plusieurs années, en fournissant des emplois, des emplois éreintants remarquez, pour des hommes pachtounes de tribus comme les Mulagori, Mohmand et Afridi.

Au plus fort du projet, environ 10 000 hommes travaillent sur le site, en 2 quarts. En mai 1959, il n’en reste que 7 000 environ. Ce nombre diminue rapidement au cours des semaines et mois suivantes.

Les hommes sont apparemment payés environ 32 cents par jour, ce qui équivaut à environ 2.85 dollars par jour en 2021. Bien que cette somme avare semble être une somme dérisoire, à la fin des années 1950, selon les normes locales, elle est supérieure au salaire quotidien moyen au Pakistan. Soit dit en passant, les chefs tribaux dont les hommes travaillent sur le site reçoivent une plus petite somme d’argent par homme et par jour.

À la surprise des Canadiens sur place et, peut-être, de nombreux Pakistanais, les travailleurs pachtounes, qui n’ont aucune expérience de travail préalable sur un grand chantier de construction, se révèlent être de très bons travailleurs – une opinion plutôt condescendante. L’expérience de travail acquise par ces milliers d’hommes peut bien s’être avérée utile dans les années ultérieures, sur d’autres sites, du moins on l’espère.

Il est à noter que le directeur du projet de barrage canadien arrive sur place en 1956.

Le Canada et le Pakistan signent un autre accord en janvier 1957. Celui-ci concerne la construction de la centrale électrique du barrage. Cet accord est signé au Pakistan. Le Canadien qui signe le document est le ministre de la Santé nationale et du Bien-être social du pays. Joseph James Guillaume Paul Martin est à l’époque en visite officielle au Pakistan.

Au fur et à mesure que la construction du barrage de Warsak progresse, il est de plus en plus mentionné dans des journaux canadiens – et ailleurs. En 1957, un célèbre historien britannique spécialisé dans les affaires internationales, Arnold Joseph Toynbee, visite le site et publie un article élogieux pour le célèbre magazine américain Foreign Affairs. Une fois traduit en français, cet article est publié (dans son intégralité?) dans quelques journaux québécois. La version originale peut bien sûr être publiée dans d’autres provinces canadiennes.

Le ministre des Finances canadien, Donald Methuen Fleming, visite le site en octobre 1958, lors d’une visite officielle au Pakistan.

Un second Premier ministre du Canada, John George Diefenbaker, un gentilhomme mentionné dans des numéros d’octobre et novembre 2020 de notre vous savez quoi, visite le site en novembre 1958, dans le cadre d’un voyage officiel autour du monde. Il est très impressionné par le susmentionné village qui abrite de 145 à 150 familles canadiennes – et un certain nombre d’hommes célibataires, pour un total de 400 à 450 personnes. De fait, Diefenbaker reçoit un accueil chaleureux.

À l’époque, les Canadiens de Warsak travaillent sous la supervision de E. Lester « Les » Miller de H.G. Acres & Company et, peut-être, de Corey Robbin. Étant donné que ce dernier homme vient, dit-on, de Fort William, Ontario, une ville maintenant intégrée à Thunder Bay, votre humble serviteur se demande si une importante firme située là-bas, une firme mentionnée dans des numéros de mai 2019 et juillet 2020 de notre yadda yadda, Canadian Car and Foundry Company Limited, joue un rôle dans le projet de barrage de Warsak.

Saviez-vous que le prince Philip de la maison Mountbatten, né Philippos de Grèce et du Danemark de la maison Schleswig-Holstein-Sonderburg-Glücksburg, visite le site, ainsi que le « Petit Canada, » en février 1959?

À la fin de juin, lors d’un discours adressé à un groupe d’ingénieurs et de scientifiques, lors d’un déjeuner à Toronto, lors d’une visite au Canada en juin et juillet avec son épouse royale, le prince félicite le Canada et les Canadiennes et Canadiens pour leur contribution au Plan de Colombo, sans parler de leur rôle dans la construction du barrage de Warsak. Le couple royal britannique effectue une sorte de tournée mondiale à l’époque.

Une équipe d’ingénieurs canadiens se rend au Pakistan en novembre 1959. Dirigée par un surintendant de centrale électrique de premier ordre, Kenneth S. Gemmel (ou Gemmell?) de la Hydro-Electric Power Commission of Ontario, aujourd’hui Ontario Power Generation Incorporated et Hydro One Limited, la dite équipe doit former l’équipe d’ingénieurs et techniciens pakistanais qui dirigerait la centrale électrique du barrage de Warsak. Elle passe peut-être un an au Pakistan.

Un ingénieur supplémentaire rejoint l’équipe en mars 1960. R.G. Radley travaille pour Canadian Westinghouse Company Limited de Hamilton, en Ontario, une filiale du géant américain Westinghouse Electric Corporation. A.E. Lock, un opérateur expérimenté de la centrale hydroélectrique de Cornwall, Ontario, de la Hydro-Electric Power Commission of Ontario, fait le voyage avec lui.

Et oui, la Hydro-Electric Power Commission of Ontario est mentionnée dans un numéro de décembre 2020 de notre vous savez quoi.

En janvier 1960, un lieutenant-général Azam, très probablement le lieutenant-général Muhammad Azam Khan, ministre pakistanais de la réhabilitation des réfugiés, inaugure le tunnel d’irrigation de 5.5 kilomètres (3.5 milles) de long du site, creusé dans la roche solide, en commençant aux 2 extrémités, sur une période d’environ 30 mois. Azam Khan remercie le gouvernement fédéral pour sa généreuse contribution au projet. Le haut-commissaire du Canada au Pakistan, Herbert Owen « Herb » Moran, accepte gracieusement ces remerciements et félicite le gouvernement pakistanais.

Le barrage de Warsak est officiellement jugé achevé à la mi-juillet 1960. Il commence officiellement à produire de l’électricité le 14 août 1960, le 14 août étant le jour de l’indépendance du Pakistan. Alors que les générateurs géants atteignent progressivement leur pleine puissance, la capacité de production électrique du Pakistan occidental fait plus que doubler.

C’est avec tristesse que je dois signaler qu’un ingénieur canadien de 25 ans décède lors d’un accident en mai 1960. Jerry Sexton est arrivé au Pakistan en 1958. Il est apparemment le seul Canadien mort pendant la construction du barrage de Warsak. Plus de quelques Pakistanais perdent vraisemblablement la vie sur le site.

Le barrage de Warsak est officiellement inauguré le 22 janvier 1961 par le président du Pakistan, le maréchal Muhammad Ayub Khan, en présence de nombreux Canadiens, dont Gordon Minto Churchill, ministre des Anciens Combattants et chef du gouvernement à la Chambre des communes, et le susmentionné Moran, alors chef du nouveau Bureau d’aide extérieure du ministère des Affaires extérieures.

Croiriez-vous que la personne qui promeut Ayub Khan au rang ultime de maréchal est… Ayub Khan? Je ne plaisante pas. Il l’a fait en 1959. Ça doit être bien d’avoir le pouvoir de se donner une promotion, ou une augmentation de salaire, sans avoir à répondre à qui que ce soit.

Si la présence d’un ministre des Anciens Combattants à l’inauguration d’un barrage au Pakistan vous semble étrange, ami(e) lectrice ou lecteur, permettez-moi de signaler que Churchill, qui n’est pas parent de l’autre Churchill, sir Winston Leonard Spencer « Winnie » Churchill, un individu mentionné à quelques reprises dans notre vous savez quoi depuis mai 2019, est ministre du Commerce entre juin 1957 et octobre 1960.

Warsak est en fait un des 5 arrêts effectués par Churchill et Moran en Inde et au Pakistan. Le dynamique duo assiste à 4 autres cérémonies d’inauguration en succession rapide.

La reine Elizabeth II, née Elizabeth Alexandra Mary de la maison Windsor, visite le barrage de Warsak en février 1961. Elle est escortée par le gouverneur du Pakistan occidental, Malik Amir Muhammad Khan. Que des Canadiens soient présents ou non pour lui offrir leurs meilleurs vœux n’est pas clair.

Le timbre émis par le gouvernement pakistanais pour célébrer l’achèvement du barrage de Warsak.

Le timbre émis par le gouvernement pakistanais pour célébrer l’achèvement du barrage de Warsak.

À un moment donné en 1961, le ministère des postes pakistanais émet un timbre pour commémorer l’achèvement du barrage de Warsak. Ce timbre peut, je répète peut, être émis le 1er juillet 1961, date vraisemblablement choisie par le gouvernement pakistanais pour plaire à son homologue canadien. Comme nous le savons toutes et tous les 2, le 1er juillet est la fête nationale du Canada. Quoiqu’il en soit, les enveloppes premier jour de ce timbre portent cette date-là.

La probabilité que le timbre pakistanais est émis le 1er juillet est renforcée par le fait que le ministère des Postes du Canada émet apparemment un timbre de 5 cents qui célèbre le Plan de Colombo le… 1er juillet 1961. Ce timbre peut, je répète peut, montrer le barrage de Warsak.

Mieux encore, il semble que l’Office national du film, une institution fédérale de renommée mondiale mentionnée à quelques reprises dans notre blogue / bulletin / machin depuis juillet 2018, lance un documentaire intitulé Ten Years from Colombo le 1er juillet 1961. De fait, le dit documentaire peut être diffusé à la télévision canadienne au début de juillet ou à la fin de juin.

Tourné en coopération avec les gouvernements de Ceylan, de l’Inde et du Pakistan, Ten Years from Colombo met en lumière les contributions du Canada au Plan de Colombo, y compris, bien sûr, le barrage de Warsak. À cet égard, la susmentionnée Angus Robertson aide gracieusement l’équipe de tournage, dirigée par le réalisateur bien connu, talentueux et respecté Donald Fraser, du mieux qu’elle le peut.

L’adaptation en français du film est réalisée par le célèbre peintre / producteur / réalisateur / scénariste québécois / canadien Gilles Carle, un gentilhomme qui réalise certains des meilleurs et des plus populaires / célèbres films québécois / canadiens des années 1960, 1970 et 1980, de La Vie heureuse de Léopold Z (1965) à Maria Chapdelaine (1983).

Le narrateur de cette adaptation en français, intitulée Plan de Colombo – Dix ans après, est un animateur de radio et de télévision bien connu du radio télédiffuseur d’état canadienne, la Société Radio-Canada.

Incidemment, Raymond Charette est un des 5 gentilshommes qui animent la très populaire série télévisée de vulgarisation scientifique Atome et galaxies, diffusée par la Société Radio-Canada entre octobre 1963 et janvier 1971. Au travail entre octobre 1966 et octobre 1969, Barrette est à la barre de cette série classique, destinée aux jeunes de 12 à 17 ans, plus longtemps que tout autre de ses collègues.

Malgré tous mes efforts, votre humble serviteur ne peut pas se rappeler si oui ou non j’étais un spectateur assidu de Atome et galaxies, mais je digresse. Pour la dernière fois. Cette semaine. Retournons à notre barrage.

Malheureusement, à la fin de 1965, le réservoir du barrage de Warsak est ensablé jusqu’à la crête des déversoirs. En conséquence, l’eau qui se précipite dans la centrale électrique est chargée de sédiments, ce qui causé l’usure des pièces mobiles des turbines.

Une pensée si je peux me le permettre. Comment se fait-il que les différents consultants, hautement rémunérés sans aucun doute, qui travaillent sur le projet à divers moments n’ont pas compris que les sédiments pourraient devenir un problème? Matière à réflexion.

Soit dit en passant, le Canada paye pour l’installation de la paire de générateurs électriques pour lesquels des dispositions sont prises dans le concept original. Ils sont également fabriqués par Canadian General Electric. De plus, les turbines sont fabriquées par la firme qui les a fabriquées en 1960, la susmentionnée Dominion Engineering. Cette fois-ci, cependant, les transformateurs sont fabriqués aux États-Unis plutôt qu’au Canada. Cette seconde phase de l’histoire du barrage s’achève en 1981.

À un moment donné dans les années 1980, votre humble serviteur pense, une firme de consultants en génie hydroélectrique bien connue de Montréal, Rousseau, Sauvé, Warren Incorporée, coopère avec Qaumi Khidmaat Tameeri Pakistan, ou National Engineering Services Pakistan, pour étudier l’ensablement du réservoir du barrage, sujet préoccupant s’il y en est. Le coût de tout travail sérieux d’atténuation empêche la mise en œuvre des suggestions qu’elle et il font.

Croiriez-vous que Rousseau, Sauvé, Warren est fondée par des ingénieurs qui travaillent pour le bureau montréalais de H.G. Acres & Company? Le monde est petit et interconnecté, n’est-ce pas?

Entre 1957 et 1979, le gouvernement fédéral peut, je répète peut, verser 300 millions de dollars au secteur de l’énergie électrique au Pakistan. On peut se demander combien de pognon s’ajoute à cet impressionnant tas entre 1979 et 2021.

Et bien, vous avez probablement des endroits à faire et des choses à visiter, ou vice versa. À la revoyure.

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Warsak dam barrage Pakistan Colombo plan
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Rénald Fortier

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Les principaux protagonistes de la crise universitaire de 1919. Anon., « Professors Asked To Resign From University. » The Saskatoon Daily Star, 28 juillet 1919, 3.

« Est-ce prophétique du futur? » : Le professeur Robert Dawson MacLaurin de la University of Saskatchewan et la saga gonflée du gaz de paille, partie 3

L’automobile de tourisme McLaughlin D45 propulsée au gaz de paille avec son sac de gaz, Saskatoon, Saskatchewan. Anon., « Is This Prophetic of Future? Auto Is Run With Straw Gas. » The Winnipeg Evening Tribune, 20 août 1918, 1.

« Est-ce prophétique du futur? » : Le professeur Robert Dawson MacLaurin de la University of Saskatchewan et la saga gonflée du gaz de paille, partie 2

L’illustration qui porte à l’attention de plusieurs le projet de production de gaz de paille du professeur Robert Dawson MacLaurin de la University of Saskatchewan. Anon., « Straw Gas Here: Novel Motor Fuel Used to Save Gasoline. » Visalia Morning Delta, 15 novembre 1918, 6.

« Est-ce prophétique du futur? » : Le professeur Robert Dawson MacLaurin de la University of Saskatchewan et la saga gonflée du gaz de paille, partie 1

Caricature de l’illustrateur / graphiste Jacques Gagnier faisant la promotion du jeu questionnaire radiophonique hebdomadaire québécois Auto-Tram diffusé par la station radiophonique CKAC de Montréal, Québec. Jacques Gagnier, « –. » RadioMonde, 27 novembre 1948, 18.

Auto-Tram, Pic et pic et colégram, Bour et bour et ratatam, Auto-Tram : Voulez-vous participer avec moi au jeu questionnaire radiophonique hebdomadaire québécois Auto-Tram?

Publicité de Campbell Motors Limited de Vancouver, Colombie-Britannique, vantant les mérites de l’automobile AZNP Škoda 1101 ou 1102. Anon., « Campbell Motors Limited. » The Vancouver Sun, 10 juin 1950, 11.

« Les Rouges portent la Guerre froide aux Nord-Américains : » Une brève feuille de route des circonstances entourant l’importation au Canada d’automobiles tchécoslovaques au plus fort de la Guerre froide, partie 2

Une publicité de l’entreprise de commerce extérieur tchécoslovaque Omnitrade Limited de Montréal, Québec, pour l’automobile AZNP Škoda 440. Anon., « Omnitrade Limited. » The Montreal Star, 28 novembre 1958, 24.

« Les Rouges portent la Guerre froide aux Nord-Américains : » Une brève feuille de route des circonstances entourant l’importation au Canada d’automobiles tchécoslovaques au plus fort de la Guerre froide, partie 1

Le prototype de validation de principe de la turbine éolienne Constantin, Roanne, France. Jean Labadié, « Le vent source d’énergie inépuisable. » La Science et la Vie, juin 1927, 491.

« V’là l’bon vent, v’là l’joli vent : » Un survol en coup de vent de la fascinante turbine éolienne de l’ingénieur français Louis Constantin, et de quelques autres choses en plus, partie 2

Le prototype de turbine éolienne de Louis Constantin, dans le sud de la France, vers 1928. Jean Labadié, « L’œuvre originale d’un aérodynamicien français – Girouettes stabilisatrices et turbines éoliennes. » Science et Monde, 5 octobre 1933, 639.

« V’là l’bon vent, v’là l’joli vent : » Un survol en coup de vent de la fascinante turbine éolienne de l’ingénieur français Louis Constantin, et de quelques autres choses en plus, partie 1

GGeorge Bernard Raser, Junior, assis sur une faucheuse tirée par une automobile conduite par son frère, Harry Thomas Raser, près d’East Ashtabula, Ohio, mai ou juin 1903. Paul d’Arner, « L’automobile et l’agriculture. » Le Monde illustré, 31 octobre 1903, 409.

Creuse, creuse, creuse ton champ; Ou, Comment deux frères, Harry Thomas Raser et George Bernard Raser, Junior, ont utilisé une automobile sur la ferme familiale, près d’East Ashtabula, Ohio, en 1903

Le premier Curtiss JN-4 Canuck équipé de flotteurs, août 1919, Vancouver, Colombie-Britannique. MAEC, 5245.

Une fable d’air, d’eau, et de feu : Un coup d’œil sur les activités aéronautiques de Hoffar Motor Boat Company de Vancouver, Colombie-Britannique, 1915-27, partie 4

L’hydravion à coque Hoffar H-3, près de Vancouver, Colombie-Britannique, mai ou juin 1919. MAEC, 5174

Une fable d’air, d’eau, et de feu : Un coup d’œil sur les activités aéronautiques de Hoffar Motor Boat Company de Vancouver, Colombie-Britannique, 1915-27, partie 3

Logan Archbold Vilas, l’aviateur officiel du Wisconsin State Board of Forestry. Anon., « Wisconsin Has Flying Fire Warden. » The State Journal, 14 octobre 1915, 11.

Une fable d’air, d’eau, et de feu : Un coup d’œil sur les activités aéronautiques de Hoffar Motor Boat Company de Vancouver, Colombie-Britannique, 1915-27, partie 2

Les restes de l’hydravion à coque Hoffar H-2 après son écrasement sur le toit de la maison d’un médecin des oreilles, des yeux et du nez, Vancouver, Colombie-Britannique. Anon., « From Hantsport to Vancouver. » Canadian Courier, 28 septembre 1918, 12.

Une fable d’air, d’eau, et de feu : Un coup d’œil sur les activités aéronautiques de Hoffar Motor Boat Company de Vancouver, Colombie-Britannique, 1915-27, partie 1

Wilfrid Thomas Reid. Anon., « Specification and description of the Reid Rambler. » Canadian Air Review, novembre 1928, 30.

Il est né avion baladeur, essayant de gagner sa vie et faisant du mieux qu’il pouvait : L’histoire fascinante du Reid / Curtiss-Reid Rambler, le premier avion léger / privé du Canada, partie 2

Une publicité de Curtiss-Reid Aircraft Company Limited de Montréal / Cartierville, Québec, montrant son avion léger / privé Curtiss-Reid Rambler. Anon., « Curtiss-Reid Aircraft Company Limited. » Canadian Air Review, mai 1929, 23.

Il est né avion baladeur, essayant de gagner sa vie et faisant du mieux qu’il pouvait : L’histoire fascinante du Reid / Curtiss-Reid Rambler, le premier avion léger / privé du Canada, partie 1

Le SAGEM CU-161 Sperwer du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada après un de ses atterrissages sans incident en Afghanistan. David Pugliese, « Faulty drones risk lives: troops. » Ottawa Citizen, 29 août 2007, 10.

L’introduction du Canada à un jeu de drones mortel : Un trop bref aperçu de la carrière canadienne de l’aéronef sans pilote tactique SAGEM Sperwer, partie 3

Le premier aéronef sans pilote tactique SAGEM CU-161 Sperwer exploité par les Forces canadiennes, près de Kaboul, Afghanistan, novembre 2003. Anon., « Drones canadiens utilisés en Afghanistan ». La Presse, 19 mars 2006, A 5.

L’introduction du Canada à un jeu de drones mortel : Un trop bref aperçu de la carrière canadienne de l’aéronef sans pilote tactique SAGEM Sperwer, partie 2

Une vue d’un aéronef sans pilote tactique SAGEM Sperwer générique / typique. Chris Wattie, « Army buys spy drones for Afghan mission. » National Post, 8 août 2003, 4.

L’introduction du Canada à un jeu de drones mortel : Un trop bref aperçu de la carrière canadienne de l’aéronef sans pilote tactique SAGEM Sperwer, partie 1

La première Cadillac miniature alors qu’elle est conduite à Londres, Angleterre, par un garçon de bureau non identifié travaillant chez F.S. Bennett Limited. British & Colonial Kinematograph Company Limited, The Smallest Car in the Largest City in the World, 1913.

Un prince et sa Cadillac; ou, Comment le prince Olav de la maison Schleswig-Holstein-Sonderburg-Glücksburg, héritier du trône de Norvège, a obtenu sa première bagnole – avec des informations sur d’autres Cadillac miniatures, partie 2

Une Cadillac lilliputienne qui pourrait être celle mentionnée dans le titre de cet article, 1912-13. Anon., « La plus petite voiturette automobile au monde. » La Science et la Vie, août 1913, 275.

Un prince et sa Cadillac; ou, Comment le prince Olav de la maison Schleswig-Holstein-Sonderburg-Glücksburg, héritier du trône de Norvège, a obtenu sa première bagnole – avec des informations sur d’autres Cadillac miniatures, partie 1

L’arrivée d’André-Georges Lafitte à Dijon, France, juin 1990. A.-G. Lafitte, « Un membre de l’I.F.N. traverser l’Atlantique Nord en U.L.M. » Navigation, octobre 1991, 559.

L’affaire Pélican : La fascinante histoire d’un des piliers fondateurs de l’industrie québécoise de l’avion ultra-léger, Ultravia Aéro Incorporée, partie 2

Un avion ultraléger Ultravia Pélican typique sur flotteurs. L’absence d’immatriculation est à noter. Anon., « Amateurs – ULM ou avions? » Aviation magazine international, 1er août 1983, 37.

L’affaire Pélican : La fascinante histoire d’un des piliers fondateurs de l’industrie québécoise de l’avion ultra-léger, Ultravia Aéro Incorporée, partie 1

Une carte de l’atocatière de Les Producteurs de Québec Limitée de Lemieux, Québec. Luc Bureau, « Un exemple d’adaptation de l’agriculture à des conditions écologiques en apparence hostiles : L’Atocatière de Lemieux », Cahiers de géographie du Québec, décembre 1970, 389.

« Un serpent de mer sans affidavit, c’est comme une dinde rôtie sans sauce aux canneberges; » Ou, Comment la famille Larocque a créé la première atocatière du Québec, partie 3

Certains des bâtiments de l’atocatière exploitée par Les Producteurs de Québec Limitée de Lemieux, Québec. Pierre Arthur Dorion. « La plus importante plantation d’atocas au pays. » Le Bulletin des agriculteurs, juillet 1955, 11.

« Un serpent de mer sans affidavit, c’est comme une dinde rôtie sans sauce aux canneberges; » Ou, Comment la famille Larocque a créé la première atocatière du Québec, partie 2

Charles Larocque, gérant de Les Produits de Québec Limitée de Lemieux, Québec, montrant comment ramasser des canneberges, à gauche, ainsi que des fruits tombés flottant sur l’eau. Arthur Prévost, « À Lemieux, au Québec, a prospéré la culture des ‘juteux atacas.’ » Photo-Journal, 23 juillet 1953, 33.

« Un serpent de mer sans affidavit, c’est comme une dinde rôtie sans sauce aux canneberges; » Ou, Comment la famille Larocque a créé la première atocatière du Québec, partie 1

Un Lawrence Niles Swank à l’air sérieux indiquant le point d’impact initial de la météorite qui a frappé son automobile près de Crawfordsville, Indiana, octobre 1930. Anon., « Projectile céleste ». Le Petit Journal, 2 juillet 1933, 22.

« Une cible difficile pour un tireur d’élite météorique de l’espace interplanétaire » – L’incroyable histoire d’un adolescent de l’Indiana, Lawrence Niles Swank, dont l’automobile a été sonnée par une météorite

Le chemin de fer aérostatique / chemin de fer au ballon proposé par Friedrich Volderauer. Salvatore Pannizzi, « Mountain Railways. » The Wide World Magazine, juillet 1898, 304.

Les voyages ferroviaires les plus scéniques du monde, animée par vous savez qui – Saison 7, Épisode 7 – Le Aerostatischen Bahn / Luftballon-Eisenbahn de Friedrich Volderauer

Une publicité typique de la Lion Brewery de Berlin, Ontario. Anon., « Lion Brewery. » The Canadian Courier, 6 juin 1908, 17.

D’une Lion Brewery à Waterloo à une Ranger Brewing à Kitchener, et plus encore : Un bref aperçu de l’histoire d’une brasserie ontarienne quelque peu oubliée

La sous-lieutenante Valentina Vladimirovna Terechkova, au centre de la photographie, au Cinquième congrès mondial des femmes, Moscou, Union des républiques socialistes soviétiques, juin 1963. RIA « Novosti, » 612179.

« La Russie lance une… ‘cosmonette’ » Un autre bref regard sur la façon dont la presse francophone du Québec couvre un aspect du programme spatial soviétique, en l’occurrence le voyage dans l’espace de Valentina Vladimirovna Terechkova, partie 2

La sous-lieutenante Valentina Vladimirovna Terechkova en tenue de ville et en tenue spatiale. Anon., « Un 3e Russe dans l’espace? Il irait rejoindre le couple qui s’y trouve. » La Presse, 17 juin 1963, 1.

« La Russie lance une… ‘cosmonette’ » Un autre bref regard sur la façon dont la presse francophone du Québec couvre un aspect du programme spatial soviétique, en l’occurrence le voyage dans l’espace de Valentina Vladimirovna Terechkova, partie 1

L’avion de ligne à réaction Tupolev Tu-104 exploité par Aeroflot qui participe au spectacle aérien du Centenaire de la Colombie-Britannique, Aéroport d’Uplands, Ottawa, Ontario. Don Brown, « Aerial Display Ready. » The Ottawa Citizen, 13 juin 1958, 39.

« Il roule au sol avec toute l’aisance d’une cigogne arthritique, » Ou, Un bref regard sur la brève présence au spectacle aérien du Centenaire de la Colombie-Britannique d’un avion de ligne à réaction Tupolev Tu-104 d’Aeroflot, partie 2

L’avion de ligne à réaction Tupolev Tu-104 exploité par Aeroflot qui participe au spectacle aérien du Centenaire de la Colombie-Britannique, tenu à l’Aéroport international de Vancouver, Richmond, Colombie-Britannique. Anon., « –. » The Sunday Sun, 14 juin 1958, 25.

« Il roule au sol avec toute l’aisance d’une cigogne arthritique, » Ou, Un bref regard sur la brève présence au spectacle aérien du Centenaire de la Colombie-Britannique d’un avion de ligne à réaction Tupolev Tu-104 d’Aeroflot, partie 1

Le bateau fluvial à roue arrière SS Klondike à un stade précoce de son voyage vers Whiskey Flats South, Whitehorse, Territoire du Yukon. Anon., « Sidewalk Supers Size Up Sternwheeler. » Whitehorse Star, 23 juin 1966, 1.

Alors que le monde, euh, alors que la roue tourne; Ou, Comment / pourquoi le SS Klondike, un cargo fluvial à roue arrière brièvement utilisé pour des croisières fluviales, est devenu un des 1 004 lieux historiques nationaux de Parcs Canada, partie 3

Des passagères et passagers du bateau fluvial à roue arrière canadien SS Klondike regardent leur navire s’apprêter à traverser un passage étroit du fleuve Yukon, aux rapides Five Finger, Territoire du Yukon. David Willock, « There’s Tourist Gold in the Yukon. » The Ottawa Citizen – Weekend Magazine, 25 juin 1955, 18.

Alors que le monde, euh, alors que la roue tourne; Ou, Comment / pourquoi le SS Klondike, un cargo fluvial à roue arrière brièvement utilisé pour des croisières fluviales, est devenu un des 1 004 lieux historiques nationaux de Parcs Canada, partie 2

Une bête de somme abandonnée et échouée face à un avenir incertain, le bateau fluvial à roue arrière canadien SS Klondike, Whitehorse, Territoire du Yukon. Anon., « Yukon River Boats. » The Calgary Herald, 5 mai 1958, 1.

Alors que le monde, euh, alors que la roue tourne; Ou, Comment / pourquoi le SS Klondike, un cargo fluvial à roue arrière brièvement utilisé pour des croisières fluviales, est devenu un des 1 004 lieux historiques nationaux de Parcs Canada, partie 1

Une souriante Mme Élie Fortin de Montmagny, Québec, acceptant la bicyclette gagnée par sa fille, Michèle Fortin, dans le cadre d’un concours organisé par Dulac Potato Chips Incorporated de Sainte-Marie, Québec. Anon., « –. » Le Peuple, 10 mai 1963, 10.

Une grande dame qui n’a jamais lâché la patate : Anne Marie Harmonia Hallé et la saga des croustilles Dulac

La première planche de la bande dessinée Julien Gagnon. Rémy, « Julien Gagnon » Le Petit Journal, section magazine, 16 mai 1948, 18.

La grande aventure d’un pilote et chasseur d’espions amateur québécois fictif qui affronte un bad hombre communiste tout aussi fictif à l’aube d’une Guerre froide bien réelle : La bande dessinée Julien Gagnon de Rémy / Normand Hudon

Le véhicule tout-terrains Loman 225 en montre au Salon camping, chasse et pêche 73, Montréal, Québec. Anon., « Pédalo ‘Fun Cycle’ – Une réponse à un rêve… » La Patrie, 1er avril 1973, 23.

Quatre roues pour toutes les saisons : Les véhicule tout-terrains de Loman Incorporée de Richelieu, Québec

Le seul et unique Rohr M.O.1 Midnight Oiler avant l’installation de son nez définitif et de son stabilisateur horizontal avant, Chula Vista, Californie. Anon., « Private Flying – ‘Midnight Oiler’ Radical Design Lightplane is Built by Rohr. » Aviation News, 1 juillet 1946, 15.

Brûler l’huile de minuit pour atteindre le ciel et rugir : La trop brève saga de l’avion léger / privé Rohr M.O.1 Midnight Oiler

Divers aspects des activités entourant le lancement du chemin de fer sur la glace entre Longueuil, Québec, et Hochelaga / Montréal, Québec. Anon., « Montreal – Incidents at the opening of the ice railway bridge. » Canadian Illustrated News, 14 février 1880, 104.

Tirer des marchandises sur une glace mince : Le chemin de fer du pont de glace entre Longueuil, Québec, et Hochelaga / Montréal, Québec, partie 2

La locomotive gaiement décorée W.H. Pangman et les wagons plats qu’elle remorque lors de la première traversée du fleuve Saint-Laurent entre Hochelaga / Montréal, Québec, et Longueuil, Québec, janvier 1880. R. Richou, « Un chemin de fer sur la glace. » La Nature, 28 avril 1883, 349.

Tirer des marchandises sur une glace mince : Le chemin de fer du pont de glace entre Longueuil, Québec, et Hochelaga / Montréal, Québec, partie 1

Ahh, la crème glacée, les cause et solution de tous les problèmes de la vie. Je me demande si ce jeune garçon sait qu’il mange en fait de la mellorine. Anon., « De la crème glacée synthétique. » Photo-Journal, 16 avril 1953, 3.

En achètent-ils ou non? Seul leur épicier le sait avec certitude : Un bref coup d’œil sur une imitation de crème glacée à moindre coût parfois connue sous le nom de mellorine

Une publicité typique de T.K. Bellis Turtle Company Limited. Anon., “T.K. Bellis Turtle Company Limited.” The Graphic, 8 janvier 1898, 64.

Saccager la nature et se constituer une fortune en satisfaisant les envies d’une élite égoïste; Ou, Comment une industrie dominée par T.K. Bellis Turtle Company Limited de Londres, Angleterre, a presque anéanti une véritable merveille de la mer, partie 2

Thomas Kerrison Bellis, en d’autres termes le Roi de la tortue. Anon., « Good Stories for All – Turtle King of England is a Powerful Ruler. » The Boston Daily Globe, 17 mars 1898. 8.

Saccager la nature et se constituer une fortune en satisfaisant les envies d’une élite égoïste; Ou, Comment une industrie dominée par T.K. Bellis Turtle Company Limited de Londres, Angleterre, a presque anéanti une véritable merveille de la mer, partie 1

Le Mikoyan-Gourevitch MiG-15 de la Wojska Lotnicze piloté par le second lieutenant Franciszek Jarecki, aérodrome de Rønne, Rønne, Danemark. Jarecki est le gentilhomme marqué par une flèche. Anon., « Undamaged Red Jet in NATO Hands. » The Gazette, 7 mars 1953, 2.

Un vol pour la liberté qui a percé le rideau de fer; ou, Le jour où le second lieutenant Franciszek Jarecki s’est échappé de Pologne à bord d’un chasseur à réaction Mikoyan-Gourevitch MiG-15

Quatre des personnages principaux de ce qui peut bien être la première série télévisée de SF au Canada, Space Command de Canadian Broadcasting Corporation. Anon., « Space Command Is Not Run-Of-Mill ‘Opera.’ » The Ottawa Citizen, 26 décembre 1953, 14.

« Défiant les étoiles elles-mêmes » : Un regard infinitésimal sur ce qui pourrait bien être la première série télévisée de science-fiction au Canada, Space Command de Canadian Broadcasting Corporation

Le prototype du Astro Kinetics Lift de Astro Kinetics Corporation, Houston, Texas. Anon., « Aircraft and Powerplants – Crane version of ‘flying saucer’ projected in U.S.A. » The Aeroplane and Commercial Aviation News, 7 mars 1963, 24.

« Regardez! Là-haut dans le ciel! C’est un oiseau! C’est un avion! C’est une soucoupe volante texane! » Astro Kinetics Corporation de Houston, Texas, et ses aéronefs à décollage et atterrissage verticaux à l’allure unique

 James Bertram Blackmon (à droite, bien sûr) parlant de sa fusée avec l’animateur de la très populaire émission quotidienne d’actualités et débats télévisés américaine Today, David Cunningham Garroway, New York, New York. Anon., « Jimmy on TV Show. » The Charlotte Observer, 1er décembre 1956, 2.

Un jeune prodige américain de l’aube de l’ère spatiale devenu professeur au Propulsion Research Center de la University of Alabama in Huntsville : James Bertram Blackmon, voici votre vie, partie 2

James Bertram « Jim / Jimmy » Blackmon et sa fusée faite-maison, Charlotte, Caroline du Nord, juillet 1956. Irwin Hersey, « Aid for basement rocketeers. » Astronautics, février 1958, 25.

Un jeune prodige américain de l’aube de l’ère spatiale devenu professeur au Propulsion Research Center de la University of Alabama in Huntsville : James Bertram Blackmon, voici votre vie, partie 1

Le Canadair Silver Star du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, Ottawa, Ontario, juin 2005. Cet aéronef est piloté par le Red Knight, ou chevalier rouge, le pilote de voltige solo de l’Aviation royale du Canada, en 1961-64. Alain Rioux, via Wikimedia.

Il a vraiment continué longtemps, longtemps, longtemps : Un bref aperçu de la carrière canadienne de l’avion d’entraînement à réaction Lockheed / Canadair Silver Star, partie 2

Le ministre de la Défense nationale du Canada, Brooke Claxton, à gauche, avec le premier avion d’entraînement à réaction Lockheed T-33 Silver Star fabriqué au Canada, Cartierville, Québec. Anon., « M. Claxton reçoit le premier réacté T-33 fabriqué ici. » La Patrie, 13 février 1953, 1.

Il a vraiment continué longtemps, longtemps, longtemps : Un bref aperçu de la carrière canadienne de l’avion d’entraînement à réaction Lockheed / Canadair Silver Star, partie 1

La trentaine de paysans mexicains qui participent au déblaiement de la météorite de Bacubirito, non loin de Bacubirito, Mexique, 1902. N. Rosst, « La grande météorite de ‘Bacubirito’ (Mexique). » La Nature, 14 février 1903, 173.

Une flamme dans le ciel du nord et une cendre de feu sidéral : La météorite de Bacubirito

Un dispositif de dégivrage de piste de Woolery Machine Company en action à l’aéroport de Cologne-Wahn, Cologne, Allemagne de l’Ouest. Anon., « Ancillary Review – Flame-throwing – On Ice. » The Aeroplane and Commercial Aviation News, 28 février 1963, 29.

Allez, PB, allume mon feu. Essaie de mett’ la glace en feu : Un coup d’œil sur la firme américaine Woolery Machine Company et sur certaines de ses idées et produits

Un promoteur de la Sure Food, le chimiste alimentaire James Pearson (à droite), dans les installations de Wentworth Canning Company Limited de Hamilton, Ontario. Anon., « La viande, synthétique, produit canadien, pourrait sauver de la famine les peuples affamés d’Europe. » Photo-Journal, 5 février 1948, 3.

« Cela sent la viande. Cela ressemble même à de la viande. » L’histoire oubliée depuis longtemps d’une viande synthétique / viande d’imitation / viande artificielle / succédané de viande / substitut de viande / simili-viande parfois appelée Sure Food

L’avion de brousse Junkers Ju 52 immatriculé CF-ARM de Canadian Airways Limited de Montréal, Québec, lac Manouane, Québec, août ou septembre 1940. MAEC, 13469.

Les vieux avions de brousse ne meurent jamais, ils ne font que s’effacer doucement : Quelques lignes, d’accord, plusieurs lignes sur la remarquable carrière d’un « cargo volant / wagon volant » Junkers Ju 52 nommé CF-ARM, partie 3

L’avion de brousse Junkers Ju 52 immatriculé CF-ARM de Canadian Airways Limited de Montréal, Québec, en réparation, Arviat, Nunavut (Eskimo Point, Territoires du Nord-Ouest), septembre 1932. MAEC, 1208.

Les vieux avions de brousse ne meurent jamais, ils ne font que s’effacer doucement : Quelques lignes, d’accord, plusieurs lignes sur la remarquable carrière d’un « cargo volant / wagon volant » Junkers Ju 52 nommé CF-ARM, partie 2

L’avion de brousse Junkers Ju 52 immatriculé CF-ARM de Canadian Airways Limited de Montréal, Québec. Anon., « Pionnier des transports lourds dans le nord du Canada, le ‘Cargo volant’ a fini sa carrière. » Photo-Journal, 29 janvier 1948, 2.

Les vieux avions de brousse ne meurent jamais, ils ne font que s’effacer doucement : Quelques lignes, d’accord, plusieurs lignes sur la remarquable carrière d’un « cargo volant / wagon volant » Junkers Ju 52 nommé CF-ARM, partie 1

Le sergent Bob Electro de l’Aviation royale du Canada (ARC) pris en flagrant délit de salut au commandant de la Base de l’ARC de Clinton, le colonel d’aviation John Gordon Mathieson, Clinton, Ontario. Anon., « Six-Year-Old Sergeant. » The North Bay Nugget, 7 janvier 1963, 15.

Dōmo arigatō, gunsō Electro, mata au hi made : Les aventures électroniques du sergent Bob Electro de l’Aviation royale du Canada et des Forces armées canadiennes

Une pièce d’équipement fort appropriée vue la saison, enfin, la saison qui affecte la partie nord de l’hémisphère nord de la planète Terre, la souffleuse à neige domestique de Autocanner Enregistré de Montréal, Québec. Anon., « –. » Montréal-Matin, 9 janvier 1948, 6.

« Qu’il neige! Qu’il neige! Qu’il neige! » La souffleuse à neige domestique Blo-All de Autocanner Enregistré de Montréal, Québec

Le simulateur d’impact en vol de 10 pouces du Conseil national de recherches du Canada à un moment donné de sa longue carrière, Uplands / Ottawa, Ontario. CNRC.

Une grande réussite canadienne que vous devriez connaître : Un bref coup d’œil sur les simulateurs d’impact en vol du Conseil national de recherches du Canada remis au Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, partie 3

Le simulateur d’impact en vol de 3.75 / 3.5 pouces du Conseil national de recherches du Canada à un moment donné de sa longue carrière, Uplands / Ottawa, Ontario. CNRC.

Une grande réussite canadienne que vous devriez connaître : Un bref coup d’œil sur les simulateurs d’impact en vol du Conseil national de recherches du Canada remis au Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, partie 2

Le simulateur d’impact en vol de 10 pouces du Conseil national de recherches du Canada à un moment donné de sa longue carrière, Uplands / Ottawa, Ontario. CNRC.

Une grande réussite canadienne que vous devriez connaître : Un bref coup d’œil sur les simulateurs d’impact en vol du Conseil national de recherches du Canada remis au Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, partie 1

Une grenouille-taureau typique sauvage et libre. John J. Brice, éditeur, A Manual of Fish-Culture: Based on the Methods of the United States Commission of Fish and Fisheries, with Chapters on the Cultivation of Oysters and Frogs (Washington : Government Printing Office, 1897), 258.

« La grenouille est-elle gibier ou poisson? Là est le chiendent. » Un bref coup d’œil sur l’histoire de la raniculture au Canada et au Québec, partie 4

Une publicité typique de Giant Frog & Sea Food Limited de Montréal, Québec. Anon., « Giant Frog & Sea Food Limited. » La Patrie, 18 octobre 1952, 53.

« La grenouille est-elle gibier ou poisson? Là est le chiendent. » Un bref coup d’œil sur l’histoire de la raniculture au Canada et au Québec, partie 3

Trois des innombrables grenouilles-taureaux trouvées dans la grenouillère de Harold Lee, Casitas Springs, Californie. Anon., « Nature – Frog Farm.” » Pix, 6 janvier 1951, 30.

“La grenouille est-elle gibier ou poisson? Là est le chiendent. » Un bref coup d’œil sur l’histoire de la raniculture au Canada et au Québec, partie 2

Une publicité typique de Canadian Frog’s Industries Company de Montréal, Québec. Anon., « Canadian Frog’s Industries Company. » La Patrie, 16 novembre 1952, 86.

« La grenouille est-elle gibier ou poisson? Là est le chiendent. » Un bref coup d’œil sur l’histoire de la raniculture au Canada et au Québec, partie 1

Un dessin éditorial qui reflète la réaction de nombreux Américains suite au lancement de Spoutnik 2. Une traduction du titre du dessin pourrait être Notre propre disgrâce non-volante. John Milt Morris, « Our own non-fly doghouse. » The Nome Nugget, 8 novembre 1957, 2.

Les trois jours du Spoutnik; ou, « Radio-Moscou admet que le chien tournant autour de la terre dans le satellite ne reviendra jamais » : Laïka, Spoutnik 2 et la presse quotidienne du Québec, partie 3

Une réplique de Spoutnik 2, Tsentral’nyy Dom Aviatsii i Kosmonavtiki DOSAAF Rossíi, Moscou, avril 2021. Krasnyy via Wikipédia.

Les trois jours du Spoutnik; ou, « Radio-Moscou admet que le chien tournant autour de la terre dans le satellite ne reviendra jamais » : Laïka, Spoutnik 2 et la presse quotidienne du Québec, partie 2

Le premier portrait official de Laïka à être diffusé par les autorités soviétiques. Cette photographie est initialement publiée dans le quotidien moscovite Pravda. Anon., « More Sputnik Dogs Due Before Humans Go Up. » The Evening Star, 13 novembre 1957, 6.

Les trois jours du Spoutnik; ou, « Radio-Moscou admet que le chien tournant autour de la terre dans le satellite ne reviendra jamais » : Laïka, Spoutnik 2 et la presse quotidienne du Québec, partie 1

Le biplan (monoplace?) conçu par Canadian Aircraft Works (Incorporated? Limited? Registered?) de Montréal / Coteau Rouge, Québec, janvier 1915. Gustave Pollien peut se trouver aux commandes. MAEC, 1134.

Un terrifique trio actif aux débuts de l’aviation au Québec : Ernest Anctil, Gustave Pollien et Percival Hall Reid, partie 3

Le biplan fabriqué par Gustave Pollien (à gauche) et Ernest Anctil, Cartierville, Québec. Anon., « L’aviation chez nous – Un jeune aviateur canadien-français, Ernest Anctil, vole avec succès sur un biplan construit au pays. » La Presse, 27 septembre 1912, 1.

Un terrifique trio actif aux débuts de l’aviation au Québec : Ernest Anctil, Gustave Pollien et Percival Hall Reid, partie 2

Le biplan fabriqué par Ernest Anctil (à gauche dans la photographie du bas) et Gustave Pollien, Cartierville, Québec. Anon., « The first Montreal-made biplane. » The Standard, 5 octobre 1912, 4.

Un terrifique trio actif aux débuts de l’aviation au Québec : Ernest Anctil, Gustave Pollien et Percival Hall Reid, partie 1

Louis Victor Jules Vierne (3ème à partir de la gauche), compositeur et organiste de la cathédrale Notre-Dame de Paris au clavier de l’orgue électronique Coupleux Givelet, station de radio Poste Parisien, Paris, France. Anon., « L’orgue des ondes du ‘Poste parisien’ est inauguré. » Le Petit Parisien, 27 octobre 1932, 1.

La mélodieuse épopée de deux pionniers français de la musique électronique qui méritent d’être mieux connus : Joseph Armand Marie Givelet et Édouard Éloy Coupleux

 Vue d’artiste du satellite canadien Alouette en orbite au-dessus du Canada. Office national du film, Photo-reportage 288 – Le Canada, nouveau visiteur de l’espace, NFB62-5961.

Alouette, gentille alouette, Alouette, je te lancerai; Ou, Comment la Guerre froide propulse le Canada dans l’espace par le biais du satellite Alouette, partie 3

La fusée Thor-Agena qui place le satellite canadien Alouette en orbite, Vandenberg Air Force Base, Californie. Anon., « Alouette’ Working Perfectly – First Canadian Satellite in Orbit. » The Montreal Star, 29 septembre 1962, 1.

Alouette, gentille alouette, Alouette, je te lancerai; Ou, Comment la Guerre froide propulse le Canada dans l’espace par le biais du satellite Alouette, partie 2

Deux des ingénieurs qui font du satellite Alouette un succès : Colin A. Franklin (à gauche) et John N. Barry, Ottawa, Ontario. Anon., « Many ‘Firsts’ for Canadian Satellite – Alouette Sports New Space Advances. » The Montreal Star, 22 septembre 1962, 43.

Alouette, gentille alouette, Alouette, je te lancerai; Ou, Comment la Guerre froide propulse le Canada dans l’espace par le biais du satellite Alouette, partie 1

Vue approximative de la zone dans laquelle l’éclipse solaire du 31 août 1932 peut être observée dans sa totalité (image principale), ou pas (colonne de droite). Anon. « Mighty Workings of Tomorrow’s Eclipse. » Sherbrooke Daily Record, 30 août 1932, 1.

« Nous prions tous pour une journée sans nuages : » L’éclipse solaire du 31 août 1932 au Québec, partie 3

Certains des chercheurs britanniques éminents en route vers le Canada dans le but d’observer l’éclipse solaire totale du 31 août 1932. Anon., « Le ciel québécois et les astronomes. » La Presse, 29 juillet 1932, 9.

« Nous prions tous pour une journée sans nuages : » L’éclipse solaire du 31 août 1932 au Québec, partie 2

L’éclipse solaire du 31 août 1932 telle qu’on peut l’observer dans sa totalité, à partir d’une route de campagne du Maine. Anon., « Souvenir d’éclipse. » La Presse – Magazine illustré, 24 septembre 1932, 9.

« Nous prions tous pour une journée sans nuages : » L’éclipse solaire du 31 août 1932 au Québec, partie 1

Le réservoir Manicouagan, également connu sous le nom d’œil du Québec, photographié depuis l’espace par le satellite Sentinel 2-A du programme Copernicus de l’Agence spatiale européenne, janvier 2017. https://scihub.copernicus.eu/ via Wikimedia.

Sic itur ad astra : Quelques observations sur la stellaire carrière de l’astronome canadien Carlyle Smith Beals, partie 2

Carlyle Smith Beals, astronome fédéral. Raymond Taillefer, « Tant qu’il y aura des étoiles - L’observatoire fédéral assure au Canada un brillant rôle scientifique. » Le Droit, 2 août 1947, 1.A.

Sic itur ad astra : Quelques observations sur la stellaire carrière de l’astronome canadien Carlyle Smith Beals, partie 1

Le prototype de l’avion de brousse canadien de Havilland Canada DHC-2 Beaver en montre au Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, Ottawa, Ontario. MAEC, deHavilland DHC-2 Beaver-005

Bonne fête Beaver, bonne fête Beaver, bonne fête, bonne fête, bonne fête Beaver : Un trop bref coup d’œil sur une icône canadienne, l’avion de brousse de Havilland Canada DHC-2 Beaver, partie 2

Le prototype de l’avion de brousse canadien de Havilland Canada DHC-2 Beaver le jour de son premier vol, Downsview, Ontario, août 1947. MAEC, KM-08317

Bonne fête Beaver, bonne fête Beaver, bonne fête, bonne fête, bonne fête Beaver : Un trop bref coup d’œil sur une icône canadienne, l’avion de brousse de Havilland Canada DHC-2 Beaver, partie 1

Le Shell By-Plane X 100 Astroterramare du professeur Septimus Urge (extrême droite), Pleasure Gardens du Festival of Britain, Battersea Park, Londres, Angleterre. Anon., « New British Jet Unique, but Not Matchless. » Aviation Week, 18 août 1952, 44.

Des machines de Heath Robinson / Rube Goldberg que Heath Robinson et « Rube » Goldberg eux-mêmes auraient approuvées; Ou, Le monde merveilleux de Frederick Rowland Emett et ses choses

Rachel Marie-Louise Clément, née Guillot, en train se saler des fromages camembert Madame Clément produits par Laiterie R.A. Clément (Enregistrée? Incorporée? Limitée?), McMasterville ou Beloeil, Québec. Anon., « Fromages du Québec. » Photo-Journal, 28 août 1952, 33.

« Si j’avais cent vies, je recommencerais l’aventure du camembert : » Le délicieuse saga québécoise de la famille Clément et de ses fromages

Vue d’artiste du dirigeable conçu par le modeleur, ouvrier, sculpteur ou tailleur de pierre québécois Louis N. Filion. Anon., « Le secret de la direction des ballons est-il réellement détenu par un Canadien-français? » La Patrie, 26 juillet 1902, 19.

En 1902, le secret de la direction des ballons dirigeables est-il détenu par le Québécois Louis N. Filion? C’est à moi de le savoir et à vous de le découvrir

Une publicité typique de Bamboo Cycle Company Limited de Londres, Angleterre. Anon., « Bamboo Cycle Company Limited. » The Graphic, 31 juillet 1897, 179.

« En cas de doute mon conseil est Acheter une Bamboo : » Quelques pages sur Bamboo Cycle Company Limited de Londres, Angleterre

Un tir d’essai américain d’une fusée à courte portée sol-sol non guidée Douglas M31 Honest John. Anon., « Engins et missiles ». Aviation Magazine, 1 juin 1959, 155.

Elle n’a peut-être pas changé l’histoire mais aurait certainement changé la géographie : Un bref mais effrayant coup d’œil sur les fusées à courte portée sol-sol non guidées Douglas M31 et M50 / MGR-1 Honest John, partie 2

Une équipe de l’Artillerie royale canadienne de l’Armée canadienne s’entraînant sur une fusée à courte portée sol-sol non guidée Douglas M31 Honest John de la United States Army, Fort Sill, Oklahoma. Anon., « Rocket Training. » Sherbrooke Daily Record, 13 juillet 1957, 1.

Elle n’a peut-être pas changé l’histoire mais aurait certainement changé la géographie : Un bref mais effrayant coup d’œil sur les fusées à courte portée sol-sol non guidées Douglas M31 et M50 / MGR-1 Honest John, partie 1

Une publicité de Frisco Soda Water Company de Montréal, Québec, pour la bière Salvador brassée par Reinhardt ‘Salvador’ Brewery Limited de Toronto, Ontario. Anon., « Frisco Soda Water Company. » The Montreal Daily Star, 5 juillet 1912, 5.

Un conte de deux Reinhardt; ou, Un bref aperçu de deux brasseries canadiennes disparues et oubliées depuis longtemps

Kenneth Albert Arnold, au centre, avec deux autres pilotes qui affirment avoir vu des objets volants non identifiés, soit Emil J. Smith, à gauche, et Ralph Stevens. Anon., « Pilotes qui virent des soucoupes volantes. » Le Soleil, 8 juillet 1947, 1.

« Tout le monde a vu les soucoupes volantes, les journalistes exceptés : » Les premières observations d’objets volants non identifiés / phénomènes aériens non identifiés dans la province de Québec, 24 juin au 19 juillet 1947, partie 2

Kenneth Albert Arnold. Anon., « Boise Airman Positive He Didn’t See Ordinary Craft Reflections. » The Idaho Daily Statesman, 28 juin 1947, 9.

« Tout le monde a vu les soucoupes volantes, les journalistes exceptés : » Les premières observations d’objets volants non identifiés / phénomènes aériens non identifiés dans la province de Québec, 24 juin au 19 juillet 1947, partie 1

Une publicité typique de O-Pee-Chee Gum Company de London, Ontario. Anon., « O-Pee-Chee Gum Company. » The Aylmer Express, 6 juin 1912, 5.

« Mâche Mâche Mâche Mâche ta gomme à bulles: » Les sucrés de bons vieux temps de O-Pee-Chee Gum Company Limited de London, Ontario

Publicité concernant la Isetta fabriquée par Isetta of Great Britain Limited. Une fois traduit, le texte se lit : « Hé! ne touche pas à cette pièce de 10 cents! Je vais juste prouver que cette Isetta peut se garer dessus! » Anon., « City Motors Limited. » The Gazette, 21 novembre 1957, 2.

Un coup d’œil sous le capot d’un des symboles du miracle économique ouest-allemand des années 1950 ; ou, L’histoire multiforme et multinationale de la microvoiture Isetta, partie 2

Une BMW 250 ou 300 typique. Devon Francis, « What you get in the foreign economy cars. » Popular Science, juin 1957, 62.

Un coup d’œil sous le capot d’un des symboles du miracle économique ouest-allemand des années 1950 ; ou, L’histoire multiforme et multinationale de la microvoiture Isetta, partie 1

Un projecteur de planétarium Spitz au Planetario Municipal Agrimensor Germán Barbato, le premier planétarium d’Amérique du Sud, inauguré en 1955, Montevideo, Uruguay, février 2015. Fedaro via Wikimedia.

Béni soit celui qui apporte les merveilles du cosmos à la multitude : Armand Neustadter Spitz et ses projecteurs de planétarium, partie 2

Armand Neustadter Spitz. Hilaire Cuny, « Sciences et techniques – La plus gigantesque tentative de notre temps : La conquête de l’espace cosmique. » Combat, 15 mai 1957, 6.

Béni soit celui qui apporte les merveilles du cosmos à la multitude : Armand Neustadter Spitz et ses projecteurs de planétarium, partie 1

Une publicité typique de la firme William Hood & Company de Toronto, Ontario. Anon., « William Hood & Company. » The Canadian Grocer & General Storekeeper, 27 mai 1892, 9.

« Un nouveau gagnant commercial pour les épiciers et marchands généraux; » ou, Comment William Hood & Company de Toronto, Ontario, devient un prétexte pour s’attarder sur les mystères de… l’huile de ricin

Une publicité typique de Tillson Company Limited. Anon. « Tillson Company Limited. » The Canadian Grocer & General Storekeeper, 13 mai 1892, 19.

« Un aliment, pas une mode: » La vie et l’époque de Edwin Delevan Tillson de Tillsonburg, Ontario

Gertrude Dugal, la première Québécoise francophone ayant obtenu une licence de pilote – ou pas, Aéroport de Cartierville, Cartierville, Québec. Anon., « La seule diplômée. » La Patrie, Journal du dimanche, 18 mai 1947, 1.

« À travers les nuages, je vois voler mon ombre: » Quelques mots sur Gertrude Dugal, la première Québécoise francophone ayant obtenu une licence de pilote – à moins que ce ne soit quelqu’un d’autre

Une motomarine Vincent Amanda dans son élément, Ruislip, Angleterre, avril 1957. Anon., “Triss i bâtar.” Teknikens Värld med Flyg, 2 au 16 mai 1957, 8.

Bournemouth, Scarborough, ooh je veux vous emmener. Great Yarmouth, Lyme Regis, ami(e) lectrice, lecteur : La Vincent Amanda, l’ancêtre presque oubliée des motomarines d’aujourd’hui

Une vue en gros plan d’une pilule radio quelques instants avant que le premier patient volontaire ne l’avale. Anon., « Science – Radio Made to Swallow. » Life, 29 avril 1957, 74.

Prenez une de ces pilules et vos entrailles m’appelleront en matinée : La saga digestive de… la pilule radio

Dan Cooper, tel que dessiné par l’auteur de bande dessinée belge Albert Weinberg lors de sa visite à North Bay, Ontario, en mai-juin 1966. Anon., « Originator of RCAF cartoon hero visits defence bases at North Bay. » The North Bay Nugget, 3 juin 1966, 1.

Un prolifique auteur de bande dessinée belge qui mérite d’être mieux connu : Le père de Dan Cooper, héros canadien, Albert Weinberg (1922-2011), partie 2

Albert Weinberg au cours d’une de ses nombreuses visites en sol canadien. Anon., « Dan Cooper c’est Buzz Beurling. » La Presse, 31 mars 1975, A3.

Un prolifique auteur de bande dessinée belge qui mérite d’être mieux connu : Le père de Dan Cooper, héros canadien, Albert Weinberg (1922-2011), partie 1

Un avion de chasse FFVS J 22 typique de l’armée de l’air suédoise, ou Flygvapnet, Bunge, Suède, vers 1948-49. Flygvapenmuseum, FVMF.002142.

On m’a demandé quelques fois quel était mon avion préféré. Eh bien, voici l’un de mes favoris de tous les temps : l’avion de chasse suédois FFVS J 22, partie 2

Un avion de chasse FFVS J 22 typique de l’armée de l’air suédoise, ou Flygvapnet. Harald Jacobson, « Ett flygplan – en flygepok. » Looping, avril 1952, 12.

On m’a demandé quelques fois quel était mon avion préféré. Eh bien, voici l’un de mes favoris de tous les temps : l’avion de chasse suédois FFVS J 22, partie 1

 Une publicité pour des produits, en l’occurrence du hareng et de la sardine, mis en conserve par Connors Brothers Limited de Black’s Harbour, Nouveau-Brunswick. Anon., « Connors Brothers Limited ». Le Prix courant, 29 mars 1912, 20.

D’un appât à homard et engrais pour pommes de terre à de l’argent d’eau salée : L’humble sardine et Connors Brothers Limited de Black’s Harbour, Nouveau-Brunswick

Une Volvo P1800 comparable à celle que conduit Simon Templar, dit le Saint, un personnage joué à la télévision par Roger George Moore, Volvo Museum, Göteborg, Suède, 2008. Jarle Vines via Wikimedia.

Une sainte automobile du pays de « Fifi » Brindacier et Lisbeth Salander : La grande routière / voiture sport suédoise Volvo P1800, partie 2

Une grande routière / voiture de sport Volvo P1800 typique Anon., « La plus belle auto. » La Patrie du Dimanche, 25 mars 1962, 11.

Une sainte automobile du pays de « Fifi » Brindacier et Lisbeth Salander : La grande routière / voiture sport suédoise Volvo P1800, partie 1

Le député sortant de la circonscription électorale de Limoux, France, le sénateur Henri Charles Étienne Dujardin-Beaumetz. Joseph Uzanne. Figures contemporaines. (10ème édition) (Paris: Librairie Henri Floury, 1906), non paginé.

« Mon cher Védrines, c’est une panne de scrutin : » Charles Toussaint « Jules » Védrines et l’élection législative partielle de Limoux, France, de mars 1912, Partie 2

Caricature du sénateur Henri Charles Étienne Dujardin-Beaumetz se payant la tête de « Jules » Védrines, le candidat défait lors de l’élection législative partielle de Limoux, France, de mars 1912. Anon., « La course Limoux-Palais-Bourbon. » Le Rire, 30 mars 1912, non paginé.

« Mon cher Védrines, c’est une panne de scrutin : » Charles Toussaint « Jules » Védrines et l’élection législative partielle de Limoux, France, de mars 1912, Partie 1

Le laboratoire sur roues Lincoln Continental 1950X / Ford X-100. Anon., « La Ford de l’avenir. » Photo-Journal, 28 février 1952, 8.

La voiture de demain telle qu’on l’imaginait il y a 70 ans : Le laboratoire sur roues Lincoln Continental 1950X / Ford X-100

Edward T. Faulkner et son Curtiss JN-4 Canuck, Honeoye Falls, New York, 1962. Musée de l’aviation et de l’espace du Canada 2985.

Il décolle à 100 kilomètres/heure, vole à 100 kilomètres/heure et atterrit à 100 kilomètres/heure, plus ou moins : La saga du Curtiss JN-4 Canuck

Une publicité de David Brown (Canada) Limited de Toronto, Ontario, montrant des tracteurs offerts par une firme sœur / frère britannique, David Brown Tractors Limited. Anon., « David Brown (Canada) Limited ». Le Bulletin des agriculteurs, février 1962, 75.

« Voulez-vous conduire mon tracteur? Allons donc charger du foin. » Un très bref aperçu de l’histoire de la firme britannique David Brown Tractors Limited

Tomanowos, mieux connue sous le nom de météorite Willamette, American Museum of Natural History, New York, New York. Anon., « Ça et là, par l’image. » Le Samedi, 22 février 1947, 8.

Tomanowos, une visiteuse du ciel ou de la Lune : Un coup d’œil sur de la plus grosse météorite nord-américaine connue aujourd’hui

Vera Elsie Strodl portant le blouson de vol en cuir qu’elle porte pendant la Seconde Guerre mondiale. Glennis Zilm, « Only Canadian honored – Long love of flying brings award to aviatrix. » The Gazette, 1er février 1972, 8.

Dieu aurait pu être son copilote, Ou, La carrière remarquable d’une pilote remarquable, Vera Elsie Strodl

John D’Alton Woodlock avec un de ses fils, Peter Woodlock, devant le téléviseur familial, Iberville, Québec, été 1949. Arthur Prévost, « Dix ans avant CBFT – À Iberville, on a la TV depuis 14 ans!... » Le Petit Journal, 14 janvier 1962, A-49.

Mais malheureusement, comme tant de grands esprits, le pionnier québécois de la télévision John D’Alton Woodlock est parti trop tôt – et vite oublié

Une publicité de la Société auxiliaire agricole de Paris, France, montrant un tracteur agricole Pavesi P4 ou Agrophile-Pavesi en action. Anon., « Société auxiliaire agricole, » L’Agriculture nouvelle, 14 janvier 1922, 4.

Il était une fois un tracteur acrobate : La belle bien que partiellement militaire histoire du tracteur agricole Pavesi P4 et la carrière de Ugo Pavesi

Deux des grands avions de chasse de la Première Guerre mondiale : un SPAD S.VII du Royal Flying Corps ou de l’Aéronautique militaire et un Albatros D.III du Luftstreitkräfte. Anon., « A Dog Fight. » Canadian Aviation, janvier 1932, 12.

L’histoire des photographies les plus extraordinaires jamais prises de combats aériens pendant la Première guerre mondiale, Ou, Le long et le court de la collection Cockburn-Lange

Une vue d’ensemble d’un des premiers réseaux téléphoniques au Canada, Montréal, Québec, 1878. Anon., « Le premier téléphone qui ait jamais été installé à Montréal. » La Presse, 27 janvier 1912, 5.

Ils sont parmi les premiers à tendre la main et toucher quelqu’un : Un regard sur un des premiers réseaux téléphoniques au Canada

Le Canadair CL-44 loué par British Overseas Airways Corporation (BOAC), septembre 1963. Cet aéronef de Seaboard World Airlines Incorporated transporte 19 voitures de course du Royaume-Uni aux États-Unis lors de ce vol, son premier aux couleurs de BOAC. MAEC.

Un bon élan en mérite un autre : La saga de l’avion-cargo canadien Canadair CL-44, Partie 2

Une publicité de l’avionneur Canadair Limited de Cartierville, Québec, vantant les mérites de son hénaurme avion-cargo, le Canadair CL-44. Anon., « Canadair Limited. » La Presse, 23 janvier 1962, 29.

Un bon élan en mérite un autre : La saga de l’avion-cargo canadien Canadair CL-44, Partie 1

Publicité publiée par les magasins Zeller’s Limited de Calgary, Alberta, qui met en valeur le tracteur Reely Ride-’em produit par Reliable Toy Company Limited de Toronto, Ontario. Anon. « Zeller’s Limited. » The Calgary Herald, 11 décembre 1961, 32.

Jouets, glorieux jouets, on voudrait bien jouer : Quelques pages sur Reliable Toy Company Limited de Toronto, Ontario

Un hydravion à flotteurs utilitaire de Havilland Canada DHC-3 Otter exploité par Northway Aviation Limited de St. Andrews, Manitoba, lac Fishing, Manitoba, septembre 2005. Mark Swaffer via Wikimédia.

Le camion volant d’une tonne du Canada : le de Havilland Canada DHC-3 Otter

Une publicité de Moline Plow Company montrant un Moline Universal Tractor en action. Anon. « Moline Plow Company. » L’Agriculture nouvelle, 10 décembre 1921, 707.

Un véhicule très réussi et, oserais-je le taper, un gougeur de pente de l’industrie des tracteurs agricoles : le Moline Universal Tractor

L’avion de ligne à réaction Douglas DC-8 de Canadian Pacific Airlines Limited de Vancouver, Colombie-Britannique, connu sous le nom de Empress of Montreal. Anon., « Empress of Montreal DC-8 First CPA Jet Visitor. » The Gazette, 6 décembre 1961, 17.

Un article dont je suis réticent à divulguer la phrase-choc si tôt dans le jeu : Ou, Un DC racé utilisé par CP

L’avion-cargo Fairchild C-119 Flying Boxcar de la United States Air Force emprunté par Iron Ore Company of Canada Incorporated en 1951. Anon., « Fret aérien – L’opération Ungava – Le fret aérien accélère l’application d’un projet. » Interavia, décembre 1951, 672.

« Dans l’intérêt de la sécurité nationale » : Le rôle joué par un avion-cargo Fairchild C-119 Flying Boxcar de la United States Air Force dans le développement des gisements de minerai de fer de la région du lac Knob

Le Vertol Modèle 42 de Skyrotors Limited de Arnprior, Ontario, nolisé par Spartan Air Services Limited de Ottawa, Ontario, dans le cadre de l’Opération High Tower. Anon., « Operation High Tower. » The Ottawa Citizen, 8 novembre 1961, 3.

Votre mission, si toutefois vous l’acceptez, est de déplacer des trucs : Spartan Air Services Limited de Ottawa, Ontario, la station radiophonique CFRA de Ottawa et l’Opération High Tower

Une des deux sculptures grandeur nature en alliage d’aluminium de grues blanches créées par Wolfram F. Niessen pour le Regina Municipal Airport, Regina, Saskatchewan. Anon., « Regina Honors the Whooping Crane. » The Ottawa Citizen, Weekend Magazine, 18 novembre 1961, 38.

Parlons d’art, humaines et humains. Tous les humains. Plus fort maintenant. Aidez-moi. – Wolfram F. Niessen, John Cullen Nugent et les sculptures grandeur nature en alliage d’aluminium de grues blanches créées pour le Regina Municipal Airport

Joseph Alphonse Ouimet. Anon., « Le pionnier de la télévision préférait la radio à une bicyclette neuve. » La Patrie, 5 novembre 1961, 26.

« Le pionnier de la télévision préférait la radio à une bicyclette neuve : » Un survol de la carrière de Joseph Alphonse Ouimet, un père fondateur de la télévision canadienne

Une publicité publiée par La traction et le matériel agraires Société anonyme pour le tracteur de jardin américain Beeman Junior. Anon., « La traction et le matériel agraires Société anonyme. » L’Agriculture nouvelle, 12 novembre 1921, 664.

« Les arpents verts, les champs, les bois, les chemins creux, c’est fait pour moi : » La firme américaine Beeman Garden Tractor Company et le tracteur de jardin / motoculteur Beeman Junior ou Modèle G

Une ascension de l’aéronaute et parachutiste foraine Florida Lanthier. Maurice Desjardins, « Dans une modeste maison de Montréal-Nord – Florida Lanthier, reine des parachutistes, vit de couture... et de souvenirs. » Photo-Journal, 8 novembre 1951, 3.

Ombres et lumière dans le ciel du Québec : Un premier regard sur la vie et l’époque de l’aéronaute et parachutiste foraine féminine québécoise Florida Lanthier

L’irradiateur mobile de démonstration monté par Énergie atomique du Canada Limitée. Anon., « Boon to Canadian potato industry. » Saskatoon Star-Phoenix, 21 octobre 1961, 6.

Une patate chaude, deux patates chaudes, trois patates chaudes, quatre : Énergie atomique du Canada Limitée de Chalk River, Ontario, et les premiers jours de l’irradiation des aliments au Canada

Une automobile légère et économique Mathis VL333. Fernand de Laborderie, « Le 33e Salon de l’automobile. » La Nature, 15 octobre 1946, 331.

Une vision d’avenir pour une firme à bout de souffle : L’automobile légère et économique française Mathis VL333

Un Bristol Bolingbroke de reconnaissance côtière destiné à l’Aviation royale du Canada en cours de montage dans l’usine de Fairchild Aircraft Limited, Longueuil, Québec, 1941. Anon., « Les C.F. et la R.C.A.F. » Le Samedi, 18 octobre 1941, (c).

« Nous devons obtenir du matériel aérien et veiller sur nos côtes » – L’Aviation royale du Canada et l’avion de reconnaissance côtière Bristol Bolingbroke

 Le prototype du de Havilland Canada DHC-6 Twin Otter en montre au Musée de l’aviation du Canada, Ottawa, vers 2001. MAEC.

De pôle en pôle et d’horizon en horizon, le Twin Otter était, est et sera là : Une bien brève pontification sur un des meilleurs aéronefs canadiens jamais conçus

Le Royal Aircraft Factory B.E.2 en montre au Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, Ottawa, Ontario, février 2009. Wikipédia.

Le cas étrange et déconcertant des aéroplanes substitués; ou, Même en utilisant les Mathématiques modernes, 4112 n’égale jamais 5878 : La haute histoire du Royal Aircraft Factory B.E.2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, partie 2

Le Royal Aircraft Factory B.E.2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada alors qu’il appartient au Musée canadien de la guerre, Ottawa, Ontario. H.J. (« Titch ») Jenkins, « Correspondence – Ottawa’s – and Sowrey’s – B.E.2c. » Flight, 12 octobre 1961, 600.

Le cas étrange et déconcertant des aéroplanes substitués; ou, Même en utilisant les Mathématiques modernes, 4112 n’égale jamais 5878 : La haute histoire du Royal Aircraft Factory B.E.2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, partie 1

Isidore Joseph Amédée Marsan. Anon., « Isidore Joseph Amédée Marsan. » Le Bulletin des agriculteurs, 17 septembre 1921, couverture.

Un des pionniers de la science agricole au Québec et au Canada: Isidore Joseph Amédée Marsan

Une annonce publicitaire de St. Lawrence Starch Company Limited, Port Credit, Ontario. Anon., « Publicité – St. Lawrence Starch Company Limited. » Le Bulletin des agriculteurs, septembre 1941, 61.

Gratis, magnifiques cartes portant des dessins ou photographies d’aéronefs alliés! Collectionnez-les toutes!

Une automobile Aluminium français-Grégoire, Cité de l’automobile – Musée national – Collection Schlumpf, Mulhouse, France, mai 2010, Wikimédia.

Ent’ deux joints, il a ben fait quequ’chose : Jean Albert Grégoire et ses magnifiques automobiles, Partie 2

 Un exemplaire de l’automobile électrique française CGE-Tudor. C. Faroux, « Un progrès considérable de la voitures électrique. » La Vie automobile, 25 septembre 1941, 284.

Ent’ deux joints, il a ben fait quequ’chose : Jean Albert Grégoire et ses magnifiques automobiles, Partie 1

Le seul et unique exemplaire de l’avion de ligne à long rayon d’action italien Breda Zappata BZ 308. Jacques Gambu. « Breda Zappata BZ 308. » Aviation Magazine, 1er septembre 1951, 21.

Il Constellation italiano, une étoile méconnue du firmament aéronautique de l’Italie : L’avion de ligne à long rayon d’action Breda Zappata BZ 308

Paul Fjeld dans la demeure familiale, Rosemère, Québec. Claude-Lyse Gagnon, « Parti avec $200 en poche – Un jeune Québécois a pu voir décoller Apollo 15. » La Patrie, 15 août 1971, 12.

Espace, frontière de l’infini vers laquelle voyage notre planète, la Terre; voici l’histoire de vie de Paul Fjeld, passionné d’espace et artiste depuis plus d’un demi-siècle

Publicité pour la lager Frontenac Blue Label de National Breweries Limited de Montréal, Québec. Anon., « Publicité – National Breweries Limited. » Le Samedi, 23 août 1941, 12.

La grande victime de la guerre de la bière de Montréal de 1925 : Frontenac Breweries Limited de Montréal, Québec

Un véhicule tout-terrain Karou Karou. Anon., « Opération Camping à Saint-Hilaire. » Photo-Journal, 26 juillet au 1er août 1971, 47.

Tout-terrain, tout-temps, tout-plaisir : Karou Incorporée de Drummondville, Québec, et le véhicule tout-terrain Karou

Le premier exemplaire de production de l’avion d’entraînement avancé Avro Anson de fabrication canadienne équipé d’un fuselage en contreplaqué moulé, lieu inconnu, 1943. MAEC, 23290.

Tout le monde ne sait pas que la fabrication d’aéronefs peut être un sport de contact : Clarence Decatur Howe, Harvey Reginald MacMillan et la production d’avions d’entraînement avancé Avro Anson au Canada, Partie 2

Une paire d’avions d’entraînement avancé Avro Anson de fabrication canadienne utilisée par l’École de pilotage militaire no 10, Base de l’Aviation royale du Canada de Dauphin, près de Dauphin, Manitoba, 1943-44. MAEC, 27297.

Tout le monde ne sait pas que la fabrication d’aéronefs peut être un sport de contact : Clarence Decatur Howe, Harvey Reginald MacMillan et la production d’avions d’entraînement avancé Avro Anson au Canada, Partie 1

Le tout premier tramway électrique exploité par Telegraphen-Bau-Anstalt von Siemens & Halske, Berlin, Empire allemand. Anon., « The first electric railway in Berlin. » Canadian Illustrated News, 9 juillet 1881, 21.

Un tramway nommé Straßenbahn Groß-Lichterfelde, ou, Comment Telegraphen-Bau-Anstalt von Siemens & Halske met en service le premier tramway électrique au monde

L’auteur et pionnier canadien de l’aviation Frank Henry Ellis (au centre) avec les pionniers américains de l’aviation Frank Purdy Lahm (à gauche) et Will D. « Billy » Parker, président de Early Birds of Aviation Incorporated, Los Angeles, Californie. Robert Francis, « Early Birds ». Sunday Sun Magazine, 28 juillet 1951, 5.

Si nous avons vu plus loin, c’est en montant sur les épaules d’un géant : Frank Henry Ellis et Canada’s Flying Heritage

Publicité montrant un tracteur italien SAME Buffalo. Anon., « Publicité – Les Entreprises Biasotto & Hardy (Canada) Incorporée. » Le Bulletin des agriculteurs, juillet 1981, 26.

Ils étaient tous pareils, frères l’un de l’autre : Francesco Cassani, Eugenio Gabriele Cassani et la Società Accomandita Motori Endotermici (SAME)

Un Canadair North Star de British Overseas Airways Corporation, London Airport, Heathrow, Angleterre, septembre 1954. Wikimédia.

Le tour du monde en 80 heures : Quelques pages sur le Canadair North Star, partie 2

Le prototype du Canada North Star, 1946. Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, KM-08329

Le tour du monde en 80 heures : Quelques pages sur le Canadair North Star, partie 1

Une annonce publicitaire pour une faucheuse fabriquée par La Machine Agricole Nationale Limitée de Montmagny, Québec. Anon., « Publicité – La Machine Agricole Nationale Limitée. » Le Bulletin des agriculteurs, 11 juin 1921, 556.

Faites que personne n’oublie que, pendant un moment bref et éclatant, il y a eu La Machine Agricole Nationale Limitée de Montmagny, Québec

La civière Folland / Hawker Siddeley Hoverstretcher en action. Anon., « Airborne comfort. » The Calgary Herald, 9 juin 1961, 19.

Développer le germe d’une idée: Maurice Joseph Brennan et ses aéroglisseurs

Des mères et enfants prêtes à monter à bord d’un des avions de ligne Douglas DC-3 convertis en Nurseryliner par United Air Lines Incorporated, San Francisco, Californie, avril ou mai 1946. Anon., « Service aérien pour bébés. » Photo-Journal, 20 juin 1946, 12.

Asseyez-vous, détendez-vous et profitez du voyage – Des bébés dans l’avion : United Air Lines Incorporated et son service Nurseryliner

L’ingénieur et astronome amateur canadien James Hargreaves avec un instrument qu’il a fabriqué lui-même. Jean Taillefer, « Un voyage de 180 jours au Soudan, en Afrique; une expérience astronomique de 180 secondes. » Le Droit, 16 juin 1951, 13.

« Un savant d’Ottawa fait un sacrifice pour la science: » L’ingénieur et astronome amateur canadien James Hargreaves et ses voyages autour du globe

Le prototype de l’avion de brousse Fairchild F-11 Husky peu avant son premier vol, juin 1946, Musée de l’aviation et de l’espace du Canada KM-05311.

Chien-chien, tu es doué, très doué, mais tant que le rongeur sera dans le métier, tu ne seras jamais que le second : La brève mais longue histoire de l’avion de brousse Fairchild F-11 Husky

Un dessin écorché de l’avion de brousse canadien Fleet Modèle 50 Freighter. Anon., « Fleet’s Trainer and Transport. » Aviation, mai 1941, 61.

Il aurait pu (et dû?) être un des grands : L’avion de brousse canadien Fleet Modèle 50 Freighter

Wilfrid-Henri Perron. Claude Asselin, « Une encyclopédie québécoise pour les horticulteurs. » Photo-Journal, 3 au 9 mai 1971, 12.

Chez Perron, tout est bon : Un géant de l’horticulture québécoise et canadienne, Wilfrid-Henri Perron (1897-1977)

Le cyclecar / vélomobile / vélocar / automouche à pédales et / ou moteur auxiliaire Le Dauphin. Edmond Massip, « Un cyclecar à pédales et moteur auxiliaire. » La Vie automobile, 25 mai 1941, 153.

Le cyclecar / vélomobile / vélocar / automouche à pédales et / ou moteur auxiliaire Le Dauphin : Une solution (extrême?) à la pénurie de carburant à Paris au cours de l’occupation allemande pendant la Seconde Guerre mondiale

L’autogire Pitcairn PCA-2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada lors de sa grande tournée aux États-Unis, alors qu’il appartient à Sealed Power Corporation. Anon. « Pohled na Ciervovu autogiro za letu. » Letectvi, novembre 1932, 310.

« ’Moulin à vent volant’ ici mercredi » : Le grand périple de Donald Walker et du Pitcairn PCA-2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, partie 2

L’autogire Pitcairn PCA-2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada au moment où il appartenait à Standard Oil Company of New York. Anon., « Publicité – Standard Oil Company of New York. » Aviation, mai 1931, 22.

« ‘Moulin à vent volant’ ici mercredi » : Le grand périple de Donald Walker et du Pitcairn PCA-2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, partie 1

Une annonce publicitaire sobre et sans fioriture d’Elzéar Fortier Limitée de Québec, Québec. Anon., « Publicité – Elzéar Fortier Limitée. » L’Action catholique, 8 avril 1946, 9.

C’était un malin: Elzéar Fortier et la production de boissons gazeuses à Québec, Québec

Youri Alekseïevitch Gagarine et Charles Augustus Lindbergh. La légende de ces photographies mentionne la ressemblance frappante entre ces personnes importantes du monde de l’astronautique et de l’aéronautique. Anon., « Lancement du premier homme dans l’espace – Comment se sont déroulés les événements en Union soviétique. » La Tribune, 13 avril 1961, 24.

C’était aussi un petit pas pour un homme, un pas de géant pour l’humanité : Le vol dans l’espace de Youri Alekseïevitch Gagarine dans la presse francophone québécoise, 12-15 avril 1961, partie 2

Le major Youri Alekseïevitch Gagarine au cours de sa visite à Helsinki, Finlande, juillet 1961. Wikimédia.

C’était aussi un petit pas pour un homme, un pas de géant pour l’humanité : Le vol dans l’espace de Youri Alekseïevitch Gagarine dans la presse francophone québécoise, 12-15 avril 1961, partie 1

Claire Wallace, animatrice de radio de Canadian Broadcasting Corporation interviewant Diana Jocelyn Dudley, ingénieure en aménagement intérieur de Trans-Canada Air Lines, janvier 1946. Anon. « Air Transportation – Radio Broadcast over Niagara. » Canadian Transportation, avril 1946, 200.

Pas un endroit pour une dame?! Baliverne! : Diana Jocelyn Dudley et Janet Elizabeth Lowe, les premiers ingénieurs en aménagement intérieur des Lignes aériennes Trans-Canada

Peter Müller aux commandes [sic] du Pedroplan, Berlin, Allemagne, mars 1931. Anon., « Cologne contre Marseille – Le mystère du ‘Pédroplan.’ [sic] » Les Ailes, 2 avril 1931, 14.

Je veux faire voler ma bicyclette, je veux faire voler mon cerf-volant : Peter Müller et le Pedroplan

L’aéroglisseur Phillips Saucercraft, Mount Hope, Ontario. Anon., « Flying saucer crack-up. » The Calgary Herald, 2 mars 1961, 1.

Un ONVI (Objet non volant identifié) des plus intrigants : L’aéroglisseur Phillips Saucercraft

La Dre Ann Elizabeth Noelle Grace s’occupant d’un de ses patients, Montreal General Hospital, Montréal, Québec. Claude Adams, « An eye-opener for our reporter – Team of women doctors shatters Ben Casey myth. » The Gazette, 3 mars 1971, 31.

Briser le mythe de Ben Casey et James Kildare : La première femme chirurgien pédiatrique du Canada, la Dre Ann Elizabeth Noelle Grace

Une publicité de Langlais & Frère Incorporée de Québec, Québec, vantant les mérites du tracteur Zetor 25. Anon. « Publicité – Langlais & Frère Incorporée. » L’Action catholique, 3 mars 1951, 14.

De leurs épées, ils forgeront des socs de charrue; ou, Un bref regard sur la société d’état tchèque Zbrojovka Brno Národní Podnik

 Quelques personnalités présentes lors l’inauguration de l’École d’avionnerie de Cartierville, Cartierville, Québec, 3 mars 1941. Anon., « À l’inauguration de l’École d’avionnerie de Cartierville. » La Presse, 4 mars 1941, 19.

Une réalisation magnifique, pleine de promesses d’avenir, balayée par l’esprit étroit de Maurice Le Noblet Duplessis : L’École d’avionnerie de Cartierville

La présentation du premier Boeing Modèle 747 d’Air Canada à l’Aéroport international de Montréal-Dorval, Dorval, Québec. Anon., « Des milliers de personnes ont vu le géant des airs. » La Presse, 22 mars 1971, A 1.

66 327 personnes ne peuvent pas avoir tort, mais elles peuvent avoir froid : La présentation du premier Boeing Modèle 747 d’Air Canada à l’Aéroport international de Montréal-Dorval

 Le Fokker D.VII du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, mars 2019. MAEC.

Un des grands aéronefs de combat du 20ème siècle et un des nombreux joyaux d’un des plus remarquables musées de l’aviation et de l’espace de la planète Terre : Le Fokker D.VII et l’avion du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada

Une publicité de Équipements Ascot Incorporée de Saint-Élie-d’Orford, Québec, vantant les mérites du tracteur UTB U530. Anon. « Publicité – Équipements Ascot Incorporée. » Le Bulletin des agriculteurs, février 1981, 28.

De leurs ailes, ils forgeront des socs de charrue; ou, Un bref regard sur la société d’état roumaine Uzina Tractorul Braşov

Un dessin éditorial mettant en lumière le lancement de la sonde planétaire soviétique Venera 1 en février 1961. Edmund Alexander Sebestyen, « To Venus With Love. » Saskatoon Star-Phoenix, 14 février 1961, 4.

Essayer de lever les voiles sous lesquels Vénus se cachait de notre regard : La saga de la sonde planétaire soviétique Venera 1

Un Jacobs Jaycopter au repos, Edmonton, Alberta. Lyn Harrington, « Cutting helicopter training cost. » Canadian Aviation, février 1961, 20.

Un simulateur d’hélicoptère avec une différence : il vole – Le Jacobs Jaycopter canadien

Dessin éditorial montrant le roi Neptune offrant sa couronne à l’équipage du English Electric Canberra qui traverse l’Océan Atlantique en février 1951. Charles R. Knight, « Ready to Abdicate. » The Windsor Daily Star, 22 février 1951, 4.

Quelques milliers de mots sur le English Electric Canberra / Martin B-57 Canberra et le petit rôle joué par Canadair Limited dans son histoire

Le premier exemplaire de série de l’hélicoptère Piasecki HUP Retriever. Anon., « News Picture Highlights. » Aviation Week, 15 janvier 1951, 9.

« Shoe, » Retriever, « Hupmobile » ou Army Mule – un HUP sous tout autre nom est encore un HUP : Les hélicoptères Piasecki HUP Retriever et H-25 Army Mule, et le HUP du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada

Un des premiers de Havilland Canada Chipmunk importés au Royaume-Uni. Anon., « De Havilland [Canada] DHC-1 ‘Chipmunk.’ » Aviation Magazine, 1er janvier 1951, couverture.

Un Tamias striatus gambadant dans les nuages : Le de Havilland Canada Chipmunk

Le 5ème de Havilland Canada AC-1 Caribou de présérie. Larry Booda, “Aeronautical Engineering – Aviation Week Pilot Report – STOL Caribou Calls for Special Handling.” Aviation Week and Space Technology, 23 janvier 1961, 56.

Un camion volant qui a donné de la mobilité aux soldats de l’ère atomique : Le de Havilland Canada Caribou

La voiture lunaire Oberth telle qu’imaginée en 1960. I.M. Levitt, « Le problème du transport sur la Lune. » L’Action catholique, 10 juillet 1960, 5.

Je ne suis tout simplement pas sûr que ce véhicule a été bien pensé : La voiture lunaire du pionnier de l’astronautique Hermann Julius Oberth

La Ferrari 512 Pininfarina Modulo, en montre lors de l’édition 1971 du Salon international de l’Auto de Montréal, Montréal, Québec. Jean D. Legault, « Une première mondiale et 12 continentales. » La Patrie, 17 janvier 1971, 31.

Une des automobiles de rêve les plus célèbres de tous les temps : La Ferrari 512 Pininfarina Modulo

Publicité pour le moins sobre pour la bière d’épinette La Canadienne de F.A. Fluet Enregistré. Anon., « Publicité – F.A. Fluet Enregistré. » L’Action catholique, 4 janvier 1951, 5.

Une petite bière qui n’était pas de la petite bière : F.A. Fluet Enregistré de Québec, Québec, et la bière d’épinette La Canadienne

Une scène croquée lors du lancement du Jeu de l’électricité par Éditions Héritage Incorporée, Montréal, Québec, 6 novembre 1968. Anon., « –. » Le Devoir, 6 novembre 1968, 11.

A B C Abécédaire. Viens avec nous autour de la Terre : L’émission de télévision éducative pour enfants Tour de Terre de la Société Radio-Canada

Une publicité vantant les mérites du Vin St.Georges. Anon. « Publicité – T.G. Bright & Company Limited. » Le Bulletin des agriculteurs, décembre 1940, 2.

Pour régaler la famille pendant les Fêtes, n’oubliez pas le Vin St.Georges : Un bref regard sur un pionnier de l’industrie vinicole canadienne, T.G. Bright & Company Limited

Le Bell Modèle 47 utilisé par Airspray Limited, Ontario. Anon., “Helicopter – Down on the Farm.” Canadian Aviation, septembre 1947, 25.

Dans la ferme de Mathurin, hiya hiya ho. Il y a des centaines de Bell, hiya hiya ho : Quelques mots de plus sur les premiers jours de l’aviation agricole au Canada

Une publicité annonçant la mise en service de l’avion de ligne court et moyen-courriers Vickers Vanguard des Lignes aériennes Trans-Canada. Anon., « Publicité – Trans-Canada Air Lines. » Maclean’s, 3 décembre 1960, 8-9.

Du « gros Viscount » au Merchantman : Le voyage abrégé du Vickers Vanguard

Le Convair 580 utilisé par le Centre canadien de télédétection de Ressources naturelles Canada, Aéroport international MacDonald-Cartier d’Ottawa, Ottawa, Ontario, septembre 2001. Wikipédia.

C’était un des grands : L’aéronef de télédétection Convair 580 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada

Un aéronef agricole Air Tractor AT-502 utilisé par Southeastern Aerial Crop Service Incorporated, Belle Glade State Municipal Airport, Floride, juin 2013. Wikipédia.

Des ailes au-dessus du monde : Le turbopropulseur et turbomoteur PT6, Partie 2

Le premier turbopropulseur conçu au Canada, le PT6 de Canadian Pratt & Whitney Aircraft Company Limited. Anon., « Publicité – Canadian Pratt & Whitney Aircraft Company Limited. » The Gazette, 14 novembre 1960, 24.

Des ailes au-dessus du monde : Le turbopropulseur et turbomoteur PT6, Partie 1

Les 14 volumes de l’édition 1960 de L’Encyclopédie de la jeunesse de Grolier Limitée. Anon., « Publicité - Grolier Limitée. » La Tribune - Perspectives, 12 novembre 1960, 31.

Un livre de connaissance : L’Encyclopédie de la Jeunesse

Roxana Hartley et M. Jolie / lord Robert Brummel, les principaux protagonistes de la pièce américaine de 1930 Dancing Partner, Belasco Theatre, New York, New York. Anon., « The Stage Goes ‘Air-minded’. » Scientific American, novembre 1930, 355.

Une pièce dans un avion, et un avion dans une pièce : Dancing Partner, 1930

Le Supermarine Spitfire exposé pour le 20ème anniversaire de la bataille d’Angleterre, Colline du Parlement, Ottawa, Ontario, 18 septembre 1940. Anon., « News roundup – Battle of Britain Ceremonies. » Aircraft, novembre 1960, 58.

Un cadeau pour le ciel : Le Supermarine Spitfire Mk IIb du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada

Certains des montages du Musée national de l’air, Aéroport de Uplands, Ottawa, Ontario, début des années 1960. MAEC, numéro de négatif 4446.

Bonne fête à nous. Bonne fête à nous. Bonne fête cher MAEC. Bonne fête à nous : Quelques mots sur les premiers jours, semaines, mois et années du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada

Une reproduction (grandeur nature?) un tant soit peu inexacte de Spoutnik I en montre à Prague, Tchécoslovaquie, dans le cadre d’une exposition commémorant le 40ème anniversaire de la Grande révolution socialiste d’octobre. Anon., « Modèle du satellite russe. » Le Nouvelliste, 10 octobre 1957, 1.

Le Québec / Canada et le satellite le plus simple, le vaisseau spatial PS-1, autrement dit Spoutnik I : Un survol de ce qui se publie dans la presse québécoise francophone entre les 5 et 12 octobre 1957, Partie 4

Pierre Dorion, « L’ère des émotions. » La Presse, 9 octobre 1957, 4.

Le Québec / Canada et le satellite le plus simple, le vaisseau spatial PS-1, autrement dit Spoutnik I : Un survol de ce qui se publie dans la presse québécoise francophone entre les 5 et 12 octobre 1957, Partie 3

Le satellite le plus simple ou vaisseau spatial PS-1, autrement dit Spoutnik I, un peu avant son lancement, septembre 1957. NASA.

Le Québec / Canada et le satellite le plus simple, le vaisseau spatial PS-1, autrement dit Spoutnik I : Un survol de ce qui se publie dans la presse québécoise francophone entre les 5 et 12 octobre 1957, partie 2

Un dessin un tant soit peu inexact du vaisseau spatial PS-1, autrement dit Spoutnik I, en orbite autour de la Terre. Anon., « Fusées et satellites seraient invincibles. » Le Soleil, 8 octobre 1957, 1.

Le Québec / Canada et le satellite le plus simple, le vaisseau spatial PS-1, autrement dit Spoutnik I : Un survol de ce qui se publie dans la presse québécoise francophone entre les 5 et 12 octobre 1957, Partie 1

Eldon Douglas McEarchern travaillant sur son Piper PA-18 Super Cub agricole sous le regard d’un de ses fils, Carman, Manitoba. Anon., « Les fermiers volants de l’ouest canadien ». Le Samedi, 22 octobre 1960, 25.

Oh, quel matin magnifique! Oh, quelle journée magnifique! : Un aperçu de la première décennie du mouvement des fermiers volants au Canada

 Une des batteuses remorquées conçues et fabriquées par Dion & Frère Incorporée de Sainte-Thérèse-de-Blainville, Québec. Anon., « Publicité – Dion & Frère Incorporée. » Le Bulletin des agriculteurs, septembre 1940, 47.

Un siècle de technologie et d’innovation agricoles dans la région québécoise des Laurentides : De Dion & Frère à Dion-AG

Jani Moreau, agente de bord, telle qu’imaginée par l’artiste Nicole Lapointe. Anon., « Un nouvel illustré : Jani hôtesse de l’air. » Claire, 15 septembre 1960, couverture.

Elle n’est pas une serveuse dans le ciel : Jani hôtesse de l’air et quelques mots sur la présence des agentes de bord dans la culture populaire

Une furieuse Clara déchiquetant le biplan Curtiss piloté par George F. Russell, Dongan Hills, New York, 10 septembre 1910. Anon., "La vache et l’aéroplane". Le Petit Journal - Supplément illustrée, 25 septembre 1910, 312.

Une rencontre rapprochée de type étrange et inhabituel, ou, Comment Clara la vache a rencontré un biplan Curtiss à Staten Island, New York, New York

Le premier avion de ligne Douglas DC-3 livré aux Lignes aériennes Trans-Canada, Aéroport de Montréal (Dorval), Dorval, Québec, vers 1945-48. MAEC, numéro de négatif 25515

Un rutilant exemplaire d’un des aéronefs les plus célèbres et importants du 20ème siècle : Le Douglas DC-3 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada

Le premier avion léger /privé Fleet Modèle 80 Canuck, Fort Erie, Ontario, mars 1946. Cet aéronef appartient à Sturgeon Air Services Limited de Fredericton, Nouveau-Brunswick. MAEC, négatif numéro KM-07962

Enseigner à voler car il a des ailes : L’avion léger / privé canadien Fleet Modèle 80 Canuck

Un Zenair CH-701 fabriqué sous licence par Czech Aircraft Works Společnost s ručenim omezeným, Oshkosh, Wisconsin, juillet 2011. Wikimédia.

Née dans un garage, mais maintenant le monde entier est un marché pour Zenair Limited : Un coup d’œil sur les concepts de l’ère de la Guerre froide de Christophe Jean Heintz, partie 2

Christophe Jean Heintz aux commandes du Heintz Zenith. Anon., « –. » Aviation magazine international, 15 au 31 août 1970, couverture.

Née dans un garage, mais maintenant le monde entier est un marché pour Zenair Limited : Un coup d’œil sur les concepts de l’ère de la Guerre froide de Christophe Jean Heintz, partie 1

Le satellite-ballon Echo 1A au cours d’un essai de gonflement, 1960. National Aeronautics and Space Administration.

Les merveilleux ballons en plomb de Claude Williams Coffee, Junior, Walter Edward Bressette et William J. O’Sullivan : Les satellites-ballons Echo au Québec et ailleurs, Partie 2

Le satellite-ballon Echo 1A filant dans le ciel, au-dessus de l’École normale de Chicoutimi, Chicoutimi, Québec. Dominique Lapointe, « Une visite qui nous est devenue familière – L’Écho 1 continue à se promener tous les soirs sur notre région. » Le Progrès du Saguenay, 27 août 1960, 7.

Les merveilleux ballons en plomb de Claude Williams Coffee, Junior, Walter Edward Bressette et William J. O’Sullivan : Les satellites-ballons Echo au Québec et ailleurs, Partie 1

Un des Found FBA-2 de Georgian Bay Airways Limited. H.L. « Des US et du Canada 2 formules d’avions légers – 1 Le Found ‘Flying Truck.’ » Aviation magazine international, 1er juillet 1964, 39.

Un petit camion volant ontarien déménagé au pays des kiwis : L’avion de brousse Found FBA-2

Le seul et unique Cushioncraft CC1, initialement connu sous le nom de Britten-Norman BN-1 Cushioncraft / CC1 Cushioncraft. Anon., "News Digest - New Cushion-rider." Aviation canadienne, août 1960, 46.

À l’époque, ça semblait être une bonne idée : Les bananes du Cameroun britannique et l’aéroglisseur Cushioncraft CC1

Le seul et unique Canadian Car & Foundry CBY-3 Loadmaster. MAEC, numéro de négatif 17826.

Les huit vies d’un wagon de marchandises volant unique, le Canadian Car & Foundry CBY-3 Loadmaster

La fusée atomique / nucléaire pulsée imaginée par l’illustrateur américain bien connu Francis Xavier Theban Tinsley. Anon., « Publicité – American Bosch Arma Corporation. » Aviation Week, 4 juillet 1960, 13.

Un méchant souffle du passé : Francis Xavier Theban Tinsley et la fusée atomique / nucléaire pulsée

Walter Thomas Leavens examinant les coupes qui entraînent l’agitateur monté à l’intérieur de la trémie de l’avion léger / privé Piper J-5 Cub Cruiser utilisé par Leavens Brothers Air Services Limited. Anon., « Crop Dusting with a Cub. » Canadian Aviation, juillet 1945, 50.

Désherbez-les et récoltez : Leavens Brothers Air Services Limited et les premiers jours de l’aviation agricole en Ontario / au Canada après la Seconde Guerre mondiale

L’Aviateur du Pacifique.

Un roman d’anticipation et de guerre de la Belle Époque : L’Aviateur du Pacifique du capitaine Danrit (Émile Driant)

Le planeur à réaction Fouga CM.8 Cyclone / Sylphe. Anon., “–.” Aviation Magazine, 1er juin 1950, couverture.

J’aime les nuages… les nuages qui passent… là-bas… là-bas… les merveilleux nuages! Les Établissements Fouga et Compagnie et ses planeurs à réaction

La voiturette Sharp / Bond Minicar Mk A présentée à la population de Montréal, Québec, par le concessionnaire Budd & Dyer Limited. Anon., « Jusqu’à 110 milles au gallon. » La Presse, 10 juin 1950, 26.

Une voiturette conçue à une époque d’austérité : La Bond Minicar

Un hydroplaneur Koser / Koser-Hrovat KB-3 Jadran, mer Adriatique, été 1949. En arrière-plan, le navire à passagères et passagers côtier Dalmacija de la firme maritime d’état Jadranska Linijska Providba. Anon., « Gliding and sailplanes in Yugoslavia. » Sailplane and Glider, juin 1950, 125.

Au-dessus des étangs, au-dessus des vallées : L’hydroplaneur Koser / Koser-Hrovat KB-3 Jadran

Le tsar Nikolaï II, à gauche, les mains derrière le dos, regardant les aéroplanes qui ont participé à la Sankt-Peterburgskaya aviatsionnaya nedelya, Saint-Pétersbourg, Empire russe. Anon., « Nouvelles sportives – Le tsar chez les aviateurs. » La Revue aérienne, 10 juin 1910, 349.

Miracle des miracles, regardez ce que l’avion a ramené : La Sankt-Peterburgskaya aviatsionnaya nedelya

Le Danois Jan Bo Kristensen effectuant un atterrissage de précision avec un parachute-voile lors d’une compétition nationale organisée par la Dansk Faldskærms Union, Randers, Danemark, août 2005. Wikipédia.

L’imagination est le plus haut cerf-volant que l’on puisse faire voler : La vie et l’époque d’un maître du vent, Domina Cléophas Jalbert, Partie 2

Domina Cléophas Jalbert, à gauche, et Hamnett Pitzer Munger avec un des ballons cerfs-volants fabriqués par Jalbert Aerological Laboratory Incorporated pour étudier la pollution atmosphérique. Anon., « Ce que devient un jouet d’enfant. » La Presse, 23 mai 1950, 3.

L’imagination est le plus haut cerf-volant que l’on puisse faire voler : La vie et l’époque d’un maître du vent, Domina Cléophas Jalbert, Partie 1

Deux des jeunes employés de Ontario Model Aircraft Company au travail, Toronto, Ontario. Arthur Lowe, « Kindergarten of the Air. » Maclean’s, 1er mai 1940, 24.

Une maternelle pour l’ère de l’aviation : Ontario Model Aircraft Company / Model Craft Hobbies Limited et quelques autres mots sur l’aéromodélisme au Canada avant et pendant la Seconde Guerre mondiale

Le seul et unique Monte-Copter Modèle 15 Triphibian, Seattle, Washington. Anon., « World Air News. » Air Pictorial, mai 1960, 167.

Le jour des triphibes : Monte-Copter Incorporated et l’hélicoptère Modèle 15 Triphibian

Le petit chéri de Vladislav Verner, le Verner W-01 Brouček. Anon., « Private Flying. » Flight International, 14 mai 1970, 806.

Malé letadlo a skvěly příběh / Un petit avion et une grande histoire : L’avion de construction amateur Verner W-01 Brouček

La caisse contenant le Blériot Type XI de Jean Versailles sur le camion hippomobile spécialement équipé de Shedden Forwarding Company Limited, Montréal, Québec. Anon., « Le premier aéroplane à Montréal. » La Presse, 28 mai 1910, 12.

Montréal a son premier aéroplane : Le Blériot Type XI de Jean Versailles et William Carruthers

Personnel au sol chargeant des approvisionnements dans la soute à bombes d'un Avro Lancaster du 514e escadron de la Royal Air Force au cours de l'opération Manna, le largage de nourriture à la population néerlandaise affamée.

Il leur donna le pain du ciel à manger : Quelques mots sur l'opération Manna et l'opération Chowdown, avril-mai 1945

Un garçon et des éléments d’un jouet exposé à l’édition de 1950 de la foire des jouets de New York, New York : Stefan Olsen et la chambre à nuages du Gilbert Atomic Energy Lab. Anon., “Initiation atomique.” Photo-Journal, 13 avril 1950, 20.

Un des jouets les plus dangereux de tous les temps : Le Gilbert Atomic Energy Lab

Un des Aeronautica Macchi AL-60 utilisés au Canada par Northwest Industries Limited pour intéresser des clients potentiels, Edmonton, Alberta. Anon., « Aeronews. » Air Progress, juillet 1969, 15.

Un L-402 sous tout autre nom est encore un L-402 – ou un AL-60 ou un Conestoga ou un Ranger ou un Santa Maria ou un Trojan, à moins qu’il ne soit un Kudu, Partie 2

Le premier prototype du Lockheed L-402. Anon., « Le Lockheed-Azcarate C.L.-402. » Les Ailes, 16 avril 1960, 1.

Un L-402 sous tout autre nom est encore un L-402 – ou un AL-60 ou un Conestoga ou un Ranger ou un Santa Maria ou un Trojan, à moins qu’il ne soit un Kudu, Partie 1

Une des publicités publiées dans des quotidiens québécois pour promouvoir la nouvelle automobile Glas Goggomobil T700. Anon., « Publicité - Eugène Roy Limitée. » La Presse, 1er avril 1960, 39.

À la recherche de… la Glas Isar / Isard T700, une automobile précédemment connue sous le nom de Goggomobil T700

Le traîneau aérien conçu et fabriqué par Kenneth J. Richards. Anon., « Traîneau moderne. » L’Auto, 9 février 1940, 1.

La semaine mystérieuse magique attend pour vous emporter, ou, Est-ce que quelqu’un dans la blogosphère sait quoi que ce soit sur le traîneau aérien Richards ou le traîneau aérien Lawrence?

De gauche à droite, Boum-Boum, Ba-Ba et Bi-Bi, en d’autres mots les Lunours. Anon., “Toute la vérité sur la soucoupe de St-Bruno –Un coup monté de $100,000.” Photo-Journal, 23 février au 1er mars 1970, 1.

Nous sommes Bi-Bi Ba-Ba Boum-Boum: La saga des Lunours

Un exemplaire du turboréacteur suédois STAL Skuten en montre, sous bonne garde, à Stockholm, Suède. Anon., « Production – First Swedish Turbojet Revealed. » Aviation Week, 27 mars 1950, 36.

Un conte de deux moteurs, ou quatre, ou même six : Les STAL Skuten, Dovern et Glan

Frances Marian « Poppy » Northcutt dans une des expositions sur l’espace du Palais de la Découverte, un centre des sciences à Paris, France, pas au Texas. Anon., « Astronautique – ‘Poppy’ à Paris. » Aviation Magazine International, 15 au 31 mars 1970, 42.

Ses parents trouvent qu’elle fait un métier passionnant, mais ils aimeraient qu’elle se marie : Frances Marian « Poppy » Northcutt à la NASA et au-delà

Turi Widerøe parlant avec une agente de bord dans un avion de ligne à réaction Sud Aviation SE 210 Caravelle de Scandinavian Airlines System Denmark-Norway-Sweden. J.-C Fortin. « SAS ne compte qu’une seule femme pilote de ligne : Turi Wideroe. » Le Petit Journal, 1er mars 1970, 28.

Turi Widerøe est passée en coup de vent à Montréal l’autre jour

Quelques aspects de la quatrième exposition d’automobiles et de bateaux de Montréal. Anon., « Ouverture de l’exposition d’automobiles et de yachts. » La Presse, 28 mars 1910, 1.

Une semaine au Coliseum : L’exposition d’automobiles et de bateaux de Montréal de 1910 et les premiers aéroplanes en exposition au Québec / Canada

La docteure Margaret Beznak avec un de ses sujets de recherche. Elizabeth Motherwell, « Elle succède à son mari à la tête de la faculté de physiologie de l’U. d’Ottawa. » La Tribune, 3 février 1960, 17.

Un exemple stellaire de la contribution faite par les gens qui choisissent le Canada : Quelques mots sur la vie et l’époque de la docteure Margaret Beznak

Les sœurs Maria Cleofas et Maria Innocenza des Sœurs franciscaines de Saint-Louis de Gonzague à bord d’un avion léger / privé AVIA / Lombardi FL.3 au cours de leur formation de pilote, Turin, Italie. Anon., « Le ciel leur appartient. » Le Soleil / Perspectives, 20 février 1960, 12.

Sœur Bertrille n’est pas la première sœur volante, ou, Parlons des sœurs Maria Cleofas et Maria Innocenza – et de sœur Mary Aquinas aussi

Le Bellanca CH-300 Pacemaker du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada à Ottawa, Ontario, vers 2007. Wikipédia.

Si loin de chez lui : Le Bellanca CH-300 Pacemaker du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, Partie 2

Un Bellanca CH-300 Pacemaker utilisé par Alaska Coastal Airlines, Incorporated, Juneau, Alaska. Cet hydravion à flotteurs est maintenant exposé au Musée de l’aviation et de l’espace du Canada à Ottawa, Ontario. Keith Petrich, “Bush Flying Is Dead.” Air Trails Pictorial, février 1945, 26.

Si loin de chez lui : Le Bellanca CH-300 Pacemaker du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, Partie 1

Une voiturette New-Map / Rolux Baby typique. Anon., « La voiturette ‘Baby VB-60’ à Québec au milieu de février. » L’Action catholique, 14 janvier 1950, 12.

La voiture qui est plus économique que le tramway : La voiturette New-Map / Rolux Baby

Charles Aznavour avec le véhicule tout-terrain Beehoo / Magna Amphicat qu’il examine, Montréal, Québec. Sa fille Seda est près de lui. Suzanne Piuze, « Aznavour m’a dit… » La Patrie, 25 janvier 1970, 20.

J’aimerais en posséder une; son mon bateau, ce serait épatant : Le voyage hors route du Beehoo / Magna Amphicat

L’habitat lunaire imaginé par Rocco G. « Roy » Scarfo. Anon., « C’est écrit dans le ciel. » La Patrie du dimanche, 24 janvier 1960, 6.

Il était un des grands : Rocco G. « Roy » Scarfo, peintre de l’espace, et le monde au-delà de demain

Démonstration de la légèreté du turboréacteur Williams Jet No.1. Anon., « 23-lb Turbojet Develops 70 lb. Of Thrust. » Aviation Week and Space Technology, 18 janvier 1960, 126.

Ce moteur est peut-être un peu lourd mais son sourire demeure toujours : Le Williams Jet No. 1 et ses successeurs

L’avion de ligne General Development / Christmas, près de New York, New York. Anon., “Potężny łoskot silników powietrznych gigantów powitał rok nowy.” Lot Polski, janvier 1930, 1.

Le puissant rugissement des moteurs des géants des airs saluent la nouvelle année : La troublante saga de William Wallace Whitney Christmas

Quelques actrices et acteurs ayant contribué au succès de la série télévisée de science-fiction québécoise Opération-Mystère, 1958. De gauche à droite, Luce Guilbeault, Marcel Cabay, Georges Groulx, Louise Marleau et Hervé Brousseau. Société Radio-Canada.

Opération-Mystère, une série télévisée qui répond aux goûts de la génération des spoutniks et des soucoupes volantes

Le pont en aluminium d’Arvida, Arvida / Saguenay, Québec. Anon., « Premier pont tout en aluminium. » Le Petit Journal, 4 décembre 1949, 51.

Sur le pont d’Arvida, un site historique national de génie civil, on y danse, on y danse

Le Piaggio P-7 au repos dans son élément. Joaquin de la Llave y Sierra, « Antes y después de la Copa Schneider. » Aérea, décembre 1929, 8.

Si vous ne réussissez pas du premier coup, essayez, essayez, essayez, essayez, essayez encore : L’étrange histoire du Piaggio P-7

Une affiche du film de science-fiction japonais Uchû Daisensô

Uchû Daisensô, ou, Une bataille dans l’espace extra-atmosphérique en provenance du pays du Soleil levant

La toute première automobile / voiturette Zar Zar-Car, Windsor, Ontario. Arthur Prévost, « La première auto entièrement canadienne bientôt en vente! » Le Petit Journal, 25 octobre 1959, 67.

À la recherche d’une voiture canadienne : La Zar de toutes les Windsor

L’astrophysicienne soviétique Alla Genrikhovna Masevitch et sa fille, Natasha Josifovna Friedlander. Sam Schecter, “Deux Canadiens en Russie – Rencontres avec l’élite russe.” Le Soleil / Perspectives, 26 septembre 1959, 11.

Son nom est Masevitch, Alla Genrikhovna Masevitch

L’ornithoptère University of Toronto Institute for Aerospace Studies Great Flapper au cours d’essais, Malton, Ontario, 2005. http://www/ornithopter.net

Voler, comme dans un rêve : La saga du Great Flapper

Beth Ross posant pour un photographe alors qu’elle nettoie le fragment principal de la chondrite de Dresden devant le bureau de The Dresden News. Anon., “Adding lustre to meteor that startled a province.” Toronto Daily Star, 13 juillet 1939, 1.

L’art de la négociation en Ontario rural; ou, La triste histoire de la chondrite de Dresden

L’ingénieur canadien Owen Eugene Maynard avec une maquette du véhicule lanceur Convair Atlas surmonté d’une capsule spatiale McDonnell Mercury, 1962. Roger Nadeau, « Une foule de techniciens canadiens ont pris part au vol d’Apollo 11. » Le Petit Journal, 20 juillet 1969, 4.

Le petit gars de Sarnia qui a mis le premier humain sur la Lune

Le premier Taylor J.T.1 Monoplane, White Waltham, Angleterre. Anon., « Sport and Business. » Flight, 19 juin 1959, 839.

Tinker, Taylor, monoplan

Trois des interprètes du téléroman Amour, délices et cie, avec son concepteur, Joseph Louis Réal Giguère, Montréal, Québec. François Piazza, « Sur les ailes de Télé-Métropole – Amour, délices et cie s’envole. » Photo-journal, du 18 au 25 juin 1969, 44.

Amour, délices et cie

Un prototype du traîneau aérien Kamov Sever-2 dans son élément. Anon., « ’Mail Train’ to North. » The Gazette, 26 mars 1959, 2.

Oh quel plaisir de faire une promenade dans un Kamov Sever-2

La voiture concept SIMCA Fulgur. Aux commandes se trouve la parachutiste et mannequin française Colette Duval. Anon., « Actualités. » La Patrie du dimanche, 1er mars 1959, 2.

Elle est fulgur, fulgur, fulgur, fulgurable

La montgolfière Spirit of Canada. Peter Calamai, “Lots of hot air and a high old time.” Canadian, 26 août 1967, 14.

Ce merveilleux fou volant et sa drôle de machine

La section de route surveillée par le radar de vitesse de la Connecticut State Police, près de Glastonbury, Connecticut. Anon., “L’actualité en images – Pièges à comboys.” La Patrie, 16 février 1949, 14.

Les pièges à cowboys ne datent pas d’hier

Cecil George Armitage aux commandes d’un Aérodoo, rivière Richelieu, Québec, novembre 1968. Anon., « Et maintenant… l’Aérodoo. » Vallée de la Petite Nation, 30 janvier 1969, 15.

Le candidat mancunien; ou, comment flotter près du sol avec la plus grande facilité

Quelques membres de la Ligue des avions miniatures de Montréal en train d’examiner le modèle réduit radiocommandé alors en construction. Christian Verdon, « Avion-miniature contrôlé par la radio. » La Patrie, 7 janvier 1939, 44.

Une ligue à eux: L’histoire longtemps oubliée de la Ligue des avions miniatures de Montréal

Une affiche du film From the Earth to the Moon, la version originale anglaise de De la Terre à la Lune

Jules Gabriel Verne n’aurait pas été amusé : De la Terre à la Lune

Une image du générique de CF-RCK.

Une série télévisée captivante : CF-RCK, Partie 2

Les principaux comédiens de la série télévisée CF-RCK de la Société Radio-Canada, Yves Létourneau (à droite) et René Caron. Anon., « Une scène de CF-RCK avec René Caron et Yves Létourneau. » La semaine à Radio-Canada, du 2 au 8 janvier 1960, couverture.

Une série télévisée captivante : CF-RCK, Partie 1

Le chargement de Voo-Doo, le Waco Hadrian utilisé lors du premier vol transatlantique par un planeur de transport, Aéroport de Montréal (Dorval), Dorval, Québec, juin 1943. Anon., “Flying into focus”. Flying Aces, octobre 1943, 7.

C’est magnifique. C’est splendide. C’est inutile.

L’animateur de l’émission de télévision hebdomadaire Plein Ciel à droite, et son conseiller technique, le capitaine Marcel Everard. Anon., “Introduction à l’aviation.” La semaine à Radio-Canada, 29 novembre au 5 décembre 1958, 12.

Une émission de télévision que j’aurais aimé voir dans ma jeunesse

Envol du ballon à hydrogène qui emporte vers le ciel l’antenne de l’émetteur radio d’urgence américain BC-778, mieux connu sous le nom de « Gibson Girl. » Anon., « Gibson Girl to the rescue. » Flying Aces, septembre 1943, 30.

L’imitation est la plus belle forme de flatterie

The very first Pentecost Hoppi-Copter. Anon., “Have you seen?” Flying, September 1945, 67.

Une idée venue d’une époque où le ciel est la limite, Partie 2

A l’arrière, le Rohrbach Ro VIII Roland d’Iberia, Compañía Aérea de Transportes Sociedad anónima utilisé pour le vol Madrid-Barcelone du 14 décembre 1927. Anon., “Inauguración del nuevo servicio aéreo Madrid-Barcelona.” Aérea, octobre-décembre 1927, 33.

Jamais le dimanche : La grande histoire d’un Roland ibérien, Partie 1

Articles connexes

Les principaux protagonistes de la crise universitaire de 1919. Anon., « Professors Asked To Resign From University. » The Saskatoon Daily Star, 28 juillet 1919, 3.

« Est-ce prophétique du futur? » : Le professeur Robert Dawson MacLaurin de la University of Saskatchewan et la saga gonflée du gaz de paille, partie 3

L’automobile de tourisme McLaughlin D45 propulsée au gaz de paille avec son sac de gaz, Saskatoon, Saskatchewan. Anon., « Is This Prophetic of Future? Auto Is Run With Straw Gas. » The Winnipeg Evening Tribune, 20 août 1918, 1.

« Est-ce prophétique du futur? » : Le professeur Robert Dawson MacLaurin de la University of Saskatchewan et la saga gonflée du gaz de paille, partie 2

L’illustration qui porte à l’attention de plusieurs le projet de production de gaz de paille du professeur Robert Dawson MacLaurin de la University of Saskatchewan. Anon., « Straw Gas Here: Novel Motor Fuel Used to Save Gasoline. » Visalia Morning Delta, 15 novembre 1918, 6.

« Est-ce prophétique du futur? » : Le professeur Robert Dawson MacLaurin de la University of Saskatchewan et la saga gonflée du gaz de paille, partie 1

Le prototype de validation de principe de la turbine éolienne Constantin, Roanne, France. Jean Labadié, « Le vent source d’énergie inépuisable. » La Science et la Vie, juin 1927, 491.

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