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Bonne fête à nous. Bonne fête à nous. Bonne fête cher MAEC. Bonne fête à nous : Quelques mots sur les premiers jours, semaines, mois et années du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada

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25 oct. 2020
Catégories
Aviation
Médias
Article
Profile picture for user rfortier
Par : Rénald Fortier
Ingenium - Musées des sciences et de l’innovation du Canada
Certains des montages du Musée national de l’air, Aéroport de Uplands, Ottawa, Ontario, début des années 1960. MAEC, numéro de négatif 4446.
Certains des montages du Musée national de l’air, Aéroport de Uplands, Ottawa, Ontario, début des années 1960. MAEC, numéro de négatif 4446.

Le 25 octobre 2020 est en effet une bonne journée, ami(e) lectrice ou lecteur. En ce jour, il y a 60 ans, le Musée national de l’air, l’actuel positivement et absolument incroyable Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, ouvre ses portes au public.

Votre humble serviteur ne vous tiendra pas occupé très longtemps. Nenni. Ayant rejoint le personnel de cette auguste institution, physiquement sinon administrativement / hiérarchiquement, à l’automne 1987, j’ai bien l’intention de célébrer cette occasion. Avec modération bien sûr.

Comment est né le Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, vous demandez-vous? Et bien, laissez-moi vous éclairer.

Croiriez-vous qu’un Aeronautical Museum est organisé dans les années 1930, sous les auspices du Comité associé de la recherche aéronautique du Conseil national de recherches du Canada (CNRC)? C’est vraiment vrai. Le dit musée ouvre ses portes en 1937, à Ottawa, Ontario. Ses portes ferment pour toujours peu après le début de la Seconde Guerre mondiale, en septembre 1939.

En 1945, les trésors du Aeronautical Museum sont presque perdus à jamais quand quelqu’un(s) du CNRC suggère que les vieux moteurs et autres choses soient, et bien, mises aux poubelles. Le chef de la division de génie mécanique du CNRC, John Hamilton Parkin, met le holà, assez fortement peut-être, et tue cette idée dans l’œuf.

En 1950, le chef de l’opposition fédérale et ancien premier ministre de l’Ontario, George Alexander Drew, évoque l’idée de recréer un musée canadien / national de l’aviation lors de la réunion annuelle de la Air Industries and Transport Association (AITA), l’organisme ombrelle qui regroupe les entreprises canadiennes de fabrication d’aéronefs et les transporteurs aériens. Trois ans plus tard, cette question est à nouveau évoquée. Cette fois-ci, cependant, le premier ministre Louis Stephen Saint-Laurent, qui est présent, indique qu’il est favorable à l’idée.

La création d’un musée est apparemment mentionnée par le secrétaire de la AITA, Arthur George « Tim » Sims, directeur des services à Canadair Limited, lors d’une autre réunion de la AITA en 1954. Les personnes présentes apprécient l’idée et la renvoient au comité d’information du groupe afin qu’elle soit examinée plus avant lors de sa prochaine réunion, en juin. Après de longues discussions, les membres du dit comité décident de contacter le susmentionné Parkin ainsi que John Joseph Green, un autre ingénieur aéronautique bien connu et respecté qui est le chef de la Division B (aéronautique + armement) du Conseil de recherches pour la défense, un organisme fédéral mentionné quelques / plusieurs fois dans notre blogue / bulletin / machin depuis décembre 2018. Le comité d’information contacte également divers groupes et organisations pour voir s’ils appuieraient la création d’un musée canadien / national de l’aviation.

Dois-je vous rappeler que Canadair est une filiale du géant américain de la défense General Dynamics Corporation, 2 firmes mentionnées… Très bien, je ne le ferai pas, et il n’y a pas lieu de s’énerver.

Le résultat final des diverses causettes tenues pendant les jours et semaines qui suivent la seconde réunion de la AITA est une réunion tenue à Ottawa en septembre 1954. La liste des participants est pour le moins impressionnante :

- John Russell Baldwin, sous-ministre, ministère des Transports;

- Andrew George Latta McNaughton, président du Permanent Joint Board on Defense;

- R.N. Redmayne, directeur de la AITA;

- maréchal de l’Air Charles Roy Slemon, chef d’état-major de l’air, Aviation royale du Canada (ARC);

- Ormond McKillop Solandt, président du Conseil de recherches pour la défense;

- Edgar William Richard Steacie, président du CNRC;

- John Armistead Wilson, directeur du service aérien, ministère des Transports (retraité);

ainsi que les susmentionnés Green et Parkin.

Cette réunion d’août, présidée par Slemon, conclut qu’un musée national de l’aviation situé à Ottawa est nécessaire. Elle conclut également qu’un comité associé du CNRC devrait être formé pour s’occuper du dossier.

Même si la formation du Comité associé sur un musée national de l’aviation commence pour de vrai, ses membres ne se réunissent pour la première fois qu’en décembre 1955. Ses membres se composent à l’époque des susmentionnés Green, McNaughton, Parkin et Sims, alors directeur des ventes d’aéronefs militaires chez Canadair, ainsi que de

- Ernest Adolphe Côté, sous-ministre, ministère des Affaires du Nord et des Ressources naturelles;

- E.R. Hopkins, RCAF Association;

- John Robert Kennedy Main, ministère des Transports;

- James Mackintosh Manson, CNRC;

- William Philip « Bill » Paris, secrétaire général / directeur, Royal Canadian Flying Clubs Association;

- vice-maréchal de l’Air John Lawrence Plant, membre de l’état-major de l’air, ARC; et

- G.M. Ross, Ligue des cadets de l’Air du Canada.

Lors de la toute première réunion de ce groupe, le ministère des Transports offre de fournir au futur musée un espace dans la nouvelle aérogare de l’aéroport de Uplands, près de Ottawa, ce qui est une bonne nouvelle.

Ce qui n’est pas une bonne nouvelle, c’est que la 2ème réunion du comité associé a lieu en mai 1957, peu après que Horace Charles Luttman, secrétaire de l’Institut aéronautique canadien, se joigne au groupe. Un peu découragé par le manque d’action, Parkin présente néanmoins un mémoire sur le futur musée.

Les choses ne s’améliorent pas au moment où la 3ème réunion du comité associé a lieu, en novembre 1957. Vous voyez, le ministère des Transports informe le groupe que l’espace dans la nouvelle aérogare de l’aéroport de Uplands n’est plus disponible. Pris de court, l’équipe se demande si les artefacts recueillis depuis les années 1930 pourraient être exposés dans des aérogares d’aéroports encore non choisis au Canada.

En 1958, un mémoire sur le futur musée de l’aviation est présenté au premier ministre John George Diefenbaker, ce qui ne mène nulle part. Comme vous le savez fort bien, ce gentilhomme est mentionné dans un numéro d’octobre 2020 de notre blogue / bulletin / machin.

Lorsque l’équipe se réunit pour la 4ème fois, en octobre 1958, le ministère des Transports l’informe que l’espace dans la nouvelle aérogare de l’aéroport de Uplands est à nouveau disponible. Un ingénieur de la division de génie mécanique du CNRC, Malcolm Sheraton « Mike / Mac » Kuhring, est chargé d’un sous-comité, le sous-comité sur l’espace, dont la tâche consiste à examiner l’espace offert par le ministère des Transports. Fait intéressant, le mémoire adressé au premier ministre n’est pas été mentionné lors de la réunion. Une possible date d’ouverture du musée, apparemment en 1959, est mise sur la table.

Un mémoire rédigé par McNaughton et Côté peut, je répète peut, être présenté au Cabinet fédéral à l’automne 1958 ou à l’hiver 1958-59.

En février 1959, à la 5ème réunion du comité associé, le sous-comité sur l’espace signale qu’environ 1 200 mètres carrés (environ 13 000 pieds carrés) dans l’aérogare de l’aéroport de Uplands seraient disponibles, mais pas donnés pour toujours et à jamais, au second étage de l’aile Est, ainsi que dans un espace en bas, à l’avant, où doit être exposée une réplique grandeur nature du biplan Silver Dart construit en 1908 par la Aerial Experiment Association. Les membres du comité associé conviennent que, même si le musée doit ouvrir ses portes le 1er juillet 1959, leur groupe devrait continuer d’exister, en tant qu’organe consultatif. Et non, tout le monde à la table ne pense pas que le musée peut vraiment ouvrir le 1er juillet. De fait, tout le monde à table ne pense pas que le musée peut vraiment ouvrir en 1959.

Et oui, la Aerial Experiment Association est mentionnée à plusieurs reprises dans notre blogue / bulletin / machin depuis octobre 2018. Maintenant, dois-je souligner que le pilote du Silver Dart effectue le premier vol contrôlé et soutenu d’un aéroplane à moteur au Canada, mais PAS dans l’Empire britannique, en février 1909? Génial. Je vous remercie.

Tout espoir d’ouvrir le musée de l’aviation en 1959 s’envole par la proverbiale fenêtre au début d’août de cette année-là, à la suite d’un vol de démonstration effectué à l’aéroport de Uplands / base de l’ARC de Uplands par le capitaine George Leonard Schulstad de l’United States Air Force (USAF). Vous voyez, ami(e) lectrice ou lecteur, l’avion de chasse supersonique Lockheed F-104 Starfighter du bon capitaine dépasse par inadvertance la vitesse du son lors d’un passage à basse altitude. Oups…

Plus de 100 panneaux de verre, dont certains d’environ 5.5 x 2 mètres (environ 18 x 6.5 pieds), dans l’aérogare presque complète, dont l’ouverture est prévue en septembre 1959, sont fracassés. Croiriez-vous que les plafonds des 3 étages sont endommagés?

Le bâtiment entre finalement en service à la mi-juin 1960, avec une ouverture officielle à la fin du mois. Schulstad, en revanche, a une carrière des plus intéressantes dans la USAF. Il prend sa retraite en tant que brigadier général.

Maintenant, vous vous demandez peut-être, pourquoi y a-t-il tant de dégâts? Une très bonne question et une qui ouvre la porte à un acte de pontification de ma part.

Lorsqu’un aéronef vole à une vitesse relativement faible, les pressions causées par son mouvement dans l’air sont transmises dans toutes les directions à l’air environnant sous la forme d’ondes, appelées ondes de pression, qui se déplacent à la vitesse du son, qui est une vitesse relativement élevée (environ 1 225 kilomètres / heure (environ 760 milles / heure) au niveau de la mer et un peu plus de 1 060 kilomètres / heure (environ 660 milles / heure) entre 12 et 20 000 mètres (39 400 et 65 600 pieds) au-dessus du niveau de la mer.

Lorsqu’un aéronef atteint la vitesse du son, les ondes sonores et les ondes de pression qu’il produit ne peuvent pas s’en éloigner parce qu’elles et l’aéronef se déplacent à la même vitesse. Ces ondes s’entassent donc devant l’aéronef et forment une énorme et très fine « paroi » d’air comprimé se déplaçant à la vitesse du son. En d’autres termes, elles forment une onde de choc, une très fine feuille d’air, d’environ 0.0025 millimètre (0.0001 pouce) d’épaisseur, où la pression, densité et température de l’air augmentent brusquement et où la vitesse d’écoulement locale est considérablement réduite.

Les ondes de choc se replient et forment un cône de choc, ou cône de Mach, si notre aéronef dépasse la vitesse du son et vole à des vitesses supersoniques. Plus notre aéronef vole vite, plus l’angle du cône de choc est aigu. Une (tristement) célèbre conséquence de ceci est le boom sonique, ou bang sonique, qui se produit lorsque les ondes de choc causées par un aéronef volant à la vitesse du son, ou plus rapidement, atteignent les oreilles des personnes au sol le long de la trajectoire de vol de cet aéronef. On peut l’entendre sur plusieurs kilomètres (quelques miles) de chaque côté de cette trajectoire de vol. Soit dit en passant, la ou le pilote, équipage et / ou passagères et passagers d’un aéronef supersonique n’entendent jamais le boom sonique.

Les booms soniques viennent par paires même si les gens au sol ne les entendent pas toujours tous les deux. Le premier est provoqué par l’onde de choc formée à l’avant de l’aéronef. Cette onde de choc particulière est appelée une onde de choc amont. Une onde de choc connue sous le nom d’onde choc aval marque la chute de pression qui se produit derrière la queue. Afin d’entendre les 2 booms soniques séparément, la distance entre l’aéronef et les observatrices ou observateurs doit être assez grande.

L’intensité d’un boom sonique est en partie proportionnelle au poids et à la forme d’un aéronef, au type de sol en dessous, aux conditions météorologiques et, surtout, à l’altitude à laquelle l’aéronef vole. Curieusement, la vitesse de l’aéronef a apparemment (très?) peu d’influence sur la force d’un boom sonique.

Un boom sonique à basse altitude peut être assimilé à un énorme coup de tonnerre. Il peut faire trembler, voire casser, la vaisselle et les fenêtres. Il peut également provoquer une gêne aiguë momentanée chez les humains. Un aéronef supersonique volant à très haute altitude, par contre, peut créer un boom sonore qui est à peine entendu ou ressenti. Cela explique pourquoi le vol supersonique à basse altitude au-dessus des zones habitées est strictement verboten.

Maintenant, vous pouvez également vous demander, qu’est-ce qu’un chasseur à réaction supersonique de la USAF fait à Uplands en août 1959? Une autre bonne question, ami(e) lectrice ou lecteur. Vous voyez, le gouvernement fédéral annonce au début de juillet 1959 que les chasseurs à réaction de jour North American / Canadair Sabre utilisés par les escadrons de défense aérienne de l’ARC basés en Europe pour remplir l’engagement du Canada envers l’Organisation du Traité de l’Atlantique Nord (OTAN) dominée par les États-Unis seraient remplacés par des Starfighter de fabrication canadienne.

Ce que le Cabinet fédéral ne réalise peut-être pas à l’époque, à l’exception peut-être du ministre de la Défense nationale, George Randolph Pearkes, est que le rôle prévu de ces nouveaux aéronefs brillants, l’appui tactique, un rôle recherché par de nombreux officiers hauts gradés de l’ARC, signifie que ces aéronefs transportaient des armes (thermo)nucléaires qui seraient larguées sur des installations militaires d’états membres du Traité d’amitié, de coopération et d’assistance mutuelle, une organisation dominée par les Soviétiques mieux connue sous le nom de Pacte de Varsovie. Les armes (thermo)nucléaires sont très importantes dans les années 1950 et de nombreuses forces armées veulent être associées à cette technologie. Il y a un gros problème, toutefois.

Si une troisième guerre mondiale avait éclaté, les pilotes canadiens se dirigeant vers l’est vers leurs cibles auraient pu rencontrer d’autres pilotes, des pilotes du Pacte de Varsovie, se dirigeant vers l’ouest, vers leurs cibles, avec des armes (thermo)nucléaires qui seraient larguées sur des installations militaires d’états membres de l’OTAN. Aucun de ces pilotes n’aurait trouvé un endroit sûr pour atterrir après sa mission. En effet, les familles de tous ces aviateurs seraient mortes. Destruction… Mutuelle… Assurée. DMA. En anglais, MAD, ou cinglé. Home sapiens est un foutu numéro, n’est-ce pas?

Et oui, l’inimaginablement bonne collection du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada comprend un Starfighter, mais revenons à notre histoire et à la 6ème réunion du Comité associé sur un musée national de l’aviation.

Au cours de cette réunion, tenue en novembre 1959, le susmentionné Kuhring présente un modèle de l’aménagement prévu du plancher du futur musée national de l’aviation.

Kenneth Meredith « Ken » Molson, un excellent gentilhomme mentionné à quelques reprises dans notre blogue / bulletin / machin depuis juillet 2018, se présente au travail comme premier conservateur du nouveau musée national en juillet 1960, tout comme 3 autres membres du personnel.

La petite équipe passe les mois suivants à développer les montages et interactifs proposés par Kuhring. Ils terminent leurs travaux en octobre 1960 – un jour avant l’ouverture officielle du Musée national de l’air, comme le nouveau musée national s’appelle. Imaginez cela, une journée entière pour vérifier, tranquillement, si tout fonctionne bien. Quel est le dernier musée à avoir réussi cet exploit? (Bonjour, SB, EG et EP!)

Les dits montages abordent de nombreux sujets, y compris le travail pionnier de Wallace Rupert Turnbull, un homme mentionné dans un numéro de mars 2019 de notre vous savez quoi, sur le développement des hélices.

Et oui, plus de quelques objets exposés au Musée national de l’air proviennent du CNRC.

Le susmentionné Diefenbaker doit ouvrir officiellement le musée le 25 octobre 1960, mais d’autres engagements l’en empêchent. Il se prépare peut-être à une réunion de 3 jours sur le partage des impôts avec les premiers ministres des 10 provinces du Canada, qui doit débuter le 26 octobre. Le ministre responsable du Musée national de l’air, le tout nouveau ministre des Affaires du Nord et des Ressources naturelles, Walter Gilbert Dinsdale, est également occupé ailleurs. Il s’avère que le ministre des Pêches, John Angus MacLean, un ancien combattant de l’ARC de la Seconde Guerre mondiale, est apparemment le seul membre du Cabinet disponible pour déclarer le Musée national de l’air officiellement ouvert.

Le plan initial pour l’ouverture était de demander au premier ministre d’ouvrir à distance les portes du musée à l’aide d’une sorte de bidule à bouton-poussoir. L’image de l’ouverture devait être capturée par des caméras de télévision en circuit fermé au profit des personnes qui se trouveraient dans une autre zone de l’aérogare. Est-ce que Maclean appuie sur le bouton, vous demandez-vous, ami(e) lectrice ou lecteur? Je n’ai aucune idée.

Il convient de noter qu’un certain nombre d’aéronefs de l’ARC, des intercepteurs de bombardiers tous temps Avro Canada CF-100 Canuck pour être plus précis, vraisemblablement basés à la base de l’ARC de Uplands, survolent l’aéroport de Uplands avant, pendant et / ou après la cérémonie d’ouverture. D’autres aéronefs de l’ARC sont en exposition statique :

- un avion de patrouille maritime Canadair Argus,

- un avion de transport Convair / Canadair Cosmopolitan,

- un avion d’entraînement initial de Havilland Canada Chipmunk,

- un amphibie de recherche et sauvetage Grumman Albatross,

- un avion d’entraînement avancé Lockheed / Canadair Silver Star,

- un avion de chasse de jour North American / Canadair Sabre,

- un hélicoptère de recherche et sauvetage Piasecki H-21,

ainsi qu’un Canuck.

Il semble que le prototype du Canadair CL-41 appartenant à l’entreprise, l’ancêtre de l’avion d’entraînement CT-114 Tutor de l’ARC / Forces armées canadiennes / Forces canadiennes, est également exposé en statique, tout comme un avion de brousse de Havilland Canada Beaver appartenant à Laurentian Air Services Limited de Ottawa – une firme qu’il ne faut pas confondre avec Laurentide Air Service Limited, le premier exploitant de vols de brousse au Canada, une firme mentionnée dans des numéros de septembre 2019, décembre 2019 et septembre 2020 de notre vous savez quoi.

Croiriez-vous que l’incroyable collection du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada comprend des exemplaires de tous ces aéronefs, à l’exception des Albatross et H-21? Et oui, nous avons un Convair Modèle 580 plutôt qu’un « Cosmopolitician, » comme on appelle parfois le Cosmopolitan. Et votre point est?

Et oui, vous avez tout à fait raison, ami(e) lectrice ou lecteur averti(e), le Musée national de l’air est le seul musée national qui relève du ministère des Affaires du Nord et des Ressources naturelles. Tous les autres musées nationaux du Canada relèvent de la compétence du Secrétaire d’état du Canada. Ces musées sont bien sûr le Musée national du Canada, les actuels Musée canadien de l’histoire et Musée canadien de la nature, le Musée des beaux-arts du Canada et le Musée canadien de la guerre. Pourquoi est-ce ainsi, demandez-vous? Je n’en ai aucune idée.

Quoi qu’il en soit, le Musée national de l’air tombe sous la tutelle du Secrétaire d’état du Canada en 1961. Il peut relever du ministre par l’intermédiaire du directeur du Musée national du Canada, mais revenons à octobre 1960 et à l’ouverture officielle du musée.

MacLean ayant exercé ses fonctions d’ouverture, le susmentionné McNaughton parle brièvement, devant une réplique du susmentionné Silver Dart. Parmi les nombreux invités est nul autre que le lieutenant-gouverneur de la Nouvelle-Écosse, John Alexander Douglas McCurdy, un célèbre pionnier de l’aviation canadien mentionné à plusieurs reprises dans notre blogue / bulletin / machin depuis septembre 2017.

Vous vous souviendrez, j’espère, que McCurdy est le pilote du vrai Silver Dart lorsque cet aéronef effectue le premier vol contrôlé et soutenu d’un aéronef motorisé au Canada, en février 1909.

Incidemment, comme le souligne le très connu quotidien La Presse de Montréal, Québec, dans 2 articles de taille publiés en décembre 1960 et janvier 1961, l’aérogare de l’aéroport de Uplands, à Ottawa, l'aéroport de la capitale d’un pays officiellement bilingue, est tout simplement outrageusement unilingue. Les arrivées et les départs sont annoncés uniquement en anglais. Les enseignes dans les boutiques sont uniquement en anglais. Pratiquement toutes les enseignes et panneaux officielles du bâtiment sont uniquement en anglais. Les seules exceptions sont :

- un panneau bilingue au-dessus d’une entrée que (certain(e)s? beaucoup? la plupart?) des voyageuses et voyageurs doivent franchir;

- des panneaux trilingues à l’entrée des toilettes (Ladies / Dames / Damas + Men / Hommes / Caballeros); et

 - un panneau bilingue au-dessus de l’entrée du Musée national de l’air.

Si je peux paraphraser le commentaire de Jean Rivest, l’auteur de l’article de décembre 1960, la déclaration de la mi-décembre 1959 faite par le tout nouveau ministre des Transports, le Québécois Léon Balcer, à l’effet qu’en s’efforçant de respecter le bilinguisme officiel, ce ministère est un exemple que d’autres peuvent suivre, est… une… farce.

Rivest faisait un arrêt à l’aéroport de Uplands après avoir quitté Toronto, Ontario, alors qu’il est en route pour Montréal. Il est assez déçu par l’hostilité rencontrée dans la capitale ontarienne lorsqu’il tente de se faire comprendre en français.

Saviez-vous que l’auteur de l’article de janvier 1961, Marcel Gingras, est l’éditorialiste en chef du quotidien Le Droit de Ottawa entre 1964 et 1973? Tout au long de ces années, il est un fervent défenseur du droit des Franco-Ontariennes et -Ontariens d’avoir accès à des écoles secondaires de langue française, mais revenons à l’aéroport de Uplands.

Rivest et Gingras sont très heureux de noter dans leurs textes que chaque légende / étiquette du Musée national de l’air est bilingue. Les enregistrements audio à boutons situés dans 10 vitrines sont également disponibles dans les 2 langues officielles. Malheureusement, lorsque Rivest visite le musée, 3 des 10 enregistrements en français ne fonctionnent pas.

Croiriez-vous que le directeur du dit aéroport est français, dans le style français français? Robert Joberty, technicien et pilote qui sert peut-être dans l’Aéronautique militaire de l’Armée de Terre française pendant la Première Guerre mondiale, dirige 3 aéroports canadiens au cours de sa longue carrière, à savoir l’aéroport de Montréal (Dorval) au Québec, l’aéroport de Regina en Saskatchewan et l’aéroport de Uplands, bien que pas dans cet ordre. Pour autant que votre humble serviteur le sache, ce gentilhomme arrive au Canada au plus tard en 1930.

Vous souvenez-vous du panneau bilingue au-dessus d’une entrée que (certain(e)s? beaucoup? la plupart?) des voyageuses et voyageurs doivent franchir? Selon vous, qui a dû lutter contre l’indifférence, sinon l’hostilité pure et simple pour obtenir cet unique panneau? Joberty, bien sûr. Pis encore, après avoir demandé des panneaux bilingues permanents pour remplacer les panneaux temporaires unilingues utilisés lors de l’ouverture de l’aérogare, Joberty, le directeur de l’aéroport, rappelons-le, est tout simplement ignoré.

Incidemment, en 1961, un travailleurs anglophone moyen du Québec, qu’il soit unilingue ou bilingue, gagne presque 2 fois plus, 1.9 fois en fait, qu’un travailleurs francophone moyen du Québec, qu’il soit bilingue ou unilingue.

Dans ce contexte et vu le grand dégel qui suit la victoire de l’équipe du tonnerre dirigée par Jean Lesage aux élections générales de juin 1960 à Québec, après la longue et déprimante obscurité duplessienne, est-il surprenant que la première organisation politique vouée à la promotion de l’indépendance du Québec à connaître un certain succès, le Rassemblement pour l’indépendance nationale, soit formé à Montréal en septembre 1960?

Quoi qu’il en soit, alors que de plus en plus de visiteuses et visiteurs commencent à apparaître aux portes du Musée national de l’air, Molson et son personnel se rendent rapidement compte que les interactifs du musée n’ont pas été conçus pour résister au traitement brutal que leur réservent ces visiteuses et visiteurs. Beaucoup de temps est consacré à rendre les dits interactifs à l’épreuve des humains.

Des gorilles en devenir? Françoise Côté, « L’aéronef devient objet de musée. » Le Soleil - Perspectives, 4 mars 1961, 23.

Des gorilles en devenir? Françoise Côté, « L’aéronef devient objet de musée. » Le Soleil - Perspectives, 4 mars 1961, 23.

Une vue à l’intérieur du Musée national de l’air, Aéroport de Uplands, Ottawa, Ontario, fin de 1960 ou tout début de 1961. Veuillez noter l’indentation vers l’avant du flotteur. L’empreinte de l’arrière train d’un gorille fatigué, peut-être? MAEC, numéro de négatif 4154.

Une vue à l’intérieur du Musée national de l’air, Aéroport de Uplands, Ottawa, Ontario, fin de 1960 ou tout début de 1961. Veuillez noter l’indentation vers l’avant du flotteur. L’empreinte de l’arrière train d’un gorille fatigué, peut-être? MAEC, numéro de négatif 4154.

Votre humble serviteur est connu pour avoir suggéré ces dernières années que les interactifs doivent être conçus comme s’ils doivent être utilisés par des gorilles en colère, sans offenser les gorilles, qui semblent être des hominidés beaucoup plus pacifiques que leurs cousins ​​Home sapiens, et je reste fidèle à ces mots. Je les ai utilisés devant d’autres professionnels des musées à quelques reprises, y compris certains du Japon, et ai obtenu des hochements de tête compréhensifs à chaque occasion. Et oui, nous sommes des hominidés. Remarquez, nous sommes aussi des mammifères, comme l’ornithorynque, le wallaby de Parma et le renard volant de Nouvelle-Calédonie. Vive Charles Robert Darwin – et Alfred Russel Wallace! L’évolution est un fait.

Trois des jeunes visiteuse et visiteurs du Musée national de l’air interagissant avec l’aéroport miniature qui s’y trouve. Françoise Côté, « L’aéronef devient objet de musée. » Le Soleil - Perspectives, 4 mars 1961, 23.

Trois des jeunes visiteuse et visiteurs du Musée national de l’air interagissant avec l’aéroport miniature qui s’y trouve. Françoise Côté, « L’aéronef devient objet de musée. » Le Soleil - Perspectives, 4 mars 1961, 23.

Incidemment, un des interactifs de musée en question est un aéroport miniature, avec une aérogare et tour de contrôle, un hangar et des modèles d’avions de ligne aux couleurs des Lignes aériennes Trans-Canada et de son grand rival, Canadian Pacific Airlines Limited, un filiale du géant des transports Canadian Pacific Railway Company. Juste à côté, il y a une fenêtre où des gens de tous âges peuvent regarder pour mieux apprécier le niveau d’activité à l’aéroport de Uplands. Il semble que le Musée national de l’air a un espace dédié aux enfants.

Je me demande si de nombreux musées de l’aviation de 1960 à travers le monde sont aussi interactifs ou aussi attrayants que celui de Ottawa. Je vous dis ça comme ça, moi.

Une des vitrines du Musée national de l’air, Aéroport de Uplands, Ottawa, Ontario, début des années 1960. Elle fournit des informations sur la première traversée de l’océan Atlantique sans escale en avion, en juin 1919, entre Terre-Neuve et l’Irlande. MAEC, numéro de négatif 6875.

Une des vitrines du Musée national de l’air, Aéroport de Uplands, Ottawa, Ontario, début des années 1960. Elle fournit des informations sur la première traversée de l’océan Atlantique sans escale en avion, en juin 1919, entre Terre-Neuve et l’Irlande. MAEC, numéro de négatif 6875.

Outre son blindage d’interactifs, le personnel du musée développe également de nouveaux montages et interactifs au cours des mois qui suivent l’ouverture. Il nettoie / restaure également quelques moteurs d’aéronef. Sous la direction du susmentionné Molson, le musée commence à constituer une collection de photographies et une bibliothèque contenant des livres, magazines, manuels, etc. Des modèles d’aéronefs construits par des cabinets d’experts à une échelle standard (1:24) sont également acquis.

Si je peux me permettre de taper quelques mots sur le projet de bibliothèque lancé par Molson, je dois dire que le travail accompli n’est pas en vain. Votre humble serviteur estime que la fabuleuse bibliothèque du tout aussi fabuleux Musée de l’aviation et de l’espace du Canada est la meilleure bibliothèque aéronautique accessible au public au Canada. Son noyau initial est issu de dons du Institute of Aeronautical Sciences, aux États-Unis, et, plus encore peut-être, de l’acquisition de la bibliothèque d’une organisation autrichienne, la Österreichischer Flugtechnischer Verein, qui est une descendante directe de la Wiener Flugtechnischer Verein austro-hongroise, une des plus anciennes (1880) associations aéronautiques de la planète Terre.

Remarquez que la collection de photographies du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada est également très bonne. Cela étant dit (tapé), il faut admettre que ses avoirs pour la période entre 1960 et 2020 pourraient bénéficier d’un petit coup de pouce.

Pratiquement toutes les photographies datant d’avant 1960 sont des images en noir et blanc. Le manque d’illustrations en couleur datant des débuts de l’aviation canadienne conduit à la production d’une série de peintures par un artiste du nom de Robert William Bradford, un excellent gentilhomme mentionné à quelque reprises dans notre blogue / bulletin / machin depuis février 2018.

La production de peintures, ainsi que la création de nouveaux montages et interactifs, et peut-être d’autres choses aussi, prennent plus ou moins fin en 1967 lorsque le Musée national de l’air devient une créature du nouveau Musée national des sciences et de la technologie (MNST), l’actuel Musée des sciences et de la technologie du Canada, mais nous devançons notre histoire.

Vue de l’annexe du Musée national de l’Air, Aéroport de Uplands, Ottawa, vers 1963. MAEC, numéro de négatif 4565.

Vue de l’annexe du Musée national de l’Air, Aéroport de Uplands, Ottawa, vers 1963. MAEC, numéro de négatif 4565.

Alors que le fleuve du temps passe devant la porte du Musée national de l’air, ses locaux connaissent une poussée de croissance en 1963, quand il est autorisé à prendre toute la zone d’exposition au rez-de-chaussée de l’aérogare de l’aéroport de Uplands. L’espace de l’annexe du musée, comme cette zone devient connue, peut accueillir 4 aéronefs et quelques moteurs.

À ce moment-là, des choses sont en cours qui changeraient à jamais le Musée national de l’air. Vous voyez, la collection croissante d’aéronefs de cette institution n’est pas la seule au Canada. Nenni. Le Musée canadien de la guerre possède quelques aéronefs historiques et l’ARC en a beaucoup plus. Le premier n’a pas beaucoup d’espace pour les aéronefs et la seconde n’a aucune installation permanente pour afficher ses avoirs.

Informé vers 1963 que la présentation annuelle temporaire d’aéronefs historiques à la station de l’ARC de Mountain View, Ontario, près de Trenton, devient un irritant, le lieutenant-colonel d’aviation Philip de Lacey « Phil » Markham, un excellent gentilhomme qui s’intéresse à ces aéronefs et à leur préservation, met de l’avant une idée qui suscite un grand intérêt. La collection d’aéronefs historiques de l’ARC doit être transférée à la station de l’ARC de Rockcliffe, Ontario, près de Ottawa, qui ne servirait plus de base aérienne à partir de 1964. Le lieutenant-colonel d’aviation Ralph Viril Manning, historien de l’air de l’ARC, un autre excellent gentilhomme qui s’intéresse également aux aéronefs historiques et à leur préservation, se charge du dossier.

Avec plus de 40 ans d’histoire en tant que base aérienne, sans parler de ses installations pour avions et hydravions, la station de l’ARC de Rockcliffe est un endroit des plus appropriés pour un musée national de l’aviation.

Bien que les progrès s’avèrent lents, Markham obtient le feu vert pour exposer la collection d’aéronefs historiques de l’ARC dans des hangars en bois de la Seconde Guerre mondiale à la station de l’ARC de Rockcliffe au printemps 1964.

Parallèlement à cela, le ministère de la Défense nationale et le secrétaire d’État du Canada conviennent d’exposer à la station de l’ARC de Rockcliffe tous les aéronefs sous leurs attributions, c’est-à-dire ceux du Musée canadien de la guerre, du Musée national de l’air et de l’ARC – à l’exception de ceux déjà exposés en permanence dans les 2 musées. Cet accord verrait la gestion des 3 collections se dérouler sous un même toit.

Les visiteuses et visiteurs qui rendent visite à la station de l’ARC de Rockcliffe en juin 1964, le jour de la journée de la force aérienne, sont surpris(e)s et ravi(e)s du nombre de machines exposées. Celles et ceux qui visitent le site jusqu’à l’automne, à la fin de la saison de présentation, sont également surpris(e)s et ravi(e)s.

En mai 1965, les hangars contenant la Collection nationale de l’aéronautique, comme les collections fusionnées sont désormais appelées, sont officiellement ouverts au public. Un gentilhomme mentionné dans un numéro de décembre 2018 de notre vous savez quoi, le ministre de la Défense nationale, Paul Theodore Hellyer, préside la cérémonie

Le personnel des Musée national de l’air et Musée canadien de la guerre s’occupe de l’entretien des aéronefs et de l’entretien ménager quotidien. Et oui, le Musée national de l’air continue d’exister en tant qu’entité distincte pendant que cela se déroule.

Aussi coopératives que puissent être les institutions impliquées dans la Collection nationale de l’aéronautique (Musée canadien de la guerre, Musée national de l’air et ARC), la vérité est que l’arrangement selon lequel la collection unifiée fonctionne est peu opportun.

Lors d’une réunion en juin 1965 avec Richard Gilchrist Glover, directeur de la Direction du Musée de l’homme du Musée national du Canada, à qui le Musée canadien de la guerre et le Musée national de l’air se rapportent, le directeur de la Section historique des Forces armées canadiennes dit pour ainsi dire cela. Charles Perry Stacey ajoute qu’une seule entité devrait être responsable de la Collection nationale de l’aéronautique. Il est d’avis que le Musée national du Canada devrait être cette entité, mais ce n’est que son opinion personnelle.

Les semaines se transforment en mois sans aucun changement à l’arrangement en vertu duquel la Collection nationale de l’aéronautique fonctionne. Cela étant dit (tapé?), des discussions sont en cours à Ottawa concernant la création d’un musée national des sciences et de la technologie qui relèverait du Secrétaire d’état du Canada. De fait, un professeur / photographe / géologue / explorateur, David McCurdy Baird, est nommé directeur de ce musée national du Canada, à l’automne 1966. Le Musée national de l’air est affecté à ce nouveau musée national.

Les montages et interactifs du Musée national de l’air situés dans l’aérogare de l’aéroport de Uplands vont au MNST qui doit bientôt ouvrir au printemps 1967, ce qui conduit à toutes fins utiles à la disparition de facto du musée national fondé en 1960. « Temporairement» situé dans une boulangerie reconvertie, le MNST ouvre officiellement ses portes à la multitude en novembre 1967.

Le susmentionné Molson prend sa retraite en septembre 1967. Le tout aussi susmentionné Bradford devient alors le conservateur de la Collection nationale de l’aéronautique.

En décembre 1966, Baird contacte le sous-secrétaire d’état pour voir si quelque chose peut être fait concernant l’arrangement en vertu duquel le Collection nationale de l’aéronautique opérerait à l’avenir. G.G. Ernest « Ernie » Steele organise une réunion qui réunit Baird, Glover et des représentants de multiples organisations, notamment le Musée canadien de la guerre, le Musée national de l’air et le ministère de la Défense nationale.

À un moment donné après la réunion, Steele communique avec le ministère de la Défense nationale. La Collection nationale de l’aéronautique est un grand succès, déclare-t-il. De fait, étant donné la grande contribution du Canada au développement de l’aviation, Steele croit que les avoirs du gouvernement fédéral devraient être présentés de la meilleure façon possible. Il suggère donc que la Collection nationale de l’aéronautique soit placée sous la direction du MNST.

La proposition de Steele ne passe pas inaperçue. Certaines personnes de l’ARC et / ou ministère de la Défense nationale s’opposent à l’idée d’exposer leur collection d’aéronefs militaires historiques aux côtés d’aéronefs civils et de montages techniques / interactifs. Il est suggéré que le Musée national de l’air soit responsable des dits aéronefs civils et des montages techniques / interactifs, tandis qu’un nouveau musée de l’armée de l’air à la station de l’ARC de Rockcliffe aurait la collection d’aéronefs militaires historiques. De fait, il semble que l’idée d’un musée de l’armée de l’air est dans l’air, sans jeu de mots, depuis le début des années 1960 au plus tard.

Pour une raison ou une autre, ces voix ne sont pas entendues. La Collection national de l’aéronautique est placée sous la tutelle du MNST en 1968. Cela étant dit (tapé?), le Musée canadien de la guerre pourrait exposer quelques aéronefs s’il choisit de le faire. À son tour, le MNST serait en mesure d’exposer quelques aéronefs de la Collection national de l’aéronautique s’il choisit de le faire.

Au risque de dépasser les limites du bon goût, puis-je suggérer que le Musée national de l’air de 1960-67 à Uplands est un endroit beaucoup plus intéressant, pour les non-passionné(e)s d’aviation au moins, que la Collection national de l’aéronautique / Musée national de l’aviation de Rockcliffe de 1965-88?

Lorsque le susmentionné Baird prend sa retraite, à la fin de 1981, le tout aussi susmentionné Bradford, devient directeur par intérim du MNST.

La Collection nationale de l’aéronautique devient le Musée national de l’aviation en septembre 1982. Le plan à l’époque est de transformer ce musée subsidiaire du MNST en un musée national indépendant.

Lorsque le physicien James William « Bill » McGowan est nommé directeur du MNST, en janvier 1984, Bradford est promu au poste de directeur associé du Musée national de l’aviation. Dans le même temps, il acquiert un contrôle total sur la plupart des activités du musée. Ceci, encore une fois, est lié à la transformation prévue du Musée national de l’aviation en un musée national indépendant. Cela ne s’est jamais produit.

En juin 1988, après plus de 20 ans passés dans de vieux hangars inflammables, le Musée national de l’aviation emménage officiellement dans une toute nouvelle installation conçue à cet effet. Cette institution nationale devient le Musée de l’aviation du Canada en 2000. Un hangar de stockage achevé en 2006 conduit à la création de nouvelles zones d’exposition dans le bâtiment principal du musée, qui sont aménagées entre septembre et novembre 2008. Le Musée de l’aviation du Canada inaugure un auditorium, un foyer, une cafétéria améliorée, une boutique de cadeaux améliorée, ainsi que des salles de classe à l’automne 2010. À ce moment-là, il a encore changé de nom, devenant ainsi le Musée de l’aviation et de l’espace du Canada en avril.

Kenneth Meredith Molson quitte ce monde en janvier 1996, à l’âge de 79 ans. Robert William Bradford, cependant, est toujours avec nous. Il aura 97 ans en décembre 2020. Croiriez-vous que ce gentilhomme des gentilshommes, un des artistes canadiens de l’aviation les plus célèbres de tous les temps, naît 17 décembre 1923, 20 ans jour pour jour après le premier vol contrôlé et soutenu d’un aéronef motorisé? C’est un petit, petit monde.

Comme il est dit (tapé?) au début de cet article, votre humble serviteur rejoint le personnel de ce qui est alors le Musée national de l’aviation, physiquement sinon administrativement / hiérarchiquement, à l’automne de 1987. Depuis, j’ai croisé le chemin de nombreuses personnes remarquables, autrement dit de membres du personnel du musée, de bénévoles du musée et d’un certain nombre de membres du personnel du groupe muséal étroitement associé(e)s aux dingues du musée de l’aviation. Malheureusement, nombre d’entre elles et eux ne sont plus parmi nous.

Étant donné que le mois d’octobre est le mois de l’histoire des femmes, j’aimerais mettre sur papier de manière très personnelle les noms des nombreuses et excellentes personnes qui ont joué un rôle dans l’évolution du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, et ce même si je sais, vieux schnock que je suis, que j’en oublierai plus que quelques-unes…

Anna Adamek

Sylvie Ayotte

Heather Bajdik

Nancy Beaulieu

Suzanne Beauvais

Sylvie Bertrand

Shelley Boudreau

Linda Brand

Lisa Burbidge

Gisèle Cyr

Claire De Grasse

Gillian Desnoyers

Victoria Dickenson

Suzanne Dumont

Linda Dupuis

Catherine Émond

Dorothy Fields

Chantal Fortier

Rachelle Fournier

Roxanne Gatien

Bianca Gendreau

Lorraine Gouin

Nori Gowan

Louise Gratton

Erin Gregory

Christina Harb

Annie Jacques

Hayley Jones

Sian Jones

Andrée Joyce

Karoline Klug

Glenda Krusberg

Gail Lacombe

Claudia Larouche

Suzanne Lévesque

Zoe Lomer

Christina Lucas

Kathleen McCullough

Molly McCullough

Deidre McEwen

Sonia Mendes

Dominique Mongeon

Rachel Monnier

Marcia Mordfield

Francine Poirier

Erin Poulton

Renée Racicot

Erika Range

Kimberly Reynolds

Maxime Sabourin

Claudette Saint-Hilaire

Erin Secord

Kate Shouldice

Fiona Smith-Hale

Lynda Smyth

Tanya Sulatyski

Sandra Taillefer

Linda Talbot

Andréanne Tessier

Christina Tessier

Adele Torrance

Audrey Vermette

Lise Villeneuve

Stacy Wakeford

Sue Warren

Lynn Wilson

N’hésitez pas à brasser ma cage si je vous m’avez manquée ou si j’ai manqué quelqu’un que vous connaissez et, au fait, est-ce que quelqu’un connaît le prénom de la jeune femme du nom de Telford qui est l’assistante exécutive du Musée national de l’air au début des années 1960?

L’auteur de ces lignes tient à remercier toutes les personnes qui ont fourni des informations. Toute erreur contenue dans cet article est de ma faute, pas de la leur.

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Canada Aviation and Space Museum Musée de l'aviation et de l'espace du Canada
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Une publicité typique de T.K. Bellis Turtle Company Limited. Anon., “T.K. Bellis Turtle Company Limited.” The Graphic, 8 janvier 1898, 64.

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Le Mikoyan-Gourevitch MiG-15 de la Wojska Lotnicze piloté par le second lieutenant Franciszek Jarecki, aérodrome de Rønne, Rønne, Danemark. Jarecki est le gentilhomme marqué par une flèche. Anon., « Undamaged Red Jet in NATO Hands. » The Gazette, 7 mars 1953, 2.

Un vol pour la liberté qui a percé le rideau de fer; ou, Le jour où le second lieutenant Franciszek Jarecki s’est échappé de Pologne à bord d’un chasseur à réaction Mikoyan-Gourevitch MiG-15

Quatre des personnages principaux de ce qui peut bien être la première série télévisée de SF au Canada, Space Command de Canadian Broadcasting Corporation. Anon., « Space Command Is Not Run-Of-Mill ‘Opera.’ » The Ottawa Citizen, 26 décembre 1953, 14.

« Défiant les étoiles elles-mêmes » : Un regard infinitésimal sur ce qui pourrait bien être la première série télévisée de science-fiction au Canada, Space Command de Canadian Broadcasting Corporation

Le prototype du Astro Kinetics Lift de Astro Kinetics Corporation, Houston, Texas. Anon., « Aircraft and Powerplants – Crane version of ‘flying saucer’ projected in U.S.A. » The Aeroplane and Commercial Aviation News, 7 mars 1963, 24.

« Regardez! Là-haut dans le ciel! C’est un oiseau! C’est un avion! C’est une soucoupe volante texane! » Astro Kinetics Corporation de Houston, Texas, et ses aéronefs à décollage et atterrissage verticaux à l’allure unique

 James Bertram Blackmon (à droite, bien sûr) parlant de sa fusée avec l’animateur de la très populaire émission quotidienne d’actualités et débats télévisés américaine Today, David Cunningham Garroway, New York, New York. Anon., « Jimmy on TV Show. » The Charlotte Observer, 1er décembre 1956, 2.

Un jeune prodige américain de l’aube de l’ère spatiale devenu professeur au Propulsion Research Center de la University of Alabama in Huntsville : James Bertram Blackmon, voici votre vie, partie 2

James Bertram « Jim / Jimmy » Blackmon et sa fusée faite-maison, Charlotte, Caroline du Nord, juillet 1956. Irwin Hersey, « Aid for basement rocketeers. » Astronautics, février 1958, 25.

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Le Canadair Silver Star du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, Ottawa, Ontario, juin 2005. Cet aéronef est piloté par le Red Knight, ou chevalier rouge, le pilote de voltige solo de l’Aviation royale du Canada, en 1961-64. Alain Rioux, via Wikimedia.

Il a vraiment continué longtemps, longtemps, longtemps : Un bref aperçu de la carrière canadienne de l’avion d’entraînement à réaction Lockheed / Canadair Silver Star, partie 2

Le ministre de la Défense nationale du Canada, Brooke Claxton, à gauche, avec le premier avion d’entraînement à réaction Lockheed T-33 Silver Star fabriqué au Canada, Cartierville, Québec. Anon., « M. Claxton reçoit le premier réacté T-33 fabriqué ici. » La Patrie, 13 février 1953, 1.

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La trentaine de paysans mexicains qui participent au déblaiement de la météorite de Bacubirito, non loin de Bacubirito, Mexique, 1902. N. Rosst, « La grande météorite de ‘Bacubirito’ (Mexique). » La Nature, 14 février 1903, 173.

Une flamme dans le ciel du nord et une cendre de feu sidéral : La météorite de Bacubirito

Un dispositif de dégivrage de piste de Woolery Machine Company en action à l’aéroport de Cologne-Wahn, Cologne, Allemagne de l’Ouest. Anon., « Ancillary Review – Flame-throwing – On Ice. » The Aeroplane and Commercial Aviation News, 28 février 1963, 29.

Allez, PB, allume mon feu. Essaie de mett’ la glace en feu : Un coup d’œil sur la firme américaine Woolery Machine Company et sur certaines de ses idées et produits

Un promoteur de la Sure Food, le chimiste alimentaire James Pearson (à droite), dans les installations de Wentworth Canning Company Limited de Hamilton, Ontario. Anon., « La viande, synthétique, produit canadien, pourrait sauver de la famine les peuples affamés d’Europe. » Photo-Journal, 5 février 1948, 3.

« Cela sent la viande. Cela ressemble même à de la viande. » L’histoire oubliée depuis longtemps d’une viande synthétique / viande d’imitation / viande artificielle / succédané de viande / substitut de viande / simili-viande parfois appelée Sure Food

L’avion de brousse Junkers Ju 52 immatriculé CF-ARM de Canadian Airways Limited de Montréal, Québec, lac Manouane, Québec, août ou septembre 1940. MAEC, 13469.

Les vieux avions de brousse ne meurent jamais, ils ne font que s’effacer doucement : Quelques lignes, d’accord, plusieurs lignes sur la remarquable carrière d’un « cargo volant / wagon volant » Junkers Ju 52 nommé CF-ARM, partie 3

L’avion de brousse Junkers Ju 52 immatriculé CF-ARM de Canadian Airways Limited de Montréal, Québec, en réparation, Arviat, Nunavut (Eskimo Point, Territoires du Nord-Ouest), septembre 1932. MAEC, 1208.

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L’avion de brousse Junkers Ju 52 immatriculé CF-ARM de Canadian Airways Limited de Montréal, Québec. Anon., « Pionnier des transports lourds dans le nord du Canada, le ‘Cargo volant’ a fini sa carrière. » Photo-Journal, 29 janvier 1948, 2.

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Le sergent Bob Electro de l’Aviation royale du Canada (ARC) pris en flagrant délit de salut au commandant de la Base de l’ARC de Clinton, le colonel d’aviation John Gordon Mathieson, Clinton, Ontario. Anon., « Six-Year-Old Sergeant. » The North Bay Nugget, 7 janvier 1963, 15.

Dōmo arigatō, gunsō Electro, mata au hi made : Les aventures électroniques du sergent Bob Electro de l’Aviation royale du Canada et des Forces armées canadiennes

Une pièce d’équipement fort appropriée vue la saison, enfin, la saison qui affecte la partie nord de l’hémisphère nord de la planète Terre, la souffleuse à neige domestique de Autocanner Enregistré de Montréal, Québec. Anon., « –. » Montréal-Matin, 9 janvier 1948, 6.

« Qu’il neige! Qu’il neige! Qu’il neige! » La souffleuse à neige domestique Blo-All de Autocanner Enregistré de Montréal, Québec

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« La grenouille est-elle gibier ou poisson? Là est le chiendent. » Un bref coup d’œil sur l’histoire de la raniculture au Canada et au Québec, partie 4

Une publicité typique de Giant Frog & Sea Food Limited de Montréal, Québec. Anon., « Giant Frog & Sea Food Limited. » La Patrie, 18 octobre 1952, 53.

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Trois des innombrables grenouilles-taureaux trouvées dans la grenouillère de Harold Lee, Casitas Springs, Californie. Anon., « Nature – Frog Farm.” » Pix, 6 janvier 1951, 30.

“La grenouille est-elle gibier ou poisson? Là est le chiendent. » Un bref coup d’œil sur l’histoire de la raniculture au Canada et au Québec, partie 2

Une publicité typique de Canadian Frog’s Industries Company de Montréal, Québec. Anon., « Canadian Frog’s Industries Company. » La Patrie, 16 novembre 1952, 86.

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Un dessin éditorial qui reflète la réaction de nombreux Américains suite au lancement de Spoutnik 2. Une traduction du titre du dessin pourrait être Notre propre disgrâce non-volante. John Milt Morris, « Our own non-fly doghouse. » The Nome Nugget, 8 novembre 1957, 2.

Les trois jours du Spoutnik; ou, « Radio-Moscou admet que le chien tournant autour de la terre dans le satellite ne reviendra jamais » : Laïka, Spoutnik 2 et la presse quotidienne du Québec, partie 3

Une réplique de Spoutnik 2, Tsentral’nyy Dom Aviatsii i Kosmonavtiki DOSAAF Rossíi, Moscou, avril 2021. Krasnyy via Wikipédia.

Les trois jours du Spoutnik; ou, « Radio-Moscou admet que le chien tournant autour de la terre dans le satellite ne reviendra jamais » : Laïka, Spoutnik 2 et la presse quotidienne du Québec, partie 2

Le premier portrait official de Laïka à être diffusé par les autorités soviétiques. Cette photographie est initialement publiée dans le quotidien moscovite Pravda. Anon., « More Sputnik Dogs Due Before Humans Go Up. » The Evening Star, 13 novembre 1957, 6.

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Le biplan (monoplace?) conçu par Canadian Aircraft Works (Incorporated? Limited? Registered?) de Montréal / Coteau Rouge, Québec, janvier 1915. Gustave Pollien peut se trouver aux commandes. MAEC, 1134.

Un terrifique trio actif aux débuts de l’aviation au Québec : Ernest Anctil, Gustave Pollien et Percival Hall Reid, partie 3

Le biplan fabriqué par Gustave Pollien (à gauche) et Ernest Anctil, Cartierville, Québec. Anon., « L’aviation chez nous – Un jeune aviateur canadien-français, Ernest Anctil, vole avec succès sur un biplan construit au pays. » La Presse, 27 septembre 1912, 1.

Un terrifique trio actif aux débuts de l’aviation au Québec : Ernest Anctil, Gustave Pollien et Percival Hall Reid, partie 2

Le biplan fabriqué par Ernest Anctil (à gauche dans la photographie du bas) et Gustave Pollien, Cartierville, Québec. Anon., « The first Montreal-made biplane. » The Standard, 5 octobre 1912, 4.

Un terrifique trio actif aux débuts de l’aviation au Québec : Ernest Anctil, Gustave Pollien et Percival Hall Reid, partie 1

Louis Victor Jules Vierne (3ème à partir de la gauche), compositeur et organiste de la cathédrale Notre-Dame de Paris au clavier de l’orgue électronique Coupleux Givelet, station de radio Poste Parisien, Paris, France. Anon., « L’orgue des ondes du ‘Poste parisien’ est inauguré. » Le Petit Parisien, 27 octobre 1932, 1.

La mélodieuse épopée de deux pionniers français de la musique électronique qui méritent d’être mieux connus : Joseph Armand Marie Givelet et Édouard Éloy Coupleux

 Vue d’artiste du satellite canadien Alouette en orbite au-dessus du Canada. Office national du film, Photo-reportage 288 – Le Canada, nouveau visiteur de l’espace, NFB62-5961.

Alouette, gentille alouette, Alouette, je te lancerai; Ou, Comment la Guerre froide propulse le Canada dans l’espace par le biais du satellite Alouette, partie 3

La fusée Thor-Agena qui place le satellite canadien Alouette en orbite, Vandenberg Air Force Base, Californie. Anon., « Alouette’ Working Perfectly – First Canadian Satellite in Orbit. » The Montreal Star, 29 septembre 1962, 1.

Alouette, gentille alouette, Alouette, je te lancerai; Ou, Comment la Guerre froide propulse le Canada dans l’espace par le biais du satellite Alouette, partie 2

Deux des ingénieurs qui font du satellite Alouette un succès : Colin A. Franklin (à gauche) et John N. Barry, Ottawa, Ontario. Anon., « Many ‘Firsts’ for Canadian Satellite – Alouette Sports New Space Advances. » The Montreal Star, 22 septembre 1962, 43.

Alouette, gentille alouette, Alouette, je te lancerai; Ou, Comment la Guerre froide propulse le Canada dans l’espace par le biais du satellite Alouette, partie 1

Vue approximative de la zone dans laquelle l’éclipse solaire du 31 août 1932 peut être observée dans sa totalité (image principale), ou pas (colonne de droite). Anon. « Mighty Workings of Tomorrow’s Eclipse. » Sherbrooke Daily Record, 30 août 1932, 1.

« Nous prions tous pour une journée sans nuages : » L’éclipse solaire du 31 août 1932 au Québec, partie 3

Certains des chercheurs britanniques éminents en route vers le Canada dans le but d’observer l’éclipse solaire totale du 31 août 1932. Anon., « Le ciel québécois et les astronomes. » La Presse, 29 juillet 1932, 9.

« Nous prions tous pour une journée sans nuages : » L’éclipse solaire du 31 août 1932 au Québec, partie 2

L’éclipse solaire du 31 août 1932 telle qu’on peut l’observer dans sa totalité, à partir d’une route de campagne du Maine. Anon., « Souvenir d’éclipse. » La Presse – Magazine illustré, 24 septembre 1932, 9.

« Nous prions tous pour une journée sans nuages : » L’éclipse solaire du 31 août 1932 au Québec, partie 1

Le réservoir Manicouagan, également connu sous le nom d’œil du Québec, photographié depuis l’espace par le satellite Sentinel 2-A du programme Copernicus de l’Agence spatiale européenne, janvier 2017. https://scihub.copernicus.eu/ via Wikimedia.

Sic itur ad astra : Quelques observations sur la stellaire carrière de l’astronome canadien Carlyle Smith Beals, partie 2

Carlyle Smith Beals, astronome fédéral. Raymond Taillefer, « Tant qu’il y aura des étoiles - L’observatoire fédéral assure au Canada un brillant rôle scientifique. » Le Droit, 2 août 1947, 1.A.

Sic itur ad astra : Quelques observations sur la stellaire carrière de l’astronome canadien Carlyle Smith Beals, partie 1

Le prototype de l’avion de brousse canadien de Havilland Canada DHC-2 Beaver en montre au Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, Ottawa, Ontario. MAEC, deHavilland DHC-2 Beaver-005

Bonne fête Beaver, bonne fête Beaver, bonne fête, bonne fête, bonne fête Beaver : Un trop bref coup d’œil sur une icône canadienne, l’avion de brousse de Havilland Canada DHC-2 Beaver, partie 2

Le prototype de l’avion de brousse canadien de Havilland Canada DHC-2 Beaver le jour de son premier vol, Downsview, Ontario, août 1947. MAEC, KM-08317

Bonne fête Beaver, bonne fête Beaver, bonne fête, bonne fête, bonne fête Beaver : Un trop bref coup d’œil sur une icône canadienne, l’avion de brousse de Havilland Canada DHC-2 Beaver, partie 1

Le Shell By-Plane X 100 Astroterramare du professeur Septimus Urge (extrême droite), Pleasure Gardens du Festival of Britain, Battersea Park, Londres, Angleterre. Anon., « New British Jet Unique, but Not Matchless. » Aviation Week, 18 août 1952, 44.

Des machines de Heath Robinson / Rube Goldberg que Heath Robinson et « Rube » Goldberg eux-mêmes auraient approuvées; Ou, Le monde merveilleux de Frederick Rowland Emett et ses choses

Rachel Marie-Louise Clément, née Guillot, en train se saler des fromages camembert Madame Clément produits par Laiterie R.A. Clément (Enregistrée? Incorporée? Limitée?), McMasterville ou Beloeil, Québec. Anon., « Fromages du Québec. » Photo-Journal, 28 août 1952, 33.

« Si j’avais cent vies, je recommencerais l’aventure du camembert : » Le délicieuse saga québécoise de la famille Clément et de ses fromages

Vue d’artiste du dirigeable conçu par le modeleur, ouvrier, sculpteur ou tailleur de pierre québécois Louis N. Filion. Anon., « Le secret de la direction des ballons est-il réellement détenu par un Canadien-français? » La Patrie, 26 juillet 1902, 19.

En 1902, le secret de la direction des ballons dirigeables est-il détenu par le Québécois Louis N. Filion? C’est à moi de le savoir et à vous de le découvrir

Une publicité typique de Bamboo Cycle Company Limited de Londres, Angleterre. Anon., « Bamboo Cycle Company Limited. » The Graphic, 31 juillet 1897, 179.

« En cas de doute mon conseil est Acheter une Bamboo : » Quelques pages sur Bamboo Cycle Company Limited de Londres, Angleterre

Un tir d’essai américain d’une fusée à courte portée sol-sol non guidée Douglas M31 Honest John. Anon., « Engins et missiles ». Aviation Magazine, 1 juin 1959, 155.

Elle n’a peut-être pas changé l’histoire mais aurait certainement changé la géographie : Un bref mais effrayant coup d’œil sur les fusées à courte portée sol-sol non guidées Douglas M31 et M50 / MGR-1 Honest John, partie 2

Une équipe de l’Artillerie royale canadienne de l’Armée canadienne s’entraînant sur une fusée à courte portée sol-sol non guidée Douglas M31 Honest John de la United States Army, Fort Sill, Oklahoma. Anon., « Rocket Training. » Sherbrooke Daily Record, 13 juillet 1957, 1.

Elle n’a peut-être pas changé l’histoire mais aurait certainement changé la géographie : Un bref mais effrayant coup d’œil sur les fusées à courte portée sol-sol non guidées Douglas M31 et M50 / MGR-1 Honest John, partie 1

Une publicité de Frisco Soda Water Company de Montréal, Québec, pour la bière Salvador brassée par Reinhardt ‘Salvador’ Brewery Limited de Toronto, Ontario. Anon., « Frisco Soda Water Company. » The Montreal Daily Star, 5 juillet 1912, 5.

Un conte de deux Reinhardt; ou, Un bref aperçu de deux brasseries canadiennes disparues et oubliées depuis longtemps

Kenneth Albert Arnold, au centre, avec deux autres pilotes qui affirment avoir vu des objets volants non identifiés, soit Emil J. Smith, à gauche, et Ralph Stevens. Anon., « Pilotes qui virent des soucoupes volantes. » Le Soleil, 8 juillet 1947, 1.

« Tout le monde a vu les soucoupes volantes, les journalistes exceptés : » Les premières observations d’objets volants non identifiés / phénomènes aériens non identifiés dans la province de Québec, 24 juin au 19 juillet 1947, partie 2

Kenneth Albert Arnold. Anon., « Boise Airman Positive He Didn’t See Ordinary Craft Reflections. » The Idaho Daily Statesman, 28 juin 1947, 9.

« Tout le monde a vu les soucoupes volantes, les journalistes exceptés : » Les premières observations d’objets volants non identifiés / phénomènes aériens non identifiés dans la province de Québec, 24 juin au 19 juillet 1947, partie 1

Une publicité typique de O-Pee-Chee Gum Company de London, Ontario. Anon., « O-Pee-Chee Gum Company. » The Aylmer Express, 6 juin 1912, 5.

« Mâche Mâche Mâche Mâche ta gomme à bulles: » Les sucrés de bons vieux temps de O-Pee-Chee Gum Company Limited de London, Ontario

Publicité concernant la Isetta fabriquée par Isetta of Great Britain Limited. Une fois traduit, le texte se lit : « Hé! ne touche pas à cette pièce de 10 cents! Je vais juste prouver que cette Isetta peut se garer dessus! » Anon., « City Motors Limited. » The Gazette, 21 novembre 1957, 2.

Un coup d’œil sous le capot d’un des symboles du miracle économique ouest-allemand des années 1950 ; ou, L’histoire multiforme et multinationale de la microvoiture Isetta, partie 2

Une BMW 250 ou 300 typique. Devon Francis, « What you get in the foreign economy cars. » Popular Science, juin 1957, 62.

Un coup d’œil sous le capot d’un des symboles du miracle économique ouest-allemand des années 1950 ; ou, L’histoire multiforme et multinationale de la microvoiture Isetta, partie 1

Un projecteur de planétarium Spitz au Planetario Municipal Agrimensor Germán Barbato, le premier planétarium d’Amérique du Sud, inauguré en 1955, Montevideo, Uruguay, février 2015. Fedaro via Wikimedia.

Béni soit celui qui apporte les merveilles du cosmos à la multitude : Armand Neustadter Spitz et ses projecteurs de planétarium, partie 2

Armand Neustadter Spitz. Hilaire Cuny, « Sciences et techniques – La plus gigantesque tentative de notre temps : La conquête de l’espace cosmique. » Combat, 15 mai 1957, 6.

Béni soit celui qui apporte les merveilles du cosmos à la multitude : Armand Neustadter Spitz et ses projecteurs de planétarium, partie 1

Une publicité typique de la firme William Hood & Company de Toronto, Ontario. Anon., « William Hood & Company. » The Canadian Grocer & General Storekeeper, 27 mai 1892, 9.

« Un nouveau gagnant commercial pour les épiciers et marchands généraux; » ou, Comment William Hood & Company de Toronto, Ontario, devient un prétexte pour s’attarder sur les mystères de… l’huile de ricin

Une publicité typique de Tillson Company Limited. Anon. « Tillson Company Limited. » The Canadian Grocer & General Storekeeper, 13 mai 1892, 19.

« Un aliment, pas une mode: » La vie et l’époque de Edwin Delevan Tillson de Tillsonburg, Ontario

Gertrude Dugal, la première Québécoise francophone ayant obtenu une licence de pilote – ou pas, Aéroport de Cartierville, Cartierville, Québec. Anon., « La seule diplômée. » La Patrie, Journal du dimanche, 18 mai 1947, 1.

« À travers les nuages, je vois voler mon ombre: » Quelques mots sur Gertrude Dugal, la première Québécoise francophone ayant obtenu une licence de pilote – à moins que ce ne soit quelqu’un d’autre

Une motomarine Vincent Amanda dans son élément, Ruislip, Angleterre, avril 1957. Anon., “Triss i bâtar.” Teknikens Värld med Flyg, 2 au 16 mai 1957, 8.

Bournemouth, Scarborough, ooh je veux vous emmener. Great Yarmouth, Lyme Regis, ami(e) lectrice, lecteur : La Vincent Amanda, l’ancêtre presque oubliée des motomarines d’aujourd’hui

Une vue en gros plan d’une pilule radio quelques instants avant que le premier patient volontaire ne l’avale. Anon., « Science – Radio Made to Swallow. » Life, 29 avril 1957, 74.

Prenez une de ces pilules et vos entrailles m’appelleront en matinée : La saga digestive de… la pilule radio

Dan Cooper, tel que dessiné par l’auteur de bande dessinée belge Albert Weinberg lors de sa visite à North Bay, Ontario, en mai-juin 1966. Anon., « Originator of RCAF cartoon hero visits defence bases at North Bay. » The North Bay Nugget, 3 juin 1966, 1.

Un prolifique auteur de bande dessinée belge qui mérite d’être mieux connu : Le père de Dan Cooper, héros canadien, Albert Weinberg (1922-2011), partie 2

Albert Weinberg au cours d’une de ses nombreuses visites en sol canadien. Anon., « Dan Cooper c’est Buzz Beurling. » La Presse, 31 mars 1975, A3.

Un prolifique auteur de bande dessinée belge qui mérite d’être mieux connu : Le père de Dan Cooper, héros canadien, Albert Weinberg (1922-2011), partie 1

Un avion de chasse FFVS J 22 typique de l’armée de l’air suédoise, ou Flygvapnet, Bunge, Suède, vers 1948-49. Flygvapenmuseum, FVMF.002142.

On m’a demandé quelques fois quel était mon avion préféré. Eh bien, voici l’un de mes favoris de tous les temps : l’avion de chasse suédois FFVS J 22, partie 2

Un avion de chasse FFVS J 22 typique de l’armée de l’air suédoise, ou Flygvapnet. Harald Jacobson, « Ett flygplan – en flygepok. » Looping, avril 1952, 12.

On m’a demandé quelques fois quel était mon avion préféré. Eh bien, voici l’un de mes favoris de tous les temps : l’avion de chasse suédois FFVS J 22, partie 1

 Une publicité pour des produits, en l’occurrence du hareng et de la sardine, mis en conserve par Connors Brothers Limited de Black’s Harbour, Nouveau-Brunswick. Anon., « Connors Brothers Limited ». Le Prix courant, 29 mars 1912, 20.

D’un appât à homard et engrais pour pommes de terre à de l’argent d’eau salée : L’humble sardine et Connors Brothers Limited de Black’s Harbour, Nouveau-Brunswick

Une Volvo P1800 comparable à celle que conduit Simon Templar, dit le Saint, un personnage joué à la télévision par Roger George Moore, Volvo Museum, Göteborg, Suède, 2008. Jarle Vines via Wikimedia.

Une sainte automobile du pays de « Fifi » Brindacier et Lisbeth Salander : La grande routière / voiture sport suédoise Volvo P1800, partie 2

Une grande routière / voiture de sport Volvo P1800 typique Anon., « La plus belle auto. » La Patrie du Dimanche, 25 mars 1962, 11.

Une sainte automobile du pays de « Fifi » Brindacier et Lisbeth Salander : La grande routière / voiture sport suédoise Volvo P1800, partie 1

Le député sortant de la circonscription électorale de Limoux, France, le sénateur Henri Charles Étienne Dujardin-Beaumetz. Joseph Uzanne. Figures contemporaines. (10ème édition) (Paris: Librairie Henri Floury, 1906), non paginé.

« Mon cher Védrines, c’est une panne de scrutin : » Charles Toussaint « Jules » Védrines et l’élection législative partielle de Limoux, France, de mars 1912, Partie 2

Caricature du sénateur Henri Charles Étienne Dujardin-Beaumetz se payant la tête de « Jules » Védrines, le candidat défait lors de l’élection législative partielle de Limoux, France, de mars 1912. Anon., « La course Limoux-Palais-Bourbon. » Le Rire, 30 mars 1912, non paginé.

« Mon cher Védrines, c’est une panne de scrutin : » Charles Toussaint « Jules » Védrines et l’élection législative partielle de Limoux, France, de mars 1912, Partie 1

Le laboratoire sur roues Lincoln Continental 1950X / Ford X-100. Anon., « La Ford de l’avenir. » Photo-Journal, 28 février 1952, 8.

La voiture de demain telle qu’on l’imaginait il y a 70 ans : Le laboratoire sur roues Lincoln Continental 1950X / Ford X-100

Edward T. Faulkner et son Curtiss JN-4 Canuck, Honeoye Falls, New York, 1962. Musée de l’aviation et de l’espace du Canada 2985.

Il décolle à 100 kilomètres/heure, vole à 100 kilomètres/heure et atterrit à 100 kilomètres/heure, plus ou moins : La saga du Curtiss JN-4 Canuck

Une publicité de David Brown (Canada) Limited de Toronto, Ontario, montrant des tracteurs offerts par une firme sœur / frère britannique, David Brown Tractors Limited. Anon., « David Brown (Canada) Limited ». Le Bulletin des agriculteurs, février 1962, 75.

« Voulez-vous conduire mon tracteur? Allons donc charger du foin. » Un très bref aperçu de l’histoire de la firme britannique David Brown Tractors Limited

Tomanowos, mieux connue sous le nom de météorite Willamette, American Museum of Natural History, New York, New York. Anon., « Ça et là, par l’image. » Le Samedi, 22 février 1947, 8.

Tomanowos, une visiteuse du ciel ou de la Lune : Un coup d’œil sur de la plus grosse météorite nord-américaine connue aujourd’hui

Vera Elsie Strodl portant le blouson de vol en cuir qu’elle porte pendant la Seconde Guerre mondiale. Glennis Zilm, « Only Canadian honored – Long love of flying brings award to aviatrix. » The Gazette, 1er février 1972, 8.

Dieu aurait pu être son copilote, Ou, La carrière remarquable d’une pilote remarquable, Vera Elsie Strodl

John D’Alton Woodlock avec un de ses fils, Peter Woodlock, devant le téléviseur familial, Iberville, Québec, été 1949. Arthur Prévost, « Dix ans avant CBFT – À Iberville, on a la TV depuis 14 ans!... » Le Petit Journal, 14 janvier 1962, A-49.

Mais malheureusement, comme tant de grands esprits, le pionnier québécois de la télévision John D’Alton Woodlock est parti trop tôt – et vite oublié

Une publicité de la Société auxiliaire agricole de Paris, France, montrant un tracteur agricole Pavesi P4 ou Agrophile-Pavesi en action. Anon., « Société auxiliaire agricole, » L’Agriculture nouvelle, 14 janvier 1922, 4.

Il était une fois un tracteur acrobate : La belle bien que partiellement militaire histoire du tracteur agricole Pavesi P4 et la carrière de Ugo Pavesi

Deux des grands avions de chasse de la Première Guerre mondiale : un SPAD S.VII du Royal Flying Corps ou de l’Aéronautique militaire et un Albatros D.III du Luftstreitkräfte. Anon., « A Dog Fight. » Canadian Aviation, janvier 1932, 12.

L’histoire des photographies les plus extraordinaires jamais prises de combats aériens pendant la Première guerre mondiale, Ou, Le long et le court de la collection Cockburn-Lange

Une vue d’ensemble d’un des premiers réseaux téléphoniques au Canada, Montréal, Québec, 1878. Anon., « Le premier téléphone qui ait jamais été installé à Montréal. » La Presse, 27 janvier 1912, 5.

Ils sont parmi les premiers à tendre la main et toucher quelqu’un : Un regard sur un des premiers réseaux téléphoniques au Canada

Le Canadair CL-44 loué par British Overseas Airways Corporation (BOAC), septembre 1963. Cet aéronef de Seaboard World Airlines Incorporated transporte 19 voitures de course du Royaume-Uni aux États-Unis lors de ce vol, son premier aux couleurs de BOAC. MAEC.

Un bon élan en mérite un autre : La saga de l’avion-cargo canadien Canadair CL-44, Partie 2

Une publicité de l’avionneur Canadair Limited de Cartierville, Québec, vantant les mérites de son hénaurme avion-cargo, le Canadair CL-44. Anon., « Canadair Limited. » La Presse, 23 janvier 1962, 29.

Un bon élan en mérite un autre : La saga de l’avion-cargo canadien Canadair CL-44, Partie 1

Publicité publiée par les magasins Zeller’s Limited de Calgary, Alberta, qui met en valeur le tracteur Reely Ride-’em produit par Reliable Toy Company Limited de Toronto, Ontario. Anon. « Zeller’s Limited. » The Calgary Herald, 11 décembre 1961, 32.

Jouets, glorieux jouets, on voudrait bien jouer : Quelques pages sur Reliable Toy Company Limited de Toronto, Ontario

Un hydravion à flotteurs utilitaire de Havilland Canada DHC-3 Otter exploité par Northway Aviation Limited de St. Andrews, Manitoba, lac Fishing, Manitoba, septembre 2005. Mark Swaffer via Wikimédia.

Le camion volant d’une tonne du Canada : le de Havilland Canada DHC-3 Otter

Une publicité de Moline Plow Company montrant un Moline Universal Tractor en action. Anon. « Moline Plow Company. » L’Agriculture nouvelle, 10 décembre 1921, 707.

Un véhicule très réussi et, oserais-je le taper, un gougeur de pente de l’industrie des tracteurs agricoles : le Moline Universal Tractor

L’avion de ligne à réaction Douglas DC-8 de Canadian Pacific Airlines Limited de Vancouver, Colombie-Britannique, connu sous le nom de Empress of Montreal. Anon., « Empress of Montreal DC-8 First CPA Jet Visitor. » The Gazette, 6 décembre 1961, 17.

Un article dont je suis réticent à divulguer la phrase-choc si tôt dans le jeu : Ou, Un DC racé utilisé par CP

L’avion-cargo Fairchild C-119 Flying Boxcar de la United States Air Force emprunté par Iron Ore Company of Canada Incorporated en 1951. Anon., « Fret aérien – L’opération Ungava – Le fret aérien accélère l’application d’un projet. » Interavia, décembre 1951, 672.

« Dans l’intérêt de la sécurité nationale » : Le rôle joué par un avion-cargo Fairchild C-119 Flying Boxcar de la United States Air Force dans le développement des gisements de minerai de fer de la région du lac Knob

Le Vertol Modèle 42 de Skyrotors Limited de Arnprior, Ontario, nolisé par Spartan Air Services Limited de Ottawa, Ontario, dans le cadre de l’Opération High Tower. Anon., « Operation High Tower. » The Ottawa Citizen, 8 novembre 1961, 3.

Votre mission, si toutefois vous l’acceptez, est de déplacer des trucs : Spartan Air Services Limited de Ottawa, Ontario, la station radiophonique CFRA de Ottawa et l’Opération High Tower

Une des deux sculptures grandeur nature en alliage d’aluminium de grues blanches créées par Wolfram F. Niessen pour le Regina Municipal Airport, Regina, Saskatchewan. Anon., « Regina Honors the Whooping Crane. » The Ottawa Citizen, Weekend Magazine, 18 novembre 1961, 38.

Parlons d’art, humaines et humains. Tous les humains. Plus fort maintenant. Aidez-moi. – Wolfram F. Niessen, John Cullen Nugent et les sculptures grandeur nature en alliage d’aluminium de grues blanches créées pour le Regina Municipal Airport

Joseph Alphonse Ouimet. Anon., « Le pionnier de la télévision préférait la radio à une bicyclette neuve. » La Patrie, 5 novembre 1961, 26.

« Le pionnier de la télévision préférait la radio à une bicyclette neuve : » Un survol de la carrière de Joseph Alphonse Ouimet, un père fondateur de la télévision canadienne

Une publicité publiée par La traction et le matériel agraires Société anonyme pour le tracteur de jardin américain Beeman Junior. Anon., « La traction et le matériel agraires Société anonyme. » L’Agriculture nouvelle, 12 novembre 1921, 664.

« Les arpents verts, les champs, les bois, les chemins creux, c’est fait pour moi : » La firme américaine Beeman Garden Tractor Company et le tracteur de jardin / motoculteur Beeman Junior ou Modèle G

Une ascension de l’aéronaute et parachutiste foraine Florida Lanthier. Maurice Desjardins, « Dans une modeste maison de Montréal-Nord – Florida Lanthier, reine des parachutistes, vit de couture... et de souvenirs. » Photo-Journal, 8 novembre 1951, 3.

Ombres et lumière dans le ciel du Québec : Un premier regard sur la vie et l’époque de l’aéronaute et parachutiste foraine féminine québécoise Florida Lanthier

L’irradiateur mobile de démonstration monté par Énergie atomique du Canada Limitée. Anon., « Boon to Canadian potato industry. » Saskatoon Star-Phoenix, 21 octobre 1961, 6.

Une patate chaude, deux patates chaudes, trois patates chaudes, quatre : Énergie atomique du Canada Limitée de Chalk River, Ontario, et les premiers jours de l’irradiation des aliments au Canada

Une automobile légère et économique Mathis VL333. Fernand de Laborderie, « Le 33e Salon de l’automobile. » La Nature, 15 octobre 1946, 331.

Une vision d’avenir pour une firme à bout de souffle : L’automobile légère et économique française Mathis VL333

Un Bristol Bolingbroke de reconnaissance côtière destiné à l’Aviation royale du Canada en cours de montage dans l’usine de Fairchild Aircraft Limited, Longueuil, Québec, 1941. Anon., « Les C.F. et la R.C.A.F. » Le Samedi, 18 octobre 1941, (c).

« Nous devons obtenir du matériel aérien et veiller sur nos côtes » – L’Aviation royale du Canada et l’avion de reconnaissance côtière Bristol Bolingbroke

 Le prototype du de Havilland Canada DHC-6 Twin Otter en montre au Musée de l’aviation du Canada, Ottawa, vers 2001. MAEC.

De pôle en pôle et d’horizon en horizon, le Twin Otter était, est et sera là : Une bien brève pontification sur un des meilleurs aéronefs canadiens jamais conçus

Le Royal Aircraft Factory B.E.2 en montre au Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, Ottawa, Ontario, février 2009. Wikipédia.

Le cas étrange et déconcertant des aéroplanes substitués; ou, Même en utilisant les Mathématiques modernes, 4112 n’égale jamais 5878 : La haute histoire du Royal Aircraft Factory B.E.2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, partie 2

Le Royal Aircraft Factory B.E.2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada alors qu’il appartient au Musée canadien de la guerre, Ottawa, Ontario. H.J. (« Titch ») Jenkins, « Correspondence – Ottawa’s – and Sowrey’s – B.E.2c. » Flight, 12 octobre 1961, 600.

Le cas étrange et déconcertant des aéroplanes substitués; ou, Même en utilisant les Mathématiques modernes, 4112 n’égale jamais 5878 : La haute histoire du Royal Aircraft Factory B.E.2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, partie 1

Isidore Joseph Amédée Marsan. Anon., « Isidore Joseph Amédée Marsan. » Le Bulletin des agriculteurs, 17 septembre 1921, couverture.

Un des pionniers de la science agricole au Québec et au Canada: Isidore Joseph Amédée Marsan

Une annonce publicitaire de St. Lawrence Starch Company Limited, Port Credit, Ontario. Anon., « Publicité – St. Lawrence Starch Company Limited. » Le Bulletin des agriculteurs, septembre 1941, 61.

Gratis, magnifiques cartes portant des dessins ou photographies d’aéronefs alliés! Collectionnez-les toutes!

Une automobile Aluminium français-Grégoire, Cité de l’automobile – Musée national – Collection Schlumpf, Mulhouse, France, mai 2010, Wikimédia.

Ent’ deux joints, il a ben fait quequ’chose : Jean Albert Grégoire et ses magnifiques automobiles, Partie 2

 Un exemplaire de l’automobile électrique française CGE-Tudor. C. Faroux, « Un progrès considérable de la voitures électrique. » La Vie automobile, 25 septembre 1941, 284.

Ent’ deux joints, il a ben fait quequ’chose : Jean Albert Grégoire et ses magnifiques automobiles, Partie 1

Le seul et unique exemplaire de l’avion de ligne à long rayon d’action italien Breda Zappata BZ 308. Jacques Gambu. « Breda Zappata BZ 308. » Aviation Magazine, 1er septembre 1951, 21.

Il Constellation italiano, une étoile méconnue du firmament aéronautique de l’Italie : L’avion de ligne à long rayon d’action Breda Zappata BZ 308

Paul Fjeld dans la demeure familiale, Rosemère, Québec. Claude-Lyse Gagnon, « Parti avec $200 en poche – Un jeune Québécois a pu voir décoller Apollo 15. » La Patrie, 15 août 1971, 12.

Espace, frontière de l’infini vers laquelle voyage notre planète, la Terre; voici l’histoire de vie de Paul Fjeld, passionné d’espace et artiste depuis plus d’un demi-siècle

Publicité pour la lager Frontenac Blue Label de National Breweries Limited de Montréal, Québec. Anon., « Publicité – National Breweries Limited. » Le Samedi, 23 août 1941, 12.

La grande victime de la guerre de la bière de Montréal de 1925 : Frontenac Breweries Limited de Montréal, Québec

Un véhicule tout-terrain Karou Karou. Anon., « Opération Camping à Saint-Hilaire. » Photo-Journal, 26 juillet au 1er août 1971, 47.

Tout-terrain, tout-temps, tout-plaisir : Karou Incorporée de Drummondville, Québec, et le véhicule tout-terrain Karou

Le premier exemplaire de production de l’avion d’entraînement avancé Avro Anson de fabrication canadienne équipé d’un fuselage en contreplaqué moulé, lieu inconnu, 1943. MAEC, 23290.

Tout le monde ne sait pas que la fabrication d’aéronefs peut être un sport de contact : Clarence Decatur Howe, Harvey Reginald MacMillan et la production d’avions d’entraînement avancé Avro Anson au Canada, Partie 2

Une paire d’avions d’entraînement avancé Avro Anson de fabrication canadienne utilisée par l’École de pilotage militaire no 10, Base de l’Aviation royale du Canada de Dauphin, près de Dauphin, Manitoba, 1943-44. MAEC, 27297.

Tout le monde ne sait pas que la fabrication d’aéronefs peut être un sport de contact : Clarence Decatur Howe, Harvey Reginald MacMillan et la production d’avions d’entraînement avancé Avro Anson au Canada, Partie 1

Le tout premier tramway électrique exploité par Telegraphen-Bau-Anstalt von Siemens & Halske, Berlin, Empire allemand. Anon., « The first electric railway in Berlin. » Canadian Illustrated News, 9 juillet 1881, 21.

Un tramway nommé Straßenbahn Groß-Lichterfelde, ou, Comment Telegraphen-Bau-Anstalt von Siemens & Halske met en service le premier tramway électrique au monde

L’auteur et pionnier canadien de l’aviation Frank Henry Ellis (au centre) avec les pionniers américains de l’aviation Frank Purdy Lahm (à gauche) et Will D. « Billy » Parker, président de Early Birds of Aviation Incorporated, Los Angeles, Californie. Robert Francis, « Early Birds ». Sunday Sun Magazine, 28 juillet 1951, 5.

Si nous avons vu plus loin, c’est en montant sur les épaules d’un géant : Frank Henry Ellis et Canada’s Flying Heritage

Publicité montrant un tracteur italien SAME Buffalo. Anon., « Publicité – Les Entreprises Biasotto & Hardy (Canada) Incorporée. » Le Bulletin des agriculteurs, juillet 1981, 26.

Ils étaient tous pareils, frères l’un de l’autre : Francesco Cassani, Eugenio Gabriele Cassani et la Società Accomandita Motori Endotermici (SAME)

Un Canadair North Star de British Overseas Airways Corporation, London Airport, Heathrow, Angleterre, septembre 1954. Wikimédia.

Le tour du monde en 80 heures : Quelques pages sur le Canadair North Star, partie 2

Le prototype du Canada North Star, 1946. Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, KM-08329

Le tour du monde en 80 heures : Quelques pages sur le Canadair North Star, partie 1

Une annonce publicitaire pour une faucheuse fabriquée par La Machine Agricole Nationale Limitée de Montmagny, Québec. Anon., « Publicité – La Machine Agricole Nationale Limitée. » Le Bulletin des agriculteurs, 11 juin 1921, 556.

Faites que personne n’oublie que, pendant un moment bref et éclatant, il y a eu La Machine Agricole Nationale Limitée de Montmagny, Québec

La civière Folland / Hawker Siddeley Hoverstretcher en action. Anon., « Airborne comfort. » The Calgary Herald, 9 juin 1961, 19.

Développer le germe d’une idée: Maurice Joseph Brennan et ses aéroglisseurs

Des mères et enfants prêtes à monter à bord d’un des avions de ligne Douglas DC-3 convertis en Nurseryliner par United Air Lines Incorporated, San Francisco, Californie, avril ou mai 1946. Anon., « Service aérien pour bébés. » Photo-Journal, 20 juin 1946, 12.

Asseyez-vous, détendez-vous et profitez du voyage – Des bébés dans l’avion : United Air Lines Incorporated et son service Nurseryliner

L’ingénieur et astronome amateur canadien James Hargreaves avec un instrument qu’il a fabriqué lui-même. Jean Taillefer, « Un voyage de 180 jours au Soudan, en Afrique; une expérience astronomique de 180 secondes. » Le Droit, 16 juin 1951, 13.

« Un savant d’Ottawa fait un sacrifice pour la science: » L’ingénieur et astronome amateur canadien James Hargreaves et ses voyages autour du globe

Le prototype de l’avion de brousse Fairchild F-11 Husky peu avant son premier vol, juin 1946, Musée de l’aviation et de l’espace du Canada KM-05311.

Chien-chien, tu es doué, très doué, mais tant que le rongeur sera dans le métier, tu ne seras jamais que le second : La brève mais longue histoire de l’avion de brousse Fairchild F-11 Husky

Un dessin écorché de l’avion de brousse canadien Fleet Modèle 50 Freighter. Anon., « Fleet’s Trainer and Transport. » Aviation, mai 1941, 61.

Il aurait pu (et dû?) être un des grands : L’avion de brousse canadien Fleet Modèle 50 Freighter

Wilfrid-Henri Perron. Claude Asselin, « Une encyclopédie québécoise pour les horticulteurs. » Photo-Journal, 3 au 9 mai 1971, 12.

Chez Perron, tout est bon : Un géant de l’horticulture québécoise et canadienne, Wilfrid-Henri Perron (1897-1977)

Le cyclecar / vélomobile / vélocar / automouche à pédales et / ou moteur auxiliaire Le Dauphin. Edmond Massip, « Un cyclecar à pédales et moteur auxiliaire. » La Vie automobile, 25 mai 1941, 153.

Le cyclecar / vélomobile / vélocar / automouche à pédales et / ou moteur auxiliaire Le Dauphin : Une solution (extrême?) à la pénurie de carburant à Paris au cours de l’occupation allemande pendant la Seconde Guerre mondiale

L’autogire Pitcairn PCA-2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada lors de sa grande tournée aux États-Unis, alors qu’il appartient à Sealed Power Corporation. Anon. « Pohled na Ciervovu autogiro za letu. » Letectvi, novembre 1932, 310.

« ’Moulin à vent volant’ ici mercredi » : Le grand périple de Donald Walker et du Pitcairn PCA-2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, partie 2

L’autogire Pitcairn PCA-2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada au moment où il appartenait à Standard Oil Company of New York. Anon., « Publicité – Standard Oil Company of New York. » Aviation, mai 1931, 22.

« ‘Moulin à vent volant’ ici mercredi » : Le grand périple de Donald Walker et du Pitcairn PCA-2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, partie 1

Une annonce publicitaire sobre et sans fioriture d’Elzéar Fortier Limitée de Québec, Québec. Anon., « Publicité – Elzéar Fortier Limitée. » L’Action catholique, 8 avril 1946, 9.

C’était un malin: Elzéar Fortier et la production de boissons gazeuses à Québec, Québec

Youri Alekseïevitch Gagarine et Charles Augustus Lindbergh. La légende de ces photographies mentionne la ressemblance frappante entre ces personnes importantes du monde de l’astronautique et de l’aéronautique. Anon., « Lancement du premier homme dans l’espace – Comment se sont déroulés les événements en Union soviétique. » La Tribune, 13 avril 1961, 24.

C’était aussi un petit pas pour un homme, un pas de géant pour l’humanité : Le vol dans l’espace de Youri Alekseïevitch Gagarine dans la presse francophone québécoise, 12-15 avril 1961, partie 2

Le major Youri Alekseïevitch Gagarine au cours de sa visite à Helsinki, Finlande, juillet 1961. Wikimédia.

C’était aussi un petit pas pour un homme, un pas de géant pour l’humanité : Le vol dans l’espace de Youri Alekseïevitch Gagarine dans la presse francophone québécoise, 12-15 avril 1961, partie 1

Claire Wallace, animatrice de radio de Canadian Broadcasting Corporation interviewant Diana Jocelyn Dudley, ingénieure en aménagement intérieur de Trans-Canada Air Lines, janvier 1946. Anon. « Air Transportation – Radio Broadcast over Niagara. » Canadian Transportation, avril 1946, 200.

Pas un endroit pour une dame?! Baliverne! : Diana Jocelyn Dudley et Janet Elizabeth Lowe, les premiers ingénieurs en aménagement intérieur des Lignes aériennes Trans-Canada

Peter Müller aux commandes [sic] du Pedroplan, Berlin, Allemagne, mars 1931. Anon., « Cologne contre Marseille – Le mystère du ‘Pédroplan.’ [sic] » Les Ailes, 2 avril 1931, 14.

Je veux faire voler ma bicyclette, je veux faire voler mon cerf-volant : Peter Müller et le Pedroplan

L’aéroglisseur Phillips Saucercraft, Mount Hope, Ontario. Anon., « Flying saucer crack-up. » The Calgary Herald, 2 mars 1961, 1.

Un ONVI (Objet non volant identifié) des plus intrigants : L’aéroglisseur Phillips Saucercraft

La Dre Ann Elizabeth Noelle Grace s’occupant d’un de ses patients, Montreal General Hospital, Montréal, Québec. Claude Adams, « An eye-opener for our reporter – Team of women doctors shatters Ben Casey myth. » The Gazette, 3 mars 1971, 31.

Briser le mythe de Ben Casey et James Kildare : La première femme chirurgien pédiatrique du Canada, la Dre Ann Elizabeth Noelle Grace

Une publicité de Langlais & Frère Incorporée de Québec, Québec, vantant les mérites du tracteur Zetor 25. Anon. « Publicité – Langlais & Frère Incorporée. » L’Action catholique, 3 mars 1951, 14.

De leurs épées, ils forgeront des socs de charrue; ou, Un bref regard sur la société d’état tchèque Zbrojovka Brno Národní Podnik

 Quelques personnalités présentes lors l’inauguration de l’École d’avionnerie de Cartierville, Cartierville, Québec, 3 mars 1941. Anon., « À l’inauguration de l’École d’avionnerie de Cartierville. » La Presse, 4 mars 1941, 19.

Une réalisation magnifique, pleine de promesses d’avenir, balayée par l’esprit étroit de Maurice Le Noblet Duplessis : L’École d’avionnerie de Cartierville

La présentation du premier Boeing Modèle 747 d’Air Canada à l’Aéroport international de Montréal-Dorval, Dorval, Québec. Anon., « Des milliers de personnes ont vu le géant des airs. » La Presse, 22 mars 1971, A 1.

66 327 personnes ne peuvent pas avoir tort, mais elles peuvent avoir froid : La présentation du premier Boeing Modèle 747 d’Air Canada à l’Aéroport international de Montréal-Dorval

 Le Fokker D.VII du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, mars 2019. MAEC.

Un des grands aéronefs de combat du 20ème siècle et un des nombreux joyaux d’un des plus remarquables musées de l’aviation et de l’espace de la planète Terre : Le Fokker D.VII et l’avion du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada

Une publicité de Équipements Ascot Incorporée de Saint-Élie-d’Orford, Québec, vantant les mérites du tracteur UTB U530. Anon. « Publicité – Équipements Ascot Incorporée. » Le Bulletin des agriculteurs, février 1981, 28.

De leurs ailes, ils forgeront des socs de charrue; ou, Un bref regard sur la société d’état roumaine Uzina Tractorul Braşov

Un dessin éditorial mettant en lumière le lancement de la sonde planétaire soviétique Venera 1 en février 1961. Edmund Alexander Sebestyen, « To Venus With Love. » Saskatoon Star-Phoenix, 14 février 1961, 4.

Essayer de lever les voiles sous lesquels Vénus se cachait de notre regard : La saga de la sonde planétaire soviétique Venera 1

Un Jacobs Jaycopter au repos, Edmonton, Alberta. Lyn Harrington, « Cutting helicopter training cost. » Canadian Aviation, février 1961, 20.

Un simulateur d’hélicoptère avec une différence : il vole – Le Jacobs Jaycopter canadien

Dessin éditorial montrant le roi Neptune offrant sa couronne à l’équipage du English Electric Canberra qui traverse l’Océan Atlantique en février 1951. Charles R. Knight, « Ready to Abdicate. » The Windsor Daily Star, 22 février 1951, 4.

Quelques milliers de mots sur le English Electric Canberra / Martin B-57 Canberra et le petit rôle joué par Canadair Limited dans son histoire

Le premier exemplaire de série de l’hélicoptère Piasecki HUP Retriever. Anon., « News Picture Highlights. » Aviation Week, 15 janvier 1951, 9.

« Shoe, » Retriever, « Hupmobile » ou Army Mule – un HUP sous tout autre nom est encore un HUP : Les hélicoptères Piasecki HUP Retriever et H-25 Army Mule, et le HUP du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada

Une vue du barrage de Warsak, nord du Pakistan occidental. Anon., « Inauguration du barrage de Warsak. » Le Droit, 27 janvier 1961, 12.

Franchement, ma chère / mon cher, nous avons donné un barrage : Le Canada et le barrage de Warsak au Pakistan

Un des premiers de Havilland Canada Chipmunk importés au Royaume-Uni. Anon., « De Havilland [Canada] DHC-1 ‘Chipmunk.’ » Aviation Magazine, 1er janvier 1951, couverture.

Un Tamias striatus gambadant dans les nuages : Le de Havilland Canada Chipmunk

Le 5ème de Havilland Canada AC-1 Caribou de présérie. Larry Booda, “Aeronautical Engineering – Aviation Week Pilot Report – STOL Caribou Calls for Special Handling.” Aviation Week and Space Technology, 23 janvier 1961, 56.

Un camion volant qui a donné de la mobilité aux soldats de l’ère atomique : Le de Havilland Canada Caribou

La voiture lunaire Oberth telle qu’imaginée en 1960. I.M. Levitt, « Le problème du transport sur la Lune. » L’Action catholique, 10 juillet 1960, 5.

Je ne suis tout simplement pas sûr que ce véhicule a été bien pensé : La voiture lunaire du pionnier de l’astronautique Hermann Julius Oberth

La Ferrari 512 Pininfarina Modulo, en montre lors de l’édition 1971 du Salon international de l’Auto de Montréal, Montréal, Québec. Jean D. Legault, « Une première mondiale et 12 continentales. » La Patrie, 17 janvier 1971, 31.

Une des automobiles de rêve les plus célèbres de tous les temps : La Ferrari 512 Pininfarina Modulo

Publicité pour le moins sobre pour la bière d’épinette La Canadienne de F.A. Fluet Enregistré. Anon., « Publicité – F.A. Fluet Enregistré. » L’Action catholique, 4 janvier 1951, 5.

Une petite bière qui n’était pas de la petite bière : F.A. Fluet Enregistré de Québec, Québec, et la bière d’épinette La Canadienne

Une scène croquée lors du lancement du Jeu de l’électricité par Éditions Héritage Incorporée, Montréal, Québec, 6 novembre 1968. Anon., « –. » Le Devoir, 6 novembre 1968, 11.

A B C Abécédaire. Viens avec nous autour de la Terre : L’émission de télévision éducative pour enfants Tour de Terre de la Société Radio-Canada

Une publicité vantant les mérites du Vin St.Georges. Anon. « Publicité – T.G. Bright & Company Limited. » Le Bulletin des agriculteurs, décembre 1940, 2.

Pour régaler la famille pendant les Fêtes, n’oubliez pas le Vin St.Georges : Un bref regard sur un pionnier de l’industrie vinicole canadienne, T.G. Bright & Company Limited

Le Bell Modèle 47 utilisé par Airspray Limited, Ontario. Anon., “Helicopter – Down on the Farm.” Canadian Aviation, septembre 1947, 25.

Dans la ferme de Mathurin, hiya hiya ho. Il y a des centaines de Bell, hiya hiya ho : Quelques mots de plus sur les premiers jours de l’aviation agricole au Canada

Une publicité annonçant la mise en service de l’avion de ligne court et moyen-courriers Vickers Vanguard des Lignes aériennes Trans-Canada. Anon., « Publicité – Trans-Canada Air Lines. » Maclean’s, 3 décembre 1960, 8-9.

Du « gros Viscount » au Merchantman : Le voyage abrégé du Vickers Vanguard

Le Convair 580 utilisé par le Centre canadien de télédétection de Ressources naturelles Canada, Aéroport international MacDonald-Cartier d’Ottawa, Ottawa, Ontario, septembre 2001. Wikipédia.

C’était un des grands : L’aéronef de télédétection Convair 580 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada

Un aéronef agricole Air Tractor AT-502 utilisé par Southeastern Aerial Crop Service Incorporated, Belle Glade State Municipal Airport, Floride, juin 2013. Wikipédia.

Des ailes au-dessus du monde : Le turbopropulseur et turbomoteur PT6, Partie 2

Le premier turbopropulseur conçu au Canada, le PT6 de Canadian Pratt & Whitney Aircraft Company Limited. Anon., « Publicité – Canadian Pratt & Whitney Aircraft Company Limited. » The Gazette, 14 novembre 1960, 24.

Des ailes au-dessus du monde : Le turbopropulseur et turbomoteur PT6, Partie 1

Les 14 volumes de l’édition 1960 de L’Encyclopédie de la jeunesse de Grolier Limitée. Anon., « Publicité - Grolier Limitée. » La Tribune - Perspectives, 12 novembre 1960, 31.

Un livre de connaissance : L’Encyclopédie de la Jeunesse

Roxana Hartley et M. Jolie / lord Robert Brummel, les principaux protagonistes de la pièce américaine de 1930 Dancing Partner, Belasco Theatre, New York, New York. Anon., « The Stage Goes ‘Air-minded’. » Scientific American, novembre 1930, 355.

Une pièce dans un avion, et un avion dans une pièce : Dancing Partner, 1930

Le Supermarine Spitfire exposé pour le 20ème anniversaire de la bataille d’Angleterre, Colline du Parlement, Ottawa, Ontario, 18 septembre 1940. Anon., « News roundup – Battle of Britain Ceremonies. » Aircraft, novembre 1960, 58.

Un cadeau pour le ciel : Le Supermarine Spitfire Mk IIb du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada

Une reproduction (grandeur nature?) un tant soit peu inexacte de Spoutnik I en montre à Prague, Tchécoslovaquie, dans le cadre d’une exposition commémorant le 40ème anniversaire de la Grande révolution socialiste d’octobre. Anon., « Modèle du satellite russe. » Le Nouvelliste, 10 octobre 1957, 1.

Le Québec / Canada et le satellite le plus simple, le vaisseau spatial PS-1, autrement dit Spoutnik I : Un survol de ce qui se publie dans la presse québécoise francophone entre les 5 et 12 octobre 1957, Partie 4

Pierre Dorion, « L’ère des émotions. » La Presse, 9 octobre 1957, 4.

Le Québec / Canada et le satellite le plus simple, le vaisseau spatial PS-1, autrement dit Spoutnik I : Un survol de ce qui se publie dans la presse québécoise francophone entre les 5 et 12 octobre 1957, Partie 3

Le satellite le plus simple ou vaisseau spatial PS-1, autrement dit Spoutnik I, un peu avant son lancement, septembre 1957. NASA.

Le Québec / Canada et le satellite le plus simple, le vaisseau spatial PS-1, autrement dit Spoutnik I : Un survol de ce qui se publie dans la presse québécoise francophone entre les 5 et 12 octobre 1957, partie 2

Un dessin un tant soit peu inexact du vaisseau spatial PS-1, autrement dit Spoutnik I, en orbite autour de la Terre. Anon., « Fusées et satellites seraient invincibles. » Le Soleil, 8 octobre 1957, 1.

Le Québec / Canada et le satellite le plus simple, le vaisseau spatial PS-1, autrement dit Spoutnik I : Un survol de ce qui se publie dans la presse québécoise francophone entre les 5 et 12 octobre 1957, Partie 1

Eldon Douglas McEarchern travaillant sur son Piper PA-18 Super Cub agricole sous le regard d’un de ses fils, Carman, Manitoba. Anon., « Les fermiers volants de l’ouest canadien ». Le Samedi, 22 octobre 1960, 25.

Oh, quel matin magnifique! Oh, quelle journée magnifique! : Un aperçu de la première décennie du mouvement des fermiers volants au Canada

 Une des batteuses remorquées conçues et fabriquées par Dion & Frère Incorporée de Sainte-Thérèse-de-Blainville, Québec. Anon., « Publicité – Dion & Frère Incorporée. » Le Bulletin des agriculteurs, septembre 1940, 47.

Un siècle de technologie et d’innovation agricoles dans la région québécoise des Laurentides : De Dion & Frère à Dion-AG

Jani Moreau, agente de bord, telle qu’imaginée par l’artiste Nicole Lapointe. Anon., « Un nouvel illustré : Jani hôtesse de l’air. » Claire, 15 septembre 1960, couverture.

Elle n’est pas une serveuse dans le ciel : Jani hôtesse de l’air et quelques mots sur la présence des agentes de bord dans la culture populaire

Une furieuse Clara déchiquetant le biplan Curtiss piloté par George F. Russell, Dongan Hills, New York, 10 septembre 1910. Anon., "La vache et l’aéroplane". Le Petit Journal - Supplément illustrée, 25 septembre 1910, 312.

Une rencontre rapprochée de type étrange et inhabituel, ou, Comment Clara la vache a rencontré un biplan Curtiss à Staten Island, New York, New York

Le premier avion de ligne Douglas DC-3 livré aux Lignes aériennes Trans-Canada, Aéroport de Montréal (Dorval), Dorval, Québec, vers 1945-48. MAEC, numéro de négatif 25515

Un rutilant exemplaire d’un des aéronefs les plus célèbres et importants du 20ème siècle : Le Douglas DC-3 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada

Le premier avion léger /privé Fleet Modèle 80 Canuck, Fort Erie, Ontario, mars 1946. Cet aéronef appartient à Sturgeon Air Services Limited de Fredericton, Nouveau-Brunswick. MAEC, négatif numéro KM-07962

Enseigner à voler car il a des ailes : L’avion léger / privé canadien Fleet Modèle 80 Canuck

Un Zenair CH-701 fabriqué sous licence par Czech Aircraft Works Společnost s ručenim omezeným, Oshkosh, Wisconsin, juillet 2011. Wikimédia.

Née dans un garage, mais maintenant le monde entier est un marché pour Zenair Limited : Un coup d’œil sur les concepts de l’ère de la Guerre froide de Christophe Jean Heintz, partie 2

Christophe Jean Heintz aux commandes du Heintz Zenith. Anon., « –. » Aviation magazine international, 15 au 31 août 1970, couverture.

Née dans un garage, mais maintenant le monde entier est un marché pour Zenair Limited : Un coup d’œil sur les concepts de l’ère de la Guerre froide de Christophe Jean Heintz, partie 1

Le satellite-ballon Echo 1A au cours d’un essai de gonflement, 1960. National Aeronautics and Space Administration.

Les merveilleux ballons en plomb de Claude Williams Coffee, Junior, Walter Edward Bressette et William J. O’Sullivan : Les satellites-ballons Echo au Québec et ailleurs, Partie 2

Le satellite-ballon Echo 1A filant dans le ciel, au-dessus de l’École normale de Chicoutimi, Chicoutimi, Québec. Dominique Lapointe, « Une visite qui nous est devenue familière – L’Écho 1 continue à se promener tous les soirs sur notre région. » Le Progrès du Saguenay, 27 août 1960, 7.

Les merveilleux ballons en plomb de Claude Williams Coffee, Junior, Walter Edward Bressette et William J. O’Sullivan : Les satellites-ballons Echo au Québec et ailleurs, Partie 1

Un des Found FBA-2 de Georgian Bay Airways Limited. H.L. « Des US et du Canada 2 formules d’avions légers – 1 Le Found ‘Flying Truck.’ » Aviation magazine international, 1er juillet 1964, 39.

Un petit camion volant ontarien déménagé au pays des kiwis : L’avion de brousse Found FBA-2

Le seul et unique Cushioncraft CC1, initialement connu sous le nom de Britten-Norman BN-1 Cushioncraft / CC1 Cushioncraft. Anon., "News Digest - New Cushion-rider." Aviation canadienne, août 1960, 46.

À l’époque, ça semblait être une bonne idée : Les bananes du Cameroun britannique et l’aéroglisseur Cushioncraft CC1

Le seul et unique Canadian Car & Foundry CBY-3 Loadmaster. MAEC, numéro de négatif 17826.

Les huit vies d’un wagon de marchandises volant unique, le Canadian Car & Foundry CBY-3 Loadmaster

La fusée atomique / nucléaire pulsée imaginée par l’illustrateur américain bien connu Francis Xavier Theban Tinsley. Anon., « Publicité – American Bosch Arma Corporation. » Aviation Week, 4 juillet 1960, 13.

Un méchant souffle du passé : Francis Xavier Theban Tinsley et la fusée atomique / nucléaire pulsée

Walter Thomas Leavens examinant les coupes qui entraînent l’agitateur monté à l’intérieur de la trémie de l’avion léger / privé Piper J-5 Cub Cruiser utilisé par Leavens Brothers Air Services Limited. Anon., « Crop Dusting with a Cub. » Canadian Aviation, juillet 1945, 50.

Désherbez-les et récoltez : Leavens Brothers Air Services Limited et les premiers jours de l’aviation agricole en Ontario / au Canada après la Seconde Guerre mondiale

L’Aviateur du Pacifique.

Un roman d’anticipation et de guerre de la Belle Époque : L’Aviateur du Pacifique du capitaine Danrit (Émile Driant)

Le planeur à réaction Fouga CM.8 Cyclone / Sylphe. Anon., “–.” Aviation Magazine, 1er juin 1950, couverture.

J’aime les nuages… les nuages qui passent… là-bas… là-bas… les merveilleux nuages! Les Établissements Fouga et Compagnie et ses planeurs à réaction

La voiturette Sharp / Bond Minicar Mk A présentée à la population de Montréal, Québec, par le concessionnaire Budd & Dyer Limited. Anon., « Jusqu’à 110 milles au gallon. » La Presse, 10 juin 1950, 26.

Une voiturette conçue à une époque d’austérité : La Bond Minicar

Un hydroplaneur Koser / Koser-Hrovat KB-3 Jadran, mer Adriatique, été 1949. En arrière-plan, le navire à passagères et passagers côtier Dalmacija de la firme maritime d’état Jadranska Linijska Providba. Anon., « Gliding and sailplanes in Yugoslavia. » Sailplane and Glider, juin 1950, 125.

Au-dessus des étangs, au-dessus des vallées : L’hydroplaneur Koser / Koser-Hrovat KB-3 Jadran

Le tsar Nikolaï II, à gauche, les mains derrière le dos, regardant les aéroplanes qui ont participé à la Sankt-Peterburgskaya aviatsionnaya nedelya, Saint-Pétersbourg, Empire russe. Anon., « Nouvelles sportives – Le tsar chez les aviateurs. » La Revue aérienne, 10 juin 1910, 349.

Miracle des miracles, regardez ce que l’avion a ramené : La Sankt-Peterburgskaya aviatsionnaya nedelya

Le Danois Jan Bo Kristensen effectuant un atterrissage de précision avec un parachute-voile lors d’une compétition nationale organisée par la Dansk Faldskærms Union, Randers, Danemark, août 2005. Wikipédia.

L’imagination est le plus haut cerf-volant que l’on puisse faire voler : La vie et l’époque d’un maître du vent, Domina Cléophas Jalbert, Partie 2

Domina Cléophas Jalbert, à gauche, et Hamnett Pitzer Munger avec un des ballons cerfs-volants fabriqués par Jalbert Aerological Laboratory Incorporated pour étudier la pollution atmosphérique. Anon., « Ce que devient un jouet d’enfant. » La Presse, 23 mai 1950, 3.

L’imagination est le plus haut cerf-volant que l’on puisse faire voler : La vie et l’époque d’un maître du vent, Domina Cléophas Jalbert, Partie 1

Deux des jeunes employés de Ontario Model Aircraft Company au travail, Toronto, Ontario. Arthur Lowe, « Kindergarten of the Air. » Maclean’s, 1er mai 1940, 24.

Une maternelle pour l’ère de l’aviation : Ontario Model Aircraft Company / Model Craft Hobbies Limited et quelques autres mots sur l’aéromodélisme au Canada avant et pendant la Seconde Guerre mondiale

Le seul et unique Monte-Copter Modèle 15 Triphibian, Seattle, Washington. Anon., « World Air News. » Air Pictorial, mai 1960, 167.

Le jour des triphibes : Monte-Copter Incorporated et l’hélicoptère Modèle 15 Triphibian

Le petit chéri de Vladislav Verner, le Verner W-01 Brouček. Anon., « Private Flying. » Flight International, 14 mai 1970, 806.

Malé letadlo a skvěly příběh / Un petit avion et une grande histoire : L’avion de construction amateur Verner W-01 Brouček

La caisse contenant le Blériot Type XI de Jean Versailles sur le camion hippomobile spécialement équipé de Shedden Forwarding Company Limited, Montréal, Québec. Anon., « Le premier aéroplane à Montréal. » La Presse, 28 mai 1910, 12.

Montréal a son premier aéroplane : Le Blériot Type XI de Jean Versailles et William Carruthers

Personnel au sol chargeant des approvisionnements dans la soute à bombes d'un Avro Lancaster du 514e escadron de la Royal Air Force au cours de l'opération Manna, le largage de nourriture à la population néerlandaise affamée.

Il leur donna le pain du ciel à manger : Quelques mots sur l'opération Manna et l'opération Chowdown, avril-mai 1945

Un garçon et des éléments d’un jouet exposé à l’édition de 1950 de la foire des jouets de New York, New York : Stefan Olsen et la chambre à nuages du Gilbert Atomic Energy Lab. Anon., “Initiation atomique.” Photo-Journal, 13 avril 1950, 20.

Un des jouets les plus dangereux de tous les temps : Le Gilbert Atomic Energy Lab

Un des Aeronautica Macchi AL-60 utilisés au Canada par Northwest Industries Limited pour intéresser des clients potentiels, Edmonton, Alberta. Anon., « Aeronews. » Air Progress, juillet 1969, 15.

Un L-402 sous tout autre nom est encore un L-402 – ou un AL-60 ou un Conestoga ou un Ranger ou un Santa Maria ou un Trojan, à moins qu’il ne soit un Kudu, Partie 2

Le premier prototype du Lockheed L-402. Anon., « Le Lockheed-Azcarate C.L.-402. » Les Ailes, 16 avril 1960, 1.

Un L-402 sous tout autre nom est encore un L-402 – ou un AL-60 ou un Conestoga ou un Ranger ou un Santa Maria ou un Trojan, à moins qu’il ne soit un Kudu, Partie 1

Une des publicités publiées dans des quotidiens québécois pour promouvoir la nouvelle automobile Glas Goggomobil T700. Anon., « Publicité - Eugène Roy Limitée. » La Presse, 1er avril 1960, 39.

À la recherche de… la Glas Isar / Isard T700, une automobile précédemment connue sous le nom de Goggomobil T700

Le traîneau aérien conçu et fabriqué par Kenneth J. Richards. Anon., « Traîneau moderne. » L’Auto, 9 février 1940, 1.

La semaine mystérieuse magique attend pour vous emporter, ou, Est-ce que quelqu’un dans la blogosphère sait quoi que ce soit sur le traîneau aérien Richards ou le traîneau aérien Lawrence?

De gauche à droite, Boum-Boum, Ba-Ba et Bi-Bi, en d’autres mots les Lunours. Anon., “Toute la vérité sur la soucoupe de St-Bruno –Un coup monté de $100,000.” Photo-Journal, 23 février au 1er mars 1970, 1.

Nous sommes Bi-Bi Ba-Ba Boum-Boum: La saga des Lunours

Un exemplaire du turboréacteur suédois STAL Skuten en montre, sous bonne garde, à Stockholm, Suède. Anon., « Production – First Swedish Turbojet Revealed. » Aviation Week, 27 mars 1950, 36.

Un conte de deux moteurs, ou quatre, ou même six : Les STAL Skuten, Dovern et Glan

Frances Marian « Poppy » Northcutt dans une des expositions sur l’espace du Palais de la Découverte, un centre des sciences à Paris, France, pas au Texas. Anon., « Astronautique – ‘Poppy’ à Paris. » Aviation Magazine International, 15 au 31 mars 1970, 42.

Ses parents trouvent qu’elle fait un métier passionnant, mais ils aimeraient qu’elle se marie : Frances Marian « Poppy » Northcutt à la NASA et au-delà

Turi Widerøe parlant avec une agente de bord dans un avion de ligne à réaction Sud Aviation SE 210 Caravelle de Scandinavian Airlines System Denmark-Norway-Sweden. J.-C Fortin. « SAS ne compte qu’une seule femme pilote de ligne : Turi Wideroe. » Le Petit Journal, 1er mars 1970, 28.

Turi Widerøe est passée en coup de vent à Montréal l’autre jour

Quelques aspects de la quatrième exposition d’automobiles et de bateaux de Montréal. Anon., « Ouverture de l’exposition d’automobiles et de yachts. » La Presse, 28 mars 1910, 1.

Une semaine au Coliseum : L’exposition d’automobiles et de bateaux de Montréal de 1910 et les premiers aéroplanes en exposition au Québec / Canada

La docteure Margaret Beznak avec un de ses sujets de recherche. Elizabeth Motherwell, « Elle succède à son mari à la tête de la faculté de physiologie de l’U. d’Ottawa. » La Tribune, 3 février 1960, 17.

Un exemple stellaire de la contribution faite par les gens qui choisissent le Canada : Quelques mots sur la vie et l’époque de la docteure Margaret Beznak

Les sœurs Maria Cleofas et Maria Innocenza des Sœurs franciscaines de Saint-Louis de Gonzague à bord d’un avion léger / privé AVIA / Lombardi FL.3 au cours de leur formation de pilote, Turin, Italie. Anon., « Le ciel leur appartient. » Le Soleil / Perspectives, 20 février 1960, 12.

Sœur Bertrille n’est pas la première sœur volante, ou, Parlons des sœurs Maria Cleofas et Maria Innocenza – et de sœur Mary Aquinas aussi

Le Bellanca CH-300 Pacemaker du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada à Ottawa, Ontario, vers 2007. Wikipédia.

Si loin de chez lui : Le Bellanca CH-300 Pacemaker du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, Partie 2

Un Bellanca CH-300 Pacemaker utilisé par Alaska Coastal Airlines, Incorporated, Juneau, Alaska. Cet hydravion à flotteurs est maintenant exposé au Musée de l’aviation et de l’espace du Canada à Ottawa, Ontario. Keith Petrich, “Bush Flying Is Dead.” Air Trails Pictorial, février 1945, 26.

Si loin de chez lui : Le Bellanca CH-300 Pacemaker du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, Partie 1

Une voiturette New-Map / Rolux Baby typique. Anon., « La voiturette ‘Baby VB-60’ à Québec au milieu de février. » L’Action catholique, 14 janvier 1950, 12.

La voiture qui est plus économique que le tramway : La voiturette New-Map / Rolux Baby

Charles Aznavour avec le véhicule tout-terrain Beehoo / Magna Amphicat qu’il examine, Montréal, Québec. Sa fille Seda est près de lui. Suzanne Piuze, « Aznavour m’a dit… » La Patrie, 25 janvier 1970, 20.

J’aimerais en posséder une; son mon bateau, ce serait épatant : Le voyage hors route du Beehoo / Magna Amphicat

L’habitat lunaire imaginé par Rocco G. « Roy » Scarfo. Anon., « C’est écrit dans le ciel. » La Patrie du dimanche, 24 janvier 1960, 6.

Il était un des grands : Rocco G. « Roy » Scarfo, peintre de l’espace, et le monde au-delà de demain

Démonstration de la légèreté du turboréacteur Williams Jet No.1. Anon., « 23-lb Turbojet Develops 70 lb. Of Thrust. » Aviation Week and Space Technology, 18 janvier 1960, 126.

Ce moteur est peut-être un peu lourd mais son sourire demeure toujours : Le Williams Jet No. 1 et ses successeurs

L’avion de ligne General Development / Christmas, près de New York, New York. Anon., “Potężny łoskot silników powietrznych gigantów powitał rok nowy.” Lot Polski, janvier 1930, 1.

Le puissant rugissement des moteurs des géants des airs saluent la nouvelle année : La troublante saga de William Wallace Whitney Christmas

Quelques actrices et acteurs ayant contribué au succès de la série télévisée de science-fiction québécoise Opération-Mystère, 1958. De gauche à droite, Luce Guilbeault, Marcel Cabay, Georges Groulx, Louise Marleau et Hervé Brousseau. Société Radio-Canada.

Opération-Mystère, une série télévisée qui répond aux goûts de la génération des spoutniks et des soucoupes volantes

Le pont en aluminium d’Arvida, Arvida / Saguenay, Québec. Anon., « Premier pont tout en aluminium. » Le Petit Journal, 4 décembre 1949, 51.

Sur le pont d’Arvida, un site historique national de génie civil, on y danse, on y danse

Le Piaggio P-7 au repos dans son élément. Joaquin de la Llave y Sierra, « Antes y después de la Copa Schneider. » Aérea, décembre 1929, 8.

Si vous ne réussissez pas du premier coup, essayez, essayez, essayez, essayez, essayez encore : L’étrange histoire du Piaggio P-7

Une affiche du film de science-fiction japonais Uchû Daisensô

Uchû Daisensô, ou, Une bataille dans l’espace extra-atmosphérique en provenance du pays du Soleil levant

La toute première automobile / voiturette Zar Zar-Car, Windsor, Ontario. Arthur Prévost, « La première auto entièrement canadienne bientôt en vente! » Le Petit Journal, 25 octobre 1959, 67.

À la recherche d’une voiture canadienne : La Zar de toutes les Windsor

L’astrophysicienne soviétique Alla Genrikhovna Masevitch et sa fille, Natasha Josifovna Friedlander. Sam Schecter, “Deux Canadiens en Russie – Rencontres avec l’élite russe.” Le Soleil / Perspectives, 26 septembre 1959, 11.

Son nom est Masevitch, Alla Genrikhovna Masevitch

L’ornithoptère University of Toronto Institute for Aerospace Studies Great Flapper au cours d’essais, Malton, Ontario, 2005. http://www/ornithopter.net

Voler, comme dans un rêve : La saga du Great Flapper

Beth Ross posant pour un photographe alors qu’elle nettoie le fragment principal de la chondrite de Dresden devant le bureau de The Dresden News. Anon., “Adding lustre to meteor that startled a province.” Toronto Daily Star, 13 juillet 1939, 1.

L’art de la négociation en Ontario rural; ou, La triste histoire de la chondrite de Dresden

L’ingénieur canadien Owen Eugene Maynard avec une maquette du véhicule lanceur Convair Atlas surmonté d’une capsule spatiale McDonnell Mercury, 1962. Roger Nadeau, « Une foule de techniciens canadiens ont pris part au vol d’Apollo 11. » Le Petit Journal, 20 juillet 1969, 4.

Le petit gars de Sarnia qui a mis le premier humain sur la Lune

Le premier Taylor J.T.1 Monoplane, White Waltham, Angleterre. Anon., « Sport and Business. » Flight, 19 juin 1959, 839.

Tinker, Taylor, monoplan

Trois des interprètes du téléroman Amour, délices et cie, avec son concepteur, Joseph Louis Réal Giguère, Montréal, Québec. François Piazza, « Sur les ailes de Télé-Métropole – Amour, délices et cie s’envole. » Photo-journal, du 18 au 25 juin 1969, 44.

Amour, délices et cie

Un prototype du traîneau aérien Kamov Sever-2 dans son élément. Anon., « ’Mail Train’ to North. » The Gazette, 26 mars 1959, 2.

Oh quel plaisir de faire une promenade dans un Kamov Sever-2

La voiture concept SIMCA Fulgur. Aux commandes se trouve la parachutiste et mannequin française Colette Duval. Anon., « Actualités. » La Patrie du dimanche, 1er mars 1959, 2.

Elle est fulgur, fulgur, fulgur, fulgurable

La montgolfière Spirit of Canada. Peter Calamai, “Lots of hot air and a high old time.” Canadian, 26 août 1967, 14.

Ce merveilleux fou volant et sa drôle de machine

La section de route surveillée par le radar de vitesse de la Connecticut State Police, près de Glastonbury, Connecticut. Anon., “L’actualité en images – Pièges à comboys.” La Patrie, 16 février 1949, 14.

Les pièges à cowboys ne datent pas d’hier

Cecil George Armitage aux commandes d’un Aérodoo, rivière Richelieu, Québec, novembre 1968. Anon., « Et maintenant… l’Aérodoo. » Vallée de la Petite Nation, 30 janvier 1969, 15.

Le candidat mancunien; ou, comment flotter près du sol avec la plus grande facilité

Quelques membres de la Ligue des avions miniatures de Montréal en train d’examiner le modèle réduit radiocommandé alors en construction. Christian Verdon, « Avion-miniature contrôlé par la radio. » La Patrie, 7 janvier 1939, 44.

Une ligue à eux: L’histoire longtemps oubliée de la Ligue des avions miniatures de Montréal

Une affiche du film From the Earth to the Moon, la version originale anglaise de De la Terre à la Lune

Jules Gabriel Verne n’aurait pas été amusé : De la Terre à la Lune

Une image du générique de CF-RCK.

Une série télévisée captivante : CF-RCK, Partie 2

Les principaux comédiens de la série télévisée CF-RCK de la Société Radio-Canada, Yves Létourneau (à droite) et René Caron. Anon., « Une scène de CF-RCK avec René Caron et Yves Létourneau. » La semaine à Radio-Canada, du 2 au 8 janvier 1960, couverture.

Une série télévisée captivante : CF-RCK, Partie 1

Le chargement de Voo-Doo, le Waco Hadrian utilisé lors du premier vol transatlantique par un planeur de transport, Aéroport de Montréal (Dorval), Dorval, Québec, juin 1943. Anon., “Flying into focus”. Flying Aces, octobre 1943, 7.

C’est magnifique. C’est splendide. C’est inutile.

L’animateur de l’émission de télévision hebdomadaire Plein Ciel à droite, et son conseiller technique, le capitaine Marcel Everard. Anon., “Introduction à l’aviation.” La semaine à Radio-Canada, 29 novembre au 5 décembre 1958, 12.

Une émission de télévision que j’aurais aimé voir dans ma jeunesse

Envol du ballon à hydrogène qui emporte vers le ciel l’antenne de l’émetteur radio d’urgence américain BC-778, mieux connu sous le nom de « Gibson Girl. » Anon., « Gibson Girl to the rescue. » Flying Aces, septembre 1943, 30.

L’imitation est la plus belle forme de flatterie

The very first Pentecost Hoppi-Copter. Anon., “Have you seen?” Flying, September 1945, 67.

Une idée venue d’une époque où le ciel est la limite, Partie 2

A l’arrière, le Rohrbach Ro VIII Roland d’Iberia, Compañía Aérea de Transportes Sociedad anónima utilisé pour le vol Madrid-Barcelone du 14 décembre 1927. Anon., “Inauguración del nuevo servicio aéreo Madrid-Barcelona.” Aérea, octobre-décembre 1927, 33.

Jamais le dimanche : La grande histoire d’un Roland ibérien, Partie 1

Articles connexes

Deux des grands avions de chasse de la Première Guerre mondiale : un SPAD S.VII du Royal Flying Corps ou de l’Aéronautique militaire et un Albatros D.III du Luftstreitkräfte. Anon., « A Dog Fight. » Canadian Aviation, janvier 1932, 12.

L’histoire des photographies les plus extraordinaires jamais prises de combats aériens pendant la Première guerre mondiale, Ou, Le long et le court de la collection Cockburn-Lange

Le Canadair CL-44 loué par British Overseas Airways Corporation (BOAC), septembre 1963. Cet aéronef de Seaboard World Airlines Incorporated transporte 19 voitures de course du Royaume-Uni aux États-Unis lors de ce vol, son premier aux couleurs de BOAC. MAEC.

Un bon élan en mérite un autre : La saga de l’avion-cargo canadien Canadair CL-44, Partie 2

Une publicité de l’avionneur Canadair Limited de Cartierville, Québec, vantant les mérites de son hénaurme avion-cargo, le Canadair CL-44. Anon., « Canadair Limited. » La Presse, 23 janvier 1962, 29.

Un bon élan en mérite un autre : La saga de l’avion-cargo canadien Canadair CL-44, Partie 1

Un hydravion à flotteurs utilitaire de Havilland Canada DHC-3 Otter exploité par Northway Aviation Limited de St. Andrews, Manitoba, lac Fishing, Manitoba, septembre 2005. Mark Swaffer via Wikimédia.

Le camion volant d’une tonne du Canada : le de Havilland Canada DHC-3 Otter

Une ascension de l’aéronaute et parachutiste foraine Florida Lanthier. Maurice Desjardins, « Dans une modeste maison de Montréal-Nord – Florida Lanthier, reine des parachutistes, vit de couture... et de souvenirs. » Photo-Journal, 8 novembre 1951, 3.

Ombres et lumière dans le ciel du Québec : Un premier regard sur la vie et l’époque de l’aéronaute et parachutiste foraine féminine québécoise Florida Lanthier

Le Royal Aircraft Factory B.E.2 en montre au Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, Ottawa, Ontario, février 2009. Wikipédia.

Le cas étrange et déconcertant des aéroplanes substitués; ou, Même en utilisant les Mathématiques modernes, 4112 n’égale jamais 5878 : La haute histoire du Royal Aircraft Factory B.E.2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, partie 2

Le Royal Aircraft Factory B.E.2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada alors qu’il appartient au Musée canadien de la guerre, Ottawa, Ontario. H.J. (« Titch ») Jenkins, « Correspondence – Ottawa’s – and Sowrey’s – B.E.2c. » Flight, 12 octobre 1961, 600.

Le cas étrange et déconcertant des aéroplanes substitués; ou, Même en utilisant les Mathématiques modernes, 4112 n’égale jamais 5878 : La haute histoire du Royal Aircraft Factory B.E.2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, partie 1

Une annonce publicitaire de St. Lawrence Starch Company Limited, Port Credit, Ontario. Anon., « Publicité – St. Lawrence Starch Company Limited. » Le Bulletin des agriculteurs, septembre 1941, 61.

Gratis, magnifiques cartes portant des dessins ou photographies d’aéronefs alliés! Collectionnez-les toutes!

Le seul et unique exemplaire de l’avion de ligne à long rayon d’action italien Breda Zappata BZ 308. Jacques Gambu. « Breda Zappata BZ 308. » Aviation Magazine, 1er septembre 1951, 21.

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Paul Fjeld dans la demeure familiale, Rosemère, Québec. Claude-Lyse Gagnon, « Parti avec $200 en poche – Un jeune Québécois a pu voir décoller Apollo 15. » La Patrie, 15 août 1971, 12.

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