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C’est magnifique. C’est splendide. C’est inutile.

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1 oct. 2018
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Aviation
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Par : Rénald Fortier
Ingenium - Musées des sciences et de l’innovation du Canada
Le chargement de Voo-Doo, le Waco Hadrian utilisé lors du premier vol transatlantique par un planeur de transport, Aéroport de Montréal (Dorval), Dorval, Québec, juin 1943. Anon., “Flying into focus”. Flying Aces, octobre 1943, 7.
Le chargement de Voo-Doo, le Waco Hadrian utilisé lors du premier vol transatlantique par un planeur de transport, Aéroport de Montréal (Dorval), Dorval, Québec, juin 1943. Anon., “Flying into focus”. Flying Aces, octobre 1943, 7.

Salutations, ami(e) lectrice ou lecteur. Comment allez-vous aujourd’hui? Je ne peux qu’espérer que le temps d’automne ne vous affecte pas trop. Seriez-vous heureux d’entendre (lire?) que l’événement au cœur de l’article de cette semaine a lieu il y a bien longtemps dans une galaxie très, très lointaine? Très bien, très bien, notre événement se déroule en fait sur Terre mais notre planète est si différente à l’époque qu’on peut dire que c’est un autre monde. L’année est 1943 et une grande partie de la Terre est en proie à un conflit cataclysmique, la Seconde Guerre mondiale.

Ce conflit marque un tournant dans l’histoire de nombreuses technologies qui nous entourent, certaines bonnes et d’autres mauvaises, des antibiotiques et des hélicoptères aux ordinateurs électroniques et aux bombes nucléaires. La technologie au cœur de cet article voit le jour dans les années qui précèdent la Seconde Guerre mondiale. Elle est abandonnée pendant les années qui suivent cette période abominable du 20ème siècle. Cette technologie, dis-je, est le planeur de transport, une arme utilisée au combat pour la première fois en mai 1940 par l’armée de l’air allemande, ou Luftwaffe, pour débarquer des soldats avec plus de précision que ce à quoi on peut s’attendre avec des parachutistes. Votre humble serviteur ne sait pas si, comme l’indiquent quelques sources, des planeurs de transport sont utilisés en septembre 1939, lors de l’invasion de la Pologne.

Si le premier planeur de transport embarque 10 personnes, pilote compris, les avionneurs de la plupart des grandes puissances conçoivent bientôt des machines plus imposantes, capables de transporter de davantage de soldats et / ou un véhicule. Avant même 1944, par exemple, un type de planeur de transport utilisé par la Royal Air Force (RAF) britannique fait pencher la balance à 16 325 kilogrammes (36 000 livres) lorsqu’il est chargé. Le susmentionné planeur de transport allemand mentionné pèse à peine 2 100 kilogrammes (environ 4 630 livres) en guise de comparaison. Croiriez-vous que la Luftwaffe met à l’essai un planeur de transport de 39 400 kilogrammes (environ 86 900 livres) en 1941? Ce géant aérien entre finalement en production en tant qu’avion de transport à 6 moteurs, mais je m’égare. La première de nombreuses digressions de ce genre, j’en ai peur.

Dans l’ensemble, les planeurs de transport et les avions qui les remorquent ne couvrent pas de très longues distances. Cela n’empêche pas quelques / plusieurs personnes de se demander si des vols longs / très longs courriers peuvent être effectués par de tels duos dynamiques. Des planeurs peuvent être utilisés pour acheminer des cargaisons d’urgence vers le Royaume-Uni, par exemple, ou pour rapatrier en Amérique du Nord les équipages qui pilotent jour après jour des milliers d’aéronefs indispensables à travers l’Atlantique. De telles pensées se transforment rapidement en action. Fin 1942 ou début 1943, le chef du Transport Command de la RAF appelle un pilote expérimenté à son bureau de Dorval, à l’Aéroport de Montréal (Dorval), le nom que porte alors l’Aéroport international Pierre-Elliott-Trudeau de Montréal. Le maréchal en chef de l’air sir Frederick William Bowhill informe le lieutenant colonel d’aviation Richard Godfrey « Dickie » Seys, son gendre soit dit en passant, qu’il est choisi pour une mission délicate. Lui et un autre pilote piloteraient un planeur de transport à travers l’Atlantique. Le pilote britannique est horrifié à cette idée, mais les ordres sont les ordres.

Seys se rend au Royaume-Uni pour apprendre à piloter des planeurs de transport. Il vole ensuite vers les États-Unis pour apprendre à piloter le type de planeur de transport qu’il piloterait au dessus de l’Atlantique, le Waco Hadrian, un design américain également connu sous le nom de CG-4, sa désignation au sein des United States Army Air Forces (USAAF). La machine choisie pour le vol transatlantique compte parmi les premiers exemplaires réalisés par un fabricant de pièces de piano, Pratt, Read & Company, une entreprise sans aucune expérience préalable dans la fabrication d’aéronefs.

Seys baptise son planeur Voo-Doo parce qu’il semble penser que ce nom est en quelque sorte lié à un des grands tours de magie de l’histoire et un qui peut n’avoir jamais été réalisé dans son pays natal, le tour de corde indien. Il se trompe, bien sûr, car le Vodou / Vodù / Voodoo / Vudù n’a rien à voir avec l’Inde. Ces religions afro-américaines dans les Amériques sont dérivées du Vodun, une religion encore pratiquée en 2018 par les Fon, en Afrique. Votre humble serviteur doit dire que la probabilité que le tour de corde indien soit un canular m’a pris par surprise. Et oui, savant(e) ami(e) lectrice ou lecteur, la collection exceptionnelle du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, à Ottawa, Ontario, comprend un chasseur à réaction supersonique McDonnell CF-101 Voodoo. Et non, votre humble serviteur n’a pas l’intention de pontifier sur cette remarquable machine.

Quoi qu’il en soit, au printemps 1943, Seys utilise un autre Hadrian fait par Pratt, Read & Company pour effectuer une série de vols d’essais de plus en plus longs et avec de plus en plus de fret à bord. Il semble partager les commandes du planeur avec un pilote de l’Aviation royale du Canada (ARC), le lieutenant colonel d’aviation Fowler Morgan Gobeil. L’avion remorqueur, un Douglas Dakota de la RAF, est apparemment piloté par les capitaines d’aviation William Sydney « Bill » Longhurst et Charles William Halliwell Thomson, 2 pilotes de la RAF originaires du Canada et de la Nouvelle-Zélande. Ces 4 hommes sont des pilotes transatlantiques pleinement qualifiés du Transport Command. Deux autres membres du Transport Command rejoignent l’équipage du Dakota à un moment donné. Il s’agit de H. Gordon Wightman, un opérateur radio civil du Canada, et du sous-lieutenant d’aviation R.H. Wormington, un mécanicien de bord de la RAF du Royaume-Uni.

Il faut noter que Longhurst se joint au personnel de Canadair Limited, un avionneur basé à Cartierville, Québec, en 1948. Durant les années 1950 et 1960, il teste la plupart des types d’aéronefs produits par cette filiale du géant américain de la défense, General Dynamics Corporation , à savoir :

- l’avion de chasse North American F-86 Sabre,
- l’avion d’entraînement Lockheed T-33 Silver Star,
- l’avion de patrouille maritime Canadair CP-107 Argus,
- les avions cargo Canadair CL-44 et CC-106 Yukon,
- l’aéronef expérimental à décollage et atterrissage verticaux Canadair CL-84 Dynavert, et
- le bombardier à eau Canadair CL-215.

Et oui, on peut voir un Sabre, un Silver Star, un Argus et un Dynavert dans la prodigieuse, oui prodigieuse, collection du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada. Et oui encore, Canadair et General Dynamics sont mentionnées dans un numéro de juillet 2018 de notre blogue / bulletin / machin. Votre humble serviteur espère qu’un CL-215, le premier bombardier d’eau conçu à cet effet au monde si vous devez savoir, sera un jour ajouté à cette collection, mais revenons aux susmentionnés vols d’essais de Voo-Doo.

En avril 1943, Voo-Doo et le Dakota quittent l’Aéroport de Montréal (Dorval). Ils se rendent à North Bay, Ontario, avant de revenir à Dorval. Un second vol sans escale amène les 2 aéronefs au Maine. Peu de temps après, le Hadrian et le Dakota effectuent un aller-retour vers le gros aéroport de l’ARC à Goose Bay, Labrador, une partie de Terre-Neuve, un territoire britannique presque colonial à l’époque. Ce record du monde de distance sans escale est toutefois vite brisé. Conscients de la nécessité de s’entraîner au-dessus des eaux libres, le Hadrian et le Dakota volent de Dorval à Nassau, Bermudes, au début de mai, avec quelques arrêts en cours de route. Sur le chemin du retour, ils volent jusqu’en Virginie, établissant un nouveau record du monde de distance sans escale de 1 910 kilomètres (1 187 milles), un abrutissant voyage qui a duré 8 heures et 50 minutes. Votre humble serviteur ne serait pas surpris d’entendre (lire?) que ce record reste invaincu en 2018. Maintenant, veuillez vous rappeler de ce record de distance, ami(e) lectrice ou lecteur.

Il est à noter que le voyage entre la Virginie et Dorval est plutôt stressant. Pendant le vol entre la Virginie et Washington, District de Columbia, Voo-Doo et le Dakota rencontrent de fortes turbulences dans un ciel sans nuage. En plus de son équipage de 2 hommes, le planeur transporte un passager et une quantité minimale de fret, des rochers de corail fixés par des cordes. Le passager heurte la structure en tube d’acier du fuselage et est sonné. Les rochers, en revanche, se détachent. Certains d’entre eux frappent le dessous et le dessus du fuselage. Choqués par ce qui se passe, Seys, Gobeil et le passager cherchent tout signe de dommages. Ils ne trouvent rien. Les roches de corail sont rattachées et le vol continue. Lorsque les 2 aéronefs atteignent une altitude plus élevée, toujours dans un ciel sans nuage, ils rencontrent de nouveau de la turbulence. Le passager est ballotté et les rochers de corail se détachent à nouveau. Comme auparavant, Seys, Gobeil et le passager cherchent tout signe de dommage. Ils ne trouvent rien. Les roches de corail sont rattachées et le vol continue. Si Voo-Doo avait été complètement chargé, l’équipage est d’opinion que ses ailes se seraient détachées.

En dépit de ce quasi accident, Gobeil, Longhurst, Seys, Thomson, Wightman et Wormington croient qu’ils sont prêts à traverser l’Atlantique. Pour aider à minimiser les risques, les pouvoirs en place avaient décidé bien auparavant que le vol commencerait en Amérique du Nord pour profiter des vents dominants. De fait, Voo-Doo et le Dakota vont suivre la route de convoyage reliant les États-Unis et le Canada au Royaume-Uni qu’environ 10 000 aéronefs suivent pendant la Seconde Guerre mondiale.

Avant de nous lancer dans ce voyage épique, votre humble serviteur aimerait pontifier pendant 1 ou 3 minutes. Dakota est le nom donné par la RAF aux avions de transport militaires connus sous le nom de C-47 Skytrain ou C-53 Skytrooper au sein des USAAF. Plus précisément, l’avion cargo Skytrain et l’avion de transport de troupe Skytrooper sont des versions militaires du Douglas DC-3, un avion de ligne de renommée mondiale représenté, vous l’avez deviné, dans la collection du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada. L’avion remorqueur du Voo-Doo est l’un des nombreux Skytrain livrés à la RAF. Avons-nous fini de pontifier, vous demandez-vous, ami(e) lectrice ou lecteur? Nous connaissons toutes / tous les deux la réponse à cette question, n’est-ce pas?

Un planeur de transport Waco CG-4 typique. National Museum of the United States Air Force, numéro de négatif 060505-F-1234P-004

Même si l’Allemagne est le premier pays à utiliser des planeurs de transport au combat, aucun endroit sur Terre n’embrasse ces chevaux de Troie volants avec plus d’enthousiasme que les États-Unis. C’est d’autant plus étrange étant donné qu’un seul planeur de transport américain est utilisé en situation de combat, avec les susmentionnées USAAF. Cette machine, le tout aussi susmentionné CG-4, est produite en plus grand nombre (environ 13 905 exemplaires, dont 955 par la division Gould Aeronautical de Pratt, Read & Company) et dans plus d’endroits (16 chaînes d’assemblage) que tout autre planeur dans l’histoire. Le prototype vole vers mai 1942, peu après la signature des premières commandes de production.

Saviez-vous que le concepteur du CG-4, Franklin A. « Frank » Dobson, nait en Ontario, fort possiblement à Bowmanville? Ce diplomé de Queen's University, à Kingston, Ontario, passe environ 2 ans en Allemagne à étudier, vers 1936-38. Dobson travaille pendant un certain temps pour la section aéronautique d'un important fabricant de matériel roulant ferroviaire du nom de Canadian Car and Foundry Company Limited mentionné dans quelques numéros de notre blogue / bulletin / machin depuis novemvre 2018. Votre humble serviteur ne sait pas quand il déménage aux États-Unis.

Waco Aircraft Company, une petite entreprise aux ressources limitées et sans expérience préalable dans la production d’aéronefs pour les forces armées américaines, se retrouve chargée d’aider les 15 autres entreprises impliquées dans le programme de production du CG-4 à monter leur chaîne d’assemblage. Elle n’a jamais rien fait de tel auparavant. On peut en dire autant du fait que Waco Aircraft doit fournir des séries de plans détaillés à ses partenaires et aux nombreux sous-traitants impliqués dans la fabrication des pièces. Cette situation est encore compliquée par le fait que plusieurs partenaires de Waco Aircraft n’ont aucune expérience préalable dans la fabrication d’aéronefs. Pis encore, quelques-uns d’entre eux ont à peine quelques mois et n’ont pas encore produit ne serait-ce qu’un cure-dents. Les nombreux changements apportés aux dessins du CG-4 exigés par les USAAF ne font qu’empirer les choses. Pour être franc, l’équipe dirigeante de Waco Aircraft est dépassée par la situation. Au fait, le nom Waco devrait être prononcé Waaco, pas Wacko ou Wéco.

À dire vrai, le désir de produire le CG-4 le plus rapidement possible est tel qu’aucun outil de production standardisé n’est utilisé. En conséquence, de nombreuses pièces et composants ne sont pas interchangeables. Cette situation, plutôt inhabituelle dans le pays de la production de masse standardisée, complique grandement le travail des équipes d’entretien et de réparation travaillant aux Etats-Unis et à l’étranger. D’accord, d’accord, entretenir et réparer des CG-4 peut être un foutu cauchemar.

La cerise sur le gâteau, si votre humble serviteur peut utiliser cette expression, tient au fait que les USAAF ne semblent pas avoir de politique ou directive claire concernant l’utilisation de planeurs de transport. Elles semblent même incapable de décider combien elles en veut ou peut en avoir besoin. En conséquence, le programme de planeur des USAAF est une terre de confusion du début à la fin, si je peux citer le titre d’une chanson de Genesis de 1986 rendue populaire par le chanteur et batteur britannique Philip David Charles « Phil » Collins.

Bon nombre de CG-4 sont livrés à la RAF, qui les utilise sous le nom de Hadrian. Vous pouvez être amusés d’entendre (lire?), ou pas, que tous les planeurs de transport de ce service ont des noms qui commencent par la lettre H. Et non, votre humble serviteur n’a pas été en mesure de trouver le nombre de Hadrian livrés à la RAF pendant la Seconde Guerre mondiale, ce qui m’ennuie beaucoup. Soupir. Un esprit bienveillant a, toutefois, la gentillesse de souligner que 1 145 CG-4 sont livrés à la RAF. 

Dix exemples d’un dérivé bimoteur à faible puissance du CG-4, le PG-2, sont produits mais ne sont pas utilisés au combat. Vers la fin de la Seconde Guerre mondiale, Waco Aircraft espère que des petites entreprises de transport achèteraient de nombreux CG-4 une fois la paix revenue et utiliseraient les kits de conversion spéciaux qu’elle a conçus pour les transformer en avions de transport bon marché. La compagnie met cette idée de côté au début de 1945, quelques mois avant la fin du conflit.

Croiriez-vous qu’un Skytrain ou Skytrooper volant à très basse altitude peut arracher un CG-4 directement du sol à l’aide d’un système de grappin assez simple? Cette technique spectaculaire / terrifiante est testée à plusieurs reprises en 1944-45, aux États-Unis, en France et ailleurs. Elle peut être utilisée par nécessité pour la première fois en mai 1945, pour ramasser les survivants d’un accident d’avion en Nouvelle-Guinée. Au moins un autre arrachage de planeur a lieu dans les Territoires du Nord-Ouest du Canada, en avril 1946, au cours d’une opération militaire connue sous le nom d’exercice Musk Ox.

Après la Seconde Guerre mondiale, un nombre inconnu de CG-4, des centaines voire des milliers, sont vendus comme surplus de guerre. Un grand nombre sont achetés et jetés par des gens qui veulent utiliser le bois de leurs grandes caisses d’expédition. D’autres CG-4 sont transformés en cabanes de chasse, en chalets au bord d’un lac et en roulottes remorquées en leur coupant les ailes et la queue. Un vétéran achète 6 CG-4 afin de transformer leurs caisses d’expédition en cabines pour un camp touristique. Il veut utiliser les ailes des planeurs comme auvents pour ces habitations. Tout le bois restant doit être utilisé pour faire un stand de hot-dogs et un bain public.

Vous serez peut-être heureux d’entendre (lire?), ou pas, votre choix, que l’ARC reçoit 4 Hadrian en septembre 1944. Elle acquiert également 28 machines des USAAF, ainsi qu’un seul PG-2, en 1946-47. Même si certains planeurs demeurent opérationnels jusqu’en juin 1955, du moins en théorie, ils ont une carrière active plutôt brève au Canada. Le terme bref est en effet des plus appropriés étant donné qu’en 1950, bien peu de gens, même aux États-Unis, sont encore en train de promouvoir / défendre le planeur de transport. Un autre type de machine volante perfectionné pendant la Seconde Guerre mondiale, l’hélicoptère, a beaucoup plus à offrir aux opérateurs militaires et civils. La United States Air Force (USAF), le nouveau nom des USAAF adopté en septembre 1947, se retire du domaine des planeurs en 1950, par exemple.

Il est à noter que plusieurs CG-4 des USAAF prennent part au susmentionné exercice Musk Ox. Tenue entre février et mai 1946, cette opération militaire très utile, une des plus grandes, sinon la plus grande jamais menée dans les régions nordiques du Canada, est décrite publiquement comme un test d’équipement et de capacités militaires des forces armées canadiennes et américaines. Un objectif moins évident mais tout aussi important est de réaffirmer la souveraineté canadienne dans ces mêmes régions, compte tenu de la présence américaine là-bas pendant et après la Seconde Guerre mondiale, mais revenons à notre histoire. Toutes mes excuses pour les nombreuses digressions.

Le vol transatlantique commence le 23 juin 1943. Voo-Doo est remorqué par un Dakota de la RAF équipé de réservoirs de carburant supplémentaires. L’avion remorqueur lourdement chargé, un réservoir d’essence volant à toute fin utile, parvient difficilement à s’envoler. Le fait que Voo-Doo transporte de 1 360 à 1 525 kilogrammes (3 000 à 3 360 livres) de marchandises diverses n’aide pas. Ces articles (instammant?) nécessaires se composent de plasma sanguin ou de vaccins destinés à l’Union des Républiques socialistes soviétiques, ainsi que des pièces de radio, de moteurs et d’aéronefs, et d’un régime de bananes. Le plasma sanguin / les vaccins, les pièces de radio et le régime de bananes sont très fragiles et ... Qu’y a-t-il, ami(e) lectrice ou lecteur? Pourquoi ce fou rire? Vous saurez que les bananes ne peuvent être achetées nulle part au Royaume-Uni pendant la Seconde Guerre mondiale, du moins légalement. Seys met un régime de bananes à bord de Voo-Doo pour que sa famille en Angleterre puisse profiter de ces fruits délicieux et nutritifs.

Un hydravion de patrouille maritime Consolidated Catalina en route vers le Royaume-Uni rejoint le Hadrian et le Dakota peu de temps après le décollage. Son équipage a la tâche peu enviable de sauver les équipages des autres aéronefs si ceux-ci doivent se poser au milieu de l’océan pour une raison ou une autre. Étant donné la présence de blocs de glace étendus et / ou de mers fortes dans l’Atlantique Nord, on peut se demander si une tentative de sauvetage aurait été couronnée de succès. De toute façon, l’absence de sortie de secours au dessus du fuselage du Hadrian aurait pu s’avérer fatale pour Seys et Gobeil. Incidemment, de nombreuses personnes à l’Aéroport de Montréal (Dorval) craignent que le voyage transatlantique va se terminer mal. Une cote de 5 contre 1, voire 7 contre 1 peut-être, est mentionnée contre une traversée réussie. Il n’y a pas de preneurs.

Les 4 premières heures du vol se déroulent sans incident. Même ainsi, Seys et Gobeil doivent rester vigilants, aux commandes, au cas où quelque chose n’irait pas. Cependant, le temps presque parfait prend lentement un tour pour le pire. Des nuages ​​d’orage massifs apparaissent. Incapables de grimper au-dessus d’eux, Voo-Doo, le Dakota et le Catalina sont forcés de voler au-dessous d’eux, et rencontrent de très fortes turbulences. Un moment, le planeur est à 6 mètres (20 pieds) au-dessus et derrière le Dakota. Un moment plus tard, il peut être 30 mètres (100 pieds) au dessous et à côté de l’avion remorqueur. La vitesse du Hadrian peut passer de près de 260 kilomètres/heure à moins de 155 kilomètres/heure (160 à 95 milles/heure) en quelques secondes. La tension sur la corde de remorquage en Nylon est énorme, car elle peut être lâche comme une nouille molle un moment et tendue comme une corde de violon un instant plus tard.

Seys et Gobeil sont impuissants à contrôler le Hadrian alors que le vent le secoue comme une feuille. La cargaison stockée derrière eux commence à se déplacer, une situation potentiellement dangereuse. Plus inquiétant peut-être, de la glace commence à se former sur les ailes de Voo-Doo. Tant de neige tombe que Seys et Gobeil voient rarement le Dakota. Ils discutent à plusieurs reprises avec Longhurst et Thomson à la radio pour voir s’ils doivent ou non rebrousser chemin. Les 4 hommes décident de continuer. En tout et pour tout, les équipages doit affronter 3 tempêtes de neige. Après 3 heures ou plus en enfer, l’aéroport de Goose Bay apparaît. Seys et Gobeil se détachent du Dakota et atterrissent sans accroc. Longhurst et Thomson les suivent. Tous les membres d’équipage sont épuisés. La présence de Voo-Doo fait sensation, car il s’agit du premier planeur à atterrir à Goose Bay.

La deuxième étape du voyage a lieu le dimanche 27 juin, avec le retour d’un temps propice. Voo-Doo, le Dakota et le Catalina sont bientôt au-dessus de l’Atlantique. Naturellement, tous les membres d’équipage sont plutôt nerveux. Pendant la plus grande partie du vol, les 3 aéronefs voyagent au dessus d’une couverture nuageuse solide. Les montagnes du Groenland apparaissent environ 5 heures après le décollage. Peu de temps après, 3 escadrons de bombardiers moyens bimoteurs des USAAF, des Martin B-26 Marauder si vous devez le savoir, ami(e) lectrice ou lecteur passionné(e) d’aéronautique, dépassent le Hadrian et le Dakota. Leur vitesse de croisière est tellement plus élevée que celle des 2 aéronefs que Seys et ses compagnons se demandent s’ils ne déplacent pas en fait à reculons.

Ce sentiment s’apparente à un phénomène connu sous le nom de vection (Salut, EP / EG ou EG / EP! Désolé, salutations privées.) Si votre humble serviteur peut être autorisé à citer le site de l’Agence spatiale canadienne (ASC), le mot vection peut être défini comme « la sensation erronée de bouger provoquée par le fait de voir autre chose en mouvement alors qu’on est immobile. » Un tel mouvement illusoire peut être dangereux pour les astronautes / cosmonautes / taïkonautes s’il les conduit à mal interpréter la vitesse et la direction d’autres objets.

Compte tenu de ceci, je suis heureux de vous informer que l’ASC parraine le développement d’une expérience scientifique connue sous le nom de, vous l’aurez deviné, Vection qui utilise un système de réalité virtuelle spécialement conçu pour examiner comment la microgravité affecte la perception que des membres d’équipage de la International Space Station (ISS) ont de leurs mouvements. Cela étant dit (tapé?), les résultats de cette expérience pourraient également être utiles lors de futures missions vers la Lune ou Mars. L’équipe de recherche à l’origine de cette expérience vient de la York University de Toronto, Ontario. Sept astronautes (et cosmonautes?) doivent être testés avant, pendant et après leur mission à la ISS. Vection doit se dérouler entre 2018 et 2022. L’astronaute canadien David Saint-Jacques compte parmi les individus impliqués dans cette expérience, mais revenons à notre histoire.

La dernière étape du vol transatlantique du 27 juin est un atterrissage à Bluie West 1 / Bluie West One / BW-1, une base aérienne américaine située dans un étroit fjord au Groenland entouré de hautes montagnes couvertes de neige - une perspective quelque peu intimidante lorsque vous pilotez un planeur lourdement chargé. À leur grand soulagement, Seys et Gobeil n’éprouvent aucune difficulté réelle, achevant ainsi le premier atterrissage d’un planeur de transport au Groenland, une colonie danoise alors occupée par des troupes alliées. Le jour suivant, quelqu’un note qu’un des 3 brins à chaque extrémité de la corde de remorquage est presque coupé. Bien que le ré-épissage de la dite corde prenne peu de temps, des changements météorologiques font en sorte que les équipages du Hadrian et du Dakota sont restés au sol pendant les 2 jours suivants. Ils passent le temps à se reposer, pêcher, manger, etc.

Croiriez-vous qu’Eystribyggð, le premier établissement européen permanent établi au Groenland, en 985, se trouve tout près de là où Gobeil, Longhurst, Seys, Thomson, Wightman et Wormington se reposent, pêchent, mangent, etc. Le groupe des colons / envahisseurs vikings derrière cette réussite est dirigé par Eiríkr Thorvaldsson, également connu sous le nom de Eiríkr Rauð, ou Eric le Rouge. Son fils, Leif Eiríkrsson, dirige le premier groupe d’Européens connu pour avoir mis les pieds sur le continent des Amériques, vers l’an 1000, et je m’égare. Encore. Toutes mes excuses.

Voo-Doo, le Dakota et le Catalina quittent le Groenland le 30 juin après un contrôle de première classe effectué par des équipes au sol des USAAF. Incapable de survoler les montagnes entourant Bluie West 1 avec un planeur lourdement chargé, le Dakota lourdement chargé doit descendre un fjord rempli d’icebergs pour atteindre la haute mer, une procédure que personne n’a encore essayée auparavant. En fait, il quitte le sol environ 60 centimètres (2 pieds) avant l’extrémité de la piste, qui se trouve à l’endroit où la terre rencontre l’eau. Ne pouvant grimper au-dessus des plus hauts sommets de la calotte glaciaire du Groenland, Voo-Doo et les Dakota doivent suivre la côte pour se rendre à leur prochaine destination, l’Islande, un pays indépendant alors associé au Danemark lui aussi occupé par des troupes alliées. Le Catalina leur tient compagnie comme d’habitude.

Voo-Doo et le Dakota se heurtent à d’épais nuages ​​bas, avec des bourrasques de pluie intermittentes et de fortes turbulences. Pis encore est le brouillard, qui s’étend jusqu’au niveau de la mer. Seys et Gobeil perdent rapidement de vue le Dakota. De violentes rafales de vent secouent le planeur comme une feuille. De la glace commence à se former sur les ailes de Voo-Doo et du Dakota. L’humidité dans le fuselage du planeur se condense et tombe en neige. Alors que tout ceci se déroule, les 2 aéronefs sortent progressivement de la zone de danger. Il commence à neiger. Après avoir connu des chocs très violents, Voo-Doo et le Dakota percent les nuages. Ils se retrouvent dans une zone claire entre 2 couches de nuages ​​épais. Leur épreuve a duré une bonne heure. Les nuages ​​au-dessous de Voo-Doo et du Dakota disparaissent graduellement, suivis par ceux au-dessus d’eux.

Peu de temps après, les 3 équipages voient les montagnes de l’Islande à l’horizon. Ils sont fort soulagés par la perspective d’atterrir plus tôt que prévu. Au fil du temps, cependant, le littoral de la grande île n’apparaît pas. Les hommes ont réalisé que ce qu’ils ont vu sont des nuages ​​massifs à l’horizon. Le même mirage est apparu 2 fois de plus avant que les vraies montagnes de l’Islande deviennent visibles. Trois avions de chasse des USAAF rencontrent Voo-Doo, le Dakota et le Catalina et les escortent jusqu’à la base de la RAF à Reykjavik. Leur présence est jugée nécessaire étant donné la possibilité qu’un aéronef allemand survolant l’Atlantique pour recueillir des données météorologiques attaque l’avion de transport et le planeur non armés.

Après leur atterrissage, les équipages de Voo-Doo et du Dakota sont informés que la corde de remorquage a subi des dommages. Incapable de laisser tomber cet item crucial dans une zone herbeuse près de l’aéroport, comme il le fait pendant tout le voyage, car il y a trop de maisons à proximité, l’équipage de l’avion de transport doit le larguer au-dessus de l’aéroport. Les 2 extrémités métalliques de la corde de remorquage sont gravement endommagées lorsqu’elles heurtent la piste en dur. Une équipe au sol à Reykjavík travaille sur la dite corde pendant toute la soirée et la nuit. Elle vérifie également Voo-Doo, le Dakota et le Catalina. Pendant que cela se passe, les équipages mangent, font un tout petit peu de tourisme et se reposent.

Les 3 aéronefs quittent l’Islande le 1er juillet, par hasard le jour du Dominion, la fête nationale du Canada, connue en 2018 sous le nom de Fête du Canada. Ne voulant pas voler dans des nuages ​​bas au-dessus des collines au bout de la piste, Voo-Doo et le Dakota doivent effectuer un virage serré vers la droite peu de temps après avoir quitté le sol. Lorsque les 3 aéronefs commencent à monter à leur altitude de croisière, ils sont confrontés à de fortes turbulences. En atteignant la dite altitude de croisière, l’air devient calme. L’escorte de chasseurs des USAAF demandée par Seys ne se présente pas, pas plus que l’escorte de chasseurs de la RAF qui doit accompagner Voo-Doo, le Dakota et la Catalina alors qu’ils se rapprochent du Royaume-Uni. Heureusement pour lui et ses coéquipiers, aucun aéronef allemand ne les croise pendant le voyage. Malgré tout, tout le monde garde les yeux bien ouverts.

Les 2 heures qui suivent s’avèrent sans incident, même si elles ont été un peu stressantes, avec un soleil brillant au dessus et des nuages ​​solides en dessous. Ceux-ci disparaissent graduellement tandis que des nuages ​​commencent à se former au-dessus de Voo-Doo et du Dakota. Les équipages rencontrent rapidement des bourrasques de pluie très forte. Les aéronefs sont fortement secoués par la turbulence. Cette période de mauvais temps se poursuit pendant un certain temps. Voo-Doo et le Dakota atteignent finalement une zone de beau temps. Une heure plus tard, les équipages aperçoivent une île minuscule. Le Royaume-Uni est maintenant proche.

Lorsque les 3 aéronefs atteignent la terre, dans une brume très épaisse, ils se heurtent à un des nombreux barrages imposants de ballons captifs qui protègent de nombreuses zones stratégiques britanniques. Personne à Reykjavik n’a mentionné ce sérieux danger - une faute de jugement grave si votre humble serviteur peut se le permettre. Les pilotes de Voo-Doo et du Dakota ont à peine le temps de faire un virage serré pour éviter de heurter un des ballons. L’avion remorqueur vole directement sur le planeur en allant dans la direction opposée. La Catalina quitte Voo-Doo et le Dakota à un moment donné après cette rencontre troublante.

Avant longtemps, le planeur et son avion remorqueur sont au-dessus de l’aéroport à Prestwick, Écosse. Ils font le tour de la région pendant un certain temps, espérant que l’aéronef des actualités filmées qui doit immortaliser la fin du voyage apparaîtra. Il ne se pointe pas. Le ciel devient de plus en plus nuageux, menaçant de bloquer l’accès à l’aéroport. Bien conscient que le comité d’accueil est arrivé, Seys et Gobeil se détachent du Dakota, plongent à travers les nuages ​​et atterrissent à Prestwick sans accroc. Les 2 hommes se serrent la main. Longhurst, Thomson et leurs coéquipiers atterrissent peu de temps après. Le premier et unique vol transocéanique effectué par un planeur remorqué par un aéronef est terminé. Voo-Doo et le Dakota ont parcouru une distance d’environ 5 650 kilomètres (3 500 milles) en 28 heures et 3 minutes de vol, réparties sur 8 jours. Et oui, la vitesse moyenne des 2 aéronefs est un époustouflant 201 kilomètres/heure (125 milles/heure).

Une équipe de travail sorte le plasma sanguin / vaccin, ainsi que les pièces de radio, de moteurs et d’aéronefs de Voo-Doo et les envoie vers leurs destinations. Fort malheureusement, le régime de bananes de Seys a subi des engelures pendant le voyage et doit être jeté. Avant de se rendre dans un bâtiment voisin pour un débriefing, Seys et Gobeil ramassent leurs mascottes, une calotte rouge fabriquée à partir d’un vieux chapeau porté par sa femme et un pendentif orné de Nouvelle-Zélande connu sous le nom de hei-tiki.

Une conférence tenue à Londres vers juillet 1943 conclut que la création d’un service de planeur transatlantique régulier n’est pas possible compte tenu des limites des planeurs et des avions remorqueurs disponibles à l’époque. À vrai dire, un Dakota aurait pu livrer la cargaison portée par Voo-Doo avec beaucoup moins de tracas. C’est à peu près la conclusion d’un bref article publié dans le numéro du 9 juillet 1943 de l’hebdomadaire britannique The Aeroplane. Assez curieusement, la page qui suit cet article contient une photo de l’hénaurme avion de transport allemand à 6 moteurs mentionné plus haut.

Étant donnée la conclusion réussie, oserons nous dire chanceuse, du vol transatlantique pour lequel votre humble serviteur a passé beaucoup de temps à parle (taper?), quelqu’un en autorité décide que Voo-Doo devrait être remis à un musée national britannique à Londres, vraisemblablement le Science Museum, et exposé afin que les générations futures puissent le voir. Le planeur et un autre avion remorqueur (Dakota?) quittent donc Prestwick entre le début et le milieu de juillet 1943. Malheureusement, Voo-Doo s’écrase en atterrissant sur un aéroport en Angleterre. L’équipage de convoyage n’est pas blessé mais le planeur doit être envoyé à la casse. Si je peux me le permettre, sic transit gloria mundi, ou ainsi passe la gloire du monde.

Vous pourriez être tout aussi chagriné(e) d’entendre que le Dakota utilisé pour le vol transatlantique est détruit en mars 1945, aux Açores, un archipel portugais dans l’Atlantique, quand il fait une embardée au décollage et heurte un autre aéronef. Son équipage est apparemment indemne. D’un autre côté, vous pourriez être intéressé(e) d’entendre (lire?) que le Catalina qui escorte Voo-Doo et le Dakota passe quelque temps au Marine Aircraft Experimental Establishment au Royaume-Uni, où il est utilisé pour tester des fusées anti-sous-marines non guidées. Il est apparemment démonté en octobre 1944. Et oui, un exemplaire d’une version canadienne du Catalina connue sous le nom de Canso se trouve dans la collection du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada. Et oui, j’ai oublié de dire à quel point cette collection est incroyable. Désolé, cela ne se reproduira plus.

Vous pourriez être heureuse ou heureux d’entendre (lire?), ou pas, que 2 (ou plus?) morceaux de la corde de remorquage sont préservés. L’un d’entre eux va à Pratt, Read & Company. Il est par la suite donné à la Smithsonian Institution, à Washington. Une autre pièce, signée par les 6 personnes impliquées dans le vol transatlantique, est montée sur une planche de bois. Elle se retrouve apparemment au Museum of Army Flying à Middle Wallop, Angleterre.

Fait intéressant, un autre planeur produit par Pratt, Read & Company réalise un record du monde. Laisse-moi vous expliquer. Pourquoi ces larmes de désespoir? Nous faisons des progrès. Oui, nous en faisons. Comme je le disais (tapais?), en mars 1942, l’entreprise met à l’essai un planeur d’entraînement biplace conçu à l’interne, le PR-G1, dans l’espoir d’obtenir une commande des USAAF. Au moment où ce service examiné cet aéronef robuste et bien conçu, il a malheureusement commandé plusieurs types de planeurs d’entraînement. Pratt, Read & Company n’obtient pas de contrat. Il s’avère cependant qu’une des machines commandées par les USAAF intéresse la United States Navy. Ce service se rend vite compte que tout contrat signé ne serait pas satisfait avant un certain temps, ce qui pose problème.

Vous voyez, ami(e) lectrice ou lecteur, la United States Navy prévoit employer des planeurs de transport amphibies utilisés par le United States Marine Corps (USMC) pour aider à reprendre divers territoires occupés par les Japonais dans le théâtre d’opérations du Pacifique. Ces actions se dérouleraient conjointement avec des opérations de débarquement plus conventionnelles. Les pilotes des planeurs de transport devraient être entraînés, bien sûr.

La United States Navy conclut rapidement que le PR-G1 pourrait offrir une solution à son problème d’entraînement. Elle signe un contrat avec Pratt, Read & Company en 1942, pour la production de 100 planeurs d’entraînement LNE. Le réalisme des opérations avec planeurs de transport amphibies ayant essuyé de nombreuses critiques, le nombre de LNE commandé est réduit à 75. En fin de compte, fort possiblement avant le début de 1943, la United States Navy (et / ou le USMC?) concluent que les planeurs de transport amphibies ne seraient pas très utile. Aucun des concepts qu’elle avait commandé n’est mis en production.

Croiriez-vous qu’une photo d’un des planeurs de transport amphibies développés pour la United States Navy se trouve sur la page du numéro du 9 juillet 1943 de l’hebdomadaire britannique The Aeroplane qui suit celle sur laquelle on peut lire l’article quelque peu dédaigneux mentionné plus haut? Le monde est petit, n’est-ce pas?

L’annulation du programme de planeurs de transport de la United States Navy signifie que tous les LNE, sauf 2, se retrouvent avec les USAAF. Étant donné que ce service a déjà la plupart, sinon la totalité des planeurs d’entraînement dont il a besoin, les planeurs Pratt, Read & Company, maintenant redésignés TG-32, ne sont pas sortis de leurs caisses. Leur vente à des pilotes civils commence apparemment en 1944, alors que la Seconde Guerre mondiale fait encore rage dans le monde entier. Un acheteur qui accepte de se rendre à la base des USAAF où les TG-32 sont entreposées pour assembler son planeur et le faire remorquer obtiendrait une remise. Plusieurs métayers qui vivent près de cette base achètent les grandes caisses en bois utilisées pour livrer les planeurs et les transforment en habitations – un état de choses choquant dans le pays le plus riche du monde.

La carrière d’après-guerre du TG-32 n’est pas exceptionnelle, à une exception près. Et oui, ami(e) lectrice ou lecteur à bout de patience, vous êtes sur le point d’entendre (lire?) quelque chose sur le second record du monde gagné par un planeur fabriqué par Pratt, Read & Company. La USAF, la United States Navy et la University of California, Los Angeles acquièrent 2 TG-32 pour un programme de recherche audacieux sur la haute altitude et les conditions de vol, le Sierra Wave Project, mené dans une région où des vents violents et des turbulences extrêmes sont à prévoir. En mars 1952, un de ces planeurs spécialement équipés atteint une altitude de 13 488 mètres (44 255 pieds). Ce record du monde pour planeurs biplaces reste dans les livres jusqu’en août 2006, oui, 2006, quand un Glaser-Dirks DG-500 modifié connu sous le nom de Perlan I grimpe à 15 461 mètres (50 727 pieds). James Stephen « Steve » Fossett est l’une des personnes à bord de cette machine de haute technologie.

Vous serez peut-être intéressé(e) d’entendre (lire?), ou non, que ce pilote, homme d’affaires et aventurier américain est l’une des 2 personnes impliquées dans une commémoration du premier vol transocéanique sans escale, entre Terre-Neuve et l’Irlande, effectué à la mi-juin 1919, par les aviateurs britanniques John William « Jack » Alcock et Arthur Whitten Brown à bord d’un bombardier bimoteur Vickers Vimy spécialement équipé. L’aéronef utilisé pour cette commémoration, réalisée en juillet 2005, est une réplique de Vimy achevée en 1994. Fossett et son copilote passent quelques jours à Ottawa en juin 2005. Eux et leur aéronef passent quelque temps au Musée de l’aviation du Canada, comme s’appelle le Musée de l’aviation et de l’espace du Canada a cette époque. Votre humble serviteur voit le Vimy de près et est fort impressionné. Cet aéronef est donné au Brooklands Museum, à Brooklands, Angleterre, en 2006.

Est-ce tout pour aujourd’hui, vous demandez-vous? Et bien, pas tout à fait. Une brève vidéo sur le voyage de Voo-Doo peut être trouvée à

https://www.britishpathe.com/video/first-glider-train-crosses-atlantic/query/First+Glider+Train+Crosses+Atlantic

Le narrateur britannique suggère que le voyage pourrait devenir la base d’un service commercial de planeurs de l’avenir, vraisemblablement après la fin de la Seconde Guerre mondiale. En fin de compte, un tel service ne voit jamais le jour. Cependant, votre humble serviteur a trouvé une annonce publicitaire de 1946 (?) qui montre des CG-4 civils utilisés pour le transport de marchandises. Cette publicité est publiée par Distillers Corporation-Seagrams Limited, une entreprise canadienne et une des plus grandes distilleries en Amérique du Nord. Et c’est tout pour aujourd’hui.

Qu’y a-t-il, ami(e) lectrice ou lecteur? Vous souhaitez savoir ce qui est arrivé à Pratt, Read & Company et Waco Aircraft? Vraiment? Ahhh, vous apportez des larmes à mes yeux. Et bien, la première recommence à faire des pièces de piano avant de tourner peu à peu son attention vers la production de tournevis. À vrai dire, Pratt, Read & Company devient finalement le troisième plus grand fabricant de tournevis aux États-Unis. Elle dépose malheureusement une demande de protection contre la faillite en mars 2009. À ce moment-là, Pratt, Read & Company est l’une des entreprises manufacturières les plus anciennes du pays. Une société du nom d’Ideal Industries Incorporated acquiert son nom et son outillage en mars 2010. Elle déménage l’outillage à un autre endroit et fonde Pratt-Read Tools Limited Liability Company, qui existe encore en 2018.

Waco Aircraft n’est pas si chanceuse. L’entreprise s’est tellement investie dans le programme de fabrication de planeurs qu’elle ne se prépare pas bien pour l’après-guerre. Les aéronefs privés sûrs, fiables, élégants et confortables pour lesquels elle est connue avant la Seconde Guerre mondiale, tous biplans, sont désuets. Désireuse de demeurer à flot, Waco Aircraft conçoit cependant une nouvelle machine. Mis à l’essai en mars 1947, l’étrange et radical Modèle W Aristocraft souffre de divers problèmes. La construction d’un second prototype fort amélioré débute au printemps. Cet aéronef n’est pas complété. Début juin, Waco Aircraft met à pieds de nombreux employées et employés et suspend tout travail sur la certification de l’Aristocraft. Vers juillet 1947, la compagnie annonce qu’elle ne produira plus d’aéronefs complets, un triste événement pour un des grands noms de l’industrie aéronautique américaine des années 1920 et 1930.

Avant que je ne l’oublie, croiriez-vous qu’un Américain du nom de Terrence O’Neill acquiert le susmentionné Aristocraft en 1962? Il modifie l’aéronef en profondeur à un moment donné au cours de la seconde moitié de la décennie. L’hélice de l’Aristocraft II, aussi connu sous le nom de Modèle W Winner, ne se trouve plus à l’arrière, par exemple. Elle est montée à l’avant du nouvel aéronef. J’aimerais pouvoir dire (taper?) que O’Neill Airplane Company réussit à commercialiser l’Aristocraft II, à la fin des années 1960, mais ce serait un mensonge.

Waco Aircraft parvient à demeurer à flot en fabriquant une grande variété d’équipement de soutien aéronautique. L’entreprise doit également produire des articles non aéronautiques comme la lampe solaire Orbitan, « la lampe solaire avec un soleil qui bouge, » et la Lickity Log Splitter, une fendeuse de bûches conçue par son président vers la fin des années 1950.

Et oui, la collection époustouflante du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada comprend un des aéronefs privés sécuritaires, fiables, élégants et confortables fabriqués par Waco Aircraft avant la Seconde Guerre mondiale, un biplan à cabine Waco VKS plus précisément.

Une société du nom d’Allied Aero Industries Incorporated acquiert Waco Aircraft en 1963 et vend rapidement son outillage désuet. L’ancien avionneur est apparemment disparu pour de bon. Soit dit en passant, une société du nom de Piqua Engineering Company acquiert les droits de production de la Lickity Log Splitter et fait tourner une chaine de montage jusqu’en 1971.

Allied Aero Industries mérite d’être mentionnée car c’est apparemment le représentant américain d’une petite entreprise ouest-allemande, Wagner Helicopter Technik, dont l’hélicoptère routier Aerocar est mentionné dans un numéro d’août 2017 de notre blogue / bulletin / machin. Allied Aero Industries possède également au moins 3 compagnies aéronautiques en déclin / en difficulté en plus de Waco Aircraft. L’une d’entre elles est Omega Aircraft Corporation, acquise vers 1963-1964.

Cette compagnie est intéressante, du moins pour votre humble serviteur, car son fondateur n’est autre que Bernard W. « Bernie / Snitz » Sznycer, un ingénieur américano-polonais qui a conçu le premier hélicoptère réussi au Canada, avec l’aide d’une amie et collègue américaine, la première femme ingénieur impliqué dans la conception d’hélicoptères si vous devez savoir, Selma G. Gottlieb. Cet hélicoptère est le Intercity SG-VI Grey Gull. Croiriez-vous que le prototype de cette machine vole pour la première fois en juillet 1947, à Dorval? Intercity Airlines Company appartient au moins en partie à la plus grande compagnie d’autobus interurbains au Québec, la Compagnie de transport provincial, une filiale de Montreal Tramways Company.

Le seul hélicoptère conçu par Omega Aircraft est le SB-12 / BS-12. Sznycer développe cette machine, la première grue volant au monde, avec l’aide d’Okanagan Helicopters Limited, une compagnie canadienne mentionnée dans un numéro d’octobre 2017 de notre blogue / bulletin / machin, et le plus grand exploitant d’hélicoptères civils du monde à l’époque. Seulement 3 ou 4 BS-12 quittent l’usine avant la fermeture d’Omega Aircraft vers 1965.

Est-ce que nous avons fini, vous demandez vous, ami(e) lectrice ou lecteur fatigué(e)? Et bien, presque. Nous faisons des progrès, vraiment. La renommée de Waco Aircraft est telle que SIAI-Marchetti Società per Azioni et Allied Aero Industries signent un accord en 1966 selon lequel l’avionneur italien vendrait, réassemblerait, assemblerait et / ou produirait plusieurs de ses avions privés aux États-Unis. Une Waco Aircraft Company née une seconde fois commercialiserait ces machines avec l’aide d’un certain nombre de concessionnaires, dont au moins un au Canada, plus précisément en Ontario. Fait intéressant, beaucoup / la plupart des aéronefs italiens seraient rembourrés par Carrozzeria Pininfarina Società per Azioni, sans doute le Léonard de Vinci de la carrosserie automobile.

Les efforts d’Allied Aero Industries pour entrer sur le marché des avions privés sont pour le moins d’ambitieux. Un avionneur français, la Société de construction d’avions de tourisme et d’affaires (SOCATA), est également impliqué dans ses plans, par exemple. Cette filiale de la Société nationale de construction aéronautique Sud-Aviation est créée en 1966 lors de la réorganisation de la Gérance des établissements Morane-Saulnier. Seule une poignée de Waco Minerva, le nom américain d’un avion privé monomoteur à décollage et atterrissage court Morane-Saulnier, est vendue. En outre, Allied Aero Industries et Procaer Progetti Costruzioni Aeronautiche Società per Azioni forment Allied Aero Industries Italia Società per Azioni à l’automne 1968 pour superviser la production d’un autre avion léger monomoteur aux États-Unis.

La mort subite du président fondateur d’Allied Aero Industries, un homme d’affaires et spiritualiste russo-américain connu officieusement / pas très poliment sous le nom de « Marchand de bric-à-brac, » en décembre 1968, porte apparemment un coup fatal au projet. Le nombre total d’avions privés monomoteurs SIAI-Marchetti réassemblés et vendus aux États-Unis en tant que Waco Vela, Sirrus et Meteor ne dépasse peut-être pas 150. Pis encore, la compagnie italienne se trouve coincée avec un grand nombre d’aéronefs démontés, peut-être 200, qui n’ont plus d’acheteur. Le prototype de la version américaine modifiée de l’avion léger de Procaer, qui vole une semaine après la mort de Berger, n’est pas placé en production. Le projet de réassemblage et de vente d’un avion privé bimoteur SIAI-Marchetti n’a pas lieu du tout.

Et oui, le monoplan Borel Morane exposé au Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, le plus ancien aéronef survivant ayant volé au Canada comme nous le savons toutes et tous, est fabriqué par la Société anonyme des aéroplanes Morane-Borel-Saulnier, ancêtre lointain de la Gérance des établissements Morane-Saulnier. Les aéronefs produits entre 1910 et 1912 par cette compagnie et son prédécesseur, la Société anonyme des aéroplanes Morane-Borel, sont nommés de manière confuse Morane, Morane Borel et Borel Morane. Certaines personnes d’esprit les appellent même Morel Borane. Des machines similaires sont également fabriquées en 1912 et plus tard par la Société anonyme des aéroplanes Morane-Saulnier et la Société anonyme des aéroplanes Borel, mais je m’égare. Croiriez-vous qu’une Société des aéroplanes Raymond Saulnier existe en 1909-10? Ais-je réussi à vous embrouiller complètement, ami(e) lectrice ou lecteur? Oui? C’est bon à entendre, car l’histoire de l’aviation avant le début de la Première Guerre mondiale, en 1914, peut être très déroutante.

Waco Aircraft cesse peut-être ses activités vers 1971. Malgré tout, l’aura entourant cet avionneur s’avère irrésistible pour plusieurs enthousiastes. Votre humble serviteur est donc heureux de vous informer que WACO Historical Society Incorporated est fondée en 1978. Ce group est encore actif en 2018. Mieux encore, Classic Aircraft Corporation voit le jour en 1983 pour produire une version améliorée d’un biplan à cockpit ouvert Waco typique des années 1930. Cette société est également encore active en 2018, sous le nom de WACO Aircraft Corporation. Et oui, ami(e) lectrice ou lecteur perspicace, il est ironique que même si les entreprises qui portent les noms de Pratt, Read & Company et Waco Aircraft soient en affaires en 2018, ni l’une ni l’autre n’a un lien direct avec ces organisations.

Et oui encore une fois, 1 ou 2 biplans à cockpit ouvert Waco typiques, des Waco UPF appartenant à Ottawa Biplane Adventures Incorporated plus précisément, décollent de l’aéroport de Rockcliffe, à 2 pas du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, au printemps, à l’été et l’automne de 2018, comme ils l’ont fait pendant de nombreuses années, et ... D’accord, d’accord, si vous insistez, je pourrais, je répète pourrais, pontifier sur l’Aristocraft et / ou le Grey Gull à un moment donné dans le futur. Maintenant, rentrez chez vous s’il vous plaît. Ce texte est excessivement long, même selon mes propres normes suprêmement verbeuses. Votre humble serviteur a besoin de repos.

Je souhaite remercier toutes les personnes qui ont fourni des informations. Toute erreur contenue dans cet article est de ma faute, pas de la leur.

 

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Waco CG-4 Atlantique Atlantic Hadrian Gobeil Longhurst
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Rénald Fortier
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Une grenouille-taureau typique sauvage et libre. John J. Brice, éditeur, A Manual of Fish-Culture: Based on the Methods of the United States Commission of Fish and Fisheries, with Chapters on the Cultivation of Oysters and Frogs (Washington : Government Printing Office, 1897), 258.

« La grenouille est-elle gibier ou poisson? Là est le chiendent. » Un bref coup d’œil sur l’histoire de la raniculture au Canada et au Québec, partie 4

Une publicité typique de Giant Frog & Sea Food Limited de Montréal, Québec. Anon., « Giant Frog & Sea Food Limited. » La Patrie, 18 octobre 1952, 53.

« La grenouille est-elle gibier ou poisson? Là est le chiendent. » Un bref coup d’œil sur l’histoire de la raniculture au Canada et au Québec, partie 3

Trois des innombrables grenouilles-taureaux trouvées dans la grenouillère de Harold Lee, Casitas Springs, Californie. Anon., « Nature – Frog Farm.” » Pix, 6 janvier 1951, 30.

“La grenouille est-elle gibier ou poisson? Là est le chiendent. » Un bref coup d’œil sur l’histoire de la raniculture au Canada et au Québec, partie 2

Une publicité typique de Canadian Frog’s Industries Company de Montréal, Québec. Anon., « Canadian Frog’s Industries Company. » La Patrie, 16 novembre 1952, 86.

« La grenouille est-elle gibier ou poisson? Là est le chiendent. » Un bref coup d’œil sur l’histoire de la raniculture au Canada et au Québec, partie 1

Un dessin éditorial qui reflète la réaction de nombreux Américains suite au lancement de Spoutnik 2. Une traduction du titre du dessin pourrait être Notre propre disgrâce non-volante. John Milt Morris, « Our own non-fly doghouse. » The Nome Nugget, 8 novembre 1957, 2.

Les trois jours du Spoutnik; ou, « Radio-Moscou admet que le chien tournant autour de la terre dans le satellite ne reviendra jamais » : Laïka, Spoutnik 2 et la presse quotidienne du Québec, partie 3

Une réplique de Spoutnik 2, Tsentral’nyy Dom Aviatsii i Kosmonavtiki DOSAAF Rossíi, Moscou, avril 2021. Krasnyy via Wikipédia.

Les trois jours du Spoutnik; ou, « Radio-Moscou admet que le chien tournant autour de la terre dans le satellite ne reviendra jamais » : Laïka, Spoutnik 2 et la presse quotidienne du Québec, partie 2

Le premier portrait official de Laïka à être diffusé par les autorités soviétiques. Cette photographie est initialement publiée dans le quotidien moscovite Pravda. Anon., « More Sputnik Dogs Due Before Humans Go Up. » The Evening Star, 13 novembre 1957, 6.

Les trois jours du Spoutnik; ou, « Radio-Moscou admet que le chien tournant autour de la terre dans le satellite ne reviendra jamais » : Laïka, Spoutnik 2 et la presse quotidienne du Québec, partie 1

Le biplan (monoplace?) conçu par Canadian Aircraft Works (Incorporated? Limited? Registered?) de Montréal / Coteau Rouge, Québec, janvier 1915. Gustave Pollien peut se trouver aux commandes. MAEC, 1134.

Un terrifique trio actif aux débuts de l’aviation au Québec : Ernest Anctil, Gustave Pollien et Percival Hall Reid, partie 3

Le biplan fabriqué par Gustave Pollien (à gauche) et Ernest Anctil, Cartierville, Québec. Anon., « L’aviation chez nous – Un jeune aviateur canadien-français, Ernest Anctil, vole avec succès sur un biplan construit au pays. » La Presse, 27 septembre 1912, 1.

Un terrifique trio actif aux débuts de l’aviation au Québec : Ernest Anctil, Gustave Pollien et Percival Hall Reid, partie 2

Le biplan fabriqué par Ernest Anctil (à gauche dans la photographie du bas) et Gustave Pollien, Cartierville, Québec. Anon., « The first Montreal-made biplane. » The Standard, 5 octobre 1912, 4.

Un terrifique trio actif aux débuts de l’aviation au Québec : Ernest Anctil, Gustave Pollien et Percival Hall Reid, partie 1

Louis Victor Jules Vierne (3ème à partir de la gauche), compositeur et organiste de la cathédrale Notre-Dame de Paris au clavier de l’orgue électronique Coupleux Givelet, station de radio Poste Parisien, Paris, France. Anon., « L’orgue des ondes du ‘Poste parisien’ est inauguré. » Le Petit Parisien, 27 octobre 1932, 1.

La mélodieuse épopée de deux pionniers français de la musique électronique qui méritent d’être mieux connus : Joseph Armand Marie Givelet et Édouard Éloy Coupleux

 Vue d’artiste du satellite canadien Alouette en orbite au-dessus du Canada. Office national du film, Photo-reportage 288 – Le Canada, nouveau visiteur de l’espace, NFB62-5961.

Alouette, gentille alouette, Alouette, je te lancerai; Ou, Comment la Guerre froide propulse le Canada dans l’espace par le biais du satellite Alouette, partie 3

La fusée Thor-Agena qui place le satellite canadien Alouette en orbite, Vandenberg Air Force Base, Californie. Anon., « Alouette’ Working Perfectly – First Canadian Satellite in Orbit. » The Montreal Star, 29 septembre 1962, 1.

Alouette, gentille alouette, Alouette, je te lancerai; Ou, Comment la Guerre froide propulse le Canada dans l’espace par le biais du satellite Alouette, partie 2

Deux des ingénieurs qui font du satellite Alouette un succès : Colin A. Franklin (à gauche) et John N. Barry, Ottawa, Ontario. Anon., « Many ‘Firsts’ for Canadian Satellite – Alouette Sports New Space Advances. » The Montreal Star, 22 septembre 1962, 43.

Alouette, gentille alouette, Alouette, je te lancerai; Ou, Comment la Guerre froide propulse le Canada dans l’espace par le biais du satellite Alouette, partie 1

Vue approximative de la zone dans laquelle l’éclipse solaire du 31 août 1932 peut être observée dans sa totalité (image principale), ou pas (colonne de droite). Anon. « Mighty Workings of Tomorrow’s Eclipse. » Sherbrooke Daily Record, 30 août 1932, 1.

« Nous prions tous pour une journée sans nuages : » L’éclipse solaire du 31 août 1932 au Québec, partie 3

Certains des chercheurs britanniques éminents en route vers le Canada dans le but d’observer l’éclipse solaire totale du 31 août 1932. Anon., « Le ciel québécois et les astronomes. » La Presse, 29 juillet 1932, 9.

« Nous prions tous pour une journée sans nuages : » L’éclipse solaire du 31 août 1932 au Québec, partie 2

L’éclipse solaire du 31 août 1932 telle qu’on peut l’observer dans sa totalité, à partir d’une route de campagne du Maine. Anon., « Souvenir d’éclipse. » La Presse – Magazine illustré, 24 septembre 1932, 9.

« Nous prions tous pour une journée sans nuages : » L’éclipse solaire du 31 août 1932 au Québec, partie 1

Le réservoir Manicouagan, également connu sous le nom d’œil du Québec, photographié depuis l’espace par le satellite Sentinel 2-A du programme Copernicus de l’Agence spatiale européenne, janvier 2017. https://scihub.copernicus.eu/ via Wikimedia.

Sic itur ad astra : Quelques observations sur la stellaire carrière de l’astronome canadien Carlyle Smith Beals, partie 2

Carlyle Smith Beals, astronome fédéral. Raymond Taillefer, « Tant qu’il y aura des étoiles - L’observatoire fédéral assure au Canada un brillant rôle scientifique. » Le Droit, 2 août 1947, 1.A.

Sic itur ad astra : Quelques observations sur la stellaire carrière de l’astronome canadien Carlyle Smith Beals, partie 1

Le prototype de l’avion de brousse canadien de Havilland Canada DHC-2 Beaver en montre au Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, Ottawa, Ontario. MAEC, deHavilland DHC-2 Beaver-005

Bonne fête Beaver, bonne fête Beaver, bonne fête, bonne fête, bonne fête Beaver : Un trop bref coup d’œil sur une icône canadienne, l’avion de brousse de Havilland Canada DHC-2 Beaver, partie 2

Le prototype de l’avion de brousse canadien de Havilland Canada DHC-2 Beaver le jour de son premier vol, Downsview, Ontario, août 1947. MAEC, KM-08317

Bonne fête Beaver, bonne fête Beaver, bonne fête, bonne fête, bonne fête Beaver : Un trop bref coup d’œil sur une icône canadienne, l’avion de brousse de Havilland Canada DHC-2 Beaver, partie 1

Le Shell By-Plane X 100 Astroterramare du professeur Septimus Urge (extrême droite), Pleasure Gardens du Festival of Britain, Battersea Park, Londres, Angleterre. Anon., « New British Jet Unique, but Not Matchless. » Aviation Week, 18 août 1952, 44.

Des machines de Heath Robinson / Rube Goldberg que Heath Robinson et « Rube » Goldberg eux-mêmes auraient approuvées; Ou, Le monde merveilleux de Frederick Rowland Emett et ses choses

Rachel Marie-Louise Clément, née Guillot, en train se saler des fromages camembert Madame Clément produits par Laiterie R.A. Clément (Enregistrée? Incorporée? Limitée?), McMasterville ou Beloeil, Québec. Anon., « Fromages du Québec. » Photo-Journal, 28 août 1952, 33.

« Si j’avais cent vies, je recommencerais l’aventure du camembert : » Le délicieuse saga québécoise de la famille Clément et de ses fromages

Vue d’artiste du dirigeable conçu par le modeleur, ouvrier, sculpteur ou tailleur de pierre québécois Louis N. Filion. Anon., « Le secret de la direction des ballons est-il réellement détenu par un Canadien-français? » La Patrie, 26 juillet 1902, 19.

En 1902, le secret de la direction des ballons dirigeables est-il détenu par le Québécois Louis N. Filion? C’est à moi de le savoir et à vous de le découvrir

Une publicité typique de Bamboo Cycle Company Limited de Londres, Angleterre. Anon., « Bamboo Cycle Company Limited. » The Graphic, 31 juillet 1897, 179.

« En cas de doute mon conseil est Acheter une Bamboo : » Quelques pages sur Bamboo Cycle Company Limited de Londres, Angleterre

Un tir d’essai américain d’une fusée à courte portée sol-sol non guidée Douglas M31 Honest John. Anon., « Engins et missiles ». Aviation Magazine, 1 juin 1959, 155.

Elle n’a peut-être pas changé l’histoire mais aurait certainement changé la géographie : Un bref mais effrayant coup d’œil sur les fusées à courte portée sol-sol non guidées Douglas M31 et M50 / MGR-1 Honest John, partie 2

Une équipe de l’Artillerie royale canadienne de l’Armée canadienne s’entraînant sur une fusée à courte portée sol-sol non guidée Douglas M31 Honest John de la United States Army, Fort Sill, Oklahoma. Anon., « Rocket Training. » Sherbrooke Daily Record, 13 juillet 1957, 1.

Elle n’a peut-être pas changé l’histoire mais aurait certainement changé la géographie : Un bref mais effrayant coup d’œil sur les fusées à courte portée sol-sol non guidées Douglas M31 et M50 / MGR-1 Honest John, partie 1

Une publicité de Frisco Soda Water Company de Montréal, Québec, pour la bière Salvador brassée par Reinhardt ‘Salvador’ Brewery Limited de Toronto, Ontario. Anon., « Frisco Soda Water Company. » The Montreal Daily Star, 5 juillet 1912, 5.

Un conte de deux Reinhardt; ou, Un bref aperçu de deux brasseries canadiennes disparues et oubliées depuis longtemps

Kenneth Albert Arnold, au centre, avec deux autres pilotes qui affirment avoir vu des objets volants non identifiés, soit Emil J. Smith, à gauche, et Ralph Stevens. Anon., « Pilotes qui virent des soucoupes volantes. » Le Soleil, 8 juillet 1947, 1.

« Tout le monde a vu les soucoupes volantes, les journalistes exceptés : » Les premières observations d’objets volants non identifiés / phénomènes aériens non identifiés dans la province de Québec, 24 juin au 19 juillet 1947, partie 2

Kenneth Albert Arnold. Anon., « Boise Airman Positive He Didn’t See Ordinary Craft Reflections. » The Idaho Daily Statesman, 28 juin 1947, 9.

« Tout le monde a vu les soucoupes volantes, les journalistes exceptés : » Les premières observations d’objets volants non identifiés / phénomènes aériens non identifiés dans la province de Québec, 24 juin au 19 juillet 1947, partie 1

Une publicité typique de O-Pee-Chee Gum Company de London, Ontario. Anon., « O-Pee-Chee Gum Company. » The Aylmer Express, 6 juin 1912, 5.

« Mâche Mâche Mâche Mâche ta gomme à bulles: » Les sucrés de bons vieux temps de O-Pee-Chee Gum Company Limited de London, Ontario

Publicité concernant la Isetta fabriquée par Isetta of Great Britain Limited. Une fois traduit, le texte se lit : « Hé! ne touche pas à cette pièce de 10 cents! Je vais juste prouver que cette Isetta peut se garer dessus! » Anon., « City Motors Limited. » The Gazette, 21 novembre 1957, 2.

Un coup d’œil sous le capot d’un des symboles du miracle économique ouest-allemand des années 1950 ; ou, L’histoire multiforme et multinationale de la microvoiture Isetta, partie 2

Une BMW 250 ou 300 typique. Devon Francis, « What you get in the foreign economy cars. » Popular Science, juin 1957, 62.

Un coup d’œil sous le capot d’un des symboles du miracle économique ouest-allemand des années 1950 ; ou, L’histoire multiforme et multinationale de la microvoiture Isetta, partie 1

Un projecteur de planétarium Spitz au Planetario Municipal Agrimensor Germán Barbato, le premier planétarium d’Amérique du Sud, inauguré en 1955, Montevideo, Uruguay, février 2015. Fedaro via Wikimedia.

Béni soit celui qui apporte les merveilles du cosmos à la multitude : Armand Neustadter Spitz et ses projecteurs de planétarium, partie 2

Armand Neustadter Spitz. Hilaire Cuny, « Sciences et techniques – La plus gigantesque tentative de notre temps : La conquête de l’espace cosmique. » Combat, 15 mai 1957, 6.

Béni soit celui qui apporte les merveilles du cosmos à la multitude : Armand Neustadter Spitz et ses projecteurs de planétarium, partie 1

Une publicité typique de la firme William Hood & Company de Toronto, Ontario. Anon., « William Hood & Company. » The Canadian Grocer & General Storekeeper, 27 mai 1892, 9.

« Un nouveau gagnant commercial pour les épiciers et marchands généraux; » ou, Comment William Hood & Company de Toronto, Ontario, devient un prétexte pour s’attarder sur les mystères de… l’huile de ricin

Une publicité typique de Tillson Company Limited. Anon. « Tillson Company Limited. » The Canadian Grocer & General Storekeeper, 13 mai 1892, 19.

« Un aliment, pas une mode: » La vie et l’époque de Edwin Delevan Tillson de Tillsonburg, Ontario

Gertrude Dugal, la première Québécoise francophone ayant obtenu une licence de pilote – ou pas, Aéroport de Cartierville, Cartierville, Québec. Anon., « La seule diplômée. » La Patrie, Journal du dimanche, 18 mai 1947, 1.

« À travers les nuages, je vois voler mon ombre: » Quelques mots sur Gertrude Dugal, la première Québécoise francophone ayant obtenu une licence de pilote – à moins que ce ne soit quelqu’un d’autre

Une motomarine Vincent Amanda dans son élément, Ruislip, Angleterre, avril 1957. Anon., “Triss i bâtar.” Teknikens Värld med Flyg, 2 au 16 mai 1957, 8.

Bournemouth, Scarborough, ooh je veux vous emmener. Great Yarmouth, Lyme Regis, ami(e) lectrice, lecteur : La Vincent Amanda, l’ancêtre presque oubliée des motomarines d’aujourd’hui

Une vue en gros plan d’une pilule radio quelques instants avant que le premier patient volontaire ne l’avale. Anon., « Science – Radio Made to Swallow. » Life, 29 avril 1957, 74.

Prenez une de ces pilules et vos entrailles m’appelleront en matinée : La saga digestive de… la pilule radio

Dan Cooper, tel que dessiné par l’auteur de bande dessinée belge Albert Weinberg lors de sa visite à North Bay, Ontario, en mai-juin 1966. Anon., « Originator of RCAF cartoon hero visits defence bases at North Bay. » The North Bay Nugget, 3 juin 1966, 1.

Un prolifique auteur de bande dessinée belge qui mérite d’être mieux connu : Le père de Dan Cooper, héros canadien, Albert Weinberg (1922-2011), partie 2

Albert Weinberg au cours d’une de ses nombreuses visites en sol canadien. Anon., « Dan Cooper c’est Buzz Beurling. » La Presse, 31 mars 1975, A3.

Un prolifique auteur de bande dessinée belge qui mérite d’être mieux connu : Le père de Dan Cooper, héros canadien, Albert Weinberg (1922-2011), partie 1

Un avion de chasse FFVS J 22 typique de l’armée de l’air suédoise, ou Flygvapnet, Bunge, Suède, vers 1948-49. Flygvapenmuseum, FVMF.002142.

On m’a demandé quelques fois quel était mon avion préféré. Eh bien, voici l’un de mes favoris de tous les temps : l’avion de chasse suédois FFVS J 22, partie 2

Un avion de chasse FFVS J 22 typique de l’armée de l’air suédoise, ou Flygvapnet. Harald Jacobson, « Ett flygplan – en flygepok. » Looping, avril 1952, 12.

On m’a demandé quelques fois quel était mon avion préféré. Eh bien, voici l’un de mes favoris de tous les temps : l’avion de chasse suédois FFVS J 22, partie 1

 Une publicité pour des produits, en l’occurrence du hareng et de la sardine, mis en conserve par Connors Brothers Limited de Black’s Harbour, Nouveau-Brunswick. Anon., « Connors Brothers Limited ». Le Prix courant, 29 mars 1912, 20.

D’un appât à homard et engrais pour pommes de terre à de l’argent d’eau salée : L’humble sardine et Connors Brothers Limited de Black’s Harbour, Nouveau-Brunswick

Une Volvo P1800 comparable à celle que conduit Simon Templar, dit le Saint, un personnage joué à la télévision par Roger George Moore, Volvo Museum, Göteborg, Suède, 2008. Jarle Vines via Wikimedia.

Une sainte automobile du pays de « Fifi » Brindacier et Lisbeth Salander : La grande routière / voiture sport suédoise Volvo P1800, partie 2

Une grande routière / voiture de sport Volvo P1800 typique Anon., « La plus belle auto. » La Patrie du Dimanche, 25 mars 1962, 11.

Une sainte automobile du pays de « Fifi » Brindacier et Lisbeth Salander : La grande routière / voiture sport suédoise Volvo P1800, partie 1

Le député sortant de la circonscription électorale de Limoux, France, le sénateur Henri Charles Étienne Dujardin-Beaumetz. Joseph Uzanne. Figures contemporaines. (10ème édition) (Paris: Librairie Henri Floury, 1906), non paginé.

« Mon cher Védrines, c’est une panne de scrutin : » Charles Toussaint « Jules » Védrines et l’élection législative partielle de Limoux, France, de mars 1912, Partie 2

Caricature du sénateur Henri Charles Étienne Dujardin-Beaumetz se payant la tête de « Jules » Védrines, le candidat défait lors de l’élection législative partielle de Limoux, France, de mars 1912. Anon., « La course Limoux-Palais-Bourbon. » Le Rire, 30 mars 1912, non paginé.

« Mon cher Védrines, c’est une panne de scrutin : » Charles Toussaint « Jules » Védrines et l’élection législative partielle de Limoux, France, de mars 1912, Partie 1

Le laboratoire sur roues Lincoln Continental 1950X / Ford X-100. Anon., « La Ford de l’avenir. » Photo-Journal, 28 février 1952, 8.

La voiture de demain telle qu’on l’imaginait il y a 70 ans : Le laboratoire sur roues Lincoln Continental 1950X / Ford X-100

Edward T. Faulkner et son Curtiss JN-4 Canuck, Honeoye Falls, New York, 1962. Musée de l’aviation et de l’espace du Canada 2985.

Il décolle à 100 kilomètres/heure, vole à 100 kilomètres/heure et atterrit à 100 kilomètres/heure, plus ou moins : La saga du Curtiss JN-4 Canuck

Une publicité de David Brown (Canada) Limited de Toronto, Ontario, montrant des tracteurs offerts par une firme sœur / frère britannique, David Brown Tractors Limited. Anon., « David Brown (Canada) Limited ». Le Bulletin des agriculteurs, février 1962, 75.

« Voulez-vous conduire mon tracteur? Allons donc charger du foin. » Un très bref aperçu de l’histoire de la firme britannique David Brown Tractors Limited

Tomanowos, mieux connue sous le nom de météorite Willamette, American Museum of Natural History, New York, New York. Anon., « Ça et là, par l’image. » Le Samedi, 22 février 1947, 8.

Tomanowos, une visiteuse du ciel ou de la Lune : Un coup d’œil sur de la plus grosse météorite nord-américaine connue aujourd’hui

Vera Elsie Strodl portant le blouson de vol en cuir qu’elle porte pendant la Seconde Guerre mondiale. Glennis Zilm, « Only Canadian honored – Long love of flying brings award to aviatrix. » The Gazette, 1er février 1972, 8.

Dieu aurait pu être son copilote, Ou, La carrière remarquable d’une pilote remarquable, Vera Elsie Strodl

John D’Alton Woodlock avec un de ses fils, Peter Woodlock, devant le téléviseur familial, Iberville, Québec, été 1949. Arthur Prévost, « Dix ans avant CBFT – À Iberville, on a la TV depuis 14 ans!... » Le Petit Journal, 14 janvier 1962, A-49.

Mais malheureusement, comme tant de grands esprits, le pionnier québécois de la télévision John D’Alton Woodlock est parti trop tôt – et vite oublié

Une publicité de la Société auxiliaire agricole de Paris, France, montrant un tracteur agricole Pavesi P4 ou Agrophile-Pavesi en action. Anon., « Société auxiliaire agricole, » L’Agriculture nouvelle, 14 janvier 1922, 4.

Il était une fois un tracteur acrobate : La belle bien que partiellement militaire histoire du tracteur agricole Pavesi P4 et la carrière de Ugo Pavesi

Deux des grands avions de chasse de la Première Guerre mondiale : un SPAD S.VII du Royal Flying Corps ou de l’Aéronautique militaire et un Albatros D.III du Luftstreitkräfte. Anon., « A Dog Fight. » Canadian Aviation, janvier 1932, 12.

L’histoire des photographies les plus extraordinaires jamais prises de combats aériens pendant la Première guerre mondiale, Ou, Le long et le court de la collection Cockburn-Lange

Une vue d’ensemble d’un des premiers réseaux téléphoniques au Canada, Montréal, Québec, 1878. Anon., « Le premier téléphone qui ait jamais été installé à Montréal. » La Presse, 27 janvier 1912, 5.

Ils sont parmi les premiers à tendre la main et toucher quelqu’un : Un regard sur un des premiers réseaux téléphoniques au Canada

Le Canadair CL-44 loué par British Overseas Airways Corporation (BOAC), septembre 1963. Cet aéronef de Seaboard World Airlines Incorporated transporte 19 voitures de course du Royaume-Uni aux États-Unis lors de ce vol, son premier aux couleurs de BOAC. MAEC.

Un bon élan en mérite un autre : La saga de l’avion-cargo canadien Canadair CL-44, Partie 2

Une publicité de l’avionneur Canadair Limited de Cartierville, Québec, vantant les mérites de son hénaurme avion-cargo, le Canadair CL-44. Anon., « Canadair Limited. » La Presse, 23 janvier 1962, 29.

Un bon élan en mérite un autre : La saga de l’avion-cargo canadien Canadair CL-44, Partie 1

Publicité publiée par les magasins Zeller’s Limited de Calgary, Alberta, qui met en valeur le tracteur Reely Ride-’em produit par Reliable Toy Company Limited de Toronto, Ontario. Anon. « Zeller’s Limited. » The Calgary Herald, 11 décembre 1961, 32.

Jouets, glorieux jouets, on voudrait bien jouer : Quelques pages sur Reliable Toy Company Limited de Toronto, Ontario

Un hydravion à flotteurs utilitaire de Havilland Canada DHC-3 Otter exploité par Northway Aviation Limited de St. Andrews, Manitoba, lac Fishing, Manitoba, septembre 2005. Mark Swaffer via Wikimédia.

Le camion volant d’une tonne du Canada : le de Havilland Canada DHC-3 Otter

Une publicité de Moline Plow Company montrant un Moline Universal Tractor en action. Anon. « Moline Plow Company. » L’Agriculture nouvelle, 10 décembre 1921, 707.

Un véhicule très réussi et, oserais-je le taper, un gougeur de pente de l’industrie des tracteurs agricoles : le Moline Universal Tractor

L’avion de ligne à réaction Douglas DC-8 de Canadian Pacific Airlines Limited de Vancouver, Colombie-Britannique, connu sous le nom de Empress of Montreal. Anon., « Empress of Montreal DC-8 First CPA Jet Visitor. » The Gazette, 6 décembre 1961, 17.

Un article dont je suis réticent à divulguer la phrase-choc si tôt dans le jeu : Ou, Un DC racé utilisé par CP

L’avion-cargo Fairchild C-119 Flying Boxcar de la United States Air Force emprunté par Iron Ore Company of Canada Incorporated en 1951. Anon., « Fret aérien – L’opération Ungava – Le fret aérien accélère l’application d’un projet. » Interavia, décembre 1951, 672.

« Dans l’intérêt de la sécurité nationale » : Le rôle joué par un avion-cargo Fairchild C-119 Flying Boxcar de la United States Air Force dans le développement des gisements de minerai de fer de la région du lac Knob

Le Vertol Modèle 42 de Skyrotors Limited de Arnprior, Ontario, nolisé par Spartan Air Services Limited de Ottawa, Ontario, dans le cadre de l’Opération High Tower. Anon., « Operation High Tower. » The Ottawa Citizen, 8 novembre 1961, 3.

Votre mission, si toutefois vous l’acceptez, est de déplacer des trucs : Spartan Air Services Limited de Ottawa, Ontario, la station radiophonique CFRA de Ottawa et l’Opération High Tower

Une des deux sculptures grandeur nature en alliage d’aluminium de grues blanches créées par Wolfram F. Niessen pour le Regina Municipal Airport, Regina, Saskatchewan. Anon., « Regina Honors the Whooping Crane. » The Ottawa Citizen, Weekend Magazine, 18 novembre 1961, 38.

Parlons d’art, humaines et humains. Tous les humains. Plus fort maintenant. Aidez-moi. – Wolfram F. Niessen, John Cullen Nugent et les sculptures grandeur nature en alliage d’aluminium de grues blanches créées pour le Regina Municipal Airport

Joseph Alphonse Ouimet. Anon., « Le pionnier de la télévision préférait la radio à une bicyclette neuve. » La Patrie, 5 novembre 1961, 26.

« Le pionnier de la télévision préférait la radio à une bicyclette neuve : » Un survol de la carrière de Joseph Alphonse Ouimet, un père fondateur de la télévision canadienne

Une publicité publiée par La traction et le matériel agraires Société anonyme pour le tracteur de jardin américain Beeman Junior. Anon., « La traction et le matériel agraires Société anonyme. » L’Agriculture nouvelle, 12 novembre 1921, 664.

« Les arpents verts, les champs, les bois, les chemins creux, c’est fait pour moi : » La firme américaine Beeman Garden Tractor Company et le tracteur de jardin / motoculteur Beeman Junior ou Modèle G

Une ascension de l’aéronaute et parachutiste foraine Florida Lanthier. Maurice Desjardins, « Dans une modeste maison de Montréal-Nord – Florida Lanthier, reine des parachutistes, vit de couture... et de souvenirs. » Photo-Journal, 8 novembre 1951, 3.

Ombres et lumière dans le ciel du Québec : Un premier regard sur la vie et l’époque de l’aéronaute et parachutiste foraine féminine québécoise Florida Lanthier

L’irradiateur mobile de démonstration monté par Énergie atomique du Canada Limitée. Anon., « Boon to Canadian potato industry. » Saskatoon Star-Phoenix, 21 octobre 1961, 6.

Une patate chaude, deux patates chaudes, trois patates chaudes, quatre : Énergie atomique du Canada Limitée de Chalk River, Ontario, et les premiers jours de l’irradiation des aliments au Canada

Une automobile légère et économique Mathis VL333. Fernand de Laborderie, « Le 33e Salon de l’automobile. » La Nature, 15 octobre 1946, 331.

Une vision d’avenir pour une firme à bout de souffle : L’automobile légère et économique française Mathis VL333

Un Bristol Bolingbroke de reconnaissance côtière destiné à l’Aviation royale du Canada en cours de montage dans l’usine de Fairchild Aircraft Limited, Longueuil, Québec, 1941. Anon., « Les C.F. et la R.C.A.F. » Le Samedi, 18 octobre 1941, (c).

« Nous devons obtenir du matériel aérien et veiller sur nos côtes » – L’Aviation royale du Canada et l’avion de reconnaissance côtière Bristol Bolingbroke

 Le prototype du de Havilland Canada DHC-6 Twin Otter en montre au Musée de l’aviation du Canada, Ottawa, vers 2001. MAEC.

De pôle en pôle et d’horizon en horizon, le Twin Otter était, est et sera là : Une bien brève pontification sur un des meilleurs aéronefs canadiens jamais conçus

Le Royal Aircraft Factory B.E.2 en montre au Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, Ottawa, Ontario, février 2009. Wikipédia.

Le cas étrange et déconcertant des aéroplanes substitués; ou, Même en utilisant les Mathématiques modernes, 4112 n’égale jamais 5878 : La haute histoire du Royal Aircraft Factory B.E.2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, partie 2

Le Royal Aircraft Factory B.E.2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada alors qu’il appartient au Musée canadien de la guerre, Ottawa, Ontario. H.J. (« Titch ») Jenkins, « Correspondence – Ottawa’s – and Sowrey’s – B.E.2c. » Flight, 12 octobre 1961, 600.

Le cas étrange et déconcertant des aéroplanes substitués; ou, Même en utilisant les Mathématiques modernes, 4112 n’égale jamais 5878 : La haute histoire du Royal Aircraft Factory B.E.2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, partie 1

Isidore Joseph Amédée Marsan. Anon., « Isidore Joseph Amédée Marsan. » Le Bulletin des agriculteurs, 17 septembre 1921, couverture.

Un des pionniers de la science agricole au Québec et au Canada: Isidore Joseph Amédée Marsan

Une annonce publicitaire de St. Lawrence Starch Company Limited, Port Credit, Ontario. Anon., « Publicité – St. Lawrence Starch Company Limited. » Le Bulletin des agriculteurs, septembre 1941, 61.

Gratis, magnifiques cartes portant des dessins ou photographies d’aéronefs alliés! Collectionnez-les toutes!

Une automobile Aluminium français-Grégoire, Cité de l’automobile – Musée national – Collection Schlumpf, Mulhouse, France, mai 2010, Wikimédia.

Ent’ deux joints, il a ben fait quequ’chose : Jean Albert Grégoire et ses magnifiques automobiles, Partie 2

 Un exemplaire de l’automobile électrique française CGE-Tudor. C. Faroux, « Un progrès considérable de la voitures électrique. » La Vie automobile, 25 septembre 1941, 284.

Ent’ deux joints, il a ben fait quequ’chose : Jean Albert Grégoire et ses magnifiques automobiles, Partie 1

Le seul et unique exemplaire de l’avion de ligne à long rayon d’action italien Breda Zappata BZ 308. Jacques Gambu. « Breda Zappata BZ 308. » Aviation Magazine, 1er septembre 1951, 21.

Il Constellation italiano, une étoile méconnue du firmament aéronautique de l’Italie : L’avion de ligne à long rayon d’action Breda Zappata BZ 308

Paul Fjeld dans la demeure familiale, Rosemère, Québec. Claude-Lyse Gagnon, « Parti avec $200 en poche – Un jeune Québécois a pu voir décoller Apollo 15. » La Patrie, 15 août 1971, 12.

Espace, frontière de l’infini vers laquelle voyage notre planète, la Terre; voici l’histoire de vie de Paul Fjeld, passionné d’espace et artiste depuis plus d’un demi-siècle

Publicité pour la lager Frontenac Blue Label de National Breweries Limited de Montréal, Québec. Anon., « Publicité – National Breweries Limited. » Le Samedi, 23 août 1941, 12.

La grande victime de la guerre de la bière de Montréal de 1925 : Frontenac Breweries Limited de Montréal, Québec

Un véhicule tout-terrain Karou Karou. Anon., « Opération Camping à Saint-Hilaire. » Photo-Journal, 26 juillet au 1er août 1971, 47.

Tout-terrain, tout-temps, tout-plaisir : Karou Incorporée de Drummondville, Québec, et le véhicule tout-terrain Karou

Le premier exemplaire de production de l’avion d’entraînement avancé Avro Anson de fabrication canadienne équipé d’un fuselage en contreplaqué moulé, lieu inconnu, 1943. MAEC, 23290.

Tout le monde ne sait pas que la fabrication d’aéronefs peut être un sport de contact : Clarence Decatur Howe, Harvey Reginald MacMillan et la production d’avions d’entraînement avancé Avro Anson au Canada, Partie 2

Une paire d’avions d’entraînement avancé Avro Anson de fabrication canadienne utilisée par l’École de pilotage militaire no 10, Base de l’Aviation royale du Canada de Dauphin, près de Dauphin, Manitoba, 1943-44. MAEC, 27297.

Tout le monde ne sait pas que la fabrication d’aéronefs peut être un sport de contact : Clarence Decatur Howe, Harvey Reginald MacMillan et la production d’avions d’entraînement avancé Avro Anson au Canada, Partie 1

Le tout premier tramway électrique exploité par Telegraphen-Bau-Anstalt von Siemens & Halske, Berlin, Empire allemand. Anon., « The first electric railway in Berlin. » Canadian Illustrated News, 9 juillet 1881, 21.

Un tramway nommé Straßenbahn Groß-Lichterfelde, ou, Comment Telegraphen-Bau-Anstalt von Siemens & Halske met en service le premier tramway électrique au monde

L’auteur et pionnier canadien de l’aviation Frank Henry Ellis (au centre) avec les pionniers américains de l’aviation Frank Purdy Lahm (à gauche) et Will D. « Billy » Parker, président de Early Birds of Aviation Incorporated, Los Angeles, Californie. Robert Francis, « Early Birds ». Sunday Sun Magazine, 28 juillet 1951, 5.

Si nous avons vu plus loin, c’est en montant sur les épaules d’un géant : Frank Henry Ellis et Canada’s Flying Heritage

Publicité montrant un tracteur italien SAME Buffalo. Anon., « Publicité – Les Entreprises Biasotto & Hardy (Canada) Incorporée. » Le Bulletin des agriculteurs, juillet 1981, 26.

Ils étaient tous pareils, frères l’un de l’autre : Francesco Cassani, Eugenio Gabriele Cassani et la Società Accomandita Motori Endotermici (SAME)

Un Canadair North Star de British Overseas Airways Corporation, London Airport, Heathrow, Angleterre, septembre 1954. Wikimédia.

Le tour du monde en 80 heures : Quelques pages sur le Canadair North Star, partie 2

Le prototype du Canada North Star, 1946. Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, KM-08329

Le tour du monde en 80 heures : Quelques pages sur le Canadair North Star, partie 1

Une annonce publicitaire pour une faucheuse fabriquée par La Machine Agricole Nationale Limitée de Montmagny, Québec. Anon., « Publicité – La Machine Agricole Nationale Limitée. » Le Bulletin des agriculteurs, 11 juin 1921, 556.

Faites que personne n’oublie que, pendant un moment bref et éclatant, il y a eu La Machine Agricole Nationale Limitée de Montmagny, Québec

La civière Folland / Hawker Siddeley Hoverstretcher en action. Anon., « Airborne comfort. » The Calgary Herald, 9 juin 1961, 19.

Développer le germe d’une idée: Maurice Joseph Brennan et ses aéroglisseurs

Des mères et enfants prêtes à monter à bord d’un des avions de ligne Douglas DC-3 convertis en Nurseryliner par United Air Lines Incorporated, San Francisco, Californie, avril ou mai 1946. Anon., « Service aérien pour bébés. » Photo-Journal, 20 juin 1946, 12.

Asseyez-vous, détendez-vous et profitez du voyage – Des bébés dans l’avion : United Air Lines Incorporated et son service Nurseryliner

L’ingénieur et astronome amateur canadien James Hargreaves avec un instrument qu’il a fabriqué lui-même. Jean Taillefer, « Un voyage de 180 jours au Soudan, en Afrique; une expérience astronomique de 180 secondes. » Le Droit, 16 juin 1951, 13.

« Un savant d’Ottawa fait un sacrifice pour la science: » L’ingénieur et astronome amateur canadien James Hargreaves et ses voyages autour du globe

Le prototype de l’avion de brousse Fairchild F-11 Husky peu avant son premier vol, juin 1946, Musée de l’aviation et de l’espace du Canada KM-05311.

Chien-chien, tu es doué, très doué, mais tant que le rongeur sera dans le métier, tu ne seras jamais que le second : La brève mais longue histoire de l’avion de brousse Fairchild F-11 Husky

Un dessin écorché de l’avion de brousse canadien Fleet Modèle 50 Freighter. Anon., « Fleet’s Trainer and Transport. » Aviation, mai 1941, 61.

Il aurait pu (et dû?) être un des grands : L’avion de brousse canadien Fleet Modèle 50 Freighter

Wilfrid-Henri Perron. Claude Asselin, « Une encyclopédie québécoise pour les horticulteurs. » Photo-Journal, 3 au 9 mai 1971, 12.

Chez Perron, tout est bon : Un géant de l’horticulture québécoise et canadienne, Wilfrid-Henri Perron (1897-1977)

Le cyclecar / vélomobile / vélocar / automouche à pédales et / ou moteur auxiliaire Le Dauphin. Edmond Massip, « Un cyclecar à pédales et moteur auxiliaire. » La Vie automobile, 25 mai 1941, 153.

Le cyclecar / vélomobile / vélocar / automouche à pédales et / ou moteur auxiliaire Le Dauphin : Une solution (extrême?) à la pénurie de carburant à Paris au cours de l’occupation allemande pendant la Seconde Guerre mondiale

L’autogire Pitcairn PCA-2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada lors de sa grande tournée aux États-Unis, alors qu’il appartient à Sealed Power Corporation. Anon. « Pohled na Ciervovu autogiro za letu. » Letectvi, novembre 1932, 310.

« ’Moulin à vent volant’ ici mercredi » : Le grand périple de Donald Walker et du Pitcairn PCA-2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, partie 2

L’autogire Pitcairn PCA-2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada au moment où il appartenait à Standard Oil Company of New York. Anon., « Publicité – Standard Oil Company of New York. » Aviation, mai 1931, 22.

« ‘Moulin à vent volant’ ici mercredi » : Le grand périple de Donald Walker et du Pitcairn PCA-2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, partie 1

Une annonce publicitaire sobre et sans fioriture d’Elzéar Fortier Limitée de Québec, Québec. Anon., « Publicité – Elzéar Fortier Limitée. » L’Action catholique, 8 avril 1946, 9.

C’était un malin: Elzéar Fortier et la production de boissons gazeuses à Québec, Québec

Youri Alekseïevitch Gagarine et Charles Augustus Lindbergh. La légende de ces photographies mentionne la ressemblance frappante entre ces personnes importantes du monde de l’astronautique et de l’aéronautique. Anon., « Lancement du premier homme dans l’espace – Comment se sont déroulés les événements en Union soviétique. » La Tribune, 13 avril 1961, 24.

C’était aussi un petit pas pour un homme, un pas de géant pour l’humanité : Le vol dans l’espace de Youri Alekseïevitch Gagarine dans la presse francophone québécoise, 12-15 avril 1961, partie 2

Le major Youri Alekseïevitch Gagarine au cours de sa visite à Helsinki, Finlande, juillet 1961. Wikimédia.

C’était aussi un petit pas pour un homme, un pas de géant pour l’humanité : Le vol dans l’espace de Youri Alekseïevitch Gagarine dans la presse francophone québécoise, 12-15 avril 1961, partie 1

Claire Wallace, animatrice de radio de Canadian Broadcasting Corporation interviewant Diana Jocelyn Dudley, ingénieure en aménagement intérieur de Trans-Canada Air Lines, janvier 1946. Anon. « Air Transportation – Radio Broadcast over Niagara. » Canadian Transportation, avril 1946, 200.

Pas un endroit pour une dame?! Baliverne! : Diana Jocelyn Dudley et Janet Elizabeth Lowe, les premiers ingénieurs en aménagement intérieur des Lignes aériennes Trans-Canada

Peter Müller aux commandes [sic] du Pedroplan, Berlin, Allemagne, mars 1931. Anon., « Cologne contre Marseille – Le mystère du ‘Pédroplan.’ [sic] » Les Ailes, 2 avril 1931, 14.

Je veux faire voler ma bicyclette, je veux faire voler mon cerf-volant : Peter Müller et le Pedroplan

L’aéroglisseur Phillips Saucercraft, Mount Hope, Ontario. Anon., « Flying saucer crack-up. » The Calgary Herald, 2 mars 1961, 1.

Un ONVI (Objet non volant identifié) des plus intrigants : L’aéroglisseur Phillips Saucercraft

La Dre Ann Elizabeth Noelle Grace s’occupant d’un de ses patients, Montreal General Hospital, Montréal, Québec. Claude Adams, « An eye-opener for our reporter – Team of women doctors shatters Ben Casey myth. » The Gazette, 3 mars 1971, 31.

Briser le mythe de Ben Casey et James Kildare : La première femme chirurgien pédiatrique du Canada, la Dre Ann Elizabeth Noelle Grace

Une publicité de Langlais & Frère Incorporée de Québec, Québec, vantant les mérites du tracteur Zetor 25. Anon. « Publicité – Langlais & Frère Incorporée. » L’Action catholique, 3 mars 1951, 14.

De leurs épées, ils forgeront des socs de charrue; ou, Un bref regard sur la société d’état tchèque Zbrojovka Brno Národní Podnik

 Quelques personnalités présentes lors l’inauguration de l’École d’avionnerie de Cartierville, Cartierville, Québec, 3 mars 1941. Anon., « À l’inauguration de l’École d’avionnerie de Cartierville. » La Presse, 4 mars 1941, 19.

Une réalisation magnifique, pleine de promesses d’avenir, balayée par l’esprit étroit de Maurice Le Noblet Duplessis : L’École d’avionnerie de Cartierville

La présentation du premier Boeing Modèle 747 d’Air Canada à l’Aéroport international de Montréal-Dorval, Dorval, Québec. Anon., « Des milliers de personnes ont vu le géant des airs. » La Presse, 22 mars 1971, A 1.

66 327 personnes ne peuvent pas avoir tort, mais elles peuvent avoir froid : La présentation du premier Boeing Modèle 747 d’Air Canada à l’Aéroport international de Montréal-Dorval

 Le Fokker D.VII du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, mars 2019. MAEC.

Un des grands aéronefs de combat du 20ème siècle et un des nombreux joyaux d’un des plus remarquables musées de l’aviation et de l’espace de la planète Terre : Le Fokker D.VII et l’avion du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada

Une publicité de Équipements Ascot Incorporée de Saint-Élie-d’Orford, Québec, vantant les mérites du tracteur UTB U530. Anon. « Publicité – Équipements Ascot Incorporée. » Le Bulletin des agriculteurs, février 1981, 28.

De leurs ailes, ils forgeront des socs de charrue; ou, Un bref regard sur la société d’état roumaine Uzina Tractorul Braşov

Un dessin éditorial mettant en lumière le lancement de la sonde planétaire soviétique Venera 1 en février 1961. Edmund Alexander Sebestyen, « To Venus With Love. » Saskatoon Star-Phoenix, 14 février 1961, 4.

Essayer de lever les voiles sous lesquels Vénus se cachait de notre regard : La saga de la sonde planétaire soviétique Venera 1

Un Jacobs Jaycopter au repos, Edmonton, Alberta. Lyn Harrington, « Cutting helicopter training cost. » Canadian Aviation, février 1961, 20.

Un simulateur d’hélicoptère avec une différence : il vole – Le Jacobs Jaycopter canadien

Dessin éditorial montrant le roi Neptune offrant sa couronne à l’équipage du English Electric Canberra qui traverse l’Océan Atlantique en février 1951. Charles R. Knight, « Ready to Abdicate. » The Windsor Daily Star, 22 février 1951, 4.

Quelques milliers de mots sur le English Electric Canberra / Martin B-57 Canberra et le petit rôle joué par Canadair Limited dans son histoire

Le premier exemplaire de série de l’hélicoptère Piasecki HUP Retriever. Anon., « News Picture Highlights. » Aviation Week, 15 janvier 1951, 9.

« Shoe, » Retriever, « Hupmobile » ou Army Mule – un HUP sous tout autre nom est encore un HUP : Les hélicoptères Piasecki HUP Retriever et H-25 Army Mule, et le HUP du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada

Une vue du barrage de Warsak, nord du Pakistan occidental. Anon., « Inauguration du barrage de Warsak. » Le Droit, 27 janvier 1961, 12.

Franchement, ma chère / mon cher, nous avons donné un barrage : Le Canada et le barrage de Warsak au Pakistan

Un des premiers de Havilland Canada Chipmunk importés au Royaume-Uni. Anon., « De Havilland [Canada] DHC-1 ‘Chipmunk.’ » Aviation Magazine, 1er janvier 1951, couverture.

Un Tamias striatus gambadant dans les nuages : Le de Havilland Canada Chipmunk

Le 5ème de Havilland Canada AC-1 Caribou de présérie. Larry Booda, “Aeronautical Engineering – Aviation Week Pilot Report – STOL Caribou Calls for Special Handling.” Aviation Week and Space Technology, 23 janvier 1961, 56.

Un camion volant qui a donné de la mobilité aux soldats de l’ère atomique : Le de Havilland Canada Caribou

La voiture lunaire Oberth telle qu’imaginée en 1960. I.M. Levitt, « Le problème du transport sur la Lune. » L’Action catholique, 10 juillet 1960, 5.

Je ne suis tout simplement pas sûr que ce véhicule a été bien pensé : La voiture lunaire du pionnier de l’astronautique Hermann Julius Oberth

La Ferrari 512 Pininfarina Modulo, en montre lors de l’édition 1971 du Salon international de l’Auto de Montréal, Montréal, Québec. Jean D. Legault, « Une première mondiale et 12 continentales. » La Patrie, 17 janvier 1971, 31.

Une des automobiles de rêve les plus célèbres de tous les temps : La Ferrari 512 Pininfarina Modulo

Publicité pour le moins sobre pour la bière d’épinette La Canadienne de F.A. Fluet Enregistré. Anon., « Publicité – F.A. Fluet Enregistré. » L’Action catholique, 4 janvier 1951, 5.

Une petite bière qui n’était pas de la petite bière : F.A. Fluet Enregistré de Québec, Québec, et la bière d’épinette La Canadienne

Une scène croquée lors du lancement du Jeu de l’électricité par Éditions Héritage Incorporée, Montréal, Québec, 6 novembre 1968. Anon., « –. » Le Devoir, 6 novembre 1968, 11.

A B C Abécédaire. Viens avec nous autour de la Terre : L’émission de télévision éducative pour enfants Tour de Terre de la Société Radio-Canada

Une publicité vantant les mérites du Vin St.Georges. Anon. « Publicité – T.G. Bright & Company Limited. » Le Bulletin des agriculteurs, décembre 1940, 2.

Pour régaler la famille pendant les Fêtes, n’oubliez pas le Vin St.Georges : Un bref regard sur un pionnier de l’industrie vinicole canadienne, T.G. Bright & Company Limited

Le Bell Modèle 47 utilisé par Airspray Limited, Ontario. Anon., “Helicopter – Down on the Farm.” Canadian Aviation, septembre 1947, 25.

Dans la ferme de Mathurin, hiya hiya ho. Il y a des centaines de Bell, hiya hiya ho : Quelques mots de plus sur les premiers jours de l’aviation agricole au Canada

Une publicité annonçant la mise en service de l’avion de ligne court et moyen-courriers Vickers Vanguard des Lignes aériennes Trans-Canada. Anon., « Publicité – Trans-Canada Air Lines. » Maclean’s, 3 décembre 1960, 8-9.

Du « gros Viscount » au Merchantman : Le voyage abrégé du Vickers Vanguard

Le Convair 580 utilisé par le Centre canadien de télédétection de Ressources naturelles Canada, Aéroport international MacDonald-Cartier d’Ottawa, Ottawa, Ontario, septembre 2001. Wikipédia.

C’était un des grands : L’aéronef de télédétection Convair 580 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada

Un aéronef agricole Air Tractor AT-502 utilisé par Southeastern Aerial Crop Service Incorporated, Belle Glade State Municipal Airport, Floride, juin 2013. Wikipédia.

Des ailes au-dessus du monde : Le turbopropulseur et turbomoteur PT6, Partie 2

Le premier turbopropulseur conçu au Canada, le PT6 de Canadian Pratt & Whitney Aircraft Company Limited. Anon., « Publicité – Canadian Pratt & Whitney Aircraft Company Limited. » The Gazette, 14 novembre 1960, 24.

Des ailes au-dessus du monde : Le turbopropulseur et turbomoteur PT6, Partie 1

Les 14 volumes de l’édition 1960 de L’Encyclopédie de la jeunesse de Grolier Limitée. Anon., « Publicité - Grolier Limitée. » La Tribune - Perspectives, 12 novembre 1960, 31.

Un livre de connaissance : L’Encyclopédie de la Jeunesse

Roxana Hartley et M. Jolie / lord Robert Brummel, les principaux protagonistes de la pièce américaine de 1930 Dancing Partner, Belasco Theatre, New York, New York. Anon., « The Stage Goes ‘Air-minded’. » Scientific American, novembre 1930, 355.

Une pièce dans un avion, et un avion dans une pièce : Dancing Partner, 1930

Le Supermarine Spitfire exposé pour le 20ème anniversaire de la bataille d’Angleterre, Colline du Parlement, Ottawa, Ontario, 18 septembre 1940. Anon., « News roundup – Battle of Britain Ceremonies. » Aircraft, novembre 1960, 58.

Un cadeau pour le ciel : Le Supermarine Spitfire Mk IIb du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada

Certains des montages du Musée national de l’air, Aéroport de Uplands, Ottawa, Ontario, début des années 1960. MAEC, numéro de négatif 4446.

Bonne fête à nous. Bonne fête à nous. Bonne fête cher MAEC. Bonne fête à nous : Quelques mots sur les premiers jours, semaines, mois et années du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada

Une reproduction (grandeur nature?) un tant soit peu inexacte de Spoutnik I en montre à Prague, Tchécoslovaquie, dans le cadre d’une exposition commémorant le 40ème anniversaire de la Grande révolution socialiste d’octobre. Anon., « Modèle du satellite russe. » Le Nouvelliste, 10 octobre 1957, 1.

Le Québec / Canada et le satellite le plus simple, le vaisseau spatial PS-1, autrement dit Spoutnik I : Un survol de ce qui se publie dans la presse québécoise francophone entre les 5 et 12 octobre 1957, Partie 4

Pierre Dorion, « L’ère des émotions. » La Presse, 9 octobre 1957, 4.

Le Québec / Canada et le satellite le plus simple, le vaisseau spatial PS-1, autrement dit Spoutnik I : Un survol de ce qui se publie dans la presse québécoise francophone entre les 5 et 12 octobre 1957, Partie 3

Le satellite le plus simple ou vaisseau spatial PS-1, autrement dit Spoutnik I, un peu avant son lancement, septembre 1957. NASA.

Le Québec / Canada et le satellite le plus simple, le vaisseau spatial PS-1, autrement dit Spoutnik I : Un survol de ce qui se publie dans la presse québécoise francophone entre les 5 et 12 octobre 1957, partie 2

Un dessin un tant soit peu inexact du vaisseau spatial PS-1, autrement dit Spoutnik I, en orbite autour de la Terre. Anon., « Fusées et satellites seraient invincibles. » Le Soleil, 8 octobre 1957, 1.

Le Québec / Canada et le satellite le plus simple, le vaisseau spatial PS-1, autrement dit Spoutnik I : Un survol de ce qui se publie dans la presse québécoise francophone entre les 5 et 12 octobre 1957, Partie 1

Eldon Douglas McEarchern travaillant sur son Piper PA-18 Super Cub agricole sous le regard d’un de ses fils, Carman, Manitoba. Anon., « Les fermiers volants de l’ouest canadien ». Le Samedi, 22 octobre 1960, 25.

Oh, quel matin magnifique! Oh, quelle journée magnifique! : Un aperçu de la première décennie du mouvement des fermiers volants au Canada

 Une des batteuses remorquées conçues et fabriquées par Dion & Frère Incorporée de Sainte-Thérèse-de-Blainville, Québec. Anon., « Publicité – Dion & Frère Incorporée. » Le Bulletin des agriculteurs, septembre 1940, 47.

Un siècle de technologie et d’innovation agricoles dans la région québécoise des Laurentides : De Dion & Frère à Dion-AG

Jani Moreau, agente de bord, telle qu’imaginée par l’artiste Nicole Lapointe. Anon., « Un nouvel illustré : Jani hôtesse de l’air. » Claire, 15 septembre 1960, couverture.

Elle n’est pas une serveuse dans le ciel : Jani hôtesse de l’air et quelques mots sur la présence des agentes de bord dans la culture populaire

Une furieuse Clara déchiquetant le biplan Curtiss piloté par George F. Russell, Dongan Hills, New York, 10 septembre 1910. Anon., "La vache et l’aéroplane". Le Petit Journal - Supplément illustrée, 25 septembre 1910, 312.

Une rencontre rapprochée de type étrange et inhabituel, ou, Comment Clara la vache a rencontré un biplan Curtiss à Staten Island, New York, New York

Le premier avion de ligne Douglas DC-3 livré aux Lignes aériennes Trans-Canada, Aéroport de Montréal (Dorval), Dorval, Québec, vers 1945-48. MAEC, numéro de négatif 25515

Un rutilant exemplaire d’un des aéronefs les plus célèbres et importants du 20ème siècle : Le Douglas DC-3 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada

Le premier avion léger /privé Fleet Modèle 80 Canuck, Fort Erie, Ontario, mars 1946. Cet aéronef appartient à Sturgeon Air Services Limited de Fredericton, Nouveau-Brunswick. MAEC, négatif numéro KM-07962

Enseigner à voler car il a des ailes : L’avion léger / privé canadien Fleet Modèle 80 Canuck

Un Zenair CH-701 fabriqué sous licence par Czech Aircraft Works Společnost s ručenim omezeným, Oshkosh, Wisconsin, juillet 2011. Wikimédia.

Née dans un garage, mais maintenant le monde entier est un marché pour Zenair Limited : Un coup d’œil sur les concepts de l’ère de la Guerre froide de Christophe Jean Heintz, partie 2

Christophe Jean Heintz aux commandes du Heintz Zenith. Anon., « –. » Aviation magazine international, 15 au 31 août 1970, couverture.

Née dans un garage, mais maintenant le monde entier est un marché pour Zenair Limited : Un coup d’œil sur les concepts de l’ère de la Guerre froide de Christophe Jean Heintz, partie 1

Le satellite-ballon Echo 1A au cours d’un essai de gonflement, 1960. National Aeronautics and Space Administration.

Les merveilleux ballons en plomb de Claude Williams Coffee, Junior, Walter Edward Bressette et William J. O’Sullivan : Les satellites-ballons Echo au Québec et ailleurs, Partie 2

Le satellite-ballon Echo 1A filant dans le ciel, au-dessus de l’École normale de Chicoutimi, Chicoutimi, Québec. Dominique Lapointe, « Une visite qui nous est devenue familière – L’Écho 1 continue à se promener tous les soirs sur notre région. » Le Progrès du Saguenay, 27 août 1960, 7.

Les merveilleux ballons en plomb de Claude Williams Coffee, Junior, Walter Edward Bressette et William J. O’Sullivan : Les satellites-ballons Echo au Québec et ailleurs, Partie 1

Un des Found FBA-2 de Georgian Bay Airways Limited. H.L. « Des US et du Canada 2 formules d’avions légers – 1 Le Found ‘Flying Truck.’ » Aviation magazine international, 1er juillet 1964, 39.

Un petit camion volant ontarien déménagé au pays des kiwis : L’avion de brousse Found FBA-2

Le seul et unique Cushioncraft CC1, initialement connu sous le nom de Britten-Norman BN-1 Cushioncraft / CC1 Cushioncraft. Anon., "News Digest - New Cushion-rider." Aviation canadienne, août 1960, 46.

À l’époque, ça semblait être une bonne idée : Les bananes du Cameroun britannique et l’aéroglisseur Cushioncraft CC1

Le seul et unique Canadian Car & Foundry CBY-3 Loadmaster. MAEC, numéro de négatif 17826.

Les huit vies d’un wagon de marchandises volant unique, le Canadian Car & Foundry CBY-3 Loadmaster

La fusée atomique / nucléaire pulsée imaginée par l’illustrateur américain bien connu Francis Xavier Theban Tinsley. Anon., « Publicité – American Bosch Arma Corporation. » Aviation Week, 4 juillet 1960, 13.

Un méchant souffle du passé : Francis Xavier Theban Tinsley et la fusée atomique / nucléaire pulsée

Walter Thomas Leavens examinant les coupes qui entraînent l’agitateur monté à l’intérieur de la trémie de l’avion léger / privé Piper J-5 Cub Cruiser utilisé par Leavens Brothers Air Services Limited. Anon., « Crop Dusting with a Cub. » Canadian Aviation, juillet 1945, 50.

Désherbez-les et récoltez : Leavens Brothers Air Services Limited et les premiers jours de l’aviation agricole en Ontario / au Canada après la Seconde Guerre mondiale

L’Aviateur du Pacifique.

Un roman d’anticipation et de guerre de la Belle Époque : L’Aviateur du Pacifique du capitaine Danrit (Émile Driant)

Le planeur à réaction Fouga CM.8 Cyclone / Sylphe. Anon., “–.” Aviation Magazine, 1er juin 1950, couverture.

J’aime les nuages… les nuages qui passent… là-bas… là-bas… les merveilleux nuages! Les Établissements Fouga et Compagnie et ses planeurs à réaction

La voiturette Sharp / Bond Minicar Mk A présentée à la population de Montréal, Québec, par le concessionnaire Budd & Dyer Limited. Anon., « Jusqu’à 110 milles au gallon. » La Presse, 10 juin 1950, 26.

Une voiturette conçue à une époque d’austérité : La Bond Minicar

Un hydroplaneur Koser / Koser-Hrovat KB-3 Jadran, mer Adriatique, été 1949. En arrière-plan, le navire à passagères et passagers côtier Dalmacija de la firme maritime d’état Jadranska Linijska Providba. Anon., « Gliding and sailplanes in Yugoslavia. » Sailplane and Glider, juin 1950, 125.

Au-dessus des étangs, au-dessus des vallées : L’hydroplaneur Koser / Koser-Hrovat KB-3 Jadran

Le tsar Nikolaï II, à gauche, les mains derrière le dos, regardant les aéroplanes qui ont participé à la Sankt-Peterburgskaya aviatsionnaya nedelya, Saint-Pétersbourg, Empire russe. Anon., « Nouvelles sportives – Le tsar chez les aviateurs. » La Revue aérienne, 10 juin 1910, 349.

Miracle des miracles, regardez ce que l’avion a ramené : La Sankt-Peterburgskaya aviatsionnaya nedelya

Le Danois Jan Bo Kristensen effectuant un atterrissage de précision avec un parachute-voile lors d’une compétition nationale organisée par la Dansk Faldskærms Union, Randers, Danemark, août 2005. Wikipédia.

L’imagination est le plus haut cerf-volant que l’on puisse faire voler : La vie et l’époque d’un maître du vent, Domina Cléophas Jalbert, Partie 2

Domina Cléophas Jalbert, à gauche, et Hamnett Pitzer Munger avec un des ballons cerfs-volants fabriqués par Jalbert Aerological Laboratory Incorporated pour étudier la pollution atmosphérique. Anon., « Ce que devient un jouet d’enfant. » La Presse, 23 mai 1950, 3.

L’imagination est le plus haut cerf-volant que l’on puisse faire voler : La vie et l’époque d’un maître du vent, Domina Cléophas Jalbert, Partie 1

Deux des jeunes employés de Ontario Model Aircraft Company au travail, Toronto, Ontario. Arthur Lowe, « Kindergarten of the Air. » Maclean’s, 1er mai 1940, 24.

Une maternelle pour l’ère de l’aviation : Ontario Model Aircraft Company / Model Craft Hobbies Limited et quelques autres mots sur l’aéromodélisme au Canada avant et pendant la Seconde Guerre mondiale

Le seul et unique Monte-Copter Modèle 15 Triphibian, Seattle, Washington. Anon., « World Air News. » Air Pictorial, mai 1960, 167.

Le jour des triphibes : Monte-Copter Incorporated et l’hélicoptère Modèle 15 Triphibian

Le petit chéri de Vladislav Verner, le Verner W-01 Brouček. Anon., « Private Flying. » Flight International, 14 mai 1970, 806.

Malé letadlo a skvěly příběh / Un petit avion et une grande histoire : L’avion de construction amateur Verner W-01 Brouček

La caisse contenant le Blériot Type XI de Jean Versailles sur le camion hippomobile spécialement équipé de Shedden Forwarding Company Limited, Montréal, Québec. Anon., « Le premier aéroplane à Montréal. » La Presse, 28 mai 1910, 12.

Montréal a son premier aéroplane : Le Blériot Type XI de Jean Versailles et William Carruthers

Personnel au sol chargeant des approvisionnements dans la soute à bombes d'un Avro Lancaster du 514e escadron de la Royal Air Force au cours de l'opération Manna, le largage de nourriture à la population néerlandaise affamée.

Il leur donna le pain du ciel à manger : Quelques mots sur l'opération Manna et l'opération Chowdown, avril-mai 1945

Un garçon et des éléments d’un jouet exposé à l’édition de 1950 de la foire des jouets de New York, New York : Stefan Olsen et la chambre à nuages du Gilbert Atomic Energy Lab. Anon., “Initiation atomique.” Photo-Journal, 13 avril 1950, 20.

Un des jouets les plus dangereux de tous les temps : Le Gilbert Atomic Energy Lab

Un des Aeronautica Macchi AL-60 utilisés au Canada par Northwest Industries Limited pour intéresser des clients potentiels, Edmonton, Alberta. Anon., « Aeronews. » Air Progress, juillet 1969, 15.

Un L-402 sous tout autre nom est encore un L-402 – ou un AL-60 ou un Conestoga ou un Ranger ou un Santa Maria ou un Trojan, à moins qu’il ne soit un Kudu, Partie 2

Le premier prototype du Lockheed L-402. Anon., « Le Lockheed-Azcarate C.L.-402. » Les Ailes, 16 avril 1960, 1.

Un L-402 sous tout autre nom est encore un L-402 – ou un AL-60 ou un Conestoga ou un Ranger ou un Santa Maria ou un Trojan, à moins qu’il ne soit un Kudu, Partie 1

Une des publicités publiées dans des quotidiens québécois pour promouvoir la nouvelle automobile Glas Goggomobil T700. Anon., « Publicité - Eugène Roy Limitée. » La Presse, 1er avril 1960, 39.

À la recherche de… la Glas Isar / Isard T700, une automobile précédemment connue sous le nom de Goggomobil T700

Le traîneau aérien conçu et fabriqué par Kenneth J. Richards. Anon., « Traîneau moderne. » L’Auto, 9 février 1940, 1.

La semaine mystérieuse magique attend pour vous emporter, ou, Est-ce que quelqu’un dans la blogosphère sait quoi que ce soit sur le traîneau aérien Richards ou le traîneau aérien Lawrence?

De gauche à droite, Boum-Boum, Ba-Ba et Bi-Bi, en d’autres mots les Lunours. Anon., “Toute la vérité sur la soucoupe de St-Bruno –Un coup monté de $100,000.” Photo-Journal, 23 février au 1er mars 1970, 1.

Nous sommes Bi-Bi Ba-Ba Boum-Boum: La saga des Lunours

Un exemplaire du turboréacteur suédois STAL Skuten en montre, sous bonne garde, à Stockholm, Suède. Anon., « Production – First Swedish Turbojet Revealed. » Aviation Week, 27 mars 1950, 36.

Un conte de deux moteurs, ou quatre, ou même six : Les STAL Skuten, Dovern et Glan

Frances Marian « Poppy » Northcutt dans une des expositions sur l’espace du Palais de la Découverte, un centre des sciences à Paris, France, pas au Texas. Anon., « Astronautique – ‘Poppy’ à Paris. » Aviation Magazine International, 15 au 31 mars 1970, 42.

Ses parents trouvent qu’elle fait un métier passionnant, mais ils aimeraient qu’elle se marie : Frances Marian « Poppy » Northcutt à la NASA et au-delà

Turi Widerøe parlant avec une agente de bord dans un avion de ligne à réaction Sud Aviation SE 210 Caravelle de Scandinavian Airlines System Denmark-Norway-Sweden. J.-C Fortin. « SAS ne compte qu’une seule femme pilote de ligne : Turi Wideroe. » Le Petit Journal, 1er mars 1970, 28.

Turi Widerøe est passée en coup de vent à Montréal l’autre jour

Quelques aspects de la quatrième exposition d’automobiles et de bateaux de Montréal. Anon., « Ouverture de l’exposition d’automobiles et de yachts. » La Presse, 28 mars 1910, 1.

Une semaine au Coliseum : L’exposition d’automobiles et de bateaux de Montréal de 1910 et les premiers aéroplanes en exposition au Québec / Canada

La docteure Margaret Beznak avec un de ses sujets de recherche. Elizabeth Motherwell, « Elle succède à son mari à la tête de la faculté de physiologie de l’U. d’Ottawa. » La Tribune, 3 février 1960, 17.

Un exemple stellaire de la contribution faite par les gens qui choisissent le Canada : Quelques mots sur la vie et l’époque de la docteure Margaret Beznak

Les sœurs Maria Cleofas et Maria Innocenza des Sœurs franciscaines de Saint-Louis de Gonzague à bord d’un avion léger / privé AVIA / Lombardi FL.3 au cours de leur formation de pilote, Turin, Italie. Anon., « Le ciel leur appartient. » Le Soleil / Perspectives, 20 février 1960, 12.

Sœur Bertrille n’est pas la première sœur volante, ou, Parlons des sœurs Maria Cleofas et Maria Innocenza – et de sœur Mary Aquinas aussi

Le Bellanca CH-300 Pacemaker du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada à Ottawa, Ontario, vers 2007. Wikipédia.

Si loin de chez lui : Le Bellanca CH-300 Pacemaker du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, Partie 2

Un Bellanca CH-300 Pacemaker utilisé par Alaska Coastal Airlines, Incorporated, Juneau, Alaska. Cet hydravion à flotteurs est maintenant exposé au Musée de l’aviation et de l’espace du Canada à Ottawa, Ontario. Keith Petrich, “Bush Flying Is Dead.” Air Trails Pictorial, février 1945, 26.

Si loin de chez lui : Le Bellanca CH-300 Pacemaker du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, Partie 1

Une voiturette New-Map / Rolux Baby typique. Anon., « La voiturette ‘Baby VB-60’ à Québec au milieu de février. » L’Action catholique, 14 janvier 1950, 12.

La voiture qui est plus économique que le tramway : La voiturette New-Map / Rolux Baby

Charles Aznavour avec le véhicule tout-terrain Beehoo / Magna Amphicat qu’il examine, Montréal, Québec. Sa fille Seda est près de lui. Suzanne Piuze, « Aznavour m’a dit… » La Patrie, 25 janvier 1970, 20.

J’aimerais en posséder une; son mon bateau, ce serait épatant : Le voyage hors route du Beehoo / Magna Amphicat

L’habitat lunaire imaginé par Rocco G. « Roy » Scarfo. Anon., « C’est écrit dans le ciel. » La Patrie du dimanche, 24 janvier 1960, 6.

Il était un des grands : Rocco G. « Roy » Scarfo, peintre de l’espace, et le monde au-delà de demain

Démonstration de la légèreté du turboréacteur Williams Jet No.1. Anon., « 23-lb Turbojet Develops 70 lb. Of Thrust. » Aviation Week and Space Technology, 18 janvier 1960, 126.

Ce moteur est peut-être un peu lourd mais son sourire demeure toujours : Le Williams Jet No. 1 et ses successeurs

L’avion de ligne General Development / Christmas, près de New York, New York. Anon., “Potężny łoskot silników powietrznych gigantów powitał rok nowy.” Lot Polski, janvier 1930, 1.

Le puissant rugissement des moteurs des géants des airs saluent la nouvelle année : La troublante saga de William Wallace Whitney Christmas

Quelques actrices et acteurs ayant contribué au succès de la série télévisée de science-fiction québécoise Opération-Mystère, 1958. De gauche à droite, Luce Guilbeault, Marcel Cabay, Georges Groulx, Louise Marleau et Hervé Brousseau. Société Radio-Canada.

Opération-Mystère, une série télévisée qui répond aux goûts de la génération des spoutniks et des soucoupes volantes

Le pont en aluminium d’Arvida, Arvida / Saguenay, Québec. Anon., « Premier pont tout en aluminium. » Le Petit Journal, 4 décembre 1949, 51.

Sur le pont d’Arvida, un site historique national de génie civil, on y danse, on y danse

Le Piaggio P-7 au repos dans son élément. Joaquin de la Llave y Sierra, « Antes y después de la Copa Schneider. » Aérea, décembre 1929, 8.

Si vous ne réussissez pas du premier coup, essayez, essayez, essayez, essayez, essayez encore : L’étrange histoire du Piaggio P-7

Une affiche du film de science-fiction japonais Uchû Daisensô

Uchû Daisensô, ou, Une bataille dans l’espace extra-atmosphérique en provenance du pays du Soleil levant

La toute première automobile / voiturette Zar Zar-Car, Windsor, Ontario. Arthur Prévost, « La première auto entièrement canadienne bientôt en vente! » Le Petit Journal, 25 octobre 1959, 67.

À la recherche d’une voiture canadienne : La Zar de toutes les Windsor

L’astrophysicienne soviétique Alla Genrikhovna Masevitch et sa fille, Natasha Josifovna Friedlander. Sam Schecter, “Deux Canadiens en Russie – Rencontres avec l’élite russe.” Le Soleil / Perspectives, 26 septembre 1959, 11.

Son nom est Masevitch, Alla Genrikhovna Masevitch

L’ornithoptère University of Toronto Institute for Aerospace Studies Great Flapper au cours d’essais, Malton, Ontario, 2005. http://www/ornithopter.net

Voler, comme dans un rêve : La saga du Great Flapper

Beth Ross posant pour un photographe alors qu’elle nettoie le fragment principal de la chondrite de Dresden devant le bureau de The Dresden News. Anon., “Adding lustre to meteor that startled a province.” Toronto Daily Star, 13 juillet 1939, 1.

L’art de la négociation en Ontario rural; ou, La triste histoire de la chondrite de Dresden

L’ingénieur canadien Owen Eugene Maynard avec une maquette du véhicule lanceur Convair Atlas surmonté d’une capsule spatiale McDonnell Mercury, 1962. Roger Nadeau, « Une foule de techniciens canadiens ont pris part au vol d’Apollo 11. » Le Petit Journal, 20 juillet 1969, 4.

Le petit gars de Sarnia qui a mis le premier humain sur la Lune

Le premier Taylor J.T.1 Monoplane, White Waltham, Angleterre. Anon., « Sport and Business. » Flight, 19 juin 1959, 839.

Tinker, Taylor, monoplan

Trois des interprètes du téléroman Amour, délices et cie, avec son concepteur, Joseph Louis Réal Giguère, Montréal, Québec. François Piazza, « Sur les ailes de Télé-Métropole – Amour, délices et cie s’envole. » Photo-journal, du 18 au 25 juin 1969, 44.

Amour, délices et cie

Un prototype du traîneau aérien Kamov Sever-2 dans son élément. Anon., « ’Mail Train’ to North. » The Gazette, 26 mars 1959, 2.

Oh quel plaisir de faire une promenade dans un Kamov Sever-2

La voiture concept SIMCA Fulgur. Aux commandes se trouve la parachutiste et mannequin française Colette Duval. Anon., « Actualités. » La Patrie du dimanche, 1er mars 1959, 2.

Elle est fulgur, fulgur, fulgur, fulgurable

La montgolfière Spirit of Canada. Peter Calamai, “Lots of hot air and a high old time.” Canadian, 26 août 1967, 14.

Ce merveilleux fou volant et sa drôle de machine

La section de route surveillée par le radar de vitesse de la Connecticut State Police, près de Glastonbury, Connecticut. Anon., “L’actualité en images – Pièges à comboys.” La Patrie, 16 février 1949, 14.

Les pièges à cowboys ne datent pas d’hier

Cecil George Armitage aux commandes d’un Aérodoo, rivière Richelieu, Québec, novembre 1968. Anon., « Et maintenant… l’Aérodoo. » Vallée de la Petite Nation, 30 janvier 1969, 15.

Le candidat mancunien; ou, comment flotter près du sol avec la plus grande facilité

Quelques membres de la Ligue des avions miniatures de Montréal en train d’examiner le modèle réduit radiocommandé alors en construction. Christian Verdon, « Avion-miniature contrôlé par la radio. » La Patrie, 7 janvier 1939, 44.

Une ligue à eux: L’histoire longtemps oubliée de la Ligue des avions miniatures de Montréal

Une affiche du film From the Earth to the Moon, la version originale anglaise de De la Terre à la Lune

Jules Gabriel Verne n’aurait pas été amusé : De la Terre à la Lune

Une image du générique de CF-RCK.

Une série télévisée captivante : CF-RCK, Partie 2

Les principaux comédiens de la série télévisée CF-RCK de la Société Radio-Canada, Yves Létourneau (à droite) et René Caron. Anon., « Une scène de CF-RCK avec René Caron et Yves Létourneau. » La semaine à Radio-Canada, du 2 au 8 janvier 1960, couverture.

Une série télévisée captivante : CF-RCK, Partie 1

L’animateur de l’émission de télévision hebdomadaire Plein Ciel à droite, et son conseiller technique, le capitaine Marcel Everard. Anon., “Introduction à l’aviation.” La semaine à Radio-Canada, 29 novembre au 5 décembre 1958, 12.

Une émission de télévision que j’aurais aimé voir dans ma jeunesse

Envol du ballon à hydrogène qui emporte vers le ciel l’antenne de l’émetteur radio d’urgence américain BC-778, mieux connu sous le nom de « Gibson Girl. » Anon., « Gibson Girl to the rescue. » Flying Aces, septembre 1943, 30.

L’imitation est la plus belle forme de flatterie

The very first Pentecost Hoppi-Copter. Anon., “Have you seen?” Flying, September 1945, 67.

Une idée venue d’une époque où le ciel est la limite, Partie 2

A l’arrière, le Rohrbach Ro VIII Roland d’Iberia, Compañía Aérea de Transportes Sociedad anónima utilisé pour le vol Madrid-Barcelone du 14 décembre 1927. Anon., “Inauguración del nuevo servicio aéreo Madrid-Barcelona.” Aérea, octobre-décembre 1927, 33.

Jamais le dimanche : La grande histoire d’un Roland ibérien, Partie 1

Articles connexes

Le Mikoyan-Gourevitch MiG-15 de la Wojska Lotnicze piloté par le second lieutenant Franciszek Jarecki, aérodrome de Rønne, Rønne, Danemark. Jarecki est le gentilhomme marqué par une flèche. Anon., « Undamaged Red Jet in NATO Hands. » The Gazette, 7 mars 1953, 2.

Un vol pour la liberté qui a percé le rideau de fer; ou, Le jour où le second lieutenant Franciszek Jarecki s’est échappé de Pologne à bord d’un chasseur à réaction Mikoyan-Gourevitch MiG-15

Le prototype du Astro Kinetics Lift de Astro Kinetics Corporation, Houston, Texas. Anon., « Aircraft and Powerplants – Crane version of ‘flying saucer’ projected in U.S.A. » The Aeroplane and Commercial Aviation News, 7 mars 1963, 24.

« Regardez! Là-haut dans le ciel! C’est un oiseau! C’est un avion! C’est une soucoupe volante texane! » Astro Kinetics Corporation de Houston, Texas, et ses aéronefs à décollage et atterrissage verticaux à l’allure unique

Le Canadair Silver Star du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, Ottawa, Ontario, juin 2005. Cet aéronef est piloté par le Red Knight, ou chevalier rouge, le pilote de voltige solo de l’Aviation royale du Canada, en 1961-64. Alain Rioux, via Wikimedia.

Il a vraiment continué longtemps, longtemps, longtemps : Un bref aperçu de la carrière canadienne de l’avion d’entraînement à réaction Lockheed / Canadair Silver Star, partie 2

Le ministre de la Défense nationale du Canada, Brooke Claxton, à gauche, avec le premier avion d’entraînement à réaction Lockheed T-33 Silver Star fabriqué au Canada, Cartierville, Québec. Anon., « M. Claxton reçoit le premier réacté T-33 fabriqué ici. » La Patrie, 13 février 1953, 1.

Il a vraiment continué longtemps, longtemps, longtemps : Un bref aperçu de la carrière canadienne de l’avion d’entraînement à réaction Lockheed / Canadair Silver Star, partie 1

Un dispositif de dégivrage de piste de Woolery Machine Company en action à l’aéroport de Cologne-Wahn, Cologne, Allemagne de l’Ouest. Anon., « Ancillary Review – Flame-throwing – On Ice. » The Aeroplane and Commercial Aviation News, 28 février 1963, 29.

Allez, PB, allume mon feu. Essaie de mett’ la glace en feu : Un coup d’œil sur la firme américaine Woolery Machine Company et sur certaines de ses idées et produits

L’avion de brousse Junkers Ju 52 immatriculé CF-ARM de Canadian Airways Limited de Montréal, Québec, lac Manouane, Québec, août ou septembre 1940. MAEC, 13469.

Les vieux avions de brousse ne meurent jamais, ils ne font que s’effacer doucement : Quelques lignes, d’accord, plusieurs lignes sur la remarquable carrière d’un « cargo volant / wagon volant » Junkers Ju 52 nommé CF-ARM, partie 3

L’avion de brousse Junkers Ju 52 immatriculé CF-ARM de Canadian Airways Limited de Montréal, Québec, en réparation, Arviat, Nunavut (Eskimo Point, Territoires du Nord-Ouest), septembre 1932. MAEC, 1208.

Les vieux avions de brousse ne meurent jamais, ils ne font que s’effacer doucement : Quelques lignes, d’accord, plusieurs lignes sur la remarquable carrière d’un « cargo volant / wagon volant » Junkers Ju 52 nommé CF-ARM, partie 2

L’avion de brousse Junkers Ju 52 immatriculé CF-ARM de Canadian Airways Limited de Montréal, Québec. Anon., « Pionnier des transports lourds dans le nord du Canada, le ‘Cargo volant’ a fini sa carrière. » Photo-Journal, 29 janvier 1948, 2.

Les vieux avions de brousse ne meurent jamais, ils ne font que s’effacer doucement : Quelques lignes, d’accord, plusieurs lignes sur la remarquable carrière d’un « cargo volant / wagon volant » Junkers Ju 52 nommé CF-ARM, partie 1

Le sergent Bob Electro de l’Aviation royale du Canada (ARC) pris en flagrant délit de salut au commandant de la Base de l’ARC de Clinton, le colonel d’aviation John Gordon Mathieson, Clinton, Ontario. Anon., « Six-Year-Old Sergeant. » The North Bay Nugget, 7 janvier 1963, 15.

Dōmo arigatō, gunsō Electro, mata au hi made : Les aventures électroniques du sergent Bob Electro de l’Aviation royale du Canada et des Forces armées canadiennes

Le simulateur d’impact en vol de 10 pouces du Conseil national de recherches du Canada à un moment donné de sa longue carrière, Uplands / Ottawa, Ontario. CNRC.

Une grande réussite canadienne que vous devriez connaître : Un bref coup d’œil sur les simulateurs d’impact en vol du Conseil national de recherches du Canada remis au Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, partie 3

Un avion de brousse, le DHC-2 Beaver de la de Havilland Canada, exposé au Musée de l’aviation et de l’espace du Canada. Un nouveau panneau interprétatif a été installé devant l’aéronef : une structure grise dotée de panneaux latéraux aux tons de bois et de supports en métal foncés. Sa surface rétroéclairée précise le nom de l’aéronef, et on y trouve une sélection d’images et des textes interprétatifs. Une installation grandeur nature montre un quai, à droite, suivi d’un autre aéronef et de son panneau.

Des changements qui sautent aux yeux : nouvelles sur les « mises à jour discrètes »

Le simulateur d’impact en vol de 3.75 / 3.5 pouces du Conseil national de recherches du Canada à un moment donné de sa longue carrière, Uplands / Ottawa, Ontario. CNRC.

Une grande réussite canadienne que vous devriez connaître : Un bref coup d’œil sur les simulateurs d’impact en vol du Conseil national de recherches du Canada remis au Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, partie 2

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