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Un aspect quelque peu oublié de l’histoire de la 425e escadrille (Alouette), Partie 2

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31 mai 2019
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Par : Rénald Fortier
Ingenium - Musées des sciences et de l’innovation du Canada
L’annonce publiée par le quotidien Le Soleil de Québec pour publiciser la visite du Lancaster de la 425e escadrille (Alouette) à la base de l’ARC de L’Ancienne-Lorette en août 1945. Anon. « Le fameux Lancaster ‘P’ pour Pierre à Québec. » Le Soleil, 13 août 1945, 8.
L’annonce du quotidien Le Soleil de Québec pour publiciser la visite du Lancaster de la 425e escadrille (Alouette) à la base de l’ARC de L’Ancienne-Lorette d’août 1945. Anon. « Le fameux Lancaster ‘P’ pour Pierre à Québec. » Le Soleil, 13 août 1945, 8.

Re-bonjour, ami(e) lectrice ou lecteur, et bienvenue à la seconde partie de cette édition spéciale de notre blogue / bulletin / machin. Avez-vous besoin d’un bref rappel avant de reprendre le fil de notre histoire? Non? J’en suis fort aise. Eh bien, lisez maintenant, si cela vous plaît bien sûr.

Le 19 juillet 1945, le nouveau ministre de la Défense nationale (Air), Colin William George Gibson, annonce que des équipages de bombardiers lourds quadrimoteurs britanniques Avro Lancaster fabriqués au Canada provenant d’escadrilles canadiennes vont se rendre un peu partout au pays pour recueillir des fonds au bénéfice de la Caisse de bienfaisance de l’Aviation royale du Canada (ARC), de même que pour montrer des Lancaster au plus grand nombre de personnes possible. Un objectif supplémentaire consiste par ailleurs à offrir au public la chance de remercier des équipages pour leur bravoure face à l’adversité.

La croissance spectaculaire des effectifs de l’ARC au cours de la Seconde Guerre mondiale entraîne une augmentation tout aussi spectaculaire des besoins et responsabilités de sa caisse de bienfaisance. Celle-ci offrant une aide aux membres de l’ARC et à leur famille immédiate, elle se prépare à faire face aux besoins des dépendants d’aviateurs décédés au cours du conflit.

La Caisse de bienfaisance de l’ARC s’occupe de personnes qui ne répondent pas aux critères du gouvernement fédéral. Elle signale par ailleurs aux fonctionnaires des vétérans qui méritent amplement d’être dépannés. La caisse semble prêter des sommes d’argent plus qu’elle n’en donne. Ces prêts permettent à des membres de l’ARC de se maintenir à flots en attendant la décision des fonctionnaires concernant les pensions et autres aides financières offertes aux vétérans par le gouvernement fédéral. La caisse de bienfaisance appuie les vétérans tout au long de ce processus bureaucratique, parfois assez long il faut l’avouer. Certains prêts deviennent des dons si leurs récipiendaires ne sont pas en mesure de les rembourser sans faire souffrir leur famille.

La caisse de bienfaisance entend profiter des visites effectuées par les Lancaster un peu partout au pays par le biais de dons remis par diverses personnes et organisations, de même que par le transfert des frais d’admission sur les bases et aéroports.

Des préparatifs entourant les vols des Lancaster s’engagent au cours des jours qui suivent l’annonce de Gibson. Début août, l’ARC précise que six équipages de Lancaster fabriqués au Canada provenant de six escadrilles canadiennes vont se rendre un peu partout au pays.

L’équipage du Lancaster No 1 regroupe du personnel de la 425e escadrille, tous vétérans de nombreuses sorties, soit :

- le major d’aviation ou, comme on dit alors, ou chef d’escadrille Joseph Roland Serge Yvan « Roley » Laporte, Croix du Service distingué avec agrafe, de Montréal, mentionné dans la première partie de cet article, pilote;

- le capitaine d’aviation, ou lieutenant de section, Joseph Alphonse Claude Bourassa, Croix du Service distingué, de Trois-Rivières, bombardier;

- le sous-lieutenant d’aviation, ou officier pilote, Bernard « Ben » Horsfall, de Winnipeg, mécanicien navigant;

- le sous-lieutenant d’aviation Jacques P. « Jack » Lamontagne, de Montréal, lui aussi mentionné dans la première partie de cet article, opérateur radio / mitrailleur;

- le lieutenant d’aviation Gabriel Longpré, de Montréal, navigateur;

- le sous-lieutenant d’aviation Roger Thomassin, de Sillery, mitrailleur de queue; et

- l’adjudant d’aviation de 2e classe, ou sous-officier breveté de 2e classe, Joseph René Raymond « Ray » Saint-Onge, de Montréal, mécanicien navigant de Laporte depuis un certain temps.

Ces personnes volent à bord d’un Lancaster qui porte la lettre d’identification P pour Pierre / Peter, de même qu’une peinture individuelle de nez intitulée « Ville de Québec. » Il est à noter que cet aéronef est le quatrième bombardier de la 425e escadrille ayant porté la lettre d’identification P pour Pierre / Peter.

Curieusement, la liste initiale des membres de l’équipage du Lancaster de cette escadrille, transmise aux médias en début août, comprend les noms de deux aviateurs québécois qui disparaissent pour une raison ou pour une autre, soit les sous-lieutenants d’aviation Joseph Aurélien Audet, de Vallée-Jonction, et J.E. Parent, de Wrightville. Bourassa et Horsfall les remplacent.

Le directeur des relations extérieures en langue française de l’ARC à Ottawa, le capitaine d’aviation Charles Miville-Deschêne, un ancien journaliste, a pour fonction de chaperonner l’équipage de la 425e escadrille pendant au moins une partie de sa tournée. Votre humble serviteur ne sait pas si cet officier est à l’origine de l’information suggérant que le Lancaster de la 425e escadrille est un vétéran de la guerre aérienne en Europe, ce qui n’est pas le cas.

Le 7 août, un événement imprévu mais d’une extrême importance défraye la manchette partout au Québec et à l’étranger. Le jour auparavant, le président américain, Henry S. Truman, annonce qu’un bombardier, un Boeing B-29 Superfortress pour être plus exact, a largué une bombe nucléaire sur la ville japonaise de Hiroshima. Deux jours plus tard, des quotidiens du Québec informent leurs lectrices et lecteurs que les Américains ont largué une seconde bombe nucléaire, sur la ville japonaise de Nagasaki. Le 10 août, ces lectrices et lecteurs apprennent que le gouvernement japonais vient de remettre une offre officielle de reddition qui demande le maintien du statut de souverain de l’empereur Hirohito. Les gouvernements britannique et américain, de même que le gouvernement de l’Union des républiques socialistes soviétiques, en guerre contre le Japon depuis le 8 août, demandent que leur vis-à-vis japonais accepte une reddition sans condition.

Robert Laporte, 4 ans, sur un des stabilisateurs horizontaux du Lancaster piloté par son père, le major d’aviation Joseph Roland Serge Yvan Laporte, Rockcliffe, Ontario. Anon., « Le rêve d’un enfant. » Le Canada, 18 août 1945, 2.

Robert Laporte, 4 ans, sur un des stabilisateurs horizontaux du Lancaster piloté par son père, le major d’aviation Joseph Roland Serge Yvan Laporte, Rockcliffe, Ontario. Anon., « Le rêve d’un enfant. » Le Canada, 18 août 1945, 2.

Pendant ce temps, l’équipage du Lancaster de la 425e escadrille se trouve à Ottawa ou, plus exactement, à la base de l’ARC de Rockcliffe, le site de l’actuel Musée de l’aviation et de l’espace du Canada et la première étape de son périple. Laporte et son équipage s’y posent le matin du 10 août. Ils sont accueillis par plusieurs personnalités de marque, dont le maire d’Ottawa, J.E. Stanley « Stan » Lewis, et le sous-ministre de la Défense nationale (Air), Herbert Gordon.

Un pilote et officier de l’état-major de la 425e escadrille, le capitaine d’aviation Réal Saint-Amour, d’Ottawa, se trouve lui aussi à Rockcliffe. Un ancien membre d’équipage du Lancaster de Laporte, la capitaine d’aviation G. Langlois, maintenant affecté aux relations extérieures en langue française de l’ARC à Ottawa, est également présent. Laporte a le plaisir de voir des membres de sa famille, dont son fils Robert, âgé de 4 ans.

Il est à noter qu’une petite équipe au sol, expressément liée au Lancaster de la 425e escadrille, se trouve à Rockcliffe. Elle comprend le sergent J.E. Lavoie de Gatineau Mills ainsi que les caporaux J.E. Doucette de Montréal et R.L. Lemay de Sherbrooke. Votre humble serviteur ne sait malheureusement pas si ces trois personnes accompagnent le Lancaster tout au long de son périple.

Une fois les formalités de leur accueil complétées, Laporte et son équipage prennent place à bord d’automobiles qui les emmènent en ville afin de prendre un bon repas avec des membres du Club Kiwanis d’Ottawa, un des plus anciens au Canada.

La Caisse de bienfaisance de l’ARC profite du passage du Lancaster de la 425e escadrille pour tenir un événement d’importance, lors de la fin de semaine des 11 et 12 août. Pour la première fois depuis le début de la Seconde Guerre mondiale, en septembre 1939, le grand public peut en effet visiter Rockcliffe. Si le Lancaster est de toute évidence l’étoile de l’exposition de la caisse de bienfaisance, de nombreux aéronefs de l’ARC présentés en sa compagnie, une quinzaine environ, vont eux aussi attirer l’attention.

Il y a des avions d’entraînement américains utilisés pour la formation initiale et avancée, un Fairchild Cornell et un North American Harvard par exemple. Il y a aussi un amphibie utilitaire Grumman Goose, un avion de transport Douglas Dakota et un avion postal à long rayon d’action Boeing Fortress, tous américains. Il y a par ailleurs plusieurs aéronefs de combat : deux avions de chasse britanniques, un Hawker Hurricane et un Supermarine Spitfire; au moins un exemplaire de deux types d’aéronefs de reconnaissance maritime américains, un avion Consolidated Liberator et un amphibie Consolidated Canso, de même qu’un bombardier moyen américain North American Mitchell et un avion de reconnaissance général Lockheed Ventura, deux aéronefs américains vraisemblablement utilisés pour l’entraînement opérationnel. Aucun de ces aéronefs de l’ARC ne peut être visité.

Quelques centaines de résidentes et résidents de la région d’Ottawa et de Hull peuvent s’être rendues à Rockcliffe le 10 août, en cours d’après-midi, pour voir l’exposition d’aéronefs de la Caisse de bienfaisance de l’ARC. Elles et ils voient sans doute les équipes au sol compléter les préparatifs avant l’ouverture officielle la dite exposition, le 11 août, vers 13 h.

Un des magasins à rayons haute gamme d’Ottawa, Charles Ogilvy Limited, fait paraître une grande annonce publicitaire dans les éditions du 11 août des deux principaux quotidiens de la ville, The Ottawa Journal, aujourd’hui disparu, et The Evening Citizen, l’actuel Ottawa Citizen. La dite annonce fournit quelques informations sur ce qui se passe à Rockcliffe mais n’inclut aucune publicité pour le magasin en tant que tel. Un autre magasin à rayons haute gamme d’Ottawa, A.J. Freiman Limited, agit dans le même sens le même jour avec une annonce publicitaire pleine page.

Peu de lectrices et lecteurs réalisent que le Lancaster dont la photographie orne ces annonces n’est pas l’aéronef de la 425e escadrille qui leur rend visite. Il s’agit en fait d’un aéronef de fabrication britannique de la 424e escadrille (Tiger) de l’ARC.

Environ 20 000 résidentes et résidents de la région d’Ottawa et de Hull se rendent à Rockcliffe les 11 et 12 août pour voir le Lancaster de la 425e escadrille et les autres aéronefs de l’ARC. De très nombreuses personnes utilisent les autobus que Ottawa Electric Railway Company fait circuler entre la station de tramways la plus proche et la base. De nombreuses personnes se rendent par ailleurs à Rockcliffe en automobile. Le stationnement est gratuit. Si l’exposition ouvre officiellement le 11 août à 13h, certaines personnes se pointent à Rockcliffe dès 8h.

Si le beau temps du 11 août plaît beaucoup aux organisateurs, les nuages et la possibilité de pluie le 12 août occasionnent certaines craintes. Les résidentes et résidents de la région d’Ottawa et de Hull ne semblent pas trop s’en inquiéter. Davantage de personnes semblent visiter Rockcliffe le 12 août. Des automobiles sont stationnées tout le long de la route qui mène à la base, par exemple. Le dernier visiteur quitte le site vers 20h.

Des membres de l’escadrille Ottawa-Dollard de la Ligue des cadets de l’air du Canada, la seule unité francophone de la région de la capitale nationale, recueillent les frais d’admission sur la base, qui s’établissent à 25 cents par personne. Les dits frais ne sont pas taxés, un détail noté par un quotidien anglophone. Votre humble serviteur ne sait pas si les enfants ont droit à un tarif réduit. Des membres de l’escadrille qui ne recueillent pas les frais d’admission effectuent par ailleurs au moins une démonstration d’exercices.

Avec votre permission, j’aimerais digresser quelques instants sur la Ligue des cadets de l’air du Canada. Les attaques répétées de l’armée de l’air allemande contre le Royaume-Uni au cours des semaines qui suivent la chute de la France, en juin 1940, ont un profond impact au Canada. Soucieux de renforcer l’ARC, plusieurs personnalités influentes proposent la création d’une organisation nationale offrant une formation de base à des milliers de jeunes garçons qui s’enrôleraient une fois arrivés à l’âge adulte. Le ministre de la Défense nationale (Air), Charles Gavan « Chubby » Power, mentionné dans la première partie cet article, juge l’idée excellente. Un arrêté en conseil signé en novembre autorise la création d’une organisation.

Basée à Ottawa, la Ligue des cadets de l’air du Canada voit officiellement le jour en avril 1941. Le maréchal de l’air honoraire William Avery « Billy » Bishop, un pilote de chasse canadien de la Première Guerre mondiale connu entre tous, est son président honoraire. Son président d’honneur est nul autre que le gouverneur général du Canada, le comte d’Athlone, né Alexander Cambridge.

La Ligue des cadets de l’air du Canada s’inspire d’une organisation privée britannique fondée en 1938 mais absorbée par l’armée de l’air britannique au début de 1941. Sa croissance est rapide. Présente d’un océan à l’autre, la ligue compte 10 000 cadets répartis dans 135 escadrilles en mai 1942. En septembre 1944, elle atteint un sommet inégalé depuis lors : 29 000 cadets et 374 escadrilles. L’absence de statistiques couvrant la période de la guerre ne permet pas d’évaluer l’importance de la Ligue des cadets de l’air du Canada en matière de recrutement. Cela dit, entre octobre 1943 et juin 1944, pas moins de 3 000 cadets de l’air joignent les rangs de l’ARC, mais revenons à notre histoire et à Rockcliffe.

Seuls les parents des aviateurs ayant servis outremer, mais pas nécessairement dans des escadrilles du 6e groupe semble-t-il, ont le privilège de monter à bord du Lancaster de la 425e escadrille et de s’assoir à la place occupée par leurs époux, fils ou frère. Les nombreux instruments de l’aéronef sont en effet fragiles et l’accès à bord demande une certaine agilité. Des membres de l’équipage guident ces visiteuses et visiteurs lors de leur passage à bord. Afin d’éviter les abus, ces personnes doivent prouver que leur époux, fils ou frère a servi ou sert encore outremer.

Certaines personnes ayant perdu un membre de leur famille servant dans les forces armées peuvent elles aussi accéder au Lancaster de la 425e escadrille. Afin d’éviter les abus, elles doivent selon toute vraisemblance prouver leurs dires. Votre humble serviteur doit avouer ne pas savoir si cet état de chose est unique au séjour de l’aéronef à Rockcliffe.

Je dois aussi avouer ne pas savoir si les enfants peuvent monter à bord des six Lancaster qui circulent au Canada. Leur petite taille et leur agilité est tout à leur avantage. Leur curiosité peut toutefois poser problème. Quoiqu’il en soit, les nombreuses questions qu’ils posent aux membres de l’équipage de la 425e escadrille, ou à leurs pères, oncles, frères ou cousins, ne laissent pas indifférents les adultes autour d’eux. Plusieurs mères et pères obtiennent ainsi des informations sur l’environnement dans lequel leur fils œuvre ou œuvrait.

Les personnes qui visitent le Lancaster ne sont pas sans noter que certaines pièces d’équipement sont cachées sous des morceaux de tissu noir. Plusieurs d’entre elles demandent au membre de l’équipage qui les escorte d’expliquer cet état de chose. Elles ont droit à des réponses plus ou moins évasives. Dans les faits, la Seconde Guerre mondiale n’étant pas encore terminée, certaines pièces d’équipement sont encore jugées secrètes.

Si le commun des mortels doit se contenter de voir le Lancaster d’un peu plus loin, le fait est que pour ainsi dire aucune personne n’a encore vu un de ces aéronefs d’aussi près. Mieux encore, l’équipage accepte volontiers de répondre à leurs questions. De nombreux jeunes garçons souhaitent en savoir plus long sur ses exploits, par exemple. Une estrade temporaire placée près du nez de l’aéronef leur permet aussi, à eux et aux membres de leurs familles, de voir à quoi ressemble l’intérieur du Lancaster. D’autres estrades temporaires peuvent être en place ailleurs autour de l’aéronef. Le gros de cette routine se répète dans toutes les municipalités visitées par les six Lancaster.

Après avoir vu le Lancaster et la quinzaine d’aéronefs de l’ARC, les visiteuses et visiteurs peuvent jeter un coup d’œil sur bon nombre d’items dans plusieurs tentes et bâtiments, dont un puissant moteur Rolls-Royce Merlin comparable à ceux qui propulsent le Lancaster de la 425e escadrille. Une tente abrite un appareil photographique utilisé lors de sorties de reconnaissance, par exemple, de même qu’un certain nombre d’images. Du personnel de l’ARC, y compris quelques prisonniers de guerre récemment libérés, répondent aux nombreuses questions du public.

Des pièces d’équipement d’urgence se trouvent par ailleurs dans un bâtiment. Là encore, du personnel de l’ARC répondent aux nombreuses questions du public concernant les items en montre, des parachutes ouverts et empaquetés, de mêmes que des radeaux pneumatiques et des gilets de sauvetage gonflables. Ces derniers sont communément appelés « Mae West, » du nom de la plantureuse actrice, chanteuse et scénariste américaine Mary Jane « Mae » West. Il y aussi au moins un exemplaire d’un dispositif radio d’urgence américain destiné aux équipages dont l’aéronef doit se poser en mer. Les formes arrondies de l’émetteur radio de ce dispositif très fortement inspiré par un équipement similaire d’origine allemande rappellent la taille de guêpe des jeunes femmes indépendantes et séduisantes dessinées au cours des années 1890 et 1900 par un graphiste américain très connu, Charles Dana Gibson. Il est par conséquent vite baptisé « Gibson Girl. »

Une brève digression si je peux me le permettre. Saviez-vous que le dessert originellement connu sous le nom de Mae West est apparemment inventé au cours de la Seconde Guerre mondiale par René Brousseau, un contremaître chez Vaillancourt Incorporée, une boulangerie située au cœur de la ville de Québec? En 2019, la / le May West, un nouveau nom adopté au cours des années 1980, est produit(e) par Vachon Incorporée, une division de Canada Bread Company Limited, elle-même division du géant mexicain Group Bimbo Sociedad Anónima Bursátil de Capital Variable, la plus grosse compagnie de boulangerie au monde.

Le 13 août, le quotidien francophone d’Ottawa, Le Droit, publie une photographie montrant l’épouse de G. Emilius Fauquier de Rockcliffe remettant à l’épouse du sous-ministre de la Défense nationale (Air), le susmentionné Herbert Gordon, un chèque de 500 $, toute une somme pour l’époque, destiné à la Caisse de bienfaisance de l’ARC. Fauquier est la mère du commodore de l’air par intérim, ou commandeur de l’air par intérim, John Emilius « Johnny » Fauquier, Ordre du service distingué avec trois agrafes et Croix du service distingué, commandant de la 617e escadrille de l’armée de l’air britannique, les fameux briseurs de barrages, encore stationné au Royaume-Uni. Un des deux quotidiens anglophones d’Ottawa, The Evening Citizen, publie la même photographie trois jours plus tard. Mise à part la photographie du 13 août, Le Droit ne semble pas mentionner la visite du Lancaster de la 425e escadrille à Rockcliffe, ce qui est tout de même un peu curieux.

Dans un éditorial publié le 10 août, The Evening Citizen profite de la visite du Lancaster de la 425e escadrille pour critiquer à mots couverts l’insuffisance des pensions et autres aides financières offertes aux vétérans par le gouvernement fédéral. C’est cette situation même qui force la Caisse de bienfaisance de l’ARC à recueillir des fonds. « Le public aura le privilège de contribuer aux liens de parenté aérienne en se joignant aux aviateurs dans l’entraide pour renforcer la Caisse de bienfaisance de l’ARC, » conclut le quotidien. 

Le 13 août, Laporte et son équipage vérifient le Lancaster avant de prendre l’air en direction du second arrêt de leur parcours, Québec.

Le Soleil, principal quotidien de Québec, publie une annonce / article sur la visite du Lancaster qui remplit une page entière de son édition du 13 août. La photographie du Lancaster en vol qu’on y trouve est identique à celle des annonces publicitaires publiées à Ottawa, le 11 août, par Charles Ogilvy et A.J. Freiman. La page dans Le Soleil est commanditée par le conseil municipal de Québec, le conseil de ville de Lévis et 23 entreprises de la région, de la chaîne de magasins à rayons Zellers Limited à la société d’importation Canadian Import Company Limited, en passant par Marché public Limitée.

Détail intéressant, du moins pour votre humble serviteur, la liste d’entreprises comprend les noms de Laiterie Fortier Limitée de Lévis et d’Elzéar Fortier Limitée de Québec. Cette dernière est un producteur de boissons douces bien connu, fondé vers 1900, qui disparaît en 1963.

Vous vous demandez sans doute, ami(e) lectrice ou lecteur, pourquoi j’introduis cette digression. Le fait est que ce producteur de boissons douces commercialise un des deux jeux de société aéronautiques canadiens sortis après la Seconde Guerre mondiale trouvés par votre humble serviteur. Jet fait son apparition vers 1954. Compte tenu de la présence d’aéronefs qui ressemblent beaucoup à l’intercepteur de bombardiers tous temps à réaction américain Northrop F-89 Scorpion utilisé par l’armée de l’air américaine, l’auteur de ces lignes se demande si ce jeu n’est pas d’origine américaine.

General Mills Canada Incorporated, une filiale du géant américain General Mills Incorporated, quant à elle, commercialise un jeu de société intitulé World’s Traveller Aeroplane Game à une date indéterminée, mais fort possiblement au cours des années 1950. Ce jeu, qui peut être disponible en français, semble être remis à des jeunes personnes qui consomment les céréales Cheerios de la compagnie, mais revenons à notre histoire.

Il est à noter que la ville de Québec adopte la 425e escadrille vers mars 1945. Il s’agit là d’une pratique courante à l’époque. La Presse adopte elle-aussi cette escadrille vers mars 1945, par exemple. Cela étant dit, la presse québécoise ne semble pas savoir que la ville de Québec est la marraine de la 425e escadrille avant la mi-mai. Curieusement, cette unité peut être la dernière escadrille du 6e Groupe à être adoptée.

Diverses personnalités œuvrent jouent un rôle plus ou moins important dans le processus qui mène à l’adoption de la 425e escadrille par la ville de Québec. Mentionnons par exemple le maire de Québec, Lucien Borne, le cardinal Jean Marie Rodrigue Villeneuve, qui siège à Québec, de même que le député provincial des Îles-de-la-Madeleine, Hormisdas Langlais. Ce dernier se joint en partie à cet effort pour honorer la mémoire de son neveu, l’adjudant d’aviation de 2e classe François Gabriel Maheu, d’Arthabaska, mitrailleur au sein de la 425e escadrille, mort au combat en juin 1943, à l’âge de 21 ans.

L’équipage du Lancaster de la 425e escadrille est accueilli avec tous les honneurs à la base de l’ARC de L’Ancienne-Lorette, l’actuel Aéroport international Jean-Lesage de Québec, le 13 août, en début de soirée. Pour ainsi dire tous les cadets de l’air de la région sont là. Les autorités municipales de Québec et des représentants de la Marine royale du Canada, de l’ARC et de l’Armée canadienne sont également sur place. Le pro-maire Louis-Philippe Bégin accueille les aviateurs au nom de Borne, qui est occupé ailleurs. Miville-Deschêne fait la lecture des citations méritées par la 425e escadrille au cours du conflit. Un aumônier y va d’une prière. Une fanfare complète les festivités. Les quelques centaines de personnes présentes applaudissent. Pendant ce temps, la branche francophone du radiodiffuseur d’état, la Société Radio-Canada, rapporte en détail ce qui se passe.

De nombreux résidents de Québec se rendent à l’aéroport à bord d’autobus de quatre sociétés (Autobus A. Drolet Limitée, Autobus Fournier Limitée, Compagnie d’autobus Charlesbourg Limitée et Québec Light, Rail & Power Company) mis à leur disposition par l’entremise de l’administration municipale. Ces autobus sont disponibles du 13 août au 15 août. Leur point de départ commun est la place Jacques-Cartier, dans le quartier Saint-Roch. La modique somme demandée aux usagers est livrée en entier à la caisse de bienfaisance de la 425e escadrille.

Les résidents de la région de Québec qui disposent d’une automobile sont admis à la base de L’Ancienne-Lorette moyennant un droit d’entrée. La modique somme demandée aux automobilistes est elle aussi livrée en entier à la caisse de bienfaisance de la 425e escadrille.

Ce transfert des fonds à la caisse de bienfaisance de la 425e escadrille contredit l’information publiée dans des journaux selon laquelle la Caisse de bienfaisance de l’ARC profiterait de cet argent. L’auteur de ces lignes n’est pas en mesure de préciser où les sommes recueillies se retrouvent en fin de ligne.

Il est à noter que l’équipage du Lancaster de la 425e escadrille est à L’Ancienne-Lorette en milieu de semaine, alors que la plupart des gens de la région sont au travail.

Laporte et son équipage signant le Livre d’Or de Québec (photographie du haut) et lors du déjeuner causerie du Club Rotary de Québec. Anon., « Réception aux Alouettes. » Le Soleil, 14 août 1945, 1.

Laporte et son équipage signant le Livre d’Or de Québec (photographie du haut) et lors du déjeuner causerie du Club Rotary de Québec. Anon., « Réception aux Alouettes. » Le Soleil, 14 août 1945, 1.

Accompagnés par des cadets de l’air, Laporte et les autres membres de l’équipage du Lancaster de la 425e escadrille se rendent à l’hôtel de ville de Québec en fin de matinée le 14 août. Ils signent le Livre d’Or de la ville sous le regard bienveillant de Bégin, de nombreux membres du conseil municipal de Québec et de représentants de l’ARC.

Le Club Rotary de Québec accueille les aviateurs un peu plus tard cette même journée lors de son déjeuner causerie hebdomadaire, au Château Frontenac, un magnifique hôtel appartenant à un géant canadien du transport, Canadian Pacific Railway Company. L’escadrille de cadets de l’air du club et son commandant, le capitaine d’aviation Harold Johnson, ou Johnston, leur souhaitent la bienvenue. Ce dernier souligne par ailleurs à quel point les résidents de Québec admirent le personnel de l’ARC. Miville-Deschêne remercie le Club Rotary de Québec pour son accueil enthousiaste. Il pose par la suite aux aviateurs des questions ayant trait à leur service outremer. Deux membres de l’équipage du Lancaster, Bourassa et Laporte, remercient à leur tour les résidents de Québec pour leur soutien. Un autre officier de l’ARC, le colonel d’aviation, ou capitaine de groupe, Gordon Lewis, venu expressément de Trenton, Ontario, pour l’occasion, partage leur gratitude.

Par une curieuse coïncidence, le président du Club Rotary de Québec a le même nom de famille qu’un des aviateurs évincés de l’équipage du Lancaster. Lorenzo Audet semble être un éditeur de cartes postales. Me croiriez-vous, ami(e) lectrice ou lecteur, si je vous disais que c’est au Château Frontenac que se déroule la Seconde conférence de Québec, mentionnée dans la première partie de cet article? Le monde est petit, n’est-ce pas?

Le gouvernement japonais ayant accepté de se rendre sans condition, des journaux québécois du 15 août annoncent la fin des combats en première page. Un partout dans le monde, au Royaume-Uni, aux États-Unis, au Canada, c’est l’allégresse. La Seconde Guerre mondiale, un cataclysme qui a fauché entre 60 et 75 millions d’êtres humains, est enfin finie.

La longue table qui accueille les aviateurs de la 425e escadrille lors du déjeuner qui se tient à l’Hôtel Saint-Louis, Québec. Anon., « Au déjeuner de l’équipage du Lancaster. » Le Soleil, 17 août 1945, 3.

La longue table qui accueille les aviateurs de la 425e escadrille lors du déjeuner qui se tient à l’Hôtel Saint-Louis, Québec. Anon., « Au déjeuner de l’équipage du Lancaster. » Le Soleil, 17 août 1945, 3.

Le 16 août, l’équipage du Lancaster de la 425e escadrille, une quinzaine de leurs compagnons d’unité et une douzaine d’aviateurs provenant de trois autres escadrilles de l’ARC participent à un déjeuner à l’hôtel où il séjourne. Laporte semble être le seul membre de l’équipage du Lancaster présent avec son épouse. La direction de l’Hôtel Saint-Louis, disparu depuis fort longtemps, souhaite remercier ces représentants de l’ARC pour leur contribution à la victoire, le tout dans une atmosphère cordiale et intime, sans long discours. Les gérant général et président de l’hôtel, H.L.J. Aubin et René Pettigrew, ont quitté l’ARC peu de temps auparavant. Le gérant, quant à lui, a un fils, Albert Gadoury, dans l’ARC et un autre dans la Marine royale du Canada. Wilfrid Gadoury sert apparemment dans l’armée de l’air britannique, au Canada, en 1918.

Saviez-vous que l’Hôtel Saint-Louis, un des plus prestigieux de Québec au 19e siècle, accueille une partie des délégués de la Conférence de Québec de 1864, une de celles qui mènent à la Confédération, en 1867?

Un pilote débordant d’énergie de la 425e escadrille invité au déjeuner avec son épouse, le capitaine d’aviation Saint-Amour, mentionné plus haut, dirige une prestation de la fameuse chanson folklorique Alouette avec forces mouvements et mimiques. L’audience chante par ailleurs une œuvre britannique relativement peu connue, I got sixpence.

Une fois le déjeuner fini, l’équipage du Lancaster se rend à L’Ancienne-Lorette. Il prend par la suite l’air en direction de la base de l’ARC de Mont-Joli. La présence de cette petite municipalité sur la liste des lieux visités par un des six Lancaster semble à prime abord inhabituel. Elle s’explique toutefois par la présence de la 9e École de bombardement et de tir, fort possiblement la plus grande école du Plan d’entraînement aérien du Commonwealth britannique (PEACB). Celle-ci entre en fonction en décembre 1941 et ferme ses portes en avril 1945. La grande majorité du personnel formé à la 9e École de bombardement et de tir vient de l’extérieur du Québec et ne parle pas français.

Qu’est-ce que le PEACB, dites-vous, ami(e) lectrice ou lecteur? Rien de moins qu’une des principales contributions du Canada à la victoire alliée lors de la Seconde Guerre mondiale. Créée en décembre 1939, l’énorme réalisation qu’est le PEACB compte près de 120 écoles de divers types réparties d’un bout à l’autre du Canada, dans ses neuf provinces. Entre 1940 et 1945, le PEACB forme 130 000 des 290 000 pilotes et membres d’équipage des forces aériennes du Commonwealth – une performance hors du commun, mais revenons à notre histoire.

Une température inclémente le 17 août refroidit quelque peu l’enthousiasme des résidentes et résidents de la région de Mont-Joli qui souhaitent voir le Lancaster de la 425e escadrille. Le fait que ce jour soit un vendredi et un jour de travail n’aide probablement pas non plus. Cela étant dit, environ 3 000 personnes se rendent à la base, l’actuel Aéroport régional de Mont-Joli.

Travaillant de concert avec la Chambre de Commerce, l’administration municipale organise un dîner officiel dans la grande salle de l’Hôtel Commercial, disparu depuis fort longtemps. Une personnalité importante de la région et fondateur du Sanatorium Saint-Georges, Georges Henri DeChamplain, préside la cérémonie. Quelques personnes éminentes de la région se trouvent à la table d’honneur, dont Gleason Belzile, député fédéral de Rimouski; Onésime Gagnon, trésorier de la province de Québec; Paul-Émile Gagnon, maire de Rimouski; et le Dr. René A. Lepage, maire de Mont-Joli. Quelques discours rendent hommage à l’équipage du Lancaster et à la 425e escadrille, un sujet d’admiration pour tout le Canada français. La station radiophonique CJBR de Rimouski, affiliée à la Société Radio-Canada, transmet ces paroles à celles et ceux qui ne sont pas présents(e)s. Cette station existe encore en 2019.

Le 17 août, le Lancaster de la 425e escadrille se rend à la base de l’ARC de Moncton, site de la 8e École de pilotage militaire, active entre décembre 1940 et janvier 1944 et site de l’actuel Aéroport international Roméo-Leblanc du Grand Moncton. Tout comme à Rockcliffe, l’énorme bombardier est la principale attraction d’une exposition d’aéronefs d’entraînement et de combat de l’ARC que commandite la Caisse de bienfaisance de l’ARC. La dire exposition se tient les 18 et 19 août, occupant ainsi une fin de semaine complète. Elle comprend, entre autres aéronefs, un Hurricane, deux avions de bombardement de Havilland Mosquito et deux amphibies de recherche et sauvetage Consolidated Canso, fort possiblement de fabrication canadienne.

Soucieuses de publiciser l’événement, deux commerces bien connus de Moncton, la biscuiterie Marven’s Limited et la ferronnerie Sumner Company Limited, publient deux annonces publicitaires dans le principal quotidien de la ville, The Moncton Daily Times, les 15 et 17 août. Les dites annonces fournissent quelques informations sur ce qui se passe à la base de Moncton mais n’incluent aucune publicité sur les commerces en tant que tel. Un fournisseur d’énergie, Moncton Electricity & Gas Company Limited, fait paraître une annonce similaire le 15 août, dans The Moncton Transcript.

Soucieux de permettre au plus grand nombre de personnes possibles de visiter la base, les organisateurs de l’événement offrent un service spécial d’autobus, fournis selon toute vraisemblance par Grey Bus Line Company Limited. Ceux-ci ont pour point de départ un établissement bien connu de Moncton, le Brunswick Hotel, maintenant disparu depuis longtemps.

Les billets donnant accès à la base sont disponibles dans cet établissement, ainsi que dans les principaux points de vente de journaux de la ville. Les visiteurs potentiels peuvent également approcher des membres de l’ARC qui circulent dans les artères principales de Moncton.

The Moncton Daily Times indique à ses lectrices et lecteurs que l’événement commandité par la Caisse de bienfaisance de l’ARC ne comprend aucune démonstration de voltige aérienne. Il n’y a par conséquent aucun danger de vivre une tragédie comme celle qui a frappé les résidentes et résidents de Calgary, Alberta, lorsqu’un de Havilland Mosquito de l’armée de l’air britannique en tournée au Canada s’écrase le 9 mai, le lendemain du jour de la victoire en Europe, alors qu’il vole à toute allure à basse altitude. Ses deux membres d’équipage, des Canadiens, périssent dans l’accident.

Environ 2 500 personnes de la région de Moncton visitent l’exposition. Si les portes de la base se ferment à 18 h le 18, elles demeurent ouvertes jusqu’à 23 h le jour suivant. Le programme du 19 août comprend en effet deux concerts, offerts en après-midi et en soirée. Ce dernier concert est suivi de feux d’artifice. Les personnes qui visitent la base peuvent également examiner diverses pièces d’équipement utilisées par les équipages des amphibies Canso utilisés pour la recherche et le sauvetage.

Le 20 août, Laporte et son équipage entament l’avant dernière étape de leur périple, le vol vers la base de l’ARC de Yarmouth, Nouvelle-Écosse, qui abrite deux des huit escadrilles canadiennes de la force de bombardement à très grand rayon d’action du Commonwealth. Leur tournée prend fin à cet endroit, le 21 août. Le Lancaster de la 425e escadrille rentre peut-être à la base de l’ARC de Debert, Nouvelle-Écosse, dès le lendemain.

Il est à noter que c’est un Lancaster piloté par un équipage de la 434e escadrille (Bluenose) qui rend visite à l’aéroport de Cartierville, les 17, 18 et 19 août, autrement dit en fin de semaine. Il arrive toutefois en milieu d’après-midi au lieu de la matinée. Un problème de moteur force le pilote à effectuer un atterrissage d’urgence à la base de l’ARC de Summerside, Île-du-Prince-Édouard. L’équipage de ce Lancaster comprend deux Canadiens français, apparemment les seuls présents dans un Lancaster autre que celui de la 425e escadrille, soit les sous-lieutenants d’aviation P.G. Doucet de Petit-Rocher-Nord, Nouveau-Brunswick, opérateur radio / mitrailleur, et J.F.R. Boyer de Montréal, mitrailleur de queue. Le capitaine d’aviation, ou lieutenant de section, Gabriel « Gaby » Langlais, un officier des relations extérieures de l’ARC mentionné dans la première partie de cet article, compte parmi les représentants de l’ARC qui accueillent l’équipage.

Cartierville est un site important pour l’industrie aéronautique canadienne et québécoise. Les avionneurs Canadair Limited et Noorduyn Aviation Limited y ont en effet des usines d’importance. Comme nous le savons tous les deux, l’usine de Canadair fait aujourd’hui partie de Bombardier Incorporée, le plus gros avionneur au pays et un des plus importants producteurs d’avions de ligne régionaux au monde pendant de nombreuses années.

Avant même la fin de 1945 peut-être, des détenteurs d’actions de Noorduyn Aviation imposent une réorientation de la compagnie qui se retire du secteur aéronautique et devient Nuclear Enterprises Limited. Cette décision est d’autant plus surprenante que Noorduyn Aviation est l’un des deux finalistes dans une compétition de l’ARC visant à mettre au point un bimoteur d’entraînement avancé qui ne dépasse toutefois pas l’étape du modèle de soufflerie. Outré par cette réorientation, Robert Bernard Cornelius « Bob » Noorduyn démissionne de son poste de vice-président et directeur général. Au printemps 1946, Nuclear Enterprises vend les droits de production de son célèbre avion de brousse Norseman à Canadian Car & Foundry Company Limited, le plus important fabricant de matériel ferroviaire au pays et un important avionneur canadien pendant la Seconde Guerre mondiale. Nuclear Enterprises semble disparaître au cours des années 1950, mais revenons à notre histoire.

Les équipages des six Lancaster de l’ARC visitent en fin de compte les neuf provinces que compte alors le Canada.

Le 22 août, l’état-major de l’ARC autorise la dissolution de la 425e escadrille. Compte tenu du fait que ce service entend conserver un certain nombre d’escadrilles opérationnelles, diverses personnes entreprennent des démarches un peu avant ou après cette date afin que la 425e escadrille, une unité unique en son genre s’il en est, compte parmi celles-ci. Leur requête n’est pas acceptée.

Le 6e Groupe est dissous le 1er septembre. Les 2 et 3 septembre, des quotidiens du Québec révèlent que des représentants du gouvernement japonais ont signé l’instrument de reddition à bord d’un navire de la marine de guerre américain ancré dans la baie de Tokyo. Mettant en parallèle la puissance de l’arme nucléaire, l’impact de l’entrée en guerre de l’Union des républiques socialistes soviétiques et la réputation de la 425e escadrille, un membre de cette unité offre une explication un tant soit peu exagérée de la reddition du Japon : « Il y a eu la bombe atomique, la bombe à Staline et la bombe Alouette. »

Le soir du 4 septembre, à Debert, le commandant de la 425e escadrille, le major d’aviation, ou chef d’escadrille, Lionel Palma Joseph Dupuis, Croix du Service distingué, rassemble son personnel navigant et ses équipes au sol pour un souper d’adieu. La 425e escadrille est dissoute le jour suivant. Son personnel semble être démobilisé en septembre et octobre. Neuf autres escadrilles du 6e Groupe sont dissoutes en septembre et octobre. La force de bombardement à très grand rayon d’action du Commonwealth, finalement, subit le même sort vers la fin octobre.

La dissolution de la 425e escadrille semble prendre bien des personnes par surprise. Langlais apprend la nouvelle des lèvres de Dupuis et du colonel d’aviation, ou capitaine de groupe, Joseph Hector Lucien « Joe / Joe the Group » Lecomte, Croix du Service distingué, au début de septembre, avant l’annonce officielle. Vous vous souviendrez que Lecomte est commandant de Debert, où la 425e escadrille est alors stationnée. Vous vous souviendrez aussi que cet officier commande la dite escadrille pendant un certain temps.

Les aviateurs de la 425e escadrille ne réalisent peut-être pas l’importance qu’ils ont aux yeux de leurs compatriotes francophones. Un exemple suffira. L’ouverture de la première session du conseil intérimaire de l’Organisation provisoire de l’aviation civile internationale, à Montréal, le 15 août, suscite un réel intérêt au sein de la communauté aéronautique canadienne, et bien au-delà. En début de mois, le quotidien nationaliste montréalais Le Devoir, par exemple, publie un article sur « Le rôle des Canadiens français dans l’aviation civile. »

Son auteur, Lucien Desbiens, souligne que la contribution du Québec à l’effort de guerre aérien, par le biais de la 425e escadrille par exemple, est on ne peut plus important. De nombreux jeunes Canadiens français qui ont servi et servent encore dans l’ARC souhaitent faire carrière dans l’aviation après la Seconde Guerre mondiale. Il suffit de songer au lieutenant d’aviation Jean-Paul « Ti-Paul » Lacaille, Médaille du service distingué, de Magog. Ce pilote ne souhaite pas particulièrement passer le reste de sa vie à fabriquer des jouets et des ustensiles en bois dans l’atelier de son père. Lacaille veut devenir pilote de ligne.

Parlant du Québec, affirme Desbiens, « il y va donc de son intérêt de suivre de près les prochaines discussions, de voir dès maintenant à ce que les nôtres ne soient pas traités en parents pauvres par le gouvernement central qui représentera les provinces à cette conférence. » Si la contribution des Canadiens français aux projets du gouvernement fédéral est alors inconnue, « l’exemple du passé peut justifier certaines craintes pour l’avenir. » Un officier francophone de l’ARC qui préfère garder l’anonymat pour s’éviter des ennuis abonde dans le même sens. Peu importe les plans du gouvernement fédéral, dit-il, « nos jeunes aviateurs canadiens-français n’auront guère de chance d’y tenir grande place. »

Cet officier propose de solutionner ce sérieux problème en faisant appel au gouvernement du Québec. Celui-ci pourrait, par exemple, créer un service aérien provincial de prévention et de lutte contre les feux de forêts similaire à celui qui existe en Ontario depuis 1924. Le Service aérien du gouvernement du Québec ne voit toutefois le jour qu’en 1960, après le décès de Maurice Le Noblet Duplessis et, selon toute vraisemblance, la défaite de son parti à l’élection générale de juin 1960, aux mains de l’équipe du tonnerre dirigée par Jean Lesage.

La contraction massive des effectifs de l’ARC et les effectifs sommes toutes limités des transporteurs aériens du Canada, y compris la société d’état Lignes aériennes Trans-Canada et Canadian Pacific Airlines Limited, la plus importante société aérienne privée au pays et filiale de Canadian Pacific Railway, font en sorte que la grande majorité du personnel navigant et des équipes au sol canadiens-français de l’ARC doit vite renoncer à faire carrière dans l’aviation après la Seconde Guerre mondiale. Il en va de même pour le personnel francophone des avionneries du Québec, elles aussi fortement touchées par l’annulation des contrats militaires. Dans les faits, cet état de chose affecte également le personnel navigant et les équipes au sol canadiens-anglais de l’ARC, sans parler du personnel des avionneries d’un peu partout au Canada.

Il suffit de songer à Thomassin, qui travaille pendant longtemps pour le ministère des Postes, plus tard la Société canadienne des postes. Horsfall, quant à lui, travaille dans les ventes, pour l’industrie pharmaceutique, avant de devenir agent immobilier.

Il est à noter que des procédures mêmes de la Division de l’aviation civile du ministère des Transports nuisent à la transition des aviateurs militaires canadiens vers l’aviation civile. En effet, si les inspecteurs de la Civil Aeronautics Administration, l’organisation ayant le pouvoir de réglementer tous les aspects de l’aviation civile aux États-Unis, acceptent volontiers de se rendent sur des bases militaires afin de faire passer leur examen à des pilotes qui souhaitent obtenir une licence de pilote civil, ceux qui œuvrent au sein du ministère des Transports n’agissent pas de la sorte.

Un aviateur militaire canadien ne peut en fait faire application pour une licence de pilote civil qu’une fois démobilisé. Le dit aviateur découvre alors que la liste d’attente de la Division de l’aviation civile compte des milliers de noms, une situation due au fait que la dite division souffre d’un manque chronique de personnel. Pis encore, ce personnel suggère pour ainsi dire à tout aviateur souhaitant obtenir une licence de pilote de transport de ne pas poursuivre sa démarche. La dite licence est désuète, disent-ils, et en cours de révision.

Cela étant dit, certaines procédures de la Division de l’aviation civile du ministère des Transports facilitent un peu les choses. Il suffit de songer, en ce qui concerne les pilotes, à l’élimination des tests de pilotages et de certains examens écrits. Si un examen médical spécial au moment de la démobilisation est admissible pour l’obtention d’une licence de pilote commercial, la longueur même de la liste d’attente de la division décourage plusieurs candidats potentiels.

En dépit des obstacles, plusieurs membres de la 425e escadrille font carrière dans l’aviation au cours des années de l’après-guerre. Certains demeurent dans l’ARC, par exemple. Mentionnons au hasard cinq influents et importants détenteurs de la Croix du Service distingué, les susmentionnés Dupuis et Lecomte; Hugh Charles Ledoux, mentionné dans la première partie de cet article; ainsi qu’Édouard Jean et Joseph Léon Gabriel Taschereau.

D’autres membres de l’escadrille se font connaître dans le domaine de l’aviation civile. Qu’il nous soit peu permis de mentionner trois autres détenteurs de la Croix du Service distingué. Gilles Simard devient chef pilote du transporteur aérien régional Québecair Limitée avant de se joindre au personnel du susmentionné Service aérien du gouvernement du Québec, dont il devient directeur à l’exploitation et directeur général par intérim. Léopold Rosario Brochu, quant à lui, accède au poste de directeur de l’Aéroport de Québec, le susmentionné Aéroport international Jean-Lesage de Québec. Gilles Gilbert Boulanger, finalement, lance les Faucheurs de marguerites, un rassemblement aérien annuel présenté depuis 1995 à deux pas de l’aérogare Gilbert-Boulanger de l’aéroport de Sherbrooke, à Cookshire-Eaton.

Si je peux me permettre une brève digression, cet événement, un des plus importants du genre au Canada, doit son nom à une coproduction télévisée, ouest germano-franco-canadienne à l’origine. Les faucheurs de marguerites passe en ondes en 1974. Ses épisodes décrivent la passion grandissante pour l’aviation du fils ruiné d’un homme d’affaires, avant 1914. Ils combinent une trame fictive avec des personnages réels. Le Canada ne participe pas à une suite, coproduite par des télédiffuseurs de cinq pays (Allemagne de l’Ouest, Belgique, France, Maroc et Suisse). Le temps des as est diffusé en 1978. Comme son nom l’indique, cette série touche à l’aviation pendant la Première Guerre mondiale. Deux autres suites, coproduites par des télédiffuseurs des cinq même pays, La conquête du ciel et L’adieu aux as, arrivent sur le petit écran en 1980 et 1982. Elles couvrent la période de l’entre-deux-guerres. Cette saga européenne ambitieuse aux titres multiples, un peu naïve et parfois hors sujet, compte un grand total de vingt-quatre épisodes.

D’autres membres encore de la 425e escadrille brillent dans divers champs d’activité. Il suffit de songer à deux influents et importants détenteurs de la Croix du Service distingué. L’homme d’affaires Jean-Claude Hébert est membres de conseils d’administration de firmes aussi variées que Bombardier et Pétro-Canada Limitée, en passant par Dominion Textile Incorporated – l’employeur du père de votre humble serviteur pendant environ 45 ans. Joseph Georges Gilles Claude Lamontagne, quant à lui, devient ministre de la Défense nationale et lieutenant-gouverneur du Québec.

Quatorze des vingt Lancaster de la 425e escadrille, dont l’aéronef qui porte la lettre d’identification P pour Pierre / Peter, entreposés en Alberta en 1945-46, vont à la casse en 1947-48.

Un incendie, en janvier 1952, à Trenton, détruit deux autres Lancaster, dont un utilisé par une escadrille de reconnaissance maritime. Un aéronef utilisé pendant un certain temps par une unité de recherche et sauvetage est rayé des livres en mai 1955. Un autre, affecté à une escadrille de reconnaissance maritime, connaît le même sort en avril 1961. La date de destruction d’un des Lancaster de la 425e escadrille demeure incertaine.

Le tout dernier Lancaster de l’ARC est rayé des livres en mai 1965.

Un seul des vingt Lancaster de la 425e escadrille existe encore en 2019. Cet aéronef, immatriculé KB944, est originellement assigné au commandant de l’escadrille, le lieutenant-colonel d’aviation, ou commandant d’escadre, Hugh Charles Ledoux, Croix du Service distingué, de Montréal. Piloté par l’adjudant d’aviation de 2e classe, ou sous-officier breveté de 2e classe, Roland Beaudoin, mentionné dans la seconde partie de cet article, lors de la traversée de l’Atlantique de juin 1945, cet aéronef, qui porte une peinture individuelle de nez intitulée « Le roi des airs / King of the air, » est placé en réserve en septembre.

Compte tenu de la non-convenance du climat maritime pour l'entreposage à long terme d'aéronefs, l’aéronef quitte la Nouvelle-Écosse en mars 1946 pour être entreposé à la base de l’ARC de Fort Macleod, Alberta. Canadian Pacific Airlines (Repairs) Limited de Calgary l’inspecte en juillet 1952. En août, le Lancaster vole à Dartmouth, Nouvelle-Écosse, où Fairey Aviation Company of Canada Limited commence à le reconditionner. Remis en service en mars 1955, l’aéronef sert à la base de l’ARC de Greenwood, Nouvelle-Écosse, au sein de la 404e escadrille (Buffalo), une unité de reconnaissance maritime, jusqu’en janvier 1957.

La décision de conserver le Lancaster pour exposition dans un musée, en partie parce qu’il a subi peu de changements au fil des ans, conduit à son transfert à la base de l’ARC de Dunnville, Ontario, pour entreposage. Au début de 1964, l’aéronef est peint aux couleurs d’un Lancaster de fabrication canadienne, livré en juillet 1944 à la 428e escadrille (Ghost) de l’ARC, qui effectue 72 sorties au cours de la Seconde Guerre mondiale avant d’être envoyé à la casse, en janvier 1947. Ce changement d’identité, qui est une pratique relativement courante à l’époque dans la communauté des musées de l’aviation, a probablement pour but de préserver l’identité d’un Lancaster qui connaît beaucoup de succès en temps de guerre. En revanche, il écarte le rôle joué par la 425e escadrille dans l’histoire de l’aéronef.

Piloté jusqu’à la base de l’ARC de Rockcliffe au début de mai 1964, le Lancaster est inclus dans la collection d’aéronefs historiques de l’ARC plus tard au cours du même mois. C’est l’une des machines les plus impressionnantes exposées dans le cadre d’une entente entre le ministère de la Défense nationale et le Secrétariat d’État du Canada, qui contrôle le Musée canadien de la guerre et le Musée national de l’aviation par l’intermédiaire des Musées nationaux du Canada.

Cette entente prévoit la présentation à Rockcliffe des collections d’aéronefs de l’ARC, du Musée canadien de la guerre et du Musée national de l’aviation. Cet arrangement temporaire / expérimental rencontre un tel succès qu’il conduit à la création de la Collection aéronautique nationale. Les Musées nationaux du Canada acquièrent le contrôle administratif du Lancaster en février 1965. La Collection aéronautique nationale est absorbée par le Musée national des sciences et de la technologie, l’actuel Musée des sciences et de la technologie du Canada, en 1967. La collection devient le Musée national de l’aviation en 1982. Connu en 2019 sous le nom de Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, membre d’Ingenium – Musées des sciences et de l’innovation du Canada, ce musée national du Canada est reconnu de par le monde pour l’ampleur de ses collections. Sa bibliothèque, par exemple, est la meilleure du genre au pays.

Votre humble serviteur ose espérer que la seconde partie de cet article vous a intéressé un tant que soit peu. Si tel est le cas, venez-nous voir bientôt afin de lire la troisième partie de cette édition spéciale de notre blogue / bulletin / machin.

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425 squadron Alouette avro lancaster bomber RCAF Canada
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La trentaine de paysans mexicains qui participent au déblaiement de la météorite de Bacubirito, non loin de Bacubirito, Mexique, 1902. N. Rosst, « La grande météorite de ‘Bacubirito’ (Mexique). » La Nature, 14 février 1903, 173.

Une flamme dans le ciel du nord et une cendre de feu sidéral : La météorite de Bacubirito

Un dispositif de dégivrage de piste de Woolery Machine Company en action à l’aéroport de Cologne-Wahn, Cologne, Allemagne de l’Ouest. Anon., « Ancillary Review – Flame-throwing – On Ice. » The Aeroplane and Commercial Aviation News, 28 février 1963, 29.

Allez, PB, allume mon feu. Essaie de mett’ la glace en feu : Un coup d’œil sur la firme américaine Woolery Machine Company et sur certaines de ses idées et produits

Un promoteur de la Sure Food, le chimiste alimentaire James Pearson (à droite), dans les installations de Wentworth Canning Company Limited de Hamilton, Ontario. Anon., « La viande, synthétique, produit canadien, pourrait sauver de la famine les peuples affamés d’Europe. » Photo-Journal, 5 février 1948, 3.

« Cela sent la viande. Cela ressemble même à de la viande. » L’histoire oubliée depuis longtemps d’une viande synthétique / viande d’imitation / viande artificielle / succédané de viande / substitut de viande / simili-viande parfois appelée Sure Food

L’avion de brousse Junkers Ju 52 immatriculé CF-ARM de Canadian Airways Limited de Montréal, Québec, lac Manouane, Québec, août ou septembre 1940. MAEC, 13469.

Les vieux avions de brousse ne meurent jamais, ils ne font que s’effacer doucement : Quelques lignes, d’accord, plusieurs lignes sur la remarquable carrière d’un « cargo volant / wagon volant » Junkers Ju 52 nommé CF-ARM, partie 3

L’avion de brousse Junkers Ju 52 immatriculé CF-ARM de Canadian Airways Limited de Montréal, Québec, en réparation, Arviat, Nunavut (Eskimo Point, Territoires du Nord-Ouest), septembre 1932. MAEC, 1208.

Les vieux avions de brousse ne meurent jamais, ils ne font que s’effacer doucement : Quelques lignes, d’accord, plusieurs lignes sur la remarquable carrière d’un « cargo volant / wagon volant » Junkers Ju 52 nommé CF-ARM, partie 2

L’avion de brousse Junkers Ju 52 immatriculé CF-ARM de Canadian Airways Limited de Montréal, Québec. Anon., « Pionnier des transports lourds dans le nord du Canada, le ‘Cargo volant’ a fini sa carrière. » Photo-Journal, 29 janvier 1948, 2.

Les vieux avions de brousse ne meurent jamais, ils ne font que s’effacer doucement : Quelques lignes, d’accord, plusieurs lignes sur la remarquable carrière d’un « cargo volant / wagon volant » Junkers Ju 52 nommé CF-ARM, partie 1

Le sergent Bob Electro de l’Aviation royale du Canada (ARC) pris en flagrant délit de salut au commandant de la Base de l’ARC de Clinton, le colonel d’aviation John Gordon Mathieson, Clinton, Ontario. Anon., « Six-Year-Old Sergeant. » The North Bay Nugget, 7 janvier 1963, 15.

Dōmo arigatō, gunsō Electro, mata au hi made : Les aventures électroniques du sergent Bob Electro de l’Aviation royale du Canada et des Forces armées canadiennes

Une pièce d’équipement fort appropriée vue la saison, enfin, la saison qui affecte la partie nord de l’hémisphère nord de la planète Terre, la souffleuse à neige domestique de Autocanner Enregistré de Montréal, Québec. Anon., « –. » Montréal-Matin, 9 janvier 1948, 6.

« Qu’il neige! Qu’il neige! Qu’il neige! » La souffleuse à neige domestique Blo-All de Autocanner Enregistré de Montréal, Québec

Le simulateur d’impact en vol de 10 pouces du Conseil national de recherches du Canada à un moment donné de sa longue carrière, Uplands / Ottawa, Ontario. CNRC.

Une grande réussite canadienne que vous devriez connaître : Un bref coup d’œil sur les simulateurs d’impact en vol du Conseil national de recherches du Canada remis au Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, partie 3

Le simulateur d’impact en vol de 3.75 / 3.5 pouces du Conseil national de recherches du Canada à un moment donné de sa longue carrière, Uplands / Ottawa, Ontario. CNRC.

Une grande réussite canadienne que vous devriez connaître : Un bref coup d’œil sur les simulateurs d’impact en vol du Conseil national de recherches du Canada remis au Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, partie 2

Le simulateur d’impact en vol de 10 pouces du Conseil national de recherches du Canada à un moment donné de sa longue carrière, Uplands / Ottawa, Ontario. CNRC.

Une grande réussite canadienne que vous devriez connaître : Un bref coup d’œil sur les simulateurs d’impact en vol du Conseil national de recherches du Canada remis au Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, partie 1

Une grenouille-taureau typique sauvage et libre. John J. Brice, éditeur, A Manual of Fish-Culture: Based on the Methods of the United States Commission of Fish and Fisheries, with Chapters on the Cultivation of Oysters and Frogs (Washington : Government Printing Office, 1897), 258.

« La grenouille est-elle gibier ou poisson? Là est le chiendent. » Un bref coup d’œil sur l’histoire de la raniculture au Canada et au Québec, partie 4

Une publicité typique de Giant Frog & Sea Food Limited de Montréal, Québec. Anon., « Giant Frog & Sea Food Limited. » La Patrie, 18 octobre 1952, 53.

« La grenouille est-elle gibier ou poisson? Là est le chiendent. » Un bref coup d’œil sur l’histoire de la raniculture au Canada et au Québec, partie 3

Trois des innombrables grenouilles-taureaux trouvées dans la grenouillère de Harold Lee, Casitas Springs, Californie. Anon., « Nature – Frog Farm.” » Pix, 6 janvier 1951, 30.

“La grenouille est-elle gibier ou poisson? Là est le chiendent. » Un bref coup d’œil sur l’histoire de la raniculture au Canada et au Québec, partie 2

Une publicité typique de Canadian Frog’s Industries Company de Montréal, Québec. Anon., « Canadian Frog’s Industries Company. » La Patrie, 16 novembre 1952, 86.

« La grenouille est-elle gibier ou poisson? Là est le chiendent. » Un bref coup d’œil sur l’histoire de la raniculture au Canada et au Québec, partie 1

Un dessin éditorial qui reflète la réaction de nombreux Américains suite au lancement de Spoutnik 2. Une traduction du titre du dessin pourrait être Notre propre disgrâce non-volante. John Milt Morris, « Our own non-fly doghouse. » The Nome Nugget, 8 novembre 1957, 2.

Les trois jours du Spoutnik; ou, « Radio-Moscou admet que le chien tournant autour de la terre dans le satellite ne reviendra jamais » : Laïka, Spoutnik 2 et la presse quotidienne du Québec, partie 3

Une réplique de Spoutnik 2, Tsentral’nyy Dom Aviatsii i Kosmonavtiki DOSAAF Rossíi, Moscou, avril 2021. Krasnyy via Wikipédia.

Les trois jours du Spoutnik; ou, « Radio-Moscou admet que le chien tournant autour de la terre dans le satellite ne reviendra jamais » : Laïka, Spoutnik 2 et la presse quotidienne du Québec, partie 2

Le premier portrait official de Laïka à être diffusé par les autorités soviétiques. Cette photographie est initialement publiée dans le quotidien moscovite Pravda. Anon., « More Sputnik Dogs Due Before Humans Go Up. » The Evening Star, 13 novembre 1957, 6.

Les trois jours du Spoutnik; ou, « Radio-Moscou admet que le chien tournant autour de la terre dans le satellite ne reviendra jamais » : Laïka, Spoutnik 2 et la presse quotidienne du Québec, partie 1

Le biplan (monoplace?) conçu par Canadian Aircraft Works (Incorporated? Limited? Registered?) de Montréal / Coteau Rouge, Québec, janvier 1915. Gustave Pollien peut se trouver aux commandes. MAEC, 1134.

Un terrifique trio actif aux débuts de l’aviation au Québec : Ernest Anctil, Gustave Pollien et Percival Hall Reid, partie 3

Le biplan fabriqué par Gustave Pollien (à gauche) et Ernest Anctil, Cartierville, Québec. Anon., « L’aviation chez nous – Un jeune aviateur canadien-français, Ernest Anctil, vole avec succès sur un biplan construit au pays. » La Presse, 27 septembre 1912, 1.

Un terrifique trio actif aux débuts de l’aviation au Québec : Ernest Anctil, Gustave Pollien et Percival Hall Reid, partie 2

Le biplan fabriqué par Ernest Anctil (à gauche dans la photographie du bas) et Gustave Pollien, Cartierville, Québec. Anon., « The first Montreal-made biplane. » The Standard, 5 octobre 1912, 4.

Un terrifique trio actif aux débuts de l’aviation au Québec : Ernest Anctil, Gustave Pollien et Percival Hall Reid, partie 1

Louis Victor Jules Vierne (3ème à partir de la gauche), compositeur et organiste de la cathédrale Notre-Dame de Paris au clavier de l’orgue électronique Coupleux Givelet, station de radio Poste Parisien, Paris, France. Anon., « L’orgue des ondes du ‘Poste parisien’ est inauguré. » Le Petit Parisien, 27 octobre 1932, 1.

La mélodieuse épopée de deux pionniers français de la musique électronique qui méritent d’être mieux connus : Joseph Armand Marie Givelet et Édouard Éloy Coupleux

 Vue d’artiste du satellite canadien Alouette en orbite au-dessus du Canada. Office national du film, Photo-reportage 288 – Le Canada, nouveau visiteur de l’espace, NFB62-5961.

Alouette, gentille alouette, Alouette, je te lancerai; Ou, Comment la Guerre froide propulse le Canada dans l’espace par le biais du satellite Alouette, partie 3

La fusée Thor-Agena qui place le satellite canadien Alouette en orbite, Vandenberg Air Force Base, Californie. Anon., « Alouette’ Working Perfectly – First Canadian Satellite in Orbit. » The Montreal Star, 29 septembre 1962, 1.

Alouette, gentille alouette, Alouette, je te lancerai; Ou, Comment la Guerre froide propulse le Canada dans l’espace par le biais du satellite Alouette, partie 2

Deux des ingénieurs qui font du satellite Alouette un succès : Colin A. Franklin (à gauche) et John N. Barry, Ottawa, Ontario. Anon., « Many ‘Firsts’ for Canadian Satellite – Alouette Sports New Space Advances. » The Montreal Star, 22 septembre 1962, 43.

Alouette, gentille alouette, Alouette, je te lancerai; Ou, Comment la Guerre froide propulse le Canada dans l’espace par le biais du satellite Alouette, partie 1

Vue approximative de la zone dans laquelle l’éclipse solaire du 31 août 1932 peut être observée dans sa totalité (image principale), ou pas (colonne de droite). Anon. « Mighty Workings of Tomorrow’s Eclipse. » Sherbrooke Daily Record, 30 août 1932, 1.

« Nous prions tous pour une journée sans nuages : » L’éclipse solaire du 31 août 1932 au Québec, partie 3

Certains des chercheurs britanniques éminents en route vers le Canada dans le but d’observer l’éclipse solaire totale du 31 août 1932. Anon., « Le ciel québécois et les astronomes. » La Presse, 29 juillet 1932, 9.

« Nous prions tous pour une journée sans nuages : » L’éclipse solaire du 31 août 1932 au Québec, partie 2

L’éclipse solaire du 31 août 1932 telle qu’on peut l’observer dans sa totalité, à partir d’une route de campagne du Maine. Anon., « Souvenir d’éclipse. » La Presse – Magazine illustré, 24 septembre 1932, 9.

« Nous prions tous pour une journée sans nuages : » L’éclipse solaire du 31 août 1932 au Québec, partie 1

Le réservoir Manicouagan, également connu sous le nom d’œil du Québec, photographié depuis l’espace par le satellite Sentinel 2-A du programme Copernicus de l’Agence spatiale européenne, janvier 2017. https://scihub.copernicus.eu/ via Wikimedia.

Sic itur ad astra : Quelques observations sur la stellaire carrière de l’astronome canadien Carlyle Smith Beals, partie 2

Carlyle Smith Beals, astronome fédéral. Raymond Taillefer, « Tant qu’il y aura des étoiles - L’observatoire fédéral assure au Canada un brillant rôle scientifique. » Le Droit, 2 août 1947, 1.A.

Sic itur ad astra : Quelques observations sur la stellaire carrière de l’astronome canadien Carlyle Smith Beals, partie 1

Le prototype de l’avion de brousse canadien de Havilland Canada DHC-2 Beaver en montre au Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, Ottawa, Ontario. MAEC, deHavilland DHC-2 Beaver-005

Bonne fête Beaver, bonne fête Beaver, bonne fête, bonne fête, bonne fête Beaver : Un trop bref coup d’œil sur une icône canadienne, l’avion de brousse de Havilland Canada DHC-2 Beaver, partie 2

Le prototype de l’avion de brousse canadien de Havilland Canada DHC-2 Beaver le jour de son premier vol, Downsview, Ontario, août 1947. MAEC, KM-08317

Bonne fête Beaver, bonne fête Beaver, bonne fête, bonne fête, bonne fête Beaver : Un trop bref coup d’œil sur une icône canadienne, l’avion de brousse de Havilland Canada DHC-2 Beaver, partie 1

Le Shell By-Plane X 100 Astroterramare du professeur Septimus Urge (extrême droite), Pleasure Gardens du Festival of Britain, Battersea Park, Londres, Angleterre. Anon., « New British Jet Unique, but Not Matchless. » Aviation Week, 18 août 1952, 44.

Des machines de Heath Robinson / Rube Goldberg que Heath Robinson et « Rube » Goldberg eux-mêmes auraient approuvées; Ou, Le monde merveilleux de Frederick Rowland Emett et ses choses

Rachel Marie-Louise Clément, née Guillot, en train se saler des fromages camembert Madame Clément produits par Laiterie R.A. Clément (Enregistrée? Incorporée? Limitée?), McMasterville ou Beloeil, Québec. Anon., « Fromages du Québec. » Photo-Journal, 28 août 1952, 33.

« Si j’avais cent vies, je recommencerais l’aventure du camembert : » Le délicieuse saga québécoise de la famille Clément et de ses fromages

Vue d’artiste du dirigeable conçu par le modeleur, ouvrier, sculpteur ou tailleur de pierre québécois Louis N. Filion. Anon., « Le secret de la direction des ballons est-il réellement détenu par un Canadien-français? » La Patrie, 26 juillet 1902, 19.

En 1902, le secret de la direction des ballons dirigeables est-il détenu par le Québécois Louis N. Filion? C’est à moi de le savoir et à vous de le découvrir

Une publicité typique de Bamboo Cycle Company Limited de Londres, Angleterre. Anon., « Bamboo Cycle Company Limited. » The Graphic, 31 juillet 1897, 179.

« En cas de doute mon conseil est Acheter une Bamboo : » Quelques pages sur Bamboo Cycle Company Limited de Londres, Angleterre

Un tir d’essai américain d’une fusée à courte portée sol-sol non guidée Douglas M31 Honest John. Anon., « Engins et missiles ». Aviation Magazine, 1 juin 1959, 155.

Elle n’a peut-être pas changé l’histoire mais aurait certainement changé la géographie : Un bref mais effrayant coup d’œil sur les fusées à courte portée sol-sol non guidées Douglas M31 et M50 / MGR-1 Honest John, partie 2

Une équipe de l’Artillerie royale canadienne de l’Armée canadienne s’entraînant sur une fusée à courte portée sol-sol non guidée Douglas M31 Honest John de la United States Army, Fort Sill, Oklahoma. Anon., « Rocket Training. » Sherbrooke Daily Record, 13 juillet 1957, 1.

Elle n’a peut-être pas changé l’histoire mais aurait certainement changé la géographie : Un bref mais effrayant coup d’œil sur les fusées à courte portée sol-sol non guidées Douglas M31 et M50 / MGR-1 Honest John, partie 1

Une publicité de Frisco Soda Water Company de Montréal, Québec, pour la bière Salvador brassée par Reinhardt ‘Salvador’ Brewery Limited de Toronto, Ontario. Anon., « Frisco Soda Water Company. » The Montreal Daily Star, 5 juillet 1912, 5.

Un conte de deux Reinhardt; ou, Un bref aperçu de deux brasseries canadiennes disparues et oubliées depuis longtemps

Kenneth Albert Arnold, au centre, avec deux autres pilotes qui affirment avoir vu des objets volants non identifiés, soit Emil J. Smith, à gauche, et Ralph Stevens. Anon., « Pilotes qui virent des soucoupes volantes. » Le Soleil, 8 juillet 1947, 1.

« Tout le monde a vu les soucoupes volantes, les journalistes exceptés : » Les premières observations d’objets volants non identifiés / phénomènes aériens non identifiés dans la province de Québec, 24 juin au 19 juillet 1947, partie 2

Kenneth Albert Arnold. Anon., « Boise Airman Positive He Didn’t See Ordinary Craft Reflections. » The Idaho Daily Statesman, 28 juin 1947, 9.

« Tout le monde a vu les soucoupes volantes, les journalistes exceptés : » Les premières observations d’objets volants non identifiés / phénomènes aériens non identifiés dans la province de Québec, 24 juin au 19 juillet 1947, partie 1

Une publicité typique de O-Pee-Chee Gum Company de London, Ontario. Anon., « O-Pee-Chee Gum Company. » The Aylmer Express, 6 juin 1912, 5.

« Mâche Mâche Mâche Mâche ta gomme à bulles: » Les sucrés de bons vieux temps de O-Pee-Chee Gum Company Limited de London, Ontario

Publicité concernant la Isetta fabriquée par Isetta of Great Britain Limited. Une fois traduit, le texte se lit : « Hé! ne touche pas à cette pièce de 10 cents! Je vais juste prouver que cette Isetta peut se garer dessus! » Anon., « City Motors Limited. » The Gazette, 21 novembre 1957, 2.

Un coup d’œil sous le capot d’un des symboles du miracle économique ouest-allemand des années 1950 ; ou, L’histoire multiforme et multinationale de la microvoiture Isetta, partie 2

Une BMW 250 ou 300 typique. Devon Francis, « What you get in the foreign economy cars. » Popular Science, juin 1957, 62.

Un coup d’œil sous le capot d’un des symboles du miracle économique ouest-allemand des années 1950 ; ou, L’histoire multiforme et multinationale de la microvoiture Isetta, partie 1

Un projecteur de planétarium Spitz au Planetario Municipal Agrimensor Germán Barbato, le premier planétarium d’Amérique du Sud, inauguré en 1955, Montevideo, Uruguay, février 2015. Fedaro via Wikimedia.

Béni soit celui qui apporte les merveilles du cosmos à la multitude : Armand Neustadter Spitz et ses projecteurs de planétarium, partie 2

Armand Neustadter Spitz. Hilaire Cuny, « Sciences et techniques – La plus gigantesque tentative de notre temps : La conquête de l’espace cosmique. » Combat, 15 mai 1957, 6.

Béni soit celui qui apporte les merveilles du cosmos à la multitude : Armand Neustadter Spitz et ses projecteurs de planétarium, partie 1

Une publicité typique de la firme William Hood & Company de Toronto, Ontario. Anon., « William Hood & Company. » The Canadian Grocer & General Storekeeper, 27 mai 1892, 9.

« Un nouveau gagnant commercial pour les épiciers et marchands généraux; » ou, Comment William Hood & Company de Toronto, Ontario, devient un prétexte pour s’attarder sur les mystères de… l’huile de ricin

Une publicité typique de Tillson Company Limited. Anon. « Tillson Company Limited. » The Canadian Grocer & General Storekeeper, 13 mai 1892, 19.

« Un aliment, pas une mode: » La vie et l’époque de Edwin Delevan Tillson de Tillsonburg, Ontario

Gertrude Dugal, la première Québécoise francophone ayant obtenu une licence de pilote – ou pas, Aéroport de Cartierville, Cartierville, Québec. Anon., « La seule diplômée. » La Patrie, Journal du dimanche, 18 mai 1947, 1.

« À travers les nuages, je vois voler mon ombre: » Quelques mots sur Gertrude Dugal, la première Québécoise francophone ayant obtenu une licence de pilote – à moins que ce ne soit quelqu’un d’autre

Une motomarine Vincent Amanda dans son élément, Ruislip, Angleterre, avril 1957. Anon., “Triss i bâtar.” Teknikens Värld med Flyg, 2 au 16 mai 1957, 8.

Bournemouth, Scarborough, ooh je veux vous emmener. Great Yarmouth, Lyme Regis, ami(e) lectrice, lecteur : La Vincent Amanda, l’ancêtre presque oubliée des motomarines d’aujourd’hui

Une vue en gros plan d’une pilule radio quelques instants avant que le premier patient volontaire ne l’avale. Anon., « Science – Radio Made to Swallow. » Life, 29 avril 1957, 74.

Prenez une de ces pilules et vos entrailles m’appelleront en matinée : La saga digestive de… la pilule radio

Dan Cooper, tel que dessiné par l’auteur de bande dessinée belge Albert Weinberg lors de sa visite à North Bay, Ontario, en mai-juin 1966. Anon., « Originator of RCAF cartoon hero visits defence bases at North Bay. » The North Bay Nugget, 3 juin 1966, 1.

Un prolifique auteur de bande dessinée belge qui mérite d’être mieux connu : Le père de Dan Cooper, héros canadien, Albert Weinberg (1922-2011), partie 2

Albert Weinberg au cours d’une de ses nombreuses visites en sol canadien. Anon., « Dan Cooper c’est Buzz Beurling. » La Presse, 31 mars 1975, A3.

Un prolifique auteur de bande dessinée belge qui mérite d’être mieux connu : Le père de Dan Cooper, héros canadien, Albert Weinberg (1922-2011), partie 1

Un avion de chasse FFVS J 22 typique de l’armée de l’air suédoise, ou Flygvapnet, Bunge, Suède, vers 1948-49. Flygvapenmuseum, FVMF.002142.

On m’a demandé quelques fois quel était mon avion préféré. Eh bien, voici l’un de mes favoris de tous les temps : l’avion de chasse suédois FFVS J 22, partie 2

Un avion de chasse FFVS J 22 typique de l’armée de l’air suédoise, ou Flygvapnet. Harald Jacobson, « Ett flygplan – en flygepok. » Looping, avril 1952, 12.

On m’a demandé quelques fois quel était mon avion préféré. Eh bien, voici l’un de mes favoris de tous les temps : l’avion de chasse suédois FFVS J 22, partie 1

 Une publicité pour des produits, en l’occurrence du hareng et de la sardine, mis en conserve par Connors Brothers Limited de Black’s Harbour, Nouveau-Brunswick. Anon., « Connors Brothers Limited ». Le Prix courant, 29 mars 1912, 20.

D’un appât à homard et engrais pour pommes de terre à de l’argent d’eau salée : L’humble sardine et Connors Brothers Limited de Black’s Harbour, Nouveau-Brunswick

Une Volvo P1800 comparable à celle que conduit Simon Templar, dit le Saint, un personnage joué à la télévision par Roger George Moore, Volvo Museum, Göteborg, Suède, 2008. Jarle Vines via Wikimedia.

Une sainte automobile du pays de « Fifi » Brindacier et Lisbeth Salander : La grande routière / voiture sport suédoise Volvo P1800, partie 2

Une grande routière / voiture de sport Volvo P1800 typique Anon., « La plus belle auto. » La Patrie du Dimanche, 25 mars 1962, 11.

Une sainte automobile du pays de « Fifi » Brindacier et Lisbeth Salander : La grande routière / voiture sport suédoise Volvo P1800, partie 1

Le député sortant de la circonscription électorale de Limoux, France, le sénateur Henri Charles Étienne Dujardin-Beaumetz. Joseph Uzanne. Figures contemporaines. (10ème édition) (Paris: Librairie Henri Floury, 1906), non paginé.

« Mon cher Védrines, c’est une panne de scrutin : » Charles Toussaint « Jules » Védrines et l’élection législative partielle de Limoux, France, de mars 1912, Partie 2

Caricature du sénateur Henri Charles Étienne Dujardin-Beaumetz se payant la tête de « Jules » Védrines, le candidat défait lors de l’élection législative partielle de Limoux, France, de mars 1912. Anon., « La course Limoux-Palais-Bourbon. » Le Rire, 30 mars 1912, non paginé.

« Mon cher Védrines, c’est une panne de scrutin : » Charles Toussaint « Jules » Védrines et l’élection législative partielle de Limoux, France, de mars 1912, Partie 1

Le laboratoire sur roues Lincoln Continental 1950X / Ford X-100. Anon., « La Ford de l’avenir. » Photo-Journal, 28 février 1952, 8.

La voiture de demain telle qu’on l’imaginait il y a 70 ans : Le laboratoire sur roues Lincoln Continental 1950X / Ford X-100

Edward T. Faulkner et son Curtiss JN-4 Canuck, Honeoye Falls, New York, 1962. Musée de l’aviation et de l’espace du Canada 2985.

Il décolle à 100 kilomètres/heure, vole à 100 kilomètres/heure et atterrit à 100 kilomètres/heure, plus ou moins : La saga du Curtiss JN-4 Canuck

Une publicité de David Brown (Canada) Limited de Toronto, Ontario, montrant des tracteurs offerts par une firme sœur / frère britannique, David Brown Tractors Limited. Anon., « David Brown (Canada) Limited ». Le Bulletin des agriculteurs, février 1962, 75.

« Voulez-vous conduire mon tracteur? Allons donc charger du foin. » Un très bref aperçu de l’histoire de la firme britannique David Brown Tractors Limited

Tomanowos, mieux connue sous le nom de météorite Willamette, American Museum of Natural History, New York, New York. Anon., « Ça et là, par l’image. » Le Samedi, 22 février 1947, 8.

Tomanowos, une visiteuse du ciel ou de la Lune : Un coup d’œil sur de la plus grosse météorite nord-américaine connue aujourd’hui

Vera Elsie Strodl portant le blouson de vol en cuir qu’elle porte pendant la Seconde Guerre mondiale. Glennis Zilm, « Only Canadian honored – Long love of flying brings award to aviatrix. » The Gazette, 1er février 1972, 8.

Dieu aurait pu être son copilote, Ou, La carrière remarquable d’une pilote remarquable, Vera Elsie Strodl

John D’Alton Woodlock avec un de ses fils, Peter Woodlock, devant le téléviseur familial, Iberville, Québec, été 1949. Arthur Prévost, « Dix ans avant CBFT – À Iberville, on a la TV depuis 14 ans!... » Le Petit Journal, 14 janvier 1962, A-49.

Mais malheureusement, comme tant de grands esprits, le pionnier québécois de la télévision John D’Alton Woodlock est parti trop tôt – et vite oublié

Une publicité de la Société auxiliaire agricole de Paris, France, montrant un tracteur agricole Pavesi P4 ou Agrophile-Pavesi en action. Anon., « Société auxiliaire agricole, » L’Agriculture nouvelle, 14 janvier 1922, 4.

Il était une fois un tracteur acrobate : La belle bien que partiellement militaire histoire du tracteur agricole Pavesi P4 et la carrière de Ugo Pavesi

Deux des grands avions de chasse de la Première Guerre mondiale : un SPAD S.VII du Royal Flying Corps ou de l’Aéronautique militaire et un Albatros D.III du Luftstreitkräfte. Anon., « A Dog Fight. » Canadian Aviation, janvier 1932, 12.

L’histoire des photographies les plus extraordinaires jamais prises de combats aériens pendant la Première guerre mondiale, Ou, Le long et le court de la collection Cockburn-Lange

Une vue d’ensemble d’un des premiers réseaux téléphoniques au Canada, Montréal, Québec, 1878. Anon., « Le premier téléphone qui ait jamais été installé à Montréal. » La Presse, 27 janvier 1912, 5.

Ils sont parmi les premiers à tendre la main et toucher quelqu’un : Un regard sur un des premiers réseaux téléphoniques au Canada

Le Canadair CL-44 loué par British Overseas Airways Corporation (BOAC), septembre 1963. Cet aéronef de Seaboard World Airlines Incorporated transporte 19 voitures de course du Royaume-Uni aux États-Unis lors de ce vol, son premier aux couleurs de BOAC. MAEC.

Un bon élan en mérite un autre : La saga de l’avion-cargo canadien Canadair CL-44, Partie 2

Une publicité de l’avionneur Canadair Limited de Cartierville, Québec, vantant les mérites de son hénaurme avion-cargo, le Canadair CL-44. Anon., « Canadair Limited. » La Presse, 23 janvier 1962, 29.

Un bon élan en mérite un autre : La saga de l’avion-cargo canadien Canadair CL-44, Partie 1

Publicité publiée par les magasins Zeller’s Limited de Calgary, Alberta, qui met en valeur le tracteur Reely Ride-’em produit par Reliable Toy Company Limited de Toronto, Ontario. Anon. « Zeller’s Limited. » The Calgary Herald, 11 décembre 1961, 32.

Jouets, glorieux jouets, on voudrait bien jouer : Quelques pages sur Reliable Toy Company Limited de Toronto, Ontario

Un hydravion à flotteurs utilitaire de Havilland Canada DHC-3 Otter exploité par Northway Aviation Limited de St. Andrews, Manitoba, lac Fishing, Manitoba, septembre 2005. Mark Swaffer via Wikimédia.

Le camion volant d’une tonne du Canada : le de Havilland Canada DHC-3 Otter

Une publicité de Moline Plow Company montrant un Moline Universal Tractor en action. Anon. « Moline Plow Company. » L’Agriculture nouvelle, 10 décembre 1921, 707.

Un véhicule très réussi et, oserais-je le taper, un gougeur de pente de l’industrie des tracteurs agricoles : le Moline Universal Tractor

L’avion de ligne à réaction Douglas DC-8 de Canadian Pacific Airlines Limited de Vancouver, Colombie-Britannique, connu sous le nom de Empress of Montreal. Anon., « Empress of Montreal DC-8 First CPA Jet Visitor. » The Gazette, 6 décembre 1961, 17.

Un article dont je suis réticent à divulguer la phrase-choc si tôt dans le jeu : Ou, Un DC racé utilisé par CP

L’avion-cargo Fairchild C-119 Flying Boxcar de la United States Air Force emprunté par Iron Ore Company of Canada Incorporated en 1951. Anon., « Fret aérien – L’opération Ungava – Le fret aérien accélère l’application d’un projet. » Interavia, décembre 1951, 672.

« Dans l’intérêt de la sécurité nationale » : Le rôle joué par un avion-cargo Fairchild C-119 Flying Boxcar de la United States Air Force dans le développement des gisements de minerai de fer de la région du lac Knob

Le Vertol Modèle 42 de Skyrotors Limited de Arnprior, Ontario, nolisé par Spartan Air Services Limited de Ottawa, Ontario, dans le cadre de l’Opération High Tower. Anon., « Operation High Tower. » The Ottawa Citizen, 8 novembre 1961, 3.

Votre mission, si toutefois vous l’acceptez, est de déplacer des trucs : Spartan Air Services Limited de Ottawa, Ontario, la station radiophonique CFRA de Ottawa et l’Opération High Tower

Une des deux sculptures grandeur nature en alliage d’aluminium de grues blanches créées par Wolfram F. Niessen pour le Regina Municipal Airport, Regina, Saskatchewan. Anon., « Regina Honors the Whooping Crane. » The Ottawa Citizen, Weekend Magazine, 18 novembre 1961, 38.

Parlons d’art, humaines et humains. Tous les humains. Plus fort maintenant. Aidez-moi. – Wolfram F. Niessen, John Cullen Nugent et les sculptures grandeur nature en alliage d’aluminium de grues blanches créées pour le Regina Municipal Airport

Joseph Alphonse Ouimet. Anon., « Le pionnier de la télévision préférait la radio à une bicyclette neuve. » La Patrie, 5 novembre 1961, 26.

« Le pionnier de la télévision préférait la radio à une bicyclette neuve : » Un survol de la carrière de Joseph Alphonse Ouimet, un père fondateur de la télévision canadienne

Une publicité publiée par La traction et le matériel agraires Société anonyme pour le tracteur de jardin américain Beeman Junior. Anon., « La traction et le matériel agraires Société anonyme. » L’Agriculture nouvelle, 12 novembre 1921, 664.

« Les arpents verts, les champs, les bois, les chemins creux, c’est fait pour moi : » La firme américaine Beeman Garden Tractor Company et le tracteur de jardin / motoculteur Beeman Junior ou Modèle G

Une ascension de l’aéronaute et parachutiste foraine Florida Lanthier. Maurice Desjardins, « Dans une modeste maison de Montréal-Nord – Florida Lanthier, reine des parachutistes, vit de couture... et de souvenirs. » Photo-Journal, 8 novembre 1951, 3.

Ombres et lumière dans le ciel du Québec : Un premier regard sur la vie et l’époque de l’aéronaute et parachutiste foraine féminine québécoise Florida Lanthier

L’irradiateur mobile de démonstration monté par Énergie atomique du Canada Limitée. Anon., « Boon to Canadian potato industry. » Saskatoon Star-Phoenix, 21 octobre 1961, 6.

Une patate chaude, deux patates chaudes, trois patates chaudes, quatre : Énergie atomique du Canada Limitée de Chalk River, Ontario, et les premiers jours de l’irradiation des aliments au Canada

Une automobile légère et économique Mathis VL333. Fernand de Laborderie, « Le 33e Salon de l’automobile. » La Nature, 15 octobre 1946, 331.

Une vision d’avenir pour une firme à bout de souffle : L’automobile légère et économique française Mathis VL333

Un Bristol Bolingbroke de reconnaissance côtière destiné à l’Aviation royale du Canada en cours de montage dans l’usine de Fairchild Aircraft Limited, Longueuil, Québec, 1941. Anon., « Les C.F. et la R.C.A.F. » Le Samedi, 18 octobre 1941, (c).

« Nous devons obtenir du matériel aérien et veiller sur nos côtes » – L’Aviation royale du Canada et l’avion de reconnaissance côtière Bristol Bolingbroke

 Le prototype du de Havilland Canada DHC-6 Twin Otter en montre au Musée de l’aviation du Canada, Ottawa, vers 2001. MAEC.

De pôle en pôle et d’horizon en horizon, le Twin Otter était, est et sera là : Une bien brève pontification sur un des meilleurs aéronefs canadiens jamais conçus

Le Royal Aircraft Factory B.E.2 en montre au Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, Ottawa, Ontario, février 2009. Wikipédia.

Le cas étrange et déconcertant des aéroplanes substitués; ou, Même en utilisant les Mathématiques modernes, 4112 n’égale jamais 5878 : La haute histoire du Royal Aircraft Factory B.E.2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, partie 2

Le Royal Aircraft Factory B.E.2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada alors qu’il appartient au Musée canadien de la guerre, Ottawa, Ontario. H.J. (« Titch ») Jenkins, « Correspondence – Ottawa’s – and Sowrey’s – B.E.2c. » Flight, 12 octobre 1961, 600.

Le cas étrange et déconcertant des aéroplanes substitués; ou, Même en utilisant les Mathématiques modernes, 4112 n’égale jamais 5878 : La haute histoire du Royal Aircraft Factory B.E.2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, partie 1

Isidore Joseph Amédée Marsan. Anon., « Isidore Joseph Amédée Marsan. » Le Bulletin des agriculteurs, 17 septembre 1921, couverture.

Un des pionniers de la science agricole au Québec et au Canada: Isidore Joseph Amédée Marsan

Une annonce publicitaire de St. Lawrence Starch Company Limited, Port Credit, Ontario. Anon., « Publicité – St. Lawrence Starch Company Limited. » Le Bulletin des agriculteurs, septembre 1941, 61.

Gratis, magnifiques cartes portant des dessins ou photographies d’aéronefs alliés! Collectionnez-les toutes!

Une automobile Aluminium français-Grégoire, Cité de l’automobile – Musée national – Collection Schlumpf, Mulhouse, France, mai 2010, Wikimédia.

Ent’ deux joints, il a ben fait quequ’chose : Jean Albert Grégoire et ses magnifiques automobiles, Partie 2

 Un exemplaire de l’automobile électrique française CGE-Tudor. C. Faroux, « Un progrès considérable de la voitures électrique. » La Vie automobile, 25 septembre 1941, 284.

Ent’ deux joints, il a ben fait quequ’chose : Jean Albert Grégoire et ses magnifiques automobiles, Partie 1

Le seul et unique exemplaire de l’avion de ligne à long rayon d’action italien Breda Zappata BZ 308. Jacques Gambu. « Breda Zappata BZ 308. » Aviation Magazine, 1er septembre 1951, 21.

Il Constellation italiano, une étoile méconnue du firmament aéronautique de l’Italie : L’avion de ligne à long rayon d’action Breda Zappata BZ 308

Paul Fjeld dans la demeure familiale, Rosemère, Québec. Claude-Lyse Gagnon, « Parti avec $200 en poche – Un jeune Québécois a pu voir décoller Apollo 15. » La Patrie, 15 août 1971, 12.

Espace, frontière de l’infini vers laquelle voyage notre planète, la Terre; voici l’histoire de vie de Paul Fjeld, passionné d’espace et artiste depuis plus d’un demi-siècle

Publicité pour la lager Frontenac Blue Label de National Breweries Limited de Montréal, Québec. Anon., « Publicité – National Breweries Limited. » Le Samedi, 23 août 1941, 12.

La grande victime de la guerre de la bière de Montréal de 1925 : Frontenac Breweries Limited de Montréal, Québec

Un véhicule tout-terrain Karou Karou. Anon., « Opération Camping à Saint-Hilaire. » Photo-Journal, 26 juillet au 1er août 1971, 47.

Tout-terrain, tout-temps, tout-plaisir : Karou Incorporée de Drummondville, Québec, et le véhicule tout-terrain Karou

Le premier exemplaire de production de l’avion d’entraînement avancé Avro Anson de fabrication canadienne équipé d’un fuselage en contreplaqué moulé, lieu inconnu, 1943. MAEC, 23290.

Tout le monde ne sait pas que la fabrication d’aéronefs peut être un sport de contact : Clarence Decatur Howe, Harvey Reginald MacMillan et la production d’avions d’entraînement avancé Avro Anson au Canada, Partie 2

Une paire d’avions d’entraînement avancé Avro Anson de fabrication canadienne utilisée par l’École de pilotage militaire no 10, Base de l’Aviation royale du Canada de Dauphin, près de Dauphin, Manitoba, 1943-44. MAEC, 27297.

Tout le monde ne sait pas que la fabrication d’aéronefs peut être un sport de contact : Clarence Decatur Howe, Harvey Reginald MacMillan et la production d’avions d’entraînement avancé Avro Anson au Canada, Partie 1

Le tout premier tramway électrique exploité par Telegraphen-Bau-Anstalt von Siemens & Halske, Berlin, Empire allemand. Anon., « The first electric railway in Berlin. » Canadian Illustrated News, 9 juillet 1881, 21.

Un tramway nommé Straßenbahn Groß-Lichterfelde, ou, Comment Telegraphen-Bau-Anstalt von Siemens & Halske met en service le premier tramway électrique au monde

L’auteur et pionnier canadien de l’aviation Frank Henry Ellis (au centre) avec les pionniers américains de l’aviation Frank Purdy Lahm (à gauche) et Will D. « Billy » Parker, président de Early Birds of Aviation Incorporated, Los Angeles, Californie. Robert Francis, « Early Birds ». Sunday Sun Magazine, 28 juillet 1951, 5.

Si nous avons vu plus loin, c’est en montant sur les épaules d’un géant : Frank Henry Ellis et Canada’s Flying Heritage

Publicité montrant un tracteur italien SAME Buffalo. Anon., « Publicité – Les Entreprises Biasotto & Hardy (Canada) Incorporée. » Le Bulletin des agriculteurs, juillet 1981, 26.

Ils étaient tous pareils, frères l’un de l’autre : Francesco Cassani, Eugenio Gabriele Cassani et la Società Accomandita Motori Endotermici (SAME)

Un Canadair North Star de British Overseas Airways Corporation, London Airport, Heathrow, Angleterre, septembre 1954. Wikimédia.

Le tour du monde en 80 heures : Quelques pages sur le Canadair North Star, partie 2

Le prototype du Canada North Star, 1946. Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, KM-08329

Le tour du monde en 80 heures : Quelques pages sur le Canadair North Star, partie 1

Une annonce publicitaire pour une faucheuse fabriquée par La Machine Agricole Nationale Limitée de Montmagny, Québec. Anon., « Publicité – La Machine Agricole Nationale Limitée. » Le Bulletin des agriculteurs, 11 juin 1921, 556.

Faites que personne n’oublie que, pendant un moment bref et éclatant, il y a eu La Machine Agricole Nationale Limitée de Montmagny, Québec

La civière Folland / Hawker Siddeley Hoverstretcher en action. Anon., « Airborne comfort. » The Calgary Herald, 9 juin 1961, 19.

Développer le germe d’une idée: Maurice Joseph Brennan et ses aéroglisseurs

Des mères et enfants prêtes à monter à bord d’un des avions de ligne Douglas DC-3 convertis en Nurseryliner par United Air Lines Incorporated, San Francisco, Californie, avril ou mai 1946. Anon., « Service aérien pour bébés. » Photo-Journal, 20 juin 1946, 12.

Asseyez-vous, détendez-vous et profitez du voyage – Des bébés dans l’avion : United Air Lines Incorporated et son service Nurseryliner

L’ingénieur et astronome amateur canadien James Hargreaves avec un instrument qu’il a fabriqué lui-même. Jean Taillefer, « Un voyage de 180 jours au Soudan, en Afrique; une expérience astronomique de 180 secondes. » Le Droit, 16 juin 1951, 13.

« Un savant d’Ottawa fait un sacrifice pour la science: » L’ingénieur et astronome amateur canadien James Hargreaves et ses voyages autour du globe

Le prototype de l’avion de brousse Fairchild F-11 Husky peu avant son premier vol, juin 1946, Musée de l’aviation et de l’espace du Canada KM-05311.

Chien-chien, tu es doué, très doué, mais tant que le rongeur sera dans le métier, tu ne seras jamais que le second : La brève mais longue histoire de l’avion de brousse Fairchild F-11 Husky

Un dessin écorché de l’avion de brousse canadien Fleet Modèle 50 Freighter. Anon., « Fleet’s Trainer and Transport. » Aviation, mai 1941, 61.

Il aurait pu (et dû?) être un des grands : L’avion de brousse canadien Fleet Modèle 50 Freighter

Wilfrid-Henri Perron. Claude Asselin, « Une encyclopédie québécoise pour les horticulteurs. » Photo-Journal, 3 au 9 mai 1971, 12.

Chez Perron, tout est bon : Un géant de l’horticulture québécoise et canadienne, Wilfrid-Henri Perron (1897-1977)

Le cyclecar / vélomobile / vélocar / automouche à pédales et / ou moteur auxiliaire Le Dauphin. Edmond Massip, « Un cyclecar à pédales et moteur auxiliaire. » La Vie automobile, 25 mai 1941, 153.

Le cyclecar / vélomobile / vélocar / automouche à pédales et / ou moteur auxiliaire Le Dauphin : Une solution (extrême?) à la pénurie de carburant à Paris au cours de l’occupation allemande pendant la Seconde Guerre mondiale

L’autogire Pitcairn PCA-2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada lors de sa grande tournée aux États-Unis, alors qu’il appartient à Sealed Power Corporation. Anon. « Pohled na Ciervovu autogiro za letu. » Letectvi, novembre 1932, 310.

« ’Moulin à vent volant’ ici mercredi » : Le grand périple de Donald Walker et du Pitcairn PCA-2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, partie 2

L’autogire Pitcairn PCA-2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada au moment où il appartenait à Standard Oil Company of New York. Anon., « Publicité – Standard Oil Company of New York. » Aviation, mai 1931, 22.

« ‘Moulin à vent volant’ ici mercredi » : Le grand périple de Donald Walker et du Pitcairn PCA-2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, partie 1

Une annonce publicitaire sobre et sans fioriture d’Elzéar Fortier Limitée de Québec, Québec. Anon., « Publicité – Elzéar Fortier Limitée. » L’Action catholique, 8 avril 1946, 9.

C’était un malin: Elzéar Fortier et la production de boissons gazeuses à Québec, Québec

Youri Alekseïevitch Gagarine et Charles Augustus Lindbergh. La légende de ces photographies mentionne la ressemblance frappante entre ces personnes importantes du monde de l’astronautique et de l’aéronautique. Anon., « Lancement du premier homme dans l’espace – Comment se sont déroulés les événements en Union soviétique. » La Tribune, 13 avril 1961, 24.

C’était aussi un petit pas pour un homme, un pas de géant pour l’humanité : Le vol dans l’espace de Youri Alekseïevitch Gagarine dans la presse francophone québécoise, 12-15 avril 1961, partie 2

Le major Youri Alekseïevitch Gagarine au cours de sa visite à Helsinki, Finlande, juillet 1961. Wikimédia.

C’était aussi un petit pas pour un homme, un pas de géant pour l’humanité : Le vol dans l’espace de Youri Alekseïevitch Gagarine dans la presse francophone québécoise, 12-15 avril 1961, partie 1

Claire Wallace, animatrice de radio de Canadian Broadcasting Corporation interviewant Diana Jocelyn Dudley, ingénieure en aménagement intérieur de Trans-Canada Air Lines, janvier 1946. Anon. « Air Transportation – Radio Broadcast over Niagara. » Canadian Transportation, avril 1946, 200.

Pas un endroit pour une dame?! Baliverne! : Diana Jocelyn Dudley et Janet Elizabeth Lowe, les premiers ingénieurs en aménagement intérieur des Lignes aériennes Trans-Canada

Peter Müller aux commandes [sic] du Pedroplan, Berlin, Allemagne, mars 1931. Anon., « Cologne contre Marseille – Le mystère du ‘Pédroplan.’ [sic] » Les Ailes, 2 avril 1931, 14.

Je veux faire voler ma bicyclette, je veux faire voler mon cerf-volant : Peter Müller et le Pedroplan

L’aéroglisseur Phillips Saucercraft, Mount Hope, Ontario. Anon., « Flying saucer crack-up. » The Calgary Herald, 2 mars 1961, 1.

Un ONVI (Objet non volant identifié) des plus intrigants : L’aéroglisseur Phillips Saucercraft

La Dre Ann Elizabeth Noelle Grace s’occupant d’un de ses patients, Montreal General Hospital, Montréal, Québec. Claude Adams, « An eye-opener for our reporter – Team of women doctors shatters Ben Casey myth. » The Gazette, 3 mars 1971, 31.

Briser le mythe de Ben Casey et James Kildare : La première femme chirurgien pédiatrique du Canada, la Dre Ann Elizabeth Noelle Grace

Une publicité de Langlais & Frère Incorporée de Québec, Québec, vantant les mérites du tracteur Zetor 25. Anon. « Publicité – Langlais & Frère Incorporée. » L’Action catholique, 3 mars 1951, 14.

De leurs épées, ils forgeront des socs de charrue; ou, Un bref regard sur la société d’état tchèque Zbrojovka Brno Národní Podnik

 Quelques personnalités présentes lors l’inauguration de l’École d’avionnerie de Cartierville, Cartierville, Québec, 3 mars 1941. Anon., « À l’inauguration de l’École d’avionnerie de Cartierville. » La Presse, 4 mars 1941, 19.

Une réalisation magnifique, pleine de promesses d’avenir, balayée par l’esprit étroit de Maurice Le Noblet Duplessis : L’École d’avionnerie de Cartierville

La présentation du premier Boeing Modèle 747 d’Air Canada à l’Aéroport international de Montréal-Dorval, Dorval, Québec. Anon., « Des milliers de personnes ont vu le géant des airs. » La Presse, 22 mars 1971, A 1.

66 327 personnes ne peuvent pas avoir tort, mais elles peuvent avoir froid : La présentation du premier Boeing Modèle 747 d’Air Canada à l’Aéroport international de Montréal-Dorval

 Le Fokker D.VII du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, mars 2019. MAEC.

Un des grands aéronefs de combat du 20ème siècle et un des nombreux joyaux d’un des plus remarquables musées de l’aviation et de l’espace de la planète Terre : Le Fokker D.VII et l’avion du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada

Une publicité de Équipements Ascot Incorporée de Saint-Élie-d’Orford, Québec, vantant les mérites du tracteur UTB U530. Anon. « Publicité – Équipements Ascot Incorporée. » Le Bulletin des agriculteurs, février 1981, 28.

De leurs ailes, ils forgeront des socs de charrue; ou, Un bref regard sur la société d’état roumaine Uzina Tractorul Braşov

Un dessin éditorial mettant en lumière le lancement de la sonde planétaire soviétique Venera 1 en février 1961. Edmund Alexander Sebestyen, « To Venus With Love. » Saskatoon Star-Phoenix, 14 février 1961, 4.

Essayer de lever les voiles sous lesquels Vénus se cachait de notre regard : La saga de la sonde planétaire soviétique Venera 1

Un Jacobs Jaycopter au repos, Edmonton, Alberta. Lyn Harrington, « Cutting helicopter training cost. » Canadian Aviation, février 1961, 20.

Un simulateur d’hélicoptère avec une différence : il vole – Le Jacobs Jaycopter canadien

Dessin éditorial montrant le roi Neptune offrant sa couronne à l’équipage du English Electric Canberra qui traverse l’Océan Atlantique en février 1951. Charles R. Knight, « Ready to Abdicate. » The Windsor Daily Star, 22 février 1951, 4.

Quelques milliers de mots sur le English Electric Canberra / Martin B-57 Canberra et le petit rôle joué par Canadair Limited dans son histoire

Le premier exemplaire de série de l’hélicoptère Piasecki HUP Retriever. Anon., « News Picture Highlights. » Aviation Week, 15 janvier 1951, 9.

« Shoe, » Retriever, « Hupmobile » ou Army Mule – un HUP sous tout autre nom est encore un HUP : Les hélicoptères Piasecki HUP Retriever et H-25 Army Mule, et le HUP du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada

Une vue du barrage de Warsak, nord du Pakistan occidental. Anon., « Inauguration du barrage de Warsak. » Le Droit, 27 janvier 1961, 12.

Franchement, ma chère / mon cher, nous avons donné un barrage : Le Canada et le barrage de Warsak au Pakistan

Un des premiers de Havilland Canada Chipmunk importés au Royaume-Uni. Anon., « De Havilland [Canada] DHC-1 ‘Chipmunk.’ » Aviation Magazine, 1er janvier 1951, couverture.

Un Tamias striatus gambadant dans les nuages : Le de Havilland Canada Chipmunk

Le 5ème de Havilland Canada AC-1 Caribou de présérie. Larry Booda, “Aeronautical Engineering – Aviation Week Pilot Report – STOL Caribou Calls for Special Handling.” Aviation Week and Space Technology, 23 janvier 1961, 56.

Un camion volant qui a donné de la mobilité aux soldats de l’ère atomique : Le de Havilland Canada Caribou

La voiture lunaire Oberth telle qu’imaginée en 1960. I.M. Levitt, « Le problème du transport sur la Lune. » L’Action catholique, 10 juillet 1960, 5.

Je ne suis tout simplement pas sûr que ce véhicule a été bien pensé : La voiture lunaire du pionnier de l’astronautique Hermann Julius Oberth

La Ferrari 512 Pininfarina Modulo, en montre lors de l’édition 1971 du Salon international de l’Auto de Montréal, Montréal, Québec. Jean D. Legault, « Une première mondiale et 12 continentales. » La Patrie, 17 janvier 1971, 31.

Une des automobiles de rêve les plus célèbres de tous les temps : La Ferrari 512 Pininfarina Modulo

Publicité pour le moins sobre pour la bière d’épinette La Canadienne de F.A. Fluet Enregistré. Anon., « Publicité – F.A. Fluet Enregistré. » L’Action catholique, 4 janvier 1951, 5.

Une petite bière qui n’était pas de la petite bière : F.A. Fluet Enregistré de Québec, Québec, et la bière d’épinette La Canadienne

Une scène croquée lors du lancement du Jeu de l’électricité par Éditions Héritage Incorporée, Montréal, Québec, 6 novembre 1968. Anon., « –. » Le Devoir, 6 novembre 1968, 11.

A B C Abécédaire. Viens avec nous autour de la Terre : L’émission de télévision éducative pour enfants Tour de Terre de la Société Radio-Canada

Une publicité vantant les mérites du Vin St.Georges. Anon. « Publicité – T.G. Bright & Company Limited. » Le Bulletin des agriculteurs, décembre 1940, 2.

Pour régaler la famille pendant les Fêtes, n’oubliez pas le Vin St.Georges : Un bref regard sur un pionnier de l’industrie vinicole canadienne, T.G. Bright & Company Limited

Le Bell Modèle 47 utilisé par Airspray Limited, Ontario. Anon., “Helicopter – Down on the Farm.” Canadian Aviation, septembre 1947, 25.

Dans la ferme de Mathurin, hiya hiya ho. Il y a des centaines de Bell, hiya hiya ho : Quelques mots de plus sur les premiers jours de l’aviation agricole au Canada

Une publicité annonçant la mise en service de l’avion de ligne court et moyen-courriers Vickers Vanguard des Lignes aériennes Trans-Canada. Anon., « Publicité – Trans-Canada Air Lines. » Maclean’s, 3 décembre 1960, 8-9.

Du « gros Viscount » au Merchantman : Le voyage abrégé du Vickers Vanguard

Le Convair 580 utilisé par le Centre canadien de télédétection de Ressources naturelles Canada, Aéroport international MacDonald-Cartier d’Ottawa, Ottawa, Ontario, septembre 2001. Wikipédia.

C’était un des grands : L’aéronef de télédétection Convair 580 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada

Un aéronef agricole Air Tractor AT-502 utilisé par Southeastern Aerial Crop Service Incorporated, Belle Glade State Municipal Airport, Floride, juin 2013. Wikipédia.

Des ailes au-dessus du monde : Le turbopropulseur et turbomoteur PT6, Partie 2

Le premier turbopropulseur conçu au Canada, le PT6 de Canadian Pratt & Whitney Aircraft Company Limited. Anon., « Publicité – Canadian Pratt & Whitney Aircraft Company Limited. » The Gazette, 14 novembre 1960, 24.

Des ailes au-dessus du monde : Le turbopropulseur et turbomoteur PT6, Partie 1

Les 14 volumes de l’édition 1960 de L’Encyclopédie de la jeunesse de Grolier Limitée. Anon., « Publicité - Grolier Limitée. » La Tribune - Perspectives, 12 novembre 1960, 31.

Un livre de connaissance : L’Encyclopédie de la Jeunesse

Roxana Hartley et M. Jolie / lord Robert Brummel, les principaux protagonistes de la pièce américaine de 1930 Dancing Partner, Belasco Theatre, New York, New York. Anon., « The Stage Goes ‘Air-minded’. » Scientific American, novembre 1930, 355.

Une pièce dans un avion, et un avion dans une pièce : Dancing Partner, 1930

Le Supermarine Spitfire exposé pour le 20ème anniversaire de la bataille d’Angleterre, Colline du Parlement, Ottawa, Ontario, 18 septembre 1940. Anon., « News roundup – Battle of Britain Ceremonies. » Aircraft, novembre 1960, 58.

Un cadeau pour le ciel : Le Supermarine Spitfire Mk IIb du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada

Certains des montages du Musée national de l’air, Aéroport de Uplands, Ottawa, Ontario, début des années 1960. MAEC, numéro de négatif 4446.

Bonne fête à nous. Bonne fête à nous. Bonne fête cher MAEC. Bonne fête à nous : Quelques mots sur les premiers jours, semaines, mois et années du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada

Une reproduction (grandeur nature?) un tant soit peu inexacte de Spoutnik I en montre à Prague, Tchécoslovaquie, dans le cadre d’une exposition commémorant le 40ème anniversaire de la Grande révolution socialiste d’octobre. Anon., « Modèle du satellite russe. » Le Nouvelliste, 10 octobre 1957, 1.

Le Québec / Canada et le satellite le plus simple, le vaisseau spatial PS-1, autrement dit Spoutnik I : Un survol de ce qui se publie dans la presse québécoise francophone entre les 5 et 12 octobre 1957, Partie 4

Pierre Dorion, « L’ère des émotions. » La Presse, 9 octobre 1957, 4.

Le Québec / Canada et le satellite le plus simple, le vaisseau spatial PS-1, autrement dit Spoutnik I : Un survol de ce qui se publie dans la presse québécoise francophone entre les 5 et 12 octobre 1957, Partie 3

Le satellite le plus simple ou vaisseau spatial PS-1, autrement dit Spoutnik I, un peu avant son lancement, septembre 1957. NASA.

Le Québec / Canada et le satellite le plus simple, le vaisseau spatial PS-1, autrement dit Spoutnik I : Un survol de ce qui se publie dans la presse québécoise francophone entre les 5 et 12 octobre 1957, partie 2

Un dessin un tant soit peu inexact du vaisseau spatial PS-1, autrement dit Spoutnik I, en orbite autour de la Terre. Anon., « Fusées et satellites seraient invincibles. » Le Soleil, 8 octobre 1957, 1.

Le Québec / Canada et le satellite le plus simple, le vaisseau spatial PS-1, autrement dit Spoutnik I : Un survol de ce qui se publie dans la presse québécoise francophone entre les 5 et 12 octobre 1957, Partie 1

Eldon Douglas McEarchern travaillant sur son Piper PA-18 Super Cub agricole sous le regard d’un de ses fils, Carman, Manitoba. Anon., « Les fermiers volants de l’ouest canadien ». Le Samedi, 22 octobre 1960, 25.

Oh, quel matin magnifique! Oh, quelle journée magnifique! : Un aperçu de la première décennie du mouvement des fermiers volants au Canada

 Une des batteuses remorquées conçues et fabriquées par Dion & Frère Incorporée de Sainte-Thérèse-de-Blainville, Québec. Anon., « Publicité – Dion & Frère Incorporée. » Le Bulletin des agriculteurs, septembre 1940, 47.

Un siècle de technologie et d’innovation agricoles dans la région québécoise des Laurentides : De Dion & Frère à Dion-AG

Jani Moreau, agente de bord, telle qu’imaginée par l’artiste Nicole Lapointe. Anon., « Un nouvel illustré : Jani hôtesse de l’air. » Claire, 15 septembre 1960, couverture.

Elle n’est pas une serveuse dans le ciel : Jani hôtesse de l’air et quelques mots sur la présence des agentes de bord dans la culture populaire

Une furieuse Clara déchiquetant le biplan Curtiss piloté par George F. Russell, Dongan Hills, New York, 10 septembre 1910. Anon., "La vache et l’aéroplane". Le Petit Journal - Supplément illustrée, 25 septembre 1910, 312.

Une rencontre rapprochée de type étrange et inhabituel, ou, Comment Clara la vache a rencontré un biplan Curtiss à Staten Island, New York, New York

Le premier avion de ligne Douglas DC-3 livré aux Lignes aériennes Trans-Canada, Aéroport de Montréal (Dorval), Dorval, Québec, vers 1945-48. MAEC, numéro de négatif 25515

Un rutilant exemplaire d’un des aéronefs les plus célèbres et importants du 20ème siècle : Le Douglas DC-3 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada

Le premier avion léger /privé Fleet Modèle 80 Canuck, Fort Erie, Ontario, mars 1946. Cet aéronef appartient à Sturgeon Air Services Limited de Fredericton, Nouveau-Brunswick. MAEC, négatif numéro KM-07962

Enseigner à voler car il a des ailes : L’avion léger / privé canadien Fleet Modèle 80 Canuck

Un Zenair CH-701 fabriqué sous licence par Czech Aircraft Works Společnost s ručenim omezeným, Oshkosh, Wisconsin, juillet 2011. Wikimédia.

Née dans un garage, mais maintenant le monde entier est un marché pour Zenair Limited : Un coup d’œil sur les concepts de l’ère de la Guerre froide de Christophe Jean Heintz, partie 2

Christophe Jean Heintz aux commandes du Heintz Zenith. Anon., « –. » Aviation magazine international, 15 au 31 août 1970, couverture.

Née dans un garage, mais maintenant le monde entier est un marché pour Zenair Limited : Un coup d’œil sur les concepts de l’ère de la Guerre froide de Christophe Jean Heintz, partie 1

Le satellite-ballon Echo 1A au cours d’un essai de gonflement, 1960. National Aeronautics and Space Administration.

Les merveilleux ballons en plomb de Claude Williams Coffee, Junior, Walter Edward Bressette et William J. O’Sullivan : Les satellites-ballons Echo au Québec et ailleurs, Partie 2

Le satellite-ballon Echo 1A filant dans le ciel, au-dessus de l’École normale de Chicoutimi, Chicoutimi, Québec. Dominique Lapointe, « Une visite qui nous est devenue familière – L’Écho 1 continue à se promener tous les soirs sur notre région. » Le Progrès du Saguenay, 27 août 1960, 7.

Les merveilleux ballons en plomb de Claude Williams Coffee, Junior, Walter Edward Bressette et William J. O’Sullivan : Les satellites-ballons Echo au Québec et ailleurs, Partie 1

Un des Found FBA-2 de Georgian Bay Airways Limited. H.L. « Des US et du Canada 2 formules d’avions légers – 1 Le Found ‘Flying Truck.’ » Aviation magazine international, 1er juillet 1964, 39.

Un petit camion volant ontarien déménagé au pays des kiwis : L’avion de brousse Found FBA-2

Le seul et unique Cushioncraft CC1, initialement connu sous le nom de Britten-Norman BN-1 Cushioncraft / CC1 Cushioncraft. Anon., "News Digest - New Cushion-rider." Aviation canadienne, août 1960, 46.

À l’époque, ça semblait être une bonne idée : Les bananes du Cameroun britannique et l’aéroglisseur Cushioncraft CC1

Le seul et unique Canadian Car & Foundry CBY-3 Loadmaster. MAEC, numéro de négatif 17826.

Les huit vies d’un wagon de marchandises volant unique, le Canadian Car & Foundry CBY-3 Loadmaster

La fusée atomique / nucléaire pulsée imaginée par l’illustrateur américain bien connu Francis Xavier Theban Tinsley. Anon., « Publicité – American Bosch Arma Corporation. » Aviation Week, 4 juillet 1960, 13.

Un méchant souffle du passé : Francis Xavier Theban Tinsley et la fusée atomique / nucléaire pulsée

Walter Thomas Leavens examinant les coupes qui entraînent l’agitateur monté à l’intérieur de la trémie de l’avion léger / privé Piper J-5 Cub Cruiser utilisé par Leavens Brothers Air Services Limited. Anon., « Crop Dusting with a Cub. » Canadian Aviation, juillet 1945, 50.

Désherbez-les et récoltez : Leavens Brothers Air Services Limited et les premiers jours de l’aviation agricole en Ontario / au Canada après la Seconde Guerre mondiale

L’Aviateur du Pacifique.

Un roman d’anticipation et de guerre de la Belle Époque : L’Aviateur du Pacifique du capitaine Danrit (Émile Driant)

Le planeur à réaction Fouga CM.8 Cyclone / Sylphe. Anon., “–.” Aviation Magazine, 1er juin 1950, couverture.

J’aime les nuages… les nuages qui passent… là-bas… là-bas… les merveilleux nuages! Les Établissements Fouga et Compagnie et ses planeurs à réaction

La voiturette Sharp / Bond Minicar Mk A présentée à la population de Montréal, Québec, par le concessionnaire Budd & Dyer Limited. Anon., « Jusqu’à 110 milles au gallon. » La Presse, 10 juin 1950, 26.

Une voiturette conçue à une époque d’austérité : La Bond Minicar

Un hydroplaneur Koser / Koser-Hrovat KB-3 Jadran, mer Adriatique, été 1949. En arrière-plan, le navire à passagères et passagers côtier Dalmacija de la firme maritime d’état Jadranska Linijska Providba. Anon., « Gliding and sailplanes in Yugoslavia. » Sailplane and Glider, juin 1950, 125.

Au-dessus des étangs, au-dessus des vallées : L’hydroplaneur Koser / Koser-Hrovat KB-3 Jadran

Le tsar Nikolaï II, à gauche, les mains derrière le dos, regardant les aéroplanes qui ont participé à la Sankt-Peterburgskaya aviatsionnaya nedelya, Saint-Pétersbourg, Empire russe. Anon., « Nouvelles sportives – Le tsar chez les aviateurs. » La Revue aérienne, 10 juin 1910, 349.

Miracle des miracles, regardez ce que l’avion a ramené : La Sankt-Peterburgskaya aviatsionnaya nedelya

Le Danois Jan Bo Kristensen effectuant un atterrissage de précision avec un parachute-voile lors d’une compétition nationale organisée par la Dansk Faldskærms Union, Randers, Danemark, août 2005. Wikipédia.

L’imagination est le plus haut cerf-volant que l’on puisse faire voler : La vie et l’époque d’un maître du vent, Domina Cléophas Jalbert, Partie 2

Domina Cléophas Jalbert, à gauche, et Hamnett Pitzer Munger avec un des ballons cerfs-volants fabriqués par Jalbert Aerological Laboratory Incorporated pour étudier la pollution atmosphérique. Anon., « Ce que devient un jouet d’enfant. » La Presse, 23 mai 1950, 3.

L’imagination est le plus haut cerf-volant que l’on puisse faire voler : La vie et l’époque d’un maître du vent, Domina Cléophas Jalbert, Partie 1

Deux des jeunes employés de Ontario Model Aircraft Company au travail, Toronto, Ontario. Arthur Lowe, « Kindergarten of the Air. » Maclean’s, 1er mai 1940, 24.

Une maternelle pour l’ère de l’aviation : Ontario Model Aircraft Company / Model Craft Hobbies Limited et quelques autres mots sur l’aéromodélisme au Canada avant et pendant la Seconde Guerre mondiale

Le seul et unique Monte-Copter Modèle 15 Triphibian, Seattle, Washington. Anon., « World Air News. » Air Pictorial, mai 1960, 167.

Le jour des triphibes : Monte-Copter Incorporated et l’hélicoptère Modèle 15 Triphibian

Le petit chéri de Vladislav Verner, le Verner W-01 Brouček. Anon., « Private Flying. » Flight International, 14 mai 1970, 806.

Malé letadlo a skvěly příběh / Un petit avion et une grande histoire : L’avion de construction amateur Verner W-01 Brouček

La caisse contenant le Blériot Type XI de Jean Versailles sur le camion hippomobile spécialement équipé de Shedden Forwarding Company Limited, Montréal, Québec. Anon., « Le premier aéroplane à Montréal. » La Presse, 28 mai 1910, 12.

Montréal a son premier aéroplane : Le Blériot Type XI de Jean Versailles et William Carruthers

Personnel au sol chargeant des approvisionnements dans la soute à bombes d'un Avro Lancaster du 514e escadron de la Royal Air Force au cours de l'opération Manna, le largage de nourriture à la population néerlandaise affamée.

Il leur donna le pain du ciel à manger : Quelques mots sur l'opération Manna et l'opération Chowdown, avril-mai 1945

Un garçon et des éléments d’un jouet exposé à l’édition de 1950 de la foire des jouets de New York, New York : Stefan Olsen et la chambre à nuages du Gilbert Atomic Energy Lab. Anon., “Initiation atomique.” Photo-Journal, 13 avril 1950, 20.

Un des jouets les plus dangereux de tous les temps : Le Gilbert Atomic Energy Lab

Un des Aeronautica Macchi AL-60 utilisés au Canada par Northwest Industries Limited pour intéresser des clients potentiels, Edmonton, Alberta. Anon., « Aeronews. » Air Progress, juillet 1969, 15.

Un L-402 sous tout autre nom est encore un L-402 – ou un AL-60 ou un Conestoga ou un Ranger ou un Santa Maria ou un Trojan, à moins qu’il ne soit un Kudu, Partie 2

Le premier prototype du Lockheed L-402. Anon., « Le Lockheed-Azcarate C.L.-402. » Les Ailes, 16 avril 1960, 1.

Un L-402 sous tout autre nom est encore un L-402 – ou un AL-60 ou un Conestoga ou un Ranger ou un Santa Maria ou un Trojan, à moins qu’il ne soit un Kudu, Partie 1

Une des publicités publiées dans des quotidiens québécois pour promouvoir la nouvelle automobile Glas Goggomobil T700. Anon., « Publicité - Eugène Roy Limitée. » La Presse, 1er avril 1960, 39.

À la recherche de… la Glas Isar / Isard T700, une automobile précédemment connue sous le nom de Goggomobil T700

Le traîneau aérien conçu et fabriqué par Kenneth J. Richards. Anon., « Traîneau moderne. » L’Auto, 9 février 1940, 1.

La semaine mystérieuse magique attend pour vous emporter, ou, Est-ce que quelqu’un dans la blogosphère sait quoi que ce soit sur le traîneau aérien Richards ou le traîneau aérien Lawrence?

De gauche à droite, Boum-Boum, Ba-Ba et Bi-Bi, en d’autres mots les Lunours. Anon., “Toute la vérité sur la soucoupe de St-Bruno –Un coup monté de $100,000.” Photo-Journal, 23 février au 1er mars 1970, 1.

Nous sommes Bi-Bi Ba-Ba Boum-Boum: La saga des Lunours

Un exemplaire du turboréacteur suédois STAL Skuten en montre, sous bonne garde, à Stockholm, Suède. Anon., « Production – First Swedish Turbojet Revealed. » Aviation Week, 27 mars 1950, 36.

Un conte de deux moteurs, ou quatre, ou même six : Les STAL Skuten, Dovern et Glan

Frances Marian « Poppy » Northcutt dans une des expositions sur l’espace du Palais de la Découverte, un centre des sciences à Paris, France, pas au Texas. Anon., « Astronautique – ‘Poppy’ à Paris. » Aviation Magazine International, 15 au 31 mars 1970, 42.

Ses parents trouvent qu’elle fait un métier passionnant, mais ils aimeraient qu’elle se marie : Frances Marian « Poppy » Northcutt à la NASA et au-delà

Turi Widerøe parlant avec une agente de bord dans un avion de ligne à réaction Sud Aviation SE 210 Caravelle de Scandinavian Airlines System Denmark-Norway-Sweden. J.-C Fortin. « SAS ne compte qu’une seule femme pilote de ligne : Turi Wideroe. » Le Petit Journal, 1er mars 1970, 28.

Turi Widerøe est passée en coup de vent à Montréal l’autre jour

Quelques aspects de la quatrième exposition d’automobiles et de bateaux de Montréal. Anon., « Ouverture de l’exposition d’automobiles et de yachts. » La Presse, 28 mars 1910, 1.

Une semaine au Coliseum : L’exposition d’automobiles et de bateaux de Montréal de 1910 et les premiers aéroplanes en exposition au Québec / Canada

La docteure Margaret Beznak avec un de ses sujets de recherche. Elizabeth Motherwell, « Elle succède à son mari à la tête de la faculté de physiologie de l’U. d’Ottawa. » La Tribune, 3 février 1960, 17.

Un exemple stellaire de la contribution faite par les gens qui choisissent le Canada : Quelques mots sur la vie et l’époque de la docteure Margaret Beznak

Les sœurs Maria Cleofas et Maria Innocenza des Sœurs franciscaines de Saint-Louis de Gonzague à bord d’un avion léger / privé AVIA / Lombardi FL.3 au cours de leur formation de pilote, Turin, Italie. Anon., « Le ciel leur appartient. » Le Soleil / Perspectives, 20 février 1960, 12.

Sœur Bertrille n’est pas la première sœur volante, ou, Parlons des sœurs Maria Cleofas et Maria Innocenza – et de sœur Mary Aquinas aussi

Le Bellanca CH-300 Pacemaker du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada à Ottawa, Ontario, vers 2007. Wikipédia.

Si loin de chez lui : Le Bellanca CH-300 Pacemaker du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, Partie 2

Un Bellanca CH-300 Pacemaker utilisé par Alaska Coastal Airlines, Incorporated, Juneau, Alaska. Cet hydravion à flotteurs est maintenant exposé au Musée de l’aviation et de l’espace du Canada à Ottawa, Ontario. Keith Petrich, “Bush Flying Is Dead.” Air Trails Pictorial, février 1945, 26.

Si loin de chez lui : Le Bellanca CH-300 Pacemaker du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, Partie 1

Une voiturette New-Map / Rolux Baby typique. Anon., « La voiturette ‘Baby VB-60’ à Québec au milieu de février. » L’Action catholique, 14 janvier 1950, 12.

La voiture qui est plus économique que le tramway : La voiturette New-Map / Rolux Baby

Charles Aznavour avec le véhicule tout-terrain Beehoo / Magna Amphicat qu’il examine, Montréal, Québec. Sa fille Seda est près de lui. Suzanne Piuze, « Aznavour m’a dit… » La Patrie, 25 janvier 1970, 20.

J’aimerais en posséder une; son mon bateau, ce serait épatant : Le voyage hors route du Beehoo / Magna Amphicat

L’habitat lunaire imaginé par Rocco G. « Roy » Scarfo. Anon., « C’est écrit dans le ciel. » La Patrie du dimanche, 24 janvier 1960, 6.

Il était un des grands : Rocco G. « Roy » Scarfo, peintre de l’espace, et le monde au-delà de demain

Démonstration de la légèreté du turboréacteur Williams Jet No.1. Anon., « 23-lb Turbojet Develops 70 lb. Of Thrust. » Aviation Week and Space Technology, 18 janvier 1960, 126.

Ce moteur est peut-être un peu lourd mais son sourire demeure toujours : Le Williams Jet No. 1 et ses successeurs

L’avion de ligne General Development / Christmas, près de New York, New York. Anon., “Potężny łoskot silników powietrznych gigantów powitał rok nowy.” Lot Polski, janvier 1930, 1.

Le puissant rugissement des moteurs des géants des airs saluent la nouvelle année : La troublante saga de William Wallace Whitney Christmas

Quelques actrices et acteurs ayant contribué au succès de la série télévisée de science-fiction québécoise Opération-Mystère, 1958. De gauche à droite, Luce Guilbeault, Marcel Cabay, Georges Groulx, Louise Marleau et Hervé Brousseau. Société Radio-Canada.

Opération-Mystère, une série télévisée qui répond aux goûts de la génération des spoutniks et des soucoupes volantes

Le pont en aluminium d’Arvida, Arvida / Saguenay, Québec. Anon., « Premier pont tout en aluminium. » Le Petit Journal, 4 décembre 1949, 51.

Sur le pont d’Arvida, un site historique national de génie civil, on y danse, on y danse

Le Piaggio P-7 au repos dans son élément. Joaquin de la Llave y Sierra, « Antes y después de la Copa Schneider. » Aérea, décembre 1929, 8.

Si vous ne réussissez pas du premier coup, essayez, essayez, essayez, essayez, essayez encore : L’étrange histoire du Piaggio P-7

Une affiche du film de science-fiction japonais Uchû Daisensô

Uchû Daisensô, ou, Une bataille dans l’espace extra-atmosphérique en provenance du pays du Soleil levant

La toute première automobile / voiturette Zar Zar-Car, Windsor, Ontario. Arthur Prévost, « La première auto entièrement canadienne bientôt en vente! » Le Petit Journal, 25 octobre 1959, 67.

À la recherche d’une voiture canadienne : La Zar de toutes les Windsor

L’astrophysicienne soviétique Alla Genrikhovna Masevitch et sa fille, Natasha Josifovna Friedlander. Sam Schecter, “Deux Canadiens en Russie – Rencontres avec l’élite russe.” Le Soleil / Perspectives, 26 septembre 1959, 11.

Son nom est Masevitch, Alla Genrikhovna Masevitch

L’ornithoptère University of Toronto Institute for Aerospace Studies Great Flapper au cours d’essais, Malton, Ontario, 2005. http://www/ornithopter.net

Voler, comme dans un rêve : La saga du Great Flapper

Beth Ross posant pour un photographe alors qu’elle nettoie le fragment principal de la chondrite de Dresden devant le bureau de The Dresden News. Anon., “Adding lustre to meteor that startled a province.” Toronto Daily Star, 13 juillet 1939, 1.

L’art de la négociation en Ontario rural; ou, La triste histoire de la chondrite de Dresden

L’ingénieur canadien Owen Eugene Maynard avec une maquette du véhicule lanceur Convair Atlas surmonté d’une capsule spatiale McDonnell Mercury, 1962. Roger Nadeau, « Une foule de techniciens canadiens ont pris part au vol d’Apollo 11. » Le Petit Journal, 20 juillet 1969, 4.

Le petit gars de Sarnia qui a mis le premier humain sur la Lune

Le premier Taylor J.T.1 Monoplane, White Waltham, Angleterre. Anon., « Sport and Business. » Flight, 19 juin 1959, 839.

Tinker, Taylor, monoplan

Trois des interprètes du téléroman Amour, délices et cie, avec son concepteur, Joseph Louis Réal Giguère, Montréal, Québec. François Piazza, « Sur les ailes de Télé-Métropole – Amour, délices et cie s’envole. » Photo-journal, du 18 au 25 juin 1969, 44.

Amour, délices et cie

Un prototype du traîneau aérien Kamov Sever-2 dans son élément. Anon., « ’Mail Train’ to North. » The Gazette, 26 mars 1959, 2.

Oh quel plaisir de faire une promenade dans un Kamov Sever-2

La voiture concept SIMCA Fulgur. Aux commandes se trouve la parachutiste et mannequin française Colette Duval. Anon., « Actualités. » La Patrie du dimanche, 1er mars 1959, 2.

Elle est fulgur, fulgur, fulgur, fulgurable

La montgolfière Spirit of Canada. Peter Calamai, “Lots of hot air and a high old time.” Canadian, 26 août 1967, 14.

Ce merveilleux fou volant et sa drôle de machine

La section de route surveillée par le radar de vitesse de la Connecticut State Police, près de Glastonbury, Connecticut. Anon., “L’actualité en images – Pièges à comboys.” La Patrie, 16 février 1949, 14.

Les pièges à cowboys ne datent pas d’hier

Cecil George Armitage aux commandes d’un Aérodoo, rivière Richelieu, Québec, novembre 1968. Anon., « Et maintenant… l’Aérodoo. » Vallée de la Petite Nation, 30 janvier 1969, 15.

Le candidat mancunien; ou, comment flotter près du sol avec la plus grande facilité

Quelques membres de la Ligue des avions miniatures de Montréal en train d’examiner le modèle réduit radiocommandé alors en construction. Christian Verdon, « Avion-miniature contrôlé par la radio. » La Patrie, 7 janvier 1939, 44.

Une ligue à eux: L’histoire longtemps oubliée de la Ligue des avions miniatures de Montréal

Une affiche du film From the Earth to the Moon, la version originale anglaise de De la Terre à la Lune

Jules Gabriel Verne n’aurait pas été amusé : De la Terre à la Lune

Une image du générique de CF-RCK.

Une série télévisée captivante : CF-RCK, Partie 2

Les principaux comédiens de la série télévisée CF-RCK de la Société Radio-Canada, Yves Létourneau (à droite) et René Caron. Anon., « Une scène de CF-RCK avec René Caron et Yves Létourneau. » La semaine à Radio-Canada, du 2 au 8 janvier 1960, couverture.

Une série télévisée captivante : CF-RCK, Partie 1

Le chargement de Voo-Doo, le Waco Hadrian utilisé lors du premier vol transatlantique par un planeur de transport, Aéroport de Montréal (Dorval), Dorval, Québec, juin 1943. Anon., “Flying into focus”. Flying Aces, octobre 1943, 7.

C’est magnifique. C’est splendide. C’est inutile.

L’animateur de l’émission de télévision hebdomadaire Plein Ciel à droite, et son conseiller technique, le capitaine Marcel Everard. Anon., “Introduction à l’aviation.” La semaine à Radio-Canada, 29 novembre au 5 décembre 1958, 12.

Une émission de télévision que j’aurais aimé voir dans ma jeunesse

Envol du ballon à hydrogène qui emporte vers le ciel l’antenne de l’émetteur radio d’urgence américain BC-778, mieux connu sous le nom de « Gibson Girl. » Anon., « Gibson Girl to the rescue. » Flying Aces, septembre 1943, 30.

L’imitation est la plus belle forme de flatterie

The very first Pentecost Hoppi-Copter. Anon., “Have you seen?” Flying, September 1945, 67.

Une idée venue d’une époque où le ciel est la limite, Partie 2

A l’arrière, le Rohrbach Ro VIII Roland d’Iberia, Compañía Aérea de Transportes Sociedad anónima utilisé pour le vol Madrid-Barcelone du 14 décembre 1927. Anon., “Inauguración del nuevo servicio aéreo Madrid-Barcelona.” Aérea, octobre-décembre 1927, 33.

Jamais le dimanche : La grande histoire d’un Roland ibérien, Partie 1

Articles connexes

La première planche de la bande dessinée Julien Gagnon. Rémy, « Julien Gagnon » Le Petit Journal, section magazine, 16 mai 1948, 18.

La grande aventure d’un pilote et chasseur d’espions amateur québécois fictif qui affronte un bad hombre communiste tout aussi fictif à l’aube d’une Guerre froide bien réelle : La bande dessinée Julien Gagnon de Rémy / Normand Hudon

Le seul et unique Rohr M.O.1 Midnight Oiler avant l’installation de son nez définitif et de son stabilisateur horizontal avant, Chula Vista, Californie. Anon., « Private Flying – ‘Midnight Oiler’ Radical Design Lightplane is Built by Rohr. » Aviation News, 1 juillet 1946, 15.

Brûler l’huile de minuit pour atteindre le ciel et rugir : La trop brève saga de l’avion léger / privé Rohr M.O.1 Midnight Oiler

Le Mikoyan-Gourevitch MiG-15 de la Wojska Lotnicze piloté par le second lieutenant Franciszek Jarecki, aérodrome de Rønne, Rønne, Danemark. Jarecki est le gentilhomme marqué par une flèche. Anon., « Undamaged Red Jet in NATO Hands. » The Gazette, 7 mars 1953, 2.

Un vol pour la liberté qui a percé le rideau de fer; ou, Le jour où le second lieutenant Franciszek Jarecki s’est échappé de Pologne à bord d’un chasseur à réaction Mikoyan-Gourevitch MiG-15

Le prototype du Astro Kinetics Lift de Astro Kinetics Corporation, Houston, Texas. Anon., « Aircraft and Powerplants – Crane version of ‘flying saucer’ projected in U.S.A. » The Aeroplane and Commercial Aviation News, 7 mars 1963, 24.

« Regardez! Là-haut dans le ciel! C’est un oiseau! C’est un avion! C’est une soucoupe volante texane! » Astro Kinetics Corporation de Houston, Texas, et ses aéronefs à décollage et atterrissage verticaux à l’allure unique

Le Canadair Silver Star du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, Ottawa, Ontario, juin 2005. Cet aéronef est piloté par le Red Knight, ou chevalier rouge, le pilote de voltige solo de l’Aviation royale du Canada, en 1961-64. Alain Rioux, via Wikimedia.

Il a vraiment continué longtemps, longtemps, longtemps : Un bref aperçu de la carrière canadienne de l’avion d’entraînement à réaction Lockheed / Canadair Silver Star, partie 2

Le ministre de la Défense nationale du Canada, Brooke Claxton, à gauche, avec le premier avion d’entraînement à réaction Lockheed T-33 Silver Star fabriqué au Canada, Cartierville, Québec. Anon., « M. Claxton reçoit le premier réacté T-33 fabriqué ici. » La Patrie, 13 février 1953, 1.

Il a vraiment continué longtemps, longtemps, longtemps : Un bref aperçu de la carrière canadienne de l’avion d’entraînement à réaction Lockheed / Canadair Silver Star, partie 1

Un dispositif de dégivrage de piste de Woolery Machine Company en action à l’aéroport de Cologne-Wahn, Cologne, Allemagne de l’Ouest. Anon., « Ancillary Review – Flame-throwing – On Ice. » The Aeroplane and Commercial Aviation News, 28 février 1963, 29.

Allez, PB, allume mon feu. Essaie de mett’ la glace en feu : Un coup d’œil sur la firme américaine Woolery Machine Company et sur certaines de ses idées et produits

L’avion de brousse Junkers Ju 52 immatriculé CF-ARM de Canadian Airways Limited de Montréal, Québec, lac Manouane, Québec, août ou septembre 1940. MAEC, 13469.

Les vieux avions de brousse ne meurent jamais, ils ne font que s’effacer doucement : Quelques lignes, d’accord, plusieurs lignes sur la remarquable carrière d’un « cargo volant / wagon volant » Junkers Ju 52 nommé CF-ARM, partie 3

L’avion de brousse Junkers Ju 52 immatriculé CF-ARM de Canadian Airways Limited de Montréal, Québec, en réparation, Arviat, Nunavut (Eskimo Point, Territoires du Nord-Ouest), septembre 1932. MAEC, 1208.

Les vieux avions de brousse ne meurent jamais, ils ne font que s’effacer doucement : Quelques lignes, d’accord, plusieurs lignes sur la remarquable carrière d’un « cargo volant / wagon volant » Junkers Ju 52 nommé CF-ARM, partie 2

L’avion de brousse Junkers Ju 52 immatriculé CF-ARM de Canadian Airways Limited de Montréal, Québec. Anon., « Pionnier des transports lourds dans le nord du Canada, le ‘Cargo volant’ a fini sa carrière. » Photo-Journal, 29 janvier 1948, 2.

Les vieux avions de brousse ne meurent jamais, ils ne font que s’effacer doucement : Quelques lignes, d’accord, plusieurs lignes sur la remarquable carrière d’un « cargo volant / wagon volant » Junkers Ju 52 nommé CF-ARM, partie 1

Le sergent Bob Electro de l’Aviation royale du Canada (ARC) pris en flagrant délit de salut au commandant de la Base de l’ARC de Clinton, le colonel d’aviation John Gordon Mathieson, Clinton, Ontario. Anon., « Six-Year-Old Sergeant. » The North Bay Nugget, 7 janvier 1963, 15.

Dōmo arigatō, gunsō Electro, mata au hi made : Les aventures électroniques du sergent Bob Electro de l’Aviation royale du Canada et des Forces armées canadiennes

Le simulateur d’impact en vol de 10 pouces du Conseil national de recherches du Canada à un moment donné de sa longue carrière, Uplands / Ottawa, Ontario. CNRC.

Une grande réussite canadienne que vous devriez connaître : Un bref coup d’œil sur les simulateurs d’impact en vol du Conseil national de recherches du Canada remis au Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, partie 3

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