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Le merveilleux petit Meteorplane, le premier avion ultraléger réussi au monde?

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19 nov. 2018
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Aviation
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Par : Rénald Fortier
Ingenium - Musées des sciences et de l’innovation du Canada
Un des premiers Irwin M-T-2 Meteorplane et un pilote d’essais, Ted Jenks. Anon., “Le plus petit biplan au monde.” Le Petit Journal, 18 novembre 1928, 24.
Un des premiers Irwin M-T-2 Meteorplane et un pilote d’essais, Ted Jenks. Anon., “Le plus petit biplan au monde.” Le Petit Journal, 18 novembre 1928, 24.

Bonjour, ami(e) lectrice ou lecteur. Votre humble serviteur doit admettre avoir été inquiet lorsque le moment est venu de préparer les textes pour les numéros de novembre 2018 de notre blogue / bulletin / machin. Deux sujets pour lesquels j’avais de grands espoirs ne se sont pas concrétisés. En conséquence, j’ai dû utiliser 1 des sujets gardés en réserve pour une telle occasion. Bien entendu, cela ne signifie pas pour autant que le sujet d’aujourd’hui, trouvé dans l’édition du 18 novembre 1928 de l’hebdomadaire Le Petit Journal, publié à Montréal, Québec, soit moins captivant ou divertissant que notre menu habituel. J’ai des normes, vous savez. À vous de juger, toutefois.

Notre histoire commence en Californie, en juin 1892, lorsque John Fulton « Jack » Irwin vient au monde. À première vue, il s’agit d’un garçon un peu sauvage avec un fort intérêt pour divers outils mécaniques. Irwin n’est pas très bon à l’école, cependant. De fait, il quitte après avoir achevé sa quatrième année. À partir de ce moment, le jeune garçon passe presque tout son temps à bricoler.

Vers 1904-05, Irwin voit un objet étrange dans le ciel. Non, pas un objet volant non identifié. La machine volante en question est vraisemblablement le California Arrow, un minuscule dirigeable monoplace fabriqué par Thomas Scott « Tom / Captain Tom » Baldwin, un pionnier de l’aviation relativement inconnu et pourtant assez important qui ne doit pas être confondu Frederick William « Casey » Baldwin, 1 des 2 membres canadiens de la Aerial Experiment Association (AEA). Et oui, ami(e) lectrice ou lecteur, « Casey » Baldwin et l’AEA sont mentionnés dans un numéro d’octobre 2018 de notre blogue / bulletin / machin.

Au milieu des années 1870, « Tom » Baldwin se fait progressivement connaître comme acrobate aérien qui épate la foule en exécutant des cascades à partir d’une barre de trapèze suspendue sous une montgolfière. Comme on peut s’y attendre, le public finit par se lasser des actes défiant la mort que lui et d’autres accomplissent. Baldwin élève la barre en faisant des sauts en parachute à partir de montgolfières. De fait, cet acrobate et funambule accompli lance à toute fin utile cette nouvelle cascade aux États-Unis. Mieux encore, on pourrait soutenir que Baldwin joue un rôle dans le développement du parachute moderne. Il semble faire son premier saut en janvier 1887, depuis un ballon à gaz.

En juillet 1888, Baldwin réalise le premier de quelques sauts à Londres, Angleterre, au / près du Alexandra Palace, un centre de divertissement populaire mentionné dans un numéro d’octobre 2018 de notre blogue / bulletin / machin. Comme c’est le cas aux États-Unis, certaines personnes tentent d’interdire les sauts en parachute, les jugeant beaucoup trop dangereux. Les foules toujours plus nombreuses qui affluent vers le « Ally Pally, » jusqu’à 100 000 hommes, femmes et enfants, dit-on (écrit-on?), ne sont aucunement concernées. Le prince de Galles lui-même, autrement dit le futur roi Edward VII, né Albert Edward « Bertie » Saxe-Coburg et Gotha, va voir Baldwin sauter. Assuré l’avenir du parachutisme forain au Royaume-Uni est, si je peux me permettre de copier le style langagier de Yoda, le bien-aimé maître Jedi. La réputation de Baldwin d’être un des plus grands hommes de spectacles aériens au monde est également assurée. Au fil du temps, il fait des sauts sur tous les continents sauf l’Antarctique, mais revenons à notre histoire. Et oui, la mère d’Edward VII, Victoria, est mentionnée dans un autre numéro de novembre 2018 de notre blogue / bulletin / machin.

Profondément impressionné par les vols effectués à Paris à partir de 1898 par Alberto Santos Dumont, un Brésilien riche et sans peur qui y habite, dans des dirigeables qu’il conçoit lui-même, Baldwin commence à travailler sur une machine volante de ce type. Conscient des capacités limitées du minuscule dirigeable qu’il a en tête, Baldwin cherche un moteur léger pouvant être monté à bord. Il en trouve un dans l’atelier d’un jeune constructeur et pilote de course de motocyclettes. Pour dire vrai, la vente de ce moteur est la première incursion de Glenn Hammond Curtiss dans le monde de l’aviation. Et oui, savant(e) ami(e) lectrice ou lecteur, Curtiss devient par la suite membre de l’AEA. Il conçoit en fait un des avions à moteur fabriqué par l’association, dans son atelier plus précisément. Comme nous le savons tous les 2, Curtiss est mentionné dans un numéro d’octobre 2018 de notre blogue / bulletin / machin.

Baldwin complète son dirigeable, ambitieusement nommé California Arrow, en août 1904. He en fait apparemment l’essai mais, vu son poids, peut ne pas être à bord lorsque ceci a lieu. Il est ainsi possible que le California Arrow prend l’air pour la première fois sans un pilote et avec son moteur à l’arrêt. Après quelques jours, Baldwin emballe le moteur et l’enveloppe, et prend un train pour St. Louis, Missouri. Vous voyez, ami(e) lectrice ou lecteur, cette ville accueille alors une exposition universelle, la Louisiana Purchase Exposition, le divertissement le plus prodigieux jamais vu au monde, si je peux paraphraser la manchette d’un quotidien de l’époque.

Un des nombreux attraits de l’exposition universelle, outre les Jeux de la IIIe Olympiade, est une compétition aéronautique avec un grand prix de pas moins de 100 000 $. Pour gagner cette somme d’argent réellement titanesque, un pilote n’a qu’à faire 3 fois le tour d’un circuit de 16 kilomètres (10 milles). Une bagatelle. L’individu favorisé pour remporter le grand prix est, vous l’aurez deviné, Santos Dumont. À la fin de juin 1904, tout juste après son arrivée à St. Louis, l’enveloppe de son dirigeable, le No 7, apparemment connu sous le nom de Coursier, est déchirée irréparablement alors qu’elle est entreposée dans un hangar pendant la nuit. Il n’y aurait pas de vol le 4 juillet, jour de la fête nationale américaine. L’élite et les médias à St. Louis sont hors d’eux. Santos Dumont rentre à Paris dans les jours qui suivent. Les personnes responsables de cet outrage ne sont jamais identifiées. Et oui, ami(e) lectrice ou lecteur passionné(e) de sport, les Jeux de la IIIe Olympiade comptent parmi les plus ridicules de tous les temps – et cette fois, puis-je dire que vous êtes celle / celui qui digresse? Je vous tiens. Désolé.

Avec Santos Dumont opportunément éliminé, plusieurs aéronautes américains tentent de remporter le grand prix. Aucun d’entre eux ne réussit à franchir la clôture / barrière de 9 mètres (30 pieds) qui entoure le circuit. Espérant que quelqu’un ferait mieux, les organisateurs de la compétition indiquent que les participants ont jusqu’à la fin octobre pour tenter leur chance. Baldwin arrive à St. Louis au cours de la seconde semaine de septembre. Il entend vite parler d’un aéronaute, le professeur Don Carlos, qui effectue de courtes envolées en ballon captif au-dessus du site de l’exposition universelle. Les deux hommes se rencontrent. Don Carlos s’avère être le fils mince et léger d’un éditeur de journaux réputé de l’Ohio, Augustus Roy Knabenshue. Ce casse-cou improbable accepte d’aider Baldwin à remporter le grand prix. Ils attachent l’enveloppe et le moteur à un cadre en bois fabriqué sur le site de l’exposition universelle. Baldwin et Knabenshue sculptent peut-être même l’hélice du dirigeable.

Le California Arrow sort de son hangar le 25 octobre. Knabenshue démarre le moteur. Craignant un problème, il crie qu’un mécanicien soit trouvé. Baldwin entend mal son partenaire et ordonne aux personnes qui tiennent le dirigeable de le laisser voler librement. Knabenshue, un peu surpris, évite un hangar, franchit la clôture / barrière et s’éloigne du circuit. Avant longtemps, il manœuvre autour des nombreux palais de l’exposition universelle. Les dizaines de milliers de personnes sur le champ d’exposition regardent avec étonnement; ils crient à en perdre la voix. Le moteur du California Arrow tombe vite en panne. Knabenshue dérive avec le vent. Il atterrit dans un champ de maïs. Ainsi s’achève le premier vol public d’une machine volante à moteur dans les Amériques. À en croire les informations des journaux, Knabenshue parcourt une distance d’environ 24 kilomètres (15 milles) en 91 minutes. Lui et Baldwin deviennent instantanément des héros nationaux.

Knabenshue ravit la foule qui visite l’exposition universelle jusqu’au début de novembre. Il effectue des virages, vole en cercles et complète des parcours en huit. Comme on peut s’y attendre, ni Baldwin ni Knabenshue ne remporte le grand prix. Le premier doit se contenter d’une somme de 500 dollars, ce qui n’est pas rien en 1904 mais bien loin des 100 000 dollars dont il rêve, pour avoir prouvé qu’une machine volante peut être manœuvrée.

Le partenariat entre Baldwin et Knabenshue ne dure malheureusement pas longtemps. Ce dernier retourne en Ohio au printemps 1905 et entreprend de fabriquer et piloter de minuscules dirigeables monoplaces dérivés du California Arrow. Le « roi de l’air, » comme Knabenshue aime bien se nommer, se produit dans de nombreux endroits aux États-Unis, faisant la une des journaux où qu’il aille. Encore trop lourd pour piloter ses propres dirigeables, Baldwin embauche un jeune homme en fin d’adolescence. Lincoln J. Beachey devient célèbre à la fois en tant que pilote de dirigeable et d’avion. Ruiné par le grand tremblement de terre qui dévaste San Francisco en avril 1906, Baldwin s’allie temporairement avec Curtiss. Il fonde également Baldwin Airship Company, en 1907. Et non, ami(e) lectrice ou lecteur, votre humble serviteur ne va pas pontifier sur ce qui est arrivé par la suite à ces 4 personnes fascinantes. Désolé.

Cela étant dit (tapé?), il convient de noter que, en septembre 1907, « Tom » Baldwin pilote un dirigeable, le California Arrow II, lors de la Nova Scotia Provincial Exhibition tenue à Halifax. En 1911, aux États-Unis, il supervise la conception et la fabrication du Red Devil III, un avion à moteur similaire à un biplan Curtiss dont le fuselage est constitué de tubes en acier – une caractéristique innovante. Le pilote d’un de ces Red Devil, comme on appelle les autres avions de ce type, un Américain du nom de Lee Hammond, effectue le premier vol au-dessus de la capitale du Canada, Ottawa, Ontario, en septembre 1911. En juin 1914, au cours d’un spectacle aérien tenu à Montréal, Beachey boucle la première boucle jamais réalisée au Canada. Il pilote alors un biplan Curtiss, mais revenons à notre histoire.

Irwin est tellement fasciné par le California Arrow qu’il passe beaucoup de temps au camp de Baldwin. Le pionnier de l’aviation est touché (ou agacé?) par son enthousiasme et lui confie quelques petits boulots pour le tenir occupé. Baldwin ne laisse pas Irwin voler, cependant.

Vers 1905-06, Irwin entend parler d’un ou plusieurs sauts en parachute qui doivent être faits à partir d’une montgolfière, pas très loin de son lieu de résidence. Le jour où il se présente sur le site, le parachutiste est introuvable. Le propriétaire du ballon, quelque peu agacé, cherche quelqu’un d’assez courageux (téméraire?) pour tenter sa chance. Irwin lui demande combien il paye. La somme offerte pour effectuer le saut (10 ou 20 $) étant équivalente à ce qu’il pourrait gagner en un mois, Irwin se porte aussitôt volontaire. Il suit à la lettre les instructions détaillées données par le propriétaire du ballon et complète le saut sans aucune égratignure. On doit se demander comment les parents de Irwin réagissent quand il leur montre l’argent plus tard dans la journée.

Ce premier vol est toutefois une révélation pour Irwin. Également vers 1905-06, il commence à construire un petit dirigeable avec l’aide de camarades de classe. Les garçons « empruntent » des draps de lit à plusieurs maisons du quartier pour assembler l’enveloppe de la petite machine volante, dans le sous-sol de la maison de la famille Irwin. Irwin modifie le cadre d’une bicyclette pour entraîner son hélice. Lorsque le dirigeable est prêt, lui et son équipe le transportent dans la cour arrière de la maison de ses parents. Irwin puise secrètement dans l’alimentation en gaz d’éclairage de la maison pour remplir l’enveloppe. À son grand regret, sa machine volante ressemble plus à un citron pressé qu’à un dirigeable. Irwin affirme plus tard que l’inflation du dirigeable a pris environ 2 jours, ce qui soulève la question de savoir comment cela peut s’être fait sans que personne ne s’en rende compte.

Quoi qu’il en soit, un beau jour, Irwin s’assoit sur le siège de la bicyclette, dit à ses coéquipiers de le laisser aller et commence à pédaler comme un fou. Après s’être élevé assez haut pour franchir 2 clôtures, le dirigeable est happé par le vent. Il s’élève encore plus quand il atteint une petite colonne d’air chaud. Le court vol s’achève lorsque le dirigeable s’abat plus ou moins doucement sur les arbres d’une colline du voisinage. Des journalistes locaux, ravis, qualifient apparemment Irwin de garçon de génie. Ses parents ne sont peut-être aussi ravis, surtout lorsque la facture de gaz arrive.

Qu’y a-t-il, ami(e) lectrice ou lecteur? Vous voulez savoir ce qu’est le gaz d’éclairage? Et bien, au risque de paraître pédant, le gaz d’éclairage est un mélange de gaz plus léger que l’air produit à partir de charbon et utilisé pour l’éclairage. Disponible en grande quantité à la fin du 19ème siècle et au début du 20ème, ce gaz hautement inflammable est beaucoup moins coûteux et bien plus facile à obtenir qu’un autre gaz plus léger que l’air tout aussi inflammable que vous connaissez peut-être mieux, à savoir l’hydrogène. Le problème est que le gaz d’éclairage fournit beaucoup moins de sustentation que l’hydrogène.

Si 30 mètres cubes d’air frais, la quantité d’air présente dans une petite pièce peut-être, pèse en moyenne 36.75 kilogrammes, un volume identique de gaz d’éclairage pèse entre 15 et 18 kilogrammes. En d’autres termes, 30 mètres cubes de gaz d’éclairage peuvent soulever un ballon pesant entre 18.75 et 21.75 kilogrammes. En comparaison, 30 mètres cubes d’hydrogène font pencher la balance d’environ 2.7 kilogrammes, ce qui permettrait de soulever un ballon pesant 34.05 kilogrammes. Lorsqu’il est utilisé dans un ballon, le gaz d’éclairage est à peine meilleur que l’air chaud, un mélange de gaz pesant environ 20.55 kilogrammes pour 30 mètres cubes lorsqu’il est chauffé à une température de 65° C. En d’autres termes, 30 mètres cubes d’air chaud peuvent soulever un ballon de 16.2 kilogrammes. Les capacités de sustentation limitées du gaz d’éclairage expliquent pourquoi tant de ballons du 19ème siècle sont d’une taille gigantesque. Ils doivent être très grands pour soulever leur nacelle et leurs passagères / passagers.

Compte tenu de la possibilité que vous, ami(e) lectrice ou lecteur, soyez peu au fais des subtilités du système métrique, votre humble serviteur est heureux de fournir des équivalents impériaux aux chiffres cités dans le paragraphe précédent. Si 1 000 pieds cubes d’air frais pèsent en moyenne 76.5 livres, un volume identique de gaz d’éclairage pèse entre 31.2 et 37.5 livres. En d’autres termes, 1 000 pieds cubes de gaz d’éclairage peuvent soulever un ballon pesant entre 39 et 45.3 livres. En comparaison, 1 000 pieds cubes d’hydrogène font pencher la balance d’environ 5.6 livres, ce qui signifie qu’ils peuvent soulever un ballon pesant 70.9 livres. L’air chaud, quant à lui, pèse 42.8 livres par 1 000 pieds cubes lorsqu’il est chauffé à une température de 150° Fahrenheit. Ce volume d’air chaud soulèverait un ballon pesant 33.7 livres.

Chose intéressante, la création de Irwin n’est pas du tout le premier dirigeable à propulsion humaine au monde. Entre mai et juillet 1878, par exemple, un inventeur américain, Charles Francis Ritchel, et 2 jeunes hommes mettent à l’essai un véhicule à hélice monoplace de ce type, à la fois à l’intérieur et en plein air.

Irwin n’est pas la seule personne inspirée par les vols du California Arrow. Il suffit de penser à Alva R. Reynolds. Ce Californien a une telle confiance dans la sécurité et la simplicité de son tout nouveau Man Angel, un petit dirigeable monoplace mû par une paire de rames, qu’il autorise Hazel Odell, âgée de 17 ans, à le piloter. Elle le fait brillamment, en août 1905. Reynolds finit par construire une demi-douzaine de Man Angel qu’il loue à des foires dans quelques états. Il ouvre également une école de pilotage de dirigeable. Reynolds cesse de voler après une course (avec une automobile?) au cours de laquelle un de ses dirigeables s’écrase dans la cime d’un arbre. Avant longtemps, Reynolds et un parent, George A. Reynolds, mettent au point un appareil de grande taille capable de générer de l’électricité à partir des vagues. En dépit du fait que California Wave Motor Company exploite une usine de démonstration pendant plusieurs mois au début de 1909, ce projet fascinant n’aboutit à rien.

En octobre 1907, un Américain âgé de 15 ans du nom de Cromwell Dixon remporte une course internationale de ballon organisée à St. Louis. Le « Garçon aéronaute » pilote son dirigeable à pédales monoplace de fabrication maison, le Sky-Cycle. En juin 1910, il pilote un dirigeable de fabrication maison lors de la Grande semaine d’aviation de Montréal, le premier spectacle aérien du Canada, tenu à la fin juin et au début juillet.

Croiriez-vous que Baldwin lui-même termine une chaloupe aérienne monoplace en 1905? Trop lourd pour le piloter, il embauche un homme mince et léger pour remplir son contrat avec un parc d’attractions de Californie. Llewellyn Guy Mecklem divertit la foule en laissant tomber des petit sac de maïs soufflé ou d’arachides, en ramassant un mouchoir lâché en plein vol ou en pointant son dirigeable vers une jeune femme sur la tribune – son tour préféré. L’espiègle pilote se détourne à la dernière seconde de l’adolescente de plus en plus désemparée. La chaloupe aérienne de Baldwin est détruite lorsque l’hydrogène de son enveloppe prend feu inexplicablement au cours d’une nuit. Et oui, Ritchel, Reynolds, Mecklem, Dixon et les autres pilotes de dirigeables à rames ne sont pas en mesure de contrôler leur machine volante s’il y a du vent. Toutes mes excuses, je m’égare.

Pour son prochain tour, Irwin décide de laisser derrière lui les machines volantes plus légères que l’air et de choisir une machine plus lourde que l’air, en d’autres termes, un avion. Comme tant de pionniers de l’aviation avant lui, il construit un planeur. Achevé vers 1907-08, ce biplan ressemble peut-être beaucoup à un des avions bien connus construits par Wilbur et Orville Wright. Irwin le pilote à plusieurs reprises. En 1909, il en perd le contrôle en vol et s’écrase. Il a un bras cassé. Le planeur est détruit.

La famille de Irwin déménage dans une autre ville de Californie vers cette époque. Notre jeune ami met rapidement au point un véhicule à 2 roues avec l’aide d’un voisin adolescent, Paul « Pal » Conrad. Pal, comme Irwin appelle son dernier projet, est propulsé par un petit moteur de motocyclette qui entraîne, non, pas sa roue arrière. Le moteur, dis-je, fait tourner une hélice montée à l’arrière, quant on peut la convaincre de fonctionner bien sûr. Pal est une petite machine très bruyante. Elle n’est peut-être pas très rapide.

Sa rencontre avec Homer et Ernest Brainerd, 2 frères qui dirigent un atelier d’usinage et une fonderie, représente un tournant dans la vie de Irwin. Votre humble serviteur n’a pas été en mesure de trouver une date précise pour cette rencontre, mais j’ai le sentiment qu’elle a peut-être lieu vers 1908-10 au plus tard. Quoiqu’il en soit, Irwin regarde les frères travailler et tente de se rendre utile. Les Breinerd commencent rapidement à montrer à Irwin comment exécuter certaines tâches, simples au début. C’est un bon élève très motivé. Les Breinerd ne paient pas Irwin mais cela ne le dérange pas le moins du monde. Irwin apprend quelque chose qu’il pourra utiliser pour gagner sa vie.

En 1912, Irwin termine un biplan de type Curtiss en utilisant une liasse de plans qu’il a acquise. Il pilote cette machine, apparemment connue sous le nom de Gray Eagle, dans des foires / carnavals de Californie et du Nevada jusqu’en 1914. Irwin peut, je répète peut, avoir formé John Fulton Irwin Company en 1912. Il achève un avion qu’il a lui-même conçu avant la fin de cette année. Son moteur d’automobile modifié propulse un autre modèle original réalisé entre 1913 et 1915.

La prochaine étape de la vie aventureuse de Irwin est un tant soit peu mystérieuse. Il affirme être une des personnes qui accompagnent les 8 biplans d’observation biplaces Curtiss JN-3 du United States Army Signal Corps (USASC) envoyés dans le nord du Mexique en mars 1916 – la première opération de combat d’une unité aérienne américaine munie d’avions. Cela semble indiquer qu’Irwin s’enrôle vers 1915-16. Qu’est-ce que ces avions américains font au Mexique, demandez-vous? Une bonne question. Veuillez noter que ce qui suit n’a rien d’amusant. Vous voyez, ami(e) lectrice ou lecteur, près de 500 hommes dirigés par Francisco « Pancho » Villa, né José Dorotheo Arango Arámbula, un des acteurs les plus importants de la révolution mexicaine, mène un raid contre Columbus, Nouveau-Mexique, en mars 1916. Quinze Américains périssent au cours de l’attaque, tandis qu’environ 70 Mexicains sont capturés ou tués. Enragée par cette action, l’administration dirigée par le président Thomas Woodrow Wilson ordonne au brigadier-général John Joseph « Black Jack » Pershing de mener une expédition au Mexique afin de poursuivre et disperser les attaquants. Le public et les médias américains, par contre, souhaitent ardemment que Villa soit puni – ou tué.

Opérant dans une région aux infrastructures limitées, au climat rigoureux et aux sommets montagneux atteignant des altitudes de près de 3 300 mètres (environ 10 800 pieds), les JN-3 s’avèrent terriblement inadéquats. Moins d’un mois après leur arrivée au Mexique, seuls 2 d’entre eux sont encore en état de vol. Pis encore, ces avions sont tellement usés que le personnel de l’escadron du USASC les détruit avant son retour au pays, fin avril, pour prendre de nouveaux avions. Les 12 biplans d’observation qui arrivent début mai s’avèrent mal construits et peu sûrs. L’escadron reçoit environ 25 avions supplémentaires de différents types entre le milieu de 1916 et le printemps 1917. Sept d’entre eux sont des Curtiss JN-4, un biplan biplace très bien connu communément appelé Jenny.

Les hélices en bois des avions s’avèrent révélées particulièrement vulnérables aux conditions chaudes et sèches rencontrées au Mexique. Le responsable du département de fabrication des hélices de Curtiss Airplane and Motor Company se rend à Columbus avec quelques personnes pour voir ce qui peut être fait pour améliorer la situation. Ingénieur en mécanique ayant une connaissance approfondie des hélices, Frank Walker Caldwell crée une petite usine utilisant des matériaux locaux mieux adaptés aux conditions locales. Le problème d’hélices du USASC est résolu assez rapidement. Malgré tout, la United States Army est suffisamment préoccupée pour recommander au National Advisory Committee for Aeronautics, l’ancêtre de la National Aeronautics and Space Administration, de procéder à un examen approfondi des matériaux utilisés pour la fabrication des hélices.

Croiriez-vous que Caldwell, alors ingénieur en chef de Hamilton Standard Propeller Corporation, une division de United Aircraft Corporation, crée la première hélice à pas variable à commande hydraulique à atteindre la production? Cette hélice, essayée en vol en 1931, assure le succès d’une nouvelle génération d’avions de ligne américains, à commencer par le Boeing Modèle 247, à la pointe de la tendance. L’importance potentielle de la nouvelle hélice est telle que Hamilton Standard Propeller gagne, par l’entremise de Caldwell, le trophée aéronautique le plus convoité aux Etats-Unis, le Collier Trophy, pour l’année 1933.

Qu’est-ce qu’une hélice à pas variable, demandez-vous, ami(e) lectrice ou lecteur? Et bien, si je peux pontifier un instant, une hélice à pas variable est une hélice dont les pales peuvent être réglées en plein vol à différents angles pour offrir les meilleures performances possibles à une vitesse donnée. Et oui, Hamilton Standard Propeller est mentionné dans les numéros de novembre 2017 et d’avril 2018 de notre blogue / bulletin / machin. Mais revenons à notre histoire et aux hélices en bois. Et oui encore, la magnifique collection du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada à Ottawa comprend un Modèle 247, et de nombreuses hélices, mais je m’égare. Encore une fois, mais je ne m’en excuse pas.

Lorsque les États-Unis rejoignent le Royaume-Uni, la France et leurs alliés, y compris le Canada, dans leur lutte contre l’Empire allemand et ses alliés, en avril 1917, la nécessité de produire le plus grand nombre possible d’hélices le plus rapidement possible fait en sorte que le bois reste le matériau de choix.

Bien que l’escadron du USASC ne retourne pas au Mexique, il y garde quelques avions en rotation jusqu’au retrait de l’expédition punitive de Pershing début février 1917. Et oui, ami(e) lectrice ou lecteur bien avisé(e), le Curtiss JN- 4 Canuck fabriqué en 1917-18 par Canadian Airplanes Limited de Toronto, Ontario, est un dérivé du susmentionné JN-3.

Si elle réussit à vaincre et disperser la force derrière l’attaque contre Columbus, l’expédition punitive ne parvient pas à capturer le rusé Villa. Pis encore, avant même la fin de 1917 et le début de 1918, ce dernier réussit à constituer une force puissante sous son commandement, mais ceci est une autre histoire.

Lorsque les États-Unis entrent dans la Première Guerre mondiale, Irwin tente de se qualifier en tant que pilote. Une paralysie temporaire de son bras droit, résultat d’un récent accident, l’empêche de le faire. Une fois rétabli, Irwin est embauché par le USASC en tant qu’instructeur civil. Plus tard, il teste des avions de chasse reconstruits. Ce travail en sol américain se poursuit apparemment jusqu’à la fin de la Première Guerre mondiale.

Très conscient du fait que ce conflit ne durerait pas éternellement, Irwin commence à réfléchir à ce qu’il ferait lorsque la paix reviendrait. Il croit que beaucoup de pilotes militaires voudraient continuer à voler. Ils seraient sans doute intéressés à acquérir un petit avion peu coûteux et amusant à piloter. Irwin est convaincu de pouvoir concevoir un tel avion. Trouver le moteur approprié serait la partie la plus délicate. Au milieu de 1919, Irwin a une liasse complète de plans. La construction d’un prototype commence, dans le petit atelier de Irwin Aircraft Company, une société fondée à un moment donné en 1919. Irwin fait appel à un moteur de motocyclette pour propulser son biplan. Le M-T Meteorplane vole pour la première fois en juillet ou août 1919. Ses caractéristiques de vol sont très bonnes, dit-on.

Aussi fier qu’il soit de sa création, Irwin réalise avant même qu’elle ne vole qu’un moteur de motocyclette n’est pas une voie d’avenir. Incapable de trouver ce qu’il cherche, il décide de concevoir un moteur. Le Irwin Motor ou Meteormotor, comme l’appelle finalement Irwin, a quelques problèmes lors de ses premiers essais, mais quelques ajustements permettent de le transformer en un moteur très fiable. Au fil des ans, Irwin Aircraft en réalise entre 75 et 80.

Irwin Aircraft commence à vendre des plans et des kits de son premier avion de série, le M-T-1 Meteorplane, en 1922. Personne ne sait combien de kits sont vendus, ni combien d’avions volent réellement. Il semble que les clients de Irwin ont la possibilité d’acheter des pièces individuelles d’un kit s’ils sont à cours d’argent. Le Meteorplane est l’un des premiers, sinon le premier avion disponible en kit à arriver sur le marché après la Première Guerre mondiale. Les forts haubans en contreplaqué qui relient les ailes supérieures et inférieures constituent une caractéristique inhabituelle / innovante de l’avion. Avancer ou reculer légèrement les haubans et les ailes permet à nos amis constructeurs amateurs de prendre en compte le poids de divers types de moteurs. Et oui, ami(e) lectrice ou lecteur, la construction amateur est mentionnée dans quelques numéros de notre blogue / bulletin / machin, et ce depuis novembre 2017.

Avez-vous une question? Connaissons-nous l’identité du premier avion en kit conçu pour être construit par des constructeurs amateurs? Une bonne question. Cette machine peut, je répète peut, être le Baby White ou Baby White Monoplane. Conçu au plus tard en 1916-17 par George D. White, ce minuscule monoplan américain est propulsé par un moteur de motocyclette muni d’un entraînement par chaîne. White publie des annonces pour son avion dans plusieurs numéros de Aerial Age Weekly en 1917 et 1918, et réussit à vendre un certain nombre de kits à des passionné(e)s avant de mettre la clé dans la porte. Ce gentilhomme ne doit pas être confondu avec un de ses contemporains, sir George White, le président d’une société britannique, Bristol Tramways & Carriage Company, et fondateur d’un des plus grands avionneurs du 20ème siècle, Bristol and Colonial Airplane Company, connu par la suite sous le nom de Bristol Airplane Company. Maintenant que votre curiosité est satisfaite, du moins pour le moment, revenons au sujet qui nous occupe. Et oui, vous avez raison, ami(e) lectrice ou lecteur, Bristol Tramways & Carriage a été mentionné dans un numéro d’octobre 2018 de notre blogue / bulletin / machin.

Naturellement, le Meteorplane attire beaucoup d’attention et de publicité lors de sa sortie, et ce tant aux États-Unis qu’à l’étranger. À mesure que les ventes de plans et de kits augmentent, Irwin est en mesure d’acheter de l’outillage pour produire le Meteormotor. Incapable de trouver des pneus et des roues adaptés à son avion, il achète également des outils pour fabriquer ces items.

Une seconde version du Meteorplane, le M-T-2, entre en production vers 1926. Un exemplaire de cette machine est visible sur la photo au début de cet article. Irwin Aircraft construit environ 40 M-T-2. La société vend quelques centaines de kits et quelques milliers de plans, dit-on. Personne ne sait combien d’avions sont réellement achevés et / ou volent. Irwin affirme que Charles Augustus Lindbergh, alors inconnu, lui rend visite au printemps 1927. Et oui, le « Lone Eagle, » comme on l’appelle souvent, est mentionné dans un numéro de septembre 2018 de notre blogue / bulletin / machin.

Confiant dans les capacités du MT-2, Irwin participe à un tournoi aérien et bal d’aviation, le premier de quelques uns de ces événements annuels, qui se déroule à Visalia, Californie, en juin 1927. Il gagne plus de points pour la rapidité et l’efficacité que les pilotes qui pilotent des avions équipés de moteurs 4.5 à 10 fois plus puissants. Croiriez-vous que l’avion de Irwin consomme 5.9 litres aux 100 kilomètres (48 milles par gallon impérial / 40 milles par gallon américain)? Votre automobile du 21ème siècle peut-elle faire mieux, ami(e) lectrice ou lecteur? À propos, j’entends (lis?) que le célèbre acteur de cinéma Kevin Michael Costner vit à Visalia dans sa jeunesse.

En septembre 1927, Irwin rend à Spokane, Washington, pour prendre part aux National Air Races ou, plus précisément, au National Air Derby. Il a avec lui une petite version de course du M-T-2. Cette machine fait sensation, même chez les pilotes. Aucun d’entre eux n’a jamais vu une aussi petite machine volante. La veille de la course dans laquelle Irwin veut participer, une roue se détache au moment du décollage après avoir heurté un petit trou. Même si les dommages subis pendant ce vol d’essai avorté sont relativement mineurs, Irwin n’a pas le temps de les réparer. Il ne peut que regarder lorsque’un autre pilote, un des pères du mouvement de construction amateur en Amérique du Nord, remporte la course pour avions légers / ultralégers.

Edward Bayard « Ed » Heath est un mécanicien talentueux et concepteur d’avion autodidacte qui travaille dans l’aviation depuis 1909. Le premier avion du jeune homme, basé sur un avion monoplace conçu par Louis Charles Joseph Blériot, vraisemblablement le Type XI, vole plusieurs fois avant de frapper une clôture, en 1910. Et oui, ami(e) lectrice ou lecteur légèrement agacé(e), ce grand pionnier de l’aviation est mentionné dans un numéro d’octobre 2018 de notre blogue / bulletin / machin, tout comme le Type XI. Confronté à la nécessité de payer les réparations, Heath trouve un emploi dans une entreprise fondée par le susmentionné Curtiss, fort possiblement G.H. Curtiss Manufacturing Company, un fabricant de motocyclettes. Il forme E.B. Heath Aerial Vehicle Company vers 1913-14 afin de fournir aux passionné(e)s d’aviation des copies prêtes à être utilisées, mais sans moteur, de plusieurs types d’avions français, britanniques et américains, y compris des biplans Curtiss. Ces kits sont parmi les premiers offerts en Amérique du Nord.

Comme de nombreux autres, Heath rêve de créer un avion si simple et peu coûteux que pour ainsi dire n’importe qui pourrait l’acheter et le piloter. Fort de l’appui d’un ingénieur aéronautique du nom de Claire Linstead, il conçoit un petit monoplan monoplace de course, le Humming Bird, vite rebaptisé Tomboy, qui participe aux 1926 National Air Races de 1926. Heath gagne une course. L’argent du prix est utilisé pour concevoir un petit monoplan monoplace à aile parasol. Pour réduire les coûts et accélérer les travaux, Heath et Linstead utilisent apparemment l’aile inférieure d’un Thomas-Morse S-4 Scout, ou « Tommy, » un avion de chasse biplan monoplace utilisé par le USASC pendant la Première Guerre mondiale pour l’entraînement avancé des pilotes. Heath amène son avion sur le marché en 1926. Une version améliorée connue sous le nom de Heath Parasol, mise à l’essai en 1927, retient immédiatement l’attention à travers l’Amérique du Nord.

Des centaines, pour ne pas dire des milliers de Parasol sont fabriqués dans des maisons, granges et garages. On dit que l’un d’entre eux est même fabriqué dans une église. Au moins 30 Parasol sont complétés dans toutes les provinces du Canada à l’exception du Nouveau-Brunswick entre 1929 et 1941. Fait intéressant, un Parasol fabriqué dans le village de pêche de River John, Nouvelle-Écosse, par D. MacKay « Kay » Ross, demeure dans le registre des aéronefs civils canadiens jusqu’en 1968, mais revenons à notre histoire. En quelque sorte. Ais-je oublié de mentionner que les avions de chasse reconstruits que Irwin teste en 1917-18 sont des Thomas-Morse S-4 Scout? Désolé. Le monde est petit, n’est-ce pas? Et non, Terre-Neuve ne fait pas partie du Canada en 1941.

Un avion en kit arrive en Amérique du Nord avant le Meteorplane et le Parasol avec la permission de, vous l’aurez deviné, Santos-Dumont. Wow, vous êtes intelligent(e). Pour citer le maléfique Asgardien Loki Laufeysson dans le film Thor : Le monde des ténèbres / Thor : Un monde obscur, je suis impressionné. Au début de mars 1909, ce gentilhomme, Santos-Dumont bien sûr, et non pas l’autre gars, met à l’essai ce qui est sans doute le premier avion ultraléger réussi. Bien que facile à construire, le No 20 Demoiselle peut être difficile à piloter. Afin d’encourager le développement de l’aviation, Santos-Dumont met les plans de son avion à la disposition de toute personne intéressée à en construire un. Les constructeurs amateurs européens fabriquent la plupart des Demoiselle assemblées avant la Première Guerre mondiale. Bien qu’un avion de ce type fabriqué au Canada n’ait pas encore été identifié, ce design s’avère relativement populaire aux États-Unis, probablement en raison d’un article en 2 parties publié dans les numéros de juin et juillet 1910 d’un magazine qui existe encore en 2018, Popular Mechanics, mais je m’éloigne du sujet. Encore. Désolé. Et oui, Loki est mentionné dans un numéro de novembre 2018 de notre blogue / bulletin / machin.

Si je peux me permettre de digresser un instant, les Asgard sont une espèce extraterrestre bienveillante mais légèrement anale présente dans de nombreux épisodes de la série télévisée de science-fiction militaire canado-américaine / américano-canadienne Stargate SG-1 / La porte des étoiles, diffusée entre 1997 et 2007. Cela étant dit (tapé?), le Asgard connu sous le nom de Thor ne ressemble pas du tout à l’acteur qui joue ce personnage dans la célèbre série de films éponymes. Et oui, Christopher « Chris » Hemsworth est mentionné dans le susmentionné numéro de novembre 2018 de notre blogue / bulletin / machin.

Les C-C-1 Meteorplane et C-C-2 Meteorplane sont des versions améliorées et légèrement plus coûteuses du M-T-2. Introduites en 1928, elles sont conçues pour répondre aux besoins de sportives / sportifs souhaitant parcourir de plus longues distances sans avoir à atterrir aussi souvent pour faire le plein. Irwin Aircraft construit environ 10 avions de ces types. Il tente de faire certifier le F-A-1, un dérivé des C-C-1 et C-C-2 datant de 1930, par la Civil Aeronautics Administration (CAA), mais le coût de cet effort est si élevé que le processus ne peut être achevé. Et oui, la CAA est mentionnée dans un numéro de juillet 2018 de notre blogue / bulletin / machin.

La fortune de Irwin Aircraft se détériore en 1930 lorsque son fondateur est frappé par une motocyclette. Les jambes et les bras de Irwin sont brisés. Il passe 18 mois à l’hôpital. Après la disparition de Irwin, la production d’avions continue pendant quelques semaines ou mois, mais finit par s’arrêter. Irwin Aircraft doit même annuler des commandes et restituer toute somme envoyée à titre de dépôt. La société met par la suite fin à ses activités. Quand Irwin quitte finalement l’hôpital, il décide de gérer l’aéroport d’une ville californienne ainsi que l’atelier de réparation qui se trouve tout près. Au fil des ans, Irwin complète quelques autres Meteorplane mais en garde un qu’il a utilisé comme démonstrateur. Il entrepose cet avion lorsqu’il va travailler pour la United States Navy en tant qu’instructeur civil après l’attaque japonaise contre Pearl Harbor, en décembre 1941. Un jour, des individus vandalisent le Meteorplane de Irwin et volent son Meteormotor.

Irwin emporte les restes du Meteorplane chez lui vers 1955. Lui et son épouse Ethel entreprennent de le restaurer. Après beaucoup de recherches, Irwin trouve le Meteormotor manquant, qui est utilisé comme pompe à eau. Il doit en fait le racheter à son propriétaire d’alors. Au total, Irwin et sa femme travaillent pendant 18 bonnes années sur le Meteorplane. Il fait don de l’avion au Oakland Museum of California, à Oakland, Californie, vers 1974.

Le seul autre Meteorplane qui reste au monde est entreposé en morceaux au Port Townsend Aero Museum de Chimacum, Washington.

Irwin meurt en février 1977, à l’âge de 84 ans.

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Rénald Fortier
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Une pièce d’équipement fort appropriée vue la saison, enfin, la saison qui affecte la partie nord de l’hémisphère nord de la planète Terre, la souffleuse à neige domestique de Autocanner Enregistré de Montréal, Québec. Anon., « –. » Montréal-Matin, 9 janvier 1948, 6.

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Une grenouille-taureau typique sauvage et libre. John J. Brice, éditeur, A Manual of Fish-Culture: Based on the Methods of the United States Commission of Fish and Fisheries, with Chapters on the Cultivation of Oysters and Frogs (Washington : Government Printing Office, 1897), 258.

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Une publicité typique de Giant Frog & Sea Food Limited de Montréal, Québec. Anon., « Giant Frog & Sea Food Limited. » La Patrie, 18 octobre 1952, 53.

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Trois des innombrables grenouilles-taureaux trouvées dans la grenouillère de Harold Lee, Casitas Springs, Californie. Anon., « Nature – Frog Farm.” » Pix, 6 janvier 1951, 30.

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Une publicité typique de Canadian Frog’s Industries Company de Montréal, Québec. Anon., « Canadian Frog’s Industries Company. » La Patrie, 16 novembre 1952, 86.

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Un dessin éditorial qui reflète la réaction de nombreux Américains suite au lancement de Spoutnik 2. Une traduction du titre du dessin pourrait être Notre propre disgrâce non-volante. John Milt Morris, « Our own non-fly doghouse. » The Nome Nugget, 8 novembre 1957, 2.

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Une réplique de Spoutnik 2, Tsentral’nyy Dom Aviatsii i Kosmonavtiki DOSAAF Rossíi, Moscou, avril 2021. Krasnyy via Wikipédia.

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Le premier portrait official de Laïka à être diffusé par les autorités soviétiques. Cette photographie est initialement publiée dans le quotidien moscovite Pravda. Anon., « More Sputnik Dogs Due Before Humans Go Up. » The Evening Star, 13 novembre 1957, 6.

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Le biplan (monoplace?) conçu par Canadian Aircraft Works (Incorporated? Limited? Registered?) de Montréal / Coteau Rouge, Québec, janvier 1915. Gustave Pollien peut se trouver aux commandes. MAEC, 1134.

Un terrifique trio actif aux débuts de l’aviation au Québec : Ernest Anctil, Gustave Pollien et Percival Hall Reid, partie 3

Le biplan fabriqué par Gustave Pollien (à gauche) et Ernest Anctil, Cartierville, Québec. Anon., « L’aviation chez nous – Un jeune aviateur canadien-français, Ernest Anctil, vole avec succès sur un biplan construit au pays. » La Presse, 27 septembre 1912, 1.

Un terrifique trio actif aux débuts de l’aviation au Québec : Ernest Anctil, Gustave Pollien et Percival Hall Reid, partie 2

Le biplan fabriqué par Ernest Anctil (à gauche dans la photographie du bas) et Gustave Pollien, Cartierville, Québec. Anon., « The first Montreal-made biplane. » The Standard, 5 octobre 1912, 4.

Un terrifique trio actif aux débuts de l’aviation au Québec : Ernest Anctil, Gustave Pollien et Percival Hall Reid, partie 1

Louis Victor Jules Vierne (3ème à partir de la gauche), compositeur et organiste de la cathédrale Notre-Dame de Paris au clavier de l’orgue électronique Coupleux Givelet, station de radio Poste Parisien, Paris, France. Anon., « L’orgue des ondes du ‘Poste parisien’ est inauguré. » Le Petit Parisien, 27 octobre 1932, 1.

La mélodieuse épopée de deux pionniers français de la musique électronique qui méritent d’être mieux connus : Joseph Armand Marie Givelet et Édouard Éloy Coupleux

 Vue d’artiste du satellite canadien Alouette en orbite au-dessus du Canada. Office national du film, Photo-reportage 288 – Le Canada, nouveau visiteur de l’espace, NFB62-5961.

Alouette, gentille alouette, Alouette, je te lancerai; Ou, Comment la Guerre froide propulse le Canada dans l’espace par le biais du satellite Alouette, partie 3

La fusée Thor-Agena qui place le satellite canadien Alouette en orbite, Vandenberg Air Force Base, Californie. Anon., « Alouette’ Working Perfectly – First Canadian Satellite in Orbit. » The Montreal Star, 29 septembre 1962, 1.

Alouette, gentille alouette, Alouette, je te lancerai; Ou, Comment la Guerre froide propulse le Canada dans l’espace par le biais du satellite Alouette, partie 2

Deux des ingénieurs qui font du satellite Alouette un succès : Colin A. Franklin (à gauche) et John N. Barry, Ottawa, Ontario. Anon., « Many ‘Firsts’ for Canadian Satellite – Alouette Sports New Space Advances. » The Montreal Star, 22 septembre 1962, 43.

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Vue approximative de la zone dans laquelle l’éclipse solaire du 31 août 1932 peut être observée dans sa totalité (image principale), ou pas (colonne de droite). Anon. « Mighty Workings of Tomorrow’s Eclipse. » Sherbrooke Daily Record, 30 août 1932, 1.

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Certains des chercheurs britanniques éminents en route vers le Canada dans le but d’observer l’éclipse solaire totale du 31 août 1932. Anon., « Le ciel québécois et les astronomes. » La Presse, 29 juillet 1932, 9.

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L’éclipse solaire du 31 août 1932 telle qu’on peut l’observer dans sa totalité, à partir d’une route de campagne du Maine. Anon., « Souvenir d’éclipse. » La Presse – Magazine illustré, 24 septembre 1932, 9.

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Le réservoir Manicouagan, également connu sous le nom d’œil du Québec, photographié depuis l’espace par le satellite Sentinel 2-A du programme Copernicus de l’Agence spatiale européenne, janvier 2017. https://scihub.copernicus.eu/ via Wikimedia.

Sic itur ad astra : Quelques observations sur la stellaire carrière de l’astronome canadien Carlyle Smith Beals, partie 2

Carlyle Smith Beals, astronome fédéral. Raymond Taillefer, « Tant qu’il y aura des étoiles - L’observatoire fédéral assure au Canada un brillant rôle scientifique. » Le Droit, 2 août 1947, 1.A.

Sic itur ad astra : Quelques observations sur la stellaire carrière de l’astronome canadien Carlyle Smith Beals, partie 1

Le prototype de l’avion de brousse canadien de Havilland Canada DHC-2 Beaver en montre au Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, Ottawa, Ontario. MAEC, deHavilland DHC-2 Beaver-005

Bonne fête Beaver, bonne fête Beaver, bonne fête, bonne fête, bonne fête Beaver : Un trop bref coup d’œil sur une icône canadienne, l’avion de brousse de Havilland Canada DHC-2 Beaver, partie 2

Le prototype de l’avion de brousse canadien de Havilland Canada DHC-2 Beaver le jour de son premier vol, Downsview, Ontario, août 1947. MAEC, KM-08317

Bonne fête Beaver, bonne fête Beaver, bonne fête, bonne fête, bonne fête Beaver : Un trop bref coup d’œil sur une icône canadienne, l’avion de brousse de Havilland Canada DHC-2 Beaver, partie 1

Le Shell By-Plane X 100 Astroterramare du professeur Septimus Urge (extrême droite), Pleasure Gardens du Festival of Britain, Battersea Park, Londres, Angleterre. Anon., « New British Jet Unique, but Not Matchless. » Aviation Week, 18 août 1952, 44.

Des machines de Heath Robinson / Rube Goldberg que Heath Robinson et « Rube » Goldberg eux-mêmes auraient approuvées; Ou, Le monde merveilleux de Frederick Rowland Emett et ses choses

Rachel Marie-Louise Clément, née Guillot, en train se saler des fromages camembert Madame Clément produits par Laiterie R.A. Clément (Enregistrée? Incorporée? Limitée?), McMasterville ou Beloeil, Québec. Anon., « Fromages du Québec. » Photo-Journal, 28 août 1952, 33.

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Béni soit celui qui apporte les merveilles du cosmos à la multitude : Armand Neustadter Spitz et ses projecteurs de planétarium, partie 2

Armand Neustadter Spitz. Hilaire Cuny, « Sciences et techniques – La plus gigantesque tentative de notre temps : La conquête de l’espace cosmique. » Combat, 15 mai 1957, 6.

Béni soit celui qui apporte les merveilles du cosmos à la multitude : Armand Neustadter Spitz et ses projecteurs de planétarium, partie 1

Une publicité typique de la firme William Hood & Company de Toronto, Ontario. Anon., « William Hood & Company. » The Canadian Grocer & General Storekeeper, 27 mai 1892, 9.

« Un nouveau gagnant commercial pour les épiciers et marchands généraux; » ou, Comment William Hood & Company de Toronto, Ontario, devient un prétexte pour s’attarder sur les mystères de… l’huile de ricin

Une publicité typique de Tillson Company Limited. Anon. « Tillson Company Limited. » The Canadian Grocer & General Storekeeper, 13 mai 1892, 19.

« Un aliment, pas une mode: » La vie et l’époque de Edwin Delevan Tillson de Tillsonburg, Ontario

Gertrude Dugal, la première Québécoise francophone ayant obtenu une licence de pilote – ou pas, Aéroport de Cartierville, Cartierville, Québec. Anon., « La seule diplômée. » La Patrie, Journal du dimanche, 18 mai 1947, 1.

« À travers les nuages, je vois voler mon ombre: » Quelques mots sur Gertrude Dugal, la première Québécoise francophone ayant obtenu une licence de pilote – à moins que ce ne soit quelqu’un d’autre

Une motomarine Vincent Amanda dans son élément, Ruislip, Angleterre, avril 1957. Anon., “Triss i bâtar.” Teknikens Värld med Flyg, 2 au 16 mai 1957, 8.

Bournemouth, Scarborough, ooh je veux vous emmener. Great Yarmouth, Lyme Regis, ami(e) lectrice, lecteur : La Vincent Amanda, l’ancêtre presque oubliée des motomarines d’aujourd’hui

Une vue en gros plan d’une pilule radio quelques instants avant que le premier patient volontaire ne l’avale. Anon., « Science – Radio Made to Swallow. » Life, 29 avril 1957, 74.

Prenez une de ces pilules et vos entrailles m’appelleront en matinée : La saga digestive de… la pilule radio

Dan Cooper, tel que dessiné par l’auteur de bande dessinée belge Albert Weinberg lors de sa visite à North Bay, Ontario, en mai-juin 1966. Anon., « Originator of RCAF cartoon hero visits defence bases at North Bay. » The North Bay Nugget, 3 juin 1966, 1.

Un prolifique auteur de bande dessinée belge qui mérite d’être mieux connu : Le père de Dan Cooper, héros canadien, Albert Weinberg (1922-2011), partie 2

Albert Weinberg au cours d’une de ses nombreuses visites en sol canadien. Anon., « Dan Cooper c’est Buzz Beurling. » La Presse, 31 mars 1975, A3.

Un prolifique auteur de bande dessinée belge qui mérite d’être mieux connu : Le père de Dan Cooper, héros canadien, Albert Weinberg (1922-2011), partie 1

Un avion de chasse FFVS J 22 typique de l’armée de l’air suédoise, ou Flygvapnet, Bunge, Suède, vers 1948-49. Flygvapenmuseum, FVMF.002142.

On m’a demandé quelques fois quel était mon avion préféré. Eh bien, voici l’un de mes favoris de tous les temps : l’avion de chasse suédois FFVS J 22, partie 2

Un avion de chasse FFVS J 22 typique de l’armée de l’air suédoise, ou Flygvapnet. Harald Jacobson, « Ett flygplan – en flygepok. » Looping, avril 1952, 12.

On m’a demandé quelques fois quel était mon avion préféré. Eh bien, voici l’un de mes favoris de tous les temps : l’avion de chasse suédois FFVS J 22, partie 1

 Une publicité pour des produits, en l’occurrence du hareng et de la sardine, mis en conserve par Connors Brothers Limited de Black’s Harbour, Nouveau-Brunswick. Anon., « Connors Brothers Limited ». Le Prix courant, 29 mars 1912, 20.

D’un appât à homard et engrais pour pommes de terre à de l’argent d’eau salée : L’humble sardine et Connors Brothers Limited de Black’s Harbour, Nouveau-Brunswick

Une Volvo P1800 comparable à celle que conduit Simon Templar, dit le Saint, un personnage joué à la télévision par Roger George Moore, Volvo Museum, Göteborg, Suède, 2008. Jarle Vines via Wikimedia.

Une sainte automobile du pays de « Fifi » Brindacier et Lisbeth Salander : La grande routière / voiture sport suédoise Volvo P1800, partie 2

Une grande routière / voiture de sport Volvo P1800 typique Anon., « La plus belle auto. » La Patrie du Dimanche, 25 mars 1962, 11.

Une sainte automobile du pays de « Fifi » Brindacier et Lisbeth Salander : La grande routière / voiture sport suédoise Volvo P1800, partie 1

Le député sortant de la circonscription électorale de Limoux, France, le sénateur Henri Charles Étienne Dujardin-Beaumetz. Joseph Uzanne. Figures contemporaines. (10ème édition) (Paris: Librairie Henri Floury, 1906), non paginé.

« Mon cher Védrines, c’est une panne de scrutin : » Charles Toussaint « Jules » Védrines et l’élection législative partielle de Limoux, France, de mars 1912, Partie 2

Caricature du sénateur Henri Charles Étienne Dujardin-Beaumetz se payant la tête de « Jules » Védrines, le candidat défait lors de l’élection législative partielle de Limoux, France, de mars 1912. Anon., « La course Limoux-Palais-Bourbon. » Le Rire, 30 mars 1912, non paginé.

« Mon cher Védrines, c’est une panne de scrutin : » Charles Toussaint « Jules » Védrines et l’élection législative partielle de Limoux, France, de mars 1912, Partie 1

Le laboratoire sur roues Lincoln Continental 1950X / Ford X-100. Anon., « La Ford de l’avenir. » Photo-Journal, 28 février 1952, 8.

La voiture de demain telle qu’on l’imaginait il y a 70 ans : Le laboratoire sur roues Lincoln Continental 1950X / Ford X-100

Edward T. Faulkner et son Curtiss JN-4 Canuck, Honeoye Falls, New York, 1962. Musée de l’aviation et de l’espace du Canada 2985.

Il décolle à 100 kilomètres/heure, vole à 100 kilomètres/heure et atterrit à 100 kilomètres/heure, plus ou moins : La saga du Curtiss JN-4 Canuck

Une publicité de David Brown (Canada) Limited de Toronto, Ontario, montrant des tracteurs offerts par une firme sœur / frère britannique, David Brown Tractors Limited. Anon., « David Brown (Canada) Limited ». Le Bulletin des agriculteurs, février 1962, 75.

« Voulez-vous conduire mon tracteur? Allons donc charger du foin. » Un très bref aperçu de l’histoire de la firme britannique David Brown Tractors Limited

Tomanowos, mieux connue sous le nom de météorite Willamette, American Museum of Natural History, New York, New York. Anon., « Ça et là, par l’image. » Le Samedi, 22 février 1947, 8.

Tomanowos, une visiteuse du ciel ou de la Lune : Un coup d’œil sur de la plus grosse météorite nord-américaine connue aujourd’hui

Vera Elsie Strodl portant le blouson de vol en cuir qu’elle porte pendant la Seconde Guerre mondiale. Glennis Zilm, « Only Canadian honored – Long love of flying brings award to aviatrix. » The Gazette, 1er février 1972, 8.

Dieu aurait pu être son copilote, Ou, La carrière remarquable d’une pilote remarquable, Vera Elsie Strodl

John D’Alton Woodlock avec un de ses fils, Peter Woodlock, devant le téléviseur familial, Iberville, Québec, été 1949. Arthur Prévost, « Dix ans avant CBFT – À Iberville, on a la TV depuis 14 ans!... » Le Petit Journal, 14 janvier 1962, A-49.

Mais malheureusement, comme tant de grands esprits, le pionnier québécois de la télévision John D’Alton Woodlock est parti trop tôt – et vite oublié

Une publicité de la Société auxiliaire agricole de Paris, France, montrant un tracteur agricole Pavesi P4 ou Agrophile-Pavesi en action. Anon., « Société auxiliaire agricole, » L’Agriculture nouvelle, 14 janvier 1922, 4.

Il était une fois un tracteur acrobate : La belle bien que partiellement militaire histoire du tracteur agricole Pavesi P4 et la carrière de Ugo Pavesi

Deux des grands avions de chasse de la Première Guerre mondiale : un SPAD S.VII du Royal Flying Corps ou de l’Aéronautique militaire et un Albatros D.III du Luftstreitkräfte. Anon., « A Dog Fight. » Canadian Aviation, janvier 1932, 12.

L’histoire des photographies les plus extraordinaires jamais prises de combats aériens pendant la Première guerre mondiale, Ou, Le long et le court de la collection Cockburn-Lange

Une vue d’ensemble d’un des premiers réseaux téléphoniques au Canada, Montréal, Québec, 1878. Anon., « Le premier téléphone qui ait jamais été installé à Montréal. » La Presse, 27 janvier 1912, 5.

Ils sont parmi les premiers à tendre la main et toucher quelqu’un : Un regard sur un des premiers réseaux téléphoniques au Canada

Le Canadair CL-44 loué par British Overseas Airways Corporation (BOAC), septembre 1963. Cet aéronef de Seaboard World Airlines Incorporated transporte 19 voitures de course du Royaume-Uni aux États-Unis lors de ce vol, son premier aux couleurs de BOAC. MAEC.

Un bon élan en mérite un autre : La saga de l’avion-cargo canadien Canadair CL-44, Partie 2

Une publicité de l’avionneur Canadair Limited de Cartierville, Québec, vantant les mérites de son hénaurme avion-cargo, le Canadair CL-44. Anon., « Canadair Limited. » La Presse, 23 janvier 1962, 29.

Un bon élan en mérite un autre : La saga de l’avion-cargo canadien Canadair CL-44, Partie 1

Publicité publiée par les magasins Zeller’s Limited de Calgary, Alberta, qui met en valeur le tracteur Reely Ride-’em produit par Reliable Toy Company Limited de Toronto, Ontario. Anon. « Zeller’s Limited. » The Calgary Herald, 11 décembre 1961, 32.

Jouets, glorieux jouets, on voudrait bien jouer : Quelques pages sur Reliable Toy Company Limited de Toronto, Ontario

Un hydravion à flotteurs utilitaire de Havilland Canada DHC-3 Otter exploité par Northway Aviation Limited de St. Andrews, Manitoba, lac Fishing, Manitoba, septembre 2005. Mark Swaffer via Wikimédia.

Le camion volant d’une tonne du Canada : le de Havilland Canada DHC-3 Otter

Une publicité de Moline Plow Company montrant un Moline Universal Tractor en action. Anon. « Moline Plow Company. » L’Agriculture nouvelle, 10 décembre 1921, 707.

Un véhicule très réussi et, oserais-je le taper, un gougeur de pente de l’industrie des tracteurs agricoles : le Moline Universal Tractor

L’avion de ligne à réaction Douglas DC-8 de Canadian Pacific Airlines Limited de Vancouver, Colombie-Britannique, connu sous le nom de Empress of Montreal. Anon., « Empress of Montreal DC-8 First CPA Jet Visitor. » The Gazette, 6 décembre 1961, 17.

Un article dont je suis réticent à divulguer la phrase-choc si tôt dans le jeu : Ou, Un DC racé utilisé par CP

L’avion-cargo Fairchild C-119 Flying Boxcar de la United States Air Force emprunté par Iron Ore Company of Canada Incorporated en 1951. Anon., « Fret aérien – L’opération Ungava – Le fret aérien accélère l’application d’un projet. » Interavia, décembre 1951, 672.

« Dans l’intérêt de la sécurité nationale » : Le rôle joué par un avion-cargo Fairchild C-119 Flying Boxcar de la United States Air Force dans le développement des gisements de minerai de fer de la région du lac Knob

Le Vertol Modèle 42 de Skyrotors Limited de Arnprior, Ontario, nolisé par Spartan Air Services Limited de Ottawa, Ontario, dans le cadre de l’Opération High Tower. Anon., « Operation High Tower. » The Ottawa Citizen, 8 novembre 1961, 3.

Votre mission, si toutefois vous l’acceptez, est de déplacer des trucs : Spartan Air Services Limited de Ottawa, Ontario, la station radiophonique CFRA de Ottawa et l’Opération High Tower

Une des deux sculptures grandeur nature en alliage d’aluminium de grues blanches créées par Wolfram F. Niessen pour le Regina Municipal Airport, Regina, Saskatchewan. Anon., « Regina Honors the Whooping Crane. » The Ottawa Citizen, Weekend Magazine, 18 novembre 1961, 38.

Parlons d’art, humaines et humains. Tous les humains. Plus fort maintenant. Aidez-moi. – Wolfram F. Niessen, John Cullen Nugent et les sculptures grandeur nature en alliage d’aluminium de grues blanches créées pour le Regina Municipal Airport

Joseph Alphonse Ouimet. Anon., « Le pionnier de la télévision préférait la radio à une bicyclette neuve. » La Patrie, 5 novembre 1961, 26.

« Le pionnier de la télévision préférait la radio à une bicyclette neuve : » Un survol de la carrière de Joseph Alphonse Ouimet, un père fondateur de la télévision canadienne

Une publicité publiée par La traction et le matériel agraires Société anonyme pour le tracteur de jardin américain Beeman Junior. Anon., « La traction et le matériel agraires Société anonyme. » L’Agriculture nouvelle, 12 novembre 1921, 664.

« Les arpents verts, les champs, les bois, les chemins creux, c’est fait pour moi : » La firme américaine Beeman Garden Tractor Company et le tracteur de jardin / motoculteur Beeman Junior ou Modèle G

Une ascension de l’aéronaute et parachutiste foraine Florida Lanthier. Maurice Desjardins, « Dans une modeste maison de Montréal-Nord – Florida Lanthier, reine des parachutistes, vit de couture... et de souvenirs. » Photo-Journal, 8 novembre 1951, 3.

Ombres et lumière dans le ciel du Québec : Un premier regard sur la vie et l’époque de l’aéronaute et parachutiste foraine féminine québécoise Florida Lanthier

L’irradiateur mobile de démonstration monté par Énergie atomique du Canada Limitée. Anon., « Boon to Canadian potato industry. » Saskatoon Star-Phoenix, 21 octobre 1961, 6.

Une patate chaude, deux patates chaudes, trois patates chaudes, quatre : Énergie atomique du Canada Limitée de Chalk River, Ontario, et les premiers jours de l’irradiation des aliments au Canada

Une automobile légère et économique Mathis VL333. Fernand de Laborderie, « Le 33e Salon de l’automobile. » La Nature, 15 octobre 1946, 331.

Une vision d’avenir pour une firme à bout de souffle : L’automobile légère et économique française Mathis VL333

Un Bristol Bolingbroke de reconnaissance côtière destiné à l’Aviation royale du Canada en cours de montage dans l’usine de Fairchild Aircraft Limited, Longueuil, Québec, 1941. Anon., « Les C.F. et la R.C.A.F. » Le Samedi, 18 octobre 1941, (c).

« Nous devons obtenir du matériel aérien et veiller sur nos côtes » – L’Aviation royale du Canada et l’avion de reconnaissance côtière Bristol Bolingbroke

 Le prototype du de Havilland Canada DHC-6 Twin Otter en montre au Musée de l’aviation du Canada, Ottawa, vers 2001. MAEC.

De pôle en pôle et d’horizon en horizon, le Twin Otter était, est et sera là : Une bien brève pontification sur un des meilleurs aéronefs canadiens jamais conçus

Le Royal Aircraft Factory B.E.2 en montre au Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, Ottawa, Ontario, février 2009. Wikipédia.

Le cas étrange et déconcertant des aéroplanes substitués; ou, Même en utilisant les Mathématiques modernes, 4112 n’égale jamais 5878 : La haute histoire du Royal Aircraft Factory B.E.2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, partie 2

Le Royal Aircraft Factory B.E.2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada alors qu’il appartient au Musée canadien de la guerre, Ottawa, Ontario. H.J. (« Titch ») Jenkins, « Correspondence – Ottawa’s – and Sowrey’s – B.E.2c. » Flight, 12 octobre 1961, 600.

Le cas étrange et déconcertant des aéroplanes substitués; ou, Même en utilisant les Mathématiques modernes, 4112 n’égale jamais 5878 : La haute histoire du Royal Aircraft Factory B.E.2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, partie 1

Isidore Joseph Amédée Marsan. Anon., « Isidore Joseph Amédée Marsan. » Le Bulletin des agriculteurs, 17 septembre 1921, couverture.

Un des pionniers de la science agricole au Québec et au Canada: Isidore Joseph Amédée Marsan

Une annonce publicitaire de St. Lawrence Starch Company Limited, Port Credit, Ontario. Anon., « Publicité – St. Lawrence Starch Company Limited. » Le Bulletin des agriculteurs, septembre 1941, 61.

Gratis, magnifiques cartes portant des dessins ou photographies d’aéronefs alliés! Collectionnez-les toutes!

Une automobile Aluminium français-Grégoire, Cité de l’automobile – Musée national – Collection Schlumpf, Mulhouse, France, mai 2010, Wikimédia.

Ent’ deux joints, il a ben fait quequ’chose : Jean Albert Grégoire et ses magnifiques automobiles, Partie 2

 Un exemplaire de l’automobile électrique française CGE-Tudor. C. Faroux, « Un progrès considérable de la voitures électrique. » La Vie automobile, 25 septembre 1941, 284.

Ent’ deux joints, il a ben fait quequ’chose : Jean Albert Grégoire et ses magnifiques automobiles, Partie 1

Le seul et unique exemplaire de l’avion de ligne à long rayon d’action italien Breda Zappata BZ 308. Jacques Gambu. « Breda Zappata BZ 308. » Aviation Magazine, 1er septembre 1951, 21.

Il Constellation italiano, une étoile méconnue du firmament aéronautique de l’Italie : L’avion de ligne à long rayon d’action Breda Zappata BZ 308

Paul Fjeld dans la demeure familiale, Rosemère, Québec. Claude-Lyse Gagnon, « Parti avec $200 en poche – Un jeune Québécois a pu voir décoller Apollo 15. » La Patrie, 15 août 1971, 12.

Espace, frontière de l’infini vers laquelle voyage notre planète, la Terre; voici l’histoire de vie de Paul Fjeld, passionné d’espace et artiste depuis plus d’un demi-siècle

Publicité pour la lager Frontenac Blue Label de National Breweries Limited de Montréal, Québec. Anon., « Publicité – National Breweries Limited. » Le Samedi, 23 août 1941, 12.

La grande victime de la guerre de la bière de Montréal de 1925 : Frontenac Breweries Limited de Montréal, Québec

Un véhicule tout-terrain Karou Karou. Anon., « Opération Camping à Saint-Hilaire. » Photo-Journal, 26 juillet au 1er août 1971, 47.

Tout-terrain, tout-temps, tout-plaisir : Karou Incorporée de Drummondville, Québec, et le véhicule tout-terrain Karou

Le premier exemplaire de production de l’avion d’entraînement avancé Avro Anson de fabrication canadienne équipé d’un fuselage en contreplaqué moulé, lieu inconnu, 1943. MAEC, 23290.

Tout le monde ne sait pas que la fabrication d’aéronefs peut être un sport de contact : Clarence Decatur Howe, Harvey Reginald MacMillan et la production d’avions d’entraînement avancé Avro Anson au Canada, Partie 2

Une paire d’avions d’entraînement avancé Avro Anson de fabrication canadienne utilisée par l’École de pilotage militaire no 10, Base de l’Aviation royale du Canada de Dauphin, près de Dauphin, Manitoba, 1943-44. MAEC, 27297.

Tout le monde ne sait pas que la fabrication d’aéronefs peut être un sport de contact : Clarence Decatur Howe, Harvey Reginald MacMillan et la production d’avions d’entraînement avancé Avro Anson au Canada, Partie 1

Le tout premier tramway électrique exploité par Telegraphen-Bau-Anstalt von Siemens & Halske, Berlin, Empire allemand. Anon., « The first electric railway in Berlin. » Canadian Illustrated News, 9 juillet 1881, 21.

Un tramway nommé Straßenbahn Groß-Lichterfelde, ou, Comment Telegraphen-Bau-Anstalt von Siemens & Halske met en service le premier tramway électrique au monde

L’auteur et pionnier canadien de l’aviation Frank Henry Ellis (au centre) avec les pionniers américains de l’aviation Frank Purdy Lahm (à gauche) et Will D. « Billy » Parker, président de Early Birds of Aviation Incorporated, Los Angeles, Californie. Robert Francis, « Early Birds ». Sunday Sun Magazine, 28 juillet 1951, 5.

Si nous avons vu plus loin, c’est en montant sur les épaules d’un géant : Frank Henry Ellis et Canada’s Flying Heritage

Publicité montrant un tracteur italien SAME Buffalo. Anon., « Publicité – Les Entreprises Biasotto & Hardy (Canada) Incorporée. » Le Bulletin des agriculteurs, juillet 1981, 26.

Ils étaient tous pareils, frères l’un de l’autre : Francesco Cassani, Eugenio Gabriele Cassani et la Società Accomandita Motori Endotermici (SAME)

Un Canadair North Star de British Overseas Airways Corporation, London Airport, Heathrow, Angleterre, septembre 1954. Wikimédia.

Le tour du monde en 80 heures : Quelques pages sur le Canadair North Star, partie 2

Le prototype du Canada North Star, 1946. Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, KM-08329

Le tour du monde en 80 heures : Quelques pages sur le Canadair North Star, partie 1

Une annonce publicitaire pour une faucheuse fabriquée par La Machine Agricole Nationale Limitée de Montmagny, Québec. Anon., « Publicité – La Machine Agricole Nationale Limitée. » Le Bulletin des agriculteurs, 11 juin 1921, 556.

Faites que personne n’oublie que, pendant un moment bref et éclatant, il y a eu La Machine Agricole Nationale Limitée de Montmagny, Québec

La civière Folland / Hawker Siddeley Hoverstretcher en action. Anon., « Airborne comfort. » The Calgary Herald, 9 juin 1961, 19.

Développer le germe d’une idée: Maurice Joseph Brennan et ses aéroglisseurs

Des mères et enfants prêtes à monter à bord d’un des avions de ligne Douglas DC-3 convertis en Nurseryliner par United Air Lines Incorporated, San Francisco, Californie, avril ou mai 1946. Anon., « Service aérien pour bébés. » Photo-Journal, 20 juin 1946, 12.

Asseyez-vous, détendez-vous et profitez du voyage – Des bébés dans l’avion : United Air Lines Incorporated et son service Nurseryliner

L’ingénieur et astronome amateur canadien James Hargreaves avec un instrument qu’il a fabriqué lui-même. Jean Taillefer, « Un voyage de 180 jours au Soudan, en Afrique; une expérience astronomique de 180 secondes. » Le Droit, 16 juin 1951, 13.

« Un savant d’Ottawa fait un sacrifice pour la science: » L’ingénieur et astronome amateur canadien James Hargreaves et ses voyages autour du globe

Le prototype de l’avion de brousse Fairchild F-11 Husky peu avant son premier vol, juin 1946, Musée de l’aviation et de l’espace du Canada KM-05311.

Chien-chien, tu es doué, très doué, mais tant que le rongeur sera dans le métier, tu ne seras jamais que le second : La brève mais longue histoire de l’avion de brousse Fairchild F-11 Husky

Un dessin écorché de l’avion de brousse canadien Fleet Modèle 50 Freighter. Anon., « Fleet’s Trainer and Transport. » Aviation, mai 1941, 61.

Il aurait pu (et dû?) être un des grands : L’avion de brousse canadien Fleet Modèle 50 Freighter

Wilfrid-Henri Perron. Claude Asselin, « Une encyclopédie québécoise pour les horticulteurs. » Photo-Journal, 3 au 9 mai 1971, 12.

Chez Perron, tout est bon : Un géant de l’horticulture québécoise et canadienne, Wilfrid-Henri Perron (1897-1977)

Le cyclecar / vélomobile / vélocar / automouche à pédales et / ou moteur auxiliaire Le Dauphin. Edmond Massip, « Un cyclecar à pédales et moteur auxiliaire. » La Vie automobile, 25 mai 1941, 153.

Le cyclecar / vélomobile / vélocar / automouche à pédales et / ou moteur auxiliaire Le Dauphin : Une solution (extrême?) à la pénurie de carburant à Paris au cours de l’occupation allemande pendant la Seconde Guerre mondiale

L’autogire Pitcairn PCA-2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada lors de sa grande tournée aux États-Unis, alors qu’il appartient à Sealed Power Corporation. Anon. « Pohled na Ciervovu autogiro za letu. » Letectvi, novembre 1932, 310.

« ’Moulin à vent volant’ ici mercredi » : Le grand périple de Donald Walker et du Pitcairn PCA-2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, partie 2

L’autogire Pitcairn PCA-2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada au moment où il appartenait à Standard Oil Company of New York. Anon., « Publicité – Standard Oil Company of New York. » Aviation, mai 1931, 22.

« ‘Moulin à vent volant’ ici mercredi » : Le grand périple de Donald Walker et du Pitcairn PCA-2 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, partie 1

Une annonce publicitaire sobre et sans fioriture d’Elzéar Fortier Limitée de Québec, Québec. Anon., « Publicité – Elzéar Fortier Limitée. » L’Action catholique, 8 avril 1946, 9.

C’était un malin: Elzéar Fortier et la production de boissons gazeuses à Québec, Québec

Youri Alekseïevitch Gagarine et Charles Augustus Lindbergh. La légende de ces photographies mentionne la ressemblance frappante entre ces personnes importantes du monde de l’astronautique et de l’aéronautique. Anon., « Lancement du premier homme dans l’espace – Comment se sont déroulés les événements en Union soviétique. » La Tribune, 13 avril 1961, 24.

C’était aussi un petit pas pour un homme, un pas de géant pour l’humanité : Le vol dans l’espace de Youri Alekseïevitch Gagarine dans la presse francophone québécoise, 12-15 avril 1961, partie 2

Le major Youri Alekseïevitch Gagarine au cours de sa visite à Helsinki, Finlande, juillet 1961. Wikimédia.

C’était aussi un petit pas pour un homme, un pas de géant pour l’humanité : Le vol dans l’espace de Youri Alekseïevitch Gagarine dans la presse francophone québécoise, 12-15 avril 1961, partie 1

Claire Wallace, animatrice de radio de Canadian Broadcasting Corporation interviewant Diana Jocelyn Dudley, ingénieure en aménagement intérieur de Trans-Canada Air Lines, janvier 1946. Anon. « Air Transportation – Radio Broadcast over Niagara. » Canadian Transportation, avril 1946, 200.

Pas un endroit pour une dame?! Baliverne! : Diana Jocelyn Dudley et Janet Elizabeth Lowe, les premiers ingénieurs en aménagement intérieur des Lignes aériennes Trans-Canada

Peter Müller aux commandes [sic] du Pedroplan, Berlin, Allemagne, mars 1931. Anon., « Cologne contre Marseille – Le mystère du ‘Pédroplan.’ [sic] » Les Ailes, 2 avril 1931, 14.

Je veux faire voler ma bicyclette, je veux faire voler mon cerf-volant : Peter Müller et le Pedroplan

L’aéroglisseur Phillips Saucercraft, Mount Hope, Ontario. Anon., « Flying saucer crack-up. » The Calgary Herald, 2 mars 1961, 1.

Un ONVI (Objet non volant identifié) des plus intrigants : L’aéroglisseur Phillips Saucercraft

La Dre Ann Elizabeth Noelle Grace s’occupant d’un de ses patients, Montreal General Hospital, Montréal, Québec. Claude Adams, « An eye-opener for our reporter – Team of women doctors shatters Ben Casey myth. » The Gazette, 3 mars 1971, 31.

Briser le mythe de Ben Casey et James Kildare : La première femme chirurgien pédiatrique du Canada, la Dre Ann Elizabeth Noelle Grace

Une publicité de Langlais & Frère Incorporée de Québec, Québec, vantant les mérites du tracteur Zetor 25. Anon. « Publicité – Langlais & Frère Incorporée. » L’Action catholique, 3 mars 1951, 14.

De leurs épées, ils forgeront des socs de charrue; ou, Un bref regard sur la société d’état tchèque Zbrojovka Brno Národní Podnik

 Quelques personnalités présentes lors l’inauguration de l’École d’avionnerie de Cartierville, Cartierville, Québec, 3 mars 1941. Anon., « À l’inauguration de l’École d’avionnerie de Cartierville. » La Presse, 4 mars 1941, 19.

Une réalisation magnifique, pleine de promesses d’avenir, balayée par l’esprit étroit de Maurice Le Noblet Duplessis : L’École d’avionnerie de Cartierville

La présentation du premier Boeing Modèle 747 d’Air Canada à l’Aéroport international de Montréal-Dorval, Dorval, Québec. Anon., « Des milliers de personnes ont vu le géant des airs. » La Presse, 22 mars 1971, A 1.

66 327 personnes ne peuvent pas avoir tort, mais elles peuvent avoir froid : La présentation du premier Boeing Modèle 747 d’Air Canada à l’Aéroport international de Montréal-Dorval

 Le Fokker D.VII du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, mars 2019. MAEC.

Un des grands aéronefs de combat du 20ème siècle et un des nombreux joyaux d’un des plus remarquables musées de l’aviation et de l’espace de la planète Terre : Le Fokker D.VII et l’avion du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada

Une publicité de Équipements Ascot Incorporée de Saint-Élie-d’Orford, Québec, vantant les mérites du tracteur UTB U530. Anon. « Publicité – Équipements Ascot Incorporée. » Le Bulletin des agriculteurs, février 1981, 28.

De leurs ailes, ils forgeront des socs de charrue; ou, Un bref regard sur la société d’état roumaine Uzina Tractorul Braşov

Un dessin éditorial mettant en lumière le lancement de la sonde planétaire soviétique Venera 1 en février 1961. Edmund Alexander Sebestyen, « To Venus With Love. » Saskatoon Star-Phoenix, 14 février 1961, 4.

Essayer de lever les voiles sous lesquels Vénus se cachait de notre regard : La saga de la sonde planétaire soviétique Venera 1

Un Jacobs Jaycopter au repos, Edmonton, Alberta. Lyn Harrington, « Cutting helicopter training cost. » Canadian Aviation, février 1961, 20.

Un simulateur d’hélicoptère avec une différence : il vole – Le Jacobs Jaycopter canadien

Dessin éditorial montrant le roi Neptune offrant sa couronne à l’équipage du English Electric Canberra qui traverse l’Océan Atlantique en février 1951. Charles R. Knight, « Ready to Abdicate. » The Windsor Daily Star, 22 février 1951, 4.

Quelques milliers de mots sur le English Electric Canberra / Martin B-57 Canberra et le petit rôle joué par Canadair Limited dans son histoire

Le premier exemplaire de série de l’hélicoptère Piasecki HUP Retriever. Anon., « News Picture Highlights. » Aviation Week, 15 janvier 1951, 9.

« Shoe, » Retriever, « Hupmobile » ou Army Mule – un HUP sous tout autre nom est encore un HUP : Les hélicoptères Piasecki HUP Retriever et H-25 Army Mule, et le HUP du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada

Une vue du barrage de Warsak, nord du Pakistan occidental. Anon., « Inauguration du barrage de Warsak. » Le Droit, 27 janvier 1961, 12.

Franchement, ma chère / mon cher, nous avons donné un barrage : Le Canada et le barrage de Warsak au Pakistan

Un des premiers de Havilland Canada Chipmunk importés au Royaume-Uni. Anon., « De Havilland [Canada] DHC-1 ‘Chipmunk.’ » Aviation Magazine, 1er janvier 1951, couverture.

Un Tamias striatus gambadant dans les nuages : Le de Havilland Canada Chipmunk

Le 5ème de Havilland Canada AC-1 Caribou de présérie. Larry Booda, “Aeronautical Engineering – Aviation Week Pilot Report – STOL Caribou Calls for Special Handling.” Aviation Week and Space Technology, 23 janvier 1961, 56.

Un camion volant qui a donné de la mobilité aux soldats de l’ère atomique : Le de Havilland Canada Caribou

La voiture lunaire Oberth telle qu’imaginée en 1960. I.M. Levitt, « Le problème du transport sur la Lune. » L’Action catholique, 10 juillet 1960, 5.

Je ne suis tout simplement pas sûr que ce véhicule a été bien pensé : La voiture lunaire du pionnier de l’astronautique Hermann Julius Oberth

La Ferrari 512 Pininfarina Modulo, en montre lors de l’édition 1971 du Salon international de l’Auto de Montréal, Montréal, Québec. Jean D. Legault, « Une première mondiale et 12 continentales. » La Patrie, 17 janvier 1971, 31.

Une des automobiles de rêve les plus célèbres de tous les temps : La Ferrari 512 Pininfarina Modulo

Publicité pour le moins sobre pour la bière d’épinette La Canadienne de F.A. Fluet Enregistré. Anon., « Publicité – F.A. Fluet Enregistré. » L’Action catholique, 4 janvier 1951, 5.

Une petite bière qui n’était pas de la petite bière : F.A. Fluet Enregistré de Québec, Québec, et la bière d’épinette La Canadienne

Une scène croquée lors du lancement du Jeu de l’électricité par Éditions Héritage Incorporée, Montréal, Québec, 6 novembre 1968. Anon., « –. » Le Devoir, 6 novembre 1968, 11.

A B C Abécédaire. Viens avec nous autour de la Terre : L’émission de télévision éducative pour enfants Tour de Terre de la Société Radio-Canada

Une publicité vantant les mérites du Vin St.Georges. Anon. « Publicité – T.G. Bright & Company Limited. » Le Bulletin des agriculteurs, décembre 1940, 2.

Pour régaler la famille pendant les Fêtes, n’oubliez pas le Vin St.Georges : Un bref regard sur un pionnier de l’industrie vinicole canadienne, T.G. Bright & Company Limited

Le Bell Modèle 47 utilisé par Airspray Limited, Ontario. Anon., “Helicopter – Down on the Farm.” Canadian Aviation, septembre 1947, 25.

Dans la ferme de Mathurin, hiya hiya ho. Il y a des centaines de Bell, hiya hiya ho : Quelques mots de plus sur les premiers jours de l’aviation agricole au Canada

Une publicité annonçant la mise en service de l’avion de ligne court et moyen-courriers Vickers Vanguard des Lignes aériennes Trans-Canada. Anon., « Publicité – Trans-Canada Air Lines. » Maclean’s, 3 décembre 1960, 8-9.

Du « gros Viscount » au Merchantman : Le voyage abrégé du Vickers Vanguard

Le Convair 580 utilisé par le Centre canadien de télédétection de Ressources naturelles Canada, Aéroport international MacDonald-Cartier d’Ottawa, Ottawa, Ontario, septembre 2001. Wikipédia.

C’était un des grands : L’aéronef de télédétection Convair 580 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada

Un aéronef agricole Air Tractor AT-502 utilisé par Southeastern Aerial Crop Service Incorporated, Belle Glade State Municipal Airport, Floride, juin 2013. Wikipédia.

Des ailes au-dessus du monde : Le turbopropulseur et turbomoteur PT6, Partie 2

Le premier turbopropulseur conçu au Canada, le PT6 de Canadian Pratt & Whitney Aircraft Company Limited. Anon., « Publicité – Canadian Pratt & Whitney Aircraft Company Limited. » The Gazette, 14 novembre 1960, 24.

Des ailes au-dessus du monde : Le turbopropulseur et turbomoteur PT6, Partie 1

Les 14 volumes de l’édition 1960 de L’Encyclopédie de la jeunesse de Grolier Limitée. Anon., « Publicité - Grolier Limitée. » La Tribune - Perspectives, 12 novembre 1960, 31.

Un livre de connaissance : L’Encyclopédie de la Jeunesse

Roxana Hartley et M. Jolie / lord Robert Brummel, les principaux protagonistes de la pièce américaine de 1930 Dancing Partner, Belasco Theatre, New York, New York. Anon., « The Stage Goes ‘Air-minded’. » Scientific American, novembre 1930, 355.

Une pièce dans un avion, et un avion dans une pièce : Dancing Partner, 1930

Le Supermarine Spitfire exposé pour le 20ème anniversaire de la bataille d’Angleterre, Colline du Parlement, Ottawa, Ontario, 18 septembre 1940. Anon., « News roundup – Battle of Britain Ceremonies. » Aircraft, novembre 1960, 58.

Un cadeau pour le ciel : Le Supermarine Spitfire Mk IIb du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada

Certains des montages du Musée national de l’air, Aéroport de Uplands, Ottawa, Ontario, début des années 1960. MAEC, numéro de négatif 4446.

Bonne fête à nous. Bonne fête à nous. Bonne fête cher MAEC. Bonne fête à nous : Quelques mots sur les premiers jours, semaines, mois et années du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada

Une reproduction (grandeur nature?) un tant soit peu inexacte de Spoutnik I en montre à Prague, Tchécoslovaquie, dans le cadre d’une exposition commémorant le 40ème anniversaire de la Grande révolution socialiste d’octobre. Anon., « Modèle du satellite russe. » Le Nouvelliste, 10 octobre 1957, 1.

Le Québec / Canada et le satellite le plus simple, le vaisseau spatial PS-1, autrement dit Spoutnik I : Un survol de ce qui se publie dans la presse québécoise francophone entre les 5 et 12 octobre 1957, Partie 4

Pierre Dorion, « L’ère des émotions. » La Presse, 9 octobre 1957, 4.

Le Québec / Canada et le satellite le plus simple, le vaisseau spatial PS-1, autrement dit Spoutnik I : Un survol de ce qui se publie dans la presse québécoise francophone entre les 5 et 12 octobre 1957, Partie 3

Le satellite le plus simple ou vaisseau spatial PS-1, autrement dit Spoutnik I, un peu avant son lancement, septembre 1957. NASA.

Le Québec / Canada et le satellite le plus simple, le vaisseau spatial PS-1, autrement dit Spoutnik I : Un survol de ce qui se publie dans la presse québécoise francophone entre les 5 et 12 octobre 1957, partie 2

Un dessin un tant soit peu inexact du vaisseau spatial PS-1, autrement dit Spoutnik I, en orbite autour de la Terre. Anon., « Fusées et satellites seraient invincibles. » Le Soleil, 8 octobre 1957, 1.

Le Québec / Canada et le satellite le plus simple, le vaisseau spatial PS-1, autrement dit Spoutnik I : Un survol de ce qui se publie dans la presse québécoise francophone entre les 5 et 12 octobre 1957, Partie 1

Eldon Douglas McEarchern travaillant sur son Piper PA-18 Super Cub agricole sous le regard d’un de ses fils, Carman, Manitoba. Anon., « Les fermiers volants de l’ouest canadien ». Le Samedi, 22 octobre 1960, 25.

Oh, quel matin magnifique! Oh, quelle journée magnifique! : Un aperçu de la première décennie du mouvement des fermiers volants au Canada

 Une des batteuses remorquées conçues et fabriquées par Dion & Frère Incorporée de Sainte-Thérèse-de-Blainville, Québec. Anon., « Publicité – Dion & Frère Incorporée. » Le Bulletin des agriculteurs, septembre 1940, 47.

Un siècle de technologie et d’innovation agricoles dans la région québécoise des Laurentides : De Dion & Frère à Dion-AG

Jani Moreau, agente de bord, telle qu’imaginée par l’artiste Nicole Lapointe. Anon., « Un nouvel illustré : Jani hôtesse de l’air. » Claire, 15 septembre 1960, couverture.

Elle n’est pas une serveuse dans le ciel : Jani hôtesse de l’air et quelques mots sur la présence des agentes de bord dans la culture populaire

Une furieuse Clara déchiquetant le biplan Curtiss piloté par George F. Russell, Dongan Hills, New York, 10 septembre 1910. Anon., "La vache et l’aéroplane". Le Petit Journal - Supplément illustrée, 25 septembre 1910, 312.

Une rencontre rapprochée de type étrange et inhabituel, ou, Comment Clara la vache a rencontré un biplan Curtiss à Staten Island, New York, New York

Le premier avion de ligne Douglas DC-3 livré aux Lignes aériennes Trans-Canada, Aéroport de Montréal (Dorval), Dorval, Québec, vers 1945-48. MAEC, numéro de négatif 25515

Un rutilant exemplaire d’un des aéronefs les plus célèbres et importants du 20ème siècle : Le Douglas DC-3 du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada

Le premier avion léger /privé Fleet Modèle 80 Canuck, Fort Erie, Ontario, mars 1946. Cet aéronef appartient à Sturgeon Air Services Limited de Fredericton, Nouveau-Brunswick. MAEC, négatif numéro KM-07962

Enseigner à voler car il a des ailes : L’avion léger / privé canadien Fleet Modèle 80 Canuck

Un Zenair CH-701 fabriqué sous licence par Czech Aircraft Works Společnost s ručenim omezeným, Oshkosh, Wisconsin, juillet 2011. Wikimédia.

Née dans un garage, mais maintenant le monde entier est un marché pour Zenair Limited : Un coup d’œil sur les concepts de l’ère de la Guerre froide de Christophe Jean Heintz, partie 2

Christophe Jean Heintz aux commandes du Heintz Zenith. Anon., « –. » Aviation magazine international, 15 au 31 août 1970, couverture.

Née dans un garage, mais maintenant le monde entier est un marché pour Zenair Limited : Un coup d’œil sur les concepts de l’ère de la Guerre froide de Christophe Jean Heintz, partie 1

Le satellite-ballon Echo 1A au cours d’un essai de gonflement, 1960. National Aeronautics and Space Administration.

Les merveilleux ballons en plomb de Claude Williams Coffee, Junior, Walter Edward Bressette et William J. O’Sullivan : Les satellites-ballons Echo au Québec et ailleurs, Partie 2

Le satellite-ballon Echo 1A filant dans le ciel, au-dessus de l’École normale de Chicoutimi, Chicoutimi, Québec. Dominique Lapointe, « Une visite qui nous est devenue familière – L’Écho 1 continue à se promener tous les soirs sur notre région. » Le Progrès du Saguenay, 27 août 1960, 7.

Les merveilleux ballons en plomb de Claude Williams Coffee, Junior, Walter Edward Bressette et William J. O’Sullivan : Les satellites-ballons Echo au Québec et ailleurs, Partie 1

Un des Found FBA-2 de Georgian Bay Airways Limited. H.L. « Des US et du Canada 2 formules d’avions légers – 1 Le Found ‘Flying Truck.’ » Aviation magazine international, 1er juillet 1964, 39.

Un petit camion volant ontarien déménagé au pays des kiwis : L’avion de brousse Found FBA-2

Le seul et unique Cushioncraft CC1, initialement connu sous le nom de Britten-Norman BN-1 Cushioncraft / CC1 Cushioncraft. Anon., "News Digest - New Cushion-rider." Aviation canadienne, août 1960, 46.

À l’époque, ça semblait être une bonne idée : Les bananes du Cameroun britannique et l’aéroglisseur Cushioncraft CC1

Le seul et unique Canadian Car & Foundry CBY-3 Loadmaster. MAEC, numéro de négatif 17826.

Les huit vies d’un wagon de marchandises volant unique, le Canadian Car & Foundry CBY-3 Loadmaster

La fusée atomique / nucléaire pulsée imaginée par l’illustrateur américain bien connu Francis Xavier Theban Tinsley. Anon., « Publicité – American Bosch Arma Corporation. » Aviation Week, 4 juillet 1960, 13.

Un méchant souffle du passé : Francis Xavier Theban Tinsley et la fusée atomique / nucléaire pulsée

Walter Thomas Leavens examinant les coupes qui entraînent l’agitateur monté à l’intérieur de la trémie de l’avion léger / privé Piper J-5 Cub Cruiser utilisé par Leavens Brothers Air Services Limited. Anon., « Crop Dusting with a Cub. » Canadian Aviation, juillet 1945, 50.

Désherbez-les et récoltez : Leavens Brothers Air Services Limited et les premiers jours de l’aviation agricole en Ontario / au Canada après la Seconde Guerre mondiale

L’Aviateur du Pacifique.

Un roman d’anticipation et de guerre de la Belle Époque : L’Aviateur du Pacifique du capitaine Danrit (Émile Driant)

Le planeur à réaction Fouga CM.8 Cyclone / Sylphe. Anon., “–.” Aviation Magazine, 1er juin 1950, couverture.

J’aime les nuages… les nuages qui passent… là-bas… là-bas… les merveilleux nuages! Les Établissements Fouga et Compagnie et ses planeurs à réaction

La voiturette Sharp / Bond Minicar Mk A présentée à la population de Montréal, Québec, par le concessionnaire Budd & Dyer Limited. Anon., « Jusqu’à 110 milles au gallon. » La Presse, 10 juin 1950, 26.

Une voiturette conçue à une époque d’austérité : La Bond Minicar

Un hydroplaneur Koser / Koser-Hrovat KB-3 Jadran, mer Adriatique, été 1949. En arrière-plan, le navire à passagères et passagers côtier Dalmacija de la firme maritime d’état Jadranska Linijska Providba. Anon., « Gliding and sailplanes in Yugoslavia. » Sailplane and Glider, juin 1950, 125.

Au-dessus des étangs, au-dessus des vallées : L’hydroplaneur Koser / Koser-Hrovat KB-3 Jadran

Le tsar Nikolaï II, à gauche, les mains derrière le dos, regardant les aéroplanes qui ont participé à la Sankt-Peterburgskaya aviatsionnaya nedelya, Saint-Pétersbourg, Empire russe. Anon., « Nouvelles sportives – Le tsar chez les aviateurs. » La Revue aérienne, 10 juin 1910, 349.

Miracle des miracles, regardez ce que l’avion a ramené : La Sankt-Peterburgskaya aviatsionnaya nedelya

Le Danois Jan Bo Kristensen effectuant un atterrissage de précision avec un parachute-voile lors d’une compétition nationale organisée par la Dansk Faldskærms Union, Randers, Danemark, août 2005. Wikipédia.

L’imagination est le plus haut cerf-volant que l’on puisse faire voler : La vie et l’époque d’un maître du vent, Domina Cléophas Jalbert, Partie 2

Domina Cléophas Jalbert, à gauche, et Hamnett Pitzer Munger avec un des ballons cerfs-volants fabriqués par Jalbert Aerological Laboratory Incorporated pour étudier la pollution atmosphérique. Anon., « Ce que devient un jouet d’enfant. » La Presse, 23 mai 1950, 3.

L’imagination est le plus haut cerf-volant que l’on puisse faire voler : La vie et l’époque d’un maître du vent, Domina Cléophas Jalbert, Partie 1

Deux des jeunes employés de Ontario Model Aircraft Company au travail, Toronto, Ontario. Arthur Lowe, « Kindergarten of the Air. » Maclean’s, 1er mai 1940, 24.

Une maternelle pour l’ère de l’aviation : Ontario Model Aircraft Company / Model Craft Hobbies Limited et quelques autres mots sur l’aéromodélisme au Canada avant et pendant la Seconde Guerre mondiale

Le seul et unique Monte-Copter Modèle 15 Triphibian, Seattle, Washington. Anon., « World Air News. » Air Pictorial, mai 1960, 167.

Le jour des triphibes : Monte-Copter Incorporated et l’hélicoptère Modèle 15 Triphibian

Le petit chéri de Vladislav Verner, le Verner W-01 Brouček. Anon., « Private Flying. » Flight International, 14 mai 1970, 806.

Malé letadlo a skvěly příběh / Un petit avion et une grande histoire : L’avion de construction amateur Verner W-01 Brouček

La caisse contenant le Blériot Type XI de Jean Versailles sur le camion hippomobile spécialement équipé de Shedden Forwarding Company Limited, Montréal, Québec. Anon., « Le premier aéroplane à Montréal. » La Presse, 28 mai 1910, 12.

Montréal a son premier aéroplane : Le Blériot Type XI de Jean Versailles et William Carruthers

Personnel au sol chargeant des approvisionnements dans la soute à bombes d'un Avro Lancaster du 514e escadron de la Royal Air Force au cours de l'opération Manna, le largage de nourriture à la population néerlandaise affamée.

Il leur donna le pain du ciel à manger : Quelques mots sur l'opération Manna et l'opération Chowdown, avril-mai 1945

Un garçon et des éléments d’un jouet exposé à l’édition de 1950 de la foire des jouets de New York, New York : Stefan Olsen et la chambre à nuages du Gilbert Atomic Energy Lab. Anon., “Initiation atomique.” Photo-Journal, 13 avril 1950, 20.

Un des jouets les plus dangereux de tous les temps : Le Gilbert Atomic Energy Lab

Un des Aeronautica Macchi AL-60 utilisés au Canada par Northwest Industries Limited pour intéresser des clients potentiels, Edmonton, Alberta. Anon., « Aeronews. » Air Progress, juillet 1969, 15.

Un L-402 sous tout autre nom est encore un L-402 – ou un AL-60 ou un Conestoga ou un Ranger ou un Santa Maria ou un Trojan, à moins qu’il ne soit un Kudu, Partie 2

Le premier prototype du Lockheed L-402. Anon., « Le Lockheed-Azcarate C.L.-402. » Les Ailes, 16 avril 1960, 1.

Un L-402 sous tout autre nom est encore un L-402 – ou un AL-60 ou un Conestoga ou un Ranger ou un Santa Maria ou un Trojan, à moins qu’il ne soit un Kudu, Partie 1

Une des publicités publiées dans des quotidiens québécois pour promouvoir la nouvelle automobile Glas Goggomobil T700. Anon., « Publicité - Eugène Roy Limitée. » La Presse, 1er avril 1960, 39.

À la recherche de… la Glas Isar / Isard T700, une automobile précédemment connue sous le nom de Goggomobil T700

Le traîneau aérien conçu et fabriqué par Kenneth J. Richards. Anon., « Traîneau moderne. » L’Auto, 9 février 1940, 1.

La semaine mystérieuse magique attend pour vous emporter, ou, Est-ce que quelqu’un dans la blogosphère sait quoi que ce soit sur le traîneau aérien Richards ou le traîneau aérien Lawrence?

De gauche à droite, Boum-Boum, Ba-Ba et Bi-Bi, en d’autres mots les Lunours. Anon., “Toute la vérité sur la soucoupe de St-Bruno –Un coup monté de $100,000.” Photo-Journal, 23 février au 1er mars 1970, 1.

Nous sommes Bi-Bi Ba-Ba Boum-Boum: La saga des Lunours

Un exemplaire du turboréacteur suédois STAL Skuten en montre, sous bonne garde, à Stockholm, Suède. Anon., « Production – First Swedish Turbojet Revealed. » Aviation Week, 27 mars 1950, 36.

Un conte de deux moteurs, ou quatre, ou même six : Les STAL Skuten, Dovern et Glan

Frances Marian « Poppy » Northcutt dans une des expositions sur l’espace du Palais de la Découverte, un centre des sciences à Paris, France, pas au Texas. Anon., « Astronautique – ‘Poppy’ à Paris. » Aviation Magazine International, 15 au 31 mars 1970, 42.

Ses parents trouvent qu’elle fait un métier passionnant, mais ils aimeraient qu’elle se marie : Frances Marian « Poppy » Northcutt à la NASA et au-delà

Turi Widerøe parlant avec une agente de bord dans un avion de ligne à réaction Sud Aviation SE 210 Caravelle de Scandinavian Airlines System Denmark-Norway-Sweden. J.-C Fortin. « SAS ne compte qu’une seule femme pilote de ligne : Turi Wideroe. » Le Petit Journal, 1er mars 1970, 28.

Turi Widerøe est passée en coup de vent à Montréal l’autre jour

Quelques aspects de la quatrième exposition d’automobiles et de bateaux de Montréal. Anon., « Ouverture de l’exposition d’automobiles et de yachts. » La Presse, 28 mars 1910, 1.

Une semaine au Coliseum : L’exposition d’automobiles et de bateaux de Montréal de 1910 et les premiers aéroplanes en exposition au Québec / Canada

La docteure Margaret Beznak avec un de ses sujets de recherche. Elizabeth Motherwell, « Elle succède à son mari à la tête de la faculté de physiologie de l’U. d’Ottawa. » La Tribune, 3 février 1960, 17.

Un exemple stellaire de la contribution faite par les gens qui choisissent le Canada : Quelques mots sur la vie et l’époque de la docteure Margaret Beznak

Les sœurs Maria Cleofas et Maria Innocenza des Sœurs franciscaines de Saint-Louis de Gonzague à bord d’un avion léger / privé AVIA / Lombardi FL.3 au cours de leur formation de pilote, Turin, Italie. Anon., « Le ciel leur appartient. » Le Soleil / Perspectives, 20 février 1960, 12.

Sœur Bertrille n’est pas la première sœur volante, ou, Parlons des sœurs Maria Cleofas et Maria Innocenza – et de sœur Mary Aquinas aussi

Le Bellanca CH-300 Pacemaker du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada à Ottawa, Ontario, vers 2007. Wikipédia.

Si loin de chez lui : Le Bellanca CH-300 Pacemaker du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, Partie 2

Un Bellanca CH-300 Pacemaker utilisé par Alaska Coastal Airlines, Incorporated, Juneau, Alaska. Cet hydravion à flotteurs est maintenant exposé au Musée de l’aviation et de l’espace du Canada à Ottawa, Ontario. Keith Petrich, “Bush Flying Is Dead.” Air Trails Pictorial, février 1945, 26.

Si loin de chez lui : Le Bellanca CH-300 Pacemaker du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, Partie 1

Une voiturette New-Map / Rolux Baby typique. Anon., « La voiturette ‘Baby VB-60’ à Québec au milieu de février. » L’Action catholique, 14 janvier 1950, 12.

La voiture qui est plus économique que le tramway : La voiturette New-Map / Rolux Baby

Charles Aznavour avec le véhicule tout-terrain Beehoo / Magna Amphicat qu’il examine, Montréal, Québec. Sa fille Seda est près de lui. Suzanne Piuze, « Aznavour m’a dit… » La Patrie, 25 janvier 1970, 20.

J’aimerais en posséder une; son mon bateau, ce serait épatant : Le voyage hors route du Beehoo / Magna Amphicat

L’habitat lunaire imaginé par Rocco G. « Roy » Scarfo. Anon., « C’est écrit dans le ciel. » La Patrie du dimanche, 24 janvier 1960, 6.

Il était un des grands : Rocco G. « Roy » Scarfo, peintre de l’espace, et le monde au-delà de demain

Démonstration de la légèreté du turboréacteur Williams Jet No.1. Anon., « 23-lb Turbojet Develops 70 lb. Of Thrust. » Aviation Week and Space Technology, 18 janvier 1960, 126.

Ce moteur est peut-être un peu lourd mais son sourire demeure toujours : Le Williams Jet No. 1 et ses successeurs

L’avion de ligne General Development / Christmas, près de New York, New York. Anon., “Potężny łoskot silników powietrznych gigantów powitał rok nowy.” Lot Polski, janvier 1930, 1.

Le puissant rugissement des moteurs des géants des airs saluent la nouvelle année : La troublante saga de William Wallace Whitney Christmas

Quelques actrices et acteurs ayant contribué au succès de la série télévisée de science-fiction québécoise Opération-Mystère, 1958. De gauche à droite, Luce Guilbeault, Marcel Cabay, Georges Groulx, Louise Marleau et Hervé Brousseau. Société Radio-Canada.

Opération-Mystère, une série télévisée qui répond aux goûts de la génération des spoutniks et des soucoupes volantes

Le pont en aluminium d’Arvida, Arvida / Saguenay, Québec. Anon., « Premier pont tout en aluminium. » Le Petit Journal, 4 décembre 1949, 51.

Sur le pont d’Arvida, un site historique national de génie civil, on y danse, on y danse

Le Piaggio P-7 au repos dans son élément. Joaquin de la Llave y Sierra, « Antes y después de la Copa Schneider. » Aérea, décembre 1929, 8.

Si vous ne réussissez pas du premier coup, essayez, essayez, essayez, essayez, essayez encore : L’étrange histoire du Piaggio P-7

Une affiche du film de science-fiction japonais Uchû Daisensô

Uchû Daisensô, ou, Une bataille dans l’espace extra-atmosphérique en provenance du pays du Soleil levant

La toute première automobile / voiturette Zar Zar-Car, Windsor, Ontario. Arthur Prévost, « La première auto entièrement canadienne bientôt en vente! » Le Petit Journal, 25 octobre 1959, 67.

À la recherche d’une voiture canadienne : La Zar de toutes les Windsor

L’astrophysicienne soviétique Alla Genrikhovna Masevitch et sa fille, Natasha Josifovna Friedlander. Sam Schecter, “Deux Canadiens en Russie – Rencontres avec l’élite russe.” Le Soleil / Perspectives, 26 septembre 1959, 11.

Son nom est Masevitch, Alla Genrikhovna Masevitch

L’ornithoptère University of Toronto Institute for Aerospace Studies Great Flapper au cours d’essais, Malton, Ontario, 2005. http://www/ornithopter.net

Voler, comme dans un rêve : La saga du Great Flapper

Beth Ross posant pour un photographe alors qu’elle nettoie le fragment principal de la chondrite de Dresden devant le bureau de The Dresden News. Anon., “Adding lustre to meteor that startled a province.” Toronto Daily Star, 13 juillet 1939, 1.

L’art de la négociation en Ontario rural; ou, La triste histoire de la chondrite de Dresden

L’ingénieur canadien Owen Eugene Maynard avec une maquette du véhicule lanceur Convair Atlas surmonté d’une capsule spatiale McDonnell Mercury, 1962. Roger Nadeau, « Une foule de techniciens canadiens ont pris part au vol d’Apollo 11. » Le Petit Journal, 20 juillet 1969, 4.

Le petit gars de Sarnia qui a mis le premier humain sur la Lune

Le premier Taylor J.T.1 Monoplane, White Waltham, Angleterre. Anon., « Sport and Business. » Flight, 19 juin 1959, 839.

Tinker, Taylor, monoplan

Trois des interprètes du téléroman Amour, délices et cie, avec son concepteur, Joseph Louis Réal Giguère, Montréal, Québec. François Piazza, « Sur les ailes de Télé-Métropole – Amour, délices et cie s’envole. » Photo-journal, du 18 au 25 juin 1969, 44.

Amour, délices et cie

Un prototype du traîneau aérien Kamov Sever-2 dans son élément. Anon., « ’Mail Train’ to North. » The Gazette, 26 mars 1959, 2.

Oh quel plaisir de faire une promenade dans un Kamov Sever-2

La voiture concept SIMCA Fulgur. Aux commandes se trouve la parachutiste et mannequin française Colette Duval. Anon., « Actualités. » La Patrie du dimanche, 1er mars 1959, 2.

Elle est fulgur, fulgur, fulgur, fulgurable

La montgolfière Spirit of Canada. Peter Calamai, “Lots of hot air and a high old time.” Canadian, 26 août 1967, 14.

Ce merveilleux fou volant et sa drôle de machine

La section de route surveillée par le radar de vitesse de la Connecticut State Police, près de Glastonbury, Connecticut. Anon., “L’actualité en images – Pièges à comboys.” La Patrie, 16 février 1949, 14.

Les pièges à cowboys ne datent pas d’hier

Cecil George Armitage aux commandes d’un Aérodoo, rivière Richelieu, Québec, novembre 1968. Anon., « Et maintenant… l’Aérodoo. » Vallée de la Petite Nation, 30 janvier 1969, 15.

Le candidat mancunien; ou, comment flotter près du sol avec la plus grande facilité

Quelques membres de la Ligue des avions miniatures de Montréal en train d’examiner le modèle réduit radiocommandé alors en construction. Christian Verdon, « Avion-miniature contrôlé par la radio. » La Patrie, 7 janvier 1939, 44.

Une ligue à eux: L’histoire longtemps oubliée de la Ligue des avions miniatures de Montréal

Une affiche du film From the Earth to the Moon, la version originale anglaise de De la Terre à la Lune

Jules Gabriel Verne n’aurait pas été amusé : De la Terre à la Lune

Une image du générique de CF-RCK.

Une série télévisée captivante : CF-RCK, Partie 2

Les principaux comédiens de la série télévisée CF-RCK de la Société Radio-Canada, Yves Létourneau (à droite) et René Caron. Anon., « Une scène de CF-RCK avec René Caron et Yves Létourneau. » La semaine à Radio-Canada, du 2 au 8 janvier 1960, couverture.

Une série télévisée captivante : CF-RCK, Partie 1

Le chargement de Voo-Doo, le Waco Hadrian utilisé lors du premier vol transatlantique par un planeur de transport, Aéroport de Montréal (Dorval), Dorval, Québec, juin 1943. Anon., “Flying into focus”. Flying Aces, octobre 1943, 7.

C’est magnifique. C’est splendide. C’est inutile.

L’animateur de l’émission de télévision hebdomadaire Plein Ciel à droite, et son conseiller technique, le capitaine Marcel Everard. Anon., “Introduction à l’aviation.” La semaine à Radio-Canada, 29 novembre au 5 décembre 1958, 12.

Une émission de télévision que j’aurais aimé voir dans ma jeunesse

Envol du ballon à hydrogène qui emporte vers le ciel l’antenne de l’émetteur radio d’urgence américain BC-778, mieux connu sous le nom de « Gibson Girl. » Anon., « Gibson Girl to the rescue. » Flying Aces, septembre 1943, 30.

L’imitation est la plus belle forme de flatterie

The very first Pentecost Hoppi-Copter. Anon., “Have you seen?” Flying, September 1945, 67.

Une idée venue d’une époque où le ciel est la limite, Partie 2

A l’arrière, le Rohrbach Ro VIII Roland d’Iberia, Compañía Aérea de Transportes Sociedad anónima utilisé pour le vol Madrid-Barcelone du 14 décembre 1927. Anon., “Inauguración del nuevo servicio aéreo Madrid-Barcelona.” Aérea, octobre-décembre 1927, 33.

Jamais le dimanche : La grande histoire d’un Roland ibérien, Partie 1

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Le Mikoyan-Gourevitch MiG-15 de la Wojska Lotnicze piloté par le second lieutenant Franciszek Jarecki, aérodrome de Rønne, Rønne, Danemark. Jarecki est le gentilhomme marqué par une flèche. Anon., « Undamaged Red Jet in NATO Hands. » The Gazette, 7 mars 1953, 2.

Un vol pour la liberté qui a percé le rideau de fer; ou, Le jour où le second lieutenant Franciszek Jarecki s’est échappé de Pologne à bord d’un chasseur à réaction Mikoyan-Gourevitch MiG-15

Le prototype du Astro Kinetics Lift de Astro Kinetics Corporation, Houston, Texas. Anon., « Aircraft and Powerplants – Crane version of ‘flying saucer’ projected in U.S.A. » The Aeroplane and Commercial Aviation News, 7 mars 1963, 24.

« Regardez! Là-haut dans le ciel! C’est un oiseau! C’est un avion! C’est une soucoupe volante texane! » Astro Kinetics Corporation de Houston, Texas, et ses aéronefs à décollage et atterrissage verticaux à l’allure unique

Le Canadair Silver Star du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, Ottawa, Ontario, juin 2005. Cet aéronef est piloté par le Red Knight, ou chevalier rouge, le pilote de voltige solo de l’Aviation royale du Canada, en 1961-64. Alain Rioux, via Wikimedia.

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Le ministre de la Défense nationale du Canada, Brooke Claxton, à gauche, avec le premier avion d’entraînement à réaction Lockheed T-33 Silver Star fabriqué au Canada, Cartierville, Québec. Anon., « M. Claxton reçoit le premier réacté T-33 fabriqué ici. » La Patrie, 13 février 1953, 1.

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Un dispositif de dégivrage de piste de Woolery Machine Company en action à l’aéroport de Cologne-Wahn, Cologne, Allemagne de l’Ouest. Anon., « Ancillary Review – Flame-throwing – On Ice. » The Aeroplane and Commercial Aviation News, 28 février 1963, 29.

Allez, PB, allume mon feu. Essaie de mett’ la glace en feu : Un coup d’œil sur la firme américaine Woolery Machine Company et sur certaines de ses idées et produits

L’avion de brousse Junkers Ju 52 immatriculé CF-ARM de Canadian Airways Limited de Montréal, Québec, lac Manouane, Québec, août ou septembre 1940. MAEC, 13469.

Les vieux avions de brousse ne meurent jamais, ils ne font que s’effacer doucement : Quelques lignes, d’accord, plusieurs lignes sur la remarquable carrière d’un « cargo volant / wagon volant » Junkers Ju 52 nommé CF-ARM, partie 3

L’avion de brousse Junkers Ju 52 immatriculé CF-ARM de Canadian Airways Limited de Montréal, Québec, en réparation, Arviat, Nunavut (Eskimo Point, Territoires du Nord-Ouest), septembre 1932. MAEC, 1208.

Les vieux avions de brousse ne meurent jamais, ils ne font que s’effacer doucement : Quelques lignes, d’accord, plusieurs lignes sur la remarquable carrière d’un « cargo volant / wagon volant » Junkers Ju 52 nommé CF-ARM, partie 2

L’avion de brousse Junkers Ju 52 immatriculé CF-ARM de Canadian Airways Limited de Montréal, Québec. Anon., « Pionnier des transports lourds dans le nord du Canada, le ‘Cargo volant’ a fini sa carrière. » Photo-Journal, 29 janvier 1948, 2.

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Le sergent Bob Electro de l’Aviation royale du Canada (ARC) pris en flagrant délit de salut au commandant de la Base de l’ARC de Clinton, le colonel d’aviation John Gordon Mathieson, Clinton, Ontario. Anon., « Six-Year-Old Sergeant. » The North Bay Nugget, 7 janvier 1963, 15.

Dōmo arigatō, gunsō Electro, mata au hi made : Les aventures électroniques du sergent Bob Electro de l’Aviation royale du Canada et des Forces armées canadiennes

Le simulateur d’impact en vol de 10 pouces du Conseil national de recherches du Canada à un moment donné de sa longue carrière, Uplands / Ottawa, Ontario. CNRC.

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Un avion de brousse, le DHC-2 Beaver de la de Havilland Canada, exposé au Musée de l’aviation et de l’espace du Canada. Un nouveau panneau interprétatif a été installé devant l’aéronef : une structure grise dotée de panneaux latéraux aux tons de bois et de supports en métal foncés. Sa surface rétroéclairée précise le nom de l’aéronef, et on y trouve une sélection d’images et des textes interprétatifs. Une installation grandeur nature montre un quai, à droite, suivi d’un autre aéronef et de son panneau.

Des changements qui sautent aux yeux : nouvelles sur les « mises à jour discrètes »

Le simulateur d’impact en vol de 3.75 / 3.5 pouces du Conseil national de recherches du Canada à un moment donné de sa longue carrière, Uplands / Ottawa, Ontario. CNRC.

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