Skip to main content
Ingenium Logo

You are leaving IngeniumCanada.org

✖


This link leads to an external website that Ingenium does not control. Please read the third-party’s privacy policies before entering personal information or conducting a transaction on their site.

Have questions? Review our Privacy Statement

Vous quittez IngeniumCanada.org

✖


Ce lien mène à un site Web externe qu'Ingenium ne contrôle pas. Veuillez lire les politiques de confidentialité des tiers avant de partager des renseignements personnels ou d'effectuer une transaction sur leur site.

Questions? Consultez notre Énoncé de confidentialité

Ingenium Le réseau

Langue

  • English
Search Toggle

Menu des liens rapides

  • Sites Ingenium
  • Magasiner
  • Donner
  • S'abonner
Menu

Main Navigation

  • Explorer
    • Catégories
    • Types de médias
    • Tableaux
    • Articles vedettes
  • À propos
    • À propos du Réseau
    • Nos partenaires

Dans les coulisses : Faites la connaissance d’une apicultrice du Musée de l’agriculture et de l’alimentation du Canada

Share
4 m
20 mai 2021
Catégories
Agriculture
Catégories
Nourriture
Médias
Article
Profile picture for user Sonia Mendes
Par : Sonia Mendes
Ingenium – Musées des sciences et de l’innovation du Canada
A woman wearing a protective jumpsuit crouches next to a beehive.

Nadine Dagenais Dessaint est l’apicultrice principale du Musée de l’agriculture et de l’alimentation du Canada, qui abrite une ruche d’observation. Mme Dagenais Dessaint gère aussi des abeilles mellifères chez elle et vend son propre miel dans la région. Le Réseau Ingenium s’est entretenu avec Mme Dagenais Dessaint pour démystifier son engouement pour l’apiculture.                                             

A close-up image shows dozens of honeybees clustered on a piece of yellow honeycomb.

Réseau Ingenium (RC) : Quand avez-vous adopté l’apiculture?

Nadine Dagenais Dessaint (NDD): J’ai adopté l’apiculture il y a près de 10 ans, lorsque j’ai commencé à travailler sur l’exposition sur les abeilles ici, au Musée. Je faisais des lectures sur les abeilles mellifères et l’apiculture pour me préparer en vue de l’exposition. Plus je lisais sur le sujet, plus je trouvais cela intéressant, alors je me suis dit « Bon, pourquoi ne pas essayer! » J’ai alors acheté mes deux premières colonies et je suis une passionnée depuis ce temps.      

RC: Que préférez-vous dans l’apiculture?          

​​​​​​​NDD: Il y a tellement de choses géniales! Toutes les fois où je me rends dans le rucher, j’éprouve un peu d’excitation. Je me demande toujours ce que je vais découvrir. Je vois toujours des choses que je n’avais encore jamais vues. Je ne travaille pas contre les abeilles, car nous sommes partenaires. Je vais les aider et, en échange, je recueille une partie du miel. 

Elles sont tellement mignonnes et adorables. J’aime déplacer les cadres et les admirer, les regarder danser. Il y a des gens qui aiment regarder des vidéos de chats et jouer avec leur chat, mais pour moi, c’est comme jouer avec mes abeilles. En quelque sorte, c’est un passe-temps et c’est très amusant. Je pourrais juste m’asseoir devant la ruche et les regarder aller et venir. 

A close-up of two bees hovering in the air; they are about to land on the side of a beehive amongst a cluster of other bees.

RC : Quand vous avez décidé de vous lancer dans cette aventure, avez-vous suivi une formation?

NDD : J’ai suivi un cours au Collège Algonquin, mais je pense qu’en ayant fait autant de lecture sur l’apiculture – je dois avoir lu plus d’une douzaine d’ouvrages sur le sujet – j’avais déjà la majeure partie des connaissances dont j’avais besoin. En fait, j’ai acheté mes deux premières colonies avant même ma première visite dans un rucher! J’avais aussi un cercle d’apiculteurs que je pouvais appeler et je connaissais même un inspecteur d’abeilles de la région. Durant ma première année d’apiculture, j’ai dû composer avec un problème de couvain plâtré, une infection fongique qui transforme les larves d’abeilles en une substance qui ressemble beaucoup à de la craie. Je me souviens avoir téléphoné à l’inspecteur pour avoir des conseils sur la façon d’enrayer cette maladie. 

RC : Que portez-vous lorsque vous allez vous occuper de vos ruches?

NDD : Je porte toujours une combinaison apicole avec un voile pour me protéger contre les piqûres d’abeilles. Je porte aussi des gants lorsque les abeilles sont très agressives, mais sinon, je préfère ne pas en porter. C’est plus difficile de soulever les cadres ou de sentir les abeilles avec des gants. Sans mes gants, je sens les abeilles sous mes doigts. Si je risque d’en écraser une, elle m’envoie habituellement un message avant de me piquer. Elle vibre et elle bourdonne. Croyez-moi, c’est un avertissement que je prends très au sérieux! 

RC : Avez-vous peur de vous faire piquer?

NDD : Plus maintenant. Au cours de ma 2e année d’apiculture, j’ai développé des allergies au venin des abeilles mellifères et j’ai eu une réaction anaphylactique. J’avais des démangeaisons dans la paume des mains et sur le cuir chevelu, mes lèvres et ma langue ont enflé et mon rythme cardiaque était rapide. Comme on se fait souvent piquer, les apiculteurs finissent souvent par développer des allergies au venin des abeilles. 

Heureusement, les allergies aux abeilles mellifères sont parmi les plus faciles à contrôler. On peut se faire désensibiliser au moyen d’injections de venin d’abeille chez l’allergologue et acquérir une tolérance au fil du temps. C’est ce que j’ai fait. 

A person wearing protective gear lifts up the top of a bee hive; hundreds of bees are visible inside.

Je sais maintenant que je peux subir cinq piqûres sans problème. C’est ma limite. Avant, j’allais dans le rucher en short, en camisole et en sandales. J’avais trop chaud dans une combinaison d’apiculteur et les piqûres ne m’incommodaient pas, mais maintenant, je porte ma combinaison. Je ne prends plus de risques. 

RC : Quelles sont les principales responsabilités de l’apiculteur?

NDD : En bref, garder les colonies vigoureuses et en santé, pour qu’elles puissent produire beaucoup de miel et survivre à l’hiver.   

RC : Comment y arrivez-vous?

NDD : Je vais dans mon rucher toutes les deux semaines, de mars à octobre. Au printemps, je m’assure que mes colonies ne manquent pas de nourriture, surtout si le printemps est froid et humide. Je peux leur donner de l’eau sucrée et les traiter contre les maladies s’il y a lieu. Dès que les colonies sont assez robustes, habituellement vers le mois de juin, je commence à ajouter cadres de miel, les boîtes où les abeilles entreposent leurs surplus de miel. Si j’attends trop longtemps, la colonie risque d’essaimer. L’essaimage se produit lorsqu’une ruche devient trop chargée et que la reine n’a plus de place pour pondre ses œufs. Les ouvrières élèvent de nouvelles reines et la vieille reine va partir avec de nombreuses ouvrières pour démarrer une nouvelle colonie ailleurs. L’essaimage est un réflexe naturel pour les abeilles. C’est de cette façon que les colonies d’abeilles mellifères se multiplient, mais ce n’est pas bon pour nous, les apiculteurs. Les colonies qui essaiment produisent beaucoup moins de miel, alors pour empêcher l’essaimage des abeilles, j’ajoute ces cadres de miel dès qu’ils deviennent nécessaires. 

Quand je me rends dans mon rucher, je peux procéder à une inspection complète et écarter tous les cadres de la ruche pour bien les vérifier, un par un. Je fais cela de temps en temps, si les abeilles ont un comportement suspect, comme si elles s’apprêtent à essaimer, si elles ont essaimé, si elles n’ont pas de reine ou si elles présentent des signes de faiblesse ou de maladie. Mais habituellement, je ne fais que soulever le couvercle intérieur pour regarder à l’intérieur du cadre de miel du haut, pour voir si elles ont besoin d’une autre boîte. 

Voilà les tâches principales jusqu’en septembre. C’est alors que j’enlève les derniers cadres de miel. Par la suite, mon travail consiste à m’assurer que les abeilles ont assez de nourriture pour survivre à l’hiver. Je traite chaque colonie pour prévenir les maladies et j’isole les ruches avant qu’il se mette à faire trop froid. Le reste leur appartient.

A close-up image of a bee hive; a person standing next to the hive uses equipment to tend to the bees.

RC : Quelle est la charge de travail en comparaison avec les autres responsabilités de la vie agricole?

NDD : En comparaison avec les autres animaux de ferme, les abeilles mellifères ne nécessitent pas beaucoup de soins. Elles n’ont pas besoin d’être nourries, abreuvées ou nettoyées quotidiennement. Cela dit, elles ont tout de même besoin de certains soins. Elles peuvent tomber malades, perdre leur reine, avoir besoin de plus d’espace ou avoir besoin qu’on les nourrisse au début du printemps et à la fin de l’automne. Sauf durant l’hiver – car il n’y a rien que je puisse faire pour mes abeilles en hiver – je ne peux jamais décider de partir en vacances pour un mois. Du printemps à l’automne, je dois visiter mon rucher au moins toutes les deux semaines.

Il y a beaucoup de connaissances scientifiques et de connaissances générales à maîtriser pour être un bon apiculteur. Si on ne fait que se dire « Je vais installer une ruche dans ma cour, ce sera génial et je n’aurai qu’à recueillir le miel », c’est un peu simpliste. La réalité est plus compliquée que cela. On pourrait toujours faire cela durant un an, mais on risquerait de ne plus avoir d’abeilles l’année suivante. Le défi est de les garder vivantes.                                                   

Du point de vue des capacités physiques, ce n’est pas pour tout le monde. Un cadre de miel plein pèse environ 23 kg (50 lb). Pensez-y : je dois le ramasser et il est couvert d’abeilles. J’ai trouvé des façons de m’en sortir, mais c’est vraiment lourd. Et il y a bien des cadres que je dois soulever au-dessus de ma tête, alors c’est facile de s’éreinter. C’est à ce moment-là que j’ai besoin de l’aide de mon mari ou de mes fils.                             

RC : Les abeilles ont-elles tendance à vouloir protéger le miel quand vous allez le recueillir?

NDD: Cela dépend. Si je recueille le miel en juillet, les abeilles sont assez décontractées durant cette période. Elles sont occupées. Elles ne me verront peut-être même pas partir avec les cadres de miel.

Par contre, à la fin août, c’est une autre histoire. Les abeilles deviennent très agressives et protectrices de leur récolte de miel. Elles ne veulent plus partager. Elles essaiment sur les cadres de miel dès que je les retire des ruches et c’est très difficile de chasser les abeilles des boîtes. Elles savent que la saison tire à sa fin et elles deviennent très protectrices de leur récolte.
Il y a un autre problème avec lequel il faut composer durant la deuxième récolte : les guêpes. En début de saison, il n’y en a pas beaucoup, mais c’est à la fin de l’été que les colonies de guêpes ont le plus de vigueur. Elles essaient d’entrer dans les ruches pour voler du miel. Les abeilles deviennent alors plus agressives et protectrices. Alors c’est la partie que j’aime le moins – ramasser les cadres de miel. C’est à ce moment-là que je subis le plus de piqûres.

RC : Comme citoyens, que peut-on faire pour aider les abeilles mellifères?

NDD : Toutes les abeilles sont en difficulté, surtout les abeilles indigènes, comme le bourdon et l’abeille maçonne. 

Si vous voulez aider les abeilles – toutes les abeilles – nourrissez-les. Laissez pousser les pissenlits, le trèfle, le lierre terrestre et la verge d’or dans votre pelouse ou sur votre terrain. Choisissez des fleurs qui produisent du nectar et du pollen. J’ai été étonnée d’apprendre de de nombreuses variétés de tournesols ne produisent pas de pollen. Ces plantes ne sont d’aucune utilité pour les abeilles. 
Vous pouvez aussi acheter du miel produit localement. Cela aide les apiculteurs de votre région, comme moi, à prendre soin de nos abeilles… et les abeilles mellifères pollinisent les plantes dans votre région, ce qui est bon pour la biodiversité.

Mots-clés
abeilles, beekeeping
Auteur(s)
Profile picture for user Sonia Mendes
Sonia Mendes
Suivre

Sonia Mendes est la rédactrice/réviseure anglophone pour Ingenium. Elle adore fouiller en coulisse pour raconter les histoires cocasses et colorées de la vie au musée ainsi que tout ce qui touche la science et l’innovation.

D’autres histoires par

Profile picture for user Sonia Mendes
Sonia Mendes
Ingenium – Musées des sciences et de l’innovation du Canada
Le lauréat Jackson Weir est posé debout devant un gros mur de marbre portant l’inscription « Harvard Medical School ». À l’arrière-plan, on aperçoit un arbre et la façade d’un édifice.

Compte à rebours : Les mises en candidature aux prix Horizon STIAM prendront fin bientôt

Un gros plan sur deux jeunes personnes portant des lunettes de protection dans un milieu évoquant un laboratoire. La personne au premier plan tient un bécher en verre rempli d’un liquide bleu.

Le programme de prix Horizon STIAM cherche des jeunes passionnés de sciences et inspirants

Deux créations en pain d'épice et en sucre sont représentées sur un fond sombre; une maquette du télescope spatial James Webb est au premier plan et la fusée Ariane 5 est visible à l'arrière-plan.

Un temps des fêtes au goût de pain d’épice au Musée de l’aviation et de l’espace du Canada

Debout devant les imposantes roues en fer d’une locomotive, trois femmes vêtues d’un manteau et d’un foulard sourient à la caméra.

Dans les coulisses : Voici l’équipe des expositions itinérantes d’Ingenium

 d’une dentiUn modèle de ciretion jaunie et disgracieuse semble suspendu dans les airs contre un fond foncé.

Histoires de dents : cinq artefacts directement sortis de vos cauchemars dentaires

Illustration de deux mains tenant une tablette, sur l’écran de laquelle figurent un livre ouvert et des icônes à caractère scientifique, comme une ampoule, un microscope et une fusée.

La Semaine de la culture scientifique : la science au cœur de notre quotidien

La surface de la Lune, parsemée de cratères de différentes tailles.

Une mission d’entraînement des astronautes atterrit au Labrador

Une jeune femme sourit à la caméra en posant à côté de la silhouette de l’astronaute canadien David Saint-Jacques découpée dans du carton.

Mois du patrimoine asiatique : entretien avec Ruth Hwang

Une jeune femme souriante est assise à un bureau avec un ordinateur potable ouvert devant elle. Le logo de l’Agence spatiale canadienne est visible à l’écran du portable.

Mois du patrimoine asiatique : entretien avec Anna Jee

Une jeune femme sourit à la caméra, vêtue d’une longue robe traditionnelle vietnamienne blanc et rose éclatant.

Mois du patrimoine asiatique : entretien avec Linda Dao

Sur l’image traitée graphiquement, la tête d’une jeune personne aux yeux écarquillés semble ouverte. Des gribouillis et un éclair blancs ont été dessinés à la main sur la partie supérieure de la tête.

L’Odyssée des sciences 2021 : les musées d’Ingenium proposent des expériences virtuelles inspirantes

Un jeune homme portant un masque se tient debout à une table sur laquelle deux boîtes de cèdre sont empilées. Au moyen d’une griffe à fleurs, il creuse ce qui ressemble à de la terre dans la boîte du dessus. Derrière lui dans l’atelier, on voit des planches de bois et une scie électrique.

The Box of Life : une boîte grouillante de vie pour un jardin fertile

Une femme en sarrau blanc affiche un grand sourire à la caméra. Elle est debout dans un laboratoire, devant une rangée de pots et de récipients étiquetés posés sur une étagère.

Les voix noires en STIM : Un entretien avec Dre Juliet Daniel

Une femme portant un casque d’astronaute tient un lapin devant la caméra d’un ordinateur portable ouvert devant elle. Grâce à la vidéoconférence, des visages d’enfants sont visibles à l’écran de l’ordinateur.

Au milieu de toutes les restrictions imposées par la pandémie, les sorties scolaires virtuelles apportent une bouffée d’air frais

On voit une voiture de course blanche avec des accents bleu foncé et dorés dans un environnement extérieur paisible et les rayons du soleil qui brillent à travers les arbres. Le mot « Ford » est visible en énormes lettres sur le pare-brise.

En avant les moteurs! Une Ford GT Mk II est maintenant exposée à Ottawa

Une femme portant des gants mauves regarde la bouteille de verre remplie d’eau qu’elle tient.

La vie sur Mars ? Une eau vieille d'un milliard d'années trouvée près de Timmins pourrait offrir un aperçu du passé

Un groupe de personnes se tenant debout à l’extérieur observent un petit avion blanc larguer des bonbons et des cadeaux tandis qu’il survole la foule.

Une légende vivante : Dire au revoir à la douce tradition de Johnny May

Une jeune fille portant une chemise blanche et des lunettes de protection tient une éprouvette remplie d’un liquide vert. Les mots « Prix Horizon STIAM Ingenium-CRSNG » sont écrits en blanc sur l’arrière-plan vert lime de la photo.

Avis de recherche : jeunes esprits parmi les plus doués au Canada

Une jeune femme sourit alors qu'elle se tient à côté d'un gros hélicoptère qui est stationné dans l'herbe.

Initiative Femmes en STIM : entretien avec Jasmine Shaw

Une jeune femme vêtue d’un polo bleu marine sourit, debout à côté d’un mannequin portant un maillot noir. À l’arrière-plan se trouvent un ordinateur et divers équipements disposés sur des étagères.

Initiative Femmes en STIM : entretien avec Linda Dao

A young woman wearing a lab coat, mask, and gloves sits in a laboratory. An array of bottles and equipment is visible on the counter in front of her.

Initiative Femmes en STIM : entretien avec Crystal McLellan

Deux épinglettes du jour du Souvenir sont posées côte à côte sur une surface en bois. Une épinglette à coquelicot rouge est posée à côté d'une épinglette en forme de ruban doré qui porte l'emblème d'un pigeon.

Les animaux en temps de guerre : Des héros de guerre peu probables ont pris leur envol

Une jeune femme vêtue d’un blazer bleu est assise à un bureau blanc. Deux ordinateurs portables et plusieurs livres sont ouverts devant elle; elle regarde l’un des écrans.

Initiative Femmes en STIM : entretien avec Cecilia Odonkor

Une grande maison brune avec une véranda la ceinturant est entourée d’arbres.

Vous pourriez posséder la maison des horreurs du « Silence des agneaux »

Une jeune femme portant une blouse de laboratoire blanche et des gants de caoutchouc bleus travaille assise dans un laboratoire; plusieurs outils sont disposés devant elle.

Initiative Femmes en STIM : entretien avec Micaela Gray

Une jeune femme souriante est debout à son poste de travail; devant elle se trouvent un ordinateur, un écran, un cahier de notes ouvert et un stylo.

Initiative Femmes en STIM : entretien avec Jillian Anderson

Une bannière horizontale présente le visage de cinq Canadiennes dans un style esquissé au crayon. Les mots « Mois de l’histoire des femmes – octobre 2020 » sont visibles dans le haut de la bannière.

Le Mois de l’histoire des femmes célèbre un Canada plus inclusif

Un plan d’ensemble d'une galerie à l'intérieur du musée du chocolat Lindt Home of Chocolate, présentant des murs blancs, des sols en marbre blanc et une fontaine de chocolat massive. Quelques personnes sont debout et assises autour de la fontaine et la regardent.

Lindt ouvre le plus grand musée du chocolat au monde

Un dessin de style bande dessinée représente des livres, des fleurs et des animaux. Une grande lettre « B » représente le thème de la biodiversité. Les mots « Du 21 au 27 septembre 2020 » sont visibles dans le coin inférieur droit de l'image.

La semaine de la culture scientifique offre des possibilités d’apprentissage en ligne

Des tartes au beurre sur un plateau d'argent; un petit drapeau canadien est inséré dans la tarte au beurre supérieure.

Baskin Robbins ramène sa crème glacée à saveur de tartelettes au beurre et c'est tellement canadien

 L'astronaute Chris Hadfield, portant une combinaison spatiale blanche et un casque.

7 conseils d'un astronaute pour maîtriser le travail à distance

Une peinture religieuse de la Vierge Marie, entourée d'anges.

Les experts réclament une réglementation après la dernière restauration bâclée de l'art en Espagne

Une peinture colorée représentant deux locomotives sur une voie ferrée, avec un ciel bleu en arrière-plan. Les mots « Visit our great exhibit – Steam: A World in Motion » sont visibles au-dessus.

Artefacts artistiques : un adolescent exploite sa créativité pour maintenir le lien avec son musée préféré

Une paire de chaussons de pointe en satin rose est posée sur le plancher, devant un fond noir.

Les danseurs du Ballet de l’Opéra de Paris remercient les travailleurs clés avec une vidéo spécialement chorégraphiée

Red and white tulips are in full bloom under a blue sky; the Peace Tower of Parliament Hill is visible in the background.

Le festival virtuel des tulipes commémore le rôle du Canada dans la libération des Pays-Bas

Un tableau représentant un lac, avec des arbres et des montagnes en arrière-fond

Que fait le Groupe des Sept dans un musée de sciences et de technologie?

Représentation en 3D du virus de la COVID-19 sur fond noir.

Une nouvelle technologie de radiodiagnostic mise au point à Waterloo au secours des patients atteints de la COVID-19

Une photo noir et blanc montre une équipe de jeunes hockeyeurs qui prennent la pose sur une patinoire avec leur bâton de hockey.

Un siècle d’avance : portrait de l’évolution du bâton de hockey depuis 1920

Un écran d’ordinateur affiche 14 personnes participant à un café-causerie vidéo sur ZOOM.

Semaine nationale de l’action bénévole : Les bénévoles d’Ingenium restent en contact malgré la COVID-19

Carte de France

Le confinement lié au coronavirus fait chuter la pollution en Europe

A mother reaches out to comfort a distressed little girl as they sit together in a living room.

Veiller sur le bien-être psychologique des enfants durant la pandémie

Une jeune fille devant un microphone, regardant un grand écran affichant le visage d’un avatar féminin bleu.

Les visiteurs du musée contribuent à l’évolution d’un prototype d’intelligence artificielle

Willie O'Ree

Le musée mobile de la LNH et le Mois de l’histoire des Noirs à Ottawa

Catherine Beddall assembles a gingerbread house.

Dans les coulisses : Rencontre d’une artiste du pain d’épices

Une guide du musée supervise deux jeunes élèves qui tendent la main pour flatter un gros lapin blanc posé sur une table devant eux.

Un nouveau programme amène la ferme à l’école

Two young girls stand in front of their research display about Elsie MacGill.

Journée internationale des femmes en génie : l’histoire d’Elsie MacGill

Mois de l’histoire des Noirs

Honorer les Canadiens de race noire en science et technologie

Articles connexes

L’avion de ligne à réaction Tupolev Tu-104 exploité par Aeroflot qui participe au spectacle aérien du Centenaire de la Colombie-Britannique, Aéroport d’Uplands, Ottawa, Ontario. Don Brown, « Aerial Display Ready. » The Ottawa Citizen, 13 juin 1958, 39.

« Il roule au sol avec toute l’aisance d’une cigogne arthritique, » Ou, Un bref regard sur la brève présence au spectacle aérien du Centenaire de la Colombie-Britannique d’un avion de ligne à réaction Tupolev Tu-104 d’Aeroflot, partie 2

L’avion de ligne à réaction Tupolev Tu-104 exploité par Aeroflot qui participe au spectacle aérien du Centenaire de la Colombie-Britannique, tenu à l’Aéroport international de Vancouver, Richmond, Colombie-Britannique. Anon., « –. » The Sunday Sun, 14 juin 1958, 25.

« Il roule au sol avec toute l’aisance d’une cigogne arthritique, » Ou, Un bref regard sur la brève présence au spectacle aérien du Centenaire de la Colombie-Britannique d’un avion de ligne à réaction Tupolev Tu-104 d’Aeroflot, partie 1

Le bateau fluvial à roue arrière SS Klondike à un stade précoce de son voyage vers Whiskey Flats South, Whitehorse, Territoire du Yukon. Anon., « Sidewalk Supers Size Up Sternwheeler. » Whitehorse Star, 23 juin 1966, 1.

Alors que le monde, euh, alors que la roue tourne; Ou, Comment / pourquoi le SS Klondike, un cargo fluvial à roue arrière brièvement utilisé pour des croisières fluviales, est devenu un des 1 004 lieux historiques nationaux de Parcs Canada, partie 3

Des passagères et passagers du bateau fluvial à roue arrière canadien SS Klondike regardent leur navire s’apprêter à traverser un passage étroit du fleuve Yukon, aux rapides Five Finger, Territoire du Yukon. David Willock, « There’s Tourist Gold in the Yukon. » The Ottawa Citizen – Weekend Magazine, 25 juin 1955, 18.

Alors que le monde, euh, alors que la roue tourne; Ou, Comment / pourquoi le SS Klondike, un cargo fluvial à roue arrière brièvement utilisé pour des croisières fluviales, est devenu un des 1 004 lieux historiques nationaux de Parcs Canada, partie 2

Un téléphone en plastique rouge posé sur une table gris clair, avec fond noir. Le combiné du téléphone, dans lequel se trouve le cadran rotatif, est posé sur la table à côté de la base de l’appareil, et est relié à celle-ci par un cordon rouge en spirale.

Un appel téléphonique de sous les glaces de l’Arctique - 50e anniversaire de l’appel téléphonique depuis le « Sub-Igloo » d’Arctic III au premier ministre Pierre Elliott Trudeau

Une bête de somme abandonnée et échouée face à un avenir incertain, le bateau fluvial à roue arrière canadien SS Klondike, Whitehorse, Territoire du Yukon. Anon., « Yukon River Boats. » The Calgary Herald, 5 mai 1958, 1.

Alors que le monde, euh, alors que la roue tourne; Ou, Comment / pourquoi le SS Klondike, un cargo fluvial à roue arrière brièvement utilisé pour des croisières fluviales, est devenu un des 1 004 lieux historiques nationaux de Parcs Canada, partie 1

Image couplée, de gauche à droite : un sismomètre sur Mars, un tas de tiges de rhubarbe rouge avec des feuilles vertes, un toit en cuivre du Parlement canadien.

3 choses à savoir sur les tremblements de Mars, l'urine comme produit utile et la chimie de la rhubarbe

Une souriante Mme Élie Fortin de Montmagny, Québec, acceptant la bicyclette gagnée par sa fille, Michèle Fortin, dans le cadre d’un concours organisé par Dulac Potato Chips Incorporated de Sainte-Marie, Québec. Anon., « –. » Le Peuple, 10 mai 1963, 10.

Une grande dame qui n’a jamais lâché la patate : Anne Marie Harmonia Hallé et la saga des croustilles Dulac

La première planche de la bande dessinée Julien Gagnon. Rémy, « Julien Gagnon » Le Petit Journal, section magazine, 16 mai 1948, 18.

La grande aventure d’un pilote et chasseur d’espions amateur québécois fictif qui affronte un bad hombre communiste tout aussi fictif à l’aube d’une Guerre froide bien réelle : La bande dessinée Julien Gagnon de Rémy / Normand Hudon

Le véhicule tout-terrains Loman 225 en montre au Salon camping, chasse et pêche 73, Montréal, Québec. Anon., « Pédalo ‘Fun Cycle’ – Une réponse à un rêve… » La Patrie, 1er avril 1973, 23.

Quatre roues pour toutes les saisons : Les véhicule tout-terrains de Loman Incorporée de Richelieu, Québec

Buste d’homme en bronze est gravé dans la pierre.

L’électricité dans nos vies : brancher la collection d’Ingenium à la Ville d’Ottawa

Des aurores boréales vertes et roses brillent au-dessus d'une rue résidentielle enneigée. Une camionnette orange est stationnée devant l'une des maisons.

L’histoire orale des sables bitumineux : Présenter l’identité de notre communauté

Footer Ingenium

À propos Le réseau

Le réseau

Contactez-nous

Ingenium
C.P. 9724, succursale T
Ottawa (Ontario) K1G 5A3
Canada

613-991-3044
1-866-442-4416
contact@IngeniumCanada.org
  • Facebook
  • Instagram
  • Twitter
  • Le Réseau

    • Accueil du Réseau
    • À propos du Réseau
    • Nos partenaires
  • Visitez

    • Ressources en ligne pour la science chez soi
    • Musée de l'agriculture et de l'alimentation du Canada
    • Musée de l'aviation et de l'espace du Canada
    • Musée des sciences et de la technologie du Canada
    • Centre Ingenium
  • Ingenium

    • Accueil Ingenium
    • À propos d'Ingenium
    • La Fondation
  • Pour les médias

    • Salle des nouvelles
    • Prix

Connect with us

Abonnez-vous à notre bulletin de nouvelles afin de recevoir les dernières nouvelles d'Ingenium directement dans votre boîte de réception!

S'inscrire

Legal Bits

Ingenium Énoncé de confidentialité

© 2023 Ingenium

Symbole du Gouvernement du Canada
  • Explorer
    • Catégories
    • Types de médias
    • Tableaux
    • Articles vedettes
  • À propos
    • À propos du Réseau
    • Nos partenaires