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Trois choses à savoir sur les insectes en tant que source importante de protéines, les superpouvoirs scientifiques du savon et la surveillance des glaciers dans l'Arctique canadien

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10 m
22 août 2022
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Agriculture
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Sciences de la Terre et environnement
Nourriture
Santé et bien-être
Médias
Blogue
Profile picture for user Renée-Claude Goulet
Par : Renée-Claude Goulet
Musée de l'agriculture et de l'alimentation du Canada
Michelle Campbell Mekarski
Musée des sciences et de la technologie du Canada
Cassandra Marion
Musée de l’aviation et de l’espace du Canada
Trois images côte à côte, le glacier White du Canada, des vers de farine séchés présentés sur un plateau de bois rond, et une paire de mains qui se frottent l'une contre l'autre, couvertes de bulles de savon.

Voici Renée-Claude Goulet, Cassandra Marion et Michelle Campbell Mekarski.

Ces conseillères scientifiques d’Ingenium fournissent des conseils éclairés sur des sujets importants pour le Musée de l’agriculture et de l’alimentation du Canada, le Musée de l’aviation et de l’espace du Canada et le Musée des sciences et de la technologie du Canada.

Dans cette captivante série mensuelle de billets publiés sur le blogue, les conseillères scientifiques d’Ingenium présentent des « pépites » d’information insolite en lien avec leur champ d’expertise respectif. Pour l’édition d'août, ils expliquent pourquoi les insectes sont en passe de devenir une source importante de protéines au Canada, comment et pourquoi le savon fonctionne effectivement, et comment on surveille la santé et le comportement du glacier blanc du Canada.

Une pile de vers de farine séchés présentés sur un plateau de bois rond
Crédit photo
nito100 | iStock

Les humains consomment des insectes à toutes les étapes de leur vie : œuf, larve, pupe et adulte. Les vers de farine que l’on voit ici sont des larves de coléoptères.

Des intéressés pour un burger de grillons accompagné de frites?

Pour bien des gens, l’idée de manger des insectes peut être complètement repoussante. Mais les grillons et les vers de farine, qui offrent des qualités nutritionnelles comparables à celles de la viande et ne représentent qu’une fraction de l’impact environnemental, sont en train de devenir une importante source de protéines au Canada.

Bien qu’inconnue à de nombreux Canadiens, l’entomophagie – la consommation d’insectes comme aliments – n’est ni nouvelle ni étrange. Omniprésents et très nutritifs, les insectes ont toujours fait partie de diètes humaines, tant comme nécessité que met délicat. Les coléoptères, les chenilles, les abeilles, les fourmis, les grillons, les sauterelles et les locustes sont tous des choix populaires. En fait, plus de 2 000 espèces d’insectes sont consommées dans environ 140 pays dans le monde! 

Ce n’est pas surprenant… vraiment. Les insectes sont riches en protéines et contiennent de nombreuses vitamines et minéraux dont nous avons besoin, comme la B12, le fer et des acides gras, comme les oméga 3 et 6. Leur exosquelette, ou coquille extérieure, procure des fibres qui nourrissent nos bactéries intestinales dans notre tube digestif. De plus, presque tout l’insecte est comestible, contrairement à d’autres animaux d’élevage. Bien que la grande majorité des espèces d’insectes consommées dans le monde sont récoltées à l’état sauvage, selon l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture, on élève environ 2 % d’entre elles, notamment les vers de farine et les grillons. 

Les grillons ont un indice de consommation incroyable, exigeant six fois moins de nourriture que le bœuf pour produire un gramme de protéine. Ils demandent aussi très peu d’eau, n’ont pas besoin d’une terre agricole, peuvent être produits localement et émettent beaucoup moins d’émissions de gaz à effet de serre qu’une ferme d’élevage. Donc, l’élevage d’insectes procure essentiellement la nutrition de la viande, mais génère un impact environnemental plus près des plantes. Cela signifie que la consommation de grillons et de vers de farine pourrait répondre aux besoins nutritionnels de plus de gens, tout en utilisant moins de ressources.

Il existe certains défis à l’élevage d’insectes de qualité alimentaire, donc la plupart de la production demeure à petite échelle. Cependant, les chercheurs et les gouvernements voient une occasion de diversifier le secteur agroalimentaire et d’aider à réduire la pression sur nos systèmes naturels. Ici, au Canada, grâce à son programme Agri-innover, Agriculture et Agroalimentaire Canada a récemment investi dans une entreprise d’élevage de grillons appelée Aspire. Aspire, située à London, en Ontario, vise à bâtir la plus grande exploitation de grillons haute technologie et automatisée au monde. Les exploitants auront la capacité de continuellement peaufiner leurs techniques à l’aide de capteurs, de la robotique et du traitement de données, et d’établir la meilleure façon d’élever et de traiter des grillons en masse.

Lorsque l’évolutivité a été déterminée, il y a de nombreux usages envisagés au-delà de la nourriture humaine. En fait, parce qu’il se peut que les gens mettent beaucoup de temps avant d’être prêts à intégrer les protéines d’insectes à leur diète, la première frontière à franchir est l’utilisation de protéines de grillons dans les aliments pour animaux de compagnie. La demande mondiale pour les aliments pour animaux de compagnie est en croissance, donc remplacer les protéines dérivées du bétail par de la farine d’insectes est une façon durable de réduire l’impact environnemental de la nourriture de Fido.

Bien qu’on ne vise pas à remplacer entièrement les autres sources de protéines par des insectes, ceux-ci peuvent être la quatrième option dans la gamme de choix après les produits d’origine animale, les légumineuses, et les noix et les graines. On peut déjà trouver des grillons frits et assaisonnés ainsi que de la poudre de grillons dans les supermarchés. Donc, si vous avez un goût d’aventure, pas besoin d’attendre jusqu’à ce que cette source de nourriture soit devenue ordinaire pour l’essayer! 

Par Renée-Claude Goulet

Deux mains recouvertes de bulles de savon se frottent ensemble.
Crédit photo
jackmac34 | Pixabay

Même à l’ère de la médecine moderne, le savon – avec une recette pratiquement inchangée depuis 4 000 ans – demeure une de nos plus importantes avancées médicales.

Comment et pourquoi le savon fonctionne-t-il VRAIMENT? Les superpouvoirs scientifiques du savon

Savonnez et rincez, lavez et frottez, et éliminez ces germes!

Le foyer moyen compte plusieurs différentes sortes de savon. Savon à vaisselle, savon à lessive, savon pour les mains, savon pour les animaux de compagnie, et plus encore! Le savon existe depuis au moins 4 000 ans et, même si on en trouve de toutes sortes, la science fondamentale qui explique comment le savon nous nettoie demeure inchangée.  

La science du savon se trouve dans sa structure moléculaire. Chaque molécule du savon a une forme ressemblant un peu à un têtard avec une « tête » et une longue « queue ». Ces deux extrémités de la molécule ont deux différents comportements. La tête est attirée par l’eau, tandis que la queue fuit l’eau et préfère s’attacher aux gras et aux huiles.  Ces deux comportements opposés dans la même molécule procurent au savon ses superpouvoirs.

Les superpouvoirs du savon :

  1. Les molécules du savon saisissent la saleté et la crasse. Lorsque vous faites mousser le savon, les queues des molécules de savons qui adorent le gras s’agrippent à la graisse, aux huiles et à la saleté sur votre peau. Lorsque tout plein de molécules de savon s’attachent au même petit bout de crasse avec leur queue, elles l’entourent et le piègent à l’aide d’une sphère flottante de molécules de savon nommée micelle.  
  2.  Le savon permet à l’eau d’emporter la graisse. Lorsque vous vous rincez, les têtes des molécules de savon qui adorent l’eau suivent l’eau, traînant leur queue (toujours fixées à la saleté et à la crasse) derrière elles. Sans le savon, l’eau seule ne pourrait éliminer les huiles et la graisse sur vos mains, car l’eau et l’huile ne se mélangent pas.
  3. Le savon est super efficace contre les germes. On entre en contact avec BEAUCOUP de germes dans une journée. Une fois attrapés, ces microbes se collent aux huiles que la peau produit naturellement et y restent jusqu’à ce qu’ils trouvent le moyen de pénétrer dans le corps (par la bouche, le nez, les yeux ou autrement). Le savon élimine efficacement les microbes de sur vos mains en délogeant les huiles dans lesquelles ils sont pris ou en interagissant avec les microbes directement. Les membranes externes de toutes les cellules, y compris les bactéries, les virus et les champignons, sont composées de gras. Les queues des molécules de savon qui adorent le gras s’agrippent à ces membranes, ce qui permet de soulever les microbes et de s’en débarrasser. Dans certaines conditions, les molécules de savon peuvent effectivement percer les membranes des cellules des microbes et les déchirer.

À l’ère du génie génétique et de la chirurgie robotisée, il est remarquable qu’un peu de savon et de l’eau constituent notre invention sanitaire la plus efficace. Alors, mouillez vos mains, faites mousser le savon et frottez vigoureusement pendant au moins 20 secondes. N’oubliez pas de frotter vos poignets, l’arrière de vos mains, entre vos doigts et autour de vos ongles. Il s’agit d’un des moyens les plus efficaces pour empêcher la propagation de maladies et d’infections (et de ne pas être dégueu).

Aller plus loin : 

Lequel est le plus efficace? Le désinfectant pour les mains ou le savon?

Par Michelle Campbell Mekarski

Vue en biais d’un grand glacier de vallée avec des bandes sinueuses qui alternent entre le blanc des gris foncés, et d’une plateforme de glace flottante supérieure au loin entourée de montagnes.
Crédit photo
Cassandra Marion/Ingenium

Vue saisissante du glacier White vers le nord, sur l’île Axel Heiberg, au NU, durant une expédition menée en juillet 2022.

Six décennies de surveillance des glaciers dans l’Arctique canadien

Le glacier White du Canada est l’un des glaciers les plus surveillés au monde. Situé au centre de l’île Axel Heiberg, qui fait partie de l’archipel Arctique canadien, le glacier mesure environ 14 km de long avec l’extrémité, appelée front glaciaire, qui s’allonge à environ 7 km à l’intérieur du fjord Expedition. 

J’ai eu le privilège de visiter le glacier White en juillet 2022 avec la glaciologue Dre Laura Thomson, professeure à l’Université Queen’s et gestionnaire intérimaire de la station de recherche arctique de l’Université McGill. La station, une installation de recherche sur le terrain située de sorte à pouvoir voir le front glaciaire, accueille une variété de chercheurs qui étudient l’environnement du Haut-Arctique. Son objectif principal vise à faciliter la surveillance quasi continue du glacier White depuis 1960!

Le glacier White est un glacier de vallée qui a reculé d’environ 1,5 km depuis 1960. Il a fondu et s’est aminci à tel point que les crêtes de ses moraines latérales (monticules de débris ou de till déposés par le glacier), qui étaient autrefois au même niveau que la hauteur de la glace, sont maintenant bien au-dessus. 

La santé et le comportement du glacier sont évalués à l’aide de mesures du bilan de masse, la somme de l’accumulation ou du gain global de glace et de neige, et de la perte de glace par la fonte et le vêlage. Par exemple, chaque année, on creuse une série de trous dans le glacier pour mesurer l’épaisseur et la densité des nouvelles couches de neige accumulées. On enfonce des pieux profondément dans la glace, puis on mesure la partie qui ressort de la surface pour obtenir une estimation de la fonte de la surface du glacier. Il existe de nombreuses autres variables que l’on mesure, comme le volume de glace, la vitesse d’écoulement, la température interne. Les stations météorologiques enregistrent également des variables, comme la vitesse du vent et la température de l’air.

La surveillance des glaciers a évolué depuis les années 1960 et compte maintenant les levés aériens et des techniques de télédétection provenant des satellites en orbite autour de la Terre. Mme Thompson explique : « Il y a tellement de glaciers et trop peu de glaciologues. On ne peut pas tous les mesurer au sol. » Bien que les mesures au sol fournissent des informations essentielles de la réalité au sol, les images satellitaires et les levés aériens sont d’excellentes sources pour surveiller le changement général au fil du temps. Les changements de topographie peuvent être mesurés à l’aide d’un radar (comme la mission canadienne de la Constellation RADARSAT); les changements de volumes peuvent être évalués à l’aide de l’imagerie stéréo-optique; le repérage des caractéristiques sur la glace au fil du temps peut être utilisé pour estimer la vélocité du glacier; et l’élévation de la glace peut être calculée à partir de données altimétriques.

Dans le cas du glacier White, les pertes de masse l’emportent sur les gains. Des mesures semblables sont prises sur les glaciers partout dans le monde et compilées par le Service de surveillance mondial des glaciers à Zurich, en Suisse, pour fournir un portrait global des changements des glaciers, donc des changements climatiques. Il s’avère que les glaciers de l’Arctique canadien ne subissent pas autant de perte que ceux ailleurs dans le monde, car actuellement les températures grimpent au-dessus de zéro de façon constante que deux mois par année. Cela dit, le Canada est encore le troisième plus important contributeur de l’élévation du niveau de la mer après l’Antarctique et le Groenland, et ce, en raison du très grand nombre de glaciers au Canada. L’île Axel Heiberg compte à elle seule plus de 1 000 glaciers.

Par Cassandra Marion

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Mots-clés
entomophagie, Insectes, avenir de l’alimentation, protéine, savon, lavage des mains, propreté, bactérie, virus, Arctique, glacier, Espace, expedition, changements climatiques, mars
Auteur(s)
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Renée-Claude Goulet
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Renée-Claude est conseillère scientifique au Musée de l'agriculture et de l'alimentation du Canada et enseignante agréée de l'Ontario. Grâce à sa formation en biologie, en éducation et à ses nombreuses années d'expérience dans le développement et la mise en œuvre de programmes et expos au musée, elle a développé une expertise dans la communication de sujets liés à la science et à l'innovation qui sous-tendent la production d'aliments, de fibres et de carburants, auprès de publics variés.  

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Michelle Campbell Mekarski

En tant que conseillière scientifique au Musée des sciences et de la technologie du Canada, Michelle Campbell Mekarski vise à combler l’écart entre la communauté scientifique et le public en rendant les sciences et la technologie intéressantes, accessibles et amusantes. Détentrice d’un doctorat en biologie évolutionniste et en paléontologie, elle possède de nombreuses années d’expérience en conception et en animation d’activités de vulgarisation scientifique. Dans ses temps libres à l’extérieur du Musée, elle enseigne à l’Université d’Ottawa ou à l’Université Carleton, fouille le sol à la recherche de fossiles ou se détend au bord de l’eau.

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Cassandra Marion
Suivre

Cassandra est la conseillère scientifique du Musée de l'aviation et de l'espace du Canada. Elle est titulaire d'un doctorat en géologie et en science et exploration planétaires. Ses recherches portent sur les cratères d'impact de météorites dans l'Arctique canadien. Elle a plus d'une décennie d'expérience dans le domaine de l'éducation et de la sensibilisation dans l’élaboration et la prestation de programmes scientifiques. Elle se consacre à partager sa passion pour les sciences avec les communautés proches et lointaines, et à améliorer la culture scientifique au Canada. 

D’autres histoires par

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Renée-Claude Goulet
Musée de l'agriculture et de l'alimentation du Canada
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« La grenouille est-elle gibier ou poisson? Là est le chiendent. » Un bref coup d’œil sur l’histoire de la raniculture au Canada et au Québec, partie 4

Une publicité typique de Giant Frog & Sea Food Limited de Montréal, Québec. Anon., « Giant Frog & Sea Food Limited. » La Patrie, 18 octobre 1952, 53.

« La grenouille est-elle gibier ou poisson? Là est le chiendent. » Un bref coup d’œil sur l’histoire de la raniculture au Canada et au Québec, partie 3

Trois des innombrables grenouilles-taureaux trouvées dans la grenouillère de Harold Lee, Casitas Springs, Californie. Anon., « Nature – Frog Farm.” » Pix, 6 janvier 1951, 30.

“La grenouille est-elle gibier ou poisson? Là est le chiendent. » Un bref coup d’œil sur l’histoire de la raniculture au Canada et au Québec, partie 2

Une publicité typique de Canadian Frog’s Industries Company de Montréal, Québec. Anon., « Canadian Frog’s Industries Company. » La Patrie, 16 novembre 1952, 86.

« La grenouille est-elle gibier ou poisson? Là est le chiendent. » Un bref coup d’œil sur l’histoire de la raniculture au Canada et au Québec, partie 1

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