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Deux choses que vous devriez savoir sur la science du refroidissement éolien et les vues captées par l'astronef Orion

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8 m
9 déc. 2022
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Sciences de la Terre et environnement
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Génie et technologie
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Profile picture for user Cassandra Marion
Par : Cassandra Marion
Musée de l’aviation et de l’espace du Canada
Michelle Campbell Mekarski
Musée des sciences et de la technologie du Canada
Vue arrière d’une personne vêtue d’un épais manteau jaune avec le capuchon remonté et portant un sac à dos brun. Elle marche sur une rue couverte de neige; l’astronef Orion à gauche, en avant-plan, avec une vue en arrière-plan de la Terre et de la Lune, les deux sont partiellement dans l’ombre.

Voici Cassandra Marion et Michelle Campbell Mekarski. 

Ces conseillères scientifiques d’Ingenium fournissent des conseils éclairés sur des sujets importants pour le Musée de l’aviation et de l’espace du Canada et le Musée des sciences et de la technologie du Canada.

Dans cette captivante série mensuelle de billets publiés sur le blogue, les conseillères scientifiques d’Ingenium présentent des « pépites » d’information insolite en lien avec leur champ d’expertise respectif. Pour l’édition de décembre, elles expliquent comment le refroidissement éolien rend l’hiver encore plus froid et comment l'astronef Orion a capté des vues spectaculaires.

Vue arrière d’une personne vêtue d’un épais manteau jaune avec le capuchon remonté et portant un sac à dos brun. Elle marche sur une rue couverte de neige et on voit des voitures et d’autres piétons en arrière-plan. Il neige abondamment.
Crédit photo
Thom Holmes | Unsplash

Refroidissement éolien : la science qui rend l’hiver encore plus froid

Vous vous êtes sûrement déjà retrouvé dans cette situation : On est au beau milieu de l’hiver et vous essayez de décider combien de chandails enfiler avant de sortir faire des courses. Vous demandez à la personne la plus près (ou à votre appli météo!) quel temps il fait dehors. Voici la réponse qu’on peut vous donner : « Il fait moins 15, mais on dirait qu’il fait moins 20 avec le refroidissement éolien. » 

Si vous vivez dans des latitudes nord, le concept de « refroidissement éolien » ne vous est pas étranger. Lorsque les températures dégringolent, même la plus légère brise peut rendre l’air extérieur beaucoup plus froid que ce qu’indique le chiffre au thermomètre. Pourquoi donc? Penchons-nous sur la science du refroidissement éolien. 

Les humains sont des êtres à sang chaud, ce qui veut dire que notre corps génère de la chaleur. Cette chaleur réchauffe tout ce qui se trouve près de notre corps et qui est plus froid. Voilà pourquoi, après quelques minutes au lit, nos draps deviennent confortablement chauds! Lorsqu’on se tient debout sans bouger, notre corps réchauffe l’air qui nous entoure, formant une mince couche d’air chaud autour de nous. Plus l’air est froid, plus notre corps perd de la chaleur pour réchauffer l’air qui nous entoure. Lorsque le vent souffle, il repousse la mince couche d’air chaud autour de nous, nous dérobant ainsi la chaleur que notre corps avait créée. Plus le vent souffle rapidement, plus la chaleur s’envole rapidement. 

Les atmosphéristes et les physiciens se servent d’une équation pour calculer la quantité de chaleur que perd une personne moyenne en fonction de la température de l’air ambiant et la vitesse du vent. Cette équation nous donne l’indice de refroidissement éolien. Par exemple, s’il fait -20 ⁰C et que les vents soufflent à 20 km/h, le refroidissement éolien donne l’impression qu’il fait -30 ⁰C. 

Pourquoi avons-nous donc l’impression qu’il fait plus froid? Lorsque vous avez froid, ce que vous ressentez est en fait la sensation de la chaleur qui quitte votre corps. Plus la chaleur s’échappe rapidement, plus vous avez froid. Puisque le vent additionné à des températures froides augmente la rapidité à laquelle la chaleur s’échappe de votre corps, une journée froide et venteuse donnera l’impression qu’il fait plus froid qu’une journée affichant la même température sans vent. 

Vous pouvez vous protéger des effets du refroidissement éolien en vous couvrant la peau de couches de vêtements à l’épreuve du vent. Une couche épaisse emprisonnera l’air chaud près de votre corps et empêchera le vent de le détourner loin de vous. La peau exposée (p. ex., votre visage, vos oreilles ou vos mains) risque davantage les gelures, car votre corps ne génère pas de chaleur assez rapidement pour maintenir ces parties au chaud. 

L’indice de refroidissement éolien est un guide qui vous permet de connaître la froidure que vous ressentirez tous les jours de l’hiver. Utilisez-le comme outil pour vous protéger, vous et vos proches, des conditions hivernales et tentez de rester au chaud! 

Par Michelle Campbell Mekarski

L’astronef Orion à gauche, en avant-plan, avec une vue en arrière-plan de la Terre et de la Lune, les deux sont partiellement dans l’ombre contre le fond noir de l’espace.
Crédit photo
NASA

Vue de la Terre et de la Lune depuis d’astronef Orion à son point le plus éloigné de la Terre.

La mission Artemis I de l’astronef Orion s’est bien déroulée et a capté des images inspirantes.

La mission Artemis I s’est bien envolée pour la Lune le 16 novembre 2022! L’astronef Orion a été placé dans une distante orbite rétrograde autour de la Lune, c’est-à-dire que l’engin orbite la Lune dans la direction opposée à laquelle la Lune orbite la Terre, et envoyait fréquemment de magnifiques et spectaculaires images de lui-même, de la Lune et de la Terre.

Artemis I était un vol d’essai non habité de 25,5 jours qu’a entrepris l’astronef Orion et la fusée Space Launch System (SLS), soit la première de nombreuses missions visant à envoyer de nouveau des humains sur la Lune. Artemis II sera la première mission habitée de la série. Son lancement est prévu au plus tôt en 2024 et un astronaute canadien sera à bord pour réaliser un vol autour de la Lune.

On voit l’astronef Orion à gauche avec une vue de la face cachée de la Lune à droite, le tout contre un arrière-plan noir.
Crédit photo
NASA

L’astronef Orion est entré en orbite autour de la Lune et, à son sixième jour, a pris une autophoto sur laquelle on peut voir une partie de la face cachée de la Lune.

Quelques pépins sont survenus avant le lancement de la SLS, notamment un capteur de température défectueux, quelques fuites d’hélium et deux ouragans. La fusée a toutefois majestueusement quitté la Terre le 16 novembre 2022. Une fois lancée dans l’espace, la mission s’est déroulée comme prévu.

Pour capter les incroyables vues du retour de la NASA sur la Lune ainsi que recueillir d’importantes données d’ingénierie et de navigation pour la mission, un total de 24 caméras ont été installées : 8 sur la SLS et 16 sur Orion. La plupart des remarquables vues de la Terre et de la Lune ont été captées par les caméras fixées à l’extrémité de chacune des quatre ailes solaires de l’astronef sur le module de service. Ces caméras ont également fait un excellent travail pour évaluer l’état de la capsule. 

Vue en échelle de gris de l’intérieur de l’astronef Orion où on voit des tubes, des boutons et des câbles. Il y a des fenêtres sur le dessus, un mannequin assis à gauche, une démo technologique Callisto au centre avec une petite poupée Snoopy en couleur vêtue d’une combinaison spatiale orange flottant au centre.
Crédit photo
NASA

L’intérieur la capsule Orion en orbite autour de la Lune. On voit un mannequin à gauche et une poupée Snoopy servant d’indicateur d’apesanteur au centre à droite.

Orion a battu des records : il est officiellement l’astronef propre à une utilisation humaine ayant atteint la distance la plus éloignée de la Terre, soit 432 230 km, un record précédemment établi par la mission Apollo 13. La mission ne visait pas à enregistrer des records, mais prévoyait parcourir une très large orbite et atteindre une très haute altitude autour de la Lune afin d’intentionnellement pousser l’astronef Orion à tester ses limites. 

La mission Artemis I était composée d’une série d’importants tests effectués avec l’astronef Orion, y compris le repérage d’étoiles de navigation, le contrôle du propulseur ainsi que la surveillance de l’environnement et de la technologie à bord de la cabine, comme la mesure des niveaux d’exposition à la radiation et l’essai de la nouvelle technologie d’assistance vocale, Callisto.

Un gros plan de l'astronef Orion au premier plan à gauche et une partie de la surface lunaire en arrière-plan. La surface est grise avec une gamme de terrains et de cratères lisses et accidentés.
Crédit photo
NASA

À son vingtième jour, l’astronef Orion a pris une autophoto sur laquelle on peut voir un gros plan d’une partie de la Lune, au-délà de l’astronef.

Le 5 décembre, l’astronef Orion est passé près de la Lune pour la deuxième et dernière fois sur le trajet du retour vers la Terre, et a exécuté une rentrée sans faille dans l’atmosphère de la Terre pour enfin tomber dans l’océan Pacifique en toute sécurité le 11 décembre 2022.

Aller plus loin

Obtenir les dernières photos et vidéos : https://go.nasa.gov/3TXYptr

Par Cassandra Marion 

Une version précédente incluait un article sur les cuetlaxochitls (poinsettias).


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Mots-clés
Wind chill, wind chill factor, heat, cold, winter, Artemis, orion, moon, space, spacecraft, photos, orbit
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Cassandra Marion
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Cassandra est la conseillère scientifique du Musée de l'aviation et de l'espace du Canada. Elle est titulaire d'un doctorat en géologie et en science et exploration planétaires. Ses recherches portent sur les cratères d'impact de météorites dans l'Arctique canadien. Elle a plus d'une décennie d'expérience dans le domaine de l'éducation et de la sensibilisation dans l’élaboration et la prestation de programmes scientifiques. Elle se consacre à partager sa passion pour les sciences avec les communautés proches et lointaines, et à améliorer la culture scientifique au Canada. 

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Michelle Campbell Mekarski

En tant que conseillière scientifique au Musée des sciences et de la technologie du Canada, Michelle Campbell Mekarski vise à combler l’écart entre la communauté scientifique et le public en rendant les sciences et la technologie intéressantes, accessibles et amusantes. Détentrice d’un doctorat en biologie évolutionniste et en paléontologie, elle possède de nombreuses années d’expérience en conception et en animation d’activités de vulgarisation scientifique. Dans ses temps libres à l’extérieur du Musée, elle enseigne à l’Université d’Ottawa ou à l’Université Carleton, fouille le sol à la recherche de fossiles ou se détend au bord de l’eau.

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