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3 choses à savoir sur l'importance de la pollinisation des abeilles indigènes, comment la salive est utilisée pour nettoyer les artefacts et le volcanisme actif sur Vénus

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12 m
18 avr. 2023
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Agriculture
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Arts et design
Conservation
Nourriture
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Espace
Médias
Article
Profile picture for user Cassandra Marion
Par : Cassandra Marion
Musée de l’aviation et de l’espace du Canada
Renée-Claude Goulet
Musée de l'agriculture et de l'alimentation du Canada
Jacqueline Riddle
Ingenium – Musées des sciences et de l’innovation du Canada
Une lame de verre sale d'un stromatolite avec un coton-tige sale au fond ; un gros plan sur une abeille à tête et thorax verts sur une fleur jaune ; une vue 3D en fausses couleurs de la surface de Vénus montrant des volcans et de la lave coulant vers le premier plan.

Voici Renée-Claude Goulet, Cassandra Marion et Michelle Campbell Mekarski.

Ces conseillères scientifiques d’Ingenium fournissent des conseils éclairés sur des sujets importants pour le Musée de l’agriculture et de l’alimentation du Canada, le Musée de l’aviation et de l’espace du Canada et le Musée des sciences et de la technologie du Canada.

Dans cette captivante série mensuelle de billets publiés sur le blogue, les conseillères scientifiques d’Ingenium présentent des « pépites » d’information insolite en lien avec leur champ d’expertise respectif. Michelle Campbell Mekarski a invité Jacqueline Riddle, restauratrice chez Ingenium, à contribuer. Collectivement, nos experts expliquent comment la salive est un agent de nettoyage efficace pour les œuvres d'art et les artefacts, comment les abeilles indigènes sauvages sont essentielles à la pollinisation et comment des preuves d'activité volcanique ont récemment été trouvées sur la planète Vénus.

Une lame porte-objets sur un fond blanc avec une mince section géologique tachetée de brun de stromatolites. Certaines parties du verre sont nettoyées et claires, tandis que le reste est de couleur grise. En avant-plan, on peut voir un tampon souillé sur un bâtonnet de bois.

Un exemple d’un artefact se faisant nettoyer avec un tampon imbibé de salive. Cet artefact est une lame porte-objets avec une section de stromatolites, recueillie par Alice Wilson, la première femme géologue à la Commission géologique du Canada.

Les restaurateurs utilisent (parfois) de la salive pour nettoyer des œuvres d’art et des artefacts historiques

Ma salive se trouve sur des centaines d’artefacts dans les trois musées d’Ingenium. C’est vrai, ma salive est sur un tas de choses. Par exemple, elle est sur des lames de microscope dans l’exposition Les mondes cachés au Musée des sciences et de la technologie du Canada. Pourquoi? Me demandez-vous... Et bien, en tant qu’une des restauratrices d’Ingenium, je suis chargée de la préservation à long terme de nos artefacts. Je dois donc nettoyer les artefacts et, croyez-le ou non, la salive humaine peut être utilisée pour une multitude de raisons pour enlever la saleté, la fumée et les taches de nicotine sur les artefacts.

Tout d’abord, la salive est écologique et ne coûte rien à produire. Il est beaucoup plus facile et sécuritaire de faire, d’entreposer et de transporter la salive plutôt que des solvants ou des détergents spécialisés. Je suis une machine vivante productrice de salive et partout où je vais, ma salive me suis.

Semblable à l’image précédente, mais la lame porte-objets est totalement propre et entièrement claire.

Après le nettoyage de la lame avec un tampon imbibé de salive.

Toutefois, la salive n’est pas seulement écologique et pratique, elle est simplement meilleure pour nettoyer certains types de saletés que d’autres produits. Il y a de la science derrière ça. La salive contient une enzyme nommée alpha-amylase salivaire (AAs). Les enzymes comme les Aas sont des composés chimiques qui agissent comme des catalyseurs pour réduire l’énergie d’activation nécessaire pour obtenir une réaction chimique, dans le cas qui nous concerne, il s’agit du nettoyage chimique. Aussi, la salive est habituellement légèrement acide, ce qui peut souvent aider à éliminer la saleté. 

Alors, comment ça fonctionne? Les restaurateurs ne vont pas allègrement cracher sur les pauvres précieux artefacts des musées. Il y a de la méthode derrière cette folie. La salive n’est pas toujours appropriée et peut causer des dommages si on l’utilise sur certaines surfaces. Il est important de consulter un restaurateur avant de traiter les artefacts historiques, sinon on risque de les abîmer. Avant d’effectuer les traitements de restauration, on teste diverses méthodes de nettoyage sur une petite zone qui passe inaperçue afin de s’assurer que l’artefact ne réagit pas de façon indésirable. Lorsqu’on procède au nettoyage avec la salive, un tampon est prémouillé dans la bouche, puis utilisé pour nettoyer l’artefact. (Il n’y a pas de double trempage!) On prend également soin de ne pas manger ou boire au moins 30 minutes avant le nettoyage avec la salive. Et on boit aussi beaucoup d’eau. La plupart du temps, cette douce solution enzymatique produite par la bouche enlèvera la saleté et la fumée plus efficacement que l’eau. 

Qu’en est-il de la COVID et des autres maladies qui pourraient être transmises par la salive humaine? Le nettoyage avec la salive est-il sécuritaire? Oui, il est parfaitement sécuritaire. Même si vous touchiez les artefacts nettoyés avec de la salive (ce que vous ne feriez jamais, vous merveilleux lecteurs), la COVID et les autres virus peuvent seulement survivre sur les surfaces sèches pendant quelques jours. Les artefacts sont nettoyés dans le laboratoire de restauration plusieurs jours ou semaines avant d’être publiquement exposés. Bien que les bactéries peuvent survivre plus longtemps que les virus sur certaines surfaces, l’enzyme AAs dont j’ai parlé plus tôt aide en fait à combattre les mauvaises bactéries. Plus on en sait!

Aller plus loin

Une recherche plus approfondie à propos de la survie de la COVID-19 sur les surfaces des bibliothèques, des musées et des archives a été réalisée par le REALM Project. Apprenez-en davantage ici :

Reopening Archives, Libraries, and Museums (REALM). (2023) Lab Testing. Disponible en anglais seulement à : https://www.oclc.org/realm/research/lab-testing.html (consulté le 22 mars 2023).

En 2018, les travaux de recherche de Paula Romão et collab. sur l’utilisation de la salive humaine pour nettoyer des artefacts historiques ont gagné le prix Ig Nobel en chimie, un prix international soulignant des réalisations qui font tout d’abord RIRE les gens, puis les font RÉFLÉCHIR. Lisez les documents de recherche ici : 

Paula M. S. Romão, Adília M. Alarcão et César A.N. Viana, « Human Saliva as a Cleaning Agent for Dirty Surfaces », Studies in Conservation, vol. 35, 1990, pp. 153-155.

Par Jacqueline Riddle

Gros plan d’une abeille avec une tête et un thorax vert métallique, et un abdomen rayé noir et blanc, sur une fleur jaune.
Crédit photo
BarbaraStorms | iStock

Certaines abeilles indigènes sauvages, comme cet halicte, sont de couleur vert et bleu métallique!

Les abeilles indigènes sauvages sont des pollinisatrices irremplaçables, mais les connaissez-vous vraiment?

La majorité des gens sont conscients que les pollinisateurs sont essentiels à la production alimentaire et que leurs populations sont menacées par les activités humaines et les changements climatiques. Mais quand on parle de la conservation des pollinisateurs, une espèce en particulier vole la vedette et nos cœurs, soit l’abeille mellifère occidentale (Apis mellifera). 

En vérité, les abeilles mellifères ne sont pas indigènes au Canada! Elles y ont été introduites par les premiers colons européens pour fournir du sucre et de la cire, et sont élevées par les humains tout comme le sont d’autres animaux domestiques. Bien que les abeilles mellifères d’élevage jouent un rôle critique dans la pollinisation de nombreuses cultures, elles ne travaillent pas seules! Nos abeilles indigènes sauvages sont tout autant liées à notre sécurité alimentaire et au fonctionnement de l’écosystème que les abeilles mellifères, sinon plus... et bien peu d’entre nous les connaissons vraiment! 
 
Les bourdons sont probablement ceux qui nous viennent d’abord à l’esprit lorsqu’on pense aux abeilles indigènes, mais saviez-vous qu’il existe plus de 800 espèces d’abeilles indigènes sauvages au Canada? Le bourdonnement d’halictes, d’abeilles terricoles, d’abeilles coupeuses de feuilles, d’abeilles charpentières et d’abeilles des courges, pour n’en nommer que quelques-unes, se fait entendre partout dans nos jardins, nos arbres et nos champs! Les abeilles sont si diverses en forme et en couleur qu’il est difficile de les identifier en un seul coup d’œil. On pense souvent aux abeilles comme étant des insectes qui vivent en colonie, mais la plupart de nos abeilles indigènes sont solitaires et nichent dans le sol, dans du bois mort ou des tiges de plantes séchées et creuses. Elles ne fabriquent pas de miel, comme les abeilles mellifères, mais se nourrissent plutôt de pollen et de nectar.

Bien souvent, les abeilles indigènes sont de meilleures pollinisatrices que les abeilles mellifères. Les plantes à fleurs et leurs pollinisateurs évoluent ensemble. On peut le constater dans les caractéristiques des fleurs et les types de récompenses qu’elles offrent. De nombreuses plantes sont pollinisées par seulement un ou quelques espèces d’abeilles qui ont les capacités ou les attributs physiques qui sont assortis à ce que la plante présente, par exemple, une longue langue pour des fleurs profondes. Certaines cultures, comme les plants de bleuets, ont besoin que les abeilles « bourdonnent » la partie mâle de la fleur afin de secouer le pollen et le libérer. On remarque ce comportement des abeilles, appelé « sonication », chez les bourdons et bien d’autres abeilles sauvages, mais pas chez les abeilles mellifères. Certaines plantes, comme la luzerne, une culture importante pour l’alimentation des animaux, ont des fleurs dont la forme dissuade les abeilles mellifères et les empêche de recueillir du pollen, mais qui ne décourage pas d’autres abeilles indigènes plus petites, comme l’abeille coupeuse de feuilles. Les abeilles indigènes sont également plus susceptibles de chercher de la nourriture dans des conditions mouillées, nuageuses ou froides. Elles sortent aussi plus tôt et plus tard dans la journée, ce qui veut dire qu’elles travaillent pendant que les abeilles mellifères restent à l’abri. 

Nos abeilles indigènes sont confrontées à des menaces semblables à celles des abeilles mellifères : perte d’habitat, maladies, parasites, pesticides, pollution environnementale, changements climatiques et compétition avec des espèces envahissantes. Protéger la diversité de nos abeilles sauvages veille à ce que leur éventail de capacités et de spécialités différentes soit préservé, et à ce que nous ne dépendions pas d’une seule espèce pour un des services les plus importants pour l’écosystème. 
 
Vous souhaitez offrir un peu d’amour à nos abeilles indigènes et les aider, elles et notre environnement, à prospérer? Voici quelques suggestions :

  • Allez observer les abeilles dans les jardins et les aires naturelles, apprenez à identifier les différents types, et partagez vos connaissances avec d’autres gens.
  • Dans les jardins et les plates-bandes, fournissez différentes sortes d’habitat sous forme de bûches et de débris végétaux en décomposition, comme des tiges coupées et des piles de broussailles, où nichent les abeilles coupeuses de feuilles et les abeilles du nord.
  • Puisque de nombreuses espèces nichent dans le sol, adopter le système sans labours (soit bousculer le sol des jardins et des plates-bandes le moins possible) permet de préserver les habitats existants.
  • Jetez un coup d’œil aux guides « Choisir des plantes pour les pollinisateurs » de Pollinator Partnership Canada pour obtenir des listes des plantes à cultiver dans votre écorégion pour attirer les pollinisateurs.
  • Créez des habitats et des sources d’alimentation en réalisant une remise à l’état sauvage de diverses zones et en plantant des jardins de plantes locales qui fleurissent à différentes périodes. N’oubliez pas d’autres plantes hôtes, comme les arbres et les arbustes! 

Aller plus loin

Jetez un coup d’œil à cette photothèque de toutes les différentes abeilles que l’on retrouve au Canada, élaborée par des scientifiques de l’Université York.

Par : Renée-Claude Goulet

Une vue 3D en angle de la surface de Vénus, présentant un monticule volcanique et de la lave qui s’écoule en avant-plan, et plus de volcans sur l’horizon en arrière-plan.
Crédit photo
NASA/JPL

Vue tridimensionnelle de Sapas Mons, un volcan sur la surface de Vénus.

Première preuve de volcans actifs sur Vénus

Des scientifiques ont observé des milliers de caractéristiques volcaniques sur la surface de Vénus et, depuis longtemps, formulent des hypothèses sur le fait que Vénus est active. Toutefois, il n’existait pas de preuve de volcans en activité jusqu’à tout récemment. 

La découverte de volcanisme actif s’est faite lorsqu’on a constaté des changements dans la taille et la forme d’une caldeira volcanique (cheminée volcanique), lesquels ont été observés entre deux images radar obtenues à huit mois d’intervalle, en février et en octobre 1991, à l’aide d’un instrument radar à bord de l’astronef Magellan. Oui, oui! Les scientifiques en sont toujours à examiner des données vieilles de 30 ans pour mieux comprendre Vénus. Bien que la qualité des images soit grossière comparativement aux normes d’aujourd’hui, il est clair qu’une caldeira volcanique a subi un immense effondrement, doublant de taille pour passer de deux kilomètres de diamètre à quatre kilomètres. On ne peut déterminer si une éruption a accompagné cet effondrement ou s’il s’agit simplement du résultat de mouvement souterrain de magma. Il y a possiblement une coulée de lave près de la cheminée, mais il faudrait consulter plus d’images pour en avoir la certitude. Ce type d’effondrement de caldeira se produit couramment dans les volcans terrestres, comme celui de la caldeira du volcan Kilauea pendant une éruption à Hawaii en 2018. L’étude des volcans peut nous aider à comprendre l’évolution d’une planète, son intérieur et son potentiel d’habitabilité. Même si la température et la pression de surface sur Vénus sont très élevées, il n’y a pas d’eau ou de glace pour éroder les entités de surface, seulement du vent. Il existe très peu d’information pour nous indiquer si ces entités sont récentes ou anciennes. 

L’astronef Magellan est arrivé à Vénus au milieu de 1990 et a cartographié presque toute la surface vénusienne à l’aide d’un radar afin de pénétrer l’atmosphère dense de cette planète. Des édifices volcaniques, des dômes volcaniques en forme de crêpe ou des coulées de lave ont été observés sur plus de 85 % de la surface. Une nouvelle carte, mise à jour grâce à l’ensemble de données de Magellan qui cataloguait tous les volcans connus de Vénus, indique qu’il y a plus de 85 000 formes de relief volcaniques, soit plus de volcans que sur toute autre planète ou lune du système solaire.  

Vénus demeure toujours très mystérieuse, mais la planète semble perdre de façon constante depuis les 30 dernières années lorsque vient le moment de faire l’objet de mission spatiale. Deux nouvelles missions ont été annoncées en 2021, VERITAS et DAVINCI+, lesquelles devraient répondre à certaines questions scientifiques importantes. La mission VERITAS de la NASA, un orbiteur de Vénus doté d’une série de nouveaux instruments puissants à son bord, compte un instrument radar qui créera une nouvelle carte 3D globale améliorée de la surface de Vénus avec une résolution beaucoup plus élevée et grâce à laquelle nous pourrons distinguer et interpréter des entités beaucoup plus petites. Malheureusement, la NASA a récemment reporté officiellement la mission VERITAS en raison de problèmes de financement. Il se pourrait donc qu’elle ne s’envole pas avant la prochaine décennie. Le lancement de DAVINCI+, une mission visant à étudier l’atmosphère de Vénus, est toujours prévu pour cette décennie. 

Aller plus loin

Jetez un coup d’œil à cette édition antérieure de 3 Choses que vous devriez savoir pour mieux comprendre Vénus.

Par Cassandra Marion


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Mots-clés
Spit, saliva, cleaning, artefacts, conservation, abeilles, native pollinators, biodiversity, Venus, volcano, caldera, radar, space, Magellan
Auteur(s)
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Cassandra Marion
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Cassandra est la conseillère scientifique du Musée de l'aviation et de l'espace du Canada. Elle est titulaire d'un doctorat en géologie et en science et exploration planétaires. Ses recherches portent sur les cratères d'impact de météorites dans l'Arctique canadien. Elle a plus d'une décennie d'expérience dans le domaine de l'éducation et de la sensibilisation dans l’élaboration et la prestation de programmes scientifiques. Elle se consacre à partager sa passion pour les sciences avec les communautés proches et lointaines, et à améliorer la culture scientifique au Canada. 

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Renée-Claude Goulet
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Renée-Claude est conseillère scientifique au Musée de l'agriculture et de l'alimentation du Canada et enseignante agréée de l'Ontario. Grâce à sa formation en biologie, en éducation et à ses nombreuses années d'expérience dans le développement et la mise en œuvre de programmes et expos au musée, elle a développé une expertise dans la communication de sujets liés à la science et à l'innovation qui sous-tendent la production d'aliments, de fibres et de carburants, auprès de publics variés.  

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Jacqueline Riddle

Jacqueline Riddle est restauratrice à Ingenium, où elle allie ses compétences en chimie, en histoire, en art et en résolution de problèmes pour préserver la collection scientifique et technologique nationale du Canada pour l'avenir. Elle manipule des artefacts aussi grands qu'une locomotive à vapeur ou aussi petits qu'une micropuce et ne s'ennuie jamais dans ses journées de travail. Elle est titulaire d'une maîtrise en conservation de l'University College London (campus du Qatar) et d'un baccalauréat en sciences avec spécialisation en chimie et en histoire de l'art de l'Université McGill. 

D’autres histoires par

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Cassandra Marion
Musée de l’aviation et…
Vue arrière d’une personne vêtue d’un épais manteau jaune avec le capuchon remonté et portant un sac à dos brun. Elle marche sur une rue couverte de neige; l’astronef Orion à gauche, en avant-plan, avec une vue en arrière-plan de la Terre et de la Lune, les deux sont partiellement dans l’ombre.

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Une publicité typique de Canadian Frog’s Industries Company de Montréal, Québec. Anon., « Canadian Frog’s Industries Company. » La Patrie, 16 novembre 1952, 86.

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