Les droits de la personne et la neurotechnologie
Imaginez si une technologie existait pour mesurer ou manipuler l’activité cérébrale sans votre consentement. Évidemment, dans le meilleur des cas les gens seraient mal à l’aise et dans le pire, il s’agirait d’une violation complète des droits de la personne. Peut-être cette technologie n’est-elle pas si éloignée, car un article publié récemment dans la revue Life Sciences, Society, and Policy explore l’idée de renforcer les droits de la personne afin de préserver nos processus cognitifs. Dans le domaine croissant de la neuroscience et de la neurotechnologie, il faut certainement réfléchir à la façon dont nous nous protégerons à l’avenir.
Nous sommes désolés mais l'article ressource est disponible seulement en anglais.