Skip to main content
Ingenium Logo

You are leaving IngeniumCanada.org

✖


This link leads to an external website that Ingenium does not control. Please read the third-party’s privacy policies before entering personal information or conducting a transaction on their site.

Have questions? Review our Privacy Statement

Vous quittez IngeniumCanada.org

✖


Ce lien mène à un site Web externe qu'Ingenium ne contrôle pas. Veuillez lire les politiques de confidentialité des tiers avant de partager des renseignements personnels ou d'effectuer une transaction sur leur site.

Questions? Consultez notre Énoncé de confidentialité

Ingenium Le réseau

Langue

  • English
Search Toggle

Menu des liens rapides

  • Sites Ingenium
  • Magasiner
  • Donner
  • S'abonner
Menu

Main Navigation

  • Explorer
    • Catégories
    • Types de médias
    • Tableaux
    • Articles vedettes
  • À propos
    • À propos du Réseau
    • Nos partenaires

Était-ce un oiseau? Un avion? Un immense dirigeable appelé le R-100!

Share
4 m
8 avr. 2021
Catégories
Aviation
Catégories
Génie et technologie
Exploration et arpentage
Bibliothèque et Archives
Médias
Article
Profile picture for user Kristy von Moos
Par : Kristy von Moos
Ingenium - Musées des sciences et de l’innovation du Canada
Une photographie noir et blanc montre de nombreuses personnes au-dessus desquelles un immense dirigeable, le R-100, est amarré au sommet d’une haute tour qui ressemble à un phare.
Crédit photo
Archives du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, CAVM-06851
Le dirigeable R-100 fait le plein de carburant à Saint-Hubert, au Québec, après avoir complété son vol transatlantique, à l’été 1930.

Pour souligner la Semaine de sensibilisation aux archives, édition 2021, cet article donne un aperçu de la collection d’Ingenium comportant 120 photographies liées au voyage transatlantique du R-100. Cet immense dirigeable rigide construit au Royaume-Uni a volé jusqu’au Canada en 1930.

Une photographie noir et blanc prise à partir du sol et pointée vers le ciel montre un gros dirigeable de forme ovale qui survole l’endroit.
Crédit photo
Archives du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, CAVM-02567

Le R-100 survole Saint-Hubert, au Québec, en 1930.

Le 1er août 1930, des milliers de curieux convergent vers le tout nouvel aéroport de Saint-Hubert, au Québec, pour voir de leurs yeux quelque chose de spectaculaire : un immense dirigeable rigide construit en Grande-Bretagne appelé le R-100.

Après 79 heures de vol au-dessus de l’Atlantique et de l’Est du Canada, l’immense aérostat est finalement fixé au mât d’amarrage, qui s’élève à 60 m au-dessus du sol. Long de 219 m, ce dirigeable fait sensation dans les médias, et on lui consacre des articles de journaux, des émissions de radio et des célébrations, tant à Montréal qu’à Toronto.

Pour beaucoup de gens, le dirigeable évoque immédiatement la fin tragique du Hindenburg en 1937. Pourtant, avant ce drame, on reconnaît l’important potentiel de la technologie que représentent les appareils plus légers que l’air, tant à des fins civiles qu’à des fins militaires.

Une photographie noir et blanc montre un petit avion à hélices survolant un imposant dirigeable de forme ovale amarré au sommet d’une haute tour qui ressemble à un phare. Au premier plan, un homme observe la scène.
Crédit photo
Archives du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, CAVM-02597

Un avion postal en partance de Saint-Hubert, au Québec, survole le R-100 amarré, en 1930.

Histoire

Le premier dirigeable rigide véritablement pratique est conçu entre 1898 et 1900 par le comte Ferdinand von Zeppelin, officier allemand à la retraite. Pendant la première moitié de la Première Guerre mondiale, l’Allemagne construit quelque 90 de ces Zeppelins en forme de cigare destinés à des missions de reconnaissance et de bombardement. Vulnérables aux attaques, ces dirigeables rigides sont de piètres bombardiers, mais ils ont tout de même la cote pour le transport aérien de passagers.

Une photographie noir et blanc montre un immense dirigeable amarré au sommet d’une haute tour qui ressemble à un phare.
Crédit photo
Archives du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, CAVM-11843

Le dirigeable R-100 s’approche du mât d’amarrage à l’aéroport de Cardington, à Bedfordshire au R. U., en 1929.

Après la guerre, les accords de désarmement interdisent à l’Allemagne de posséder des dirigeables rigides, mais le potentiel qu’ils offrent pour des vols intercontinentaux intrigue un certain nombre de personnes en Europe et aux États-Unis. Le Royaume-Unis lance le programme impérial de transport par dirigeables en 1924. L’objectif du programme étant de produire deux immenses dirigeables, dont l’un, le R-100, doit être construit par une entreprise privée, l’Airship Guarantee Company, propriété de Vickers, et l’autre, le R-101, par la Royal Airship Works, propriété du gouvernement britannique. À partir des mêmes spécifications, les deux entreprises fabriquent des appareils très différents. Une série de choix de conception font que le R-101 manque de puissance et exige d’importantes améliorations. Entre 1929 et 1930, le R-100 se montre, lui, capable de franchir de longues distances, moyennant certains ajustements.

Une photographie noir et blanc montre une énorme structure ressemblant à une cage à oiseaux formée de poutres d’aluminium et suspendue à un échafaudage.
Crédit photo
Archives du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, CAVM-11849

Cette photo prise dans les années 1920 montre la gigantesque structure du R 100 en construction à Howden, Yorkshire, au R.-U. Des ballonnets, géants, eux aussi, sont ensuite disposés dans la structure en alliage d’aluminium.

Structure

Les dirigeables rigides sont soulevés par un ensemble de ballons appelés ballonnets remplis d’un gaz plus léger que l’air. Dans la plupart des cas, on utilise l’hydrogène, faute d’hélium ou parce que ce dernier est trop cher. Les ballonnets sont disposés dans une longue structure semblable à une cage à oiseaux recouverte de lin.

Le personnel prend place dans une nacelle de commandement où se trouvent les commandes, et les nacelles moteurs contiennent la source d’alimentation.

Une photographie noir et blanc montre la moitié arrière d’un immense dirigeable volant au-dessus d’une foule. Deux petites nacelles moteurs sont fixées au ventre du dirigeable.
Crédit photo
Archives du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, CAVM-02588

On voit ici le ventre et la queue du R-100, ainsi que deux nacelles moteurs, à Saint-Hubert, au Québec, en 1930.

Le R-100 peut accueillir 100 passagers, des chambres à coucher et une salle à manger de 56 places.

Une photographie noir et blanc montre des tables dressées en vue d’un élégant repas, avec vaisselle en porcelaine.
Crédit photo
Archives du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, CAVM-02128

La salle à manger du R-100, vers 1929.

Une photographie noir et blanc montre, à l’intérieur du R-100, les silhouettes de six personnes qui regardent vers l’extérieur à travers un ensemble de petites fenêtres carrées.
Crédit photo
Archives du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, CAVM-02608

Des personnages VIP regardent défiler le paysage à partir du pont d’observation du R-100, en août 1930.

Une photographie noir et blanc montre en gros plan le nez d’un immense dirigeable, amarré au sommet d’une haute tour qui ressemble à un phare.
Crédit photo
Archives du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, CAVM-02582

Le mât d’amarrage à Saint-Hubert, au Québec, en août 1930.

Un lien avec le Canada

En 1926, le Canada signe le programme impérial de transport par dirigeables. Il accepte ainsi de construire un aéroport dans un lieu adéquat, dans l’Est du Canada. Des fonctionnaires britanniques optent pour Saint-Hubert en août 1927, et la construction du mât d’amarrage de 60 m débute. On doit y installer l’ensemble de l’équipement spécialisé nécessaire pour accueillir les dirigeables arrivant au Canada et en assurer le ravitaillement.

Le vol transatlantique

Le R-100 quitte la base de Cardington de la Royal Air Force, en Grande-Bretagne, le 20 juillet 1930. Après 79 heures de vol au-dessus de l’Atlantique et de l’Est du Canada, un défi, le dirigeable s’amarre au nouveau mât le 1er août. Une importante couverture médiatique et campagne publicitaire ayant annoncé l’événement, les curieux affluent, et on doit mettre en place des mesures spéciales pour diriger la circulation et canaliser la foule.

Une photographie noir et blanc montre une file de personnes passant par l’entrée d’une barrière clôturée et, en arrière-plan, un immense dirigeable amarré au sommet d’une haute tour qui ressemble à un phare.
Crédit photo
Collection Images du Canada du CN, 3725

De nombreuses personnes se dirigent vers le R-100, amarré à Saint-Hubert, au Québec, en août 1930.

Une photographie noir et blanc montre un groupe d’hommes, certains en uniforme militaire et d’autres en costumes et longs manteaux, prennent la pose à la cérémonie soulignant l’arrivée du dirigeable.
Crédit photo
Archives du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, CAVM-18345

Groupe d’officiers et de dignitaires civiles du Canada, à l’aéroport de Saint-Hubert, après l’arrivée du R-100, en août 1930.

Une photographie noir et blanc montre un homme juché sur un escalier, en train de se hisser à bord du R-100. La hauteur à franchir est d’environ 1 m. Un autre homme se tient derrière lui.
Crédit photo
Archives du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, CAVM-08177
Un homme pénètre à l’intérieur du R-100, à Saint-Hubert, au Québec, en août 1930.

Tournée puis retour en Grande-Bretagne

Le R-100 subit des dégâts en raison du mauvais temps dans l’Est du Canada et doit être réparé. Il entreprend ensuite une tournée publicitaire, du 10 au 11 août, au cours de laquelle il survole Ottawa, le Sud de l’Ontario, la péninsule du Niagara et Toronto et cause de l’agitation ainsi que d’importants bouchons de circulation, avant de retourner à Saint-Hubert.

Malgré les dégâts subis par un moteur au moment de l’amarrage, de retour à Saint-Hubert, et même si le système électrique a été endommagé par l’eau, le dirigeable arrive sain et sauf en Angleterre après un vol de 56 heures, du 13 au 16 août. Tout le monde s’attend à ce que le R-100 revienne au Canada dans les mois à venir.

Une photographie noir et blanc montre un immense dirigeable survolant un cours d’eau et des îles. Cette photographie a été prise à partir d’un avion en vol près du R-100.
Crédit photo
Archives du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, CAVM-19779

Le R-100, survolant les Mille-Îles, dans le fleuve Saint-Laurent, en Ontario, en août 1930.

Un désastre met fin au programme

Malheureusement, le R-101 ne s’en tire pas aussi bien que son cousin, le R-100. Pendant qu’il tente d’atteindre l’Inde en partance de Grande-Bretagne, en octobre 1930, il s’écorche sur le sommet d’une colline en raison du mauvais temps. L’hydrogène prend feu. Quarante-huit passagers et membres de l’équipage trouvent la mort, y compris l’ensemble des dignitaires qui se trouvent à bord.

Cette catastrophe met fin au programme britannique de dirigeables rigides. Le R-100 ne reviendra jamais au Canada, mais l’aéroport de Saint-Hubert aura été le tout premier aéroport moderne du pays. Devenu l’Aéroport Montréal Saint-Hubert Longueuil, il sert encore de nos jours.

Une photographie noir et blanc montre un hangar d’aéroport et une piste d’atterrissage, ainsi que l’immense dirigeable amarré à une haute structure ressemblant à une tour.
Crédit photo
Archives du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, CAVM-08442

Hangar de l’aéroport avec le R-100 amarré au mât, en arrière-plan, en août 1930.

Cet article est une adaptation de l’essai photographique Le R.100 au Canada du conservateur en aviation Renald Fortier, 1999.

Mots-clés
MAEC, aviation, dirigeable, aérostat, Première Guerre mondiale, dirigeable rigide, R-100
Auteur(s)
Profile picture for user Kristy von Moos
Kristy von Moos
Suivre

Kristy von Moos est la Coordinatrice de le projet de gestion des actifs numériques à Ingenium. Kristy est titulaire d’un baccalauréat en histoire et philosophie de l’Université St Thomas, et d’une maîtrise en histoire publique de l’Université Carleton. Elle a travaillé au sein d’entreprises de médias culturels, de recherche et d’expositions virtuelles. Elle adore associer histoire, éducation et technologie. 

D’autres histoires par

Profile picture for user Kristy von Moos
Kristy von Moos
Ingenium - Musées des sciences et de l’innovation du Canada
Une photo en noir et blanc prise du haut des airs. La photo montre une série de quais avec des bâtiments au port, et des rues de la ville à l’arrière. On voit la Citadelle d’Halifax en arrière-plan.

Série « Villes » des archives d’Ingenium : Halifax

Une petite boîte ouverte contenant plusieurs petits outils de perforation en métal utilisés pour administrer le vaccin liquide contre la variole en grattant la peau puis en frottant le vaccin sur l’égratignure.

L’histoire des vaccins : de la variole à la COVID-19

Photo noir et blanc d’un sentier pédestre bordé de tulipes, et d’un grand édifice en arrière-plan avec de hautes flèches.

Série « Villes » des archives d’Ingenium : Ottawa

Photo prise de côté d’un ordinateur portable montrant un code partiellement flou.

« Code in Place » : apprendre le langage Python durant une pandémie

Des personnes assises dans une pièce regardent des photos diffusées sur un grand écran.

Dans les coulisses : la gestion des contenus numériques à Ingenium

Document de guerre - CNSS Bateaux d'entreposage, Parc Banff

L’économie canadienne et la Deuxième Guerre mondiale

Articles connexes

Logan Archbold Vilas, l’aviateur officiel du Wisconsin State Board of Forestry. Anon., « Wisconsin Has Flying Fire Warden. » The State Journal, 14 octobre 1915, 11.

Une fable d’air, d’eau, et de feu : Un coup d’œil sur les activités aéronautiques de Hoffar Motor Boat Company de Vancouver, Colombie-Britannique, 1915-27, partie 2

Les restes de l’hydravion à coque Hoffar H-2 après son écrasement sur le toit de la maison d’un médecin des oreilles, des yeux et du nez, Vancouver, Colombie-Britannique. Anon., « From Hantsport to Vancouver. » Canadian Courier, 28 septembre 1918, 12.

Une fable d’air, d’eau, et de feu : Un coup d’œil sur les activités aéronautiques de Hoffar Motor Boat Company de Vancouver, Colombie-Britannique, 1915-27, partie 1

Wilfrid Thomas Reid. Anon., « Specification and description of the Reid Rambler. » Canadian Air Review, novembre 1928, 30.

Il est né avion baladeur, essayant de gagner sa vie et faisant du mieux qu’il pouvait : L’histoire fascinante du Reid / Curtiss-Reid Rambler, le premier avion léger / privé du Canada, partie 2

Deux sièges éjectables en métal nu, sans coussin ni rembourrage, sont fixés sur une base en contreplaqué, à côté de quelques cartons. Derrière les sièges, un hélicoptère vert camouflage est partiellement visible.

Comment deux sièges éjectables du CF-105 Arrow d’Avro ont survécu

Une publicité de Curtiss-Reid Aircraft Company Limited de Montréal / Cartierville, Québec, montrant son avion léger / privé Curtiss-Reid Rambler. Anon., « Curtiss-Reid Aircraft Company Limited. » Canadian Air Review, mai 1929, 23.

Il est né avion baladeur, essayant de gagner sa vie et faisant du mieux qu’il pouvait : L’histoire fascinante du Reid / Curtiss-Reid Rambler, le premier avion léger / privé du Canada, partie 1

Le SAGEM CU-161 Sperwer du Musée de l’aviation et de l’espace du Canada après un de ses atterrissages sans incident en Afghanistan. David Pugliese, « Faulty drones risk lives: troops. » Ottawa Citizen, 29 août 2007, 10.

L’introduction du Canada à un jeu de drones mortel : Un trop bref aperçu de la carrière canadienne de l’aéronef sans pilote tactique SAGEM Sperwer, partie 3

Le premier aéronef sans pilote tactique SAGEM CU-161 Sperwer exploité par les Forces canadiennes, près de Kaboul, Afghanistan, novembre 2003. Anon., « Drones canadiens utilisés en Afghanistan ». La Presse, 19 mars 2006, A 5.

L’introduction du Canada à un jeu de drones mortel : Un trop bref aperçu de la carrière canadienne de l’aéronef sans pilote tactique SAGEM Sperwer, partie 2

Une vue d’un aéronef sans pilote tactique SAGEM Sperwer générique / typique. Chris Wattie, « Army buys spy drones for Afghan mission. » National Post, 8 août 2003, 4.

L’introduction du Canada à un jeu de drones mortel : Un trop bref aperçu de la carrière canadienne de l’aéronef sans pilote tactique SAGEM Sperwer, partie 1

L’arrivée d’André-Georges Lafitte à Dijon, France, juin 1990. A.-G. Lafitte, « Un membre de l’I.F.N. traverser l’Atlantique Nord en U.L.M. » Navigation, octobre 1991, 559.

L’affaire Pélican : La fascinante histoire d’un des piliers fondateurs de l’industrie québécoise de l’avion ultra-léger, Ultravia Aéro Incorporée, partie 2

Un avion ultraléger Ultravia Pélican typique sur flotteurs. L’absence d’immatriculation est à noter. Anon., « Amateurs – ULM ou avions? » Aviation magazine international, 1er août 1983, 37.

L’affaire Pélican : La fascinante histoire d’un des piliers fondateurs de l’industrie québécoise de l’avion ultra-léger, Ultravia Aéro Incorporée, partie 1

Le chemin de fer aérostatique / chemin de fer au ballon proposé par Friedrich Volderauer. Salvatore Pannizzi, « Mountain Railways. » The Wide World Magazine, juillet 1898, 304.

Les voyages ferroviaires les plus scéniques du monde, animée par vous savez qui – Saison 7, Épisode 7 – Le Aerostatischen Bahn / Luftballon-Eisenbahn de Friedrich Volderauer

L’avion de ligne à réaction Tupolev Tu-104 exploité par Aeroflot qui participe au spectacle aérien du Centenaire de la Colombie-Britannique, Aéroport d’Uplands, Ottawa, Ontario. Don Brown, « Aerial Display Ready. » The Ottawa Citizen, 13 juin 1958, 39.

« Il roule au sol avec toute l’aisance d’une cigogne arthritique, » Ou, Un bref regard sur la brève présence au spectacle aérien du Centenaire de la Colombie-Britannique d’un avion de ligne à réaction Tupolev Tu-104 d’Aeroflot, partie 2

Footer Ingenium

À propos Le réseau

Le réseau

Contactez-nous

Ingenium
C.P. 9724, succursale T
Ottawa (Ontario) K1G 5A3
Canada

613-991-3044
1-866-442-4416
contact@IngeniumCanada.org
  • Facebook
  • Instagram
  • Twitter
  • Le Réseau

    • Accueil du Réseau
    • À propos du Réseau
    • Nos partenaires
  • Visitez

    • Ressources en ligne pour la science chez soi
    • Musée de l'agriculture et de l'alimentation du Canada
    • Musée de l'aviation et de l'espace du Canada
    • Musée des sciences et de la technologie du Canada
    • Centre Ingenium
  • Ingenium

    • Accueil Ingenium
    • À propos d'Ingenium
    • La Fondation
  • Pour les médias

    • Salle des nouvelles
    • Prix

Connect with us

Abonnez-vous à notre bulletin de nouvelles afin de recevoir les dernières nouvelles d'Ingenium directement dans votre boîte de réception!

S'inscrire

Legal Bits

Ingenium Énoncé de confidentialité

© 2023 Ingenium

Symbole du Gouvernement du Canada
  • Explorer
    • Catégories
    • Types de médias
    • Tableaux
    • Articles vedettes
  • À propos
    • À propos du Réseau
    • Nos partenaires