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Science citoyenne : Quand le public participe à la recherche

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10 m
21 déc. 2017
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Par : Cassidy Swanston
Musée des sciences et de la technologie du Canada
Examiner une plante avec une loupe.
Crédit photo
Eric Larocque, ©Ingenium – Musées des sciences et de l’innovation du Canada

Souhaitez-vous en apprendre davantage sur la façon dont le monde fonctionne? Nul besoin d’un laboratoire ou d’un diplôme pour pouvoir explorer. Des projets de science citoyenne se déroulant partout dans le monde permettent des découvertes directement dans votre maison, votre cour ou votre collectivité. La science citoyenne est le produit d’une association entre des chercheurs et des membres du public visant à résoudre des enjeux scientifiques. Il y a des projets dans presque tous les domaines, dont l’écologie, l’astronomie, la biologie moléculaire et la génomique. La recherche « participative » permet de collecter des données partout dans le monde et profite des nombreux esprits qui travaillent en concomitance pour trouver une solution à un problème donné.

Par exemple, les participants à des projets comme AttentionNature, Water Rangers (anglais seulement), Observation de mangeoires et Chauve-souris aux abris observent les écosystèmes dans leur collectivité. Ce faisant, ces gens en apprennent sur la nature et les chercheurs professionnels acquièrent une grande quantité de données mondiales à utiliser dans leurs études. 

Certains projets, comme Galaxy Zoo (anglais seulement) et Digital Fishers (anglais seulement), recueillent des données en ligne. Ils ont d’importantes bases de données (photos de galaxies, séquences vidéo de la vie marine et reproductions d’œuvres d’art) à étudier et à classifier. Ces sites Web ludifient la classification, c’est-à-dire que vous en apprenez sur le sujet choisi tout en jouant et les chercheurs profitent des nombreux cerveaux qui travaillent ensemble. 

En plus de miser sur un grand nombre de participants, plusieurs projets de science citoyenne comptent sur le fait que le cerveau humain détecte souvent mieux les motifs que l’ordinateur. Certains projets en ligne, comme Phylo et Foldit (anglais seulement), dépendent des scientifiques citoyens pour résoudre des problèmes biochimiques lorsque les ordinateurs ont échoué. Il n’est toutefois pas nécessaire d’avoir une expérience scientifique pour participer. Ces projets ont transformé ces problèmes en jeux de modelage addictifs que tout le monde peut résoudre.  

Bien que ces projets soient amusants, vous vous demandez peut-être si les scientifiques citoyens contribuent vraiment aux innovations scientifiques. Après tout, à quel point une personne moyenne peut-elle améliorer ce que les chercheurs professionnels savent déjà? À vrai dire, beaucoup. Par exemple, les données recueillies dans le cadre du projet Observation de mangeoires ont été mentionnées dans plus de 25 publications scientifiques! On peut aussi parler de Foldit, un jeu en ligne dans lequel les scientifiques citoyens replient des protéines pour trouver leur forme optimale. Il y a quelques années, un concours invitait des équipes à tenter de replier une protéine impliquée dans le développement du SIDA. La structure complexe de cette protéine avait dérouté les chercheurs pendant dix ans, alors que les joueurs de Foldit (bon nombre n’ayant aucune expérience en biochimie) l’ont élucidée en seulement trois semaines. Cette découverte a permis de mettre au point des médicaments antirétroviraux, notamment anti-VIH. (Lisez le court rapport de communication revu par les pairs sur la découverte de Foldit concernant cette protéine dans Nature (anglais seulement).) Cette histoire, quoiqu’extraordinaire, n’est pas unique. Des percées surviennent constamment dans les projets de science citoyenne, et ce, peu importe la discipline. 

La meilleure façon de participer est de vous rendre sur le site Web du projet qui vous intéresse, car tout ce dont vous avez besoin pour commencer devrait s’y trouver. Quels que soient vos intérêts, qu’il s’agisse de recherche sur les galaxies, d’observation des oiseaux, d’histoire de l’art ou d’observation des grenouilles, il y a de quoi vous allumer. Qui sait, vous pourriez faire une découverte qui révolutionnera le domaine. 

Visitez l’exposition de science citoyenne au nouveau Musée des sciences et de la technologie du Canada. 

Auteur(s)
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Cassidy Swanston
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Cassidy est étudiante en biologie et communication à l’Université d’Ottawa. Membre de l’équipe responsable de l’expérience des visiteurs au Musée des sciences et de la technologie du Canada, elle s’emploie à combler les lacunes en matière de communication entre la science et le public. Outre le travail (impressionnant) qu’elle accomplit au Musée, Cassidy aime voyager, monter sur les planches et s’occuper de ses plantes du mieux qu’elle peut pour les garder en vie.

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Une carte de l’atocatière de Les Producteurs de Québec Limitée de Lemieux, Québec. Luc Bureau, « Un exemple d’adaptation de l’agriculture à des conditions écologiques en apparence hostiles : L’Atocatière de Lemieux », Cahiers de géographie du Québec, décembre 1970, 389.

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Certains des bâtiments de l’atocatière exploitée par Les Producteurs de Québec Limitée de Lemieux, Québec. Pierre Arthur Dorion. « La plus importante plantation d’atocas au pays. » Le Bulletin des agriculteurs, juillet 1955, 11.

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