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Douglas Copp découvre une façon de traiter l’ostéoporose

Cet article a initialement été rédigé et soumis pour faire partie du recueil de récits d’innovation du projet Canada 150 visant à réunir des témoignages sur l’innovation canadienne en collaboration avec des partenaires de partout au pays. Il a maintenant été intégré au Réseau Ingenium, un portail numérique qui met en vedette du contenu en lien avec les sciences, la technologie et l’innovation.

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25 févr. 2016
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Par : Algonquin college
Douglas Copp est un biochimiste canadien qui travaille au projet Manhattan et découvre une protéine pouvant servir au traitement de l’ostéoporose. Source : Temple de la renommée médicale canadienne et Irma Coucill (artiste).
Douglas Copp est un biochimiste canadien qui travaille au projet Manhattan et découvre une protéine pouvant servir au traitement de l’ostéoporose. Source : Temple de la renommée médicale canadienne et Irma Coucill (artiste).

Ilana Reimer

Programme de journalisme du Collège Algonquin

Le projet Manhattan, plan militaire ultra-secret visant la production de la première bombe atomique américaine, est mis sur pied en 1942. À peine un an plus tard, un jeune biochimiste canadien hautement qualifié est recruté dans l’équipe qui en est responsable.

Douglas Harold Copp est encore dans la vingtaine, mais il a déjà obtenu un doctorat en médecine avec distinction de l’Université de Toronto, ainsi qu’un doctorat en biochimie. C’est probablement le fait que son père est médecin de famille qui l’incite à choisir une telle carrière. Cependant, peu importe sa motivation, ce sont la formation et le talent impressionnants de Copp qui conduisent ce dernier à quitter Toronto, sa ville natale, pour participer au projet Manhattan. Il fait partie d’une équipe de l’Université de la Californie, à Berkeley. Ses travaux portent principalement sur les effets des radiations sur la moelle épinière humaine et illustrent l’ampleur des dommages possibles.

À la fin de la Seconde Guerre mondiale, Copp enseigne à l’Université de la Colombie‑Britannique, jusqu’à ce qu’on l’invite à devenir le directeur du département de physiologie de la nouvelle école de médecine de cette université. Il y passera 30 ans à étudier les hormones. En 1961, il fait sa plus célèbre découverte, à savoir celle de la calcitonine, hormone qui régule le niveau de calcium dans le sang. La forme synthétique de cette hormone peut être utilisée pour traiter l’ostéoporose, maladie osseuse progressive.

Le Dr Douglas Copp reçoit de nombreux prix pour ses découvertes. Il est fait officier de l’Ordre du Canada et, en 1994, il est intronisé au Temple de la renommée médicale canadienne. Deux ans après son décès, survenu en 1998, il est intronisé au Panthéon canadien des sciences et du génie.

Transcription

Douglas Harold Copp, with a scholar's gift and top marks in medicine at the University of Toronto, was able to continue his education on a fellowship at the University of California. By 1943, he had completed another doctorate, this time in biochemistry. Almost immediately he was recruited for the top secret Manhattan Project, through which the allies completed development of the atomic bomb. Dr. Copp's research centred on the effects of radiation on human bone marrow.

Following the war, he returned to teach at Berkeley, but a few years later, Canada called him home. He was invited to the University of British Columbia, where he became the first Head of Physiology at the new medical school. In 1961, his research into hormones led to the discovery of calcitonin, a hormone which regulates the level of calcium in the blood and is used in treating patients with bone disease. Dr. Douglas Harold Copp passed away March 17, 1998.

Structure tridimensionnelle de la calcitonine de saumon. Source : PDB 2GLH. Réf. : G. Andreotti et coll. (2006).

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Le frère Marie-Victorin crée un répertoire des plantes du Québec en 1935. Auteur : Albert Dumas. Source : Bibliothèque et Archives nationales du Québec; no de référence : P1000, S4, D83, PM39.

Le botaniste autodidacte qui recense la flore du Québec

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