Skip to main content
Ingenium Logo

You are leaving IngeniumCanada.org

✖


This link leads to an external website that Ingenium does not control. Please read the third-party’s privacy policies before entering personal information or conducting a transaction on their site.

Have questions? Review our Privacy Statement

Vous quittez IngeniumCanada.org

✖


Ce lien mène à un site Web externe qu'Ingenium ne contrôle pas. Veuillez lire les politiques de confidentialité des tiers avant de partager des renseignements personnels ou d'effectuer une transaction sur leur site.

Questions? Consultez notre Énoncé de confidentialité

Ingenium Le réseau

Langue

  • English
Search Toggle

Menu des liens rapides

  • Sites Ingenium
  • Magasiner
  • Donner
  • S'abonner
Menu

Main Navigation

  • Explorer
    • Catégories
    • Types de médias
    • Tableaux
    • Articles vedettes
  • À propos
    • À propos du Réseau
    • Nos partenaires

La communication scientifique au Musée de l’agriculture et de l’alimentation du Canada

Share
7 oct. 2019
Catégories
Agriculture
Médias
Article
Profile picture for user Jagpreet Kaur Maker
Par : Jagpreet Kaur Maker
Plusieurs images de végétaux superposées à une vue aérienne d’une terre agricole.

Née à Mumbai, la métropole multiculturelle de l’Inde, où j’ai également fait mes études, j’ai déménagé au Canada en 2018 en tant que nouvelle résidente permanente afin de me consacrer à ma passion : rendre la science plus accessible, tout en renforçant la confiance dans la marque « Fait en Inde ».

Avant d’arriver au Canada, j’avais étudié en biotechnologie et je travaillais comme spécialiste de contenu médical, et je créais à ce titre du contenu scientifique à des fins marketing et publicitaires destiné à des publics des régions rurales et urbaines de l’Inde. Ce faisant, je me suis rendu compte que des actions de communication bien conçues permettaient au public de faire des choix plus éclairés. Ce constat s’est révélé un facteur important dans ma décision de retourner aux études afin d’obtenir un diplôme en communication scientifique.

Ma première démarche en ce sens a été de choisir de m’inscrire à la maîtrise en communication scientifique à l’Université Laurentienne, située dans la ville ontarienne de Sudbury. Ce programme m’a permis d’acquérir les rudiments des principes de la communication scientifique, qu’il s’agisse de bien connaître les publics ou encore de concevoir différents moyens de communication. Au terme de ce cours, j’ai effectué un stage de huit semaines, durant lequel j’ai pu développer davantage mes aptitudes à la communication scientifique.

Mon stage, que j’ai effectué au Musée de l’agriculture et de l’alimentation du Canada, m’a offert un cadre idéal pour combiner mes connaissances en biologie et ma passion pour la communication scientifique. C’était la première fois que je travaillais dans un musée, et l’expérience s’est avérée aussi intéressante qu’enrichissante.

Carte multicolore représentant les différents types de sol au Canada.
Crédit photo
Service d’information sur les sols du Canada, Agriculture et Agroalimentaire Canada

Carte pédologique conçue pour l’Inventaire des terres du Canada.

Les champs de la Ferme vus depuis un petit balcon à la cime des arbres.
Crédit photo
Jagpreet Kaur Maker

La vue depuis les combles du Bâtiment 94 du Musée de l’agriculture et de l’alimentation du Canada

L’occasion s’est présentée lorsque Nathan Basiliko, titulaire de la Chaire de recherche du Canada en microbiologie environnementale de l’Université Laurentienne, a approché William Knight, qui est conservateur — Agriculture à Ingenium et qui travaille au Musée de l’agriculture et de l’alimentation du Canada. Les deux avaient déjà collaboré à un projet de recherche historique sur la science du sol au Canada qu’avait lancé Kirsten Greer à l’Université Nipissing (voir l’article « Fouiller l’histoire de la science du sol au Canada »). M. Basiliko a mis M. Knight en contact avec Chantal Barriault, qui dirige le programme de communication scientifique à l’Université Laurentienne, et ensemble, nous avons organisé mon stage, qui a débuté en mai 2019.

Accueillie chaleureusement au Musée et installée à mon bureau offrant une vue magnifique sur la ferme, je me suis mise à travailler sur mon projet. En collaboration avec MM. Basiliko et Knight et avec Renée-Claude Goulet, conseillère scientifique du Musée, j’ai commencé à créer des scénarimages pour des vidéos sur l’histoire de la prospection pédologique et de la science du sol au Canada. Les vidéos, que le Musée espère bientôt réaliser à partir de ces scénarimages, examineront plus en profondeur le contexte et l’information présentée dans le cadre d’une exposition temporaire sur l’histoire de la prospection pédologique, l’importance du sol pour l’agriculture et son lien avec la crise climatique actuelle.

Pour créer les scénarimages, j’avais besoin de connaissances en physique, en biologie et en chimie des sols, et certaines de ces notions, que j’avais acquises durant mes études de premier cycle en biotechnologie, me sont revenues. Ma maîtrise en biotechnologie m’a aidée à comprendre les avantages que présentent les sols pour les industries, notamment pour les secteurs agricole et pharmaceutique. La grande quantité d’information qu’on trouve au Musée, entre autres sous forme de vidéos, de livres et de mémoires de recherche en science du sol datant du début du XXe siècle, a facilité mes recherches.

Puisant dans les données du programme de communication scientifique, j’ai défini le public cible et analysé l’environnement d’apprentissage, tout en prenant en compte le temps que le public passerait probablement à explorer l’exposition et les possibilités offertes par le lieu de celle-ci. Grâce à ce travail préliminaire, j’ai pu rédiger les messages clés, ce qui m’a permis de m’assurer que les textes étaient bien ciblés et conformes avec l’objectif. J’ai mis à profit les compétences en préproduction que j’ai développées durant le cours de production vidéo, offert dans le cadre du programme de communication scientifique, pour écrire les scénarios et créer les scénarimages.

Ce stage m’a permis d’acquérir des aptitudes et une expérience inestimables en tant que communicatrice scientifique. Il m’a donné l’occasion de créer du contenu cohérent en phase avec la méthode d’interprétation du Musée et de mieux comprendre l’éthique du travail au sein d’une organisation à vocation éducative. Tout au long de mon stage, j’ai bénéficié des suggestions et des commentaires judicieux de mes superviseurs William Knight, Molly McCullough et Renée-Claude Goulet.

Cheval brun au chanfrein blanc derrière des barrières métalliques au Musée de l’agriculture et de l’alimentation du Canada.
Crédit photo
Jagpreet Kaur Maker

Travailler au Musée de l’agriculture et de l’alimentation du Canada présente plusieurs avantages, comme la possibilité de visiter les animaux dans les étables.

En effectuant ce stage, j’ai eu l’occasion d’élargir mes horizons, car je suis passée d’un emploi dans le domaine de la publicité grand public pour des soins de santé à un poste dans un musée. En plus d’étoffer l’expérience de travail que j’ai acquise en Inde, cela m’a permis de comparer deux groupes cibles différents, une compétence qui pourrait s’avérer avantageuse dans ma carrière.

Les délicieux petits gâteaux préparés dans la cuisine de démonstration, la possibilité de visiter les animaux et les expositions du Musée ont rendu l’expérience plus agréable encore. Travailler au Musée a vraiment enrichi mon parcours au Canada et a permis à la communicatrice scientifique en herbe que je suis de gagner en assurance!

Mots-clés
communication scientifique, Université Laurentienne, Musée de l’agriculture et de l’alimentation du Canada, Ferme expérimentale centrale, Science du sol
Auteur(s)
Profile picture for user Jagpreet Kaur Maker
Jagpreet Kaur Maker

Biotechnologue, Jagpreet Kaur Maker détient un baccalauréat en biotechnologie de la University of Mumbai, en Inde, et une maîtrise en biotechnologie industrielle et commerciale de la Newcastle University, au Royaume-Uni. Souhaitant ardemment devenir communicatrice scientifique, elle s’est inscrite au programme de maîtrise en communication scientifique à l’Université Laurentienne, à Sudbury. Sur le plan professionnel, elle a travaillé à Mumbai en tant que réviseure scientifique à Crimson Interactive et que spécialiste de contenu médical à Medulla Communications.

Articles connexes

Image couplée, de gauche à droite : un sismomètre sur Mars, un tas de tiges de rhubarbe rouge avec des feuilles vertes, un toit en cuivre du Parlement canadien.

3 choses à savoir sur les tremblements de Mars, l'urine comme produit utile et la chimie de la rhubarbe

Une lame de verre sale d'un stromatolite avec un coton-tige sale au fond ; un gros plan sur une abeille à tête et thorax verts sur une fleur jaune ; une vue 3D en fausses couleurs de la surface de Vénus montrant des volcans et de la lave coulant vers le premier plan.

3 choses à savoir sur l'importance de la pollinisation des abeilles indigènes, comment la salive est utilisée pour nettoyer les artefacts et le volcanisme actif sur Vénus

Ahh, la crème glacée, les cause et solution de tous les problèmes de la vie. Je me demande si ce jeune garçon sait qu’il mange en fait de la mellorine. Anon., « De la crème glacée synthétique. » Photo-Journal, 16 avril 1953, 3.

En achètent-ils ou non? Seul leur épicier le sait avec certitude : Un bref coup d’œil sur une imitation de crème glacée à moindre coût parfois connue sous le nom de mellorine

Trois images épissées: Shaun, le mouton-jouet, vêtu d’une combinaison de vol bleue, une vue aérienne d’un seau rouge contenant des milliers de granules cylindriques de couleur brun pâle, Un petit enfant vêtu d’une tuque de laine et d’un chandail de laine tient le doigt d’un adulte.

3 choses à savoir sur comment la laine nous garde au chaud, et sur ses utilités surprenantes dans le jardin et dans l'exploration spatiale.

Un grand cratère d'impact vu du bord, une cuillère en bois pleine de petits grains jaunes, un gros plan d'un avant-bras en train d'être tatoué.

3 choses à savoir sur le potentiel inexploité du millet, la permanence des tatouages et les explosions fusantes

Un promoteur de la Sure Food, le chimiste alimentaire James Pearson (à droite), dans les installations de Wentworth Canning Company Limited de Hamilton, Ontario. Anon., « La viande, synthétique, produit canadien, pourrait sauver de la famine les peuples affamés d’Europe. » Photo-Journal, 5 février 1948, 3.

« Cela sent la viande. Cela ressemble même à de la viande. » L’histoire oubliée depuis longtemps d’une viande synthétique / viande d’imitation / viande artificielle / succédané de viande / substitut de viande / simili-viande parfois appelée Sure Food

Trois images côte à côte : une cuvette de toilettes expulsant un nuage de gouttelettes, une main gantée tenant un tube à essai contenant une petite plante, et une vue infrarouge de la lune volcanique de Jupiter, Io, montrant des taches d'activité volcanique couvrant la lune.

3 choses que vous devriez savoir sur la chasse d'eau, la photosynthèse artificielle et l'activité volcanique sur une lune de Jupiter.

Une grenouille-taureau typique sauvage et libre. John J. Brice, éditeur, A Manual of Fish-Culture: Based on the Methods of the United States Commission of Fish and Fisheries, with Chapters on the Cultivation of Oysters and Frogs (Washington : Government Printing Office, 1897), 258.

« La grenouille est-elle gibier ou poisson? Là est le chiendent. » Un bref coup d’œil sur l’histoire de la raniculture au Canada et au Québec, partie 4

Une publicité typique de Giant Frog & Sea Food Limited de Montréal, Québec. Anon., « Giant Frog & Sea Food Limited. » La Patrie, 18 octobre 1952, 53.

« La grenouille est-elle gibier ou poisson? Là est le chiendent. » Un bref coup d’œil sur l’histoire de la raniculture au Canada et au Québec, partie 3

Trois des innombrables grenouilles-taureaux trouvées dans la grenouillère de Harold Lee, Casitas Springs, Californie. Anon., « Nature – Frog Farm.” » Pix, 6 janvier 1951, 30.

“La grenouille est-elle gibier ou poisson? Là est le chiendent. » Un bref coup d’œil sur l’histoire de la raniculture au Canada et au Québec, partie 2

Une publicité typique de Canadian Frog’s Industries Company de Montréal, Québec. Anon., « Canadian Frog’s Industries Company. » La Patrie, 16 novembre 1952, 86.

« La grenouille est-elle gibier ou poisson? Là est le chiendent. » Un bref coup d’œil sur l’histoire de la raniculture au Canada et au Québec, partie 1

Une image épissée en trois parties : Vue de l’étage de remontée d’Apollo 11 survolant la Lune à gauche, des abeilles mellifères sur un rayon de miel au centre, et un paquet de cartes mélangé aléatoirement est tenu en éventail à droite.

Trois choses que vous devriez savoir sur l'utilisation des mathématiques dans l'exploration spatiale, sur la maîtrise de la géométrie par les abeilles et sur le caractère unique d'un paquet mélangé.

Footer Ingenium

À propos Le réseau

Le réseau

Contactez-nous

Ingenium
C.P. 9724, succursale T
Ottawa (Ontario) K1G 5A3
Canada

613-991-3044
1-866-442-4416
contact@IngeniumCanada.org
  • Facebook
  • Instagram
  • Twitter
  • Le Réseau

    • Accueil du Réseau
    • À propos du Réseau
    • Nos partenaires
  • Visitez

    • Ressources en ligne pour la science chez soi
    • Musée de l'agriculture et de l'alimentation du Canada
    • Musée de l'aviation et de l'espace du Canada
    • Musée des sciences et de la technologie du Canada
    • Centre Ingenium
  • Ingenium

    • Accueil Ingenium
    • À propos d'Ingenium
    • La Fondation
  • Pour les médias

    • Salle des nouvelles
    • Prix

Connect with us

Abonnez-vous à notre bulletin de nouvelles afin de recevoir les dernières nouvelles d'Ingenium directement dans votre boîte de réception!

S'inscrire

Legal Bits

Ingenium Énoncé de confidentialité

© 2023 Ingenium

Symbole du Gouvernement du Canada
  • Explorer
    • Catégories
    • Types de médias
    • Tableaux
    • Articles vedettes
  • À propos
    • À propos du Réseau
    • Nos partenaires