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Sauvetage du H2-2L de Curtiss : Récupérer un morceau de l’histoire du fond d’un lac

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8 m
14 juill. 2021
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Aviation
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Conservation
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Profile picture for user Leslie Hutchinson
Par : Leslie Hutchinson
Ingenium – Musées des sciences et de l’innovation du Canada
Une image en noir et blanc présente un groupe de sept hommes debout derrière un gros morceau de bois sur lequel sont peintes les lettres d’appel « G-CAAC ». Ils se tiennent près d’un lac. Derrière eux se trouvent une tente blanche et un petit groupe de trois arbres. Devant eux, du côté gauche de la photo, on voit une pile d’équipement de camping et de cuisson.
Crédit photo
Inconnu – Fichiers IC d’Ingenium
L’équipe de fouille du HS-2L de Curtiss pose près d’une grande section de la coque récupérée.

Si les artefacts pouvaient parler, ils auraient des histoires fascinantes à raconter. C’est certainement le cas du HS-2L La Vigilance de Curtiss, fièrement exposé au Musée de l'aviation et de l'espace du Canada à Ottawa, qui se trouve à être le dernier HS-2L de Curtiss complet au monde. 

Une courte histoire

Le HS-2L de Curtiss d’Ingenium était un hydravion qu’utilisait la marine américaine pour effectuer des patrouilles anti-sous-marines durant les deux dernières années de la Première Guerre mondiale. La marine américaine a vendu 12 appareils HS-2L de Curtiss au Canada après la guerre, lesquels sont devenus les premiers avions de brousse utilisés au Canada. Il s’agissait de l’avion idéal pour les régions éloignées du Canada, car il y a une abondance de lacs. Puisqu’il s’agit d’un hydravion, le HS-2L de Curtiss peut tout aussi bien amerrir que s’envoler à partir d’un plan d’eau. Ils étaient utilisés pour des patrouilles forestières, l’exploitation minière et du bois d'œuvre, et même pour livrer du courrier aux communautés nordiques. Durant cette ère d’aviation, les aéronefs n’étaient pas encore très fiables et s’écrasaient souvent, ou étaient utilisés pour leurs pièces afin de bâtir de nouveaux avions.

L’image présente un gros hydravion argenté. Il s’agit d’un biplan, c’est-à-dire qu’il a deux ensembles d’ailes disposés l’un par-dessus l’autre. Il y a un espace entre les ensembles d’ailes, lequel est créé à l’aide de barres verticales qu’on appelle des haubans. Le corps, ou fuselage, de l’avion a la forme d’un bateau, s’élargissant vers la section du nez et s’amincissant vers la queue. Il n’y a pas de train d’atterrissage visible. Sur la queue de l’avion, on peut lire « G-CAAC » et sur la section du nez,
Crédit photo
Leslie Hutchinson

La coque du HS-2L de Curtiss (1969.1330) repose près du HS-2L La Vigilance de Curtiss (1975.0754) reconstruit au Musée de l'aviation et de l'espace du Canada.

Un lieu de repos humide

Le 2 septembre 1922, un HS-2L de Curtiss, nommé La Vigilance, s’est écrasé dans le lac Foss, en Ontario. Heureusement, le pilote a survécu, mais l’appareil La Vigilance est demeuré au fond du lac jusqu’en 1967, lorsque l’emplacement de l’épave a été repéré. La coque, ainsi que des pièces et des accessoires métalliques de l’avion, a été retirée du lac par le Musée national de l’aviation (maintenant le Musée de l’aviation et de l’espace du Canada) durant une opération de sauvetage réalisée de 1968 à 1969. Aujourd’hui, on peut voir cette coque, qui a passé près de 50 ans sous l’eau, à côté de l’avion dans le Musée. La Vigilance est une reconstruction qui compte des pièces de cet avion récupéré et de deux autres appareils HS-2L de Curtiss. La Vigilance arbore les lettres d’appel G-CAAC, lesquelles étaient les lettres d’appel d’immatriculation du premier avion dont Laurentide Air Service Limited a été propriétaire. Si on regarde de près, on arrive à déchiffrer ces mêmes lettres sur le côté de la coque récupérée.

Cette image montre le côté tribord (droit) des sections arrière de deux avions HS-2L, placé l’un devant l’autre. Celui à l’avant est fait de bois et est de couleur brune. Sur la surface se trouvent de grandes lettres noires, G-CAAC, difficilement visibles et une partie manque à la moitié supérieure du dernier C. En arrière-plan, derrière la coque de bois brune, on voit la section arrière du côté tribord (droit) d’un avion HS-2L argenté luisant. De grandes lettres noires, G-CAAC, sont appliquées sur cette se
Crédit photo
Leslie Hutchinson

Les sections arrière des HS-2L de Curtiss original (1969.1330) et reconstruit (1975.0754), affichant les lettres d’appel G-CAAC.

L’effort de conservation

Après la brillante opération de sauvetage, le personnel du Musée devait trouver une façon de conserver les sections de l’avion récupérées et saturées d’eau. Lorsqu’elles sont submergées dans l’eau pendant de longues périodes, les cellules du bois sont affaiblies. Les cellules sont souvent attaquées par des microbes qui vivent dans l’eau et amenuisent le bois par la décomposition naturelle. Lorsqu’un grand morceau de bois saturé d’eau est retiré de l’eau, il ne sèche pas nécessairement de façon uniforme, ce qui le fait se tordre et craquer. Alors, retirer un avion dont le corps est fait de bois d’un lac après 46 années est une tâche plutôt délicate. Toutefois, la rareté et la provenance spécifique de cet avion en ont fait un objet désirable pour la collection Ingenium, donc le Musée devait trouver une façon de le sauver.

Au moment du traitement initial de l’avion, dans les années 1960, Internet n’existait pas et il y avait très peu de documentation sur la façon de traiter le bois saturé d’eau. Le conservateur de l’époque, Robert W. Bradford, a trouvé un article dans l’édition de janvier 1962 du National Geographic décrivant un nouveau traitement pour le bois saturé d’eau, lequel était utilisé sur un immense navire de guerre suédois, le Vasa, construit en 1626. En 1961, le Vasa a été l’un des premiers et plus importants objets de bois saturés d’eau traités à l’aide d’une substance appelée polyéthylène glycol (PEG). Peu de temps après, en 1968, un traitement semblable au PEG a été utilisé sur le HS-2L de Curtiss d’Ingenium.   

Une image en noir et blanc montre un gros morceau de bois et le torse d’un homme vêtu d’un t-shirt. De sa main droite, il applique une substance sur la surface du bois avec un pinceau. En arrière-plan, on voit deux troncs d’arbre sur la rive du lac.
Crédit photo
Inconnu - Fichiers IC d’Ingenium

Un membre de l’équipe de sauvetage enduit le côté de la coque récupérée de PEG.

Le traitement au PEG, une résine synthétique, est maintenant reconnu comme traitement de conservation courant pour le bois saturé d’eau. Le PEG est un agent structurant qui pénètre la paroi cellulaire et remplace l’eau, procurant une structure à l’intérieur de la paroi pendant que le bois sèche, maintenant ainsi la forme originale du bois et évitant des changements structuraux majeurs. Cependant, le PEG rend également l’objet plus lourd et lui donne une apparence un peu cireuse. Comme tous les traitements de conservation modernes, le PEG est censé être réversible. Par exemple, le PEG est soluble dans l’eau et d’autres solvants, mais ne devrait jamais être entièrement retiré afin d’éviter des dommages structuraux. L’équipe qui a récupéré le HS-2L de Curtiss a sauvé l’artefact en appliquant du PEG.

Une image en noir et blanc montre un seau de métal posé sur le sol et les jambes d’un homme accroupi. On voit qu’il tient un objet dans chacune de ses mains. Dans la main gauche, il tient un levier de commande moteur et dans sa main droite, il tient la poignée d’un manche à balai. Les deux objets mécaniques ont un aspect luisant.
Crédit photo
Inconnu - Fichiers IC d’Ingenium

Durant l’opération de sauvetage, de plus petits objets ont été trempés dans du PEG dans un seau.

Le HS-2L de Curtiss a d’abord été traité avec du PEG (Carbowax 1540) sur le site de fouille dans la brousse du nord de l’Ontario. Les employés du Musée ont chauffé une solution à 50-50 de PEG et d’eau sur des réchauds de camping, puis ils ont soit enduit les morceaux au pinceau ou les ont trempés dans le PEG, et ce, juste à côté du lac.

Une fois les morceaux traités et séchés, on les a envoyés au Musée national de l’aviation par hélicoptère et fret aérien. À leur arrivée, les morceaux du HS-2L de Curtiss ont reçu un deuxième traitement de PEG. Les dossiers du Musée sont vagues sur le raisonnement de cette approche, mais on croit que les morceaux de bois paraissaient secs, ce qui est maintenant reconnu comme étant la preuve d’un traitement réussi. Les applications de PEG étaient très récentes dans les années 1960, alors ils ont choisi d’appliquer une deuxième couche « pour être sûrs ». Malheureusement, la deuxième couche de PEG n’a pu pénétrer complètement dans le bois et s’est donc accumulée dans le bas de la coque, a créé de larges coulisses et a donné une apparence générale rugueuse et inégale.

Une image en couleur montre l’intérieur de la coque du HS-2L qui est faite de barres de bois horizontales, les nervures, et d’une poutre centrale, la quille. L’intérieur ressemble beaucoup à la disposition d’une cage thoracique humaine, avec une colonne au centre et des côtes de part et d’autre. Toutes les surfaces sur l’image sont couvertes d’une épaisse couche de poussière gris pâle qui ressemble à de la neige.
Crédit photo
Leslie Hutchinson

Une couche de poussière recouvre l’intérieur de la coque du HS-2L présenté dans l’exposition L’aviation de brousse au Musée de l'aviation et de l'espace du Canada.

Conservation préventive

Les restaurateurs sont chargés de gérer de nombreux aspects de la santé des artefacts et de la collection, dont le maintien d’un climat stable — un des moyens les plus faciles de prolonger la vie d’un artefact. Une humidité relative (HR) incorrecte ou fluctuante est l’un des facteurs externes les plus nuisibles pouvant perturber un artefact. Des changements rapides d’HR peuvent modifier la forme et la stabilité d’un artefact, et causer le ramollissement ou le raidissement de matériaux lorsqu’ils s’approchent des points de fusion et de congélation. Si l’HR est trop basse, les matériaux peuvent craquer, se raidir et devenir cassants. Si l’HR est trop élevée (plus de 60 %), de la moisissure peut se développer et le risque de corrosion augmente. Un changement rapide d’HR, comme lorsque les grandes portes de la Réserve sont ouvertes pour déplacer un avion pendant l’été, peut également avoir les mêmes effets sur les matériaux utilisés pour préserver les objets. Tel est le cas du PEG sur le HS-2L de Curtiss.

Contrôler l’espace autour d’un objet, plutôt que de traiter l’objet lui-même, est une description très simple de conservation préventive. Généralement, il s’agit d’un moyen efficace de prolonger la vie des artefacts. Il est nécessaire d’avoir une grande équipe pour y arriver. Ingenium a de fantastiques équipes de conservation, d’infogérance et de fonctionnement des bâtiments qui travaillent ensemble pour maintenir l’environnement du Musée stable. Étant donné la taille des objets exposés au Musée de l'aviation et de l'espace du Canada, ils ne peuvent être déplacés que durant les mois d’été. Il faut donc ouvrir les portes de la Réserve. Le climat extérieur, souvent chaud et humide, pénètre donc à l’intérieur. Alors, lorsque les objets sont déplacés en été, l’intérieur d’un bâtiment met un peu de temps à se rajuster à son humidité relative et à sa température normales. Pendant les mois d’été, l’air est maintenu frais et sec à l’aide de grands conditionneurs d’air. Pendant les mois d’hiver, lorsque l’HR du bâtiment ne peut atteindre que 10 %, on rajoute de ’humidité et de la chaleur à l’air. Ottawa subit des variations de température saisonnières annuelles de 60 à 80 degrés. Nos responsables du fonctionnement des immeubles travaillent sans relâche pour répondre aux besoins des artefacts.

Il ne faut pas oublier que le PEG est soluble dans l’eau. Si l’HR dans le Musée s’élève au-dessus de 60 %, le PEG à l’extérieur du HS-2L de Curtiss commence à se ramollir, devient collant et dégoutte parfois de la coque (lorsque la température habituelle du Musée monte au-dessus de 18 à 20 degrés Celsius). Il est difficile de mesurer précisément la température exacte à laquelle le PEG commence à se ramollir, car l’exposition à la lumière du soleil et à l’oxygène l’a partiellement dégradé, perturbant sa stabilité. La coque du HS-2L de Curtiss amasse naturellement la poussière puisqu’il est en présentation libre et, pendant les mois d’été chauds et humides, cette poussière se colle à la surface de la coque et ne peut être retirée à l’aide d’un plumeau ou d’un linge durant l’entretien régulier de l’exposition. Mis à part le fait qu’elle n’est pas jolie, la poussière attire des organismes indésirables et, à l’échelle microscopique, elle retient la vapeur d’eau près de la surface de la coque.  
Il est parfois difficile de prédire comment un artefact réagira à un certain climat, et ce, peu importe la quantité de recherches effectuées avant qu’il soit exposé. La coque du HS-2L de Curtiss a été sauvée par l’application de PEG qu’elle a reçu après sa récupération. L’équipe n’aurait aucunement pu prévoir que les chauds étés collants de l’avenir feraient en sorte que le PEG attirerait autant de poussière. La conservation est un domaine des arts et des sciences appliquées qui s’adapte et évolue constamment pour répondre aux besoins des objets que les humains jugent dignes d’être collectionnés, documentés et préservés.

Actuellement, après avoir évalué la condition du HS-2L de Curtiss, l’équipe d’Ingenium est en train de concevoir un plan de traitement pour la coque afin de retirer l’excès de PEG et diminuer l’accumulation de poussière. Les objectifs de base du traitement visent à améliorer l’apparence du HS-2L de Curtiss, à créer une surface plus facile à entretenir de façon régulière et, surtout, à pouvoir améliorer la stabilité générale de l’artefact. Finalement, le traitement et les efforts de l’équipe d’Ingenium prolongeront la vie de cet important artefact.


Aller plus loin

https://ingeniumcanada.org/fr/aviation/artefact/avion-hs-2l-la-vigilance-de-curtiss
https://www.ingeniumcanada.org/sites/default/files/doc/research/casm/f_HS-2L.pdf

Mots-clés
conservation, HS-2L de Curtiss, Musée de l'aviation et de l'espace du Canada
Auteur(s)
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Leslie Hutchinson

Leslie Hutchinson a récemment terminé un stage de conservation au Musée de l'aviation et de l'espace du Canada. Elle est diplômée du programme d'études muséales appliquées du Collège Algonquin (2021) et est titulaire d'un baccalauréat en interprétation musicale de l'Université de Brandon (2016). Leslie a l'intention de poursuivre une carrière en tant que conservatrice, afin de pouvoir travailler avec de très grands et de très petits objets. Pendant son temps libre, Leslie aime cuisiner, lire et jouer du cor français.

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