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Dans notre plus petit local d’entreposage d’artefacts

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5 m
26 août 2021
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Profile picture for user Jacqueline Riddle
Par : Jacqueline Riddle
Ingenium – Musées des sciences et de l’innovation du Canada
Deux conservateurs du musée en tenue complète de protection individuelle posent côte à côte et tiennent à la verticale un panneau de commande d’avion de couleur noire. L’artefact est posé sur une feuille de plastique qui recouvre une table.
Crédit photo
Réjean Demers | Ingenium
Des conservateurs d’Ingenium vêtus d’équipement de protection individuelle (ÉPI) préparent le transfert d’un artefact de l’entrepôt au Centre Ingenium. L’artefact a été scellé dans du plastique pour en permettre l’examen sécuritaire à l’avenir.

Caché dans un coin, au deuxième étage du nouveau Centre Ingenium, à Ottawa, se trouve un local d’entreposage d’artefacts qui est si petit et si discret qu’il peut passer inaperçu. Derrière une porte tout à fait ordinaire se trouvent cinq étagères où reposent plus de 350 instruments, cadrans et autres artefacts historiques conservés dans des sacs de plastique refermables dont l’aspect évoque autant de dîners pour robots sortis tout droit d’un monde post-apocalyptique. Savez-vous ce qui rend ces artefacts si spéciaux et pourquoi ils sont enfermés dans des sacs de plastique scellés, dans leur propre petit local d’entreposage?

Premier indice : Si vous êtes un humain, et non un robot post-apocalyptique, et si vous passez trop de temps dans ce local, ils seront sans doute trop « chaud » pour que vous les manipuliez.

Deuxième indice : Ces artefacts émettent une forme d’énergie particulière.

Troisième indice : Ces artefacts sont conservés dans une enveloppe de plastique scellée parce qu’ils produisent une poussière nocive bien spéciale. Les humains qui manipulent ces artefacts sans leur enveloppe de plastique doivent porter un équipement de protection individuelle (ÉPI)

Alors, avez-vous deviné?

Ces artefacts sont radioactifs, ce qui signifie qu’ils produisent de l’énergie sous forme de rayonnement ionisant, c’est-à-dire des atomes et des particules de haute énergie qui peuvent endommager les cellules vivantes au niveau atomique. Nous venons tout juste d’emballer et de déménager les artefacts radioactifs de nos anciens entrepôts au nouveau Centre Ingenium, construit spécialement pour nos besoins. Comme vous devez vous en douter, ce déménagement n’a pas été facile. Il n’avait rien d’un déménagement ordinaire. Nous avons dû le préparer en fonction de notre sécurité et de celle des personnes qui viendront visiter le Centre Ingenium à l’avenir et pour protéger ces artefacts historiques d’une grande fragilité.

Image gallery

Étagère en métal gris, qui porte un « A » et qui sert à l’entreposage d’artefacts radioactifs. Sur les tablettes du bas, les artefacts sont conservés dans des boîtes blanches, et sur les deux tablettes du haut, dans des enveloppes de plastique transparent.
Crédit photo

Jacqueline Riddle | Ingenium

Entreposage d’artefacts à l’intérieur du local d’entreposage d’artefacts radioactifs du Centre Ingenium.

Étagère en métal gris, qui porte un « B » et qui sert à l’entreposage des artefacts radioactifs. Sur les tablettes du bas, les artefacts sont conservés dans des boîtes blanches, et sur les deux tablettes du haut, dans des enveloppes de plastique transparent.
Crédit photo

Jacqueline Riddle | Ingenium

Entreposage d’artefacts à l’intérieur du local d’entreposage d’artefacts radioactifs du Centre Ingenium.

Étagère en métal gris, qui porte un « D » et qui sert à l’entreposage des artefacts radioactifs. Sur les tablettes du bas, les artefacts sont conservés dans des boîtes blanches, et sur les deux tablettes du haut, dans des enveloppes de plastique transparent.
Crédit photo

Jacqueline Riddle | Ingenium

Entreposage d’artefacts à l’intérieur du local d’entreposage d’artefacts radioactifs du Centre Ingenium.

Image de

Sécurité de type pandémique

Les mesures de sécurité entourant les collections radioactives rappellent celles associées à la pandémie. On peut réduire les risques en suivant trois règles :

  1. Distanciation physique : Plus on s’éloigne de l’artefact radioactif, moins on s’expose aux radiations.
  2. Port du masque (et autre ÉPI) : Lorsque l’on manipule un artefact radioactif, il faut porter l’ÉPI! Les gants, une tenue de laboratoire ou un sarrau, un respirateur et des lunettes de protection sont de mise. Cet ÉPI protège contre le contact avec des poussières radioactives ou l’inhalation de ces poussières (en plus de protéger le personnel contre la COVID‑19). Des dosimètres personnels enregistrent de plus l’exposition cumulative aux radiations pendant la manipulation d’artefacts radioactifs.
  3. Réduction du temps d’exposition : Plus on réduit le temps passé auprès de l’artefact radioactif, moins on s’expose aux radiations. 

Et, évidemment, il faut se laver les mains.

Radioactif  ou pas?

Comment savoir si un artefact est radioactif ou pas? Malheureusement, on ne peut pas le savoir simplement en le regardant. À Ingenium, nous disposons de deux instruments, qui mesurent chacun un type de radiations : un Dosimeter 3007A, qui mesure les rayons alpha (α) et bêta (β), et un RadEye G-10, qui mesure les rayons gamma (γ). Les rayons gamma sont les plus dangereux; ils peuvent même traverser les murs. Malheureusement — ou heureusement —, nos conservateurs n’ont pas grandi ou acquis une force surhumaine après avoir été bombardés de rayons gamma. Nous vous tiendrons toutefois au courant si jamais ça se produit.

Un instrument de mesure blanc cassé avec des détails noirs et une sonde portative détachable.
Crédit photo
Ingenium Conservation

Le Dosimeter 3007A, utilisé pour mesurer les rayons alpha et bêta.

Un instrument de mesure portatif rouge avec des détails noirs. L’instrument affiche « 0.76 µSv/hr », et un voyant orangé est allumé dans le coin supérieur gauche.
Crédit photo
Réjean Demers | Ingenium

Un RadEye G-10, utilisé pour mesurer les rayons gamma.

Une étiquette de papier blanc portant des inscriptions en noir, un ruban rouge portant la mention « DANGER » et le pictogramme du SIMDUT indiquant un danger. L’inscription sur l’étiquette indique « RADIATION Portez des gants, lunettes, appareils respiratoires, sarrau de laboratoire Limitez l’exposition », et le texte manuscrit se traduit ainsi : « 2021 mars, radeye G-10, 50.1 µSv/hr sur la surface de verre arrière, 45.5 µSv/hr à l’extérieur du sac, 1984.0992.001 ».
Crédit photo
Jacqueline Riddle | Ingenium

Exemple d’étiquette indicatrice de risque de radiation.

Puisque les rayons gamma (γ) sont les plus dangereux dans nos collections, nous vérifions toujours d’abord leur présence. En l’absence de rayons gamma, nous vérifions la présence de rayons alpha et bêta. Les mesures du rayonnement sont inscrites sur des étiquettes indicatrices de risque qui permettent au personnel et aux chercheurs de connaître le risque que représente chaque artefact.

Au « rayon » des artefacts... 

Une fontaine à eau en faïence blanc cassé, avec son couvercle et, en bas, son robinet de métal. La fontaine porte l’inscription « I RADIUM WATER » (I EAU AU RADIUM) et le nom du fabricant « RADIUM HEALTH PRODUCTS/ TORONTO, ONT. » écrits en lettres noires, au pochoir, sur le côté.
Crédit photo
Heather Bajdik | Ingenium

Une fontaine à eau avec disque de radium , conçue pour la préparation d’eau radioactive (No d’artefact 2002.0538). 

Quels types d’artefacts radioactifs possède Ingenium? Certains artefacts de la collection semblent absurdes. Comme cette fontaine à eau  en faïence contenant un disque de radium, fabriquée vers 1920 à Toronto, en Ontario, par la Radium Health Products of Canada. Grâce à cette fontaine et sa rondelle, on pouvait se préparer de l’eau radioactive à domicile... et la boire. Eh oui! On croyait autrefois que l’eau au radium avait des propriétés curatives. Heureusement, on évite de nos jours de boire de l’eau radioactive (n’essayez pas ça à la maison!).

Cette balance analytique fabriquée avant 1935 compte elle aussi parmi les artefacts radioactifs d’intérêt. Le chimiste Marchel Pochon  s’en est servi pour peser le premier échantillon de radium extrait au Canada. Marcel Pochon avait étudié sous la célèbre chercheuse à qui on doit la découverte du radium... Marie Skłodowska-Curie, lauréate du prix Nobel de physique de 1903 et du prix Nobel de chimie de 1911. Peut-être avez-vous déjà entendu son nom quelque part.

Image gallery

Une balance en laiton avec détails en os , dans un petit cabinet de bois vitré de tous les côtés et doté de deux tiroirs en bois à la base. Un conservateur d’Ingenium portant une combinaison en Tyvek, un respirateur, des lunettes de protection et des gants tient le panneau vitré avant ouvert devant la balance.
Crédit photo

Jacqueline Riddle | Ingenium

Une balance analytique utilisée par Marcel Pochon pour peser le premier échantillon de radium extrait au Canada (No d’artefact 1969.1002). 

La balance est dans un profond plateau blanc, et scellée dans du plastique. Une étiquette indicatrice de risque portant l’inscription « DANGER Radiation »  est collée sur le plateau. Un conservateur d’Ingenium portant une combinaison en Tyvek, un respirateur, des lunettes de protection et des gants tient la balance d’un côté.
Crédit photo

Jacqueline Riddle | Ingenium

La balance, une fois prises les mesures du rayonnement et l’artefact emballé et scellé aux fins d’entreposage, avant son déplacement vers le Centre Ingenium.

Image de

Entre autres artefacts radioactifs, la collection d’Ingenium contient aussi des objectifs au thorium (objectifs utilisés en photographie et qui contiennent un élément appelé thorium [Th]), des montres, un spectrophotofluorimètre (un instrument qui mesure la fluorescence des composés chimiques), des implants médicaux, un détecteur de fumée, un missile et un traducteur pour téléphone . Les artefacts radioactifs trop volumineux pour le local d’entreposage d’artefacts radioactifs sont conservés dans d’autres lieux isolés.

Toutefois, la collection radioactive d’Ingenium consiste en grande partie de cadrans  recouverts de peinture au radium. Si vous connaissez le livre ou le film intitulés Radium Girls, peut-être que la peinture au radium vous dit quelque chose. Utilisée au début des années 1900 et jusque dans les années 1960, la peinture au radium luisait dans le noir, ce qui la rendait utile pour la conduite et le vol nocturnes. Toutefois, à mesure que la peinture se détériore, elle produit une poussière radioactive qu’il est dangereux d’inhaler ou d’ingérer. Pour notre protection et celle des visiteurs à venir, nous avons emballé les artefacts couverts de peinture au radium dans des sacs de polyéthylène avant de les déménager au Centre Ingenium.

Image gallery

Compas gyro directionnel dans un boîtier peint en noir et dont la face est en verre. Le cadran est noir, et il comporte de l’écriture et des nombres blancs. Il indique entre 33 et 30. Sous l’échelle, on peut lire « SPERRY DIRECTIONAL GYRO ».
Crédit photo

Jacqueline Riddle | Ingenium

Exemples d’instruments d’avions contenant de la peinture au radium (Nos d’artefact : 2008.0003.012 et .015). Cet ampèremètre et ce compas gyro directionnel ont été prélevés d’un avion Waco VKS-7F au cours d’une opération de restauration. 

Ampèremètre dans un boîtier noir dont la face est en verre. Le cadran est noir, et il comporte de l’écriture et des nombres blancs. L’échelle va de 50D à 50C « AMPS », avec le 0 au milieu.
Crédit photo

Jacqueline Riddle | Ingenium

Exemples d’instruments d’avions contenant de la peinture au radium (Nos d’artefact : 2008.0003.012 et .015). Cet ampèremètre et ce compas gyro directionnel ont été prélevés d’un avion Waco VKS-7F au cours d’une opération de restauration. 

Image de

Alors, y a-t-il de quoi s’inquiéter?

Non. Malgré la présence d’artefacts radioactifs, il est tout à fait sécuritaire de visiter le Centre Ingenium et d’y travailler. Le local d’entreposage d’artefacts radioactifs est éloigné des endroits où on circule habituellement et il est doté de détecteurs spéciaux, d’un voyant d’avertissement et d’une ventilation adéquate. Dans le couloir où donne le local, il faudrait se tenir 1 000 heures consécutives avant d’atteindre la dose annuelle maximale recommandée pour le public. Lors de contacts directs avec des artefacts, le port d’un ÉPI adéquat protège des poussières dangereuses. Les conservateurs d’Ingenium ont en plus porté des dosimètres lorsqu’ils emballaient la collection d’artefacts radioactifs, et les appareils n’ont détecté qu’une quantité négligeable de radioactivité pendant les semaines qu’a duré le travail

Pour en savoir plus

Ingenium collabore étroitement avec la Commission canadienne de sûreté nucléaire pour s’assurer que les espaces qu’occupent les collections sont conformes à tous les règlements fédéraux ou les surpassent. Pour obtenir de plus amples renseignements sur le rayonnement ionisant et sa réglementation au Canada, veuillez consulter la documentation offerte par la Commission canadienne de sûreté nucléaire :
Introduction au rayonnement

 

Vous avez des questions sur la restauration des artefacts technologiques? Communiquez avec l’équipe de restauration des artefacts d’Ingenium grâce à son fil Twitter @SciTechPreserv.

Mots-clés
conservateur, sciences, dangereux, collections muséales, #IngeniumDéménage
Auteur(s)
Profile picture for user Jacqueline Riddle
Jacqueline Riddle

Jacqueline Riddle est restauratrice à Ingenium, où elle allie ses compétences en chimie, en histoire, en art et en résolution de problèmes pour préserver la collection scientifique et technologique nationale du Canada pour l'avenir. Elle manipule des artefacts aussi grands qu'une locomotive à vapeur ou aussi petits qu'une micropuce et ne s'ennuie jamais dans ses journées de travail. Elle est titulaire d'une maîtrise en conservation de l'University College London (campus du Qatar) et d'un baccalauréat en sciences avec spécialisation en chimie et en histoire de l'art de l'Université McGill. 

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